File - Hervé de Caritat

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Rapport concernant les données
macroéconomiques de l’Afrique du Sud
DE CARITAT HERVE
1er Master Bio-ingénieur, Cours d’économie internationale
Gembloux Agro-Bio Tech
Mars 2011
Plan
1) Présentation générale de l’Afrique du Sud
3
a. Géographie, climat et nature
3
b. Population et développement humain
4
c. Activité économique
6
d. Contraintes majeures du développement
7
2) Evolution des indicateurs économiques et analyse
8
a. PIB
8
b. inflation, taux d’intérêt et compétitivité
10
c. balances des paiements
11
d. dette extérieure
12
e. taux de chômage
13
3) Diagnostic de la situation économique
15
4) Références
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2
1) Présentation générale de l’Afrique du Sud
a. Géographie, climat et nature
Pays se situant à l’extrémité sud du continent africain, la surface terrestre est
approximativement de 1 214 470 km², ce qui est comparable à deux fois la
superficie de la France et porte l’Afrique du Sud au rang de 25ième plus grand pays
mondial. Ce pays est frontalier au Mozambique, au Zimbabwe, au Botswana et au Swaziland.
Trois capitales se partagent les rôles du Pouvoir Public, Pretoria (capitale administrative), Le
Cap (capitale législative) et Bloemfontein (capitale judiciaire). L’Afrique du Sud comporte
neuf provinces.
Le climat est très variable d’une région à l’autre, dans la région sud-ouest, du Cap, c’est un
climat méditerranéen, au sud-est, un climat subtropical humide, à l’ouest un climat désertique
comprenant le désert de Kalahari et enfin dans les plateaux montagneux du nord, un climat
tropical. La pluralité des climats engendre une grande diversité de faunes et de flores. La côte
non plus n’échappe pas à cette biodiversité sud africaine, elle fait près de 3000 kilomètres de
long. La présence de nombreuses espèces de phoques, de manchots, de baleines et autres
cétacés attirent des millions de touristes chaque année. La préservation de ses habitats est
essentielle à bien des niveaux.
Fig1 : carte de l’Afrique du Sud
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b. Population et développement humain
La population est estimée à 50,1 millions d’habitants et est fort jeune. Ceci est dû
principalement à la propagation du SIDA. Officiellement, près de 18 % de la population est
séropositive ce qui place le pays au 4ième rang des pays les plus touchés par le virus (source :
CIA est.2009).
Le pays est devenu indépendant le 27 avril 1994, après avoir été pendant plusieurs décennies
sous la main mise d’abord de l’Angleterre, puis des Pays-Bas et leur politique de ségrégation
raciale, nommée ‘Apartheid’. C’est depuis devenu une république parlementaire qui eut pour
premier Président, Nelson Mandela. Le Président actuel élu en mai 2009 se nomme Jacob
Zuma. Ce passé explique la diversité culturelle de la société sud-africaine, composée d’une
importante communauté de blancs d’origine européenne venue après la sédentarisation des
nombreux peuples et ethnies présents dans cette région du monde depuis plusieurs siècles.
Actuellement les proportions raciales sont de 79 % de noirs, 9,6 % de blancs (Afrikaners et
Blancs d'origine britannique), 8,9 % de métis (coloured people) et 2,5 % d'asiatiques,
principalement des Indiens. (Source : CIA est.2001) La population noire est divisée en
plusieurs ethnies : Zoulous, Xhosas, peuples Sothos du Nord et Vendas.
Onze langues officielles ont été enregistrées, dont les trois plus importantes sont l’afrikaans,
le zoulou et l’anglais. Les autres sont le ndebele, le pedi, le sotho, le swazi, le tsonga, le
tswana, le venda, le xhosa.
La majorité des croyants sont chrétiens protestants, attestant une fois de plus le passé colonial.
Face à la suprématie de la race blanche, la volonté du gouvernement depuis l’indépendance
est d’augmenter le pourcentage de personnes de couleur dans les administrations publiques et
privées, sans pour autant mettre en péril les relations que l’Afrique du Sud entretient avec les
investisseurs étrangers.
