Il faut bien distinguer entre la logique comme discipline qui produit

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Cours 10 du 21 novembre 2005; Stengers.
Question d’un élève :
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philo et science chez Deleuze ?
Stengers : ok. Comme ça c’est un gros truc, vous aviez aussi une question ?
Question d’un élève : je crois qu’à la dernière leçon, vous aviez dit que le propre de la
philosophie analytique est de produire des propositions consensuelles, et j’aurai voulu savoir
ce que vous entendiez par là.
Stengers : aha. Aimez-vous la philosophie analytique ?
Elève : ben euh, bon, je ne sais pas ce que vous entendez par philosophie analytique, mais ce
que, je pensais pe à Saul Kripke, je ne sais pas, ce sont des propositions de logique
extrêmement pointues, je ne comprends même pas la question qui est traitée. Donc en quel
sens s’agit-il de propositions consensuelles ?
Stengers : donc faut bien distinguer entre la logique comme discipline, qui produit des
propositions aussi pointues que l’on veut, et la philosophie. Et c’est dans l’entre-deux, enfin
dans le passage de l’un à l’autre que se situe la mise en question, voir même l’accusation
après je reviendrai sur les fonctions et les concepts que se produit l’accusation de Deleuze.
Donc, tant qu’on a des propositions logiques en tant que logique extrêmement pointue et
qu’on est dans le calcul logique, …
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ou autre, il y a pas de problème, c’est de la logique. Si on
est dans la logique, on fait de la logique, et la logique peut être une pratique en elle-même.
C’est plutôt une branche des mathématiques. Il y a un endroit d’ailleurs Deleuze a dit le
point dans l’histoire de la pensée, au sens où elle n’est pas pensée logique mais pensée d’autre
chose, où la logique était à son aise, c’était la théologie.
Pourquoi, parce que elle est problème de théologie dans la mesure ils mettent en
scène Dieu, peuvent mettre en scène on pourrait dire des expériences de pensée qui ont la
radicalité du type de pouvoir qu’on prête à Dieu. La question de la grâce, et toute une série
d’autres questions mettant en scène la toute puissance du créateur, sont des questions qui en
fait et c’est une des dimensions de la philosophie scolastique – peuvent entraîner des
aventures de type logico-philosophique. En théologie, et en théologie médiéval notamment,
lorsque la question de la connaissance et celle de la création peuvent être mises en
communication directe, c’est un des points vous pouvez trouver, selon Deleuze, et je
trouve que c’est assez bien trouvé, une mise en problème logique, non consensuelle, mais liée
justement.
Tandis qu’ailleurs, quand je disais consensuelle, et donc pour ceux que la philosophie
du moyen âge intéresse, qu’ils ne s’étonnent pas de trouver là un mariage entre la logique et la
pensée, mais qu’ils voient bien que c’est le propre de la théologie.
En ce qui concerne la philosophie analytique non théologique, j’ai donné un exemple
de proposition consensuelle, un peu commun : je vois cette table, je vois là une pierre grise
(grise de préférence), ce n’est qu’une des modalités du consensus. On peut aussi faire
consensus avec des expériences de pensée. Et l’expérience de pensée en philosophie
analytique est tout à fait singulière de ce point de vue là, ça n’a pas grand chose à voir avec
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Ndrt :inaudible
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Ndrt :inaudible
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l’expérience de pensée en physique. Quoique les deux portent le même terme, la même
signification.
Il me semble qu’en philosophie analytique, ce qu’on appelle une expérience de pensée
soit la chambre chinoise d’Husserl ou tant d’autres expériences de pensées célèbres, sont
pour fabriquer une situation radicalement discursive. L’ensemble des questions qui sont
posables sont déterminées par la description de la situation. Dans la chambre d’Husserl, nous
ne savons pas ce qui a amené cet humain dans cette chambre. Nous ne savons pas ce qu’il
cherche, nous ne savons rien que, et c’est tout ce que nous avons à savoir, la définition de
cette situation. Elle est donc absolument et littéralement discursive. Elle a quelque chose de
théologique de ce point de vue là. Et c’est en cela qu’elle fait consensus, c’est à dire qu’elle
rassemble, que d’abord elle rassemble sur un mode bien déterminé avant de pouvoir engager
la discussion à propos de ce qui d’abord a rassemblé.
