→ Mise en évidence de l’adaptation aux faibles éclairements
Expérience diapos opaques perforées de trous fins. Éteindre brusquement la lumière → il
faut un certain temps avant de voir les points lumineux.
Lors du passage d’une zone éclairée à une zone sombre, il faut un certain temps d’adaptation
avant de pouvoir voir à nouveau correctement.
Même expérience pour mettre en évidence la différence entre les cônes et les bâtonnets…
Utilisation de filtres colorés… (ne marche pas terrible)
Les photorécepteurs possèdent des molécules de pigment photosensible responsable de la
détection des radiations lumineuses. Ces récepteurs sont de deux types :cônes et bâtonnets.
Leur répartition est variable suivant les endroits de la rétine.
→ Acuité visuelle (transparent graphe p112 Neurophysiologie Richard Orsal) + répartition…
→ Expérience de persistance des images rétiniennes (Non faite)
→ Transparent différents types de cônes
Les bâtonnets sont les cellules photoréceptrices fonctionnelles en faible éclairement. La rétine
humaine comprend trois types de cônes, chacun présente un maximum de sensibilité pour une
longueur d’onde donnée. Il s participent à la vision des couleurs mais sont beaucoup moins
sensibles à la lumière que les bâtonnets.
→ Fatigue récepteurs rétiniens. Transparent 30 s puis enlever → couleurs complémentaires :
La lumière colorée a provoqué par excitation soutenue, la fatigue des éléments rétiniens sen-
sibles à ces radiations. Lorsqu’on revient en lumière blanche, ces récepteurs ne réagissent
pas instantanément et ce sont ceux sensibles à l’autre partie du spectre lumineux qui fonc-
tionnent normalement et donne l’impression d’une image aux couleurs complémentaires.
→ Expérience lettres pour myopes et hypermétropes (rayonnement rouge moins réfracté)
QUATRIEME COURS : SAMEDI 21 OCTOBRE
→ Correction contrôle
→ Bilan rétine : diapos + transparent Rétine et PET et photocopie rétine + tache aveugle.
C. La naissance du message sensoriel
On peut mesurer de part et d’autre de la
membrane plasmique de toutes les cellules
une différence de potentiel c’est-à-dire une
tension électrique provoquée par une inégale
répartition des charges positives et négatives
entre les milieux intra- et extra-cellulaire. Du
côté extra-cellulaire se trouve une majorité
de charges positives et du côté intra-
cellulaire, une majorité de charges négatives.
En l’absence de stimulation, cette ddp trans-membranaire, variable suivant les cellules, est de
l’ordre de –60 à –70 mV pour les neurones et d’environ –35 mV pour les cellules photo-
réceptrices.