Clés à partir de spécimens

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Diverses clés d'identification pour le Maine-et-Loire, réalisées à partir
d'observations sur des spécimens des herbiers Préaubert, Bouvet, Lloyd
et Boreau
David Mercier
Version du 18 juin 2014.
Clematis
1- Sépales 10-22 x 5-10 mm ..................................................................................................
1'- Sépales 6,5-11 x 1,8-3,8 mm ............................................................................................
2- Bractéoles soudées sur 3-4,5 mm .................................................................................... C
2'- Bractéoles libres ................................................................................ C. viticella et taxo
3- Sépales densément poilues sur les deux faces ; fruits (hors aigrette) 2,5-4 x
1,4-2 mm, à poils obliques atteignant 0,4-1 mm ..............................................................
3'- Sépales à face supérieure glabre, à face inférieure densément poilue près des
bords, glabre ou éparsement poilue au centre ; fruits (hors aigrette) 4,4-5 x
3,6-4,3 mm, à poils appliqués atteignant 0,1-0,2 mm ......................................................
4- Tige herbacée ; feuilles 1 fois entièrement divisées ; fruits avec, sur chaque
face, 200-250 poils ...........................................................................................................
4'- Tige ligneuse ; feuilles 2 fois entièrement divisées ; fruits avec, sur chaque
face, 400-600 poils ...................................................................................................... C
Anemone
Adonis
Myosurus
Thalictrum minus
1- Tige flexueuse, formant des angles atteignant 165°-145° ..................................................
Maine-et-Loire : St-Rémy-la-Varenne (Île St-Jean), sub nom. T. expansum.
1'- Tige droite ou presque, formant des angles atteignant 175° ..............................................
Maine-et-Loire : absent.
Ficaria verna
1- Bulbilles formés ou non ; carpelles souvent à > 10% avortés ; pollen pur ou
impur ; anthères les plus longues 1,6-2,2 mm (=a) ; pétales les plus longs 7-13
mm (=b), les plus larges 2,7-6 mm (=c) ; a x b x c = 32-144 .................................. subsp
1'- Bulbilles toujours absents ; carpelles toujours tous bien formés ; pollen
toujours pur ; anthères les plus longues 2,2-3,0 mm (=a) ; pétales les plus
longs 14-18 mm (=b), les plus larges 5,5-8 mm (=c) ; a x b x c = 175-432 ................. su
Ranunculus acris/serpens
1- Souche avec 30-80 fibres persistantes et coriaces, naissant contre la souche de
l'année précédente ; feuilles basales à lobe terminal 2e niveau 0,8-3,3 fois
aussi long que sa largeur à la base ; feuille basale à pétiole à poils la plupart
orientés à 45°-80°(170°) ; réceptacle avec 20-40 poils entourant chaque
carpelle ............................................................................................................................
1'- Souche avec 0-50 fibres persistantes et coriaces, naissant contre la souche de
l'année précédente ou issue d'un rhizome plus ou moins allongé ; feuilles
basales à lobe terminal 2e niveau 1,6-8,4 fois aussi long que sa largeur à la
base ; feuilles basales à pétiole à poils la plupart orientés à (45°)90°-180° ;
réceptacle complètement glabre ........................................................................................
a- Souche reliée à l'ancienne par un rhizome long de 0-20(25?) mm ; feuilles
basales à lobe terminal 2e niveau 1,6-8,4 fois aussi long que sa largeur à la
base ; pétiole à poils orientés à 90°-180° ....................................................................... s
a'- Souche reliée à l'ancienne par un rhizome long de (25?)30-50 mm ; feuilles
basales à lobe terminal 2e niveau 1,6-2,7 fois aussi long que sa largeur à la
base ; pétiole à poils orientés à 45°-120° ............................................................... subsp.
Ranunculus bulbosus/sardous
1- Souche nettement bulbeuse ; réceptacle à poils atteignant 0,3-0,6 mm ;
carpelles mûrs lisses ..................................................................................................... R
1'- Souche non bulbeuse ; réceptacle à poils atteignant 0,8-1,2 mm ; carpelles
mûrs portant 10-15 tubercules de chaque côté ...............................................................
R. flammula/ophioglossifolius
1- Feuilles basales à angle basal (15°)40°-180°(230°) ; sépales avec 0-150 poils ;
pétale atteignant 4,5-9 mm ; carpelles tous glabres ; carpelles mûrs lisses ......................
1'- Feuilles basales à angle basal (110°)180°-240°(270°) ; sépales avec 10-80
poils ; pétale atteignant 3,1-5 mm ; carpelles (presque) tous poilus, portant
jusqu'à 3-15 poils ; carpelles mûrs portant 20-35 tubercules sur chaque face ..................
R. subg. Batrachium
Feuille multifide : constituée de lanières linéaires ou filiformes divisées de façon
di- ou tri-chotomique, et généralement submergées.
Feuille intermédiaire : de forme intermédiaire entre les feuilles dites multifides et
les feuilles dites lobées, et souvent situées en position intermédiaire.
Feuille lobée : constituée d'un pétiole et d'un limbe lobé, et généralement
flottante ou émergée ; pour les mesures, choisir des feuilles dont la forme est
la plus répétitive sur la plante.
Lobe central : sur les feuilles lobées, lobe délimité à la base par les deux sinus les
plus proches de l'insertion du pétiole ; il est souvent lui-même lobé.
Lobes latéraux : lobes situés de part et d'autre du lobe central.
Profondeur d'incisions primaires du limbe : 1 - (distance entre le point d'insertion
du pétiole et le sinus le plus proche / la distance entre ce même point
d'insertion du pétiole et l'extrémité du lobe central).
Profondeur d'incisions secondaires du limbe : 1- (distance entre le point
d'insertion du pétiole et le sinus le plus proche situé dans le lobe latéral / la
distance entre ce même point d'insertion du pétiole et l'extrémité du lobe
latéral).
Feuilles multifides : à limbe divisé plusieurs fois en segments filiformes ou plus
ou moins élargis.
Feuilles intermédiaires : à limbe divisé en 2-3 segments, ou non divisé mais
prolongé par des segments filiformes ou acuminés.
Feuilles lobées : à limbe non divisé, lobé.
Stipules : la longueur se mesure depuis l'insertion sur le côté de la tige jusqu'au
point le plus éloigné de celui-ci.
1- Plante généralement terrestre, à feuilles toutes lobées, ou exceptionnellement
(R. lutarius) accompagnées de rares feuilles multifides à segments élargisaplatis chez des plantes en accomodat aquatique ; au moins les premiers
noeuds florifères pourvus de plusieurs racines adventives ; pétales entièrement
blancs (ou parfois à base jaune chez R. lutarius) .............................................................
1'- Plantes généralement aquatique, à feuilles toutes multifides (segments minces
et cylindriques en milieu aquatique, élargis-aplatis en milieu aérien), ou
souvent accompagnées de feuilles intermédiaires et/ou lobées ; noeuds
florifères généralement non radicantes, ou parfois pourvues d'une racine,
rarement plus ....................................................................................................................
2- Feuilles les plus découpées à lobe terminal atteignant 0,3-0,66 fois sa largeur
basale ; stipules atteignant 1,5-2,2 fois la longueur de la partie soudée au
pétiole ; pétales 1,7-3,3(3,7) x 0,9-1,8 mm .......................................................... R. hed
2'- Feuilles les plus découpées à lobe terminal atteignant 0,75-2(2,4) fois sa
largeur basale ; pétales 3,5-7(7,8) x (1,3)1,6-3,3 mm ......................................................
3- Réceptacle glabre ou avec < 15 poils ; stipules atteignant 2-3,2 fois la longueur
de la partie soudée au pétiole ; feuilles les plus découpées à lobe terminal
atteignant 0,75-1,5(1,75) fois sa largeur basale .............................................. R. omioph
3'- Réceptacle avec > 15 poils ; stipules atteignant 2,1-3,5 fois la longueur de la
partie soudée au pétiole ; feuilles les plus découpées à lobe terminal atteignant
1,0-2,0(2,4) fois sa largeur basale ..................................................... R. lutarius (J. Rev
4- Feuilles lobées toujours présentes, à stipules atteignant 2,5-5 fois la longueur
de la partie soudée au pétiole ; feuilles intermédiaires absentes ou rares ;
pétales entièrement blancs ou à base jaune ......................................................................
4'- Feuilles lobées absentes ou si présentes, à stipules atteignant 1-2(2,5) fois la
longueur de la partie soudée au pétiole (jusqu'à 2,5 fois seulement chez des
plantes à feuilles intermédiaire nombreuses) ; pétales à base toujours jaune ...................
