Petit traité de clopixologie.

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Petit traité de clopixologie.
[*]-[*][*]-[*][*]-[*][*][*][*][*][*]
L’arsenic :
élément chimique semi-métallique de la famille des pnictogènes, de symbole As et de numéro atomique
33, présentant des propriétés intermédiaires entre celles des métaux et des non-métaux.
Son nom vient du latin arsenicum, tiré du grec arsenikon (« qui dompte le mâle ») en raison de sa
forte toxicité. Le prénom Arsène est tiré de la même racine grecque arsen (« mâle »).
[…] Au VIIIe siècle, l'alchimiste arabe Jabir Ibn Hayyan est probablement le premier à préparer le
trioxide d'arsenic en l'isolant de son composé minéral : cette poudre blanche sans goût et sans odeur la
rendra indécelable jusqu'au XXe siècle car elle donne les mêmes symptômes que des intoxications
alimentaires, ce qui lui confère le titre de « poison des rois et roi des poisons ».
[…] L’arsenic est souvent employé comme poison, d’où le titre Arsenic et vieilles dentelles.
Certains chercheurs supposent que Napoléon Ier aurait été empoisonné à l’arsenic, en raison de la forte
concentration en arsenic dans ses cheveux (l'arsenic tend à s'accumuler dans cette partie du corps),
cependant, l'arsenic était aussi utilisé à cette époque comme agent de conservation, d'où les doutes à
propos de cet empoisonnement ; diverses affaires judiciaires ont été liées à l'empoisonnement à l'arsenic,
notamment l'affaire Marie Lafarge et l'affaire Marie Besnard […].[1]
____________________
La Ciguë tachetée ou Grande Ciguë (Conium maculatum L.) :
plante herbacée bisannuelle de la famille des Apiacées (Ombellifères). Très toxique, elle était à la base
du poison officiel des Athéniens. […]
Jadis, La Conium maculatum, était considérée comme une plante magique associée à la magie
noire.
Dans l'acte III de Macbeth les sorcières préparent toutes sortes de philtres magiques : « ...oreille
d'un singe noir et de la ciguë arrachée un soir. Remplissez la chaudière et bouillez l'ensemble afin
qu'opère ce mélange infernal, ce charme sans égal ».
Socrate est mort après avoir bu de la ciguë alors que Mithridate VI s'en est immunisé en absorbant
régulièrement de doses croissantes. […]
Chez l'homme, l'ingestion de ciguë provoque dans l'heure qui suit des troubles digestifs (surtout
quand la racine est utilisée), des vertiges et céphalées, puis des paresthésies, une diminution de la force
musculaire, et enfin une paralysie ascendante. Des convulsions et des rhabdomyolyses ont été rapportées,
suivies d'insuffisance rénale pouvant entraîner la mort. Par contre, la mort par « paralysie respiratoire »,
relatée et relayée depuis la scène de Socrate, n'a pas encore été attestée par la toxicologie moderne
pour la ciguë isolée, d'où l'hypothèse d'un mélange probable de ciguë, de datura et d'opium dans le poison
de la Grèce antique […].[2]
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Le curare :
substance extraite de certaines lianes d'Amazonie, notamment Chondodendron tomentosum et Strychnos
toxifera , qui provoque une paralysie des muscles. Il est utilisé par certains Amérindiens et Aborigènes
comme poison pour enduire les flèches […]. [3]
____________________
EXCLUSIF :
larges extraits d’une notice papier
[4, note 47]
, jointe au poison produit
NB : la dite notice était tenue à l’endroit…
Le clopixol [4, APR note 40][5, note 195(>409)] action prolongée,
problème solution injectable intra-musculaire :
substance active (n’existe pas dans la nature) :
décanoate de zuclopenthixol……………200 mg pour 1 ml
Veillez lire attentivement l’intégralité de cette notice avant d’utiliser ce médicament.
Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire.
Si vous avez toute autre question, si vous avez un doute, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien.
Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez jamais à quelqu’un d’autre,
même en cas de symptômes identiques (?), cela pourrait lui être nocif. (!)
Si l’un des effets indésirables devient grave ou si vous remarquez un effet indésirable non mentionné dans cette notice,
parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien.
