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SANTÉ
1. 1. Le retrait du règlement de la loi 33 qui ouvre la porte à un monopole privé sur la
pratique d’un nombre indéterminé de chirurgies en cliniques privées avec médecins non
participants à la RAMQ. Le resserrement des règles de non-participation des médecins
à la RAMQ et l’enchâssement dans la loi québécoise des grands principes de la Loi
canadienne sur la santé. La fin des contrats entre établissements et cliniques de
médecins non-participants. ;
2. 2. La réduction de l’attente pour les chirurgies, l’augmentation des ressources pour
les soins à domicile des personnes âgées ou vulnérables, l’amélioration de l’accès à un médecin de
famille, l’assurance d’un virage prévention et des services sociaux plus efficaces. ;
3. Un encadrement des agences de placement temporaire et l’élimination des disparités de traitement
fondées sur le statut d’emploi. ;
2. Assurer que 60 % des postes d’infirmières à temps plein dans le réseau public soient des
postes permanents d’ici 2010.
2. Octroyer un boni salarial de 8 000 $ à la fin de chaque année de travail pour les infirmières
qui ont plus de 35 années de services, et qui acceptent de retarder leur retraite.
2. Qui plus est, pour augmenter l’accès à un médecin de famille, le Parti libéral du Québec s’engage à
augmenter le nombre de groupes de médecine familiale en les portant de 178 à 300 — une hausse de
60 %.
2. Inscrire un stage d’observation obligatoire en médecine familiale au cours de la première année
d’études en médecine.
2. Nous investirons davantage afin d’élargir l’offre de services à nos aînés en perte d’autonomie qui
souhaitent vivre à domicile, en résidence privée, ou profiter de ressources intermédiaires.
1. Abroger dès maintenant les dispositions règlementaires de la loi 33 qui
favorisent le développement des cliniques privées.
1. Freiner le développement d’assurance privée duplicative et fermer la porte à la
mixité de la pratique médicale.
2. Compléter le réseau des Groupe de médecine de famille (GMF).
2. Assurer aux GMF l’accès à des ressources de soutien et de professionnels (infirmières, infirmières
praticiennes, nutritionnistes, travailleurs sociaux, inhalothérapeutes, etc.). Cela permettra d’assurer
une meilleure prise en charge et un suivi adéquat des patients, notamment les personnes atteintes de
maladies chroniques.
2. Valoriser la médecine de famille auprès des étudiants de médecine
2. Faciliter l’intégration des diplômés étrangers dans le système de santé par le développement de
formations d’appoint en partenariat avec les universités, les ordres professionnels et les
établissements du réseau.