5- Fleurs à 5-8(11) étamines, à anthères atteignant 0,3-0,5 mm ; pétales 1,8-4,5
mm, 1,1-1,5 fois aussi long que les sépales ; feuilles lobées à stipules
atteignant 2,5-3,3(3,6) fois la longueur de la partie soudée au pétiole ; feuilles
lobées les plus découpées (hors feuilles intermédiaires) à lobe médian (1,8)23,8(4,2) fois aussi long que sa largeur à la base ................................................. R. tripa
5'- Fleurs à (10)12-20 étamines, à anthères atteignant 0,5-1,1 mm ; pétales 4-11
mm, 1,75-3,1 fois aussi long que les sépales ; feuilles lobées à stipules
atteignant (2,8)3-5,2 fois la longueur de la partie soudée au pétiole ; feuilles
lobées les plus découpées (hors feuilles intermédiaires) à lobe médian (2,6)37,2(7,8) fois aussi long que sa largeur à la base ............................................ R. ololeuco
6- Au moins certaines feuilles multifides à segments tous (sub)parallèles en
accomodat aquatique, ou légèrement divergents en accomodat terrestre et dans
ce cas à segments progressivement élargis-spathulés et orientés dans un même
plan ; feuilles lobées parfois présentes en accomodat aquatique, jamais en
accomodat terrestre ; plante de rivière ............................................. R. penicillatus (Dum
a- Feuilles multifides immergées atteignant 80-190 mm, à segments larges de
0,20-0,45 mm ; réceptacle avec 1-10 poils autour de chaque carpelle, ces poils
atteignant 0,1-0,3 mm ; carpelles glabres ; pédicelle fructifère le plus court 2875 .........................................................................................................................subsp. p
a'- Feuilles multifides immergées atteignant 46-102 mm, à segments larges de
0,10-0,15 mm ; réceptacle avec 10-20 poils autour de chaque carpelle, ces
poils atteignant 0,6-0,8 mm ; carpelles poilus ; pédicelle fructifère le plus
court 43-75 mm ............................................................................................. subsp. pseu
6'- Toutes les feuilles multifides submergées à segments nettement divergents, au
moins à la base ; feuilles multifides aériennes à segments fortement divergents
et occupant plusieurs plans ...............................................................................................
7- Feuilles toutes multifides, entourant toutes la tige sur > 180°, au moins
certaines sur 270°-360°, les plus courtes (mesurer depuis l'insertion sur la tige
jusqu'à l'apex) 3-13 mm, les plus longues atteignant 9-16 mm, à segments tous
dans un même plan ; pédicelle fructifère le plus court égalant 2,1-5,1 fois la
longueur de la feuille correspondante ; plante à feuilles toujours submergée ..................
7'- Feuilles multifides, pour au moins la plupart, n'entourant pas la tige, les plus
courtes 13-52 mm, les plus longues atteignant 18-100 mm, à segments situés
dans plusieurs plans ; pédicelle fructifère le plus court égalant 0,4-1,6 fois la
longueur de la feuille correspondante ...............................................................................
8- Pédicelle fructifère le plus court 22-90 mm (a), égalant (0,9)1,3-25 fois la
longueur de l'entrenoeud correspondant (b) ; a x b = 206-504 chez les plantes
sans feuilles laminaires, 65-1300 chez les plantes avec feuilles laminaires
............................................................................................................................ R. peltatu
a- Feuilles laminaires présentes ou absentes ; rameaux des accomodats
aquatiques à fleurs toutes ou au moins les (1)2-4 inférieures à l'aisselle de
feuilles multifides ; pédicelle fructifère atteignant 2,2-50(93) fois la longueur
de l'entrenoeud correspondant (a) ; pétales atteignant 5-10 mm (b) ; réceptacle
à L/diam 0,9-2,9, avec 2-15 poils autour de chaque carpelle (c), ces poils
atteignant 0,2-0,5 mm (d), portant (32)38-120 carpelles (e) ; (a x e) / (b x c x
d) = 7,1-132 ......................................................................... subsp. baudotii (Godr.) C.D
Note : nectaires en croissant chez 90% des récoltes et carpelles glabres chez
65% des récoltes.
a'- Feuilles laminaires présentes (sauf parfois en accomodat terrestre) ;
rameaux des accomodats aquatiques à fleurs toutes à l'aisselle des feuilles
laminaires, ou les 1(2) inférieures à l'aisselle de feuilles multifides ; pédicelle
fructifère atteignant 1,7-8,4(12) fois la longueur de l'entrenoeud
correspondant (a) (ou plus en accomodat terrestre) ; pétales atteignant 7,514(16) mm (b) ; réceptacle à L/diam 0,9-1,4, avec (6)8-20 poils autour de
chaque carpelle (c), ces poils atteignant 0,4-1,1 mm (d), portant 18-45(60)
carpelles (e) ; (a x e) / (b x c x d) = 0,3-4,4 ............................................................. subs
Note : nectaires en poire chez 85 % des récoltes et carpelles poilus chez 68%
des récoltes.
8'- Pédicelle fructifère le plus court 7-54 mm (a), égalant 0,2-1,6(1,9) fois la
longueur de l'entrenoeud correspondant ; a x b = 1,6-44(72) chez les plantes
sans feuilles laminaires, 12-43 chez les plantes avec feuilles laminaires .........................
9- Feuilles toutes multifides ; pétales atteignant 2,4-5,5 mm de long, 1,2-2,8 mm
de large, à nectaires toujours en croissant ; anthères atteignant 0,4-0,7 mm ;
pédicelle fructifère le plus court 7-24 mm, le plus long atteignant 9-35 mm ...................
9'- Feuilles toutes multifides, ou accompagnées de feuilles intermédiaires et/ou
laminaires ; pétales atteignant 3,8-12 mm de long, 2,5-8,5 mm de large, avec
au moins certains nectaires arrondis ou parfois allongés ; anthères atteignant
0,6-1,2 mm ; pédicelle fructifère le plus court 14-54 mm, le plus long
atteignant 18-110 mm ............................................................................................... R. a
Nomenclature utilisée par E. Préaubert :
Batrachium circinatus : 1 spécimen ; 100% R. circinatus
Batrachium trichophyllum : 1 spécimen ; 100% R. trichophyllus subsp.
trichophyllus
R. aquatilis L. s.l. : 22 spécimens ; 3/22e R. aquatilis ; 1/22e R. trichophyllus
subsp. trichophyllus ; 18/22e R. peltatus subsp. peltatus
R. aquatilis L. s.s. : 17 spécimens ; 1/17e R. aquatilis ; 1/17e R. trichophyllus
subsp. trichophyllus ; 15/17e R. peltatus subsp. peltatus
R. aquatilis L. (f. homoiophyllus) : 1 spécimen ; 100% R. aquatilis
R. aquatilis L. (radiatus) : 1 spécimen ; 100% R. aquatilis
R. aquatilis L. (truncatus) : 3 spécimens ; 100% R. peltatus subsp. peltatus
R. aspergillifolius Dumort. : 1 spécimen ; 100% R. trichophyllus subsp.
trichophyllus
R. baudotii : 3 spécimens ; 100% R. peltatus subsp. peltatus
R. baudotii x trichophyllus : 1 spécimen ; 100% R. aquatilis
R. confusus Godr. : 1 spécimen ; 100% R. peltatus subsp. peltatus
R. divaricatus : 5 spécimens ; 100% R. circinatus
R. divaricatus corrigé en R. aquatilis : 1 spécimen ; 100% R. aquatilis
R. diversifolius Gilib. f. truncatus Koch : 1 spécimen ; 100% R. peltatus subsp.
peltatus
R. drouetii Schultz : 9 spécimens ; 4/9e R. aquatilis ; 5/9e R. trichophyllus subsp.
trichophyllus
R. fluitans Lam. : 6 spécimens ; 100% R. penicillatus
R. hederaceus L. : 7 spécimens : 100% R. hederaceus
R. hololeucos Lloyd : 3 spécimens : 100% R. peltatus subsp. fucoides
R. lenormandi Schultz : 2 spécimens : 100% R. omiophyllus
R. radians puis R. x lutzii : 3 spécimens : 100% R. aquatilis
R. rhipiphyllus Bast. : 1 spécimen : 100% R. peltatus subsp. peltatus
R. trichophyllus Chaix : 6 spécimens : 50% R. aquatilis ; 50% R. trichophyllus
subsp. trichophyllus
R. tripartitus : 7 spécimens : 100% R. tripartitus
R. truncatus : 1 spécimen : 100% R. peltatus subsp. peltatus
R. x lutzii Félix : 2 spécimens : 100% R. aquatilis
Nigella
Isopyrum
Helleborus
Caltha
Aquilegia
Aconitum
Delphinium/Consolida
Berberis
Nymphaea
Nuphar
Papaver
Glaucium
Chelidonium
Hypecoum
Corydalis
Fumaria
1- Inflorescences développées et infrutescences égalant 0,4-1,9 fois la longueur
du pédoncule ; fruit lisse à presque lisse à l'état sec .........................................................
1'- Au moins certaines inflorescences développées et infrutescences atteignant >
2,4 fois la longueur du pédoncule ; fruit presque lisse à nettement rugueux à
l'état sec (si presque lisse, inflorescences atteignant > 3,1 fois la longueur du
pédoncule) ........................................................................................................................
2- Pédicelle fructifère nettement recourbé vers le bas ; longueur maximale et
largeur maximale des sépales additionnées = 6,2-8,4 mm .......................................... F.
Fleurs les plus longues 9,0-13,5 mm ; sépales les plus longs 4,1-5,6 mm, les
plus larges 2,0-2,8 mm
2'- Pédicelle fructifère non recourbé vers le bas ; longueur maximale et largeur
maximale des sépales additionnées = 3,9-6,0 mm ..........................................................
Fleurs les plus longues 6,6-12,0 mm ; sépales les plus longs 2,4-4,0 mm, les
plus larges 1,3-2,2 mm
a- Bractée (longueur max.) 1 mm ; sépale (longueur max.) 2,4 mm ; fruit 1,9 x
2,0 mm ................................................................................................................. cf. subs
a'- Bractée (longueur max.) 1,5-2,6 mm ; sépale (longueur max.) 2,7-4,0 mm ;
fruit 2,2-2,5 x 2,0-2,4 mm ...................................................................................... cf. sub
3- Longueur maximale des fleurs égalant 2,6-3,8 fois la largeur maximale des
sépales ......................................................................................................................... F.
- Fleurs les plus longues 5,4-6,7 mm ; sépales les plus longs 1,9-2,9 mm, les
plus larges 1,6-2,2 mm.
