Sciences Biologique

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Sciences Biologique
Introduction : Pourquoi l’éducateur sportif a-t-il besoins des sciences Biologiques ?
-Le squelette de l’être humain est inerte a la base et que le mouvement du squelette n’est
possible que grace e aux articulations , Muscles et leurs tendons qui sont mis en action par le
système nerveux qui dirige et contrôle le mouvement .
-Pour qu’il y est une énergie musculaire il faut que nous alimentions notre organisme en
source énergétiques : Les aliments que nous mangeons vont être digérer, transformé
chimiquement et absorbé par l’organisme.
C’est le sang qui va puisé et transporter les sources énergétiques du muscle sous forme
chimique grâce a l’action de 2 grandes fonction :-Respiration et Circulation
-Ce sont les fibres musculaires qui transformeront l’énergie chimique en énergie mécanique
-L’organisme de l’être humain est assez complexe, c’est un voyage a travers :
-Anatomie
-Physiologie
-Devellopement
Il est absolument nécessaire de connaître les bases physiologique de l’entraînement afin de
préparer le sportif de manière rationnel afin d’atteindre les objectifs qu’il s’est fixés. Si en
matière d’entraînement il faut savoir quoi faire il faut avant tout savoir pourquoi ?
Car si on comprend la physiologie on comprend l’entraînement .
Anatomie :
Définition : L’anatomie humaine étudie les structures de l’homme sur un organisme mort
c’est la sciences descriptives des structures de l’organisme. A l’inverse la physiologie étudie
comment et pourquoi ces structures fonctionnent chez un organisme vivant.
Hypocrate : Fondateur de la Médecine
-« Il faut connaître l’anatomie fonctionnel de l’homme afin de ne pas proposer des
exercices qui pourrait être dangereux pour lui. »
-« L’anatomie du mouvement met en jeu principalement 3 systèmes :
-Os : éléments du squelette
-Articulation
-Muscles
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Le Plan du Mouvement :
Les plans du mouvement sont décrits à partir d’une position de référence la position
anatomique.
3 Plans sont définit par rapport à cet espace :
-Plan Sagittal : Il divise le corps en 2 hémisphères Droite et gauche ; Mouvement
visible de profil
Ex : Flexion de la tête vers l’arrière, extension vers l’avant
-Plan Frontal : Il divise le corps en partie Antérieur et postérieur ; Mouvement
visibles de face
Ex : Inclinaison lattera
l
-abduction : Ecartement ligne médiane
-adduction : Rapproche ligne Médiane
-Plan transversal : Division du corps en partie Haute et Partie Basse ; Mouvement
visibles de dessus ou dessous
-Rotation : Mouvement du plan transversal
Rotation Avant bras : Vers l’extérieur : Supination
Vers L’intérieur : Pronation
Autres termes :
Médian : situé sur la ligne médiane du corps
Proximal : Prêt du centre du corps
Distal : Loin du centre du corps
Antérieur : Regardent ou situé en avant
Postérieur : Regardant ou situé en arrière
Profond : Situé en profondeur
Superficiel : Situé en Superficie du corps
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Partie I : Le Squelette
Définition : Armature mobile qui est la charpente du corps et dont les pièces (os) sert de
leviers pour les tractions des muscles. Il est le support rigide du corps. Les différents éléments
elle-même du squelette s’organise autour d’un axe vertical : Colonne vertébrale.
De chaque coté de la colonne les membres sont reliés par des ceintures.
-Ceinture scapulaire : Clavicule et omoplate pour le membre supérieur
-Ceinture Pelvienne : Os iliaque et sacrum (bassin) pour les membres inférieur
Les OS.
Ils ont 2 carractéristiques :
-Rigides
-Elastiques
Ils doivent leurs rigidité a leurs composant minéraux pour les 2 tiers (Macroéléments :
Potassium, phosphore….)
Ils possèdent cependant une certaine élasticité grâce à leurs composants organiques (1/3). Ces
deux qualités sont indispensables à la solidité de l’os. Si l’os était trop rigide il serait cassant
et si il était trop souple il se déformerai.
-Les principaux composant de l’os sont l’Oseine , Le calcium et le phosphore.
-Les Os sont soumis à des contraintes :
-Pression : Ils soutiennent le poids du corps surtout les membres inférieur
-Flexion : Ils servent de levier à la traction Musculaire
-Traction : Port d’objet lourd ;
Formes Principales des OS
-OS long : 3 parties
-Partie Centrale->Diaphyse
-2 extrémités ->Epiphyses
Les Os longs ont la particularité d’être cylindrique et la cavité centrale de ces os longs
s’appelle la cavité Médullaire rempli de moelle Osseuse.
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Schéma :
Le périoste est une membrane fibreuse qui recouvre tout l’os sauf au niveau de la surface
articulaire.
-Os courts : Vertèbres, phalanges
-Os plats : Omoplate.
Les os sont reliés entre eux par des zones appelées articulations qui permettent les différents
types de mouvement
Les Articulations :
Définition : Les articulations représentent les systèmes d’assemblage des différents os du
squelette. Cet assemblage est possible grâce aux formes complémentaires des parties osseuses
qui entre en contact
-On appel ces partie les surfaces articulaires
-Pour les hanches une sphère creuse (le Cotyle) Correspond à une sphère Pleine. La
congruence (emboîtement) est forte
-Pour l’umerus avec l’omoplate la congruence est plus faible
-La forme de ces surfaces articulaires détermine les mouvements possibles d’une articulation
Interlignes Articulaire : Zones entre 2 os qui s’articulent
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Comment note charpente osseuse se maintient elle ?
-Les surfaces sont recouverte d’un revêtement nacré blanc : Cartilage
Son rôle est de protéger l’os situé en dessous et de facilités le mouvement. Lors du
mouvement il est soumis à 2 types de contraintes :
-Pression
-Friction
Le cartilage est conçu pour ces contraintes étant à la fois très élastique et formant une surface
lisse. De plus pour que le mouvement puisse avoir lieu sans friction le cartilage est aidé par un
liquide : Synovie
Arthrose : Lésion du cartilage
La stabilité d’emboîtement des pièces osseuses est possible grâce :
-Aux capsules sorte de manchons fibreux maintenant les surface ensembles, manchon qui
renferme la synovie. La capsule s’attache sur chaque os à la surface articulaire. Elle
transforme l’articulation en chambre étanche. Elle est tapissée à l’intérieur par une membrane
la synoviale.
La synoviale recouvre toute la face profonde de la capsule et sa fonction est de sécréter de la
synovie liquide qui rempli la cavité articulaire.
La capsule est renforcé la ou les mouvements doivent être empêcher.
Exemple : En plan sagittal le genou ne permet que des mouvements de flexion , la capsule est
très renforcé en arrière pour empêcher le mouvement d’extension , Elle présente également de
zones lâches et des replis dans le sens des mouvements permis.
Exemple : La capsule du genou est lâche en avant pour permettre les mouvements de flexion,
lors de l’extension elle forme des replis en avant du genou .La capsule limite le mouvement.
-Aux ligaments qui sont les bandes de tissus fibreux qui unissent 2os voisin et renforce la
capsule.
Comme la capsule les ligaments ont un rôle mécanique de maintien de l’articulation ils ont un
rôle passif, ils n’ont pas comme les muscles la possibilité de se contracter .Ils sont
inextensible mais son mis en tension par certaines positions de l’articulation et détendu par
d’autres.
*Exemple : Le ligament latéral externe du genou est tendu en extension et détendu en flexion.
Les ligaments sont très riches en récepteur nerveux sensitif qui perçoivent la vitesse de
mouvement, la position de l’articulation et d’éventuel étirement et douleur. Ils transmettent en
permanence des information au cerveau qui donne en réponse des ordres moteur aux muscles
.C’est ce que l’on appel la sensibilité proprioceptive (équilibre interne) .Malgré ce dispositif
il arrive qu’un mouvement excessif de l’articulation amène a un étirement ligamentaire qui
entraîne distension ou déchirure (entorse)
-Aux muscles qui croisent l’articulation et dont le tissu constitue un puissant élément d’union.
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Les mouvements articulaires.
On distingue selon leur degré de mobilité plusieurs types d’articulations :
-Diarthrose : Ce est les articulations mobiles essentiellement rencontrées dans les membres.
Elle permettent soit des mouvements dans tous les plans (hanche, épaule) soit un mouvement
dans un seul plan (genou, coude).
-Amphiarthrose : Articulation peu mobile ne permettant que des mouvements de glissement
(vertèbre)
-Synarthrose : Articulation immobile, Aucun mouvement.
L’amplitude des mouvements est limitée soit par les corps musculaires, soit par les ligaments.
Cette amplitude dépend des tensions exercées. Ceci justifie le travail de souplesse du muscle.
Les principaux accidents articulaires.
L’entorse : Traumatisme articulaire sans déplacement des surfaces, on constate 3 types de
lésion faisant suite à une entorse :
-Lésion capsulo-ligamentaire : Capsule et ligaments plus ou moins touchés.
-Les atteintes musculaires : contraction musculaire brutale
-Les troubles vasomoteur : Epanchement sanguin autour et dans l’articulation .On
constate un gonflement d’origine réflexe qui peut être limité par l’application de glace.
La luxation : traumatisme articulaire avec déplacement des surfaces articulaires.
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Partie II : La colonne vertébrale.
Définition : Axe de soutien rigide du corps, elle forme une tige osseuse mobile qui compose
en partie le squelette du tronc. De haut en bas elle présente plusieurs régions qui sont
constituées de petit os (les vertèbres).
Les vertèbres ce compte de haut en bas et sont de plus en plus massive au fur et a mesure que
l’on descend vers le coccys.
Exemple : C7 est la 7em vertèbre cervical D3 est la 3e dorsale
Entre 2 vertèbre il y a un peu de mobilité globalement la colonne vertébrale a une grande
mobilité permettant les mouvements du tronc tel que :
-Flexion
-Extension
-Rotation
-Inclinaison latérale
La 1er et la dernière sont les charnières les plus touché par le sport.