[ NB : si vous avez toute autre remise en question, si vous n’avez plus guère de doutes,
si vous remarquez des "effets indésirables"©… mais désirés par des prescripteurs (directs ou indirects)
de ce produit distribué sous le label de "médicament"©, si de tels effets ne sont pas mentionnés
dans cette notice et si vous tenez un blog, parlez-en à vos lecteurs… ]
1. QU’EST-CE QUE CLOPIXOL ACTION PROLONGEE 200 mg/1 ml, solution injectable I.M. ET DANS QUEL CAS EST-IL UTILISE ?
ANTIPSYCHOTIQUE – dérivé Thioxanthène
CLOPIXOL ACTION PROLONGEE 200 mg/1Ml, solution injectable I.M. est utilisé dans le traitement de certains troubles du comportement.
[ NB : même dans la notice papier, ce sera tout pour "le cas" dans lequel "CLOPIXOL ACTION PROLONGEE 200
mg/1 ml, solution injectable I.M. EST officiellement UTILISE"… ]
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT D’UTILISER CLOPIXOL ACTION PROLONGEE 200 mg/1 ml, solution
injectable I.M. ?
[ NB : l’UTILISATEUR étant réputé "PSYCHOTIQUE"© et "troublé du comportement"©, en quoi cela pourrait-il être un
tant soit peu intéressé à CONNAITRE LES INFORMATIONS AVANT D’UTILISER CLOPIXOL ACTION PROLONGEE 200 mg/1 ml,
solution injectable I.M. ?… À moins qu’à l’image d’un autre mot [6], un suffixe passif vienne se substituer au
suffixe actif ? DANS ce CAS, l’UTILISATEUR serait en réalité un UTILISÉ. Ce qui est assez plausible dans le
contexte. ]
N’utilisez jamais CLOPIXOL ACTION PROLONGEE 200 mg/1 ml, solution injectable I.M. dans les cas suivants :
allergie (hypersensibilité) au zuclopenthixol ou à l’un des autres composants de CLOPIXOL ACTION PROLONGEE 200 mg/1 ml, solution injectable
I.M.
pression excessive dans l’œil (glaucome) ;
certaines difficultés à l’émission d’urines liées à des troubles urétro-prostatiques ;
certaines maladies du foie ou des reins ;
dépression du système nerveux central ;
en association avec certains médicaments agissant sur le système nerveux central (cabergoline, quinagolide)
[ NB : dans le cas où vous êtes raide mort, vous devriez pouvoir utiliser CLOPIXOL ACTION PROLONGEE 200 mg/1 ml,
solution injectable I.M.
Mais attention : vous ne pourrez plus profiter [7] des "EFFETS INDESIRABLES
EVENTUELS"© (voir plus bas) ]
Faites attention avec CLOPIXOL ACTION PROLONGEE 200 mg/1 ml, solution injectable I.M. :
[ NB : dans le cas où vous n’êtes pas encore raide mort … ]
une forte fièvre, une raideur inhabituelle des muscles et un trouble de votre conscience, en particulier s’ils sont accompagnés de sueurs et
d’un rythme cardiaque rapide, peuvent être les signes d’une complication rare appelée syndrome malin des neuroleptiques qui a été rapportée
lors de l’utilisation de différents antipsychotiques. Ceci est une urgence : contactez immédiatement votre médecin ;
avertissez votre médecin si vous êtes épileptique ou avez fait des convulsions soit récemment soit dans le passé, ceci pouvant imposer des
précautions d’utilisation du CLOPIXOL ACTION PROLONGEE ;
si vous avez une fonction hépatique ou rénale diminuée ou si vous avez présenté par le passé une atteinte grave du foie, votre médecin devra
peut-être réajuster votre traitement ou effectuer une surveillance biologique ;
avertissez votre médecin en cas d’antécédents de maladie du cœur ;
si vous avez un membre de votre famille avec des antécédents de formation de caillots sanguins (par exemple phlébites), puisque ce type de
traitement a été associé à la formation de caillots sanguins.
Des précautions particulières doivent être prises :
si vous avez des facteurs de risque d’accident vasculaire cérébral,
 si vous avez des antécédents de troubles cardiaques,
 si vous utilisez d’autres médicaments antipsychotiques,
 si vous êtes diabétique ou que vous présentez des facteurs de risque de diabète, vous devrez surveiller très attentivement votre glycémie
(taux de sucre dans le sang) pendant le traitement et votre médecin devra peut-être réajuster votre traitement.
[ NB :  si vous savez lire et relire certaines notices papier … ]
Votre médecin pourra être amené à vous faire pratiquer un électrocardiogramme.
[…] + consignes habituelles ("prise ou utilisation d’autres "médicaments"©"… voire de médicaments,
"aliments et boissons", "grossesse", "allaitement", "conduite de véhicules et utilisation de machines")
3. COMMENT UTILISER CLOPIXOL ACTION PROLONGEE 200 mg/1 ml, solution injectable I.M. ?
Posologie
Respectez toujours la posologie indiquée par votre médecin. En cas de doute, consultez votre médecin ou votre pharmacien.