3- Longueur maximale des fleurs égalant 5,7-24 fois la largeur maximale des
sépales ..............................................................................................................................
4- Longueurs maximales des fleurs et des sépales cumulées = 4,4-6,4 mm ..........................
4'- Longueurs maximales des fleurs et des sépales cumulées > 6,9 mm ...............................
5- Feuilles sous-tendant les inflorescences à lobes larges de 0,2-0,4 mm ; bractée
(longueur max.) 1,6-2,0 mm ......................................................................................... F.
- Fleurs les plus longues 3,8-5,2 mm ; sépales les plus longs 0,7-1,3 mm, les
plus larges 0,4-0,7 mm.
5'- Feuilles sous-tendant les inflorescences avec au moins certains lobes
atteignant une largeur de 0,5-1,8 mm ; bractée (longueur max.) 1,0-1,2 mm
(1,8 mm chez un individu d'une population normale par ailleurs) ................................ F
- Fleurs les plus longues 4,0-5,8 mm ; sépales les plus longs 0,3-0,8 mm, les
plus larges 0,2-0,4 mm.
6- Fruit 0,79-0,96 fois aussi long que large ...................................................................... F.
- Bractées les plus longues 1,0-2,8 mm ; fleurs les plus longues 5,8-8,0 mm ;
sépales les plus longs 1,1-3,0 mm, les plus larges 0,5-1,2 mm.
6'- Fruit 1,00-1,15 fois aussi long que large ..........................................................................
7- Pédicelle fructifère 2,7-3,8 mm, non réfléchi ; bractée 1,2-2,4 mm ; fleurs les
plus longues 6,5-11 mm ; sépales les plus longs 1,5-2,5 mm, les plus larges
0,7-1,5 mm ......................................................................................................................F
7'- Pédicelle fructifère 4,3 mm, réfléchi à la base et recourbés vers l'horizontale
vers l'extrémité, formant un S ; bractée 2,7 mm ; fleurs les plus longues 12
mm ; sépales les plus longs 4,1 mm, les plus larges 2,1 mm ...........................................
- Romorantin (syntype probable : récolte de E. Martin en 1884).
Raphanus
Rapistrum rugosum
1- Pédicelle 1,8-6,5 fois aussi long que le premier segment du fruit ; style long de
1-1,8 mm ................................................................................................................ subsp
5 spécimens : Pyr.-Atl., Sardaigne, Puy-de-Dôme, Maine-et-Loire, Algérie
1'- Pédicelle 0,6-1,3 fois aussi long que le premier segment du fruit ; style long
de 2,1-4,3 mm ......................................................................................................... subsp
6 spécimens : Charente-Mar., Pyr.-Atl., Indre-et-Loire
Cheiranthus
Barbarea
1. - Feuilles basales entièrement glabres ou rarement (1 cas) avec des oreillettes
poilues (ciliées) ; feuille caulinaire standard (= celle située au plus près de la
base de l'inflorescence) entièrement glabres ; cette feuille entière ou lobée sur
profondeur de 30% maximum vers la nervure médiane, en dehors de la paire
basale de lobes parfois plus profondément lobée ; style long de 2-3,5 mm .....................
15 spécimens
1' - Feuilles basales poilues au moins sur les oreillettes et le rachis ; feuille
caulinaire standard poilue, au moins sur les oreillettes ; cette feuille toujours
5- à 7-lobée, divisée sur une profondeur de 66-90 % vers la nervure médiane,
hors la paire basale de lobes ; style long de 0,6-1,7 mm ..................................................
2 - Feuilles basales poilues sur les oreillettes, le rachis et au moins certaines
folioles (qui sont ciliées) ; feuille caulinaire standard poilues sur les
oreillettes, le rachis et au moins certaines folioles ; pétale 4-5 mm ; fruit mûr
19-31 x 1-1,6 mm, à pédicelle 1,7-3 fois plus mince en vue latérale (= large de
0,4-0,8 mm) ................................................................................................................ B.
12 spécimens
2'- Feuilles basales poilues seulement sur les oreillettes et le rachis, les folioles
glabres ; feuille caulinaire standard à oreillettes ciliées, reste glabre ; pétale
5,2-8 mm ; fruit mûr 52-75 x 2-2,2 mm, à pédicelle 1,2-1,6 fois plus mince en
vue latérale (= large de 1,3-1,6 mm) ................................................................................
7 spécimens
Note : les variations internes à B. vulgaris (nommées « arcuata », « rivularis »,
« bracteata ») semblent connectées entre elles (absences de fossés
morphologiques) et dépourvues de corrélations pluri-caractères ; les variations
à fruits dressés (« rivularis ») sont à l'origine de mentions de B. stricta en
France, taxon distinct par les sépales nettement poilus, alors qu'ils sont glabres
chez tous les spécimens étudiés ici.
Turritis
Arabis
1- Base de la tige (3 premiers cm) à poils tous simples, ou bien jusqu'à 50(80) %
de poils bifides et dans ce cas, ces poils ramifiés au sommet d'un stipe d'une
hauteur toujours > 0,1 mm ; 5-16(-21) feuilles caulinaires, celles-ci à
oreillettes absentes, ou si présentes, d'une longueur totale < 0,8 mm (à
mesurer dans l'axe de l'oreillette), la partie la plus allongée (ne pas tenir
compte de la base de l'oreillette lorsque celle-ci s'élargit brusquement) < 0,66
fois aussi longue que large ; fruit mûr 18-42 mm .............................................................
1'- Base de la tige à poils tous simples, ou bien jusqu'à 100% de poils bifides et
dans ce cas, au moins certains ramifiés dès la base (stipe nul) ; 10-40 feuilles
caulinaires, au moins certaines d'entre elles à oreillettes d'une longueur totale
> 0,7 mm, la partie la plus allongée > 0,70 fois aussi longue que large ; fruit
mûr 32- > 60 mm ..............................................................................................................
2- 5-14 feuilles caulinaires toutes dépourvues d'oreillettes ; fruit mûr 18-20 mm,
à valves pourvues d'une nervure très marquée atteignant l'extrémité distale ...................
Maine-et-Loire : absent.
Autres localités : Haute-Savoie (2010.2557, « A. alpestris » ; 2010.2558, « A.
alpestris ») ; Suisse (2008.8029*)
2'- 12-16(21) feuilles caulinaires, dont au moins certaines pourvues d'oreillettes,
sauf 1 spécimen à feuilles toutes dépourvues d'oreillettes ; fruit mûr 23-42
mm, à valves pourvue d'une nervure centrale moins marquée et indistincte à
l'extrémité distale sur une longueur de 0,5-6 mm .............................................................
Maine-et-Loire : absent.
Autres localités : Var (2010.2541, « A. hirsuta ») ; Loire (2010.2545, « A.
sagittata ») ; Puy-de-Dôme (2008.8024*, « A. hirsuta ») ; Indre-et-Loire
(2010.2544, « A. sagittata ») ; Oise (2010.2553, « A. sagittata »)
3- Base de la tige avec > 99% de poils bifides, à stipe absents ou atteignant < 0,1
mm ; feuilles caulinaires à oreillettes les plus longues atteignant 2,5 mm ;
feuilles caulinaires inférieures à face inférieure à poils tous 3- à 4-fides ; fruit
mûr > 60 mm (le spécimen montre des fruits non mûrs de 60 mm) ......................... A. p
Maine-et-Loire : absent.
Autres localités : Var (2010.2556, « A. permixta »)
3'- Base de la tige avec 0-100 % de poils bifides (si > 75%, à stipe atteignant >
0,2 mm) ; feuilles caulinaires à oreillettes les plus longues atteignant 0,7-2,5
mm ; feuilles caulinaires inférieures à face inférieure à poils en partie ou tous
2-fides, parfois certains 3-fides, jamais 4-fides ; fruit mûr 32-54 mm .......................... A
Maine-et-Loire : Forêt de Fontevraud (2008.7938*, « A. procera ») ; Pontigné
(2008.7941*, « A. procera ») ; Pontigné (2007.0253**, « A. sagittata ») ;
Pontigné (2007.0254**, « A. pubigera ») ; Bois de Soucelles (2007.0251**,
« A. sagittata ») ; St-Cyr (2007.0252**, « A. sagittata ») ; Baugé
(2007.0255**, « A. sagittata ») ; ? (2010.2543, « A. hirsuta ») ; ? (2010.2547,
« A. sagittata ») ; ? (2010.2548, « A. hirsuta ») ; ? (2010.2549, « A.
sagittata ») ; ? (2010.2550, « A. sagittata »)
Autre localités : Haute-Savoie (2010.2538, « A. incana » ; 2010.2539, « A.
incana ») ; Alsace (2008.8026*) ; Corrèze (2008.7940*, « A. procera » ; Côted'Or, à Dijon (2008.7942*, « A. procera ») ; Cher, à St-Amand (2008.7945*,
« A. procera ») ; Vienne, à Falaise (2008.7943*, « A. procera ») ; Loiret, à
Orléans (2008.7943*, « A. procera ») ; Indre-et-Loire (2010.2542, « A.
hirsuta ») ; Oise (2010.2546, « A. sagittata » ; 2010.2551, « A. sagittata » ;
2010.2552, « A. sagittata » ; 2010.2554, « A. sagittata » ; 2010.2555, « A.
sagittata »)
Correspondance nomenclaturale tout territoire confondu :
« A. hirsuta » sensu Préaubert (3) : 100% A. sagittata
« A. hirsuta » sensu Boreau (1) : 100% A. hirsuta
« A. incana » sensu Boreau (2) : 100% A. sagittata
« A. sagittata » sensu Préaubert (10) : 80% A. sagittata, 20% A. hirsuta
« A. procera » sensu Boreau (8) : 100% A. sagittata
Correspondance nomenclaturale en Maine-et-Loire :
« A. hirsuta » sensu Préaubert (2) : 100% A. sagittata
« A. sagittata » sensu Préaubert (3) : 100% A. sagittata
« A. sagitttata » sensu Bouvet (4) : 100% A. sagittata
« A. pubigera » sensu Bouvet (1) : 100% A. sagittata
« A. procera » sensu Boreau (2) : 100% A. sagittata
Nasturtium
Rorippa
1- Toutes les bractées standards (sous-tendant la première grappe non ramifiée
située au plus bas sur la tige) incisée sur une profondeur de 80-99 % .............................
