JBXRfoQ m 28 e Année - M 0 9.505 LUNDI 27 JANVIER 1919 de Tùvronxf I G cent. ORGANE DE D3F3NS3 SOCIALE ET RELIGIEUSE f 0 DIREOHDN, 25, ruo Roquelaine NOTE-EXPRESS par f\i spécial "H LES ii'lijvitatioi) déciii) :s Etudiants I la ïioloin Le Eolcttevisi en Aussi JOLI UNE TÊféres et déjà LE PÉRIL DE L'AIR U est rossible de répondre taicnt a i esuruu M lié pour le 15 février v, à ftte de cs. par Princ - « . Prmc 0 s0 f , MJ^r* a 1» Parce qu 'une telle conférence ne saurait amener l'apaisement en Russie ; 2° Parce que seules des compétitions territoriales pourraient être utilement résolues a Vile Prinkipo, alors que les différends quf divisent les Russes ne sont pas des différends territoriaux. Ces anarchistes ne manquent pas de logique. 'On ne peut avouer plus explicitement que le aroblùme russe n'est autre chose que la lutte rie l'ordre contre le désordre. . Rien n'est jilus évident ; et vouloir concilier cette antinomie ne veut sortir du domaine du têve. • y a-t-il d'autre part. QUCIQUC chance de voir mroclamer la trêve désirée par le président H/l'Uson et dont il lait la condition nécessaire la réunion de' l'extraordinaire conférence gxCil a iiwjinèe ? Pus davantage. a La proposition d'une cessation des hostiliïês qui ne fut point faite durant la période où nous éprouvions des difficultés sérieuses, est mise en avant, proclame Tehilcherinc. au moment même où. les forces de la réaction fléchissent de plus en plus. » Donc pas soit écrasé. de trêve avant, que l'adversaire Mais c'est exactement ce que pensent MM Sazonoff et le vrihec Lvoff. qui ne voient pas de solution en dehors de l'écrasement des hommes qui. après avoir livré la Russie aux 'Allemands à Brest-Litovsk. y ont répandu la terreur et l'anarchie. Notre excellent ami M. Pierre d'Welles pubiie dans l'Action Française ce très intéressant article gue nous croyons devoir reproduire in extenso : ocemièie 7, MANIFESTATION A LA SORtëONNE La guerre... mats ils la préparent déjà. — nous aussi, nous aurons notre revanche. — Nous reviendrons dans dix ans. quinze ans ; La prochaine guerre se gagnera dans les airs. Oui vicmlra à Î7ie des Princes 'Anvarcmmenl personne. • r riZce Lvoft et M. Sazonott. qui reprèParia lès deux gouvernements de toura cl CaTcaT (amiral KoHchak) et d'Ekatcrrnadar (général Dcnikinc), ont âè^tlorrnAUment qu'Us n'iraient Va*, car* Test Pas possible de concilier la civilisation 'et f anarchie. Or voici <tue- de son côté le gouvernement lolciieviste paraît peu désireux d'être au voyage : BELLE La whrase est du maréchal Foch ; il l'a "prononcée à l'Académie des Sciences où son avis sur la possibilité d'une nouvelle guerre avec l'Allemagne lui était demandé. La seconde a été recueillie pendant les jours qui ont suivi l'armistice, sur les lèvres mêmes des soldats et des indésirables 'germains quittant l'Alsace-Lorraine : ils l'appellent : unser verlorenes Land. La troisième, enfin, proférée ipar d'influents personnages d'outre-Hhin, a été pubiée dans las journaux, jointe à des considérations sur l'avenir de l'air et .lanéces. sitô du développement des constructions aériennes. Ces (propos méritent réflexion : ils deviennent, menaçants, si nous tenons compte de l'expérience, acquise si durement, de l'esprit allemand, de l'état actuel de la navigation aérienne, des .facilités dans l'avenir d'une agression par la voie de l'air. Pendant longtemps, nous avons identifié l'Allemagne et l'ordre ; ipar suite, le long de ces quatre années de guerre, nous nous sommes étonnés de trouver associés l'ordre et la barbarie. M. Ferrero. le célèlbre historien italien de Rome, a donné dans son Génie latin la clef de l'anparente contradiction en conformité A toutes les vues de l'Action Française : l'ordre est le sens de la mesure ; la pensée allemande, anarohkpie, les appétits allemands, démesurés, ne connaissent ni bornes, ni limites. Voilà -pourquoi, si le Germain est battu, il n'est pas le moins du monde abattu : ses espoirs ont été déçus, il le reconnaît, il ne renonce pas ; il chercihera à faire mieux en Rappliquant à la tache avec une ténacité accrue par l'aiguillon de l'échec. Sa