Le bouddhisme contre le christianisme
(Annexe à la promulgation d'anathème contre l'évêque Théophane)
Le bouddhisme et le christianisme sont divisés par des différences insurmontables: le christianisme croit en un
Dieu Créateur, qui est un Dieu personnel. Le christianisme considère l'homme comme un être qui a besoin de salut
et qui est incapable de se sauver lui-même. En revanche, le bouddhisme ne croit pas en Dieu comme étant le
Créateur et un Dieu personnel. En outre, il soutient que l'homme peut être sauvé par lui-même. Ce salut est
supposé être atteint dans ce qu'on appelle le nirvana. Mais c'est un mensonge.
L’idolâtrie païenne adore les animaux comme des divinités. Mais le premier commandement du Décalogue
l’interdit: « Tu ne te feras point d'image taillée, de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les
cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point
devant elles, et tu ne les serviras point » (Deutéronome, 5:7-9). Les païens n'adorent pas Dieu, mais des démons
(cf. 1 Corinthiens, 10:20).
Les bouddhistes et les hindous disent que tout est Dieu. C'est l'hérésie du panthéisme. Une autre absurdité est
que tout est un, et leur croyance en ce non-sens signifie (pour eux) la rédemption. Cela se traduit par la perte du
bon sens et du discernement entre le bien et le mal, entre la vérité et le mensonge, entre la justice et l'injustice.
Leur théorie est la base de l'idéologie du genre contemporaine et auto-génocidaire qui croit en la même absurdité
selon laquelle tout est un: un homme peut être une femme ou vice versa, deux homosexuels peuvent être appelés
parents... Les crimes les plus graves commis contre les enfants - lorsque les enfants sont volés à leurs parents
aimants, détournés vers de soi-disant familles de pédophiles ou d’homosexuels et abusés par ceux-ci, ou même
vendus pour leurs organes -, sont hypocritement appelés « droits des enfants ». L’existence normale d'une famille
est considérée comme étant une discrimination contre les homosexuels. C'est la politique diabolique du
bouddhisme, du satanisme et des idéologies modernes possédant le même esprit. La responsabilité de la
propagation de cette idéologie sur le territoire chrétien tombe sur la hiérarchie de l'Eglise, à la fois catholique et
orthodoxe, idéologie qui favorise un dialogue interreligieux et organise de soi-disant prières pour la paix, à Assise
et à Astana.
Qu'est-ce que la rédemption signifie pour un chrétien ? Jésus nous a délivrés du péché et des puissances
démoniaques: « Dieu nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume du Fils de
son amour, en qui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés » (Colossiens, 1:13-14). Donc,
c'est Dieu qui nous a délivrés (rachetés), et non pas la fausse voie des méditations bouddhistes zen. En lui – et cela
veut dire en Christ - nous avons la rédemption et le pardon des péchés, et en personne ni rien d'autre! Le nirvana
est une tromperie démoniaque. Derrière la fausse illumination du bouddhisme et du mouvement moderne du
New Age (Nouvel Âge), se trouve l'ange de lumière - Lucifer -, le diable. « Prenez garde que personne ne fasse de
vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie (le bouddhisme), s'appuyant sur la tradition des
hommes » (Colossiens, 2:8).
La théorie de la réincarnation nie les vérités fondamentales du christianisme (un Dieu personnel, Jésus en tant que
Rédempteur, l’âme immortelle, le Ciel, l'enfer, le péché). La réincarnation est une tromperie tragique. Ce qui nous
est réservé après la mort, c’est soit le Ciel, soit la souffrance éternelle en enfer.
Il existe un lien étroit entre la propagation du paganisme oriental (le bouddhisme) et l'explosion actuelle de
l'occultisme. Il est impossible d'établir un parallèle entre les mantras bouddhistes et la prière chrétienne, puisque
les mantras ouvrent l'âme aux démons. L'essence de la prière chrétienne est la communion avec le Christ. Dans le
bouddhisme, en revanche, la personne qui médite s’unit aux démons. Ce chemin mène à la perdition éternelle.