Une Embryopathie à l’histoire
mouvementée
1970 : « L’alcool n’est pas tératogène »
1968 : P. Lemoine (Nantes): 127 foetopathies
1973 : Jones, Smith.. Streissguth..1ers cas de F.A.S.
1980 : P.Dehaene, G.Crépin - Deauville
1992 : P. Lemoine : 105 retrouvés adultes tous
handicapés
2014 : Quatre faits incontournables :
–un phénotype dose-dépendant
–le cerveau, cible privilégiée de l’alcool
–une embryofoetopathie évitable !
–l’alcoolisation féminine persiste et se modifie