première victoire depuis l'armistice, il vient de la remporter en domptant la révolution • son heure viendra, il l'espère. La terre et la mer lui sont durement disputées : il lui reste l'air ! LA wsm COMPOSITION DES COMMISSIONS Paris, :?G janvier, Nous avons déjà donné les noms des délégués qui représenteront les grandes puissances dans la commission de la Société des Nations. Voici ceux des délégués dos quatre autres commissions : Responsabilités de 'a guerre : Etats-Unis : les deux délégués n'ont pas encore été nommés ; Empire britannique, sir Gordon Howart, attorney général : le deuxième délégué n'est pas désigné; France : MM. Tardiou et Larnaude ; Italie : le sénateur Scialoja, le député Raimondo ; Japon : les deux délégués ne sont pas désignés. Commission des réparations : Etats-Unis : MM. Pariiich, Davis, Mac Cormick ; Empire britannique : MM. Hughes, Simund, lord Cunlisao ; France : MM. Klotz, Loucheur, Lebrun ; Italie : MM. Salandra, d'Amcglio, et un troisième délégué ; Japon : MM. Mokri Magaoku, Frikin. Législation internationale du travail : EtatsUnis : MM. Hurley, Gompers ; Empire britannique : MM. Barnes, Malcolin de Lavigne ; France : MM. Colliard. Loucheur ; Italie : MM. Mavor, des Planches. Cabrini; Japon : MM. Otichiau, Oka. Régime des ports : voies fluviales et ferrées: Etats-Unis : M. Wiiite et un deuxième délégué ; Empire britannique : M. Siston et un deuxième délégué ; France : MM. André Weiss et Claveille ; Italie : MM. Crespi, di Martino ; Japon : MM. Yyamakawa, colonel Sato. VIOLATÏ0NS ET RÉPARATIONS Paris, 26 janvier. Voici le texte du projet de résolution concernant les violations des lois de la guerre en vue d'une, présentation à la Conférence de la paix : Paris, 2G janvier. •Sous les auspices de l'Effort de la France et de ses alliés, une manifestation, dite des Etudiants de la Victoire, a eu lieu cet aprèsrtifel à la Sorbonne, en présence du président die. la République et sous la présidence de M. Paul Deseiianel. La vaste salle était absolument oomible. M. Deseiianel a pris la parole. Parlant de la question sociale, il a déclaré que la France devait aiborder, sans retard, les jurablèmes vitaux : assurance à la natalité, assurance contre la maladie et l'Invalidité, assurance pour là vieillesse, accession de plus en plus large et de plus en plus facile des travailleurs au capital, à la 'propriété et à l'épargne, organisation des associations professionnelles, organisation du crédit, etc. Abordant la question religieuse, il a invité tous les Français à avoir pour leurs convictions réciproques non pas de la tolérance, mais du respect.' «. Si, de part et d'autre, le respect est sincère, sans arrière-pensée, nous aurons beaucoup fait déjà pour la paix sociale et pour la grandeur du pays. » Après avoir constaté que la Constitution de p.875 a duré plus longtemps que les Constitutions antérieures depuis la Révolution française, qu'elle a résisté au conflit mondial, M. Deschanel a dit : «' Elle a des défauts : elle renvoie trop vite les ministères ; les partis extrêmes, qui ne sont, pas unis pour cette besogne, doivent l'aire un examen de conscience. » Abordant ensuite la question de l'enseignement, l'orateur a déclaré : « Il faut que nous donnions à la France un enseignement non chauvin, mais national. J*' Allemagne a su organiser des universités ; profitons des leçons, perfectionnons nos méthodes. « Pour travailler, il nous faut la paix : s'il est bien de repousser l'Invasion, il est mieux de l'empêcher. Tant que les Allemands tiendront l'accès de nos routes d'invasion, tanrt qu'ils pourront accumuler, de ce côté-cl du, Rhin, les moyens d'agression, le monde ne sera pas tranquille. Puis, des garanties internationales, nos alliances doivent survivre à la guerre ; elles ne seront pas moins fécondes pendant la paix. Ix>s trente Etats qui ont rompu avec l'Allemagne sont le noyau tout formé d'une organisation nouvelle du monde. DE QUARANTE UN DÉFICIT MILLIARDS DE ROUBLES Berne, 26 janvier. Le budget du gouvernement Wolch,«vlste •russe pour 1919 présente un déficit de quarante milliards de roubles sans compter le déficit spécial des Postes et Télégraphes. LIBÉRATION DES OFFICIERS "FRANÇAIS Stockholm. 