PROGRAMME DE SOINS ONCOLOGIQUES DE L’UNIVERSITE LIBRE DE
BRUXELLES (IRIS-BORDET-ERASME)
Coordinateurs : Prof. J. Klastersky (PSOM Iris-Bordet), tel : 02/541 32 01, fax : 02/541 32 02,
E-mail : jean.klastersky@bordet.be
Dr. M. Marchand (PSO Erasme), tel : 02/555 41 10,
E-mail : Marie-Marchand@erasme.ulb.ac.be
BUREAU COMMUN
Coordinateur : J. Klastersky
Coordinateurs adjoints : J.B. Burrion, A. Efira, J.P. Kains, M. Marchand
Membres :
Institut Jules Bordet : G. Andry, A. Awada, D. Cullus, M. Lemort, D. Razavi, P. Van Houtte
Hôpital Erasme : M. Elaheebux, F. Lefranc, Th. Roumeguere, I. Salmon, J.L. Van Laethem
IRIS : F. Buxant, I. Demeulder, D. Dumont, C. Martinez
Membres ex-officio : N. Clumeck, D. de Valeriola, C. Fontaine, J.P. Van Vooren
Membres co-optés : D. Brohée, S. Holbrechts, A. Leleux, A. Deweweire
Collaborateur administratif : Marie-Aline Echterbille
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Procès-verbal de la réunion du Bureau Commun des Programmes de Soins Oncologiques
de l’Université Libre de Bruxelles (Iris-Bordet-Erasme)
du lundi 24 septembre 2012
Présents : J. Klastersky, A Awada, M. Aoun, C. Martinez, J. Kerger, G. Costante, D. Fumagalli, A.
Deleporte, L. Dal Lago, D. Larsimont, Z. El Ali, I. Libert, D. Bron, D. Lossignol, D. Cullus, P. Van
Houtte, N. Meuleman, S. Marchal, S. Luce, Y. Libert, C. Ménard, I. Veys, M. Marchand, JP. Kains,
M. Obiols, C. Sotiriou, A. Deleporte, D. Dumont, M. Elaheebux, L. Van Achte, A. Efira, T. Huynh
Excusés : P. Hermans, M. Lemort, MC Vanderbeeken, P. Bergmann, A. Delforge, C. Fontaine, M;
Roland, P. Kirkove, I. Demeulder
1) Approbation du PV de la réunion de la réunion du 30 avril 2012.
2) Présentations sur le thème « Etudes et guidelines cliniques : normatifs ou/et éthiques » :
Intervention du Docteur Lossignol ci-jointe.
L. Dal Lago fait remarquer que, dans les études oncogériatriques, la durée de vie est tout de
même parfois préférée à la qualité de vie. Elle se demande quelle attitude doit adopter le
médecin lorsqu’un traitement augmente la durée de vie du patient âgé mais diminue sa
qualité de vie ou inversement. A. Awada répond que la volonté de survie est bien présente
chez la majorité des patients, qu’ils aient plus ou moins de 70 ans. La thérapie à privilégier
dépend du taux de réponse de la drogue. S’il est élevé et que les effets secondaires sont
acceptables, le traitement peut être envisagé.
Intervention du Dr Awada sur les prestations qui concernent les patients traités en pratique
clinique et qui n’entrent pas dans les critères des études cliniques.