4
Le développement humain est depuis quelques années étudié d’une autre manière que par le
PIB par habitant. Le bien-être qui règne au sein d’un pays ne se résume plus au simple fait
d’avoir une économie nationale forte. L’indice de développement humain tient compte de
trois facteurs, notamment la santé (espérance de vie), l’éducation (niveau d’éducation) et le
revenu. Cet indice place l’Afrique du Sud au 110ième rang mondial, une situation proche de
la moyenne mondiale et néanmoins meilleure que presque la totalité des pays africains. La
population vivant sous le seuil de pauvreté reste quant à elle à 50% (source : CIA est.2000)
Graphe1: IDH, Source: United Nations Office on Drugs and Crime, UNODC (2010)
Quant à l’évolution de la pyramide des âges, il est intéressant de remarquer qu’un changement
est en cours comme on peut le constater sur le Graphe2 et 3. En l’an 2000, la pyramide décrit
une proportion importante de jeunes, comme dans de nombreux pays en voie de
développement. D’après les prévisions, ce ne sera pas le cas en 2030, où la pyramide des âges
s’apparente plutôt à la forme que l’on retrouve dans les pays occidentaux. C'est-à-dire, une
proportion plus faible de jeunes et un nombre plus élevé de personnes âgées.
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Graphe2 : pyramide des âges en 2000
Graphe3 : pyramide des âges en 2030
c. Activité économique
L'Afrique du Sud fait, depuis peu, partie du BRICS, groupe rassemblant les pays émergents
dont l’économie est en forte croissance. Ce groupe de pays comprenant, le Brésil, la Russie,
l’Inde, la Chine et maintenant l’Afrique du Sud, devrait rivaliser à l’avenir avec le PIB total
du G6. L’Afrique du Sud est la première puissance économique du continent africain et son
économie est grandement liée aux minerais tels que l’or, le diamant, le platine, l’uranium et le
charbon. Le pays dispose également de structures bien développées dans les secteurs
financiers, judiciaires, de communication, énergétiques ainsi que dans les infrastructures de
transports. Sans oublier que l’agriculture produisant principalement du maïs, de la laine,
du sucre et puis aussi le tourisme occupent une part non négligeable de l’économie.
Le Graphe4 ci-dessous illustre les proportions des employés dans les grands secteurs
d’activités que sont les services, les industries et l’agriculture. On y constate une assez bonne
stabilité annuelle et une prépondérance du secteur des services et des industries. L’économie
informelle, comprenant par exemple la vente de rue, le travail domestique, la récupération ou
encore les activités artisanales, ne rentre pas dans cette analyse, ce qui démontre les limites
que peuvent avoir les statistiques.
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Graphe4 : Répartition sectorielle des emplois, source : world databank
d. Contraintes majeures du développement
Malgré le marché émergent en pleine croissance que représente l’Afrique du Sud, de
multiples contraintes sont à résoudre pour amener le pays vers une plus grande prospérité
pour chaque citoyen. Comme je l’ai évoqué précédemment, le fléau du SIDA devra être le
plus rapidement endigué si l’on veut éviter de se retrouver avec une jeunesse orpheline et un
pays qui ressemble à une nurserie, comme c’est le cas du Swaziland.
La criminalité est une autre contrainte au développement, l’Afrique du Sud est un des pays où
le taux de criminalité est le plus élevé au monde. Les meurtres se comptent par dizaines de
milliers chaque année, ce qui pousse les plus riches à vouloir se barricader dans des
forteresses, bien que le gouvernement tente d’empêcher ce repli sur soi qui n’est pas une
solution à long terme. L’intégration sociale est donc une priorité.
Enfin la contrainte vis-à-vis de la dépendance énergétique ne doit pas être négligée, une crise
énergétique a eu lieu en 2007 dû aux infrastructures minières, nécessitant de grands besoins
en électricité. Cette pénurie a conduit à des coupures de courant dans les grandes villes et a
ralenti l’économie. Le gouvernement voulant rationner la consommation d’électricité, peut
faire craindre à une baisse des investissements des entreprises étrangères.
La corruption ne cesse de baisser d’année en année. L’indice de perception de la corruption
est de 4.5 en 2010(source : Transparency International), ce qui est mieux que la moyenne
mondiale.
