Nutrition
1) Introduction :
D6 : point de départ : le soleil. Convertit par les cellules autotrophes photosynthétiques qui se
trouvent être consommés par les hétérotrophes.
D9 : il faut de l'H2O et des molécules centrales permettant le transfert de l'énergie pour convertir
l'énergie lumineuse.
D12 : Transfert d'énergie dans une chaîne, on peut parler de système clos d'où les perturbations qui
influent sur l'interdépendance des organismes.
D14-15 : Les végétaux diminuent l'entropie tandis que les animaux consommateurs de ceux-ci
l'augmentent. L'entropie augmente avec le catabolisme ou diminue l'anabolisme.
D16 : un organisme chémo-hétérotrophe : l'éléphant
D17 : 2 chemins pour les molécules ingérées : l'énergie (O2, Protéines, Sucres, ...)
D18 : tube digestif (milieu extérieur à l'intérieur du corps)
D19 : Stratégie d'acquisition des aliments
D22 : Interconnection entre anabolisme et catabolisme
D24 : acétyl-CoA molécule centrale de l'anabolisme et du catabolisme
2) Méthodes de prises alimentaires :
D2 : 2 méthodes : phagotrophie et osmotrophie (parasite par exemple)
D3 : Saprotrophes, microphages, macrophages, mangeurs de fluides.
D5 : Ces différentes stratégies sont dépendantes de changements de comportement. Le koala magne
de l'eucalyptus qui s'avère être très toxique. Cela nécessite la mise en place d'un système de
détoxication qui est une adaptation physiologique
D6-7-8 : Vers abyssaux pas de tractus digestif car organismes osmotrophes. Le ténia par exemple a
à sa surface des microtriches qui lui permettent de réaliser plus d'échanges.
D9 : Phagocytes (injection de vésicule)
Pinocytose (« boire » les cellules récupère la phase aqueuse) et Endocytose (récupère via
des récepteurs) sont les processus général des cellules est pas seulement pour la nutrition.
D12 : Diblastiques (hydre d'eau douce). Sur le feuillet endodermique, cellules glandulaires qui
libèrent des enzymes dans la cavité digestive. Phagocytose de petites particules qui sont digérées
dans la cellule dans une vésicule lysosomale. Association digestion extracellulaire et intracellulaire.
D13 : Spongiaires : Effet de Vernouilly, le cellules falgellées (coanocytes) effectuent en plus du
brassage et de la récupération de particules alimentaires la pino et phagocytose. Les nutriments
diffusent ensuite à l'intérieur du corps de l'animal du fait qu'il est petit.
D17 : Suspensivores : Copépodes, Annélides polychetes, Mollusque lamellibranches
D19 : Structures filtrantes chez 2 espèces distinctes → convergence
D20 : Filaments branchiaux Protostomiens et Deutérostomiens Crinoïdes par exemple. Mise en
place d'un appareil respiratoire hypertrophié (respiration et nutrition) → Cténidies. Courant d'eau
créé par le siphon inhalant.
D23 : Stade larvaire d'un Anoure microphage. Pièges muqueux qui recouvrent les branchictéries où
se piègent les particules (en point noir) qui sont ensuite apportées par la pharynx dans le tractus
digestif. Respiration branchiale et cutanée.
D24 : Fanons très efficaces, baleine et flamand rose (franges) → convergence
D26 : Nutrition par fluide, canal de transfert, canal salivaire pour infecter anticoagulants et
enzymes. Les papillons ont généralement une trompe rétractable.
D27-28 : Incision, léchage : la lamproie (Agnathe)
D30 : Prédation. Appendices pour dilacérer les chairs (mandibules). Bec crochet du calmar.
Mâchoires.
D34 : Structures spécialisées crochet injecteur de venin
D35 : Dents adaptées au régime alimentaire
D37 : Structures communes de la dent : émail, cément, dentine qui selon les régimes alimentaires
sont abimées
D40 : Digestion des étoiles de mer. Elles font sortir une partie de son tractus digestif en le déposant
sur sa proie.
D43 : Toxines, venins : Cnidaires avec leur cellules spécialisées les cnidoblastes
D45 : La plupart des toxines bloquent généralement les jonctions neuro-musculaires. Les
zooxanthelles vivent en symbiose avec les cnidaires (pas tous) et le jour nourrissent le polype. La
nuit c'est la prédation.
D47 : Phytophagie, gastéropodes brouteurs. Pièce buccale particulière la radula. Par exemple la
platelle avec sa structure rapeuse qui broute les algues et autres microorganismes à la surface des
rochers.