Schéma Vertèbre :
-Vertèbres cervical
Corps osseux petit de forme rectangulaire ce qui limite l’inclinaison latérale, le disque
intervertébral est épaisse preuve de grande mobilité.
L’apophyse articulaire permet en plus de la mobilité une grande stabilité. Le corps osseux est
calé latéralement. Les apophyses épineuses sont de longueurs variable : C2 et C7 sont longues
les autres sont plus courtes ce schéma favorise l’extension
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-Vertèbres Dorsale
Corps Osseux plus épais, le disque intervertébral est plus mince ce qui donne une mobilité
réduite. Les apophyses articulaires sont arrondies et plane et elles permettent les mouvement
de flexion et d’extension, d’inclinaison latérale et rotation.
Les apophyses transverses sont de longueur inégale et les apophyses épineuses sont allongées
très oblique vers le bas sauf sur D11 et D12 ce qui limite par leur contact l’hyper extension.
-Vertèbres Lombaire
Corps Osseux volumineux avec un disque épais facteur de mobilité, les apophyses transverses
sont longues et les apophyses épineuses sont courtes et massive ce qui favorise une bonne
amplitude d’extension. Les apophyses articulaires sont verticales et limites les mouvements
de rotation.
Lombaire : bonne amplitude en flexion extension très peu en rotation
Schéma Jonction Lombo sacrée
Disque Intervertébral
2 parties :
-1 anneau : Constitué de fines lamelles concentrique et de cartilage fibreux.
-1 noyau : Partie centrale sorte de bille remplie de liquide gélatineux.
Cet ensemble compose l’amortisseur efficace contre la différente pression que reçoit la
colonne vertébrale.
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Les Traumatismes :
De part leurs constitutions les vertèbres présentent des articulations ,2 apophyse transverses et
2 au niveau du corps vertébral.
Le disque intervertébral peut être écrasé par de lourde charge. Hernie Discale ou
inflammation de type lumbago sont alors possibles.
Les disques intervertébraux est fragile et tend à vieillir prématurément du a de mauvaise
condition mécanique.
-Dans la statique comme dans le mouvement il y a souvent addition de pincement et de
cisaillement. L’anneau présente alors des failles par lesquels peut migrer le liquide du noyau.
-La colonne vertébrale peut subir des déviation qu’un brevet d’état doit pouvoir déceler, les
mauvaises habitudes des jeunes peuvent a répétition faire apparaître des déviation de la
colonne vertébrale. Le plus fréquemment ces déviations sont du a un problème d’équilibre du
bassin.
Dans le plan frontal le bassin peut s’incliner d’un coté du fait par exemple de la croissance
inégale des membres inférieurs ou d’un affaissement de la voûte plantaire par suite de pied
plat ou d’une attitude, la tête voulant se maintenir dans ce cas dans l’axe vertical le rachi se
déforme créant une scoliose. Cette conséquence peut également s’installé par suite d’une
inclinaison des épaules prolonger ou d’un renforcement musculaire unilatéral.
-Dans le plan sagittal me bassin peut s’incliner en :
-Antéversion (haut du bassin en avant) a cause essentiellement du relâchement des
abdominaux ce qui entraîne une lordose lombaire accentué (Rein cambré).
-Rétroversion : Haut du bassin en arrière a cause d’un affaissement de la voûte
plantaire ou d’un raccourcissement des ischions jambiers qui entraîne une position genoux
fléchit une mauvaise position assise prolonger peut également provoqué cette rétroversion qui
entraîne un effacement de la lordose lombaire et d’une cyphose dorsale très accentué le dos
apparaît alors globalement arrondi avec les épaules tombantes et les omoplate écarté.
Schéma : Antéversion/Rétroversion
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Question Bilan.
La colonne vertébrale est définie comme un axe de soutient rigide du corps. Décrivez la
colonne vertébrale et son fonctionnement puis justifiez les précautions à prendre lors
d’exercices qui sollicitent celle-ci ?
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Parties III : Le membres supérieur : L’épaule et la ceinture scapulaire
Définition :
L’épaule est la racine du membre supérieur dans la mesure ou elle fait suite au tronc et donne
naissance au bras.
Ce n’est pas une articulation unique comme la hanche mais un ensemble fonctionnel
permettant de relier les membres supérieurs au thorax .Cet ensemble doit assurer une double
fonction :
-Permettre une mobilisation a grande amplitude du bras à laquelle s’ajoute celle du coude et
du poignet permettant d’amener la main dans un très grand espace.
-Permettre une bonne stabilité pour le cas ou le membre supérieur aura besoin de force 5prise
forte).
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Schémas Epaule :
Face postérieure :
Processus coracoïde
Fosse sus epineuse
Acromion
Fosse sous épineuse
Epine scapulaire
Cavité glénoïde
Bord int
Bord ext
Face antérieure :
Processus coracoïde
Acromion
Facette articulaire
Cavité glénoïde
Bord int
Bord ext
Angle inf
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L’épaule est très mobile et en même temps très stable .Elle comprend 3 os :
-Clavicule (court)
-Humérus (long)
-Omoplate (plat)
Le membres Supérieur : Les articulations
La ceinture scapulaire comprend 4 articulations mécaniquement liées et fonctionnant toujours
ensemble.
On distingue les articulations :
1/Acromio-Claviculaire :
-Elle réunit les surfaces articulaires de l’acromion (tête de l’omoplate) et de la clavicule.
- Ce sont 2 surfaces ovalaires qui permettent surtout du mouvement de glissement,
d’ouverture (fermeture de l’angle formé par les os)
-Elle intervient dans tous les mouvements du membres supérieur par rapport au thorax, elle
est sollicité dans de nombreux sport : Judo, lutte, rugby.
Les surfaces articulaires de l’acromion et de la clavicule sont reliées par le ligament acromioclaviculaire et les ligaments coraco-claviculaire
2/Scapulo-humérale
-Elle unit la glène de m’omoplate à la tête de l’humérus.
-Entre les 2 surfaces articulaires se trouve un bourrelet de fibro-cartillage (Bourrelet
Glénoïdien) qui augmente l’emboîtement des surfaces et permet une meilleure répartition de
la synovie.
Les surfaces articulaires sont reliées par 1 capsule et des ligaments qui s’attachent sur
l’omoplate et la tête humérale ainsi que par des muscles peris-articulaires.
La capsule présente à ce niveau des zones faibles surtout entre les ligaments supérieur et
antérieur.
-Supérieur : Ligament coraco-humérale
-Antérieur : Ligament Gléno-humérale
Cette articulation est très mobile dans les 3 plans de l’espace mais le plan capsuloligamentaire de l’épaule n’est pas très puissant ainsi cette articulation est facilement sujette à
des luxation en particulier celle qui entraîne la tête humérale en avant et en dedans (luxation
antéro interne). Dans ces luxation la capsule peut être distendu ou dechiré et donc
compromettent la stabilité par les muscles les plus profond qui forment autour d’elle un
chapeau de ligament actif appelé : Coiffe des rotateur.
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Définition Rotateur :
Ensemble de muscle permettant de stabiliser l’articulation Scapulo-Humérale. Déjà stabiliser
par la capsule et les ligaments caraco-humérale et Gleno-Huméraux, l’épaule est surtout
stabilisé par les muscles les plus profond qui forme autour d’elle un chapeau de ligament
actif.
Quatres Muscles :
-Sous scapulaire qui est le rotateur interne et il empêche le déplacement arrière.
-Sus épineux qui est abducteur, il va empêcher le déplacement vers le haut, les
mouvement vers l’avant et l’arrière.
-Sous épineux et petit rond qui sont les rotateur externe et ils empêchent les
déplacements arrières.
3/ Sterno claviculaire
-Elle relie la clavicule au sternum
-Elle va permettre différents mouvements : avancé, recul, abaissement et de rotation sur son
axe.
-2 ligaments : 1 avant et 1 arrière
4/ Scapulo thoracique
Articulation dite physiologique, qui représente les surfaces de glissements c'est-à-dire que
l’omoplate glisse sur le thorax lors des mouvements. Les mouvements sont dus à l’articulation
Sterno claviculaire ou acromio claviculaire.
Exemple : Le mouvement d’élévation entraîne l’omoplate légèrement en bascule avant, a
l’inverse en abaissant elle venir se plaquer sur le thorax dans un mouvement d’adduction
l’omoplate va se rapprocher de la colonne vertébrale (mouvement de sonnette interne) à
l’inverse sur un mouvement d’abduction l’omoplate s’écarte de la colonne vertébrale
(mouvement de sonnette externe).
Antépulsion : omoplate décoller
Rétro pulsion : Coller
Les muscles de l’épaule :
Grand dorsal :
Insertion en D7 a L5 il recouvre la partie inférieur du dos et se termine au niveau de la
tête de l’humérus, il permet l’extension de la colonne dorso lombaire .Il attire le bras derrière
le dos, provoque le balancement arrière et la rotation interne. Il est extenseur de l’humérus.
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Grand Rond :
Même fonction que le grand dorsal. Il part du bord externe de l’omoplate à l’humérus
en haut et en dehors.
Trapèze (3 parties) :
Il naît à la base de l’occiput et se termine sur la D10. Il peut être adducteur attirant
l’omoplate vers la ligne médiane du dos, le trapèze supérieur va avoir tendance à élever
l’omoplate.
Le trapèze supérieur va avoir tendance à élever l’omoplate.
Le trapèze inférieur va avoir tendance à abaisser l’omoplate.
Trapèze sup. +inf ont une action sur la sonnette externe.
Petit pectoral :
Il naît des côtes 3.4.5 il se dirige vers le haut et se termine sur l’apophyse coracoïde. Il
intervient dans l’inspiration et élève les côtes et abaisse l’omoplate.