1'- Au moins certaines bractées standard incisées sur une profondeur < 80 % .....................
2 - Bractées standards toutes pennatisequées en segments linéaires larges de 0,30,5 mm, portés par un rachis large de 0,3-0,5 mm également ..................................... R.
16 spécimens ; autres caractères : feuilles caulinaires toutes avec oreillettes,
les plus longues 1,4-3,2 mm ; sépales glabres ; fruit à L/l = 1,3-3,0, hors style
0,9-1,2 mm - à noter un spécimen à fruits à peine mûrs atteint un L/l de 3,9
mm)
2' - Bractées standards la plupart pennatiséquées en segments larges > 1 mm,
eux-même dentés ou lobés, et/ou portés par un rachis large > 1 mm ...............................
3 - Sépale 1,2-1,9 mm ; pétale (attention : peu de mesures, et se rétractent
généralement en herbier) 1,2-2 mm, 0,74-1,11 fois aussi long que les sépales ;
fruit à L/l = 2-3,5, hors style 0,2-0,7 mm .........................................................................
11 spécimens ; autres caractères : généralement au moins certaines feuilles
caulinaires avec des auricules, les atteignant alors 1-2,5 mm, rarement sans
oreillettes - 1 cas- ou très courtes -1 cas : 0,5 mm max. - ; toujours au moins
quelques poils sur les calices
3'- Sépale 2-2,8 mm ; pétales (idem) 2,5-5 mm, 1,25-1,79 fois aussi long que les
sépales ; fruit à L/l > 4 (hors style), ou bien (R. x anceps) à L/l descendant
jusqu'à seulement 2,6, mais dans ce cas, style 1-1,2 mm .................................................
4 - Feuilles basales à zone standard (partie apicale d'une longueur = 1,5 fois la
largeur max) incisée sur une profondeur de 91-98 % ; oreillettes généralement
absentes ou (2 cas) présentes sur certaines feuilles, atteignant alors seulement
0,3 mm ; > 10 % des calices poilus (sauf 1 cas non mesurable, 1 cas à sépales
tous glabres) ................................................................................................................. R
13 spécimens ; autres caractères : fruit à L/l = 4,4-15, hors style 0,5-1 mm
4'- Feuilles basales à zone standard incisée sur une profondeur de 8-89 % ;
oreillettes toujours présentes au moins sur certaines feuilles, atteignant 0,5-1,8
mm ; sépales toujours glabres (sauf 1 cas non mesurable) ............................ R. x ancep
7 spécimens ; autres caractères : fruit à L/l = 2,6-9,1, hors style 0,9-1,5 mm ;
caractères indiqués ici prenant en compte seulement les 7 spécimens
concernés
5 - Ensemble des caractères suivants : plantes fertiles ; bractées standard toutes
entières ou à incisions profondes de 35 % maximum ; pédicelle 6,5-14 mm
(mesures sur plante en début et fin de fructification) ; calices glabres ; style
long de 0,6-1,5 mm ...........................................................................................................
5' - Bractées standard au moins en partie à incisions profondes de > 60 %, sauf 2
spécimens chez lesquelles ces bractées sont incisées sur 20-25 %,
respectivement distinctes par les combinaisons de caractères suivantes : 1)
plante stérile à pédicelles long de 4 mm, calices pour la plupart poilus, styles
0,4 mm (R. cf. x erythrocaulis) ; 2) plante en début de fructification à
pédicelles longs de 3,5 mm (R. x anceps) ........................................................................
6 - Toutes les feuilles caulinaires avec des auricules, dont les plus longues
atteignent 4-6 mm ; sépales 1,6-1,8 mm ; fruit à L/l = 1,0-1,1, hors style 1,01,1 mm .......................................................................................................................... R
2 spécimens en début de fructification
6'- Au moins certaines feuilles caulinaires non auriculées, et si présentes sur
certaines feuilles, atteignant 3 mm maximum ; sépales 2,1-3,2 mm (? pour 5
spécimens en fruit) ; fruit à L/l = 1,5-3,1, hors style 0,6-1,5 mm ................................. R
12 spécimens en début et fin de fructification
7 - Au moins certaines feuilles avec oreillettes, les plus longues atteignant 1-2,5
mm ; sépales 1,6-2,2 mm, poilus ou glabres (1 spécimen) ; pétales 1,7-2,5 mm
(peu de mesures, se rétractent généralement en herbier), 0,91-1,25 fois la
longueur des sépales ; fruit à L/l = 2,3-3,5, hors style 0,2-0,6 mm ................ R. cf. x ery
5 spécimens en début et fin de fructification
7'- Toutes les feuilles dépourvues d'oreillettes (2 cas), ou présentes, et dans ce cas
les plus longues atteignant 0,2-1,8 mm ; sépales 2,0-2,7 mm (? pour 8
spécimen), glabres (? pour 5 spécimens) ; pétales 2,5-3,5 mm (idem), 1,251,52 fois la longueur des sépales ; fruit à L/l = 2,6-6,9 (9,1 : 1 cas), hors style
0,9-1,5 mm ..................................................................................................... R. x ancep
10 spécimens en début ou fin de fructification ; biométrie considérant
l'ensemble des 17 spécimens
Cardamine gr. hirsuta/flexuosa
1. - Tige centrale avec 1-4 feuilles caulinaires, totalisant 5-30 folioles principales
(ne pas prendre en compte les tiges latérales qui sont souvent plus feuillées et
peuvent induire en erreur) ; feuilles basales et caulinaires à folioles
intermédiaires parfois présentes entre la foliole terminal et la première paire
de folioles latérales, mais toujours absentes entre les paires de folioles
latérales .............................................................................................................................
1'- Tige centrale avec 4-10 feuilles caulinaires, totalisant 34-88 folioles
principales ; feuilles basales et caulinaires à folioles intermédiaires présentes
entre certaines paires de folioles latérales dans 85 % des échantillons ......................... C
Cardamine pratensis
1 - Feuille caulinaire située le plus près de la base de l'inflorescence à foliole
terminale à L/l = 2-4, à folioles latérales situées juste en dessous à L/l = 2,5-3,
à folioles latérales basales pétiolulées sur 1,5 mm ; sépales longs de 4-4,2 mm ... subsp
2 spécimens : Maine-et-Loire
1'- Feuille caulinaire située au plus près de la première fleur de la base de
l'inflorescence à foliole terminale à L/l > 9, à folioles latérales situées juste en
dessous à L/l > 5, à folioles latérales basales sessiles ; sépales longs de 3-3,9
mm ......................................................................................................................... subsp
Note : cette subsp. pratensis se présente sous 2 variations distinctes dans l'herbier,
la corrélation de caractère présentée ci-dessous restant à étudier à une plus
large échelle ; si cette distinction se confirme, il pourrait s'agir de 2 cytotypes
génétiquement isolés et pouvant être considérés comme 2 sous-espèces
distinctes dont la nomenclature sera à éclaircir.
a - Feuilles basales à foliole terminale de taille très différente des folioles
latérales situées juste en dessous (longueur et largeur additionnées de la
foliole terminale > 1,6 fois les longueur et largeur additionnées de la foliole
latérale) ; feuille caulinaire située au plus près de la base de l'inflorescence à
foliole terminale à L/l = 9-15 ........................................................................... cf. cytoty
8 spécimens : Maine-et-Loire, Oise, Suisse
a' - Feuilles basales à foliole terminale de taille peu différente des folioles
latérales situées juste en dessous (longueur et largeur additionnées de la
foliole terminale < 1,6 fois les longueur et largeur additionnées de la foliole
latérale) ; feuille caulinaire située au plus près de la base de l'inflorescence à
foliole terminale à L/l = 22-25 ...................................................................... cf. cytotype
3 spécimens : Saône-et-Loire, Maine-et-Loire, Oise.
Hesperis
Alliaria
Erysimum
Conringia
Sisymbrium
Brassica
Sinapis
Diplotaxis
1- Sépales atteignant 4,8-5,2 mm ; pétales longs de 7-9,5 mm, larges de 3,5-5 mm
; anthères atteignant 1,6-2,1 mm ; fruits à stipe (= zone située entre l'insertion
des étamines et les valves de la silique) long de 0,8-1,8 mm ...........................................
7 spécimens :
1'- Sépales atteignant 2-4,1 mm ; pétales longs de 4,5-7,5 mm, larges de 0,5-3,2
mm ; anthères atteignant 0,5-1,6 mm ; fruit à stipe long de 0,1-0,5 mm ..........................
2 - Etamines les plus courtes (la longueur des étamines étant variable dans les
fleurs ; prendre en compte les étamines les plus courtes) à filets longs de 1,21,7 mm ; anthères atteignant 0,5-0,8 mm ; sépales atteignant 2-2,9 mm ;
pétales longs de 2,3-4 mm, larges de 0,5-1,2 mm .......................................................... D
9 spécimens :
2'- Etamines les plus courtes à filets longs de 2,3-3,7 mm ; anthères atteignant
0,9-1,6 mm ; sépales atteignant 3-4,1 mm ; pétales longs de 4,5-7,5 mm,
larges de 1,5-3,2 mm ......................................................................................................