26 janvier. M. Duchesne, consul de France a Pétrograd. vient d'arriver à Helsingfors. Il annonce que tous les officiers français détenus à Pétrograd et à Moscou sont libérés, sauf trois dont la libération est prochaine. Un convoi de 30 Français, des instituteurs en majorité, est arrivé en Suède d'où il se rendra en France. Le Voyage à l'Ile des Princes L'ATTITUDE Stockholm, 26 janvier. D'après une enquête dans les milieux bolchevistes, il résulte que le but moral poursuivi par M. Wilson, dans sa proposition d'une Conférence russe aux îles des Princes, échappo comiplôlement aux bolchevistes qui considèrent M. Wilson comme le représentant des gTands trusts américains. Deux courants se dessinent dans le gouvernement bolcheviste : les uns voudraient l'aide économique des Alliés, comime autrefois celle des Allemands, à n'importe quel prix. Us seraient prêts à accorder de grands avantages, notamment aux Américains. M. Litvinofî parlait déjà dans son offre de paix de concessions minières et les bolchevistes laissent entendre qu'ils donneraient aux futurs concessionnaires le droit d'exterritorialité pour garantir l'ordre des entreprises. Mais à côté de ce courant un autre plus fort se manifeste ; il est certain que, grisés par ce nouveau succès et cette invitation à la Conférence, qu'ils considèrent comme la reconnaissance du gouvernement des Soviets les bolchevistes continueront la politique des phrases révolutionnaires et utiliseront les séances de la Conférence pour la propagande universelle. Ils feront probablement les deux simultanément : savoir des offres d'affaires aux Américains et l'agitation révolutionnaire pour les peuples occidentaux. Gomme leur situation militaire actuelle est mauvaise, ils sont émerveillés du répit nouveau que leur donne la Conférence ; ils redoutent que les gouvernements antiboldhevlstes refusent d'aller à la Conférence ou n'acceptent pas d'armistice qui, en effet, risquerait de démoraliser les armées sibériennes et esthoniennes. Us ne croient nullement à là possibilité d'une entente entre les différents gouvernements et ne la désirent pas. L'essentiel pour eux est do montrer au peuple qu'ils sont traités sur le pied d'é-galité par les Alliés. Les imaginations -bien Connues de Benson le romancier anglais, dans Je Maître de là « Qu'une commission composée de deux ' Or, les forces qui fléchissent pour le. moreprésentants pour chacune des cinq grandes ,meni en Esl 'wni.e 'ne sont pas les forces de là Terre, ne sont plus un mythe : voici que nous puissances et de cinq représentants à élire es touchons du doigt. Il y a quelques mois réaction, niais les bandes que Trolskii'a cru «• L'eff royaWe bouleversement d'où nous les Allemands envoyaient un zeppelin vers le par les petites puissances soit nommée pour devoir aller encourager de sa présence. sortons doit être suivi d'une étape vers une faire une enquête et un rapport sur les points petit territoire de leur Est-Africain Allemand Et, daulre part, l 'Ukraine vient de se joincivilisation -dus haute ; et la encore ce sera suivants : encore entre leurs mains : ils espéraient saudre aux groupes qui sont en guerre contre le la gloire de la France d'avoir, la première, « 1° Responsabilité des auteurs de la ver leur commandant en chef : le plateau sur gouverne menti des Soviets. montré le chemin. L'avenir, n'en doutez pas, guerre : 2° Faits concernant les violations lequel devait atterrir le dirigeable fut 'pris es ià la justice. Travaillons de' toutes nos forAinsi le rendez-vous de l'Ile des Princes ap a! ées avant son des lois et coutumes de la guerre, commises I ^ arrivée. Par ces à en hâter l'avènement. parait comme un immense coup d par les forces de l'Empire allemand et de ses ce 'épée dans reçut "e nouvelle auyeau. 