Grand pectoral :
Il constitue la paroi antérieur de la poitrine il s’attache sur la clavicule et le long du
sternum sur le cartilage costaux et se termine sur la partie antérieur de l’humérus son action
attire le bras vers l’intérieur jusqu’à l’axe médian, il est également rotateur interne du bras, Il
abaisse le bras quand il est en position haute et assure l’élévation du bras lorsque celui-ci est
abaissé.
Grand dentellé :
Large nappe musculaire qui s’étale sur le coté de la cage thoracique et recouvre la
partie inférieur du dos pour se terminer sur les 10 premières côtes. Il naît de la phase profonde
antérieure de l’omoplate. Le long du bord interne. Il s’enroule en dehors et en avant autour
des côtes en s’élargissant pour former des faisceaux musculaire, il, est séparé de l cage
thoracique et du sous scapulaire par des plans gellulo graisseux indispensables au bon
glissement de l’omoplate sur le thorax. Son action : il est abducteur, il attire l’omoplate vers
l’extérieur. Il a un rôle de maintien de l’omoplate fixe.
Le deltoïde :
Muscle superficiel formant le galbe de l’épaule, il comprend 3 faisceaux :
-1 antérieur qui s’attache sur la clavicule
-1 moyen qui s’attache sur le bord externe de l’acromion
-1 postérieur qui s’attache sur l’épine de l’omoplate
Ces trois faisceaux permettent une antépulsion, une rotation interne du bras ,1 abduction du
bras ainsi qu’une rétropulsion du bras.
Les muscles N’interviennent jamais seul lors d’un mouvement mais agissent en chaîne
musculaire.
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Intervention des muscles dans le mouvement de l’épaule
Antée pulsion
Rétro pulsion
abduction
adduction
Rotation ext.
Rotation
interne
Deltoïde
Deltoïde
Deltoïde
Grand dorsal
Sus épineux
Deltoïde
Grand Pectoral
Grand dorsal
Sus épineux
Grand Pectoral
Petit rond
Grand Pectoral
Coraco brachial
Grand rond
Grand rond
Deltoïde
Grand rond
Grand dorsal et
sous scapulaire
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Le coude
Le coude est en avant tout l’articulation qui permet de relier l’humérus au 2 os de l’avant bras,
il est une articulation à double fonction par les possibilités qu’il offre de se replier sur luimême ou de s’étendre mais également à la possibilité qu’il offre à l’avant bras de tourner sur
lui-même : Prono Supination.
Schéma du Coude
1 : condyle externe
2 zone conoïde
3 trochlée
4 épocondyle
5 épitrochlée
6 cupule radiale
7 ligament annulaire
8 olécrâne
9 apophyse coronoïde
10 : grande cavité sigmoïde
11 : axe de flexion-extension B
L’humérus se situe entre l’omoplate et le coude
Le radius en supination est vers l’extérieur, le radius prolonge le pouce, il est plus en
profondeur.
Le cubitus en supination est vers l’intérieur il forme le coude, il est plus superficiel.
Le membres supérieur : L’articulation
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Surfaces articulaires :
Il existe 2 surfaces articulaires principales
-épithrochlée sur la face inférieur de l’humérus et s’articule avec le cubitus.
-épicondyle sur la face inférieur de l’humérus et s’articule avec le radius
Ces 2 surfaces articulaires sont reliées et consolidées par une capsule et des ligaments.
La capsule est tendue en avant de l’articulation et qu’elle est lâche en arrière permettant une
grande amplitude de flexion.
L’humérus, Cubitus, Radius sont réunis dans une même capsule.
Les ligaments :
Il existe 2 types de ligaments :
Face antérieur : Peu important en avant il forme un éventail qui renforce la capsule, et en
arrière il forme des fibres croisées et ces ligaments permettent les flexion, extension du
coude.
Les ligaments les plus important du coude en terme de stabilité sont les ligaments latéraux :
-Ligament latéral interne formé de 3 faisceaux partant de l’épi trochlée et se terminant sur le
bord de l’apophyse coronoïde et de l’olécrane pour le faisceau postérieur.
-Ligament latéral externe il à 3 faisceaux également partant de l’épicondyle, les 2 premiers
faisceaux cravate la tête du radius l’un en avant l’autre en arrière de la petite cavité sigmoïde
du cubitus. Le 3em faisceau en éventail va se terminer sur la face externe de l’olécrane.
Schéma Ligaments latérales
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Ces 2 types de ligaments sont très puissant et empêche tout mouvement latéral du coude, les
surfaces de l’humérus s’articulent avec l’ensemble cubitus radius permettant uniquement des
mouvements dans le plan sagittal.
En flexion la forme des os concave vers l’avant permet de loger les masses musculaires.
La tête radiale vient se loger dans la fossette sus condylienne.
Le bec coronoïdien se loge dans la fossette coronoïdienne (mouvement de flexion)
Articulation RADIUS/CUBITUS :
Les 2 os de l’avant bras sont en contact de façon mobile par 2 points :
En haut : Sur le cubitus il y a une surface concave d’avant en arrière situé sur la face externe
de l’apophyse coronoïde, c’est la petite cavité sigmoïde, elle est complété par le ligament
annulaire qui s’attache sur ces bords antérieur et postérieur.
Sa face profonde est tapissée de cartilage et l’ensemble forme un anneau dans lequel se loge
le pourtour de la tête du radius.
Ce dispositif permet à la tête du radius de tourner sur elle-même. L’anneau est un peu plus
étroit en bas qu’en haut ce qui permet un bon maintien de la tête radiale dans les mouvement
de traction de l’avant bras.
En bas c’est la petite cavité sigmoïde du cubitus qui correspond à une surface situé sur la
partie interne de la tête cubitale.
L’ensemble forme une articulation cylindre creux cylindre plein qui permettent les rotations
de la base du radius autour de la tête cubital
Ligament triangulaire : Moyen d’union radius cubitus et s’articule avec le poignet.
Sur toutes leurs longueurs cubitus et radius sont réunis par un ligament inter osseux qui va du
bord interne du radius au bord externe du cubitus.
Sur les mouvements de pronation le ligament inter osseux se détend, à l’inverse en supination
Il se tend.
Il limite la supination.
Le coude et les principaux muscles
 Brachial Intérieur : Il naît de la face antérieure de l’humérus dans sa moitié inférieur et
se termine sur l’extrémité supérieure du Cubitus. C’est le fléchisseur direct du coude.
 Biceps brachial : Muscle superficiel par rapport au brachial antérieur il naît au niveau
de l’omoplate par 2 tendons.
-Long biceps qui naît au dessus de la glène de l’omoplate.
-Le court biceps qui naît sur l’apophyse coracoïde.
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Il descend le long du bras en avant de l’humérus et il forme un tendon unique et se termine sur
l’extrémité supérieure du Radius. Au niveau du Coude il fait la flexion de l’articulation. Il
participe au mouvement de supination et au niveau de l’épaule il participe à l’antépulsion.
Le Long biceps brachial participe aussi à l’adduction.
 Triceps Brachial : Formé de 3 tendons qui partent l’un de la face postérieur de
l’omoplate les 2 autres de la face postérieur de l’humérus.
er
1 tendon : Long triceps il naît d’un tendon a la partie inférieur de la glène de l’omoplate.
2em : Vaste externe naît de la face postérieur de L’humérus dans sa moitié supérieur.
Le triceps brachial se termine sur la partie supérieure et postérieure du cubitus par un tendon
commun. Au niveau du coude il réalise l’extension de l’avant bras sur le bras.
 Long Supinateur : Il naît du bord externe de l’humérus dans son 1/3 inférieur, il longe
l’avant bras pour venir se terminer sur l’apophyse styloïde du radius. Il sert à la
flexion du coude à partir d’une pronation ou d’une supination et il ramène l’avant bras
en position intermédiaire.
Les Muscles de la flexion s’attache sur de nombreux Os :
Os
Omoplate
Humérus
Flexion
Biceps brachial
Brachial antérieur
Long Supinateur
Extension
Triceps brachial
Triceps brachial
Cubitus
Brachial antérieur
Triceps brachial
Radius
Biceps brachial
Long Supinateur
Pronation
Rond Pronateur
Long
Supinateur
Rond Pronateur
Carré pronateur
Carré pronateur
Supination
Biceps brachial
Long Supinateur
Court supinateur
Court supinateur
Biceps brachial
Long Supinateur
Court supinateur
Os de la main
Le membres Supérieur : La main et le poignet.
Définition Main :
Situé a l’extrémité du membre supérieur la main est un outils très perfectionner car elle
capable par la mobilité de ses doigt d’effectuer des préhensions telle que résister a un poids
très lourd. La main est unie à l’avant bras par le poignet.
Définition poignet :
Région articulaire mettant en jeu de nombreux os disposé en 2 rangé :
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-En haut le radius et le ligament triangulaire corresponde à la ranger supérieur du carpe on
parle alors d’articulation radio carpienne.
-En bas il y a 3 os rangé sur le rang supérieur correspondant a 4os rangé dans la rangé
inférieur et on parle d’articulation Medio carpienne.
A la suite du radius et du cubitus on trouve 2 séries juxtaposé de 4 os (8os) qui forment le
carpe, la seconde rangé donne naissance à 5os long qui sont les métacarpiens formant le
métacarpe (paume de main) Chaque métacarpien donne lui-même naissance aux phalanges (2
pour le pouce et 3 pour les doigt).
Schéma poignet :
Articulat° Medio carpienne
Articulat° Radio carpienne
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Le carpe est relié au os de l’avant bras par de nombreux ligaments et les os du carpe
s’articulent entre eux par des facettes latérales et de nombreux ligaments les solidarisant entre
eux.
Les facettes latérales sont revêtu de cartilage, il a une capsule pour l’articulation radio
carpienne qui s’attache au pourtour des surfaces articulaires, elle est très lâche d’avant en
arrière et plus tendu latéralement cette capsule est doublé d’une synoviale. Au niveau medio
carpien il y a une capsule par articulation.
