Le Carré Magique SATURNE Deux figures qui n`en forment qu`UNE

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Le Carré Magique
SATURNE
Deux figures qui n’en forment qu’UNE. D’un côté le Carré Magique de 3 et de l’autre le
Fanoron-telo.
Le Fanoron-Telo, d’origine malgache, fait apparaître les lignes qui relient les neuf premiers
chiffres entre eux. Le Carré Magique de 3 est une disposition de ces neuf chiffres, telle que la
somme des lignes – verticales, horizontales ou diagonales, donne toujours le même résultat
appelé constante du Carré par les mathématiciens. Ici il est égal à 15.
En Chine ce Carré Magique est lié au nom de Yu le Grand, premier empereur de la dynastie
Xia, 2205 ans avant J.C selon la chronologie traditionnelle. Mais en Europe on l’appelle Carré
de Saturne et cette désignation est particulièrement IMPORTANTE car elle relie ce carré à un
autre Carré Magique du même nom : Le Carré SATOR, en partant de l’idée que SATURNE et
SATOR, étymologiquement, sont le même mot.
Si nous contrôlons par le Nombre, le recoupement est donné puisque Le Fanorona, telo =
153, soit 135 = Le Carré SATOR, en valeurs inversées ! Or, ce lien est d’autant plus
intéressant que l’un et l’autre donne la clef du français, nous voulons dire la clef du Verbe et
de son contrôle par le Nombre.
En effet, si nous regardons attentivement le tracé du Fanoron-Telo, nous verrons qu’il
contient le tracé des 26 lettres de l’alphabet français ainsi que celui des neuf premiers chiffres
qui en permettent le contrôle. ( Figure 1 )
Aussi, ce n’est pas un hasard si Le Carré de SATURNE = 161 = LES 26 LETTRES,
puisqu’il en dissimule les formes actuelles !
Mais allons plus loin.
En disposant les neuf premiers chiffres suivant l’ordre naturel, nous parvenons, aux termes
de quelques calculs, aux résultats suivants :
1
2
3
= 6 = 6
4
5
6
= 15 = 6
7
8
9
= 24 = 6
---12 + 15 + 18
= 3,6,9
[ 369 + 666 = 1035 ]
Nous savons que 1035 ou 135 est la grande arcane du contrôle du Verbe par le Nombre. Ici
nous découvrons qu’il est la clef du Carré Magique de 3 puisqu’il ressort directement de sa
structure.
Le Total de 1 à 9 = 1+ 2 + 3 + 4… = 45. La Figure qui exprime ce DEVELOPPEMENT
des neuf premiers chiffres, nous l’avons cherché et nous l’avons trouvé. Le voici :
Le Fanoron-Tsivy
Un seul Peuple au monde l’a découvert, les Malgaches qui lui donne le nom de FanoronTsivy. Ils jouent dessus et le Jeu en question est souvent comparé au Jeu des Dames bien qu’il
se rapproche plus dans le fond aux Echecs.
Or donc, en approfondissant, nous avons découvert que pour les sages de ce Peuple, ce
tracé est également une représentation symbolique de l’Univers, une image à la fois cellulaire
de la Vie et de ses ensembles.
Chaque joueur dispose de 22 pions comme il est indiqué dans la figure ci-dessus. Et il est
dit que ces 22 pions représentent les 22 pierres grâce auxquels le Créateur a mis la Création
sur pieds.
L’emplacement vide au centre, où s’effectue le premier mouvement du Jeu, symbolise
l’origine de la Vie, des être et des choses. Le vide est la meilleure image que l’on puisse
attribuer à cette Origine car à son propos, rien ne peut être dit. Elle est absolument Indéfinie et
Indéfinissable selon la sagesse ancestrale malgache.
Dans la Cabale juive on l’appelle En-Sof : Néant et dans les manuscrits sacrés hindous :
Brahmane : le Rien Absolu. Son Nom dans le Jeu de Fanorona est LAKA-BE : la Grande
Intersection.
Dans le même ordre d’idées mais sous un autre angle, le vide c’est aussi l’inmanifesté.
Toutes choses existent dans l’inmanifesté avant de surgir dans le manifesté. Toutes semences
végétales, animales ou humaines, se forment d’abord dans l’invisible, dans le noir d’une
Matrice avant de naître dans le visible, à la lumière du jour.
Ainsi, le vide qui domine au centre du tracé du Fanoron-Tsivy est aussi le Grand symbole
du Principe de la Vie, de l’X algébrique qui précède à l’acte de la Création.
Si nous contrôlons par le Nombre, nous remarquerons le numéro qui lui correspond sur le
tracé est 23 ( en effet, si la somme de 1 à 45 donne 1035, 1035/45 = 23 ). Or, justement
DEUX TROIS = 135 = DIEU EST LE UN.
En recoupement, l’anagramme de LAKABE donne KABALE, étant évident que si Dieu est
Verbe, la KABALE qui désigne la science du Verbe doit porter son Nom. Si nous mettons
l’article : LA KABALE = 45, somme de 1 à 45 = 1035, nous retrouvons de nouveau la
Nombre Clef Unitaire 135 !
Ainsi, qu’il s’agisse du Carré Magique de 3 ou de sa forme développée – le Fanoron-Tsivy,
le constant est le même : toutes les clefs du Verbe et de son contrôle par le Nombre sont
contenus dans ce symbole comme en l’un de ces miroirs concaves qu’affectionnaient les
peintres de Jadis et dans lesquels on voit se mirer, avec une netteté parfaite, l’envers d’un
monde intérieur tout à fait inattendu.
Devant ces coïncidences rationnelles et irrationnelles, toute intelligence honnête est
contraint d’admettre que la pensée humaine comme la Création sont soumises à la seule
Volonté du Créateur. Le phénomène de cette imposition subtile mais réelle, s’appelle le
Verbe, c’est l’Esprit de Dieu en Manifestation dans la langue et les mots par la voie de
l’inspiration. ( Dieu Est Verbe = 135 ).
Que le Verbe fasse correspondre la langue française à un symbole aussi étranger de cette
dernière que le Fanoron-Tsivy, ne doit pas étonner car il est Maître Absolu des Alphabets et il
joue naturellement avec le Temps et l’Espace. Il est l’Esprit, il souffle où il veut, quand il
veut, indépendamment de nos conceptions de la Vie et de notre logique limité, dirigé dans un
seul sens du Temps.
Evidemment, il y a encore beaucoup à dire sur ce Fanoron-Tsivy - comme par exemple que
les trois grands losanges, symbolisent les trois Ile centrales de notre Univers et aussi le
DIEUX-TRI, mais nous n’avons voulu donner ici qu’un aperçu sur lequel tous les chercheurs
sincères sont invités à se pencher et travailler.
Pour l’heure, nous continuons nos recherches, faisant notre cette pensée de Daqqäq, un
mystique musulman, du X° siècle : « La joie de chercher est supérieure à la satisfaction de
trouver parce que l’espoir subsiste ». Et méditant sans la faire nôtre, la parole de G.E. Lessing,
ce pieux incrédule du XVIII° siècle qui disait « préférer l’enfer du chercheur au paradis
statique du dogmatique ».
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