Qu’est-ce que la liberté au Canda? Peut-on avoir recours au mal pour faire le bien? Lorsqu'on y pense vraiment, est ce que le mal peut être un atout pour recevoir le bien? L’expression ‘‘Un mal pour le bien’’ n’a pas été inventé pour aucune raison. Il y a des instants ou le mal à causer du bien; certaine guerre ont été pour le bien, certaine décision juridique étaient pour le bien et certaine chose ont été dit pour le bien même si c’est mal. Le bien et le mal sont indéfinissables mais une chose est bonne lorsqu’elle contribue au bonheur et au bien-être d’une ou de nombreuses personnes sans infliger de douleur ou de souffrance à qui ce soit. Les concepts n'acquièrent de sens et d'importance qu’en relation avec l’un avec l’autre. De plus, certaines sociétés considèrent le mal comme un complément nécessaire et inévitable au bien. Les philosophes Mencius au IVe siècle avant notre ère, et Siun Tseu, au IIIe siècle avant notre ère, ont proposé un point de vue radicalement différent sur la nature humain. Mencius a écrit: <<La« nature humain est naturellement bonne, de même que la rivière coule dans son lit...>> Si on laisse les gens suivre leurs sentiments (nature originale) ils seront capables de faire le bien. C’est ce qui est dit quand on affirme que la nature humaine est bonne. Si l’être humain fait le mal, ce n’est pas à cause de ce dont il est doté naturellement. L’humanité, la droiture, la bienséance et la sagesse ne sont pas inculquées depuis l’extérieur. Nous les possédons originellement en nous.1 Mais parfois le bien qui est déjà en nous qui nous cause à avoir une bonne nature humaine est la raison pourquoi on peut avoir recours au mal pour faire le bien car il y aura des moments ou le bien cause du mal; même si nous somme de bonne nature. Le mal doit arriver, rien n’est parfait et parfois c’est le mal qu’on cherche pour recevoir le bien. <<Tout être humain désireux de faire le bien le désire précisément parce que sa nature est mauvaise>> -Siun Tseu Le bien et le mal sont des sœurs, ils sont capable d'agir seule mais ensemble ils se complimentent. Un mal pour un mais un bien pour un autre; le bien et le mal sont des opinions car dans des différents moments; des différents jugements vont arriver car notre idée du bien et du mal n’est pas 1 Extrait de la traduction d’un texte de Mencius pareil pour chaque individu sur terre. Il y a des instants ou le mal à causer du bien, juste comme il y a des instants ou le bien va causer du mal. La nature humaine n’est pas nécessairement cibler sur un ou l’autre. Il y a des caractéristique humaine que chacun possède et ces caractéristique nous cause à faire des choix dans certain situation qui va causer du bien pour un et du mal pour un autre. L’éthique vient en jeu lorsque ça vient au choix du bien et du mal; nos valeurs et principes sont aussi au cœur des jugements moraux qu'on porte. Moralement, plusieurs sache que le bien est toujours ce que notre jugement doit entourer, mais est-ce que le bien doit actuellement être votre choix familier? Alors oui nous pouvons avoir recours au mal pour faire le bien, comme humain, nous ne sommes pas ‘‘programmer’’ à seulement vouloir choisir la route du bien et nous savons l’importance que chacune possède dans notre vie. Il y a des moments où il faut faire du mal pour avoir le bien; c’est la vie. Parmi les courants philosophiques présentés en éthique, en esthétique, et en philosophie sociale et politique, lequel se rapproche le plus de mon propre point de vue sur la liberté Parmi les courants philosophiques présentés en éthique, en esthétique, et en philosophie sociale et politique, le courant qui se rapproche le plus de mon propre point de vue sur la liberté est le courant de libéralisme. Le libéralisme est une doctrine de philosophie politique qui affirme la liberté comme principe politique suprême ainsi que son corollaire de responsabilité individuelle, et revendique la limitation du pouvoir du souverain. 2 Le libéralisme se base sur intention que chaque être humain (enfant, adulte, ados, etc.) doit être capable de bénéficier des droits fondamentaux naturels qui précède toute association et qu’aucun pouvoir n’a pas le droit de abuser. Le libéralisme veut limiter les obligations sociales qui ont été imposées par le pouvoir et lorsqu’on pense plus en général; le système social, telles que la morale, au profit du libre choix et de l’intérêt de chaque individu à part des autres. 2 https://fr.wikipedia.org/wik i/Lib%C3%A9ralisme Le courant libéralisme se branche dans le libéralisme économique et le libéralisme politique mais lorsqu'on questionne l’élocution entre les deux branches ont reçoit des réponses variées. Le libéralisme veut que l’être humain célèbre la liberté d’expression et la pratique. Il faut respecter les autres car la liberté d'expression donne le droit à l'individu de s'exprimer différemment de nous. La liberté d'expression n'est pas lorsqu'on se limite aux idées qui nous conviennent, elle est lorsqu’on s’ouvre aux autres et qu’on accepte le fait que chaque personne n’a pas les même idéologie que nous. La tradition libérale dont se réclament les libéraux remonte jusqu'au taoïsme originel en Chine, à Aristote puis aux stoïques en Grèce. Il n'y a pas une école unique du libéralisme, d'autorité ni de fondateur. Il y a par exemple de grandes différences entre Hayek et Aristote, Frédéric Bastiat et Thomas Paine ou John Stuart Mill. Friedrich Hayek écrit ainsi que : « Il n'y a rien dans les principes du libéralisme qui permette d'en faire un dogme immuable; il n'y a pas de règles stables, fixées une fois pour toutes. Il y a un principe fondamental : à savoir que dans la conduite de nos affaires nous devons faire le plus grand usage possible des forces sociales spontanées et recourir le moins possible à la coercition. » point de vue économique.3 Donc, parmi les courants philosophiques présentés en éthique, en esthétique, et en philosophie sociale et politique, le courant qui se rapproche le plus de mon propre point de vue sur la liberté est le courant de la philosophie politique et social; le libéralisme. Certains libéraux, les utilitaristes (par exemple Maurice Allais), sans prendre parti sur les prémisses philosophiques du libéralisme, justifient le libéralisme parce qu'il engendre les organisations sociales les plus efficaces d'un 3http://www.wikiberal.org/w iki/Lib%C3%A9ralisme