1 A yss nl « Enfin — c'est mon dernier mot — pour ^Mf e : revenant sur ses pas, ilalliés sur terre, sur mer et dans les airs, au D î faire tout cela, il faut vivre ; or, si nous con^ Ce sera autant de gagné pour la Conférence i ralliait la Bulgarie, son point de déioart, après cours de la présente guerre ; 3° Degré de restinuons de restreindre volontairement notre "de la Paix. ponsabilité pour ces crimes, visant des memun vol sans arrêt de 7.200 kilométras II v a natalité et de nous laisser décimer par l'albres, pris en particulier, des forces ennemies quelques murs, dans le Malin. M de La Vanlv Cclle-ci ,ne va donc plus se trouver en précoolisme, la tuberculose et d'autres fléaux, y compris des membres des états-majors gédemandait la livraison des zeppelins par l'\l sence que de deux solutions : dans cinquante ans l'Allemagne aura plus de lui les néraux et d'autres individualités si haut plaOu bien fixer d'ores et déjà les limites de su)Per-zarwlins seSi les Alliés ne demandent pas, outre la sus120 millions d'habitants et la France à cées qu'elles 'soient ; 4' Constitution et proraient capables de couvrir en 100 heures une la Russie ntourer d 'un cordon sanitaire et pension des hostilités, la cessation de la Donc, sans un cédure du tribunal approprié pour mettre en -peine 40 : un contre trois. distance de .8.9») kilomètres, alors m^Ham laisser la l :sie cuire dans son jus. 63 SéParé guerre civile, qui se traduirait par le rétablisénergique effort sur nous-mêmes, nous somjugement ces crimes ; 5° Toutes antres affaiOu vrend mes perdu. sement de la liberté de parole, de réimion des décisions en ce qui concerne Ses * res analogues ou connexes aux points menle gouverni icnt de la Russie et assister, pour et de la presse, les bolchevistes pourront uti« Vous qui êtes les heureutx, vous devez tionnés ci-dessus, qui pourraient apparaître Voua donc un ouitil déjà dangereux • si les faire c " liser la proposition de la Conférence exclusi1 uter, certains « des groupes orgaau cours- de l'enquête et que la commission donner l'exemple. Permettez-nous de vous ennisês qui s vement pour consolider leur dictature dispulent présentement la direcrôler dans notre grande croisade, la. première jugera utile ou convenable de prendre en tion et la < nduite de la Russie ». iérieZ f ,?n ^° ssedera ™e puissante flotte ronsidération. Cette dernière opinion est celle des démo» de toutes, la croisade pour la . vie ! » Amen™ r commerce, des Lutt-Haraburgcrates et socialistes suédois. Or, le pt 'nient Wilson n'a vas retiré son America Ce jourdà, nou s serons à la merci Après M, Deschanel, ont pris successivement Voici d'autre part, le texte du projet de réaffirmation suivant laquelle l'Europe cl la d une attaque presque immédiate ; rien n'em la parole : M. Lucien Poincarô, Vice-recteur solution concernant la question des réparamonde ne peuvent être en paix si la Russie 1«chera d'moffensifs dirigeables, puisque le tions, pour être présenté à la Conférence de de l'Académie de Paris; M. Lafferre, ministre ne l'est vas. dirigeable aura, paraît-il, la supériorité sur la paix : de l'instruction publique ; M' Henri Robert, On l'ai prêle, d'autre part, l'intention de ne les aéroplanes pour les forts tonnages, rien bâtonnier de l'Ordre des avocats < M. Durasme « Qu'une commission de trois représentants reconnaître en Russie qu'un gouvernement ne les empêchera de porter des bombes dans président de l'Association générale des étuau plus, pour chacune des cinq grandes puisdiants. -établi .qui endosserait la dette russe. leurs cales, plus puissantes qu'elles n'ont jaAmsterdam, 26 janvier. sances, et de deux représentants au plus par mais été. ' tin brillant concert a suivi. C'est donc à la seconde solution qu'il va se D'après un télégramme du Bureau de presse puissance pour la, Belgique, la Grèce, la Po0Ur fixé 'trouver accule. de Breslau, le Conseil national de Breslau res o h ^J' ' Pace de quelques logne la Roumanie et la Serbie, soit nommée heuies, venu s de partout, des croiseurs annonce que les troupes tchèques se sont em; Et une nouvelle entrée en campagne sera le en vue d'étudier et de présenter un rapport : parées d'Odenberg, après en avoir chassé les aériens, rapides et innombrables seront réuiremier résultat tangible de la Conférence de s 1° Sur le montant des réparations que a Paix. Polonais, à la suite d'un combat violent. nis en