Psychiatria Polska
2012, tom XLVI, numer 4
strony 511521
Barbara Remberk, Bożena Bogumił, Irena Namysłowska
L’analyse rétrospective du cours des épisodes psychotiques des adolescents
hospitalisés
Résumé
Objectif. Analyser l’image et le cours des épisodes psychotiques des adolescents
hospitalisés.
Méthode. On analyse rétrospectivement 422 histoires de maladies de tous les 300
patients, diagnostiqués « les troubles du spectrum de schizophrénie » (F20 -
F29), hospitalisés a la Clinique Psychiatrique des Enfants et des Adolescents de
L’institut de Psychiatrie et de Neurologie durant
les années1998-2008.0n analyse : données démographiques, diagnostics, nombre
d’hospitalisations,
stabilité de diagnostics.
Résultats. On constate l’existence des différences de la distribution des
diagnostics des adolescents hospitalisés et des adultes. Dans les diagnostics :
« la schizophrénie » (F20), « les troubles schizotypiques » (F21), « les
troubles psychotiques aigus et transitoires » (F23), « les troubles
schizoaffectifs (F25) on observe de grandes différences des parametres tels que
: durée d’hospitalisation, sexe, nombre d’hospitalisations successifs, stabilité
de diagnostics. Cette stabilité du tout le groupe 52%, le plus stable
diagnostic « la schizophrénie ».
Conclusions. Dans le groupe des adolescents hospitalisés on observe l’autre
profile des troubles psychotiques du spectre de « la schizophrénie » que dans le
groupe des adultes hospitalisés. Les troubles psychotiques autres que «la
schizophrénie » y sont plus fréquents. La stabilité du diagnostique peu élevée
atteste les difficultés diagnostiques typique dans le groupe des adolescents.
Pourtant dans les diagnostiques F20, F21, F23, F25 on observe l’autre profile
des indices démographiques et cliniques et cela peut confirmer leur diversité
nosologique.
Psychiatria Polska
2012, tom XLVI, numer 4
strony 523538
Katarzyna Cyranka, Krzysztof Rutkowski, Józef Król, Dariusz Krok
Les différences de la communication conjugale et des attitudes parentales des
parents ayant les enfants sains et des parents ayant les enfants souffrant du
diabete de type 1
Résumé
Objectif. Trouver les différences de la communication conjugale et des attitudes
parentales des parents ayant les enfants sains et des parents ayant les enfants
souffrant du diabete de type1.
Méthode. On examine les parents avec : Communication in Marriage Questionnaire
[1] KKM version pour évaluer ses propres comportements, KKM pour évaluer
les comportements du partenaire, Parental Atitude Scale (SPR) de Plopa [2]
version pour les meres et pour les peres, questionnaire construit expres par les
auteurs pour analyser la condition démographique et sociales des personnes
examinées. Elles se composent des groupes suivants : 30 meres et 30 peres
continuant leur union conjugale et ayant les enfants souffrant du diabete de
type1 depuis au moins de 5 ans, 30 meres et 30 peres continuant leur union
conjugale et ayant les enfants sains ; donc les groupes examinés comptent 120
personnes, ils proviennent de la région de la Silésie et d’Opole. Les enfants en
question sont âgés de 5 jusqu’a 18 ans.
Résultats. L’analyse du matériel démontre que les peres des enfants avec le
diabete soutiennent leurs femmes moins que les peres du groupe de contrôle.
Pourtant ces peres évaluent que le soutient,
l’engagement et la dépréciation manifestée par leurs femmes ressemblent aux
ceux-la des femmes du groupe de contrôle. On ne trouve pas de différences dans
les groupes des hommes évaluant leurs partenaires. Les meres ayant les enfants
malades et les meres du groupe de contrôle évaluent leur communication de la
meme façon dans toutes les trois dimensions. Pourtant les meres avec les enfants
malades trouvent que leurs maris les soutiennent moins que les peres avec les
enfants sains. les peres des enfants diabétiques acceptent moins leurs enfants
que les peres ayant les enfants sains, mais ces premiers ont la plus grande
autonomie envers leurs enfants, que les peres du groupe de contrôle et que leurs
propres femmes qui ne different point de femmes du groupe de contrôle. Les meres
des enfants diabétiques protegent plus leurs enfants, pourtant elles les
acceptent moins. Elles manifestent aussi la plus forte inconséquence que les
peres des diabétiques et que les parents des enfants sains.