12 spécimens :
Eruca
Lunaria
Aubrieta
Berteroa
Draba
Erophila verna aggr.
Les caractères avancés par les flores usuelles pour la distinction des 3 sousespèces E. verna subsp. verna, E. verna subsp. spathulata et E. verna subsp.
simplex ne fonctionne pas sur les 46 spécimens analysés, leurs présences étant
dépourvus de corrélations significatives. Par contre le système ci-dessous,
inspiré du traitement de T.C.G. Rich (Crucifers of Great Britain and Ireland,
B.S.B.I. Handbook n°6, 1991, London) permet de classer 100% des 46
spécimens de l'herbier et est ici adopté de façon définitive, même si des études
ultérieures doivent être mener pour vérifier la corrélation de caractères
observée ici sur l'ensemble de l'aire de l'agrégat. D'après Rich 1991 (loc. cit.),
E. majuscula est diploïde, alors que E. verna et E. glabrescens (que cet auteur
distingue, mais qui est rattaché à E. verna ici) sont polyploïdes, ce qui justifie
le rang spécifique.
1 - Parmi les feuilles intérieures de la rosette (celles situées contre la tige), celle
pourvue du plus grand nombre de poils avec, visible du dessus (=poils situés à
la face supérieure et à la marge) 39-c.170 poils multifides (=trifides et
quadrifides), ceux-ci représentant 49-99 % de la totalité des poils ; pétales
incisés sur une profondeur de 29-50 % (sauf un seul spéciment avec 54 %) ;
fruits les plus longs larges de 1,5-2,1 mm (sauf un spécimen 2,3 mm), à L/l =
2,2-4,5 (hors style toujours long de 0,2 mm) ; graines les plus longues 0,40-
0,50 mm ....................................................................................................................... E.
21 spécimens, dont 14 en Maine-et-Loire, également Rhône, Oise, Corrèze
1'- Cette feuille choisie de la même manière avec, visibles du dessus, 0-32 poils
multifides, ceux-ci représentant 0-50 % de la totalité des poils ; pétales incisés
sur une profondeur de 38-63 % (sauf un spécimen avec 30 %) ; fruits les plus
longs larges de 2,1-3,1 mm, à L/l = 1,4-3,0 (hors style toujours long de 0,2
mm) ; graines les plus longues 0,52-0,67 mm ................................. E. verna (incl. E. gl
25 spécimens, dont 18 en Maine-et-Loire, également Rhône, Oise, Corse,
Charente-Maritime.
Note : le spécimen de Corse est représenté par l'un des types nomenclatural de
E. corsica Debeaux, taxon publié dans Magnier, Scrinia selectae exsiccatae.
Alyssum
Camelina
Iberis
Thlaspi
Teesdalia
1 - Feuilles basales pourvues de poils atteignant 0,4-0,5 mm ; base de la tige
portant 15-100 poils / mm, ceux-ci atteignant 0,1-0,3 mm et étant tous ou
plupart > 8 fois aussi longs qu'épais ; pédicelles pourvus de 30-120 poils,
ceux-ci 4-8 fois aussi longs qu'épais ; fruit à style long de 0,1-0,2 mm ...........................
12 spécimens
1' - Feuilles basales pourvues de poils atteignant 0,05-0,1 mm ; base de la tige
portant 2-25 poils / mm, ceux-ci atteignant 0,02-0,07 mm et étant 1-4 fois
aussi longs qu'épais (+ ou - papilliformes) ; pédicelles pourvus de 0-15 poils
papilliformes 1-2 fois aussi longs qu'épais ; fruits à style long de 0,02-0,05
mm .......................................................................................................................... T. cor
4 spécimens
Lepidium
Coronopus
Hutchinsia
Capsella
Isatis
Myagrum
Neslia
Calepina
Capparis
Reseda
Sesamoides
Cistaceae
Les taxons se reconnaissent au stade végétatif.
1. Feuilles à pétiole nettement distinct, 0,6-4 mm, et à stipules 1,2-7,2 x 0,3-1,2
mm ....................................................................................................................................
1’. Feuilles sans pétiole nettement distinct, car soit à limbe étroit jusqu’à la base,
soit à limbe large mais graduellement rétrécies à la base, dans tous les cas
sans stipules ......................................................................................................................
Note : chez Tuberaria guttata, les bractées sont stipulées alors que les feuilles ne
le sont pas.
2. Plante annuelle légèrement ligneuse ; stipules avec 30-200 poils étoilés sur
chaque face ; feuilles à face inf. à poils étoilés cachant < 20 % de l’épiderme ................
4 spécimens)
2’. Plante vivace plus nettement ligneuse ; stipules à face supérieure glabre ou
avec 1-2 poils simples, à face inférieure avec 0-6 poils simples, 0-10 poils
bifides et 0-30 poils étoilés ; feuilles à face inf. à poils étoilés cachant > 80 %
de l’épiderme (sauf deux spécimens de H. nummularium hors Maine-et-Loire
à poils étoilés plus épars ou absents) ................................................................................
3. Fleurs blanc pur ; feuille à face sup. avec c. 200-1000 poils tous étoilés à 5-12
branches ; stipules larges de 0,3-0,6 mm, avec 2-30 poils à la face inf. ; tige
(hors inflorescence et 2 entrenoeuds sous elle) avec 40-100 poils (tous étoilés)
/ mm ......................................................................... Helianthemum apenninum subsp. a
8 spécimens
3. Fleurs jaunes ou jaunâtres ; feuille à face sup. glabre (un spécimen de H.
nummularium) ou avec 4-300 poils bifides accompagnés de 0-90 poils
simples et de 0-240 poils à 3-9 branches ; stipules larges de 0,4-1,2 mm,
glabre à la face inférieure (sauf un spécimen de H. x sulfureum avec 5 poils) ;
tige (hors inflorescence et 2 entrenoueuds sous elle) glabre ou avec 20 poils
(tous étoilés) / mm chez 2 spécimens de H. x sulfureum (dans tous les cas,
sans poils simples ou bifide, sauf un spécimen hors Maine-et-Loire avec 50
poils simples / mm) ..........................................................................................................
4. Fleurs jaunâtres ; au moins certaines feuilles à face sup. avec > 5 poils à 3
branches ou plus, à poils simples absents chez 4 spécimens/6 ; stipules larges
de 0,4-1,1 mm ...................................................................................... Helianthemum x
7 spécimens
4’. Fleurs jaune intense ; toutes les feuilles à face sup. glabre ou à poils tous
simples ou bifides ; poils simples et bifides présents, sauf chez 1 spécimen à
feuilles glabres ; stipules larges de 0,7-1,2 mm ................................ Helianthemum num
6 spécimens
5. Plante vivace assez ligneuse ; limbe large de 0,4-0,7 mm, à micro-poils
simples 0,02-0,05 mm sur la marge et parfois sur les faces, avec 1(3) poils de
0,1-0,3 mm à l’extrémité du limbe et parfois sur la marge, sans poils bifides
ou étoilés ; tige avec des poils tous ou presque tous simples ...........................................
5’. Limbe large de 1,5-14 mm, à micro-poils simples absents ou présents (chez
Halimium umbellatum), à face inférieure pourvue de nombreux poils étoilés ;
tige avec des poils denses, tous ou presque tous étoilés ...................................................
6. Plante vivace ligneuse ; limbe large de 1,5-3 mm, à micro-poils simples 0,020,1 mm présents sur les deux faces, à face supérieure avec des poils simples et
bifides atteignant 0,7 mm, rarement quelques poils étoilés vers la base, face
inférieure à poils étoilés cachant l’épiderme à > 80 % (sauf la nervure peu
poilue) ; tige à poils étoilés à rameaux fins orientés dans l’axe de la tige (sauf
jeunes tiges) .................................................................... Halimium umbellatum subp. u
6’. Limbe large de 5-14 mm, sans micro-poils, à face supérieure avec des poils
simples ou bifides atteignant 1-1,5 mm, mêlés à des poils étoilés, au moins
vers la marge densément poilue-étoilée, face inférieure à poils étoilés cachant
< 20 % de l’épiderme (sauf chez les jeunes feuilles de Halimium alyssoides) ;
tige à poils étoilés à rameaux plus épais et rayonnants autour de leurs points
d’insertion .........................................................................................................................
7. Plante vivace ligneuse ; feuille large de 5-7 mm à face supérieure à pubescence
constituée de 76-85 % de poils étoilés, ceux-ci avec jusqu’à 8-9 branches, à
face inférieure à poils étoilés mêlés ou non de poils simples et bifide .............................
7’. Plante annuelle herbacée ; feuille large de 6-14 mm à limbe à face supérieure
à pubescence constituée de 0-37 % de poils étoilés, ceux-ci avec jusqu’à 4-5
branches, à face inférieure pourvue de poils étoilés uniquement .....................................
Viola
1. subg. Viola .........................................................................................................................
1’. subg. Melanium ................................................................................................................
2. Tiges nettement enflées à la base, < 10 mm ; limbes foliaires glabres ..............................
Note : espèce cultivée, en voie de naturalisation en Fr. selon Espeut in Flora
gallica.
2’ Tiges non nettement enflées à la base, > 20 mm sauf chez des taxons à feuilles
d’été à limbes poilus .........................................................................................................