esoadres à des points déterminés suile» puissances ennemies devront payer ; vant leur position à l'heure de l'appel • des PECH-DAVY. 2° Sur leurs capacités de paiement. ; 3° Sur ordres préparatoires et un appel de ï S F la méthode, la forme et l'époque à laquelle le suffiront. L'organisation sera bien faite n'en paiement devra être effectué. » LEDEBOUR EN COUR D ASSISES doutons pas : au moment convenable des ultimatums seront adressés aux divers' gouBerne .20 janvier. LE SLESWIC CENTRAL DEMANDE On mande de Berlin à la Gazette de Francvernements, tandis que les routes d l'air COMPLOT CONTRE LE RÉGENT SA RÉUNION AU DANEMARK e fort que le Ledebours sera traduit devant seront barrées, les aérodromes détruits les Borne, 26 janvier. la Cour d 'assises sous l'inculpation de rébelvoies de communication terrestres coupées Copenhague, 26 janvier. Les journaux annoncent que 46 personlion. les grands ports et les grandes villes survoDes pétitions signées par un grand nomnes ont été arrêtées, à Sarajevo, pour comlées par de puissantes escadrilles, sou peine bre d'habitants des cantons du Sleswig cens plot contre le prince Alexandre, régent de LE CAPITAINE SADOUL EN ALLEMAGNE de représailles terribles, il faudra accepter tral ont été remises au gouvernement daSerbie. Ce sont, pour la plupart, des musulla conception allemande du inonde et nous nois, qui est sollicité de faire les démarches Zurich, 26 janvier. mans et des Croates et un socialiste serbe. savons ce que cela veut dire ! Une dépêche de Berlin sifmale que le canécessaires auprès de l'Entente pour que les . JLes bolchevistes viennent de lancer, pitaine français Sadoul vient de faire un populations du Sleswig central obtiennent, à Mais nous allons nous faire livrer les Zepséjour à Berlin, Brème et Hambourg en mis'jjans le monde, par radio-télégramme, un pelins. Et l'avenir ?... Mais nous nous défen- la Conférence de la Paix, le drfflt de faire sion de propagande pour le compte de Lédocument d'une importance capitale. connaître par un vote libre leur désir d'être drons... Il n'y a pas d'autre remède à une nine. ' Sa longueur nous empêche dte Je repro- attaque brusquée que de la .prévoir et de l'é- réunies au Danemark. Les signataires de ces pétitions invoquent duire in extenso, et d'ailleurs il contient craser dans son germe. Et d'autre part, nous L'ASSEMBLÉE NATIONALE CONVOQUÉE le programme du président Wilson relatif no pouvons pas, à moins die revenir à la barjun abondant verbiage. Bruxelles, £6 janvier. POUR LE 6 FEVRIER au droit des nations de disposer de leur sort, barie, entretenir de coûteuses escadrilles de Sa portée, toutefois, est considérable. V Indépendance Belge dit que la Chambre de programme qui est accepté par le gouvernecombat .d'innombrables artilleries contre Bâle. 26 janvier. commerce hollandaise a tenu son assemblée iÇe n'est, en effet., rien de moins qu'un aéronefs, de gigantesques filets... ment allemand comme base de paix. On mande de Berlin : générale, à laquelle ont assisté une soixan'jtppel à révolution universelle, contre taine de membres seidement sur six cents. Avec la remise entre nos mains des Zeppe«j Le Moniteur de l'Empire publie une •toute -civilisation, LA SÉANCE DE LUNDI La réunion a rejeté par 37 voix contre SQ lins actuellement construits, du secret de ordonnance du 23 janvier convoquant l 'Asi. Les bolchevistes convoquent à un con uno proposition de radiation de toutes les semblée Nationale pour le 6 février, à Weil'alliage d'aluminium qui fait la valeur de Paris, 26 janvier. éfrès international tous les partis mar. » firmes allemandes et des alliés des Alleleur armature métallique, il faut imposer itariens révolutionnaires. mands, ainsi que des membres de la ChamLundi après-midi, il sera procédé à la noaux Allemands, comme pour les sous-marins, bre qui, pendant la guerre, ont trafiqué avec UN AVERTISSEMENT D'EBERT mination dos représentants des petites puisLes principes dont ils se réclament sont l'interdiction absolue dô construire dirigeales Allemands. AUX PARTIS BOURGEOIS pBux qu'ils ont eux-mêmes mis en prati- bles et aéroplanes au-dessus d'un