Conclusions. On démontre l’existence des différences de certaines dimensions de
la communication conjugale et des attitudes parentales des parents ayants les
enfants malades et les enfants sains. Ces différences suggerent les corrélations
possibles de la maladie chronique de l’enfant et e la qualité de l’union
conjugale ainsi que des attitudes des parents, de la maladie de l’enfant et le
fonctionnement du systeme de la famille.
Psychiatria Polska
2012, tom XLVI, numer 4
strony 539551
Ewa Małgorzata Szepietowska, Joanna Lipian
La fluence verbale neutre et affective des patients souffrant des lésions
cérébrales des hémispheres : droite, gauche et toutes les deux
Résumé
Objectif. Comparer la fluence verbale neutre et affective des patients soufrant
des lésions cérébrales des hémispheres : droite, gauche et toutes les deux ainsi
que du groupe de contrôle. On examine 31 personnes saines du groupe de contrôle,
31 avec les lésions vasculaires du cerveau (hémisphere gauche N=11, hémisphere
droite N=14, deux hémispheres N=6).
Méthode. On use 4 tâches de fluence : animaux, lettre « k » (tâches neutres),
agréable et désagréable (tâches affectives). Come indice d’exécution de chaque
tâche on considere : nombre des réponses correctes, nombre des fautes, nombre
des clusters et des interrupteurs compatibles et discordants avec le type des
tâches. On analyse aussi l’intensité de la dépression et le niveau d’habilité
linguistique.
Résultats. Les patients avec la pathologie de SNC (Le Systeme Nerveux Central)
produisent moins des mots et des clusters compatibles et discordant avec le type
de tâche que les personnes du groupe de contrôle. Le caractere de la pathologie
de SNC n’influe pas sur des résultats, pourtant on note la tendance a
différencier la réalisation des tâches de la fluence affective. Indépendamment
de l’état clinique les personnes examinées produisent plus des mots dans les
tâches neutres en y appliquant les stratégies compatibles avec le type de tâche.
Conclusions. La fluence affective peut enrichir les méthodes du diagnostic
clinique. Les tâches de ce type engagent autres mécanismes psychologiques et
neuronaux que les tâches traditionnelles du caractere neutre.
Psychiatria Polska
2012, tom XLVI, numer 4
strony 553570
Justyna Waszkiewicz, Jacek Wciórka, Marta Anczewska, Anna Chrostek, Piotr Świtaj
Les troubles du langage et les fonctions cognitives choisies des personnes
souffrant des troubles schizophréniques
Résumé
Objectif. Evaluer les relations des indices psychopathologiques et
neuropsychologiques mesurant le niveau des troubles du langage ainsi que des
indices de l’état psychique des personnes souffrant des troubles
schizophréniques.
Méthode. On examine 45 personnes diagnostiquées « schizophréniques » (d’apres
ICD-10) avec the Positive and Negative Syndrome Scale (PANSS), the side effect
rating scale (UKU), Wisconsin Cards Storting Test (WCST), verbal fluency task ,
Ruff’s Test, « Similarities » – WAIS-R subtest, 10 graphics of The Thematic
Apperception Test (TAT). Les paroles des patients sont analysées indépendamment
par deux cliniciens avec Thought, Langage and Communication Scale (TLCS).
Résultats. La durée de la maladie et le nombre d’hospitalisations correlent avec
les scores totaux de TLCS et avec la plupart des indices WCST. La valeur totale
des troubles du langage et les indices des troubles particuliers correlent
positivement avec les scores totaux de PANSS. La somme totale des indices de
l’intensité des troubles du langage se lie avec le nombre des essais nécessaires
a compléter la premiere catégorie de WCST et le score de la sous-échelle «
Similarité ». On note aussi plusieurs corrélations de l’intensité de ces
troubles du langage avec les testes neurologiques choisis.
Conclusions. L’évaluation psychopathologique des troubles du langage basée sur
TLCS correle avec l’évaluation de l’intensité du syndrome schizophrénique.
L’évaluation totale ainsi que particuliere des troubles psychopathologiques
correle avec les indices choisis mesurant les fonctions exécutives, de la
fluence verbale et non verbale, de la pensée abstraite.
