sociaux profonds avec des hommes particuliers au cours de leurs vie( père, époux,
fils) ce qui la situe dans une coalition avec ses hommes et la conduit à agir de concert
avec l’homme qui lui est lié, dans de nombreuses situations sociales.
Les favorisées comme les défavorisés sont donc composé des deux moitiés
parfaitement divisées de la société. Dans chaque classe sexuelle existent des attentes
envers l’autre classe et un rapport de complémentarité est organisé entre les classes
qui inclue des rituel de complémentarité par exemple ou les hommes montrent qu’il
considèrent les femmes comme des être fragile et précieux et qu’il convient de les
protéger des durs réalités de la vie.
Une autre caractéristique intéressante dans la relations entre hommes et femmes est
que les femmes peuvent bien être définies comme étant de moindre valeur mais c’est
avec sérieux qu’ils sont néamoins idéalisées, mythologisées, qu’on leurs attributs des
valeurs comme le maternage, l’innocence, la genitllesse, l’attrait sexuel, et ainsi de
suite – un panthéon de moindre valeur, peut-être, mais tout de même un panthéon.(
p.59)
Goffmann fait la conclusion que la particularité de la société industrielle dans cette
question est qu’une partie des citoyens ne croit plus que la place traditionnelle des
femmes soit l’expression naturelle de leurs capacités naturelles. Il se peut bien que cet
arrrangement va changer au cours des années à venir.
5) Le système de cour et de galanterie
Dans le point cinq, Goffman cherche à approfondir l’étude sur le fait que les femmes
sont une classe défavorisé tenue en haute estime, par l’étude du système de galanterie.
1.Le dispositif de la cour
Dans notre société le système de cour tend à intervenir lorsque les partenaires
potentiels terminent leurs années d’adolescence. Il correspondent alors le mieux aux
idéaux commerciaux concernant l’attrait sexuel. D’ordinaire, faire la cour, signifie
qu’un homme qui était dans des rapports distants parvient à se rapprocher. Il y a une
évolution et une évaluation permanente entre la courtisée et son courtiseur.
L’avantage strategique de l’homme provient de la capacité et de son droit de revenir
sur son intérêt à tout moment; celui de la femme provient du contrôle de l’accès à ces
faveurs. Un accès régulier veut dire qu’ils forment un couple.
Par la formation d’un couple, il obtient des droits d’accès exclusifs et elle acquiert une
position sociale.
2.Le système de galanterie
Ce système est basé sur l’idée que la femme est préciseuse, fragile, inexperte et
inadaptée à tout ce qui exige la force musculaire etc.. L’homme a alors l’obligation de
s’interposer et d’aider la femme partout où elle semble être menacée ( spectacle
sanglants, macabres, des choses dégoûtantes, p. ex les vers araigné). Cela peut
concerner toutes les femmes connues ou inconnues et peut fournir aux hommes une
raison plausible pour se rapprocher des femmes.
3. Dans la vie publique on ne peut donc pas toujours distinguer le fait de faire la cour
et celui de se montrer galant. L’homme profite de cette combinaison car il peut, d’un
côté utiliser la galanterie de facon sélective, focaliser ses attentions sur les femmes
attirantes et de l’autre côté la femme peut se trouver obligée de temoigner de sa
gratitude. Le lien entre le système de galanterie permet aussi d’éviter des conflits ( Si
le “faire la cour ” échoue, l’homme peut toujours se retirer dans la galanterie). Toute
femme peuvent revendiquer d’être traitée de la manière qui convienne à sa classe
sexuelle, quelque soit son âge ou sa beauté (relative aux normes) et toute femme peut