Histoire de la musique de la renaissance
Musicologie
Introduction
Renaissance : période de 2 siècles (celons l’histoire des arts), touche toutes les disciplines artistiques
XV à XVI après le moyen-âge.
C’est un moment ou l’ont redécouvre le paganisme antique, les récits antique. Moment ou la
chrétienté détiens le savoir, et où ce savoir se libère. è Démocratisation du savoir.
Savoir : la découverte (et non la mémoire)
La renaissance est marquée par cette liberté du savoir, de la pensée, des arts, de la littérature,…è
totale liberté en art.
Humanisme : mvt de pensée qui met l’Homme au centre de tt intérêt. Ø phénomène athée.
L’Homme crée par Dieu à pensée de l’homme aussi importante que celle de Dieu.
ð pensé humaine magnifié donc tt pensée doit être passé au crible, doit être critiqué.
Volonté de découvrir ce qu’il y a ailleurs à découvert 1492 C Colomb des indes (Amériques)
Érasme : éloge de la folie à lire
-le Nom de La Rose-
I. Point histoire
La renaissance n’est pas un phénomène français ni musicale. C’est Italien sur les arts littéraires et
picturaux. Pourtant au XIV la France est leader en matière d’art.
France début du XV : coexiste entre la monarchie centrale et les provinces. Forme d’indépendance
entre les provinces è Ø bloc.
La France décline sur le domaine des arts au milieu du XV.
Charles VI accède au trône début XV, pays stable économiquement, niveau de vie en hausse,…tt vas
bien dans le meilleur des monde pour lui. MAIS il à une hallucination à santé mentale altéré à crises
de folies à il ne peut exercer le pouvoir seul à besoin de régence.
è Lutte pour prendre le pouvoir.
XVème : guerre civile éclate car 1 personne se présente pour prendre le pouvoir : le Duc de
Bourgogne Jean Sans Peur. S’impose par la force pour exercer la régence
Bernard d’Armagnac s’oppose au Duc. è Division de la France en 2 (pendant 20ans). 1420, signe un
traité de Troie qui fait reconnaître des droit à l’Angleterre sur la France (par souche des générations
précédant) Jean sans Peur est assassiné au pont des Mottereau.
Jeanne d’Arc redonne le moral aux troupes et permet de reconquérir le territoire. Elle est
condamnée (pour ne pas partager le pv). Pendant ce temps Ø création musicale en France (trop
occupé à faire des bastons, à autres choses).
Le Duché de Bourgogne :
Comprend la Bourgogne, le Juras, la Franche comté, le Nord Est de la France, pays Bas,
Belgique.
possède une unité monétaire, une économie florissante, une force croissante
C’est la capitale de l’Europe sur tt les points (musicale aussi). Le prestige des arts et le rayonnement
des arts se répercutent sur le rayonnement du pays.
1410-20 la Bourgogne est ∆ +++. Le Duc de Bourgogne va chercher les meilleurs artistes è vers l’Italie.
Il importe de l’Italie les créateurs caux. Déplacement géographique de la renaissance cales
(origine Franco flamande)
St empire Romain germanique : reste de l’empire de Charlemagne. Saint : Charlemagne avait unifié
son empire par la religion. Romain : Volonté de remettre l’empire romain sur pied. C’était un empire
éligible è division par principauté, les princes électeurs (héréditaires) élisaient les prochains princes.
1. pourquoi les artistes sont ils venus en Bourgogne ?
Ø unification Italienne. L’Italie connait une période de trouble religieux. Rome = centre du Pape, de
la religion, centre artistique. Or affaiblissement depuis 1378 lors du schisme d’occident ou 2 pape se
dispute le trône(le pape = un chef d’état complet). L’un s’installe à Rome, l’autre à Avignon. è Europe
coupé en 2.
Concile de Pis pour une nouvelle élection (qui doit nommer un seul pape) = résultat 3 papes.
Situation redevient régulière en 1420 avec 1 pape.