Dans les mouvements du poignet les 2 rangs articulaires interviennes, la flexion du poignet est
plus marqué dans la radio carpienne l’extension du poignet est plus marqué dans la radio
carpienne. Dans l’abduction du poignet l’intervention principale des os de la partie externe du
carpe (Le scaphoïde se rapproche du radius et en adduction le pyramidale se rapproche du
cubitus).
Les phalanges sont reliées entre elles par des capsules et des ligaments latéraux.
Le poignet : Principaux muscles :
Muscles fléchisseurs (flexion) :
 Grand palmaire : il part de l’épi trochlée, longe l’avant bras puis forme un tendon
unique qui se termine sur la base du 2em métacarpien, il intervient dans l’abduction.
 Cubital antérieur : Il naît de l’épi trochlée, de la face interne de l’olécrane, son tendon
descend le long du cubitus (partie intérieur) et se termine sur le pisciforme et l’os
crochu.
Muscles extenseurs du poignet :
 Muscles radiaux : Les 2 muscles longe l’avant bras en dehors du radius pour se
terminer sur la face dorsale de la main.
1er radial : Il part du bord externe de l’humérus dans sa partie inférieur et va jusqu'à la base du
2em métacarpien.
2em radial : Il part de l’épicondyle à la base du 3em métacarpien.
 Cubital postérieur : Il part de l’épicondyle et du bord postérieur du cubitus a la base
du 5em métacarpien.
Les doigts : Principaux muscles.
 Fléchisseur commun profond des doigts, il naît sur la face antérieur du cubitus
débordant sur le ligament inter osseux et il forme 4 tendons qui se dirige vers les 4
derniers doigts sur la base de la 3em phalange. Il fléchit donc la 3em phalange sur la
2em et participe à la flexion des 2 autres.
23
 Fléchisseur commun superficiel des doigts : Muscle situé en avant du précèdent il naît
de 2 chefs :
-Le premier vient de l’épi trochlée et de l’apophyse coronoïde du cubitus, le 2em viens du
bord antérieur du radius, il forme 4 tendons qui se dirigent vers la 4 derniers doigts. Chaque
tendon se dédouble au regard de la 1er phalange puis se termine sur la face antérieur de la 2em
phalanges sur les bords latéraux. Il permet la flexion de la 2em phalange sur le 1er et par le jeu
des gaines fibreuses sur le 1er et sur les métacarpiens.
 Extenseur commun des doigts : Il naît de la partie basse de l’humérus sur l’épicondyle
il descend en arrière de l’avant bras et forme 4 tendons terminaux. Chacun de ces
tendons se dirige vers 1 doigt sur lequel il se termine en 3 parties.
-1 languette centrale qui se termine à la base de le 1er et la 2em phalange.
-2 languettes latérales qui se rejoigne sur la base de la 3em phalanges.
 Long extenseur du pouce : Il naît de la face postérieure du cubitus et se termine sur la
2em phalange du pouce. Il permet l’extension de la 2em sur le 1er et le 1er sur les
métacarpiens.
 Fléchisseur propre du pouce : Il naît sur la face antérieur du radius.
 Long abducteur du pouce : Il naît de la face postérieur du cubitus et du radius et se
termine sur la base du 1er métacarpien, il attire le pouce en dehors et en avant.
 L’adducteur du pouce : Il rapproche le 2em métacarpien du 1er et fléchit la 1er
phalange sur le métacarpien, ce muscle est en deux faisceaux :
-1 oblique qui vient du trapézoïde et du grand os.
-1 faisceau transverse qui vient des 2em et 3em métacarpien et des articulations metacarpophalingienne correspondante.
Le tronc :
Le tronc correspond à la région du corps qui permet l’origine, la stabilisation ou la
transmission de toutes les forces produite par les muscles des parties supérieur et inférieur du
corps humain.
Que l’on accomplisse un mouvement précis ou général, il est nécessaire d’avoir un tronc fort
pour être assuré d’effectuer des gestes efficaces et opérants (le tronc est la centrale de
transmission des gestes).
Il rempli un double rôle lié a son ossature la colonne vertébrale.
1/ Effectuer des mouvements courbes : ceci est du au mobilité de la colonne qui additionne 26
niveaux d’articulation. Il doit être capable d’aligner les segments vertébraux et de les
stabiliser lors de la statique et lors de port de charge. L’axe vertébral contient l’axe nerveux
(la moelle épinière et les racines nerveuses qui en sorte).
24
La fragilité d’une charnière vertébrale ne retentira pas seulement au niveau articulaire mais
aussi au niveau des éléments nerveux.
Ce double rôle (mobilité et maintien) est assuré par des muscles pour la plupart poly
articulaire, profond formé de nombreux petit faisceaux ou superficiel (grandes nappes
musculaires).
Les muscles du tronc :
 Grand oblique : Il permet l’inclinaison latérale du même coté et la rotation du côté
opposé lorsqu’il agit seul.
La flexion du tronc est provoquée par les 2 grandes obliques en même temps.
 Petit oblique : Inclinaison latéral du même coté et la rotation du même coté.
Le grand oblique s’attache sur les 7 dernières cotes, la crête iliaque et ses fibres se dirigent
obliquement vers l’aponévrose du grand oblique qui va du sternum au pubis.
Aponévrose : Membrane de consistance fibreuse plus ou moins large blanche servant de lien
entre les structures auxquelles elle est liée.
Les 2 aponévroses se rejoignent au niveau de la ligne blanche.
Les obliques agissent en synergie dans les mouvements de rotation du tronc. Un grand oblique
s’associe au petit oblique opposé.
Exemple : dans la rotation du tronc a droite avec flexion en avant la contraction sera faite
simultanément par le grand oblique droit et le petit gauche.
Le petit oblique s’attache sur l’arcade fémorale, la crête iliaque, l’aponévrose lombaire puis
ses fibres se dirigent en éventail pour se terminer en haut sur les 4 dernières cotes puis le
cartilage costaux, sternum, pubis.
 Grand droit de l’abdomen :
Il permet la flexion du tronc et la rétroversion du bassin il rapproche le pubis du sternum c’est
le plus direct des fléchisseur du tronc en avant. Il est le plus superficiel des muscles
abdominaux, il s’étend en avant des aponévroses des 3 précédents (grand oblique, petit
oblique, transverse). Il naît en haut sur les cotes 5.6.7 et sur le sternum (appendice xiphoïde )
et se termine sur le pubis la particularité c’est qu’il est coupé par des intersection tendineuse
qui apparaisse lors de la contraction des muscles comme des rayures transversales .
25
 Le transverse :
Il est le plus profond, permet de rentrer le ventre : il permet de contenir les viscères dans la
cavité abdominale).
Ce muscle transverse s’attache sur la face profonde des 7 dernières cotes sur les 5 vertèbres
lombaires sur la crête iliaque et l’arcade fémorale. De toutes ces attaches naissent des fibres
horizontales qui se dirigent vers la partie antérieure de l’abdomen.
Elle se termine sur une aponévrose antérieure qui rejoint celle du transverse opposé au niveau
de la ligne blanche. Ces fibres circulaires en se contractant réduise le diamètre de la région
abdominale.
 Carré des lombes :
Il s’attache sur la dernière cote sur les 5 vertèbres lombaires et la crête iliaque. Il est fait de
fibres verticales et obliques qui s’entre croise. Si le basson est le point fixe il va attirer la
12em cote vers le bas. Il faut donc l’inclinaison latérale des vertèbres du coté de sa
contraction il est un fléchisseur latérale : Si les cotes sont le point fixe il élève le bassin du
coté de sa contraction.
 Le groupe spinal :
Il maintien la colonne vertébrale et position verticale. 2 muscles naissent d’une même masse
commune musculaire. Cette masse commune s’attache par l’aponévrose sur le sacrum et
l’arrière des crêtes iliaques. Le plus interne des muscles du groupe spinal est la longue
dorsale, il se termine sur les apophyses transverses des vertèbres dorsales et la face
postérieure des cotes. Il occupe la gouttière formée par les vertèbres et les cotes. Il va être
prolongé en haut par 2 muscles décrit parfois comme faisant partie du long dorsal.
En haut : Petit complexus qui vient de D3 a C4 et se termine sur l’apophyse mastoïde.
 Transversaire du cou :
Il va des apophyse transverse des dorsales supérieur à celles des cervicales inférieur le plus
externe : sacro lombaire.
Il évolue par un relais allant de la masse commune à C3. Un premier faisceau se termine sur
les 6 dernières cotes de la naît un deuxième faisceau qui se termine sur 6 premières cotes et un
troisième faisceau qui va sur le apophyse transverses des 4 dernières cervicales.
 Le psoas :
Fléchisseur de hanche et redresseur de la colonne vertébrale. C’est un grand muscles
lombaire il naît des vertèbres D12 à L5 il descend un peu en dehors traverse le bassin et se
termine sur le petit trochanter (tête fémorale interne).
Si les vertèbres sont le point fixe, il entraîne le fémur en flexion. Le psoas a longtemps été
décrié comme un lordosant lombaire a cause de la direction des ses fibres obliques en bas et
en avant. Mais au niveau lombaire il semble que comme muscles placés d’étage en étage dans
la convexité de la colonne, il participe à ériger celle-ci en agissant en synergie avec les paras
vertébraux lombaires.
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L’ensemble psoas, muscles para vertébraux :
L’ensemble forme une poutre composite formée de la colonne lombaire entourée par 4
manchons musculaires.
Le psoas se montre alors plutôt comme un muscle redresseur voir un délordosant de la
colonne. Contrairement à l’opinion souvent répandue les muscles abdominaux ne sont pas les
mieux placés pour remplir ce rôle de décambrure.
2 raisons :
1/ Ils agissent (abdos) des cotes au bassin et non d’action sur les vertèbres que d’une façons
globale, à distance agissant à travers le contenu abdominal.