DANS TOUS LES CAS, SE CONFORMER STRICTEMENT A LA PRESCRIPTION MEDICALE..
Mode et voie d’administration
CLOPIXOL ACTION PROLONGEE 200 mg/1 ml, solution injectable I.M., s’administre exclusivement par voie intramusculaire (I.M.) profonde dans
le quadrant supérieur externe du muscle fessier (ne jamais utiliser la voie intraveineuse).
Lorsque le volume à injecter dépasse 2 ml, il convient de le répartir en deux injections dans chacune des deux fesses à des endroits différents.
Si vous avez utilisé plus de CLOPIXOL ACTION PROLONGEE 200 mg/1 ml, solution injectable I.M. que vous n’auriez dû :
Contactez votre médecin ou le service d’urgence hospitalier le plus proche, même en l’absence de problèmes (signes d’inconfort). N’oubliez pas
d’apporter la boîte de CLOPIXOL avec vous.
Les symptômes en cas de surdosage peuvent inclure :
somnolence,
perte de connaissance,
mouvements musculaires ou une rigidité,
convulsions,
tension artérielle faible, pouls faible, fréquence cardiaque rapide, pâleur, agitation,
température corporelle élevée ou diminuée,
modifications du rythme cardiaque comme un rythme cardiaque irrégulier ou une fréquence cardiaque lente en cas de surdosage en
association avec des médicaments connus pour leur effet cardiaque.
[ NB : avant le grand plongeon, un petit oral à propos de l’usage des neuroleptiques ? ]
4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ?
Comme tous les médicaments, CLOPIXOL ACTION PROLONGEE 200 mg/1Ml, solution injectable I.M. est susceptible d’avoir des effets
indésirables, bien que tout le monde n’y soit pas sujet. Si vous ressentez l’un des effets indésirables suivants, vous devez contacter votre médecin
ou aller immédiatement à l’hôpital :
Mouvements anormaux de la bouche et de la langue, ce sont peut-être les premier signes d’une maladie appelée dyskinésie tardive.
Forte fièvre, raideur inhabituelles des muscles et trouble de la conscience accompagnés de sueurs et d’un rythme cardiaque rapide ; ces
symptômes peuvent être les signes d’une maladie rare appelée syndrome malin des neuroleptiques, également rapportée au cours de l’utilisation
d’autres neuroleptiques.
Un jaunissement de la peau et du blanc de l’œil sont les signes d’un mauvais fonctionnement du foie (signes d’une maladie appelée
jaunisse).
Les effets indésirables suivants sont plus prononcés en début de traitement et la plupart s’estompent habituellement au cours du traitement.
Diminution du taux de plaquettes sanguines (thrombocytopénie), diminution du taux de globules blancs pouvant être très sévère
(neutropénie, leucopénie, agranulocytose).
Réaction allergique (hypersensibilité), réaction allergique aiguë avec baisse de la pression artérielle (réaction anaphylactique).
Augmentation du taux de prolactine sanguin.
Augmentation ou diminution de l’appétit, prise ou perte de poids, augmentation du taux de lipides sanguin, augmentation du taux de glucose
sanguin, intolérance au glucose.
Indifférence exagérée à la présence d’autrui (apathie), confusion, diminution de la libido, difficultés à s’endormir (insomnie), rêves anormaux,
dépression, agitation, anxiété, nervosité.
Convulsion, incapacité à rester debout ou assis tranquillement (akathisie), mouvements saccadés (dyskinésie), mouvements involontaires
(hyperkinésie), mouvements relatifs ou diminués (hypokinésie), torsions ou mouvements répétitifs ou positions anormales dus à des contractions
musculaires prolongées (dystonie), parkinsonisme, tremblements, troubles de la parole, réflexes exagérés (hyperréflexie), envie de dormir
(somnolence), évanouissement (syncope), sensation vertigineuse, troubles de la marche, incapacité à coordonner les mouvements (ataxie),
augmentation de la rigidité musculaire (hypertonie), diminution de la tonicité musculaire (hypotonie).
Mouvements anormaux des yeux (crise oculogyre), difficulté à regarder les objets de près (troubles de l’accommodation), troubles de la vue.
Vertige. [ NB : ce symptôme saisit également le blogueur ayant imprudemment entrepris de re-saisir au clavier l’ensemble de
ces joyeusetés… ]
Trouble du rythme cardiaque (irrégulier ou lent, modifications de l’ECG), pouvant entraîner le décès (voir rubrique Faites attention avec
CLOPIXOL ACTION PROLONGEE), accélération du rythme cardiaque (tachycardie).