Conséquence : le pv romain est très affaibli, il ne récupèrera pas tt l’autorité total, moral qu’il avait
avant. caltRome ne sera plus le centre, le foyer des nouveautés artistiques. La Situation Italienne
est une principauté fédérale indépendante où chacun travail pour soi. Venise est toléré car elle fait
tampon face à l’Empire Ottoman.
II. les acteurs de la au XVème 1. les chantres
Ce sont des hommes formé dès l’enfance dans les ordres, choisi pour leur voix (justes) et leur beauté
(physique). Ils connaissent les notations, les instruments, la composition, la géométrie ; le droit, et
ont fait des études de lettres. è Personnes polyvalentes. Ils peuvent avoir un rang de ministre ou de
conseillé. Formé dans le Duché de Bourgogne
2. les ménestrels
Pratique le chant, l’instrument. ciens errants mais regroupé en confrérie.
Ø joueur de bas instrument (qui ne joue pas fort) : vièle, luth, flûte, chant
Ø les hauts ménestrels : ancêtre des cuivres
Ø tambours trompettes : ce qui se rapporte à l’armé.
III. évolution de la pensé
Pensée philosophique néo-platonicienne. Dans cette vision Platon parle de la des sphères, qui
tient l’univers en équilibre. Les sphères tournent et font une qu’on n’entend pas. Le compositeur
cherche à reproduire cette harmonie que font les sphères.
IV. langage cale : notion de technique
La de la renaissance repose sur le système modal.
Tonalité : échelle cale avec des degrés qui ont des poids ≠. Éléments qui s’attire ou se repousse.
Mode : échelle cale où Ø degrés n’est + fort qu’un autre. Ø notion de hauteur absolue, mode
transposable.
On utilise 4 mode principaux : ré, mi, fa, sol (do et la sont les utilisé)
Pour déterminer le mode : regarder la note la plus bases ou la note de fin. Il existe 2 types de mode :
ü mode authente : si tt les notes sont au dessus de la finale
ü mode plagale : si tt les notes sont au dessous de la finale
L’interprétation à une grande importance è habitudes d’interprétation è devient une habitude de
composition
Ø règles des tierces et sixtes : règle pour la musique à plusieurs voix. Lors d’un passage de
consonance imparfaite (3, 6 car fausses à cause de l’accordage à tempérament imparfait) à une
consonance) parfaite (4, 5, 8), la soprano est plus jolie si elle monte par demis ton. è concept de note
sensible, crée un phénomène de tension. è création d’une tonalité.
Ø Règles de la basse : dans une phrase cale l’effet est plus agréable si la basse procède par 5te ou
4te descendante en fin de phrase. è création en combinant les deux règles à la cadence parfaite.
Arrive petit à petit par habitude la cadence à double sensible.
Mode de Fa triton dès le début (Fa sol la)è fa sol la sib do ré mi è pour supprimer le triton è devient
un mode de DO.
Tonalités du mode M résulte des modes de DO(I) FA(IV) SOL (V)
Mode de ré et mi : on ne peut pas changer une altération pour que ces modes ressemblent au mode
de DO. On se basse su le mode de LA è mode mineur résulte des modes de ré mi La.
V. Influences anglaise, première génération des compositeurs Franco-flamand 1. John Dunstable
(1380-1453)
Un des inventeurs du faux bourdon. Le Duc de Belfort est allé en Angleterre et c’est fait « prêter »
John. è Le faux bourdon devient une technique européenne.
Bourdon : phénomène de double pédale à la fondamentale +la 5te.
Le faux bourdon : comme le bourdon mais une impression d’écouter une plus proche de nous
temporellement. Cela permet d’enchaîner des accords parfaits mais ø renversements [le
reversement 6/4 n’existe pas car ø 5te et donc ø de logique d’harmonique naturelle. Le faux bourdon
est une technique qui enchaîne des accords parfait parallèle è impression de sonorité pleine.
