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- d’un participe avec sa complémentation (les meilleurs de ses livres sont
ceux écrits avant 1910/ ceux relatant ses campagnes militaires)
elles servent aussi d’antécédent « support animé » aux relatives périphrastiques ( que celui qui
n’a jamais péché lui jette la première pierre)
forme neutre atone ce s’emploie d’une part comme sujet clitique du verbe être,
éventuellement modalisé par pouvoir ou devoir ( c’est gentil, ce devrait être facile), mais a
progressivement été remplacée par cela, puis par ça Elle joue également le rôle d’antécédent
« support non-animé » d’une relative ou d’une subordonnée interrogative portant sur le COD (
ce qui se conçoit bien s’énonce clairement / dis-moi ce qu’il a encore fait)
formes composées variables celui-ci… tjs employées sans modificateurs, véhiculent les
mêmes valeurs déictiques et anaphoriques que le déterminant démonstratif. Elles peuvent
prélever 1 ou plusieurs référents sur l’ensemble dénoté par le GN antécédent ou désigner de
nouveaux référents à partir du contenu notionnel d’un N antécédent ( vos livres ne sont pas
chers, je prends celui-ci/ Pour le prix de ce seul livre je peux acheter tous ceux-là). En emploi
déictique elles désignent un référent accessible à partir de la situation de discours.
Formes composées neutres ceci, cela et ça servent à désigner déictiquement des référents
non catégorisés, voire à décatégoriser péjorativement un référent en lui refusant sa
dénomination usuelle. Elles anaphorisent aussi les antécédents dépourvus de genre et de
nombre que sont les propositions ( tu terminera tes devoirs, après ça tu pourras regarder la
télévision).
Enfin, en alternance avec ce , elles reprennent un antécédent (svt générique) dont elles
neutralisent le genre et le nombre (les enfants, ça fait du bruit)
Les pronoms interrogatifs
« Symboles incomplets » au contenu lexical réduit à la notion de personne ou de chose et dont
le sens consiste à demander l’identification du ou des référents vérifiants et ces notions
générales et ce qu’en dit le reste de la phrase interrogative. Ce sont les PN qui introduisent les
phrases interrogatives directes, et les subordonnées interrogatives
les formes simples servent à interroger sur l’identité supposée inconnue de leur référent ;
ainsi, elles ne sont jms marquées en genre ou en nombre.
Chacune des formes simples est doublée d’une forme renforcée qui lui ajoute l’élément est-
ce qui / est ce que
Formes composées sont les mêmes que celles du PN relatif, elles sont formées de l’article
défini et du déterminant interrogatif quel. Elles sont variables en genre et en nombre, se
contractent avec les prépositions à et de
Les pronoms relatifs
Introducteurs de propositions relatives
Formes simples ne marquent ni l’opposition du genre ni celle du nombre
Formes composées lequel, laquelle, lesquels, duquel, desquels, auquel…sont les mêmes que
celles des pronoms interrogatifs.