Diminution de la pression sanguine (hypotension), caillots sanguins veineux (phlébites) surtout dans les jambes (les symptômes incluent
gonflement, douleur et rougeur des jambes), pouvant circuler dans les vaisseaux sanguins vers les poumons et entraîner une douleur dans la
poitrine accompagnée de difficultés à respirer. Si vous remarquez un de ces symptômes, consultez immédiatement votre médecin.
Difficultés à respirer ou respiration douloureuse (dyspnée).
Douleurs abdominales, nausées, vomissement, diarrhée, constipation, augmentation de la sécrétion salivaire, bouche sèche.
Modifications des fonctions hépatiques, jaunisse.
Eruption cutanée à type de rougeur (rash, érythème), démangeaisons (prurit), augmentation de la transpiration (hyperhidrose).
Rigidité musculaire, torticolis, raideur du cou, incapacité à ouvrir la bouche (trismus), douleurs musculaires (myalgies), augmentation de la
créatine phosphokinase.
Difficultés voire incapacité à uriner (troubles de la miction voire rétention urinaire).
Augmentation du volume des seins chez l’homme (gynécomastie), écoulement de lait en dehors de la période de lactation (galactorrhée),
troubles sexuels (retard à l’éjaculation, problèmes d’érection, érection douloureuse et prolongée du pénis en absence de désir ou d’excitation
sexuelle (priapisme)(troubles de l’orgasme chez la femme), disparition des règles (aménorrhée).
Température corporelle anormalement basse (hypothermie), fièvre, fatigue, sensation de malaise, rougeur ou douleur au niveau du site
d’injection.
Chez les patients âgés atteints de démence, une faible augmentation du nombre de décès a été rapportée chez les patients prenant des
antipsychotiques comparés à ceux n’en prenant pas.
Si vous remarquez des effets indésirables non mentionnés dans cette notice, ou si certains effets indésirables deviennent graves, veuillez en
informer votre médecin ou votre pharmacien.
6. INFORMATIONS SUPPLEMENTAIRES
[…]
La dernière date à laquelle cette notice a été approuvée est le 13/05/2011.
Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site internet de l’Afssaps [8] (France).
[ NB : en effet, en effet
[9]
…]
Pour toute information complémentaire concernant ce médicament, veuillez prendre contact avec le titulaire de l’autorisation de mise sur le
marché.
[ NB : cependant, pour plus de détails encore –et pour toute information complémentaire concernant
cette chose-, veuillez poursuivre cette fascinante lecture… ]
____________________
L’occasion faisant le larron, voici donc un large aperçu écrit du clopixol. Cette occasion, c’est
d’avoir sous la main un exemplaire de sa notice papier, dont le contenu se doit légalement d’être plus
exhaustif que ce que l’on peut en glaner en ligne [4, notes 48,49]. Du reste, peu importe le clopixol en soi : si
l’occasion avait été fournie de disposer de la notice papier d’un produit similaire, la reproduction de la
dite notice eût été non moins similaire. Mais peu n’importe pas le clopixol en tant que représentant
d’une espèce ô combien emblématique :
- celle de ces produits à haute valeur toxique que l’on ose sans vergogne distribuer sous la dénomination
de "médicaments"©[10, APR note 333]
- celle de ces produits à haute valeur toxique dont –grâce à leur dénomination de "médicaments"©- on
noie sans vergogne le contenu de leur notice papier dans le bain sémantique [11, notes 25 à 45] ad hoc ; cf. par
exemple : "comme tous les médicaments", "si vous aviez un doute" et pour s’éviter "toute autre question"
- celle de ces produits à haute valeur toxique dont il faut déjà oublier le bain sémantique ad hoc, alors
même que leurs standards verbaux se sont donnés beaucoup de peine à suggérer que leurs
consommateurs directs les utilisent en connaissance de cause, en pleine liberté de choix (au moins dans
leur acceptation), qu’ils peuvent siffler "leur médecin ou leur pharmacien" au moindre problème, etc.
- celle de ces produits à haute valeur toxique dont le mode et voie d’administration ont au moins le mérite
d’être assez clairs quant à leur contradiction formelle avec tous les points évoqués à l’instant : pour
aller jusqu’à se faire cru, leurs consommateurs directs se font proprement enculer [12, note 11>13][14].