certain ton- sances au sein des commissions. Lundi matin, le Comité de la Conférence nage : pas de navires aériens hors de chez que, et ceux des spartaciens. Berne, 20 janvier. se réunira à nouveau et poursuivra l'examen Quajit à leur programme, il tient en eux. pas de compagnie allemande de trans- des problèmes territoriaux. Au cours d 'une interview, Ebert, président port international ; aux Alliés, le contrôle ïruelques articles, quei voici : du .gouvernement de Berlin, a prévenu les éléM. Henrv Simon, ministre des colonies, absolu de l'air et des constructions aérienments ••bourgeois, <à l'Assemblée Nationale, , 1° La période actuelle est la période nes : la plus élémentaire des prudences exige assistera. La question des colonies alleman- ou'ilri ne sauraient jamais devenir un instruLA BELGIQUE des d'Afrique y sera abordée. ces conditions. He l'effondrement 'et de la dissolution di ment de réaction socialdémocrate. ET LES COLONIES AFRICAINES tout :1e système capitaliste mondial. Prenons g'arde : nous .gommes aujourd'ui 11 s'opposera à toute tentative de rclour en Bruxelles, 26 janvier. les maîtres : que nous reservo demain ? A 2° La tache du prolétariat consiste au arrière et il affirme que de l'Assemblée NaParlant, de la prochaine réunion de la conquoi nous servirait d'avoir gagné la guerre, Jjourcl'hui à s'emparer de suite du poutionale devra sortir une Allemagne nouvelle férence africaine, le journal le Soir rappelle d'avoir éloigné Paris des barbares, de désiqui sera douce aux déshérités d'hier. voir gouvernemental. Ce pouvoir signifie la participation de la Belgique aux opéraToute réaction serait le signal d'une nou.^anéantissement de l'appareil actuel o> rer le Rhin même commie barrière, si, de tions militaires en Afrique, et ajoute que gaieté de cœur, nous donnions à nos ennemis velle révolution qui éterniserait une situation LA DÉMISSION DE VON WINTERFELD Rouvernemeut, pour le remplacer par séculaires l'affirmation prêtée au ministre des colonies avec la liberté de l'air, le pouvoir économique que le pays ne peut supporter ï appareil du pouvoir prolétarien. belge, lors de son récent voyage à Londres, plus longtemps. ' de tourner tous les obstacles 1 L'isolement Genève, 2G janvier. que la Belgique n'entend pas se préoccuper On a annoncé la démission du général von 3° Un nouvel appareil gouvernemental superbe de la Grande-Bretagne, l'éloignedu litige africain, est totalement fausse. s emparer de la dictature de la ment du Nouveau-Monde perdent leur va- Winterteld de ses fonctions de membre de Le Soir dit que la Belgique, d'accord avec la classe ouvrière. la commission d'armistice. •eur: le monde devient trop petit 1 France et l'Angleterre, prendra officiellement Le motif de cette démision est le suivant : Souvenons-nous de la Prusse après Iéna ! & 4° La dictature du prolétariat doit ame l'initiative de propositions de revision de Au cours de la dernière réunion pléniérc immô diate du capita l'acte de Berlin. Tierre d'WRLI.ES. de la commission, une déclaration du maréIL SERAIT ENVOYÉ EN EXIL brivêe suppression de la propriété chal Foch fut lue par le général Nudant, Le Londres. 26 janvier. maréchal Foch annonçait qu'en vertu de K ; aSRurer la Les journaux publient des dépêches d'Amsl'accord conclu lors de la dernière prolongaiiste ru , révolution 1£ terdam disant que les gouvernements alletion à partir du 23 janvier l'occupation des mand et hollandais sont parvenue à un acîôtcs do pont sur le Rhin deviendra effective ^intérieur et à l'extérieur, pour apporter cord qui concerne la position de l'ex-Kniser I.o général von Winterfeld déclara : L'AUTONOMIE DE LA CATALOCNE «cours autres fractions Me qui serait envoyé en exil dans les Indes néer£ésa,mie™. de la bourgeoisie et de ses UNE BELLE CÉRÉMONIE A STRASBOURG « J'ai déjà dit au général Nudant. dans un lan Baises. Barcelone, 26 janvier. entretien privé, que jo verrais dans l'occupaL'Assemblée de la Manconmiunidad, après Strasbourg, % janvier. tion d'une téte de pont une tellé méfiance ! LE KAISER VOUDRAIT REVENIR Le maréchal Pétain, commandant en chef avoir introduit dans la séance d'aujourd'hui, contre le travail de la commission que le A BERLIN des armées de l'Est, est venu aujourd'hui à quelques amendements dans le statut de l'aujour où un tel ordre serait donné je doman Strasbourg pour remettre le cordon de grandtonomie, a été d'accord pour rejeter le proderais à être relevé de mes fonctions. Londres. 