Dunstable commence à généraliser l’emplois des 6 et 6/4 [old hall manuscrit de 1530)
2. Gilles Binchois (1400-1460)
Figure marquante de la renaissance. Il est polyvalent. Il commence une carrière de militaire puis
entre dans las ordres puis au service du duc de Sofolc près des prêtres du duché de Bourgogne.
Ecrit des Motets et des chansons.
Ø Motet : ouvres polyphoniques, parties qui peuvent être joué par des instruments, sur des textes
sacrés mais pas tiré d’un texte liturgique (dit pendant la messe), peut y avoir 1 à plusieurs texte par
voix.
Ø La chanson : jusque là les chansons sont portées oralement par les troubadours ou les ménestrels
ou les trouvères. Musique sacré et profane sur le même plan. La de divertissement se veut
raffinée, destiné à 1 élite : thème amour courtois, mis en hauteur de la femme, chansons d’étrenne
(argent que donne le parrain à noël) lié à la date, la reverdi (sur le retour du printemps.
3. et formes cale
90% des chansons on des formes fix.les compositeur sont aussi parolier, écrivent leurs textes, de la
forme du texte découle la forme cale.
La ballade : AA’B par strophe du texte A [a2vers, b2verrs(cad ouverte[comme un cad demis])]
A’[a2vers, b2vers (cad close) (CP)], B [CCD ou CCB(cp plus courante)]
Ensemble du morceau : forme strophique.
Ecoute deuil angoisseux : écrit par Christine de Pisan (1364-1430) à 3voisx soprano tiens la mélodie,
deux autres voix accompagnent. Vocalise sur chaque fin de vers, cad en évidence ‘mélismes
Le rondeau (- noble que la ballade) (≠ du rondeau classique refrain couplet). Forme
AbaAabAB ç chanson complète très dur à reconnaitre.
Ecoute Bonjour, bon an, bon mois et bonne étrennes (binchois). Percussion + basse de viole = partie
non écrite.
4. Guillaume Dufay (1400-1470)
Issus de l’école des chantres, 1er compositeur itinérant, voyage en Italie
Jusqu’en 1419 : école maîtrisiènne à Cambrai
1414-1437 Italie puis jusqu’a 1450 entre France et Italie.
Il est plus connu grâce à l’imprimerie
Influence : anglais (faux bourdon) française (XIV complexité contrapuntique), culte de la liberté
(Italie) dans les chansons.
Dommaine caux :
- Chanson (reste 84) italienne français, latines sous forme libre mais beaucoup sous forme fixe.
Beaucoup de rondeau plus que de ballade (ballade + en retrait)
- Motets isorythmique (Dufay dernier à utiliser l’isorythmie dans les motets) [isorythmie : voix
principal (ténor) fait une série mélodique et rythmique répéter autant de fois que nécessaire]
Le color = série mélodique. Le Taléa = série rythmique. Le nombre de note utilisé ne doit pas être le
même que le nombre de motifs rythmique (création d’un décalage en le talé et le color è principe de
l’isorythmie).
Panisorythmie : isorythmie entre chaque voix Dufay est le dernier à utiliser cette méthode.
Ecoute : Nuper Rosarum Flores (Dufay), et Quatuor pour la fin du temps è temps = moment où on
reste dans l’éternité.
Messe polyphonique : mise en des parties ordinaires de la messe. (Existe depuis Guillaume de
Machaut)
Oui : kyrie, crédo, gloria, sanctus, benedictus, agnus dei.
Non : psaume graduel, alléluia. /!\ requiem : des partis en plus.
Dufay veut l’unité dans une messe polyphonique par :
- Un motif de tête : chaque morceau commencera pareil, par les mêmes notes
- Un cantus : mélodie pas forcément composé par le compositeur, pas forcément religieuse, déjà
pré existante, placé à la voix du ténor sur des valeurs longuesè cantus firmus.
Ecoute : L’HOMME ARME ABA, mode de ré authente. Moitié du XVI : fin des cantus sur chants
populaires.
