mettre en place un magazine africain de publication bilingue (français et anglais) qui
traiterait des questions économiques, de manière plus technique, et experte, faisant participer
tous les solides cerveaux africains, dorés d’économie et garnis de philosophie. Celui-ci,
pensons-nous, devra bénéficier de l’appui des organisations, institutions scientifiques, groupes
d’études, ou coopérations d’obédience africaine.
LES MEDIAS
Notons, cependant que, c’est depuis presque un siècle que la presse écrite, la radio, la
télévision, puis aujourd’hui l’Internet, sont venus s’ajouter définitivement au rythme quotidien de
l’humanité.
Le grand intérêt des médias étant, alors, d’informer rapidement et largement la plupart de la
population des faits «importants» et des évènements, du pays et du monde en�er, l’humanité,
grâce à son poste de télé ou de radio, son ordinateur, ou encore son journal, dispose, dès lors,
d’un compte-rendu des tout derniers événements qui lui permet de se tenir au courant de la
situation mondiale et nationale.
L’on professe également que les médias devraient nous aider à comprendre l’actualité en
interprétant les faits, et même, plus complètement. En plus, les intellectuels africains devraient
établir plus d’agences de presse économique que de lu�es et fanatismes politiques et de
publicité d’alcool et de télécommunication.
De cet ordre, nous soulignons, pour notre magazine, qu’il jouera le rôle similaire à celui de
l’écrivain philosophe du social, la�n, dit Tacite, qui dans son œuvre « De Germania » chantait
les exploits, la droiture ou le conformisme du mariage chez les Germains, disons, Allemands
face à la méconduite, à son époque, des peuples la�ns. L’auteur exaltait les étrangers pour
inciter son peuple à la bonne révolu�on. Bref, notre magazine chantera les exploits des
économies fortes, réussies, pour ainsi inciter l’africain au redressement ou recadrage.
Nous avons opté pour la créa�on de ce magazine, et, en français, par le fait que, jusque hier,
la philosophie économique pouvait passer pour une activité intellectuelle réservée à quelques
grandes figures de la science. Aujourd’hui, en revanche, le questionnement cri�que de
l’économie est le fait d’un nombre sans cesse croissant d’économistes. Aussi, il s’adresse
actuellement à un public de plus en plus large. Et, quant aux revues spécialisées en philosophie
économique, elles sont non seulement rares mais ont en outre l’inconvénient d’être plus en
langue anglaise, et, d’ignorer le vaste patrimoine philosophique francophone.
MOYENS D’ETUDES
Nous avons procédé, d’abord, sur Internet, par la lecture de la presse africaine d’informations
générales, où une panoplie d’ou�ls de diffusion poli�que et de publicité était disponible, par
rapport aux supports économiques. Ensuite, étant nous-mêmes, gestionnaire du site Internet
www.
bas-congo.cd dans le département de la presse et communication du cabinet du Gouverneur
du Bas-Congo en République Démocratique du Congo, nous avons, facilement, accès, et ce,
tous les jours, à la presse écrite, audiovisuelle et virtuelle d’Afrique et du monde, en général.