
Si nous contrôlons par le Nombre, nous remarquerons le numéro qui lui correspond sur le
tracé est 23 ( en effet, si la somme de 1 à 45 donne 1035, 1035/45 = 23 ). Or, justement
DEUX TROIS = 135 = DIEU EST LE UN.
En recoupement, l’anagramme de LAKABE donne KABALE, étant évident que si Dieu est
Verbe, la KABALE qui désigne la science du Verbe doit porter son Nom. Si nous mettons
l’article : LA KABALE = 45, somme de 1 à 45 = 1035, nous retrouvons de nouveau la
Nombre Clef Unitaire 135 !
Ainsi, qu’il s’agisse du Carré Magique de 3 ou de sa forme développée – le Fanoron-Tsivy,
le constant est le même : toutes les clefs du Verbe et de son contrôle par le Nombre sont
contenus dans ce symbole comme en l’un de ces miroirs concaves qu’affectionnaient les
peintres de Jadis et dans lesquels on voit se mirer, avec une netteté parfaite, l’envers d’un
monde intérieur tout à fait inattendu.
Devant ces coïncidences rationnelles et irrationnelles, toute intelligence honnête est
contraint d’admettre que la pensée humaine comme la Création sont soumises à la seule
Volonté du Créateur. Le phénomène de cette imposition subtile mais réelle, s’appelle le
Verbe, c’est l’Esprit de Dieu en Manifestation dans la langue et les mots par la voie de
l’inspiration. ( Dieu Est Verbe = 135 ).
Que le Verbe fasse correspondre la langue française à un symbole aussi étranger de cette
dernière que le Fanoron-Tsivy, ne doit pas étonner car il est Maître Absolu des Alphabets et il
joue naturellement avec le Temps et l’Espace. Il est l’Esprit, il souffle où il veut, quand il
veut, indépendamment de nos conceptions de la Vie et de notre logique limité, dirigé dans un
seul sens du Temps.
Evidemment, il y a encore beaucoup à dire sur ce Fanoron-Tsivy - comme par exemple que
les trois grands losanges, symbolisent les trois Ile centrales de notre Univers et aussi le
DIEUX-TRI, mais nous n’avons voulu donner ici qu’un aperçu sur lequel tous les chercheurs
sincères sont invités à se pencher et travailler.
Pour l’heure, nous continuons nos recherches, faisant notre cette pensée de Daqqäq, un
mystique musulman, du X° siècle : « La joie de chercher est supérieure à la satisfaction de
trouver parce que l’espoir subsiste ». Et méditant sans la faire nôtre, la parole de G.E. Lessing,
ce pieux incrédule du XVIII° siècle qui disait « préférer l’enfer du chercheur au paradis
statique du dogmatique ».