LA MORT ET L ISLAM
La mort pour un catholique représente le passage dans une vie meilleure.
Pour l’islamiste c’est un passage à une autre vie (paradis).
Le musulman doit se préparer tout au long de sa vie à sa mort. La foi le prépare à passer cette
étape. Il sait que la vie future est meilleure.
Selon la croyance islamique, la destinée de l’après vie est déterminée avant la mort.
Avant la mort on lui raconte des prières à l’oreille.
L’ange de la mort s’appelle Gibraïm.
L’âme traverse les 7 cieux avant d’arriver devant Dieu.
La crémation est interdite, l’inhumation se fait tournée du côté de la Mecque.
Le prélèvement d’organe est interdit.
LES THERAPIES FAMILLIALES
Il est important d’observer les comportements, car tout comportement est une information.
Dans une famille, les rôles reconnus de ces membres et les rapports entre eux : le mythe
familiale.
Quand on parle de la thérapie familiale cela implique pour les soignants que c tt le groupe
défini comme malade.
Le fait qu’un membre présente symptôme psychiatrique est l’occasion pour la famille de
prendre un contact psychiatrique.
Le malade est souvent le résultat d’un système rigide dans les relations familiales.
Il faut un thérapeute, 1 Co thérapeute de sexe opposé et un observateur placé derrière le miroir.
Le thérapeute s’abstient de toutes les formes de critique ou jugement.
Le comportement de chacun de ces membres du groupes doit être accepté tel qu’il est et en
voyant que des aspects positifs. absence de critiques, d’épreuves de force.
On observe le pouvoir des uns sur les autres, plus un positionnement.
Tous les membres d’une famille doit participer à la thérapie sauf les très jeunes enfants mais il
est indispensable de les réunir tous au moins une fois.
Il y a 3 à 4 semaines entre les séances.
Entre chaque séance, il peut y avoir des tâches concrètes aux familles qui peuvent à la fois
être une valeur symbolique et de communication.
Attitudes des thérapies
Attitudes défensives : Distance entre le patient et le thérapeute.
Médicalisé la relation = absence de relation
Attitudes possessives : Faire entrer le malade dans la vie privé du thérapeute.
Attitudes investigatrices : Maximum d’info sur les malades pour une meilleure prise en charge,
cependant attention à l’indiscrétion.