Partition de la missa de « l’homme armé »Kyrie
Kyrie I : utilise une partie du cantus au ténor mes5 à valeurs longues. + de silence (quasiment tout le
temps. Le ténor intervient de manière ponctuelle. Le ténor (voix qui tient) ne chante que le cantus.
Rem : on peut changer complètement le rythme du cantus.
2 contres points : soprane + alto marchent ∑ en valeurs rapide, ténor + basse marchent ∑ en valeurs
longues.
Les 4 voix ne sont pas traitées à égalité. Ce n’est pas une imitative bien qu’il y a quelques imitation
mais qui ne sont pas rigoureuses (change quelques fois le rythme ou les notes). Pourquoi pas
d’imitation ?: car représente la création de Dieu et Dieu ne se répète pas. è ø répétitive è ø
canon, fugues, imitation.
Mes 19 : ténor arrête de chanter le cantus et tt le monde passe en valeurs brèves. Le thème est un
peu désarticulé, il n’existe plus mais on continue de le percevoir à paraphrase, on tourne autour des
éléments du thème. Soprano utilise des bout du cantus mais paraphrasé.
Toutes ces paraphrase sont misent bout à bout è impression de ø unité. Principe de paraphrase
utilisé dans toutes les voix = le cantus se diffuse entre tt les voix.
Kyrie II : mes 25 à 54. On observe des valeurs plus courtes, des long passages à deux ou trois voix
seulement, plutôt que 4. Principe utilisé fréquemment : bicinium : le compositeur allège les effectifs
à 2 voix.
Imitations non rigoureuses mais plus nombreuses, croisement entre ténor/alto et Ténor/ basse. è
très fréquent. Ex : mes 54, alto à la note la plus basse.
Kyrie III : ténor reprend le cantus, ++d’imitation (mais tjs non rigoureuses) élément du cantus
paraphrasé + nombreux, les 4 voix sont traité avec égalité. La valeur longue = symbolique d’éternité,
projection de Dieu. > rythmique = rapprochement entre Dieu et l’Homme.
Agnus III : utilise le cantus en rétrograde, en valeurs longues. Mes 97 : mise en valeur du ténor à au
dessus de la soprane. +++ de paraphrase du cantus au ≠ voix..
[Livre : de Bosuite [i]les très riches œuvres franco flamandes de Guillaume Dufay à…][/i]
VI. 2nde génération des compositeurs Franco-flamand 1. Johannes Ockeghem (1410-1497)
Homme de la renaissance : culture de l’esprit. ≠ de Dufay, il n’a pas du tout voyagé. Sous Charles VII il
est son conseillé, c’est un faiseur d’institution : la chapelle royale de . Divisé en 2 chœurs.
- Chapelle du plain chant : entre 15 et 20 chanteurs
- Chapelle de : entre 30 et 40 chanteurs permanant qui interprètent du répertoire polyphonique
et sont polyvalents (chantent et jouent)
Ockeghem mène le contre point à son apogée, à un tel point de complexité, il aime la difficulté (c’est
un jeu pour lui). Il est de l’école des chantres. Pour lui le cerveau est le truc le plus complexe è je
m’en sers pour créer des trucs complexe. Il fait de la imitative. Il a composé des chansons (ø
évolution avec Dufay mais il n’utilise plus les formes fixe), des motets, et surtout des messes
polyphonique (évolution notable par rapport à Dufay). Messe : soit sur Cantus soit libre.*
2. Ockeghem : messes libres : ø cantus œuvre symbolique.
Ecoute messe des prolations : avant ø mesures.
3
2
Le Temps (T) : relation mathématique entre la longue et la brève (unité de temps)
Relation d’ordre ternaire 3 : temps parfait (TP)
Relation d’ordre binaire 2 : temps imparfait (TI)
3
2
la prolation : relation mathématique entre la brève, et la semi brève.
