Les membres du jury.
«Encyclopédie, jeux et crayons de couleurs», a dévoilé la maman de l'un des petits, qui n'a pu attendre jusqu'à
la fin de la cérémonie pour déballer le paquet cadeau. Les autres dessinateurs en herbe n'étaient pas moins
excités. Dans leur fauteuil, serrant leurs cadeaux contre la poitrine, ils avaient la bougeotte. Ce n'est pas tous
les jours qu'on les honore ainsi sous le regard jaloux de leurs camarades.
Rachid Ben Jemia remet un lauréat d'honneur à Foued Hamdi, l'éducateur exemplaire.
Avant que le jury des «Lauriers Hayett pour l'Enfant» – composé de la journaliste Samia Harar, Kaouthar Attia
Ridene, responsable marketing et communication des assurances Comar/Hayett, Mohamed Mokhtar Louzir,
producteur, auteur, metteur en scène à la Télévision nationale, ancien chef de service des programmes pour
enfants à l'ERTT et enseignant à l'ISAD, Ali Ouertani, chirurgien-dentiste, poète et critique culturel à ses
heures, et Ghazi Abroug, conseiller principal en orientation scolaire et universitaire chargé de l'écoute en
milieu scolaire et, surtout, poète – ne rende son verdict, les organisateurs ont rendu hommage à Foued Hamdi.
C'est l'enseignant vedette, qui a métamorphosé l'école Hedi Khelil à Bousalem dont il est le directeur, en la
transformant en un lieu convivial d'apprentissage, mais aussi d'art et de culture.