- celle de ces produits à haute valeur toxique dont le seul souci "médical"© du distributeur -comme du
PRESCRIPTEUR- semble être que leurs "EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS" [méga-sic] se fassent moins foudroyants
et plus discrets que ceux de l’arsenic, de la ciguë ou du curare. D’où, notamment, que CLOPIXOL ACTION
PROLONGEE 200 mg/1 ml, problème solution injectable I.M., s’administre exclusivement par voie intramusculaire (I.M.) profonde dans le
quadrant supérieur externe du muscle fessier (ne jamais utiliser la voie intraveineuse). Car un poison injecté en intraveineuse
serait d’évidence plus expéditif.
- celle de ces produits à haute valeur toxique qu’à leur propos –n’en déplaise à leur dénomination de
"médicaments"©- on "justifie"© leur UTILISATION DANS un "CAS" "pathologique"© tenant très exactement en
deux lignes, et relevant non moins exactement de la gueule du client : si on ne présente plus en ces
colonnes les expressions "ANTIPSYCHOTIQUE" ou "certains troubles du comportement", c’est aussi parce que de tels "CAS"
"pathologiques"© n’ont jamais cessé d’appartenir à de l’extraordinairement vague [15][15bis]… y compris
chez les pseudo-"spécialistes"©[16, notes 20 à 22] !
- celle de ces produits dont la haute valeur toxique nous est abondamment exhibée par des
spécialistes cliniques [17, notes 47 à 53][18] opposant à "certains troubles du comportement" une liste
impressionnante de troubles encore plus certains… et extraordinairement nets : ceux-là étant consécutifs au
prétendu "traitement"© contre les premiers !!!
- celle de ces produits à haute valeur toxique dont leur hypocritissime dénomination de "médicaments"©
ne se "justifie"© in fine QUE par la présence autour d’eux de tant de spécialistes médicaux… et autres
"spécialistes"© "médicaux"©
- celle de ces produits à haute valeur toxique dont la présence susnommée fournit invariablement un alibi
commode à moult non-"spécialistes"©[19, notes 167 à 171] DESIREUX de pouvoir encore se regarder dans la
glace sans rougir, après avoir demandé [20][21,3°)][22][23] à la dite présence susnommée pour des raisons
qu’au fond tout le monde [24, note<12>] sait parfaitement étrangères à la moindre raison "médicale"©[25]
(entre des dizaines de milliers [26,[1]][27] d’autres… QUE DEVIENT INGRID K. [16, notes 152 à 159][28] ?)
- celle de ces produits à haute valeur toxique qui contribuent tant aux fabuleux progrès en trente ans de
leur discipline [29, note 22] grande pourvoyeuse ; on appréciera comme il convient ce détail anodin : ce sont
les mêmes produits qui redonnent sinon le goût de vivre du moins une porte de sortie à l'enfermement
mental [30, notes 2>24]… vraisemblablement à condition de ne surtout pas avoir lu –et encore moins relu- la
notice papier d’un produit de type clopixol ! Quoique… ne faut-il pas en effet avoir un goût de vivre
chevillé au corps pour survivre à ses "quelques" "EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS"© ???
____________________
L’occasion faisant le larron : cette occasion aura été obligeamment fournie –de la main à la mainpar l’une de ces personnes survivantes… donc, consommatrices MALGRÉ ELLES de cet infâme clopixol.
"Respectez toujours la posologie indiquée par votre médecin". Cette personne est totalement indifférente à "respectez la
posologie indiquée par son médecin" : s’il ne tenait qu’à elle, elle ne respecterait aucune posologie de quoi que ce soit.
"En cas de doute, consultez votre médecin ou votre pharmacien". Cette personne n’a aucun doute quant à la nocivité du
clopixol : elle subit déjà dans sa chair quelques-uns des symptômes abondamment décrits à la rubrique
"EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS"©. Avant de "respecter la posologie indiquée par son médecin", le strict minimum est
que le médecin respecte son patient, et "certains des effets indésirables devenant graves" dont celui-là se plaint –ouvertement et
à répétition- auprès de lui. Le médecin ? En l’occurrence, il se bouche les oreilles [31, APR note 27] !!! Ce faisant,
il dément physiquement le langage standardisé de la notice papier du clopixol ! "Contactez votre médecin ou le
service d’urgence hospitalier le plus proche, même en l’absence de problèmes (signes d’inconfort) " ? Notre personne survivante vit
constamment sous le joug du terrorisme "médical"© : alors même qu’elle n’est pas avare de manifester
problèmes et signes d’inconfort, si elle esquive "son" rendez-vous contraint à la séance de piqûre en
ambulatoire, on la menace de ce qu’elle perçoit à juste titre comme une épée de Damoclès : le "service
d’urgence hospitalier le plus proche"©… du chenil [32][33]. Mais tout s’explique… en rapport à ce qui est
parfaitement étranger à la moindre raison "médicale"© : bien que cette personne jouisse d’une certaine
autonomie matérielle –voire de quelque aisance-, elle se trouve placée à son corps défendant sous le
régime administratif de la curatelle. "Personnes concernées ? Ce sont les personnes majeures dont
l'altération des facultés mentales ou des facultés corporelles empêchant l'expression de la volonté, ont
été constatées médicalement"[34]. Est-il encore utile de rappeler la puissante "fiabilité"©
"scientifique"©[35] des "spécialistes"© de "l'altération des facultés mentales"… si doués à "constater
médicalement"© que l’on constate souvent qu’ils se passent même du patient [8, notes 187 à 193] afin d’être
plus à leur aise pour le désaltérer mentalement ? Ce dont tout le monde se fiche éperdument : ici
comme ailleurs, la raison "médicale"© n’est rien de plus qu’un mannequin de vitrine [36].
