Il y a en général 4 cicatrices : 2 petites cicatrices situer en région frontal de la tête mais
il y a les cheveux qui recouvre donc ca ne se voit pas, une cicatrice ici pour récupéré les
électrodes, puis une autre cicatrice qui se voit un peu plus ici la ou il y a la pile.
Il reste certain signe de la maladie après l’opération. Car la maladie de Parkinson est
une maladie très compliqué et se que l’on va améliorer c’est les tremblements, la rigidité, les
grand mouvements anormaux, que l’on appel les dyskinésies, qui sont induite par le
traitement. Ils améliorent bien aussi, les patients qui dans la journée fluctu beaucoup ou font
des épisodes de blocage, c'est-à-dire il mène une action et puis un moment il se retrouve
bloqué et ils ne peuvent plus rien faire. Certain trouble de la marche ne peut pas être amélioré,
certain trouble de posture, certain patient font des chutes, qui sont déséquilibré et ça sa n’est
pas toujours amélioré sa peut l’être mais fréquemment sa n’est pas amélioré par la
stimulation. Il y a d’autre symptôme : symptôme digestif, urinaire. Certain patient peuvent
avoir des hypotensions orthostatique, quand ils se mettent debout ils font des malaises parce
que la tension baisse trop brutalement se sont les genres de symptômes qui sont peut ou pas
amélioré par la stimulation comme par exemple le trouble de la parole qui sont rarement
amélioré. C’est pour ça qu’il faut les sélectionné de manière extrêmement stricte pour n’opéré
que ceux dont on va avoir une amélioration suffisante parce que sa sert a rien d’opéré un
patient qui va conserver des troubles de la marche majeur après l’intervention. En tout les cas
un patient qui a trop de signe dont on sait qu’il ne va pas répondre à la stimulation parce
qu’on le sait avant et bien se n’est pas utile de l’opéré, de même qu’il ne faut pas opérer des
patients qui ont des problèmes psychologique, psychiatrique et puis il ne faut pas opérer des
patients qui ont des problèmes intellectuelle, se sont des troubles cognitifs trop important.
Ceux la on sait très bien qu’on va à la limite aggravé leur problème intellectuelle, aggravé leur
problème psychiatrique donc il faut surtout ne pas les opérés. Les parkinsoniens, ils ont ça,
alors ils ont ça tardivement dans l’évolution de la maladie. C’est pour ça qu’on les opère en
général au bout de 7 et 10 ans d’évolution de la maladie, rarement avant parce qu’ils ne sont
pas suffisamment malade et puis le traitement médicamenteux marche assez bien parfois sa
peut être très tard, mais c’est quelque fois un peu spécifique mais c’est rarement très tard
parce qu’ils ont des problèmes surtout cognitif qui se mettent en place.
Les électrodes coutent environ 1 000€ puis la pile coute environ 12 000€. On part
environ pour 15 000€ de matériel, plus l’hospitalisation, la on passe sur des budgets de
30 000€.
Le docteur Derrey et le docteur Maltete travail en collaboration. Ils choisissent tout les
deux le patient, monsieur Maltete les voit tous, il sélectionne les candidats qui lui semble être
les meilleurs candidats, il a des critères de sélection très précis puis monsieur Derrey les voit
en consultation, il ne revient pas sur leur maladie, il vérifie surtout qu’ils n’ont pas de
problème chirurgicaux. Ils passent tous une IRM avant et l’IRM permet d’opéré, et qu’il n’est
pas de problème de coagulation du sang. Une fois que l’indication est validée par le Docteur
Maltete et le Docteur Derrey, le patient peut être opéré. Le docteur Maltete et le docteur
Chastan, qui est neurophysiologiste, sont présent en salle, mais également docteur
Lefaucheur, qui est aussi neurologue et qui fait aussi le même travail que le docteur Maltete, il
se partage le travail. L’un ou l’autre des neurologues est en salle pour faire les testes