Elève : mais en même temps, peut-être qu’un philosophe analytique ne serait pas tout à fait en
désaccord, dans ce sens que justement il dirait que le propre de la philosophie est de traiter de
problèmes discursifs.
Stengers :Ben oui ! C’est exactement, et j’en reviens alors à ce que Deleuze conteste, l’un des
premiers énoncé à propos des concepts dans « Qu’est ce que la philosophie ? », c’est bien
bizarre, c’est un concept n’est pas discursif. C’est à dire que bien évidemment, la philosophie
selon Deleuze est le concept, travaille avec le langage. Les philosophes, qu’est ce qu’ils font ?
Ils écrivent, parfois ils parlent mais on peut dire que l’écriture est un des vecteurs de la
philosophie, un des points de la philosophie, lire et écrire. Par contre, c’est pourtant pas
discursif. Ca a l’air paradoxal, mais tout ce qui en passe par le langage n’est pas néanmoins
discursif, au sens discursif ça veut non seulement dire que l’on en passe par le langage ou
l’écriture, mais que c’est ce qu’admet le langage qui fait loi, qui fait règle.
Le discursif fait allusion à l’idéal d’une langue commune, d’une langue où on sait ce
que l’on dit. Une langue entre le dire et le vouloir-dire, la conséquence n’est jamais
transparente mais elle dans une approximation dont l’idéal serait la transparence. Le
philosophe écrivant à la Deleuze dirait « mais comment est ce que je sais ce que je veux dire,
tant que je ne l’ai pas dit ou écris. Tant que l’écriture et le travail de l’écriture ne me l’a pas
fait reproduire. », et on est dans un rapport qui n’a de sens qu’avec le langage, et
néanmoins, je veux dire que ça cesse d’être discursif au sens d’un énoncé que l’on peut
comprendre à partir de sa signification.
Donc un concept c’est justement quelque chose qui nous désigne comme être, fabriqué
par le langage et par l écriture. Mais l’aventure des concepts porte à l’une de ces limites,
l’aventure d’une fabrication dont le langage ne dit pas ce qu’elle est.
Ca peut avoir l’air mystique mais quand vous écrirez un texte qui vous tient un peu à
cœur, vous saurez quelque chose de ce à quoi on ne peut faire qu’allusion.
Lorsque vous écrirez un texte vous saurez que c’est le trajet même du texte qui vous a
rendu capable de produire une idée ou une manière de voir, de penser quelque chose qui ne
préexistait pas, que vous saurez que ça n’a rien de psychologique, au sens « j’y ai simplement
pensé maintenant », quand vous saurez que c’est le travail de l’écriture auquel vous êtes
redevable de cette production, alors vous saurez qu’écrire n’est pas une activité discursive.
Aussi curieusement et aussi peu mystiquement que ce soit, et je dirai que le propre de
ce que Deleuze fabrique avec les concepts et aussi avec les fonctions et de ce que j’essaie de
faire avec les pratiques, c’est justement d’aller aussi proche que possible d’une zone qu’on
dirait mystique au sens où tout ce qui échappe à la discursivité serait de l’ordre de la mystique
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ou de l’ineffable. NON, il ne s’agit justement pas de mystique, dans la pratique. Parce que la
question est justement l’ensemble des dispositifs pratiques qui rendent capable de certaines
aventures.