Ici comme ailleurs, lorsqu’on se saisit du prétexte de certaine lois en vigueur pour s’ingérer dans
les affaires d’autrui [37, note<115>][38, APR note 51] afin de le réduire en plus esclave [39] que soi –mais que les
raisons invoquées dans les termes desdites lois font cruellement défaut en amont-, quoi de plus simple
que de s’attacher d’urgence en aval à fabriquer ces "raisons" de toutes pièces ? Grâce aux "EFFETS
INDESIRABLES EVENTUELS"© du clopixol, n’y a-t-il pas à poison foison de quoi "constater médicalement"© ? "Si
vous remarquez des effets indésirables non mentionnés dans cette notice " : remarquons que la notice papier du clopixol est
d’une discrétion de violette DANS LE CAS DE SES UTILISATIONS parallèles désirées… par ceux qui ne l’UTILISENT
PAS sur eux-mêmes. Nulle part n’y observe-t-on, par exemple, la moindre mention de SON UTILISATION DANS
LE CAS de la "justification"©… rétrospective de la mise en place d’une curatelle, puis de son maintien
contre toute justice et toute logique.
Même à supposer que nous ne parlions pas d’un produit à haute valeur toxique, le vocabulaire
"médical"© ne trompe que ceux qui veulent bien s’en laisser tromper [40]. À poser le constat évident du
produit à haute valeur toxique, nous franchissons allègrement le cap du mensonge, de l’hypocrisie ou de
la tromperie : nous passons à l’organisation criminelle devenant grave.
____________________
Article L3213-1 [16, note 50] du code de la "santé" dite "publique"©[41][42][16, notes 114>43,§1], extrait : "À
Paris, le préfet de police et, dans les départements, les représentants de l'Etat prononcent par arrêté, au
vu d'un certificat médical circonstancié, l'hospitalisation d'office dans un établissement mentionné à
l'article L. 3222-1 des personnes dont les troubles mentaux nécessitent des soins et compromettent la
sûreté des personnes ou portent atteinte, de façon grave, à l'ordre public. Le certificat médical
circonstancié ne peut émaner d'un psychiatre exerçant dans l'établissement accueillant le malade. Les
arrêtés préfectoraux sont motivés et énoncent avec précision les circonstances qui ont rendu
l'hospitalisation nécessaire".[44]
À l’issue des "EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS"© du clopixol –qu’il convient de ne pas cesser un
instant de CONSIDÉRER-, ce jargon pseudo "médico"©-légal prend un relief particulièrement cinglant.
Parce que dans des "circonstances qui rendent l'"hospitalisation"© nécessaire", chez "des personnes dont
les "troubles mentaux"© nécessitent des "soins"©", les produits de type clopixol sont en première ligne.
Autre exemple -cette fois à l’échelle "industrielle"- du prétexte de certaine lois en vigueur pour
s’ingérer dans les affaires d’autrui afin de le réduire en plus esclave [39] que soi. Ce qui signifie qu’au
nom même de ce qui "compromet soi-disant la sûreté des personnes ou porte atteinte, de façon grave [
…ou fantasmatique ], à l'ordre public", "le préfet de police et, dans les départements, les représentants
de l'Etat prononcent par arrêté, au vu d'un certificat médical circonstancié" –faux en écritures [16, notes
39>45][46, note 240>47][48, APR note 302]
inclus…-, des actes qui vont compromettre la sûreté de la personne et
porter atteinte, de façon grave, à SON ordre privé : ce dont témoigne brillamment l’effarante
nomenclature des "EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS"© d’un produit de type clopixol.
