PREMIERES ETAPES :
D’ici fin 2017 : construction des six prototypes en fibres de lin, de chanvre, de basalte, de jute et de bois de bambou.
Tests effectués par le Centre des Matériaux de l’Ecole des Mines d’Alès (C2MA).
2018-2019 : Deux raids en mer — un tour d’Europe en 14 étapes et une transatlantique vers le Brésil — avec les 6
prototypes pour confronter les fibres naturelles à toutes les mers, et démontrer la fiabilité et la qualité de ces nouveaux
voiliers. Ces deux raids couvriront à eux deux près de 40 000 Km.
ET ENSUITE :
Les matériaux développés dans le cadre des programmes de recherche impulsés par EcoTransat pourront s’appliquer
à d’autres domaines.
Des voiliers les plus performants pourront être construits à plus grande échelle.
AUJOURD’HUI, ECOTRANSAT A DEJA…:
construit aux deux-tiers le premier prototype — le « bateau-étalon » —, en chantier au Grau du Roi ;
conclu une convention de recherche avec le Centre des Matériaux des Mines d’Alès (C2MA), Pôle
MATERIAUX POLYMERES AVANCES ;
planifié les étapes des deux raids en mer ;
intégré, en phase de pré-incubation, l’Incubateur des Mines d’Alès.
UN PROJET COLLABORATIF :
L’équipe « opérationnelle » :
Un initiateur et constructeur de bateau : Gilles Melon. 2 ans de navigation à la voile en passant le Cap Horn, 35 000
nautiques à son compteur. Ce passionné de bateaux a aussi écumé les chantiers navals, de La Rochelle à Port Camargue,
en passant par Bordeaux.
Un spécialiste du montage de projets collaboratifs, Michel Dupoirieux. L’ex -directeur de l’Union régional des Scop
(Sociétés coopératives et participatives) Languedoc-Roussillon est aussi passionné de mer, à bord de son voilier partagé.
Un graphiste de formation travaillant désormais en voilerie : Pierre-Julien est devenu technicien en construction de
voiliers et apporte sa double compétence au projet.
EN SOUTIEN :
Des grands noms de la voile ont accepté de parrainer ce projet :
Kito de Pavant, skipper en course au large. Basé à Port Camargue. Il est engagé dans la course mythique du
Vendée Globe 2016.
Jérôme Poncet, aventurier des mers du sud, est dénommé le « Pape des glaces »,
plus de vingt personnes du monde de la voile, de la recherche, de l’éco-citoyenneté, de l’entreprise s’impliquent déjà
dans le projet, sous forme associative dans un premier temps.
-2-