3. Feuilles à limbes atteignant 0,91-1,05 fois leur largeur ; éperon atteignant 0,61,2 mm ; plante glabre ou avec quelques pétioles poilus (jusqu’à 10 / mm)
et/ou sur certains limbes foliaires (< 1 / cm²), à tiges toutes plagiotropes ......................
3’. Feuilles à limbes atteignant 1,12-2,8 fois leur largeur ; éperon atteignant > 1,7
mm ; au moins un des caractères suivants : plante plus poilue ; plante à tiges
orthotropes présentes ........................................................................................................
4. Plante à tiges toutes nettement plagiotropes (celles-ci parfois très courtes) ;
feuilles de fin de printemps et été à pétiole avec 15-100 poils / mm ; capsule
et/ou sépales poilus ; sépales arrondis au sommet ............................................................
4’. Plante à tiges toutes orthotropes et allongées ; feuilles de fin de printemps et
été à pétiole glabre comme celles du début du printemps ; capsule et sépales
glabres ; sépales aigus au sommet ....................................................................................
Note : un hybride entre les deux groupes, V. x duffortii Fouill. (V. alba x
reichenbachiana), récolté hors Maine-et-Loire, est présent dans l'Herbier
Préaubert (3 parts d’herbier) ; ces planches d'herbier provenant toutes du
typodème de ce taxon (Tonnay-Charente en Charente-Maritime) ; elles
présentent à la fois des tiges orthotropes et plagiotropes, une pubescence
instable sur les feuilles et les axes, ainsi que des capsules (à peine
développées) poilues et des sépales assez aiguës.
5. Tiges plagiotropes atteignant 2-15(25) mm (=a) ; pétioles des feuilles de fin de
printemps et été à pubescence comportant 6-29 % de poils < 0,4 mm (=b) ; a x
b = 0,2-3,3 .......................................................................................................................
Note : pétioles des feuilles de fin de printemps et été à poils les plus longs
atteignant 0,6-1,5 mm, la plupart orientés à 70-90° ; feuilles de fin de
printemps et début d’été à limbes atteignant 1,50-1,87 fois sa largeur.
5’. Tiges plagiotropes atteignant (12)15-230 mm (=a) ; pétioles des feuilles de fin
de printemps et été à pubescence comportant 14-100 % de poils < 0,4 mm
(=b) ; a x b = 6,3-230.........................................................................................................
6. Au moins certains stipules avec un bord muni de > 5 dents latérales longues de
> 0,5 mm (certaines dents atteignant 0,6-1,6 mm) ...........................................................
6’. Tous les stipules avec < 5 des dents latérales longues de > 0,5 mm (certaines
dents atteignant 0,3-1 mm) ................................................................................................
Note : l’observation des stipules est assez difficile sur matériel d’herbier ; ce
caractère est à affiner à partir de l’étude de plantes fraîches et/ou de planches
d’herbier correctement préparées (pourvues des stipules les mieux développés
pressés à part).
7. Stipules atteignant 1,5-2,0 mm de largeur ................................................................. V. a
Note : pétioles des feuilles de fin de printemps et été à pubescence comportant
23-83 % de poils < 0,4 mm, les plus longs atteignant 0,6-1,8 mm, la plupart
orientés à 45-90° ; limbes foliaires atteignant 1,37-1,55 leur largeur ; sépales
basaux (appendice inclus) les plus allongés atteignant 2,05-3,06 fois leur
largeur ; sépales latéraux (appendice inclus) les plus allongés atteignant 3,354,55 fois leur largeur ; fleurs à éperon atteignant 1,7-4,1 mm.
7’. Stipules atteignant 2,4-4 mm de largeur ...........................................................................
8. Sépales basaux (appendices inclus) les plus allongés atteignant 1,9-2,2 fois
leur largeur ; sépales latéraux (appendices inclus) les plus allongés atteignant
2,1-2,8 fois leur largeur ...................................................................................... V. suavi
Note : tiges plagiotropes atteignant 25-170 x 0,9-1,5 mmm ; feuilles à limbes
atteignant 1,25-1,64 fois leur largeur ; pétioles des feuilles de fin de printemps
et été à pubescence comportant 77-100 % de poils < 0,4 mm, les plus longs
atteignant 0,15-0,7 mm, la plupart orientés à 45-70° ; fleurs à éperon
atteignant 1,9-3,2 mm ; étamines à nectaire large de 0,5-0,8 mm.
8’. Sépales basaux (appendices inclus) les plus allongés atteignant 2,4-4,4 fois
leur largeur ; sépales latéraux (appendices inclus) les plus allongés atteignant
3,2-3,8 fois leur largeur ....................................................................................................
9. Tiges plagiotropes atteignant 15 x 1,2 mm ; pétioles des feuilles de fin de
printemps et été à pubescence comportant 42 % de poils < 0,4 mm (=b), les
plus longs atteignant 0,9 mm, la plupart orientés à 60° ................................... V. x adulte
Note : hybride V. alba x hirta ; feuilles à limbe atteignant 1,42 fois leur
largeur ; fleurs à éperon atteignant 4,6 mm.
9’. Tiges plagiotropes atteignant 95-210 x 0,6-0,8 mm ; pétioles des feuilles de
fin de printemps et été à pubescence comportant 62-100 % de poils < 0,4 mm
(=b), les plus longs atteignant 0,3-0,8 mm, la plupart orientés à 20-45° ..........................
Note : hybride V. alba x odorata ; feuilles à limbes atteignant 1,12-1,50 fois
leur largeur ; fleurs à éperon atteignant 2,5-4,2 mm.
10. Feuilles de fin de printemps et début d’été à limbes atteignant 1,13-1,39 fois
leur largeur (=a) ; pétioles des feuilles de fin de printemps et été à pubescence
comportant 97-100 % des poils < 0,4 mm (=b), les plus longs atteignant 0,250,5 mm, la plupart orientés à 20-45° ; b/a = 0,73-0,89 ............................................... V.
Note : selon les indications manuscrites sur les planches d’herbier, fleurs
violettes ou violet foncé, odorantes, éperon concolore, sauf spécimen :
2010.533, 544, 545 à fleurs lilas ; 2010.543, 548, 557 à fleurs blanches ;
2010.73 à fleurs blanches, éperon lég. violacé ; 2010.548 à fleurs carnées et
éperon violet ; 2010.552 à fleurs inodores. Il est possible qu’une partie des
spécimens considérés ici comme V. odorata (notamment celles que E.
Préaubert a nommé V. dumetorum) soient des formes de V. x scabra presque
indiscernables de V. odorata (seuls quelques limbes foliaires à apex
triangulaire et les fleurs inodores pourraient éventuellement montrer une
influence de V. hirta).
Maine-et-Loire :
Angers, haies de la route d’Avrillé, 11/03/1869 EP, « V. odorata L. », 2010.539 ;
Angers, haies de la route de Nantes, 26/03/1875 EP, « V. odorata L. », 2010.540.
Angers, haies de la route de Nantes, 26/03/1875 EP, « V. dumetorum Jord. »,
2010.555 ;
Angers, aux Banchais, 27/03/1883 EP, « V. odorata L. », 2010.536 ;
Chalonnes-sur-Loire (au tombeau Leclerc), 16/02/1915 EP, « V. odorata L. »,
2010.552 ;
Cholet, près de, haies, taillis, 30/02/1872 F. Camus = EP, « V. odorata L. »,
2010.534 ;
Nyoiseau, 22/03/1885 EP, « V. odorata L. var. subcarnea Jord. », 2010.544 ;
Nyoiseau (route de Segré), 22/03/1885 EP, « V. odorata L. », 2010.73 ;
Le Plessis-Grammoire, près la gare, mêlé avec V. permixta Jord., 15/05/1898 EP,
« V. odorata L. », 2010.546 ;
Pontigné, sur le calcaire d’eau douce, près des Roches, 20/04/1904 EP, « V.
odorata L. », 2010.535 ;
Rochefort-sur-Loire, rochers de St-Symphorien, 20/03/1875 EP, « V. odorata L.,
2010.538 ;
Saumur (bois de N.D. des Ardellers), 13/03/1885 EP, « V. permixta Jord. »
corrigé en « V. dumetorum Jord », 2010. 554 ;
St-Barthélémy (les haies), 16/02/1868 EP, « V. dumetorum Jord. », 2011.557 ;
St-Clément-de-la-Place, 12/03/1912 EP, « V. odorata L. », 2010.531 ;
St-Florent-le-Vieil, 15/03/1910 EP, « V. odorata L. », 2010.532 ;
St-Florent-le-Vieil, 15/03/1910 EP, « V. odorata L. var. subcarnea Jord. »,
2010.533 ;
Ste-Gemmes-sur-Loire (plateau de la Baumette), 01/03/1868 EP, « V. dumetorum
Jord. », 2010.556 ;
entre St-Maur et Gennes, coteaux, 23/03/1879 Bouvet = EP, « V. odorata L. »,
2010.537 ;
St-Rémy-la-Varenne, 07/04/1915 Pavis, « V. odorata L. var. subcarnea Jord. » EP,
2010.545 ;
Varennes sous Montsoreau, 06/04/1887 EP, « V. odorata L. », 2010.541 ;
Autres localités :
Ariège (St-Girons, bois à Lacour), 04/1876 et 06/1876 E. Timbal-Lagrave
(Société dauphinoise n°1110), « V. subcarnea Jord. », 2010.550 ;
Oise (La Bosse, dans les haies sur le calcaire), 10/04/1881 EP, « V. odorata L. »,
2010.547 (à fleurs violettes, lie de vin) et 2010.548 (à fleurs blanches) ;
Oise (Bury, vallée du Thérain), 02/04/1882 EP, « V. odorata L. », 2010.542 ;
Oise (Bury, coteaux de la vallée du Thérain, calcaires grossiers), 02/04/1882 EP,
« V. odorata L. », 2010.543 ;
Oise (Savigny, pente sud du Mont Courcelles), 10/04/1882 EP, « V. odorata L. »,
2010.558 ;
Saône-et-Loire (St-Emiland, talus herbeux du fossé du Château d’Epiry),
9/04/1883 et 03/06/1883 C. Ozanon (Flora selecta exsiccata n°483), « V.
subcarnea Jord. », 2010.549.
