La photorespiration se déroule en même temps que la photosynthèse et a la lumière. Elle se traduit
Par une consommation d’o2 et un degagement de CO2. Le cycle se déroule dans 3 compartiments
cellulaires différents : chloroplastes peroxysomes et mitochondries.
1) Dans le chloroplastes : en présence d’oxygène moléculaire, la rubisco catalyse l’oxydation du
ribulose 1,5 biphosphate en phosphoglycérate (C3) et en phosphoglycolate (C2). Le
phosphoclycérate est déphosphorylé en glycolate, et il migre dans les peroxysomes. ceux-ci
sont etroitement accolés au cloroplastre. A ce niveau, le glycolate est oxydé en glyoxylate. Il
y a production de peroxyde d’hydrogene (eau oxygénée = toxique). Ce produit sera
décomponsé par la catalase. Le glyoxylate est alors converti en glycine. La glycine migre dans
les mitchondries.
2) Dans les mitochondries : deux molécules de glycine produisent une molécule de céryne, une
molécule de CO2 et une molécule d’ammoniac NH3. La céryne retourne dans le peroxysome
où elle est convertie en hydroxyde pyruvate.l’hydroxyde pyruvate est réduit en glycérate. Le
glycérate est ensuite phosphorylé soit dans le cytoplasme soit dans le stroma du
chloroplaste.
L’ammoniac produit par la mitochondrie peut être récupérée de deux façons : soit en étant
transformée en glutamate lequel retourne au peroxysome, soit par synthèse de la glutamine dans le
cytoplasme avec formation de deux glutamate. Ce second système est plus efficace que le 1er car la
production d’ammoniac (NH3) par la photorespiration est très importante.
Energie nécessaire à la photorespiration : la photorespiration consomme beaucoup d’énergie. Elle
semble être une reaction inutile. Elle détourne une partie du pouvoir réducteur formé au cours des
réactions lumineuses. Elle n’est pas accompagnée de phosphorylation oxydative (respiration
mitochondriale). Elle est active chez les végétaux en c3 et elle peut inhiber la formation nette de
biomasse de plus de 50%
Stratégies adoptées par quelques plantes pour supprimer la photorespiration.
I) introduction
pour diminuer les effets négatifs de l’activité oxygénase de la rubisco, il faudrait augmenter la
concentration en CO2. Plsuieurs groupes de plantes possèdent des mécansimes spécialisés au niveau
des sites de carboxylation. Ceci diminue l’activité oxygénase et supprime la photorespiration. Les
plantes en C4 ne présentent pas de photorespiration mesurable. Les cellules du mésophile ne
possèdent pas de rubisco. Elles contiennent des enzymes spécialisées insensibles à l’oxygène qui
incorporent le CO2 dans des acides en C4. Ces acides sont transportés vers les cellules du
parenchyme de la gaine périvasculaire qui entoure le faiseau conducteur. Ces cellules possèdent des
mécanismes qui décarboxyle ces acides et liberent le CO2. Elles possèdent également toutes les
enzymes du cycle de calvin des plantes en C3 y compris la rubisco. Le mécanisme d’incorporation du
CO2 des cellules du mésophyle dans des acides est un moyen d’apporter ce cO2 a des concentrations
plus fortes aux cellules de la gaine perivasculaire où la rubisco est localisée.
??? pour la canne a sucre, après 15 secondes de pulse, la radioactivité est retrouvée dans le malate
et dans l’aspartate,( puis dans l’acide 3 phsophoglycérique ?). les exosephosphates peut marquée au
debut de l’incoporation voient leur marquage augmenté après 60 secondes avant de décliner.
Les cellules photosynthétiques des plantes en C4 sont de deux types avec des cloroplaste
différents. Les cloroplastres des cellules du mésophylle sont capables de réaliser une photosynthèse
acyclique avec production d’atp et de NADPH et libération d’oxygène. Elle ne possèdent pas de
rubisco et ne font pas l’incorporation du CO2 en C3. Elles sont riches en phosphoenolpyrubate
carboxylase. Les clhoroplastres de la gaine perivasculaire possede peu de photosystème II et
réalisent la photosynthèse cyclique sans production d’oxygène. Elles contiennent la rubisco qui … ??
ces deux types cellulaires sont voisins et communiquent entre eux par des plasmodesmes.
L’incorporation du CO2 est réalisé dans le cytoplasme des cellules du mésophylle par la PEPC.
L’accepteur du CO2 est le phosphoenol pyruvate. Il est regenéré par un cycle de réaction qui se