Psychiatria Polska
2012, tom XLVI, numer 4
strony 571584
Jolanta Rabe-Jabłońska, Marta Mirek, Tomasz Pawełczyk
Les facteurs du risque du développement de la schizophrénie chez les patients
avec la dépendance de l’amphétamine, souffrant de la psychose (induite par
l’amphétamine ou de la schizophrénie) et chez les patients avec cette dépendance
mais sans la psychose
Résumé
Chez certaines personnes l’amphétamine et ses dérivés peuvent induire, apres
plusieurs intoxications, la psychose ressemblant a la schizophrénie.
Objectif. Répondre a la question si les personnes dépendant de l’amphétamine et
souffrant de la psychose induite par l’amphétamine ont les facteurs du risque du
développement de la schizophrénie autres que les patients a la fois dépendant et
souffrant de la schizophrénie ainsi que les personnes dépendantes mais sans les
symptômes de la psychose.
Matériel et méthodes. On examine les personnes dépendantes de l’amphétamine et
1) souffrant de la schizophrénie a la fois ; 2) avec la psychose induite par
cette substance ; 3) sans les symptômes psychotiques. Chaque groupe se compose
de 30 personnes, en général on examine 37 femmes et 53 hommes, leur moyenne de
l’âge=17,78 ans. La schizophrénie est diagnostiquée apres une année
d’abstinence. Pour cet examen on use des méthodes suivantes :
1. interview structurée adressée au patient et a sa famille posant les question
concernant : a) usage de l’amphétamine (doses, durée de l’abus) b) histoire de
la psychose en famille (avant tout la schizophrénie)
2. les criteres d’ICD-10 pour le diagnostic de la dépendance, de la
schizophrénie et de la psychose induite
3. The Questionnaire of Child Development pour mesurer le risque de la
schizophrénie
4. The Premorbid Adjustment Scale de Cannon-Spoor pour analyser le
fonctionnement psychosocial un an avant la psychose.
Résultats. Quant au risque du développement de la schizophrénie, les patients
avec la psychose induite par l’amphétamine ressemblent plus aux patients avec la
schizophrénie et avec la dépendance
et moins aux patients avec la dépendance mais sans la psychose. La psychose
induite se développe plus souvent chez les personnes dépendantes qui usent les
grandes doses de l’amphétamine et qui ont les membres de famille souffrant de la
psychose.
Psychiatria Polska
2012, tom XLVI, numer 4
strony 585598
Kamila Krawczyk, Janusz Rybakowski
L’augmentation des antidépresseurs avec les acides gras insaturés omega-3 dans
la dépression résistante a la pharmacothérapie
Résumé
Objectif. Mesurer l’influence de l’augmentation des acides gras insaturés omega-
3 sur le traitement des antidépresseurs dans la dépression résistante ou dans la
maladie affective bipolaire ainsi que la comparer avec les résultats obtenus
avec la potentialisation de lithium ou lamotrigine.
Méthode. On examine 12 patients diagnostiqués : » épisode sévere de la
dépression résistante » ou « les troubles affectifs bipolaires ». Ces patients
suivent leur thérapie de wenflaxine - dose jusqu’ a 300 mg par jour ou de
paroxetine - dose jusqu’a 60 mg par jour et a cette thérapie on leur ajoute la
préparation « eye-q » - dose 24 capsules par jour (2,2 g EPA, 700 mg DHA, 240 mg
GLA, 40 mg de vitamine E, huile d’onagre) pendant 4 semaines au minimum. Les
groupes de contrôle ce sont les patients suivant leur thérapie de lithium ou de
lamaotrigine.
Résultats. L’intensité initiale de la dépression, mesurée avec l’échelle
d’Hamilton, atteint 30± 6, apres 4 semaines de potentialisation - 11 ±10.En
prenant en considération cette intensité initiale plus élevée cette amélioration
clinique, apres l’augmentation des acides gras insaturés, est proportionnelle a
la potentialisation avec le lithium et avec lamotrigine. L’efficacité de cette
application d’omega-3 correle positivement avec l’intensité initiale et
négativement avec la durée de l’épisode. L’usage de grandes doses d’omega-3
diminue fortement le niveau des triglycérides, Il augmente la concentration
d’HDL et de LDL et il ne cause pas de changements des valeurs des enzymes
hépatiques.
Conclusions. L’augmentation des acides gras insaturés omega-3 a la thérapie
standardisée des antidépresseurs cause l’amélioration clinique importante de la
plupart de patients souffrant de la dépression résistante. Cette amélioration
est proportionnelle a celles de la potentialisation avec le lithium et avec
lamotrigine. Les grandes doses des acides gras ne causent pas d’effets
défavorables signifiants.