10’. Feuilles de fin de printemps et début d’été à limbes atteignant 1,37-1,93 fois
leur largeur (=a) ; pétiole des feuilles de fin de printemps et été à pubescence
comportant 14-98 % des poils < 0,4 mmm (=b), les plus longs atteignant 0,51,4 mm, la plupart orientés à 30-90° ; b/a = 0,09-0,65 ..................................... V. x scabr
Note : Hybride V. hirta x odorata très répandu et souvent fertile, aux limites
floues (introgressions).
Maine-et-Loire : à compléter
Planche de Mozé, 04/03/1883 EP, « V. permixta Jord. » corrigé en « V.
dumetorum Jord. », 2010.553.
11. Tige de l’année portant les premières feuilles à limbe différencié à < 5 mm de
la base (= rosettes basales bien développées) ; stipules basaux et médians
larges, à 2 mm de l’apex, de 0,2-0,3 mm pour les plus finement acuminés, de
0,3-0,7 mm pour les plus largement aigus ; 90-100 % des feuilles à limbe
cordé ; limbes foliaires atteignant 1,1-1,7 fois leur largeur ; tous les stipules <
au pétiole correspondant ...................................................................................................
11’. Au moins certaines tiges de l’année portant les premières feuilles à limbes
différenciés à > 8 mm de la base (= rosettes basales peu ou non développées) ;
au moins un des caractères suivants : stipules basaux et médians larges, à 2
mm de l’apex, de 0,4-1 mm pour les plus finement acuminés, et/ou de 0,8-1,4
mm pour les plus largement aigus ; 0-50 % des feuilles cordées ; limbes
foliaires atteignant 1,8-2,8 fois leur largeur ; au moins certains stipules >
pétiole correspondant .......................................................................................................
Note : autres caractères communs aux espèces de cette alternative : si limbes
foliaires à face supérieure poilue présents, alors pourvus de nombreux poils
sur la nervure médiane.
12. Limbes foliaires à face supérieure poilue toujours dépourvus de poils sur la
nervure médiane ; au moins certaines fleurs à sépales inférieurs égalant 10,019,3 fois la longueur de leur appendice basal qui est long de 0,25-0,6
mm (chez d’autres fleurs des mêmes individus, les sépales inférieures peuvent
cependant ne représenter que 5,6-10,0 fois la longueur de leur appendice basal
qui atteint alors parfois 0,7-0,8 mm) .................................................... V. reichenbachia
Note : limbes foliaires atteignant 1,2-1,7 fois leur largeur ; 0-40% des limbes
foliaires à L/l > 1,5 ; éperons généralement colorés comme la corolle, mais
pas toujours.
12’. Limbes foliaires à face supérieure poilue pour la plupart pourvus de
nombreux poils sur la nervure médiane ; fleurs à sépales inférieurs égalant
tout au plus 4,0-8,9 fois la longueur de leur appendice basal qui est long de
0,8-1,7 mm (appendices atteignant 0,9-2,5 mm sur d’autres fleurs des mêmes
individus) ....................................................................................................... V. riviniana
Note : limbes foliaires atteignant 1,1-1,6 fois leur largeur ; 0-10 % des limbes
foliaires à L/l > 1,5 ; éperons aussi souvent blanchâtres, que colorés comme la
corolle (« f. vicina » sensu EP).
13. > 70 % des limbes foliaires cordés, 0 % cunéés ; pétales non mucronés ........................
13’. Au moins un des caractères suivants : < 50 % des limbes foliaires cordés ; >
5 % cunéés ; au moins certains pétales mucronés ............................................................
Note : la deuxième alternative rassemble normalement V. lactea et ses
hybrides.
14. 100 % des limbes foliaires cordés, atteignant 1,2-1,4 fois leur largeur ;
stipules basaux et médians larges, à 2 mm de l’apex, de 0,2 mm pour les plus
finement acuminés, et de 0,3-0,5 mm pour les plus largement aigus ; limbes
foliaires acuminés (bords concaves) toujours présents, à angle subterminal
atteignant 120° ............................................................................................... V. x intersi
Note : hybrides V. canina x riviniana, à fruits tous ou presque tous avortés.
14’. 70-100% des limbes foliaires cordés, atteignant 1,5-2,0 fois leur largeur ;
stipules basaux et médians larges, à 2 mm de l’apex, de 0,3-1 mm pour les
plus finement acuminés, et de 0,6-1,4 mm pour les plus largement aigus ;
limbes foliaires acuminés (bords concaves) absents ou présents, à angle
subterminal atteignant 60-90° ............................................................... V. canina L. sub
15. Au moins certaines fleurs à sépales inférieurs égalant 9,5-14,3 fois la
longueur de leur appendice basal qui est long de 0,6-0,8 mm (chez d’autres
fleurs des mêmes individus, les sépales inférieures ne représentent que 6,8-6,9
fois la longueur de leur appendice basal qui atteint alors 0,8-0,9 mm) ............................
Note : hybrides V. lactea x reichenbachiana, à pollen irrégulier et fruits tous
avortés, intermédiaire entre les parents : limbes foliaires atteignant 1,5-2,1
fois leur largeur ; 50 % des limbes foliaires à L/l > 1,5 ; 0-80 % des limbes
foliaires cordés, 20-90% tronqués, 0-30 % cunéés ; limbes foliaires acuminés
présents (bords concaves), à angle subterminal atteignant 75-90°.
15’. Fleurs à sépales inférieurs égalant tout au plus 4,0-8,9 fois la longueur de
leur appendice basal qui est long de 0,8-1,7 mm (appendices atteignant 0,92,5 mm sur d’autres fleurs des mêmes individus) ............................................................
16. 75-100 % des limbes foliaires à L/l > 1,8 ; limbes foliaires atteignant 2,1-2,9
fois leur largeur (=a) ; 0 % des limbes foliaires cordés, 0-50% tronqués, 50100% cunéés (=b, en %) ; pétioles les plus longs atteignant 1,3-3,4 fois les
stipules correspondants (=c) ; a*b/c=69-156 .............................................................. V.
Notes - Autre caractère : limbes foliaires acuminés absents ou si présents
(bords concaves), à angle subterminal atteignant 20-30°. En accord avec les
flores usuelles, une délimitation assez étroite de l’espèce est proposée ici, et
serait à confirmée par une étude plus complète incluant l’analyse génétique.
D’après quelques mesures éparses, le rapport L/l des pétales semble
effectivement assez discriminant par rapport à V. canina (mais sans utilité par
rapport aux hybrides) : pétale inférieur (choisir le plus large) égalant 2,6-3,5
fois sa largeur (éperon inclus) chez V. lactea vs. 1,7-2,7 fois sa largeur chez V.
canina (2,1-3,5 fois sa largeur chez les hybrides), mais ces mesures seraient à
réaliser sur les plantes fraîches.
16’. 0-60 % des limbes foliaires à L/l > 1,8 ; limbes foliaires atteignant 1,6-2,3
fois leur largeur (=a) ; 0-100% des limbes foliaires cordés, 0-90% tronqués, 070% cunéés (=b, en %) ; pétioles les plus longs atteignant 0,7-13 fois les
stipules correspondants (=c) ; a*b/c=0-61 ........................................................................
17. 10-50 % des limbes foliaires à L/l > 1,5 ; pétale inférieur (choisir le plus
large) égalant 2,1-2,9 fois sa largeur (éperon inclus) ; limbes foliaires
acuminés (bords concaves) présents au moins chez certaines plantes de la
population, à angle subterminal atteignant 90-100°. .........................................................
Note : hybrides V. lactea x riviniana, formant une population indépendante et
apparemment assez fertile à Beaucouzé en Maine-et-Loire, stérile dans la
localité des Deux-Sèvres. Autres caractères : limbes foliaires atteignant 1,62,2 fois leur largeur ; 0-40 % des limbes foliaires cordés, 0-70 % tronqués, 2090 % cunéés à la base ; fleurs à sépales inférieurs égalant tout au plus 5,9-7,8
fois la longueur de leur appendice basal qui est long de 0,8-1,3 mm.
17’. 70-90 % des limbes foliaires à L/l > 1,5 ; pétale inférieur (choisir le plus
large) égalant 2,5-3,5 fois sa largeur (éperon inclus) ; limbes foliaires
acuminés absents ou présents, à angle subterminal atteignant 45-60° (sauf le
spécimen 3171, chez qui cet angle atteint 90°, à sépales atteignant 4,1 fois la
longueur de l’appendice qui est long de 2 mm) ............................ V. x murbeckii H. Lév.
Note : hybrides V. lactea x canina plus ou moins stériles ; limbes foliaires
atteignant 1,7-2,2 fois leur largeur ; 0-90 % des limbes foliaires cordés, 10100 % tronqués, 0-50 % cunéés à la base ; fleurs à sépales inférieurs égalant
tout au plus 3,3-7,7 fois la longueur de leur appendice basal qui est long de
1,0-2,2 mm.
18. 90-100% des limbes foliaires du milieu de la tige avec 2-3 dents /côté ..........................