2/ Le plus délordosant de tous, le grand droit de l’abdomen rapproche le pubis du sternum et
ainsi fléchit vers l’avant toutes les vertèbres jusqu'à environ D8 or dans la région lombaire et
dorsaux lombaire la zone qui fléchit le plus facilement est la charnière dorsaux lombaire
(D12-L1). Celle-ci sera donc fléchit électivement avant la colonne lombaire. Les mettrent en
jeu comme délordosant permanent de la région aura comme effet d’attiré les cotes basses vers
le bas tendant a effondrer la cage thoracique. Ils sont alors des freins de l’ouverture costale et
de l’amplitude de la région dorsale.
Les abdominaux sont mieux placé pour un autre rôle celui de la contention de l’abdomen étant
par là lié de façons très globale.
En conclusion ; Il y a lieu d’étirer certains freins musculo- ligamentaires quand on se trouve
devant une courbure non choisi. Il y a lieu de renforcer le muscle PSOAS pour maintenir la
cambrure en avant et les abdominaux en 2em intention.
 L’iliaque :
Il naît de la face interne de l’os iliaque et se termine par un tendon commun sur le petit
trochanter si le fémur est fixe il fait l’antéversion du bassin, si l’os iliaque est fixe, il fait la
flexion du fémur.
 Le PSOAS iliaque :
Muscles d’insertion et d’origine différentes mais de terminaison identique. Si souvent décrit
comme un muscle unique à cause de sa terminaison et de son action identique sur le fémur
(flexion) l’action du psoas et celle de l’iliaque sur le point haut est très différente. L’iliaque
est un muscle de hanche alors que le psoas est un muscle lombaire.
*- L’ensemble des muscles du tronc participe à la fixation de la ceinture pelvienne ; Le
fameux gainage, il protège les viscères et intervient directement et indirectement dans la
respiration.
27
Rôle et problème fonctionnel du tronc :
Les muscles du tronc permettent la transmission de puissance des muscles inférieur et
supérieur du corps par conséquent une musculature forte à ce niveau est fondamentale pour la
pratique sportive.
Mais pour les abdominaux Obliques, grand droit et transverses il faut un renforcement
permanent car ces muscles essentiels aux sportifs ne sont pas utilisé lors de la posture
Bipédique.
Il en résulte la plupart du temps d’une faiblesse et un déséquilibre par rapport aux muscles
psoas qui par leurs fonction posturales permanentes compriment les disques inter vertébraux
qui sont en permanence sous tension.
Une bonne musculature abdominale réduit la charge postérieure et stabilise la colonne
vertébrale. Le renforcement ne se fait pas dans n’importe qu’elle condition.
La hanche :
Définition : La hanche est l’articulation qui relie le membre inférieur au tronc, sa stabilité et la
puissance de sa musculature sont nécessaire a la station debout et donc à la marche et à la
course. Cette articulation à du mal a être situé car elle se trouve au sein d’importante masse
musculaire donc difficilement repérable.
La stabilité de la hanche est avant tout osseuse, elle a deux rôles :
1/Lorsque le pied est mobile elle permet d’orienter le membre inférieur dans toutes les
directions.
2/Lorsque le pied est fixe elle supporte le poids du corps et permet la locomotion.
De nombreuse technique corporelle demande également une grande amplitude des
mouvements de hanche. Or celle-ci est souvent enraidi et fera alors retenir son manque de
souplesse sur les régions sus jacentes (région lombo pelvienne) ou sous jacentes (genou et
pied). D’où l’intérêt de connaître cette articulation pour dans ce cas la faire travailler de façon
isoler.
Le bassin est un anneau osseux formé principalement par 3 éléments :
 Sacrum
 Les 2os iliaque
 Le coccyx
Si on ajoute les muscles qui occupent la base de l’anneau (les muscles du plancher pelvien)
l’ensemble à effectivement la forme d’un bassin qui reçoit le tronc et le poids de la partie
supérieur du corps mais c’est également le lien par lequel les fémurs s’articulent avec le tronc
.Le bassin est ainsi un élément de transmission dû au poids du corps et contre pression venant
du sol par les membres inférieur.
Tête du fémur :
28
Le fémur est un os long en 3 parties :
-2 extrémité (épiphyses et un corps)
L’extrémité comporte 4 éléments :
-Tête du fémur situé en dedans c’est une surface sphéroïde.
-Grand trochanter situé en dehors c’est une tubérosité massive.
-A l’intérieur et en arrière il y a le petit trochanter
Articulations :





Face intérieure
Face supérieure
Antérieur
Postérieur
Externe
De nombreux muscle profond viennent s’inséré sur le trochanter.
Os iliaque :
Bord sup
29
Face post
Face ant
9
1. Ilion
II. Ischion
III. Pubis
1. Crête iliaque
2. Epine iliaque antéro sup.
3. Epine iliaque postéro inf
4. Fosse iliaque externe
5. Grande échancrure sciatique
6. Epine sciatique
7. Cotyle
8. Trou obturateur
9. Petite échancrure sciatique
10. Epine du pubis
10
Bord inf
L’articulation de la Hanche :
Elle met en relation la tête du fémur, le cotyle et le bourrelet.
Bourrelet : Anneau de fibro cartilage qui adhère au cotyle il maintien la tête du fémur de
façon souple augmentant la stabilité de l’articulation. Cette articulation à la forme d’un fer a
cheval et s’agence parfaitement avec la tête fémorale, la congruence est forte. (Unité
articulaire très emboîté)
Cependant en position debout pied parallèles la tête du fémur n’est pas complètement
coiffé par le cotyle sa partie avant est découverte elle est davantage recouverte en position
fléchit a 90° comme a 4 pattes.
La position ou les surfaces articulaires ont le maximum de contact est une combinaison de
flexion, abduction et rotation externe.
Cette articulation est renforcée par une capsule et des ligaments qui lui donne une grande
stabilité.
La capsule s’attache :
 Sur l’iliaque au pourtour du cotyle
 Sur le fémur au pourtour du col
La capsule est très épaisse et renforcé par des ligaments sur surtout a l’avant en 3 faisceaux
disposé en N :
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Supérieur : Ilio pretrochanterien (ligament de Bertin)
Moyen : Ilio pretrochanterien (ligament de Bertin)
Inférieur : Pubo fémorale
Schéma :
Il y a également des ligaments en arrière mais beaucoup moins puissants situé en spirale. Lors
des mouvements les ligaments antérieurs sont plus ou moins tendus :
Flexion
Extension
Abduction
Adduction
Rotation interne
Rotation externe
Détendu (tous)
Détendu (tous)
Faisceau sup. détendu !!!! (vérifier)
Faisceau sup. tendu avec le moyen plubo fémorale détendu
Détendu (tous)
Détendu (tous)
Le mouvement de flexion et de rotation intérieur détende les ligaments tandis que les
mouvements d’extension et de rotation intérieur les tendent.
Les mouvements de la hanche :
La hanche va permettre des mouvements de flexion elle rapproche les faces antérieur de la
cuisse et du tronc, des mouvements d’extension qui rapprochent les faces postérieur de la
cuisse à celle du tronc l’extension de hanche est limité.
Le mouvement d’adduction de la cuisse se déplace vers l’intérieur des mouvements
d’abduction qui rapproche la face extérieure de la cuisse et du tronc, l’abduction en position
de rotation interne ne dépasse pas 40° car la partie supérieure du col butte sur le toit du cotyle.
A l’inverse l’abduction avec 1 rotation extérieure est beaucoup plus ample.
Elle permet également des mouvements de rotation ou le fémur tourne sur son axe.
31
Schéma (faire ligaments)
La symphyse pelvienne est l’articulation entre les 2 pubis et ils adhèrent entre ces 2 facettes.
Et l’ensemble est recouvert d’un manchon fibreux et renforcer par 4 ligaments :
 Antérieur
 Supérieur
 Postérieur
 Inférieur
Principaux muscles de la face antérieure :
Psoas :
Il naît de D12 à L5 et descend un peu en dehors, traverse le basson et se termine sur le bord
intérieur et supérieur du fémur (petit trochanter). C’est 1 muscle poly articulaires (il traverse
plusieurs articulation et il est fléchisseur de la hanche.
Iliaque :
Il naît sur l’os iliaque dans sa face intérieur et se termine comme le psoas il est fléchisseur de
la hanche si le fémur est fixe il amène le bassin en antéversion.
Muscles Pelvis trochanterien :
Obturateur interne :
Il naît de la face interne de l’iliaque au pourtour et sur le trou obturateur et se dirige vers
l’arrière contourne la petite échancrure sciatique et se termine sur le grand trochanter. Si le
fémur est fixe il a une action de rétroversion du bassin.
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Obturateur externe :
Il naît de la face externe de l’iliaque au pourtour de trou obturateur et se dirige en arrière
passant sous le col du fémur, il se termine sur le grand trochanter, si le fémur est fixe il a une
action d’antéversion du bassin.
Pyramidal : IL vient de la face antérieure du sacrum et se dirige en dehors et en bas il se
termine sur la face supérieure du grand trochanter.
Carré crural : Il naît de la face externe de l’ischion et se dirige horizontalement en dehors , il
se termine sur la face postérieur du grand trochanter. Si le fémur est fixe il y a une action de
rétroversion du bassin .
Les jumeaux : Ce sont comme des sattélites de l’obturateur interne qui s’attache en dessus et
en dessous au niveau de la petite echancrure sciatique, il se termine sur le grand trochanter.
La rotation du fémur est dû aux muscles pelvi trochanterien .
Ces muscles se termine sur les bords sup et antérieur du fémur qui sont des muscles profond
de la hanche et ils permettent des mouvements fins de la hanche entraînant le fémur en
rotation externe. Ils ont une action peu puissante mais d’avantage d’orientation du bassin au
dessus des membres inférieur .
Les principaux muscles de la face postérieur et latéral de la hanche :
Les muscles fessiers :
Ils se decompossent en 3 groupes musculaires :
 Petit
 Moyen
 Grand fessier
Petit fessier : Il naît de la fosse iliaque externe en avant du moyen fessier, il se termine sur la
face antérieur du grand trochanter. Il permet la flexion, l’abduction, et la rotation interne de la
hanche .