Psychiatria Polska
2012, tom XLVI, numer 4
strony 599611
Agnieszka Remlinger-Molenda, Paweł Wójciak, Michał Michalak, Janusz Rybakowski
L’analyse de l’activité des cytokines choisies pendant l’épisode de manie et de
la dépression au cours des troubles bipolaires
Résumé
Objectif. Analyser l’activité des cytokines choisies pendant l’épisode de manie
et de la dépression au cours des troubles bipolaires et durant la rémission.
Méthode. On examine 76 patients (35 hospitalisés a cause de l’épisode de manie,
41 a cause de l’épisode de la dépression) ; en usant la cytométrie en flux on
examine la concentration de : IL 6, IL 10, IL 1ß, TNF ., IFN-. deux
fois, la premiere pendant l’épisode de maladie, la seconde – durant la
rémission. La sévérité des symptômes est analysée avec Young Mania Rating Scale
et avec Hamilton Deprssion Scale. 78 personnes du groupe de contrôle sont
examinées une seule fois.
Objectif. Analyser l’activité des cytokines choisies pendant l’épisode de manie
et de la dépression au cours des troubles bipolaires et durant la rémission.
Méthode. On examine 76 patients (35 hospitalisés a cause de l’épisode de manie,
41 a cause de l’épisode de la dépression) ; en usant la cytométrie en flux on
examine la concentration de : IL-6, IL- 10, IL-1ß, TNF- ., IFN-. deux fois, la
premiere pendant l’épisode de maladie, la seconde - durant la rémission. La
sévérité des symptômes est analysée avec Young Mania Rating Scale et avec
Hamilton Deprssion Scale. 78 personnes du groupe de contrôle sont examinées une
seule fois.
Résultats. La concentration d’IL-6 est plus grande durant la manie que durant la
rémission ainsi que dans le groupe de contrôle. La concentration d’IL-10 est
plus grande durant la rémission apres la manie que dans le groupe du contrôle.
Durant la manie on note la corrélation positive de la sévérité des symptômes et
de la concentration d’IFN-., durant la rémission apres la manie - d’IL-6 et des
scores de ’échelle de Young. La concentration d’IFN-. est plus grande durant la
depression que pendant la rémission, la manie et dans le groupe de contrôle. La
concentration d’IFN-y est plus grande pendant la rémission apres la dépression
que dans le groupe de contrôle. La concentration d’IL-1ß est plus grande pendant
la dépression que dans le groupe de contrôle.
Conclusions. Ces résultats montrent l’existence des perturbations dans le
systeme immunologique des patients souffrant des troubles bipolaires. Le profile
des cytokines est autre durant la manie que durant la dépression. L’amélioration
de l’état clinique se lie avec les changements des concentrations des cytokines
particulieres.
Psychiatria Polska
2012, tom XLVI, numer 4
strony 613626
Ewa Ferensztajn, Janusz Rybakowski
Les phases du cours du trouble bipolaire
Résumé
La conception « de staging » comme description clinique de l’avancement de la
maladie est tres connue et usée en médecine. Dans la cas du trouble bipolaire
cette conception de staging parle de la progression en partant des étapes
prodromiques (at-risk ) pour aboutir aux phases séveres et résistant au
traitement. Pour l’instant on propose quatre modeles de staging. La conception
de Robert Post base sur le phénomene de « kindling » et de neurosensibilisation
en supposant le rôle des causes de stress dans le déclenchement de premiers
épisodes de maladie, dans les changements successifs et durables des activités
des neurones, plus forte susceptibilité au rechutes et plus faible réponse au
traitement. La conception d’Anne Duffy qui base sur l’examen de la progéniture
du grand risque, décrit le développement de maladie comme les phases successives
c’est-a-dire : troubles psychiques non liés avec l’humeur, troubles affectifs
légers, troubles séveres de l’humeur qui débutent pendent l’enfance ; l’auteur
essaie aussi de discerner les sous-types qui dépendent de l’effet prophylactique
de l’application de lithium chez les parents. Le modele de Michael Berk est
construit parallelement aux algorithmes thérapeutiques en classifiant les phases
de maladie d’apres l’image clinique, le pronostic et la réponse a la thérapie.
Il identifie les personnes du grand risque, les nécessités de l’intervention
précoce et on le propose comme le facteur discriminant du cours de maladie. Le
modele de Flavio Kapczinski base sur le phénomene de charge allostatique, sur
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