Prélèvement des nutriments par les plantes/animaux = mutualisme

Prélèvement des nutriments par les plantes/animaux = mutualisme trophique implique des
partenaires spécialisés pour obtenir de l’énergie de façon complémentaire.
L’un fournit à l’autre des nutriments qui ne peut se procurer lui seul
ex :
- Légumineuses nodosités racinaires
Les bactéries obtiennent du carbone de la plante et en contre partie fournissent de l’N aux
plantes
- D’autres associations avec des champignons : mycorhizes (système racinaire) prélèvement
des nutriments P& N et en retour le champignon obtient de l’énergie et éléments carbonés.
- fonction de protection aux partenaires
Champignon protège de l’évapotranspiration (potentiel hydrique + élevé dans els feuilles)
Fourmis champignonnistes F/ des Attinae ramassent les feuilles nids souterrains. Elles
cultivent un champignon très spécifique; les fourmis vont consommer le champignons : seule
source de nourriture qui ne peut se dvp que s des ces conditions.
Les organismes sont totalement dépendant l’un de l’autre, interactions très stables car les
partenaires coopèrent ou évoluent pour leur bénéfice mutuel.
Mutualisme défensif : défense organisme hôte
Le mutualisme D. implique des espèces qui reçoivent 1 abri ou nourriture de leur partenaire
en échange de la défense contre herbivores, prédateurs ou parasites…
Ex : crevettes dans les branchies de poissons
Graminées : champignons endophytiques symbiotiques, à l’int des tissus.
Ils sont de la F/Ascomycètes ou Festucacae production d’alcaloïdes des tissus des veg.
Goût amer à l’herbe&toxique pour l’herbivore (mammifère ou certain insectes)
Ils vont stimuler la croissance de la plante et = la p° de graine.
Les champignons défendent la plante hote contre le pâturage et plante fournit de la nourriture
(photosynthétas)
Fourmis des épines d’acacia : nourriture, nids protègent la plante contre les phytophages
Acacia cornigera ( à l’intérieur des épines moelle , la reine y emménage) va fournir des mat.
riches en glucides à partir des nectaires (base du pétiole) : graisse et protéines sous forme de
nodules à l’extrémité des feuilles (corps de Belti).
L’ouvrière défend l’acacia des herbivores.
L’un ne peut pas vivre sans l’autre
Fourmis actives jour et nuit : comportement ≠
Dard (piquent les herbivores)
Mandibules (vrille, jeunes pousses à proximité de l’arbre)
Ces bénéfices mutuels& adaptations spécifiques : co-évolution qui est basée sur une longue
co-évolution entre les 2 espèces.
* Les partenaires mutualistes vivent séparés bien qu’ils dépendent l’un de l’autre pour des
fonctions essentielles
* Ont évolué à partir de relation de prédation ou exploitation dans les relations plantes
/pollinisateurs
Animaux nectar au cours de cette activité transport de pollen vers d’autres plantes de la
mm espèce.
↑ la fitness de la plante
la sélection a favorisé le développement de mécanismes de maintien de cette relation : p° d’un
nectar riche en sucre.
Les mutualismes non symbiotique impliquent + de 2 espèces & sont svt associés à la
dispersion des graines ou pollinisation : mutualisme dispersif
* Pollinisation croisée pollen adhère d’une plante vers le stigmate d’une autre plante de la
même espèce. Les grains sur partie réceptrice par le hasard.
* Si de nombreux esp cœxistent et lorsque des individus se trouvent à des distances
importante cette pollinisation anémophile est inefficace animaux visitent les fleurs,
consomment les grains de pollen (protéines), nectar (sucre), huiles (lipides) ou parfum, poudre
ou pour s’accoupler
A chaque fois transport du pollen avec une gde efficacité issu de la relation d’exploitation.
Les structures florales peuvent être modifiées par l’évolution, ↑ l’efficacité du transport du
pollen.
Très spécialisées car la plante a intérêt à recevoir la visite d’un individu déposant le pollen
sur une plante de la même espèce.
Système de récompense accessible facilement nectar
Morphologie pour le dépôt de pollen sur l’animal
Si structure florale est spécifique - d’animaux capables d’entrée dans la fleur et de déposer
pollen sur stigmate d’autres fleurs. La morphologie peut exclure certains types de
pollinisateur ↑ le transfert du pollen.
Yucca/Tegeticula yuccasella femelle entre dans une fleur et dépose 4-5 œufs sur l’ovaire,
après la ponte elle arrache le pollen sur anthère de la fleur boule dans ces pièces buccales
(spécialement modifiées pour la contenir) s’envole vers une autre fleur, la place sur le haut
du stigmate de la fleur avant de pondre de nouveau œufs.
> Le Yucca va tolérer les larves jusqu'à un certain seuil (mangent les tissus) ≈ 30% ms pas
plus
Relation spécialisée
> Pollen collant, stigmate modifié en réceptacle pour recevoir la boule
> Restriction du nombre d’œufs pondus dans chaque plante
Relation très étroite : longue co-évolution entre les partenaires.
Ex d’une lignée de papillons qui a certaines adaptations avant l’établissement de ce
mutualisme étroit : préadaptation.
Certains animaux disperseurs des graines peuvent être aussi des prédateurs des graines, la
plante p° alors une grande qté des graines pour s’assurer qu’une petite partie est dispersée.
Les plantes peuvent inclure leurs graines dans un fruit très attractif pour les frugivores qui ne
mangent que le fruit mais pas la graine.
En général peu spécialisé les oiseaux mangent plusieurs fruits, dispersion d’une série de
graines.
Certaines espèces connues « Myrmécochorie » graines avec structures charnues (micropyle) :
Elaiosome : consommé par les fourmis qui transportent leurs graines jusqu’a leurs nids.
Rejetées à l’extérieur ou dans galeries sites favorables à la germination& l’établissement
des plantules.
Fynbos(Afrique du sud) germent après le passage du feu, graines protégées dans les
fourmilières.
Il existe au niveau de la pop seulement si le taux de ↑ de l’esp 1 ↑ avec l’↑ de la croissance de
chacune des pops. Les coefs de compet interactions + : α et β
Reflète l’effet d’un indiv de l’esp 1 2 et de 2 1
Décrit plus une interaction facultative qu’obligatoire : l’une peut vivre sans l’autre. En
présence de l’esp mutualiste, suppression de l’effet – de la densité de la population de
l’espèce sur la capacité de charge de l’environnement.
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