Relation d’ordre ternaire 3 : temps Majeur (M)
TI M =
34
3 2
68
2 3
Relation d’ordre binaire 2 : temps mineur (m)
TP m =
98
3 3
2 |4 2 |4
2 2
TI m = TP M =
La missa Prolationum : sanctus (tt les voix on une unité de mesure ≠)
Canon entre les voix basse/Ténor, soprano/contre ténor. Lors d’un canon la voix qui rentre en
premier est le Dux (chef lat.), la voix qui rentre après est le Comis. L’intervalle du canon est <, 3ce au
début de la messe 7ème au sanctus puis > jusqu'à la fin de la messe. L’unité existe mais elle n’est pas
discernable à l’oreille.
A écouter : Missa cujus Vis toni (messe dont tu choisi le ton).
3. Ockeghem messe sur cantus
Ecoute : agnus dei I.
Agnus dei I : Ténor à la basse écrit en français alors que les autres sont en latin. Unité de mesure pour
tt les autres voix (ø ténor). Ø technique imitative (par fidélité à Dufay messe de Dufay ø canon, ni
imitation). Messe beaucoup moins libres. Il n’utilise pas les innovations de Dufay.
Agnus dei II : cantus moins présent ou carrément absent. Juste 2 ou3 voix, imitation qui marquent les
charnières du morceau (bicinium)
Agnus dei III : très peu de CP, le cantus est restreint au ténor
Requiem d’Ockeghem è 1er requiem dont on dispose l’intégralité. Messe polyphonique plain chant.
Le cantus n’est pas un simple chant ou une seul phrase (comme dans l’homme armé), il prend tt la
messe grégorienne des morts à travail de paraphrase.
Ecoute deo Gratias : ø forme fixe, prémices de l’harmonie, imitation + de place à l’humanisme.
VII. 3ème génération des compositeurs Franco-flamands 1. Josquin Deprez (1440-1521)
Compositeur le + imprimé, chantre, religieux, moine, carrière international.
Jusqu'à 1486 carrière Italienne (Milan) à travaillé pour des mécènes privés.
1486 à 1505 Rome Ferrure,
1505à1521 : retraite dans une abbaye en Belgique Condé s/ Escaut.
A écrit un répertoire adapté à une nouvelle demande.
Messe polyphonique : environs 20 (dont messe libre et sur cantus)
Ecoute Agnus dei de l’homme armé de Deprez. : le cantus est paraphrasé à tt les voix. ø modulation,
juste transposition
Agnus II c’est un canon partout !!!
Partie basse mes 113 rétrograde de l’homme armé, Partie ténor : l’homme armé partie B.
Superpose le canon (Sop/sop et Alto/alto) avec les ténors + basse.
Après josquin Deprez on ne parle plus de messe sur cantus , mais de messe paraphrasé
VIII. La chanson Parisienne [15101530] 1. Josquin Deprez (14401521)
Transition entre XV/ XVI
Chanson du XVI à 4 voix. Voix principale = soprano (et plus ténor)
Ø Simplicité extrême du langage : ø vocalise, déclamation syllabique
Ø qui s’adresse à des amateurs, (ambitus restreint)
Ø Homophonie totale (ou partiel) rigoureuse.
Ø Emergence du système harmonique (pensé verticale)
Ecoute : Mille regrets : chanson galante, regret amoureux.
à Fin : cad plagale (IV I), pas totalement mineur, utilise un mode mais le minorise (ø degrés faible).
Soprano alto / basse ténor bicinum en imitation.
Ecoute : el grillo, Scarabell va alla gerra.
Chanson du XVI vas passer devant la messe polyphonique. Au début du XVI on l’appel chanson
parisienne car elle est imprimé à Paris.
La capitale cale est au Nord de l’Europe.
Il émerge dans les villes des classes bourgeoises, qui considèrent que la pratique des arts n’est pas
réservée à l’élite. à La rentre dans les mœurs. è Hausse de la demande.
Démarche humaniste (art ouvert à tous), on peut parler de tout, mais il existe une constante cale :
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