Note - Autre caractère :
18’. 50-100% des limbes foliaires du milieu de la tige avec 4-5 dents / côté ........................
19. Ensemble des caractères suivants : 70-100% du pollen carré ; 0-20% des
lobes principaux des stipules avec 2-3 dents / côté ; bractée inférieure à lobes
principaux des stipules larges de 1,2-5 mm (les plus larges) ; pétale inférieur
(éperon inclus) 12,5-20,2 mm, l’extrémité dépassant les sépales sur 2-5,5 mm
(V. tricolor) .......................................................................................................................
19’. Au moins un des caractères suivants : 0-50% du pollen carré ; 50-100% des
lobes principaux des stipules avec 2-3 dents / côté ; bractée inférieure à lobes
principaux des stipules larges de 5,5-10 mm (les plus larges) ; pétale inférieur
(éperon inclus) 6,7-12,1 mm et/ou l’extrémité dépassant les sépales sur 0-1,5
mm ....................................................................................................................................
22. à compléter...
Note associée au spécimen MBang.2010.637 (Viola vinealis Bor. ! – Maine-etLoire. – Villevêque, falaise boisée longeant la gare de la Dionnière – 28 avril
1904), boite 16 herbier Préaubert :
Viola vinealis Bor., fl. Cent. Ed. 3, p. 75
Boreau avait formellement reconnu son V. vinealis dans la plante recueillie par Ledantec à la Dionnière. La
plante ci-jointe est identique aux échantillons de Ledantec et correspond bien à la description de la Flore du
Centre.
Un examen attentif de la falaise calcaire (cénomanien, couche à ostréacées) montre l’existence de V. hirta, de V.
odorata et de nombreuses formes adultérines rentrant dans x V. permixta = x V. hirta + odorata ; V. vinealis
Bor. est du nombre. C’est un permixta avec prédominance de V. hirta. V. vinealis = x V. superhirta >
odorata.
Ses caractères généraux sont ceux du V. hirta ; mais il y a de nombreux rejets courts florifères (empruntés à V.
odorata). Ces rejets rayonnant autour de la souche centrale déterminent la formation d’une très grosse
touffe, beaucoup plus volumineuse que chez V. hirta. C’est ce caractère qui permet de reconnaître à
distance V. vinealis ; il faut ajouter que la densité de cette végétation touffue oblige les feuilles à se dresser
verticalement et à allonger leurs pétioles.
Droseraceae
Drosera L.
Difficultés taxonomiques : aucune, 2 espèces bien distinctes entre lesquelles
aucun hybride ne semble avoir été détecté en France ; l’une des espèce divisée
en 2 variétés par Flora Gallica, dont seule la variété type est présente dans
l’herbier.
Caractères discriminants utilisés :
1. – Feuilles à limbes à L/l variant de 0,4-0,9 à 0,8-1,3 ; tige florifère dressée
paraissant terminale .......................................................... Drosera rotundifolia L. var. ro
1’. – Feuilles à limbes à L/l variant de 1,4-2,3 à 1,8-3,8 ; tige florifère
décombante paraissant latérale .............................................................. Drosera interme
Drosera rotundifolia L. var. rotundifolia
Nomenclature utilisée : Drosera rotundifolia L. par tous les auteurs.
Départements et communes concernés :
– Aveyron : Asprière (2010.790) ;
– Finistère : Morlaix/Huelgoat (2010.789) ;
– Maine-et-Loire : Chaumont (2010.787), Courléon (2010.778), Freigné
(2010.781), Juigné-sur-Loire (2010.779, 2010.786), La Breille (2010.783), Le
Lourroux-Beconnais (2010.791), Noyant-la-Gravoyère (2010.784), Soucelles
(2010.782), Villemoisan (2010.780) ;
– Loire-Atlantique : Sucé-sur-Erdre (2010.788) ;
– Oise : St-Germain-la-Poterie (2010.785).
Polygala
1. Inflorescences toutes latérales, jamais ramifiées à la base ................................................
1’. Inflorescences terminales et latérales, 95 % des récoltes avec au moins
certaines inflorescences portant un rameau latéral ...........................................................
2. Tige à rosettes développées (jusqu’à 4-7 feuilles insérées sur une longueur de 2
mm) ; ailes 2,8-4,6 x 1,2-1,7 mm, toutes ou la plupart à nervures non
anastamosée ...................................................................................................... P. amare
2’. Tige à rosettes nulles ou peu développées (jusqu’à 1-4 feuilles insérées sur
une longueur de 2 mm) ; ailes 4,4-9,5 x 2,0-5,1 mm, au moins certaines à
nervures anastamosées .....................................................................................................
3. Feuilles opposées présentes, formant jusqu’à 4-8 paires successives ; feuilles
les plus allongées à L/l atteignant 3,5-7,2 (=a) ; inflorescence avec jusqu’à 720 fleurs (=b) ; bractées atteignant 0,8-1,1 mm (=c), à L/l = 1,3-1,8, non
ciliées ; ailes atteignant 4,4-6,3 x 2,0-3,1 (=d) mm ; a x b x c = 28-95 ; a x b x
d = 70-233 ....................................................................................................... P. serpylli
3. Feuilles opposées absentes ou si présentes, isolées ou formant jusqu’à 2-3
paires successives ; feuilles les plus allongées à L/l atteignant 4,8-11,4 (=a) ;
inflorescence avec jusqu’à 15-80 fleurs (=b) ; bractées atteignant 0,8-3,4 mm
(=c) à L/l = 0,8-4,9, ciliées ou non ; ailes atteignant 4-9,5 x 2-5,1 (=d) mm ; a
x b x c = 106-2900 ; a x b x d = 250-2300 .......................................................................
4. Bractées non ciliées, atteignant 2,2-3,4 mm (à L/l = 2,4-4,9), égalant 1,14-2,08
fois la longueur des pédicelles fructifères les plus longs, et représentant 48-76
% de la longueur des ailes les plus longues ; boutons du sommet de
l’inflorescence non dépassés (1 spécimen) ou dépassés par les bractées sur
une longueur atteignant 0,4-1,2 mm ; ailes atteignant 4-6,6 x 2-3,6 mm ;
feuilles les plus allongées à L/l atteignant 6,4-12,1 ; graines 2,2-2,5 x 0,9-1,1
mm (L/l = 2,2-2,4), incluant le caroncule long de 0,5-1,2 mm (= 21-50 % de
la longueur de la graine) .................................................................................... P. comos
4’. Bractées ciliées ou non ciliées, atteignant 0,8-2,8 mm (à L/l = 0,8-2,8),
égalant 0,3-1,08 fois la longueur des pédicelles fructifères les plus longs, et
représentant 13-37 % de la longueur des ailes les plus longues ; boutons du
sommet de l’inflorescence non dépassés ou dépassés par les bractées sur une
longueur atteignant 0,3-0,5 mm ; ailes atteignant 4,6-9,5 x 2,1-5,1 mm ;
feuilles les plus allongées à L/l atteignant 4,8-11,4 ; graines 1,8-2,9 x 1-1,4
mm (L/l = 1,4-2,6), incluant le caroncule long de 0,7-1,2 mm (=33-45% de la
longueur de la graine) ................................................................................................. P. v
Note : espèce très polymorphe, où il semble impossible de discerner une
corrélation de caractères permettant de soutenir le découpage des sousespèces habituellement distinguées.
Frankeniaceae
Un seul genre : Frankenia L.
Difficulté taxonomique : aucune.
Une seule espèce : Frankenia laevis L.
Nomenclature utilisée : Frankenia laevis L. par tous les auteurs.
Départements et communes concernés :
– Charente-Maritime : St-Nazaire ;
– Loire-Atlantique : Le Croisic, Le Pouliguen, Pornic ;
– Pyrénées-Atlantiques : Anglet.
Liste des spécimens :
– 2010.930, 6 spécimens en fleurs et fruits, sur 2 planches liées : « Frankenia
laevis Lin. / Le Pouliguen [dépt Loire-Atlantique], la grande côte (Loire inf.) /
26 juillet 1882 / legit Bouvet [manu EP] » ;
– 2010.931, 3 spécimens en fleurs et fruits, étiquetés « 1 », et 2010.932, 1
spécimen en fleurs, étiqueté « 2 » : « 1) [manu EP] Herb. Gustave Mareau
[impr] # Frankenia laevis Lin. [manu EP] # Le Croisic [dépt Loire-Atlantique]
– les rochers du bord de la mer # 12 août 1868 Loire inf. [manu G. Mareau] »
––– « Louis Giraudias [impr] # 2) [manu EP] Frankenia laevis L. # St Nazaire
[dépt Charente-Maritime] Rochers maritimes # (Charente Inf.) # 15 juin
[18]71 [manu L. Giraudias] » ;
– 2010.933 [2 spécimens en fleurs et fruits] : « Flora selecta exsiccata {} # n°25.
– Frankenia laevis L. {} # Basses-Pyrénées : Sur le bord des cours d’eau
salée, au bas des jetées de l’Adour, près de l’embouchure ; Anglet [dépt
Pyrénées-Atlantiques]. # Fl. Juillet, fr. 4 octobre 1881. Blanchet [Impr.] » ;
– 2010.935, 3 spécimens en fleurs et fruits, étiquetés « 1 », et 2010.936, 1
spécimen en fleurs et fruits, étiqueté « 2 » : « 324 # Frankenia laevis (L. Sp.) #
1. Pornic [dépt Loire-Atlantique], 14 Juin 1858 # 2. Le Croisic [dépt LoireAtlantique], 10 Juillet 1862 # (Loire-Inférieure) [manu Ledantec].
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