« TORAH TSIVA LANOU MOCHÉ MORACHA KÉHILAT YAACOV »
" La Torah (écrite et orale) que Moché nous a ordonnée est l'héritage de la communauté de Yaacov."
(Deut. 33: 4)
« L’identité juive s’est toujours transmise uniquement par la mère. »
Aujourd’hui, il devient dramatique de laisser des professeurs d’histoire juive enseigner dans les universités françaises,
des enseignements « réformistes » qui viennent déformer les lois authentiques établies au mont Sinaï sur l’identité juive.
C’est pourquoi j’ai décidé de partager avec vous cette réflexion issue d’une de mes expériences, qui nous permettra
désormais de diffuser et de rétablir la « vérité ».
J’ai eu un jour l’occasion de croiser une très jeune philosophe d’origine juive qui se prétendait « religieuse » et
« ouverte d’esprit », et qui pourtant, sans s’en rendre compte, était devenue victime des enseignements qu’elle
ingurgitait à l’université avec tant de passion et fierté, qu’elle en venait à les défendre comme étant la « vérité
absolue », en affirmant que :
« Historiquement la filiation matrilinéaire date de la conquête romaine d’Israël: vers 66-70 après Jésus, avant
la destruction du second temple, il était devenu monnaie courante que les légionnaires romains violent les
femmes juives mariées ou non. Or, cela a posé deux gros problèmes: beaucoup de Mamzerim et de non-juifs
douteux, avec tout ce que ca comporte de difficultés et de transmission. Le sanhédrin aurait tranché le
problème en faisant passer la transmission via les femmes… »
Tout d’abord, à ma connaissance, selon la Halakha, (Que D en préserve) si une fille/femme juive se fait abuser
par un non juif, l’enfant issu de ce rapport est « Kashere » et n’est en aucun cas un « Mamzere » !
Mais très intrigué par ce genre de propos, je décidai de me rapprocher du « Rav Hamou » de Paris XXe, pour
vérifier si ces « hypothèses historiques » provenant de l’université avaient un sens ?
Et c’est avec des sources à l’appuie, que Rav Hamou m’a catégoriquement démonté ces enseignements
« réformistes » qui malheureusement se propagent de plus en plus pour tenter de légitimer au sein de notre
communauté, des unions mixtes formellement interdites selon la vraie « Halakha » (loi juive).
Je suis alors sagement retourné voir cette jeune philosophe pour lui exposer les sources Bibliques et
Talmudiques qui démontraient clairement que depuis le don de la Torah l’identité juive se transmettait par la
mère. Et alors j’ai eu droit à la fameuse réplique des « réformistes » pour réfuter violemment tout ce que je
disais, en pretextant que « l’enseignement du Talmud ne serait pas d’origine divine, ni même dispensé au
mont Sinaï, mais que ce ne sont que des discussions de Rabbins (Tannaïm) d'une époque qui réfléchissaient
en fonction de leur époque… » Puis le débat a vite mal tourné, avec ses critiques grossières sur la
reconnaissance que nous accordons à nos Sages du Talmud, jusqu’aux Grands Maitres de notre génération,
qui seraient après tout que des hommes, imparfaits donc…
Ces propos sont des propos d’« Apikoros » (rebelles, méprisant la Torah et nos « Tsadikim »), qui n’ont
aucun sens aux yeux du peuple juif qui préserve depuis toujours son authenticité et accorde un très grand
respect aux « Tasdikim » de chaque génération.
Mais malheureusement, ce genre de philosophes « ouverts d’esprit » vénère religieusement Darwin pour sa
théorie, conduisant à penser que plus l’Homme avance dans le temps et plus Il s’éloigne de ses ancêtres
« Singes », et mériterait ainsi plus de considération que ses parents...