"Cela signifie qu'elle ne va pas mieux, affirme le procureur [49] de la République de Béthune,
Philippe Peyroux [50][39, APR note 390][51,§2]… figure emblématique de l’un de ces "représentants de l'Etat
prononçant par arrêté". "C'est sur la base de l'évolution de son état mental [28], constatée par des experts
psychiatres [52] (!!!) que sont prises ces décisions"… dont l’unique expertise -celle d’une notoire
organisation criminelle [53>54>55] devenant grave- n’est en effet plus à démontrer. Cela signifie surtout que
Philippe Peyroux n’est pas meilleur médecin aujourd’hui qu’il ne l’était hier. Cela signifie surtout que
Philippe Peyroux est décidément d’une incompétence crasse, sinon en matière de médecine du moins [56]
en celle de lecture… quoique à cet égard, il ne faille s’étonner de rien chez les représentants
"judiciaires"©©©[57, APR note 100] de l'Etat : même au masculin, il apparaît que c’est sur la base de lecture
"entre les lignes"[58, APR note 10][59, 60, note 36] (et non plus les lignes elle-mêmes [16, note<243>]) "que sont prises
les décisions". Ce qui, par ailleurs, est conforme "à l'ordre public"… de la loi non écrite [61, APR note 141][62][63,
note 46][16, notes 31 à 33]
. Alors, inutile de vous dire [64, note 144] que cette atteinte portée de façon grave aux
[65, notes 368bis]
facultés mentales
des décisionnaires de la barbichette [66] rend non moins inutile la question
suivante : par quel étonnant prodige pourrait-on "aller mieux" en héritant des "EFFETS INDESIRABLES
EVENTUELS"© d’un produit de type clopixol ??? En effet, pour seulement envisager d’y répondre, encore
faut-il savoir lire !…
En attendant, cela signifie que ce qui appert de "l'ordre public" appert également sinon de la
complicité active à de l’organisation criminelle notoire du moins à de l’association de malfaiteurs : les
méfaits des "EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS"© d’un produit de type clopixol sont toujours là, qui en
témoignent abondamment. Bis repetitæ : "Si vous remarquez des effets indésirables non mentionnés dans cette notice" ;
remarquons de nouveau que la notice papier du clopixol reste d’une discrétion de violette DANS LE CAS DE SES
UTILISATIONS parallèles désirées… par ceux qui ne l’UTILISENT PAS sur eux-mêmes. Nulle part n’y observe-ton, à présent, la moindre mention de SON UTILISATION massive DANS LE CAS de "circonstances rendant
nécessaires" la "restauration"© de "la sûreté des personnes ou de l'ordre public"©… Hormis "la sûreté des
personnes" décisionnaires elles-mêmes (!), on peine à distinguer quelles sont les autres que pourrait
concerner –de près ou de loin- la dite "restauration"© : ce qui fait extrêmement désordre au sujet de
CONSIDÉRATIONS se clamant d’ordre public. En revanche, cela incline plutôt à confirmer [67] avec
éclat la première phrase du présent paragraphe…
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L’article L3213-1 du code de la "santé" dite "publique"© ? Au-delà des prétextes [39] officiels à son
application, voici ce qui en constitue sa "jurisprudence"[68][62, APR note 270]… non écrite, mais dûment
constatée.
1°) Grâce à cet article, tout "nécessiteux" de "soins"© "offre"© de facto son corps à la "médecine"© : ceci
SANS l’offrir puisque sous la contrainte. En droit, cela s’appelle du VOL et du VIOL [24]. Mais de telles
infractions –prévues dans le Code pénal- ne comptent pas : elles ne ressortent pas du Code de la "santé
publique"© qui, rappelons-le, est en pratique le seul à être appliqué [69, APR note 61].
1°bis) Grâce à cet article, le corps de tout "nécessiteux" de "soins"© "appartient" de facto à la personne
que la "loi"©©© habilite à signer un aller simple pour l’enfer [70][71]. Peu importe la théorie exprimée dans
les termes dudit article, c’est ce qui EST dans la pratique courante. Notons que cette personne -que la
"loi"©©© habilite à signer un aller simple pour l’enfer- est un signataire : ce n’est certainement pas un
RESPONSABLE [72, notes 29 à 35], puisque un tel acte consiste précisément à transférer SES responsabilités sur
d’autres ; à commencer sur ceux dont on ne risque pas de les "poursuivre pour erreurs, manquement aux
règles établies par la loi"[73,§4] : on a trop "besoin"© d’eux [52] pour oser appliquer contre eux des lois
tenues pour "inférieures"© !