26 janvier. jet d-e la commission e.xtiapailemcntaire officier do la Légion d'honneur au général De Berlin au Dat (y Mail : « Ce moment est désormais arrivé. » Gouraud. nommée par le gouvernement du comte de Un journal berlinois a fait paraître une Romanonas. Elle a déclaré que seul le statut Le général Nudant répondit : La cérémonie, simple et impressionnante, l raents édition spéciale, rapidement enlevée dans les rédigé par l'Assemblée, répond aux a s pi ra7o T" de ce prolétariat s'est déroulée devant la statue ,du général « Je ne connais pas les raisons qui ont i ues. en raison de la nouvelle sensationnelle g . Ç 6* moyens fondamentaux de la lutte Kléber. tions d?. la Catalogne ; elle a donc invité les déterminé le maréchal Foch à i rondrc cotte qu'elle contient. v», * es f'tiO 'Us en masse du prolétariat, parlementaires catalans, à demander aux Tout Strasbourg était sur pied. Le nouveau mesure : je suis presque siir qu'elle n'est eu journal affirme que le kaiser et sa famille Muant jusqu'à la lutte ouverte, à main armunicipalités, aux députations provinciales maire, l'avocat Pfersdorff, avait eu à cœur retourner en Allemagne, pour aucune façon motivée riar la manière d'agir et aux citoyens, leur concours pour l'établispée, contre. le pouvoir gouvernemental dit d'apporter ses félicitations au général Goude la commission. » vivre comme simples particuliers, aussitôt nue sement de ce statut. capitalisme. raud. qui jouit d'uno grande popularité dans l'Assamblée Nationale aura redonné au pays Une délégation de parlementaires, a la tous les milieux alsaciens. UJM Constitution légale. Le reste du document est rt?latif à la suite de cette décision, s'est rendue à la préLes maisons étaient pavoisées et la foule fecture pour protester contre l'attitude de la lactique qu 'il convient d'adopter à l'égard a fait une chaleureuse ovation au maréchal GUILLAUME II et au général. police au cours des manifesta ions qui eurent ,nes socialiste». A l'égard des socialistes DÉFENDU PAR LEiS SOCIALISTES lieu en faveur de l'autonomie. Un défilé a eu lieu après la cérémonie. patriotes, le combat sans merci. Pour les Berne, 26 janvier. New-York, 26 janvier. On remarque dans ta foule beaucoup d'ouautres, il faut s'efforcer de les diviser, 11 est remarquable que l'organe officieux Au cours du débat qui a eu lieu au Sénat vriers et de jeunes filles portant la cocarde ij Les holrbpvlstes 6num6rent ensuite les sur le crédit de cent millions de dollars de du Gouvernement socialiste, la Gazette genecatalane ; les maisons sont pavoisées flivers groupes et partis russes qu'il con raÙ <V l'Allemagne du Xord, .prenne avec armandé par M. Wilson pour le ra.vitatHemenl ,l,.,ir la défense de Guillaume II et proteste de l'Europe, trois sénateurs républicain: £ient de convoquer au Congrès intornatio M n'y en a pas moins do 31. roipro le mémoire de MM. Larnaude. et de MM. Penroso, Johnson et Poinldoxh-r se Bi n Bruxelles, 26 janvier. Lapradelle nui conclut à la mise en accuprononcés énerKiquement contre cette wro La division ifrancaise commandée par le gé: Ce documeal demeurera dans l'histoire position. Ils ont déclaré 'due s'il était rvclK' satton de l 'ex-erapereur. Pomme le premier exemple d'un appel h néral Dégoutte, qui depuis son arrivée a cmi- ment question de soumettre les bolcheviks E£ ueutwhe AUacnu'iiir y.citung aiflrme,<juo L'ÉTAT DU. GÉNÉRAL POEMYRAU les sympathies unanimes do la populaI* guorrici des classes «t à l'inmirrc-clion , quis dans l'état actuel du droit international, 11 d'Europe en les ravitaillant, on faisait coin tion, va partir -prochainement. Ello va se ren ësl impossible de poursuivre Guillaume 11 {•"dressé a tous les peuples du monde par I dre en France pour contribuer aux travaux plètemont erreur. Rabat, 2X3 