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2) Evolution des indicateurs macro-économiques et analyse
L’économie sud-africaine a connu de sérieuses mutations dans son évolution au cours de
ces dernières années. Ainsi, dans le cadre de cette analyse sur la situation économique, je
présenterai ci-dessous les principaux indicateurs économiques et financiers de l’Afrique
du Sud de 2000 à 2009. Les données de l’an 2010 n’étant pas souvent disponibles, je les
mentionnerai à chaque occasion possible.
a. Produit Intérieur Brut (PIB)
Le Produit Intérieur Brut est en constante augmentation depuis une dizaine d’années,
même si un léger repli a eu lieu en 2010 comme on peut le constater dans le Tableau1 à la
page suivante. Cette augmentation s’est réalisée grâce à des réformes profondes qui ont
permis progressivement d’ouvrir l’Afrique du Sud au marché international. Le GDP
(Gross Domestic Product) étant le nom anglais du PIB. J’ai repris ici le PIB à prix
constant, autrement appelé PIB réel, qui est calculé aux prix d’une année de référence et
tient compte de l’inflation.
L’augmentation est à comparer avec la croissance démographique, en espérant que celleci soit inférieure au taux de croissance du PIB, ce qui indiquerait une croissance du revenu
par habitant. En effet, si la croissance de la population augmenterait de façon plus
importante que la croissance économique, cela appauvrirait la population. Dans ce cas-ci,
comme illustré dans la ligne bleue du Tableau1, on remarque également une augmentation
du PIB à parité de pouvoir d’achat par habitant, ce qui à première vue paraît satisfaisant.
Il faut toutefois nuancer ce propos, le PIB place l’Afrique du Sud à la 105ième place
mondiale (source : CIA). L’IDH par contre, que j’ai présenté précédemment, était
seulement à la 110ième place, ce qui indique que la prospérité économique est mal
convertie en potentialité humaine. Concrètement il s’agit par exemple de l’éducation, de la
santé publique ou de l’eau potable qui ne sont pas aussi accessibles que l’on pourrait
l’espérer. De plus, l’Afrique du Sud a un coefficient de Gini de 0,578 (PNUD, 2007) ce
qui confirme cette mauvaise répartition des richesses et classe l’Afrique du Sud dans les
plus mauvais élèves du globe.
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9
Le fait que la croissance annuelle du PIB se rapproche de la croissance annuelle du PIB
par habitant démontre qu’une plus grande part des richesses générées, reste en Afrique du
Sud plutôt que d’être fortement exportée par les multinationales vers l’étranger. Un taux
de croissance négatif dû à la crise financière est à apercevoir en 2009, un certain décalage
ayant lieu avec cette crise datant de 2007. Au-delà de ça, on remarquera que le PIB à
connu de fortes croissances les années précédentes.
Graphe5 : croissance annuelle du PIB, source : world databank
b. inflation, taux d’intérêt et compétitivité
L’inflation a atteint des niveaux record en 2008, à cause notamment des prix élevés des
produits alimentaires. En dehors de cela, l’inflation sud-africaine reste raisonnable en
comparaison à d’autres pays d’Afrique, grâce à sa gestion financière et fiscale prudente,
puis aussi à son ouverture commerciale avec le reste du monde, qui la rend par exemple
moins dépendante des fluctuations climatiques. La hausse jusqu’à près de 12% de
l’inflation a fait craindre aux investisseurs qu’un resserrement de la politique monétaire
allait suivre et donc parallèlement une hausse des taux d’intérêt. Ce qui est un mécanisme
afin d’attirer une partie de l’excédent monétaire vers l’épargne. La Banque centrale sudafricaine estimant que l’inflation était en grande partie importée, n’a pas effectué ce
resserrement, se disant qu’il n’aurait pas eu d’impact sur l’inflation, étant d’ordre
international. L’analyse parallèle des Graphe6 et Graphe7 permet de constater qu’un taux
d’intérêt élevé comme en 2003, a bien des conséquences sur l’inflation les années qui
suivent. . En ce qui concerne la compétitivité, certains paramètres sont à tenir à l’œil
comme un faible niveau d’épargne de la population (ce qui empêche l’investissement
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privé), une pénurie de main-d’œuvre qualifiée, l’insuffisance d’infrastructures et un
environnement des affaires encore peu attractif. Selon le World Economic Forum, le pays
a perdu cinq places et se positionne au 45ième rang en 2006 en termes de compétitivité
globale, mais elle reste néanmoins bonne.