De certaines aventures qui d’une manière ou d’une autre se solderont souvent par du
langage, quoique dans les pratiques artistiques, ça ne se solde pas forcément par du langage
du tout. Mais de rendre compte aux de certaines pratiques, de certaines aventure au sens
ces aventures impliquent toute (et c’est leur trait commun ), elles impliquent toutes un double
aspect. Un double aspect que je vais dire tout de suite: une manière très concrète et assez
décontenançante d’envisager un énoncé qui est d’ailleurs le titre du bouquin de Nathan “Nous
ne sommes pas seul au monde”, c’est à dire qu’une pratique ce n’est pas la production d’un
individu, d’un humain. Les pratiques ne sont pas humaines, ce qui ne signifie pas q’elles sont
inhumaines, mais elles traduisent le couplage de ce que nous appelons un humain avec
quelque chose d’autre, y compris avec l’écriture. Nous ne produisons pas de l’écriture comme
un arbre produit de la sèvre, quoi que nous en savons très peu sur que c’est la production de
sèvre par un arbre. Peut-être que c’est beaucoup plus mystérieux que ça, mais je prend le
terme de l’opposition au sens où certains ont dit parfois que la pensée était au cerveau comme
une sécretion était à la glande.
Non. Nous ne produisons pas. La pratique exhibe le fait que nous ne produisons pas de
la pensée ou quoi que ce soit qui soit de l’ordre de la pratique comme une glande produit
une sécretion.
Il y a un couplage, il y a quelque chose que Deleuze d’ailleurs appelle, dans d’autre cas,
parce qu’ils sont plus fluides, un agencement, quelque chose qui ne désigne pas la personne
au sens elle serait proprement humaine, l’humain en tant qu’humain. Il s’agit et c’est
pour ça que j’aime le terme du “praticien” en tant que praticien et c’est toujours telle ou
telle pratique.
Elève : cela se rapproche du [socus] de Deleuze, ou ?
Stengers : ça peut. Tout est rapprochable, mais il faudrait que vous payiez plus pour que les
autres comprennent ce qu’est socus et que je comprenne ce à quoi vous faites allusion avec le
terme.
Elève : je ne vais pas me lancer dans le débat.
Autre élève :
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de la discursivité que Deleuze évacue au profit de la digressivité, il me
semble, est ce que vous pouvez expliquer ce à quoi il veut en venir quand il dit que la
philosophie n’est pas discursive, qu’elle est plutôt digressive ? Parce qu’il me semble qu’il
garde un peu ces deux termes en opposition.
Stengers :Il lui arrive de les mettre en opposition mais ça ne vaut pas comme une opposition,
parce qu’il y a très peu d’opposition. Et à ce moment-là il a dit disgressive au sens
justement qu’est ce que c’est une disgression. Et à propos, ça devient parfois pour certains
auteurs des notes en bas de page qui n’en finissent pas, c’est-à-dire c’est l’événement qui fait
faire un zig zag. Parfois ça devient trop difficile à refabriquer dans un text,e parce que l’on ne
peut pas faire trop de zig zag dans un texte. Le texte il s’est produit en zig zag, et après il faut
essayer de retrouver quelque chose qui se rapproche plus de la discursivité, simplement parce
que on négocie toujours avec un lecteurn et on ne peut pas lui demander, le zig zag ne peut
pas être commandé par le texte, il doit être suscité par le texte, donc c’est tout un travail
d’apprivoisement avec sa propre production de texte. Si on dit « le zig zag, c’est la
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Ndrt :inaudible
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philosophie, je vais faire zig zaguer les lecteurs », on vient de changer de sens. On vient de
changer de sens du zig zag parce qu’il devient impérieux, à prendre ou à laisser. Non, il faut
espérer et en appeler à la capacité propre du lecteur à zig zaguer, à faire ses propres
digressions, mais tout texte de philosophie est dans la digression, c’est-à-dire dans le zig
zag qui caractérise pour Deleuze le balais de sorcière. Et pourquoi ? Justement, parce que un
concept suscite ou rencontre, ou se trouve, ou produit souvent une proximité qui est de l’ordre
de l’événement avec d’autres concepts. Alors que la discursivité est plutôt d’ordre linéaire. Le
trajet conceptuel rencontre et suscite à la fois une proximité, et ça c’est un terme très
deleuzien, qui rend perceptible quelque chose qui ne préexistait pas. Et ça peut être un
presque rien, ce quelque chose qui ne préexiste pas. Ca peut être une liaison qu’on a en fait
déjà rencontrée, mais qui est renouvelé d’être suscité là.