Moyen fessier : Il naît sur la partie moyenne de la fosse iliaque exterieur par une large
insertion en évantail . Il se termine vers le grand trochanter sur sa face externe il permet
l’abduction et la rotation interne.
Grand fessier : Il naît de la face postérieur du saccrum et du coccyx en face face postérieur et
sur la fosse iliaque extérieur dans sa face postérieur .
2 plans : Le plan profond se termine sur le coté externe de la ligne âpre du fémur (partie
haute) le plan superficiel le FASCIA LATA.
Le tenseur du fascia lata naît sur l’épine iliaque antéro supérieur il se dirige vers le bas en
arrière ? Il court sur la face externe de la cuisse et se termine sur le tubercule de GERDY en
haut et en avant du plateau tibial.
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Schémas muscles fessiers :
Les muscles fessiers sotn les plus volumineux et les plus puissants du corps humain il sont
actifs dans la marche et la course et devellope de très gros efforts si l’on court en côte ou en
descente les moyen et petit fessier stabilise la hanche. Ils empêchent le haut du corps de
basculer en avant a chaque pas ils sont solliciter dans la marche la course , saut et position
d’équilibre.
Les adducteurs :
Ils sont 5 qui occupent la partie interne de la cuisse :
 Pectiné
 Petit pectiné
 Moyen adducteur
 Grand adducteur
 Droit interne
Ces muscles s’attachent sur le pubis s’échellonant du haut du pubis jusqu'à la branche ischio
pubienne ils aboutissent sur le fémur ou leurs terminaisons se succèdent.
Droit interne :
Il naît le plus en avant sur le pubis il descend verticalement le long de la cuisse (face int) et se
termine sur la patte d’oie du tibia. Il est bi-articulaire dans la mesure ou il traverse 2
articulation : Genou et hanche.
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Grand adducteur :
C’est le plus important composé de 2 faisceaux :
1 moyen : Il s’enroule de la branche ischio pubienne au fémur.
1 vertical :Il part en arrière du faisceau moyen et qui descend directement jusqu’au dessus du
condyle interne du fémur.
Leurs actions est l’adduction, flexion, rotation externe. Seul le droit interne et le faisceau
vertical du grand adducteur sont rotateur interne. Ces muscles font souvent l’objet de
déchirure sur des exercices trop en adduction.
Le Genou
C’est l’articulation intermédiaire du membre inférieur et comme son homologue du membre
sur lui-même. Cette articulation à des mobilité moins importante que la hanche et permet des
gestes de poussé et de force et notament des mouvements de flexion extension .
Sa stabilité faible au niveau osseux est asuré par des systèmes ligamentaires et musculaire. La
force musculaire est ici très importante. C’est elles qui garanti la stabilité de l’articulation .
35
Pris entre les contraintes du pied et de la hanche, le genou reçoit souvent la répercution de ces
2 régions dans son fonctionnement.
L’articulation du genou:
 Fémoro-tibiale ( fémur+tibia)
 Fémoro-rotulienne (fémur+rotule)
 Fémoro-tibiale ( fémur+tibia)
Elle est constituée par l’extrémité inférieure du fémur lui-même constitué de 2 condyles et par
l’extrémité supérieur du tibia (plateau tibial)qui représente deux surfaces concave
correspondant au condyle.
Cette stabilité est fable d’un point de vue osseux, ce qui néccéssite la présence d’un menisque
qui permet une meilleure mobilité du genou tout en assurant une certaine stabilité .
La stabilité articulaire du genou est réelement assuré par les systèmes ligamentaire et
musculaire qui traverse l’articulation.
Schéma Fémur :
La base du fémur est une surface articulaire arrondie qui à la forme d’une pouli, la partie
antérieur s’appele la trochlée fémorale. Elle s’articule avec la rotule . Au dessous et à l’arrière
la pouli se dédouble se sont les condyles fémoraux qui s’articulent avec les glènes du tibia. Le
condyle est plus plat a l’avant (zone faible pour la statique) car il y a une grande surface
portante et plus courbe a larrière (zone permettant un bon mouvement de flexion.
36
Lors des mouvements de flexion le condyle roule sur la glène puis il glisse en extension il y a
d’abord glissement puis roulement .
La face supérieur du tibia s’appel le plateau tibial on y trouve 2 surfaces ovalaires :
Les glènes tibiales : Elles sont couvertes de cartilage et s’articulent avec les condyles
fémoraux.
Schéma :
Sur la face interne on trouve l’insertion de nombreux muscles (zone de patte d’oie).




Muscle couturier
Demi couturier
Droit interne
Ligament latéral interne du genou.
 Articulation fémoro rotulienne
La rotule ne s’articule pas avec le tibia : Cette articulation est constitué par l’extrémité du
fémur et par la rotule. « , » qui coiffe les condyles fémoraux et le plateau tibial, sa stavilité est
assuré par les tendons rotuliens.
Définition Rotule : La rotule est un petit os court comme enchassé dans le tendon du
quadriceps. Sa face antérieur est sous la peau nettement repérable au toucher. Sur sa face
postérieur se trouve un surface articulaire qui correspond a la trochlée fémorale.
Elle est relié :
-Au condyle par des ligaments (les aillerons rotuliens)
-Elle est relié au ménisque par des ligaments méniscaux rotuliens. Elle est surtout relié au
tendon du quadriceps appelé tendon rotulien ou ligament rotulien dans sa partie sous
rotulienne.
Son rôle est de protéger le tendon du quadriceps appelé tendon rotulien ou ligament rotulien
dans sa partie sous rotulienne.
Son rôle est de protéger le tendon du quadriceps. En effet lors des mouvements ce tendon
glisse dans la gorge de la trochlée comme une corde dans la poulie. Ceci entraine de fortes
contraintes :
1/Contraintes de pression : la traction du quadriceps va venir appuyer fortement la rotule
contre la trochlée .Cette application est d’autant plus forte que le degré de fléxion augmente .
2/ Contraintes d’étirement : Vu la direction de traction
3/ Contraintes de friction qui se font toujours sur la même zone.
37
Schéma rotule+ligaments :
Les ménisques sont des fines lamelles de cartillage fibreux en forme de croissant posé sur les
glènes tibiale. Elle adhèrent au tibia grace a des attaches fibreuse, leurs face latérale adhèrent
a la capsule et les menisques adhèrent a des ligaments.
Ligament méniscaux rotulien et latéral interne du genou, ils adhèrent également à des
tendons : tendon poplité (menisque externe) tendons du demi membraneux pour le ménisque
interne. Ils sont donc un peu mobile et bouge lors des mouvements ce qui augmente la
répartition du liquide synoviale.
Les ménisques augmentent la convexité des glènes tibiale et permettent une meilleur stabilité,
de plus il augmente la surface d’appui, d’où un meilleur répartition des pressions
Schéma répartition des pressions :
Mouvement d’extension : Les ménisques avancent :
Ils sont poussés en avant par les condyles
Ils sont tirés par les ligaments méniscaux rotuliens eux même poussé en avant par l’avancé de
la rotule.
Mouvement de flexion : Les ménisques reculent :
 Poussé en arrière par les condyles
 Tiré par les attaches du demi membraneux et du poplité tous deux fléchisseur du
genou.
 Ménisque interne tiré par le ligament latéral interne
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Mouvement de rotation :Le ménisque par en avant du coté de la rotation :
 Il est poussé par le condyle et retenu par le ligament méniscaux rotulien
 Tous ces mouvements sont néccéssaires il arrive cependant qu’ils ne se passe pas.
Les ménisques peuvent alors être écrassé et coincé entre les condyles et les glènes :la lésion
méniscale , elle a souvent lieu sur le ménisque interne car c’est le moins mobile des deux.
La capsule du genou :
Elle s’attache un peu en dehors des surfaces articulaires, elle est doublé d’une synoviale et
elle enchasse la rotule. Les 3 os (fémur, tibia, rotule) sont réunis dans la même chambre
articulaire dans laquelle circule la même synovie. Cette capsule est très lache en
avant(mouvement de fléxion) c’est pourquoi en extension elle forme des replis au niveau de la
rotule et un peu sur les cotés. Si ces replis adhérent sur eux-mêmes (immobilité prolongé) la
flexion du genou sera alors limité.
Ligaments du genou :
Le genou n’est pas une articulation très emboité au niveau osseux .Le rôle des ligaments est
ici très important pour sa stabilité.
En avant :
ils sont de deux sortes :
-Des petits ligaments relie la rotule au ménisque et la rotule au condyle .(méniscaux rotuliens
et ailerons rotuliens)
-Tendons du quadriceps se croisent sur la rotule pour formé le ligament rotulien.
En arrière :
La capsule suit la forme des condyles formant comme un replis de rideau elle est épaissie
formant les coques condyliennes (plan ligamentaire postérieur très puissants empéchant
l’hyper extension du genou)
En dedans ;
L’articulation est maintenue également par 2 ligaments croisés, leurs trajets se croisent a peu
prêt au centre de l’articulation .
 Ligament croisé antéro externe s’attache en bas sur la face pré spinale en haut sur le
condyle externe. Il empêche le tibia de glissé en avant (tiroir antérieur)
 Ligament croisé postero interne : il s’attache en bas sur la surface retro spinale en haut
sur le condyle interne. Il empêche le tibia de glisser en arrère (tiroir postérieur). Ces 2
ligaments evitent au 2 os les mouvements antéro postérieur appelé tiroir. Les
ligaments croisé sont pratiquement toujours tendu quelque soit la position du genou.
En flexion comme en extension il éxiste normalement aucun mouvement de tiroir.
En rotation externe le ligaments croisés sont un peu tendu, en rotation interne les ligaments se
place en torsion l’un sur l’autre.
39
Latéralement :Sur les cotés la capsule est renforcé par des ligaments latéraux .
