entre dans las ordres puis au service du duc de Sofolc près des prêtres du duché de Bourgogne.
Ecrit des Motets et des chansons.
Ø Motet : ouvres polyphoniques, parties qui peuvent être joué par des instruments, sur des textes
sacrés mais pas tiré d’un texte liturgique (dit pendant la messe), peut y avoir 1 à plusieurs texte par
voix.
Ø La chanson : jusque là les chansons sont portées oralement par les troubadours ou les ménestrels
ou les trouvères. Musique sacré et profane sur le même plan. La ♫ de divertissement se veut
raffinée, destiné à 1 élite : thème amour courtois, mis en hauteur de la femme, chansons d’étrenne
(argent que donne le parrain à noël) lié à la date, la reverdi (sur le retour du printemps.
3. ♫ et formes ♫cale
90% des chansons on des formes fix.les compositeur sont aussi parolier, écrivent leurs textes, de la
forme du texte découle la forme ♫cale.
La ballade : AA’B par strophe du texte A [a2vers, b2verrs(cad ouverte[comme un cad demis])]
A’[a2vers, b2vers (cad close) (CP)], B [CCD ou CCB(cp plus courante)]
Ensemble du morceau : forme strophique.
Ecoute deuil angoisseux : écrit par Christine de Pisan (1364-1430) à 3voisx soprano tiens la mélodie,
deux autres voix accompagnent. Vocalise sur chaque fin de vers, cad en évidence ‘mélismes
Le rondeau (- noble que la ballade) (≠ du rondeau classique refrain couplet). Forme
AbaAabAB ç chanson complète très dur à reconnaitre.
Ecoute Bonjour, bon an, bon mois et bonne étrennes (binchois). Percussion + basse de viole = partie
non écrite.
4. Guillaume Dufay (1400-1470)
Issus de l’école des chantres, 1er compositeur itinérant, voyage en Italie
Jusqu’en 1419 : école maîtrisiènne à Cambrai
1414-1437 Italie puis jusqu’a 1450 entre France et Italie.
Il est plus connu grâce à l’imprimerie
Influence : anglais (faux bourdon) française (XIV complexité contrapuntique), culte de la liberté
(Italie) dans les chansons.
Dommaine ♫caux :
- Chanson (reste 84) italienne français, latines sous forme libre mais beaucoup sous forme fixe.
Beaucoup de rondeau plus que de ballade (ballade + en retrait)
- Motets isorythmique (Dufay dernier à utiliser l’isorythmie dans les motets) [isorythmie : voix
principal (ténor) fait une série mélodique et rythmique répéter autant de fois que nécessaire]
Le color = série mélodique. Le Taléa = série rythmique. Le nombre de note utilisé ne doit pas être le
même que le nombre de motifs rythmique (création d’un décalage en le talé et le color è principe de
l’isorythmie).
Panisorythmie : isorythmie entre chaque voix Dufay est le dernier à utiliser cette méthode.
Ecoute : Nuper Rosarum Flores (Dufay), et Quatuor pour la fin du temps è temps = moment où on
reste dans l’éternité.
Messe polyphonique : mise en ♫ des parties ordinaires de la messe. (Existe depuis Guillaume de
Machaut)
Oui : kyrie, crédo, gloria, sanctus, benedictus, agnus dei.
Non : psaume graduel, alléluia. /!\ requiem : des partis en plus.
Dufay veut l’unité dans une messe polyphonique par :
- Un motif de tête : chaque morceau commencera pareil, par les mêmes notes
- Un cantus : mélodie pas forcément composé par le compositeur, pas forcément religieuse, déjà
pré existante, placé à la voix du ténor sur des valeurs longuesè cantus firmus.
Ecoute : L’HOMME ARME ABA, mode de ré authente. Moitié du XVI : fin des cantus sur chants
populaires.
Partition de la missa de « l’homme armé »Kyrie
Kyrie I : utilise une partie du cantus au ténor mes5 à valeurs longues. + de silence (quasiment tout le
temps. Le ténor intervient de manière ponctuelle. Le ténor (voix qui tient) ne chante que le cantus.
Rem : on peut changer complètement le rythme du cantus.
2 contres points : soprane + alto marchent ∑ en valeurs rapide, ténor + basse marchent ∑ en valeurs