Une des choses que Deleuze a dit et redit et re-redit dans « Mille plateaux », pour vous dire
que ce n’est pas un appel à « zigzaguons joyeusement », et ça c’est exactement l’une des
obligations peut-être, sur laquelle il insiste pour tous les travaux qui sont de l’ordre de la
création en tant que tel, c’est sobriété. Ca zig zague peut être drôlement, mais pas d’ivresse du
zig zag.
C’est sa grande et célèbre scène qu’il reprend je crois à Henri Miller, le trip (le trip, au
sens psychédélique, mais à l’eau pure) c’est à dire ne pas en rajouter une tension entre le zig
zag et la sobriété. C’est normal, et cela être non pas maîtrisé, mais apprivoisé.
La figure du zig zag était très intéressante, très importante chez Deleuze, mais je crois que le
propre des concepts (mais je vais pas vous donner toute la description conceptuelle que l’on
trouve dans « Qu’est ce que la philosophie ? »), mais toute la complexité de cette discussion
vient de ce que tout à la fois on peut dire d’un concept qu’il a des composantes internes qui
sont des concepts, mais aussi qu’il est en voisinage externe avec d’autres concepts. Et que la
dimension de ce qui lui est intérieur et de ce qui lui est extérieur n’est pas une identité, comme
en pourrait dire un vivant. Le vivant a on pourrait dire une espèce de milieu interne, et un
milieu externe, plus d’autre milieux d’ailleurs.
Mais ici la question n’est pas là, selon le trajet par on le rencontre, ce qui était
composante intérieure peut devenir composante extérieure. Et c’est qu’on a affaire à une
disgression. C’est à dire que ce qui était composante intérieure se connecte pour son propre
compte avec d’autres concepts. Et donc c’est vrai, et c’est en cela que le travail conceptuel
n’est pas discursif et qu’il a quelque chose à voir aussi avec le travail d’apprivoisement.
Qu’est-ce que ce « approchez avec prudence » ? et la question de la prudence, de la
prudence nécessaire, est l’un des maîtres mot de « Mille plateaux », et aussi de « Qu’est ce
que la philosophie ? ». Il parle de moyen dangereux, on peut délirer avec les concepts, et
Deleuze a vu plus qu’à son tour des étudiants se mettre à délirer avec les concepts, c’est-à-dire
se laisser emporter par cette puissance au lieu de négocier avec elle.
Balais de sorcière, d’accord, mais même un balais de sorcière on apprend à le conduire.
Donc je crois que « Mille plateaux » est aussi quelque part un texte on pourrait dire d’après
coup, après coup de « l »Anti-Œdipe », qui n’avait pas pris beaucoup de précaution. Et de ce
qu’a pu produire de « l’Anti-Œdipe », d’enthousiasme délirant, d’identification entre la
pensée et le délire. Mais le délire, c’est là où le concept prend le dessus, et c’est quelque chose
que l’on retrouve, je voulais vous le dire beaucoup plus tard, mais que l’on retrouve dans
toutes les pensées dites primitives on sait cultiver et accueillir des êtres, ou des invisibles,
eh ben c’est qu’il s’agit d’apprendre à les accueillir et à les nourrir parce que sinon ils vous
dévorent. Et ne pas se faire dévorer par les concepts qu’on est en train de produire est une des
questions du métier, en quoi c’est une pratique.
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Bon, donc le concept ne se réfère à rien, en fait. Mais son mode d’existence réfère à
l’efficace du mouvement de pensée qu’il suscite et qui le suscite. Le concept et le penseur se
co-créent.