 A l’intérieur le ligaments latéral interne, il s’attache en haut sur la face latéral du
condyle interne en bas a l’arrière de la patte d’oie (face interne du tibia)
Sa direction est oblique en bas et en avant il stabilise latéralement le genou et l’empêche de
bailler, de s’ouvrir coté interne si baillement éxiste on l’appel mouvement de latéralité
externe.
C’est la preuve d’une lésion du ligaments latéral du genou.
 A l’extérieur le ligament latéral externe : il s’attache en haut sur la face externe du
condyle externe.
En bas sur le sommet de la tête du péroné sa direction est oblique en bas en arrière , il stabilise
latéralement le genou et l’empêche de bailler coté externe si ce baillement éxiste c’est un
mouvement de latéralité interne , le tibia peu bouger vers l’intérieur conséquence de lésion du
ligament latéral externe du genou.
Schéma ligaments du genou :
Le ligament latéral interne est plus épais que l’externe.
En extension les ligaments latéraux sont détendus
En rotation interne les ligaments sont détendus
En rotation externe les ligaments sont tendus
Le fait qu’ils soient tendus en rotation externe empêche la rotation externe du tibia.
En extension tous les ligaments sont tendus, le genou est stabilisé passivement par les tensions
ligamentaire , l’articulation peut s’équilibrer sans action musculaire. Il faut pour cela qu’il y ai
une légère hyper extension du genou celle-ci étant retenu par les coques condyliennes.
En flexion le genou possède des possibilité de rotation car les ligaments sont presques tous
détendus, les ligaments latéraux permettent la rotation externe, les ligaments croisé bien que
40
tendu sont dans une position plus axiale qui favorise la rotation interne . Pour rester debout
sur un pied en position fléchit il faut a l’articulation du genou une stabilisation musculaire :
Face antérieur de la cuisse :
-travail du quadriceps pour empêcher le genou de fléchir d’avantage.
-Travail des muscles rotateur pour empêcher ou freiner les rotations :
-a l’intérieur :




Vaste interne
Couturier
Droit interne
Demi tendineux
-à l’extérieur :
 Vaste interne
 Biceps
 Tenseur du facia lata
Le quadriceps est composé de quatres muscles :
Le plus profond est le crural qui naît sur le fémur.
Vaste interne qui vient de la crête interne
Vaste externe qui vient de la crête externe , il recouvre le crural
Droit antérieur qui naît de l’iliaque
Ces quatres muscles se terminent par un tendon commun , le tendon quadricipital qui
s’attache sur le bord supérieur de la rotule qui devient alors le tendon rotulien, qui lui vient
s’insérer sur la face antérieur et supérieur du tibia.
L’ensemble du muscle du quadriceps fait l’extension du genou. C’est l’un des muscles les
plus fort du corps sur la position fléchit. Les 2 vastes (interne et externe) est de stabilisé le
genou. Cette action est un complément actif a celle des ligaments.
Si le bassin est fixe, il va fléchir la hanche et détendre le genou.
Si le fémur est fixe il participe a l’antéversion du bassin.
Le muscle couturier est un muscle fin et long superficiel et qui s’enroule autour de la cuisse ,
il s’attache en haut sur l’epine iliaque antéro supérieur. Il descend le long de la cuisse, en la
contournant par en dedans et se termine sur le haut tibia au niveau de la patte d’oie.
Il est biarticulaire, si l’iliaque est fixe il entraîne le fémur en flexion, rotation externe,
abduction et le tibia en flexion, rotation interne.
Si le membre inférieur est fixe il a une action d’antéversion du bassin.
Le raccourcisement du droit antérieur est souvent responsable de l’attitude de la hanche en
flexion.
41
Face Postérieur de la cuisse :
Les ischios jambiers : Ils sont composé de trois muscles :
-Long biceps (biceps fémoral)
-Demi membraneux
-Demi tendineux
Ces trois muscles naissent sur l’ischion et se termine sur la partie postérieur et supérieur du
tibia et le long biceps se termine sur la tête du péroné. Les trois sont des muscles poly
articulaires , ils ont une action sur la hanche et sur le genou.
Ces muscles sont esentielement sollicité dans la flexion du genou.
Quand l’iliaque est fixe ils entraînent le fémur en extension. Les deux internes sont le demi
membraneux et tendineux qui entraîne le genou en rotation interne.
Lorsque le membres inférieur est fixe ils entraînent le bassins en rétroversion.
Leurs mise en tension néccesite à la fois une flexion de hanche et une extension du genou .
Leurs rétraction limite beaucoup la flexion de hanche/Genou tendu , ce qui empêche un sujet
debout de toucher le sol avec ses mains.
Les tendons des muscles ischio jambier délimite le creux poplité bien visible à l’arrière du
genou en flexion active.
Flexion
Adduction
Abduction
Extension
Act° musculaire dans les
mouvement de la hanche
-Psoas -Droit intérieur
-Iliaque -Tenseur FACIA
LATA
-Couturier - Droit externe
-Pectiné -Petit et moyen
adducteur
-Grand Petit et moyen
adducteur
-Psoas -Droit Interne
-Iliaque -Long biceps
-Petit fessier
-Tenseur FACIA LATA
-Pyramidale
-Couturier
-Jumeaux
-Grand et moyen fessier
-Grand adducteur
-Long biceps fémoral
-½ membraneux
-Semi tendineux
Action Musculaire dans les mouvement du
Genou
-½ tendineux et ½ membraneux
-Droit interne
-Long biceps
-Couturier
-Jumeaux ext et int
Rotation -Tenseur du FACIA LATA
externe -Biceps Fémoral
Rotation -½ tendineux et ½ membraneux
interne
-Droit interne
-Couturier
-Quadriceps
-Tenseur du FACIA LATA
42
Le Pied et la cheville :
Les pied est adapter à la bipédie, il a une double fonction :
-recevoir le poids du corps.
-Permettre le déroulement dynamique de la marche et la course.
Il comporte pas moins de 26 os ,31 articulations et 20 muscles.
Un pied vu de dessus montre 3 regions :
A l’avant : alignement d’os grêle formant des rayons juxtaposé horizontalement. Chaque
rayon contient un métatarsien prolonger par des phalanges.
Arrière : 2os superposé en hauteur, l’astragale et le calcanéum, c’est l’arrière du pied.
Entre les 2 : Zone intermédiaire de 5 petit os formant le medio pied (scaphoïde,cuboïde)
Schéma du pied :
43
Le pied intérieur fait suite a l’astragale et se prolonge dans les 3 premier rayon, c’est le pied
de la reception.
44
L’articulation :
La cheville : Le péroné et le tibia viennent s’emboiter avec l’astragale, c’est cette articulation
qui permet la flexion extension du pied. Elle est renforcé par les ligaments latéraux .
Le calcanéum et l’astragale s’articule ensemble et son renforcé par deux capsules et des
ligaments inter-osseux la partie inférieur du calcanéum représente le talon. Cette articulation
permet une mobilité dans les 3 plans de l’espace ce qui engendre des mouvements de
pronation (pied int) supination (pied ext) flexion, extension, abduction (lève ext) adduction
(lève int).
Région Medio tarsienne :
C’est un ensemble articulaire formé par l’astragale et le calcanéum s’articulent avec le
scaphoïde pour l’astragale et cuboïde avec le calcanéum.
Région Tarso-métatarsienne :
C’est l’ensemble des articulations unissent l’avant des os cunéïforme, l’avant du cuboïde avec
l’arrière des bases métatarsienne.
Région Méta tarso phalingiennes :
Réunir la tête du métatarsien à la base de la 1ere phalange . Elle permet des mouvements dans
les 3 plans : flexion , adduction, abduction et rotation axiale.
Mouvement globaux du pied :
Mouvements globaux du pied :

Vue de profil : -la flexion dorsal (la flexion) l’amplitude de la flexion dorsal est
d’autant plus grande que le genou est en flexion et d’autant plus limité
qu’il est en extension à cause de la tension plus ou moins grande des
muscles jumeaux.
-extension du pied (flexion plantaire)

Vue de face : mouvement de supination : qui oriente la plante du pied vers le dedans.
Mouvement pronation : qui oriente la plante du pied vers le dehors.
L’abduction : l’avant du pied vers l’extérieur.
L’adduction : l’avant du pied vers l’intérieur.
Ces 2 mouvements peuvent amplifier ou confondre avec la rotation de hanche ou de genou.
Le ligament latéral interne composé de 2 faisceaux :
45
-faisceau profond qui se termine sur l’astragale
-faisceau superficiel qui recouvre la couche profonde qui va du tibia au calcanéum.

Vue externe : ligament externe : composé de 3 faisceaux
-faisceau antérieur : le ligament péroné astragalien antérieur.
-faisceau postérieur : le ligament péroné astragalien postérieur.
-faisceau moyen : le ligament calcanéum.
C’est la raison pour laquelle que le calcanéum est aussi concerné par les jeu de la cheville.
Les principaux muscle de l’articulation :
2 sortes de muscle agissent sur le pied.
Les 1er type de muscle : -les muscles extrinsèques :
Ce sont des muscles qui s’attachent sur d’autre os du pied (tibia,
péroné, fémur).
- les muscles intrinsèques :
Sont beaucoup plus court qui s’attache sur les os du pied et
principalement du coté de la plante. Il forme en parti la masse
charnue de la plante du pied.
 Le jambier antérieur : il s’attache sur la face externe du tibia dans ces 2/3 supérieur et
se termine sur le 1er cunéiforme et le 1er métatarsien.
Il fait la flexion dorsale du pied
Ces le muscle le plus formé pour ce mouvement
Il élève le bord interne du pied, il est donc supinateur.
 Extenseur propre du gros orteil : il s’attache sur la face interne du péroné dans sa
partie moyenne et se termine sur la base de la 2ème
phalange du 1er orteil, il fait la flexion dorsal du
pied, il relève le 1er orteil entraînant le pied et la
cheville. Il est également supinateur.