D52 : Xylophages
D53 : Lanterne d'aristote chez les Oursins
3) Aperçu des systèmes digestifs, développement et régionalisation fonctionnelle :
D3 : Mise en place du tractus digestif. Origine endodermique. Invagination (gastrulation) de la
blastula qui créé l'archantéron donnant un feuillet cellulaire supplémentaire. Le blastopore fait la
distinction entre protostomiens et deutérostomiens
D7 : Les Cnidaires : 2 formes Polype et Méduses. Organismes triploblastiques avec le mésoderme.
D8-9 : un oursin (symétrie bilatérale) formation de l'extérieur à l'intérieur de l'animal. Grande
efficacité pour digérer les éléments absorbés. Cela permet notamment une régionalisation.
D13 : Drosophile
Endoderme
Mésoderme
Ectoderme
La partie postérieure et antérieure du tractus digestif dérive de l'ectoderme (en blanc).
D16 : Amphibien. Pôle végétatif endoderme, invagination au niveau de l'encoche blastoporale
D18 : Bouche pas ouverte, au niveau du stomoderme. Formation des diverticules (notamment celui
hépatique)
Formation de bourgeon hépatique ou pancréatique à partir du tractus digestif, ce qui
explique les connexions entre le tractus digestif et les poumons ou le foie par exemple.
D19 : Stade bourgeon caudal :
D20 : Le feuillet endodermique délimite la cavité gastrale des diblastiques, délimite un tube court
qui est ouvert aux extrémités chez les triblastiques.
D21 : Métamorphose de nombreux vertébrés amphibien d'une larve à un individu adulte.
Holométabole (65% des Insectes) remaniement possible du tractus digestif.
D22 : Tractus digestif adapté à une alimentation végétale. Tractus spiralé. Après la métamorphose,
on observe l'apparition d'un estomac et d'un intestin court typique d'une alimentation carnivore.
Apparition d'un appareil secondaire et disparition du primaire.
D25 : Chez les Insectes. Le point rouge sont la signalisation des cellules souches à partir desquelles
se forment le tractus digestif définitif.
D28 : Foie et pancréas sont connectés au niveau du duodénum qui continu par le jéjunum et iléum
qui constituent l'intestin grêle
Sac digestif primitif connecté à la vésicule vitelline par le canal vitellin.
D35 : Percement de la bouche, connexion du tube digestif au niveau de la cavité buccale.
Diverticule impair au niveau de la glotte
D36 : carrefour pharyngien
D40 : Tous les organes au cours de l'organogenèse sont pairs mais au cours de leur développement,
il se produit des courbures qui génèrent des modifications de symétrie
D41 : Mise en place de sphincters pylorique et œsophagien (ou cardiaque). La régionalisation
fonctionnelle rejoint celle morphologique. On parle de digestion différentielle
D43 : Bourgeons hépatiques qui donnera un unique foie. Le fois synthétise des acides biliaires qui
sont stockés dans la vésicule biliaire. Activité endocrine (insuline, glucagon) et exocrine du
pancréas relié lui aussi au duodénum par un canal (canal pancréatique)
D44 : Chronologie de formation
D45 : Petit intestin. Ce tube est très long dans une cavité très petite. Recouvrement qui donnera la
position du gros intestin (ascendant, transverse, descendant). Appendice est un bout résiduel du
canal vitellin.
D49 : Séparation des canaux excréteurs (urinaires et urogénital). Présence de sphincters qui
contrôlent le cheminement du bol alimentaire.
D51 : Réacteur idéal représenté par les Cnidaires. Composition variable de l'intérieur de la cavité
du réacteur selon le temps.
D52 : Entré et sortie distinctes
D53 : Flux continu brassé. 2 orifices entré et sortie constante et si l'on choisit une partie du tractus,
celui-ci a une composition relativement stable. C'est le cas des Ruminants.
D54 : Flux pulsé : progression d'un bol alimentaire qui varie au cours de sa progression.
D55 : Régionalisation correspondant à une régionalisation fonctionnelle. Schéma générique. La
présence d'un jabot peut servir de stockage provisoire des aliments (cas des oiseaux).
D56 : Organe de Malpighi augmentation de la surface d'absorption.
D57 : Vertébrés. Variation dans la longueur ou dans la structure selon le type d'alimentation et des
réactions lors de la digestion.
D60-61-62 : Surface absorbante selon le type d'alimentation. L'homme a un tractus digestif
constitué pour une alimentation fructivore.