C’est ce qui se dit souvent dans « Qu’est-ce que la philosophie ? », autopositionnement du
concept. Il s’auto-produit au sens on ne peut pas dire « eh bien, sa production reflète ou
traduit un état de chose. Tandis que la fonction, au sens scientifique du terme, se réfère à un
état de chose.
Donc je viens là à la différence entre concept et science.
La fonction, elle se réfère à un état de chose, et pourtant les sciences sont decrites par Deleuze
et Guattari comme elles aussi créations. Il faut en conclure que tant l’état de chose que la
fonction sont créés, sont co-créés.
Il n’y a pas d’abord, et c’est bien la différence avec ce que j’appelais les fonctions, les
états de chose consensuelles : il n’y a pas d’abord un état de chose consensuelle qui s’exprime
par une fonction. On en trouve, et pas seulement, vous savez, en logique, je me souviens que
quand je travaillais chez Prigogine, mon rôle comme fou du roi ou philosophe maison ou tout
ce que vous voulez, était parfois de prendre en main, après que Prigogine les ait reçu
aimablement pendant dix minutes, des écologistes, des historiens, enfin des généralistes de
toutes sortes se rendaient chez lui comme on se rend à la Mecque, pour lui présenter leurs
idées. Et après que Prigogine ait rapidement vu que ça ne l’intéressait absolument pas, c’était
à moi de passer au moins deux heures pour leur valoir leur voyage, et essayer et c’est là que
j’ai appris ce qui sera l’un des thèmes de ce cours, que j’ai appris disons par une certaine
diplomatie (parce que ça je lierai à la guerre) mais un certain tact, comment aimablement faire
exister le fait que la ressemblance était fausse. Et qu’est ce qui était le cas le plus typique ?
C’était un historien par exemple qui expliquerait que l’état en un instant donné de la ville est
fonction de et puis suivait un nombre de variables tatatattataat avec des petits points indéfinis,
virgule t, virgule le temps. Eh bien on peut dire que on a quelque chose qui est de l’allure
d’une fonction, mais une fonction sans articulation. Les variables sont en nombre indéfini, il
n’y a aucune garantie que ces variables qui sont nommées sont indépendantes, elles sont
quelconques, ce sont des variables purement descriptives, alors qu’une vraie fonction, enfin
une fonction qui vaut la peine et qui va se référer de manière non triviale à un état de chose
qui lui non plus n’est pas consensuel, une fonction au sens fort de ce terme, articule des
variables. Et prend le risque de désigner ces variables comme celles qui sont nécessaires pour
définir l’état de choses, et en plus qui sont indépendantes. Puisque la fonction aura pour
fonctionnement de dériver les valeurs des variables dépendantes des valeurs des variables
indépendantes.
Donc ca veut dire qu’une fonction ce n’est pas simplement qu’une description,
formalisée vaguement au sens d’allure mathématique. Et ça veut dire que l’état de choses
n’est effectivement pas quelque chose que l’on rencontre comme ça dans le vaste monde. Il y
a co-création de la fonction et de l’état de chose au sens cet état de chose, sa définition, la
possibilité de le définir est un événement, est une réussite. Les astronomes peuvent définir
l’état de chose qui correspond au système solaire. C'est-à-dire que la fonction, quelles sont les
variables indépendantes et comment sont elles articulées pour produire d’autres aspects de la
description, est bien définie. Par contre, et c’est quelque chose que je vous ai dit, nous avons
beau penser en bon matérialiste que dans la boite crânienne il y a des neurones avec des
synapses en folie et des hormones pu isque nous sommes passés du cerveau sec, électrique
au cerveau humide plein d’hormones qui eux, comme disait …
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je crois, alors que les synapses
sont d’un adresseur à un destinataire, même s’il y en a beaucoup, c’est toujours d’un point à
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Ndrt :inaudible
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