alors qu’elle est infiniment moins massive que celle que nous subissons, a pourtant suffi
pour que tout cela change.
On nous objectera que toute généralisation relève du racisme et on avancera que la
majorité des musulmans qui séjournent parmi nous ne demandent qu’à vivre
paisiblement de leur travail; cela comporte une part de vérité. Mais il faudrait aussi
expliquer pourquoi les musulmans, très sous-évalués officiellement à 10% de la
population française (alors que 20% semblerait plus proche de la réalité sur le terrain,
mais qui, même à 10%, placent de toute façon la France en tête de l’U.E pour ce qui est
de l’islamisation), figurent pour au moins 90% de la délinquance, des trafics illicites, des
fraudes diverses, des incendies de voitures et des incivilités? Sans oublier l’esprit
d’intolérance et de mépris envers la population autochtone, leur prétention d’imposer
leurs lois, coutumes et règles de vie et d’exiger que les lois du pays qui les accueille
s’adaptent à leur sectarisme.
Ce comportement se manifeste dans des pays aussi divers que le Japon, la Nouvelle
Zélande, l’Australie, Danemark, Pays Bas, Belgique, Allemagne, Grande Bretagne. Les
enfants des immigrés bénéficiant de la loi du sol avec les mêmes droits que les
«autochtones», il faudrait expliquer pourquoi l’engagement dans le djihad n’est pas le fait
de «damnés de la terre», mais de jeunes qui ont suivi une scolarité normale et qui
avaient un emploi et des revenus décents, comme on l’a vu l’été dernier à Londres,
comme on l’a vu à Amsterdam ou en France.
Ainsi, il nous paraît difficile de soutenir que Zacarias Moussaoui, impliqué dans les
attentats du 11 septembre 2001 aux États-unis, est un «Français» défendu à grands frais
par la France alors que lui-même hurle dans son procès qu’il n’est pas français et qu’il
comparaît devant la justice américaine en tant que musulman, ce qui devrait nous
rappeler que l’islam n’est pas une religion, «la deuxième de France», au même titre que
la catholique, protestante, juive, bouddhiste ou sikh, mais une «Oumma», une nation
malade d’une idéologie totalitaire, impérialiste et colonisatrice. On est alors en droit de se
demander pourquoi tout individu impliqué dans des actes de terrorisme contre un pays
dont la France (qui l’eût cru?) est l’alliée, est défendu par elle aux frais du contribuable
au lieu d’être déchu de la nationalité française, qui ne lui sert que de paravent et de
source de revenus, et le laisser se dépatouiller comme il veut ou se faire défendre par les
pieuses organisations ou les états musulmans assez riches pour financer le djihad. Qu’il
pourrisse en prison ou qu’il se fasse griller nous laisse indifférents, l’essentiel étant qu’il
soit mis hors d’état de nuire. Nous préférons garder notre pitié et notre indignation
envers les victimes de ce genre de salopards. Un citoyen français qui combat en Irak ou
en Afghanistan dans les rangs djihadistes n’est pas un Français, quoi qu’en stipule
l’absurde et irréaliste droit du sol ou une naturalisation inconsidérée et trop
complaisante. Et s’il y laisse sa peau, bon débarras, cela épargnera quelques vies
innocentes.
Des excuses? Qu’ils aillent se faire f.
Ce n’est pas notre président Chirac qui le dit, même s’il le pense (qu’en sait-on ?). Là où
il y a des musulmans (qui ne sont pas tous des terroristes) il y a de la violence, des
meurtres, des attentats, des prises d’otages. Regardez une mappemonde: sur tous les
continents, aux Philippines, en Indonésie, en Inde, au Pakistan, en Irak, en Iran, aux
Pays-Bas, à Londres, Madrid, Paris, Côte d’Azur, Maroc, Algérie, Nigeria, Israël, Palestine,
New York, Montréal, Washington, Kenya, Cachemire, Égypte, et cette liste n’est pas
exhaustive, l’Islam se fait connaître par le déni des droits de l’homme, l’abaissement de
la femme, la violence, le crime, le vandalisme et tout cela est commis au nom du coran
dont l’auteur ou transmetteur des messages d’Allah, reçus via l’ange Djibral, alias
Gabriel, n’est autre que Mahomet. Et combien d’entre les innombrables Musulmans
paisibles ou modérés ont-ils déclaré ce genre de saloperies contraire à la lettre du coran?
Tout au plus déplorent-ils que ce genre d’actions nuisent à l’image de marque de l’Islam