2°) Grâce à cet article, tout "nécessiteux" de "soins"© "offre"© son corps à la "médecine"©… DE SON
VIVANT. On offre toujours son corps à la médecine de son vivant, naturellement. Sauf qu’habituellement
la médecine attend gentiment qu’on ne soit plus dedans pour en prendre possession. Mais ça, c’était
avant [74, note 11>75]… l’article L 3213-1. Celui-ci "autorise"© en effet la "médecine"© -ainsi que des non"médecins"©[19, notes 167 à 171] !- à ne pas attendre que le "nécessiteux" de "soins"© n’y soit plus pour prendre
possession de son corps : à cet effet, ce ne sont pas les astuces (aussi peu astucieuses que
particulièrement grossières, au demeurant) qui manquent [21]. Ici et là, quelques chiffres traînent, qui
dénotent des "guérisons"© définitives [76][76bis]. En d’autres termes, on est tout de même plus à son aise
avec un corps dont on prend possession… si l’occupant habituel en a été viré [77, APR note 15][78].
L’expression figure-t-elle aussi dans le Code de la "santé publique"© ? Toujours est-il que les "nouveaux
propriétaires" appellent cela un "accident thérapeutique"©[79, note 13][80][81][82, notes 104 à 106][73,com.3]…
3°) Grâce à cet article, tout contrevenant –ou complice [83, note 59][84, note 32][85, note 6] de contrevenant- à
des lois tenues pour "inférieures"© se voit "protégé"©[86, AV note 81][87, notes 140,141][88, notes 265][89, notes 7 à 14] des
effets de ses propres infractions [90, APR note 213] aux dites lois tenues pour "inférieures"©.
3°bis) Grâce à cet article -et grâce au 3°)-, tout signataire de son application est hautement suspect de
se désigner implicitement comme contrevenant –ou complice de contrevenant- à des lois tenues pour
"inférieures"©.
4°) À cause de cet article -et grâce à une lecture attentive des "EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS"© d’un
produit de type clopixol-, tout signataire de son application aggrave CONSIDÉRABLEMENT son cas,
puisque un produit de ce type figure en pole position dans la catégorie "nécessitant des soins"© ;
autrement dit, tout signataire de son application demande [20] –voire ORDONNE- de l’"accident
thérapeutique"©, la lecture –même distraite- des "EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS"© laissant plus
qu’entendre que le seul accident possible fusse de ressortir indemne "des soins nécessaires"©.
Fait pour valoir ce que de droit
une singulière résonance.
[91, note 62>92]
… même si le dernier mot de cette formule offre ici
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En deçà de la "santé" dite "publique"© (soit en matière privée) et au-delà des sincérités de chacun,
tout aspirant à "des soins nécessaires"©… pour autrui [93, APR note 95] –et bien sûr, tout inspirant de
"consultation"©[94, APR note 20][95, APR note 221][96>97,[1>9]][98, notes 220 à 225] du même ordre- aspire de facto à des
"EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS"© subis par un autre que lui-même. Peu importent les intentions
bienveillantes -ou le plus souvent malveillantes (mal) déguisées- qui président à de telles aspirations. Peu
importe la surenchère compensatoire [98, note 172] aux mots [24, note<12>] se voulant "bienveillants"
("amour"[98, APR note 172], "compassion"[99], "empathie"[100] et tutti quanti…) –notamment lorsque les
déguisements malveillants se font si minables [101] qu’ils en donneraient le tournis à quelque félin
[102][103]
- ; à la limite, peu importe également d’avoir échappé (volontairement ou non) à une lecture
attentive des "EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS"© d’un produit de type clopixol.
Parce que d’une manière ou d’une autre, un tel produit ne sait ni lire ni écrire ; il ne fait pas
davantage dans le sentiment, bon ou mauvais. Ses "EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS"© ne font aucune
différence lorsqu’il est injecté dans un organisme librement consentant (si tant est que cela existe…), un
organisme "consentant" sous la pression (affective ou autre [104]…), un organisme "consentant" sous la
menace terroriste [105, APR note 37][106, note 16] d’un "traitement"© contraint plus sévère [0, notes 31 à 33]… ou un
organisme ouvertement contraint, particulièrement sous l’égide de l’article L3213-1 du code de la
"santé" dite "publique"© : ILS sont les MÊMES pour tout le monde, se voient chez tous ceux qui ont des
yeux pour voir [107,com.75][108].
Que vaille bis : fait pour que les mots VALENT (un peu de) ce qu’ils disent
69 à 73]
…
[109, note<414>][110, notes
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