Graphe6: taux d’inflation, source: world databank
Graphe7 : taux d’intérêt réel, source : world databank
c. balances des paiements
Le Graphe8 qui suit, permet premièrement de se rendre compte qu’on est passé d’une
situation d’exportateur, vers une situation d’importateur, même si cela paraît léger. La
balance commerciale devient négative. Deuxièmement les échanges commerciaux
prennent de l’ampleur d’année en année. On passe de 30 milliards à plus de 90 milliards
de dollars d’import et d’export en moins d’une dizaine d’années, ce qui conforte le pays
dans son statut de pays émergent.
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Graphe8 : Imports des biens et services, Exports des biens et services, Balance des
paiements, source : world databank
Enfin, la balance des paiements(BP), en vert, comprend la balance des opérations
courantes(BOC), la balance des capitaux(BK) et les erreurs ou omissions intrinsèques à
celles-ci.
La BOC est constituée de la balance commerciale, c'est-à-dire, l’exportation et
importation des biens, la balance des services, c'est-à-dire, l’exportation et l’importation
des services, la balance des revenus des facteurs de production, par exemple les salaires,
les dividendes et les intérêts et la balance des transferts courants, notamment les dons et
les aides.
La BK comprend les investissements directs et les investissements de portefeuille. Ces
derniers n’ont, contrairement aux investissements directs, pas pour but de contrôler
l’entreprise, le seuil ayant été établi par le FMI à 10% du capital.
La BP donne la variation des réserves officielles du pays. Dans notre cas, on aperçoit une
balance des opérations courantes négative grandissante. Ce qui tendrait à croire que
l’Afrique du Sud emprunte auprès d’agents extérieurs. Cette politique n’étant pas
souhaitable à long terme, la balance des opérations courantes semble se rediriger vers un
équilibre dans les années à venir.
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d. dette extérieure
La dette extérieure, qui comprend aussi bien la dette publique que privée, est loin d’être
aussi élevée que celle de la plupart des pays européens et que celle des Etats-Unis.
Comme on peut le constater dans le Tableau2, la dette extérieure ne dépasse jamais les
30% du PIB. A titre de comparaison, la zone euro est proche des 120% du PIB en
moyenne pondérée. L’Afrique du Sud n’a donc rien à envier aux pays occidentaux à ce
niveau là. Pour donner un ordre de grandeur, la dette externe en 2010 se situe aux
alentours de 80 milliards de dollars. Quant à la légère baisse de la dette extérieure, elle
s’explique par une amélioration de l’administration fiscale et douanière qui amène un
revenu non négligeable au gouvernement.
Tableau2 : dette extérieure (%PIB), source : IMF data and statistics
La Banque centrale d’Afrique du Sud quant à elle, estime rien que la dette publique, est
supérieure à l’estimation de la dette extérieure faite par le FMI. Voir Tableau3 ci-dessous.
Les différences me paraissent sérieuses et sont sans doute dues aux méthodes diverses de
calcul. Cependant, il ne remet pas en cause l’assez bonne situation du pays au niveau de sa
dette extérieure.
Total national government debt as % of GDP
2000
46.6
2001
43.9
2002
43.9
2003
38.5
2004
36.3
2005
35
2006
32.6
2007
28.6
2008
24
2009
22.3
2010
30.8
Tableau3 : Dette publique, source : Banque centrale d’Afrique du Sud
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e. taux de chômage
Le chômage élevé, séquelle de l’Apartheid et d’une exploitation étrangère des richesses
minières, persiste dû au manque d’éducation de la population noire. Le premier
gouvernement démocratique a dû composer avec une population quasiment analphabète.