 Extenseur commun des orteils : il s’attache sur la face interne du péroné de sa région
haute et se termine en 3 partie.
-1 partie centrale sur la 1ème phalange
-2 bandelette latéral qui vont jusqu'à la 3ème phalange.
Il fait la flexion dorsale du pied puisqu’il relève les
46
orteil 2, 3, 4, 5.
 Péronier latéraux : le long péronier latéral : il s’attache sur le péroné en haut, au dessus
du court péronier latéral. Il se termine sous
le pied sur la base du 1er métatarsien et sur
le 1er cunéiforme. Il fait la flexion plantaire,
il est également abducteur du pied et
pronateur puisqu’il relève le bord externe
du pied et abaisse le bord interne.
Le court péronier latéral : il s’attache sur la partie inférieur du
péroné et se termine sur la base du 5ème
métatarsien, il permet la flexion plantaire,
abducteur ,pronateur, relève le bord
externe du pied.
Jambier postérieur :
il s’attache sur la base postérieur du tibia sur
la partie haute et externe et sur le bas
postérieur du péroné. Il se termine sur le bord
interne du scaphoïde et par des prolongement
sur les autres os du tarse de sa face plantaire.
Il permet donc la flexion plantaire,
l’abduction et la supination.
Le long fléchisseur commun des orteils : s’attache sur la face postérieur du tibia et se
termine sur la 3ème phalange. Il fait donc la
flexion plantaire de la 3ème phalange et
entraîne les 2 autre phalanges, il fait
également la supination et l’adduction du
pied.
Le long fléchisseur propre du 1er orteil : s’attache sur la face postérieur du péroné et
qui se termine sur la 2ème phalange du 1er
orteil. Il permet la flexion plantaire et
l’adduction. Son action est mise en jeu
dans la marche et dans la propulsion, juste
avant que le pied ne quitte le sol.
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Action musculaire dans les mouvements de hanche
Flexion
-le psoas
-l’iliaque
-le droit antérieur
-le tenseur facial lata
-petit et moyen fessier
-couturier
-petit et moyen adducteur
-pectiné
-droit interne
extenseur
-le long biceps (fémoral)
-demi membraneux
-demi tendineux
-moyen fessier
-grand adducteur
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Abduction
adduction
-moyen fessier
-petit fessier
-tenseur du facial lata
-pyramidal
-l’obturateur interne et externe
-couturier
Rotation interne (fémur)
-petit et moyen fessier
-tenseur facial lata
-grand et moyen et petit adducteur
-pectiné
-droit interne
-psoas
-iliaque
-long biceps (fémoral)
rotation externe
-pyramidal
-l’obturateur interne et externe
-les jumeaux
-le carré crural
-long biceps (fémoral)
Action musculaire dans le mouvement du genou
Flexion
-demi tendineux
-demi membraneux
-long biceps (fémoral)
-couturier
-droit interne
-jumeaux interne et externe (mollet)
extension
-quadriceps
-tenseur du facial lata
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Rotation interne
-couturier
-demi tendineux
-demi membraneux
-droit interne
rotation externe
-tenseur du facial lata
-biceps fémoral
1- Demi tendineux.
2- Demi membraneux.
3- Biceps crural longue portion.
4- Biceps crural courte portion.
5- Tibia.
6- Péroné.
7- Ischion.
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 Triceps sural (mollet) : c’est le muscle le plus fort de la jambe, il est formé de 3 corps
musculaires (3 chefs) qui se jettent sur une même terminaison
le tendon d’achille.
Le tendon d’achille, il s’attache sur la face postérieure du calcanéum.
- 1er chefs : le solaire : il est le plus profond, il s’attache sur l’arrière du tibia et du péroné
dans sa partie haute. Il franchie 2 articulations, celle de la cheville et
l’articulation sous astragalienne. Il est recouvert par 2 chefs plus
superficiels. Qui s’appelle les jumeaux
- les 2 chefs : les jumeaux : ces jumeaux s’attachent sur la partie inférieur du fémur par un
tendon qui vient coiffé chaque condyles. Ces jumeaux se sont eux
qui forme le galbe du mollet. En plus de la cheville et de
l’articulation sous astragalienne, les jumeaux franchisent
également l’articulation du genou.
L’ensemble du muscle entraîne le calcanéum en flexion plantaire, sous l’astragale avec une
tendance à l’inversion (pied en adduction, supination, flexion plantaire).
Les jumeaux participent egalement à la flexion du genou, ils ont une action couplé sur le
genou et l’arriere du pied.
Question bilan :
Décrire une articulation de votre choix, analysé les éléments de sa stabilité (osseux, capsule),
de sa mobilité (muscle) et expliqué les risque de traumatisme lié à une pratique de votre
choix.
Les connaissances sur les articulations doivent permettre d’expliquer le jeu des articulations
principales et se qui limite leur amplitude à fin d’améliorer la souplesse et comprendre les
accidents articulaires
51
Etude du mouvement
Les mouvements ou le maintien en position stable des articulations (A) sont assurer par les
muscles squelettiques.
Ces muscles développent des forces (F) appeler tension qui s’oppose au résistance (R)
soumise au différent segment de l’organisme.
L’analyse du mouvement est importante pour savoir quel os et quels muscles interviennent
dans le mouvement. A partir de cette connaissance on peut efficacement travailler le geste
technique et renforcer les muscles concernés lors du mouvement de façon précise.
Comment analyser un mouvement ?
Pour aborder l’étude d’un geste, il est nécessaire de comprendre la notion de levier.
Un levier est un système rigide (pièce osseuse) su lequel va agir une force (F) (puissance
musculaire) pour vaincre une résistance (charge et poids de corps) en prenant appui sur un
point fixe (articulation).
L’analyse d’un geste devra :
1. décrire la direction du déplacement d’une pièce osseuse que l’on appellera bras de
levier.
2. on situe le point fixe autour du quel se déplace cette pièce osseuse (articulation)
3. situé sur cette pièce, le point d’application, la direction de la force qui s’oppose au
déplacement.
4. en déduire le point d’application et la direction de la force, de la puissance musculaire,
employé pour vaincre cette résistance.
C’est l’élément qui se trouve au milieu qui définira le type de levier.
Levier inter puissant : A-F-R
Ex : articulation du coude, ischion jambier
- dans ce type de levier, la force s’exerce entre le point d’appui et la résistance.
- le point d’application de la force musculaire, correspond au point d’insertion du muscle sur
le levier mobile. Cette disposition montre qu’un petit raccourcissement musculaire entraîne en
même temps un grand déplacement du point d’application de la résistance et à forcerie du
pied ou de la main.
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Un tel mode de levier permet à un muscle d’engendrer un déplacement rapide des extrémités
des membres pour un petit raccourcissement (levier vitesse)
Levier inter appui ou équilibre : F-A-R
- l’équilibre de la tête sur son support vertébrale
- en station de bout, la tête en position de rectitude a tendance sous l’effet de son propre poids
(R) à tomber en avant et l’action permanente tonique des muscles du cou s’y opposent.
Levier inter résistant : A-R-F
Règle mécanique fondamentale
Si une force (R) agit à une certaine distance (L) d’un point fixe (A) on dit que cette force ®
exerce un moment par rapport au point.
Le moment cinétique se calcul en multipliant R par la longueur du bras de levier
M=R*L
La valeur du moment cinétique indique l’importance de la contrainte subite par le sujet
(valeur des forces qui vont s’exercer sur les muscles).
La même force peut agir de façon variable en fonction de l’endroit au elle s’applique.
Ex : si la personne a des insertion différentes des muscles fléchisseur du bras. Ces personnes
auront des potentiels de force et de rapidité très différente.
A=L2 4cm 90°
B=L3 5cm 90°
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- si le muscle se raccourci de 3cm dans les 2 cas, l’amplitude du déplacement est plus grande
de chez A que chez B. A est donc plus rapide que B.
- si la force du muscle est identique chez les 2 personnes le moment cinétique chez B est plus
grand que chez A B est alors plus fort que A.
- si l’équilibre est assurer on dit que les moment du couple s’annule.
Bras équilibre : R*L=Fm*Lm
On est dans un situé ou la tension du muscle équilibre exactement la charge R (contrainte
isométrique)
Les leviers osseux est immobile et il n’y pas de raccourcissement musculaire.
 R*L<Fm* Lm
Dans ce cas la, on est dans un régime contraction concentrique.
La tension du muscle augmente et le muscle se raccourcit
 R*L>Fm* Lm
Contraction excentrique, la tension du muscle diminue et le muscle sa longe.
Une personne pesant 60 kg est allonger sur le dos jambe tendu au dessus du sol, le haut du
corps pèse environ 40 kg et le centre de gravité situe à 30 cm au dessus de l’articulation de la
hanche, les jambes pèse 20 kg et ont leur centre de gravité à 30 cm au niveau des hanches.
Corps : M=F*L
M=40 kg 30=1200kg/cm=12000N
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Jambes : M=F*L
M=20*30=600kg/cm=6000N
M haut du corps > M bas du corps
Le principal groupe musculaire qui assure la flexion des hanches le psoas iliaque est supposé
d’avoir une position tel que son point d’attache se trouve à 6 cm de l’axe des hanches si la
force musculaire du psoas atteint 100 kg le moment cinétique sera de 100*6=600 kg c.a.d le
même moment cinétique exercer pour les jambes on peut ainsi commencer à soulever les
jambes.
- si on fixe les jambes : 1200=Fm*6
Fm=200 kg
- Pour pouvoir se lever sans appui sur les jambes : 40*D=30*20
D=600/40
D=15 cm
Pour pouvoir se lever sans les jambes, on doit enrouler les vertèbres une à une à l’aide des
abdominaux jusque le centre de gravité du haut du corps se trouve à 15 cm de l’axe des
hanches de 30 cm.
Les psoas iliaque parviennent alors à soulever en même temps le haut du corps et les jambes.
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