d'actes discrets et généreux.
Sœur Ludovica ne possédait
pas une grande culture,
toutefois, elle arriva à réaliser
de grandes choses sous les
yeux émerveillés de ceux qui
l'entouraient.
Elle fut affectée à l'hôpital des
enfants, qu'elle adopta
comme sa famille. Elle réussit
à faire en sorte que le
personnel de l'hôpital se
transforme progressivement
en une grande famille unie par
un seul but : le bien des
enfants. Sereine, active,
décidée, courageuse dans les
initiatives, forte dans les
épreuves et dans la maladie,
son inséparable chapelet
entre les mains, le regard et le
cœur tournés vers Dieu,
toujours souriante, Sœur
Ludovica devint à son insu, par
sa bonté sans limite, un
inlassable instrument de
miséricorde, œuvrant pour
que le message de l'amour de
Dieu parvienne à chacun de
ses fils.
Bse Maria Ludovica De
Angelis aide nous à mettre en
œuvre ton programme qui
revenait sans cesse « faire du
bien à tous, à n’importe qui. »
et de la condamnation
d’Arius ; il écrivit aussi une
circulaire sur le même sujet à
tous les évêques catholiques.
Il s’ouvrit au palais impérial,un
Concile à Nicée, le 17 juin 325.
Les évêques s’y trouvèrent au
nombre de trois-cent dix-huit ;
parmi eux étaient plusieurs
confesseurs de la foi, et des
hommes éminents par leur
science et leur sainteté.
Le concile consacra plusieurs
séances à examiner la doctrine
d’Arius, qui fut lui-même
entendu.
On en découvrit toute
l’impiété.
Saint Alexandre reprit la route
d’Alexandrie , où les
catholiques le reçurent avec la
plus grande joie : mais il ne
survécut pas longtemps.Il
mourut le 26 février 326,
après avoir désigné saint
Athanase pour son successeur.
sainte Honorine viennent
apporter leurs chaînes en ex-
voto. L’une d’entre elles a
traversé les siècles et est
suspendue dans l’église
paroissiale.
Aux soldats mourants, il porte le
secours de Dieu. La guerre
passée, il travaille à prolonger la
fraternité née entre ces
hommes dans le dépouillement
et le don de soi héroïque.
Quand il reçoit la charge des
orphelins d’Auteuil c’est à leur
service qu’il déploie avec force
l’activité la plus débordante qui
le fera connaître bien au-delà
de Paris. Rien n’arrête sa charité
quand il s’agit d’accueillir, de
nourrir, de vêtir des enfants
délaissés et meurtris par la vie.
Innombrables sont ceux qu’il
associe à cette œuvre
profondément évangélique.
Parce qu’il faut loger ces jeunes
et les mettre dans un climat
chaleureux, les aider à acquérir
un métier et à bâtir leur avenir,
le P. Brottier multiplie les appels
et constitue une chaîne toujours
vivante d’active solidarité.
Prêtre, religieux, sa grande
activité « découlait de son
amour de Dieu » comme l’a dit
un témoin. À la fois humble et
vrai, actif jusqu’aux limites du
possible, serviteur désintéressé,
Daniel Brottier avançait avec
audace et simplicité car il
travaillait “comme si tout
dépendait de lui, mais aussi
sachant que tout dépend de