D63 : Estomac pluriloculaire
D64 : Possibilité de régurgitation
D65 : La fermentation se fait au niveau haute (fermentation cæcale) ou basse (fermentation
colique).
3.5) Structure et fonction de l'épithélium intestinal
La muqueuse intestinale est responsable de l'absorption des nutriments
D67-68 : Duodénum et jéjunum. Vascularisation importante des nutriments. Muscles longitudinaux
et transversaux poussant le bol alimentaire.
D69 : L'épithélium intestinal absorbant présence de vilosités.
D71 : Augmentation de la surface intestinale, les vilosités sont sur la lame basale.
D72 : Épithélium unicellulaire. Entérocytes (majeur partie) et une vascularisation importante,
capillaire et vaisseau chylifère.
D73-74 : cellules calciformes qui déversent du mucus protégeant l'épithélium absorbant. Cellule au
noyau supra basale, polarisée, aux mitochondries importantes. Présence de desmosomes et fonction
serrée qui empêchent les sucs gastriques de passer dans les espaces intercellulaires. A la base, les
espaces sont plus importants. On y observe des microvillosités (ce qui augmente encore la surface
d'échanges). L'intestin grêle possède une surface d'échanges d'environ 300m² (équivalent à un
terrain de tennis). On y trouve 10 fois plus d'enzymes que nécessaires à la digestion, les aliments
n'ont aucun chance de ressortir intacts. Ce système très performant est le résultat d'une évolution du
tractus digestif mis en place il y a 400 millions d'années.
D75 : cryptes gastriques dans l'estomac. Acide chlorhydrique et enzyme protéolytiques. Glandes de
Brünner au niveau du duodénum. Sécrétion endocrine et exocrine.
D77-79-80 : Cellules souches. Les cellules les plus différenciées sont à la tête de la villosité et sont
relarguées dans le tractus digestif. Tous les 4 jours on renouvelle un tractus digestif. Les cellules
souches sont à la base des villosités.
4) Digestion des aliments et absorption des nutriments :
D2 : Glucose, acides gras, acides aminés proviennent de macronutriments.
D3 : Glucides, lipides, protéines sont des macronutriments.
D5 : équilibre hydrique, recyclage de l'eau.
Émise : 1,5L de salive, 0,5L par le foie, 1,5L par le pancréas, 2,5L l'estomac, 1,5L l'intestin
grêle et 1L par le gros intestin.
Réabsorbée : intestin grêle 9L, gros intestin 0,85L
Perdue : 0,150L
1 kg de solide ne donne que 50g de fecès.
D6 : L'absorption par l'épithélium est très performante. Cela est dû à la pression osmotique → eau
vers l'organisme
D9 : Pancréas, foie, estomac sécrétion pour réduire les macronutriments.
D11 : Digestion d'acide nucléiques par de nucléases
D12-13-14 : Nature des enzymes, activation, substrat, produits
Pancréas cocktail enzymatique important
Intestin grêle : sécrétion sur substrat
4.7) Digestion et absorption des lipides : (poly NUT 4d)
D2 : Les lipides (graisses et huiles) sont des molécules apolaires. Les TAG (triacylglycérol) sont
composés d'un glycérol lié à 3 acides gras par des liaisons esters.
En revanche les lipides membranaires (glycolipides et phospholipides) comportent une
partie hydrophobe et une hydrophile. Les phospholipides sont composés soit d'un groupement
glycérol soit d'une sphingosine (sphingolipides). Les glycolipides n'ont qu'un groupe sphingosine
exclusivement.
D3 : On stocke l'énergie sous forme de TAG : 90% des lipides alimentaires sont des TAG. Ils sont
apolaires et donc le stockage se fait sous forme de gouttelettes lipidiques (il n'est pas nécessaire
d'avoir des protéines ou autres molécules pour leur stockage). En revanche le glycogène en étant
stocké garde avec lui des molécules d'eau.
La graisse autour d'un steak est constituée de cellules adipeuses contenant presque que des
TAG.
D4 : Les autres lipides importants (à part TAG et phospholipides) sont les stérols et notamment le
cholestérol. Le groupement hydroxyle CO en C3 permet une liaison de type ester avec un AG
donnant un ester de cholestérol qui permet alors le stockage du cholestérol du fait que la molécule
formée est peu polaire.
D6 : Les lipides membranaires sont constitués d'une tête hydrophile (groupement polaire) et de 2
AG (groupements apolaires) hydrophobe.