L’enseignement n’est pas de qualité équivalente dans toutes les écoles, car celles-ci ayant
le droit de fixer les frais d’inscription elles-mêmes, rendent leur admission inaccessible à
la majorité. Il est impératif d’y changer la politique afin d’y réduire la disparité qui y
règne. Les deux prochains graphes indiquent d’abord le taux élevé de chômage en Afrique
du Sud, ensuite le taux de chômage par niveau d’éducation. Le constat est sans équivoque,
l’éducation est la clé de la baisse durable du chômage. Concernant les statistiques du
chômage, après avoir approfondi le sujet, il me paraît essentiel de relativiser grandement
ces chiffres et de remettre en cause leur pertinence. Certes il peut être encourageant de
voir le pourcentage de chômeurs diminuer après avoir pris quelques mesures, mais les
chiffres avancés sont loin de refléter la réalité. En Belgique déjà les statistiques à ce sujet
laissent à désirer. Les prépensionnés ne sont pas comptabilisés, tout comme les personnes
en formation, etc. En Afrique du Sud c’est plutôt lié au fait que l’économie informelle ne
peut être comptabilisée comme les autres activités économiques. Pourtant il s’agit là d’une
énorme part de l’économie du pays qui ne devrait pas être négligée. L’économie familiale,
l’autoconsommation, l’artisanat en sont des exemples.
Graphe9 : Taux de chômage total, source : world databank
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Graphe10 : Taux de chômage par niveau d’éducation, source : world databank
3) Diagnostic de la situation économique
L’Afrique du Sud connaît ces dernières années une croissance économique réelle.
L’intégration du pays dans le groupe BRICS, n’est pas étrangère à cette croissance et
représente selon moi une réelle opportunité pour l’Afrique du Sud de participer encore plus au
commerce international et pourquoi pas de servir de moteur aux autres économies africaines.
Cependant des efforts doivent être faits pour consolider ces acquis.
La priorité est d’abord humaine, le combat contre le SIDA est en marche mais les
campagnes de prévention et les dépistages sont uniquement efficaces si elles s’inscrivent dans
la durée. La criminalité et la corruption ne font quant à elles pas encore l’objet de mesures
satisfaisantes. Ces points sont pourtant essentiels à une perpétuation de l’activité économique.
En ce qui concerne l’économie proprement parlée, les indicateurs macroéconomiques sont
généralement plutôt encourageants, ils sont révélateurs d’un dynamisme économique peu
ordinaire et le taux élevé du chômage ne devrait pas inquiéter outre mesure les autorités. Le
manque de pertinence des statistiques à ce sujet dû à l’importance du secteur informel en
Afrique du Sud, ne doit pas atténuer les efforts gouvernementaux à soutenir cette tranche de
l’économie au profit d’autres.
Un intérêt à long terme devra aussi être consacré à l’approvisionnement du pays en énergie
électrique. Energies renouvelables, centrales nucléaires, actuellement le débat reste ouvert et
les décisions prises serviront probablement de référence à l’ensemble du continent.
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4) Références
African Development Bank, http://www.afdb.org, page consultée le 05 mars 2011
Association de solidarité et de coopération internationale,
www.gret.org/publications/cdrom/bds/document_pdf/numero_16/Acteurs%20de%20leconomi
e%20informelle%20Afr%20du%20Sud.pdf, page consultée le 17 mars 2011
Central Intelligence Agency- The World Factbook(CIA),
www.cia.gov/library/publications/the-world-factbook/rankorder/rankorderguide, page
consultée le 15 mars 2011
Organisation de Coopération et de Développement économique (OCDE),
http://stats.oecd.org/index.aspx?queryid=23123&lang=fr, page consultée le 15 mars 2011
Programme des Nations Unies pour le Développement (PUND), http://www.undp.org,
http://hdrstats.undp.org, page consultée le 15 mars 2011
Site de l’Afrique du Sud, http://www.southafrica.info, page consultée le 12 mars 2011
Transparency International, http://www.transparency.org/, page consultée le 17 mars 2011
United Nations Office on Drugs and Crime (UNODC),
http://www.unodc.org/unodc/fr/corruption/index.html?ref=menuside, page consultée le 20
mars 2011
Université de Sherbrooke (Canada), http://perspective.usherbrooke.ca, page consultée le 15
mars 2011
World Bank, http://databank.worldbank.org, page consultée le 15 mars 2011
World Economic Forum, http://www.weforum.org, page consultée le 20 mars 2011
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