D7 : Structures micellaires
D8 : La couche à l'interface eau / huile formée par les AG (lipides polaires). Les TAG sont des
lipides non polaires (ou neutre).
D9 : Le fait que les TAG sont des lipides non polaires et les AG des polaires entraîne dans l'estomac
un surnagement des lipides sur les aliments qui sont dégradés (leur dégradation libère des lipides).
D10 : Les enzymes utilisées pour digérer les AG sont essentiellement :
Des lipases pancréatiques libérées au niveau du duodénum. Nécessité d'avoir une
colipase, des phospholipides et un pH à 8 pour qu'elles fonctionnent.
La cholestéryl ester hydrolase
Les phospholipases A2 qui coupent la liaison 2 entre l'AG et le 2ème carbone du
glycérol. Elle est activée par la trypsine et le Ca2+
Les sécrétions biliaires, les sels qui dégradent les lipides neutres (TAG). Les acides
biliaires sont conjugués pour pouvoir être stockés dans la vésicule.
D11 : Grosses gouttelettes lipidiques dans l'estomac, petites dans l'intestin.
D13 : Cycle entéro-hépatique :
Les systèmes sanguin (veine porte) et lymphatique (canal thoracique) sont responsables,
respectivement, du transport des nutriments et lipoprotéines (chylomicrons).
Les chylomicrons sont synthétisés par les cellules entériques. Importance stratégique du foie
pour la synthèse et la récupération des lipides. Le cholestérol est mobilisé en acide biliaire et une
seule molécule hépatique (acides biliaires) va pouvoir être réutilisée environ 25 fois. Seulement
quelqu'unes sont excrétées puis réabsorbées par la veine porte.
Le cholestérol peut avoir une origine endogène (synthèse par le foie) ou exogène (par
l'alimentation) sous d'esters de cholestérol. Ceux-ci sont absorbés par les entérocystes et libérés
dans le sang pour former le pool sanguin et être utilisé par le foie. Il peut aussi enfin être excrété
après dégradation par les microorganismes en coprostanol.
Pour diminuer la concentration de cholestérol dans le sang plusieurs possibilités existent :
On peut réduire la consommation exogène du cholestérol et/ou augmenter son excrétion en
ingérant des fibres alimentaires qui captent les acides biliaires et les stéroïdes.
Faire diminuer l'entrée de cholestérol au niveau des entérocytes car pour entrer le cholestérol
a besoin d'un récepteur.
Enfin faire diminuer la synthèse du cholestérol endogène en inhibant l'HMGcoA réductase
(molécules dites STATINS utilisant un substrat le mévolonate) A vérifier
D14 : L'activité enzymatique de la lipase (triacylglycérol lipase) et colipase est très importante. On
a 10 fois l'activité enzymatique nécessaire à nos besoins. La digestion des aliments est donc
maximale.
Les molécules d'acides biliaires tapissent les gouttelettes lipidiques permettant
l'intéraction de la colipase qui permet (via sa liaison) l'activité des lipases qui digèrent
les TAG. Les acides biliaires permettent alors aussi de former des micelles à partir du
moment où l'on a atteint la concentration micellaire critique.
D15 : A partir du 6ème point on entre dans les entérocytes. On a longtemps pensé que cela se faisait
par diffusion mais l'on sait maintenant qu'il y a des récepteurs, des protéines qui facilitent le passage
des lipides (Présence d'un mucus (glycocalyx) qui également oblige les lipides à le traverser).
Pourquoi casser des molécules pour les reformer ensuite ?
Certains lipides vont directement dans le sang où se forme les apolipoprotéines en chylomicrons.
Les lipides neutres ne peuvent pas avoir d'interactions avec l'eau (il est impossible de les faire sortir
de la gouttelette), il faut donc les couper pour pouvoir les faire passer dans les entérocytes via entre
autre des aquaglycéroporine.
D16 : 2 voies possibles dans la
digestion intraluminale (dans
l'intestin).
Les AGL sont transportés dans
les entérocytes par des facilitateurs
dont les FABP (Fotty Acid Binding
Protein) qui se lient aux AG qui ne
peuvent jamais être libre dans une
cellule. Les AG libre peuvent être liés
à la sérum albumine dans le sang.
Photo plasma du sang (diapo 4
poly NUT 5) : à jeun celui-ci est doré,
transparant, après un repas il est
opalescent à cause de la présence de
chylomicrons.
D17 : Les TAG sont reformés dans le RE puis passe dans l'appareil de Golgi qui permet l'exocytose
des chylomicrons.
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