janvier. M Johnson demande que les noms de; ,l'. v;i!it la r..,iir de justice les principes juriL'état de santé du ^nôral Poamyrau, blessé igouvomcment de fait, I de restauration de la région de Lille. ipcuplcs appelés ù bénéficier du crédit fUSSen diques qui seront promulgues par la Société au cours du coanbat livré au Tafllalct. j.araît 'ifi revêt une signification particulièrcT/état-anajor de la division a donné, hier rendus 'publics. ,l. ' Nations ne pouvant avoir un erret inquiétant. Un épanchement pleural, déterP™511 ! prave fi l'heure où iles gouvorne- soir, uno fête Intime d'adieu ; la mustnun du D'autres orateurs ont attaqué M. Iloover miné par la présence du projectile dans le 386" d'infanterie, arrivée la veille do Thlelt. a Fhents do 1'F.ntonte viennent do faire aux déclarant qu'il désirait envoyer de la viande « iJÉntento peut, en abusant de son pouipournon. s'est produit ; on craint uno pleudonné un concert public, place do Brouckùre, partis organisés de la Russie l'invitation de conserve on Allemasno pour en débarravoir iucer et condamner Guillaume II ; mfkîa nue résie pulmonaire. • . en présence d'un nombreux public, qui a fait • l'on sait. ser les packers do Ghicapro et amener la sta en ,irW Mlant ainsi, elle agira contrairement Cependant, la diminution de la fièvre, dans un chaleureux accueil soldats français. Wlisation des prix en Amérique, au droit, i Iflmati-' e ^U tr]llrJf, ?X f™J ,i°P p ?!'.n l 'Î! c teP? : t,awè? de New"York S&W ques contre foionais ,dtins f «—; sE.mpts line» e*c EN SERBIE Le Bolchevîsme ALLEMANDS ET HOLLANDAIS la prolé' La Conférence Africaine y L'Exécution de l'Armistice LeMouvemeni Monarchiste au Portugal A LA FRONTIÈRE ESPAGNOLE n m *AIA On télégraphie de rtnlP euX ht aux nationTs Aux Pays Sort de SWKaiser La Situation en Espagne reconquis (Je entendent I y Le RâvitaillemQat de Tlurops Les Troupes françaises en Belgique P* AU MAROC «ax l Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés 26 janvier. ém ss „Ji « Des voyageurs rapportent que l'agitation' est grande à Valença et dans d'autres viln cr it < ue les ïoSri ° ? î monarchistes s'apprà 1 tent à se retirer. » CHEFS MONARCHISTES ARRÊTÉS „ .... , Madrid, 26 janvier. On télégraphie de Lisbonne : Les chefs monarchistes ont été arrêtés ï Vigo. LA SITUATION A PORTO On mande chiste : de Madrid 26 janvier, Porto, de source monar- Les fommunications restent coupées avec Lisbonne ; la mobilisation armée sa pours b taillon . ? ,s civils ont été organisés la ville est tranquille. Il y a cependant quel! } ques morts et des blessés ; environ 300 officiers ont été faits prisonniers : un ré»iinent a dû être dissous. Erlwi Le gouvernement provisoire a annulé toutes les lois promulguées par la République j il envoie des troupes à Avoiro Villareal et sur d autres points restés fidèles à la République. LE ROI MANUEL Paris, 2 G janvier. On mande de Vigo, à l'Agence Bavas, qu« le roi Manuel serait entré en Portugal, ce matin, 'à six heures, en franchissant la rivièrs Mïno, à Gamina. Mais, d'autre part, l'Agence Reuler a vu, ce matin, le secrétaire privé du roi qui lui a dit que celui-ci n'a présentement aucune intention de se rendre au Portugal et qu'il est en ce moment à .Londres. POUR LES OFFICIERS DÉMOBILISÉS Paris, 26 janvier. L e gouvernement s e préoccupe de la situa, tion spéciale des officiers qui vont être rendus successivement à la vie civile par la démobilisation, et dont beaucoup n'avaient pas encore de situation avant la guerre ou désirent en avoir une plus conforme à leurs aptitudes. La même question se pose pour des soldat? et des sous-officiers ayant une instruction supérieure. Le ministre du travail avait convoqué hiei après-midi, pour examiner les mesures à prendre à cet égard, les représentants des grandes administrations patronales et des administrations publiques, susceptibles d'aider le ministre du travail et le Sous-secrétai re d'Etat de la démobilisation pour le placement de ces officiers au moment de leur démobilisation. Lesdits représentants se sont engagés à recueillir auprès des adhérents de leurs organisations tous les renseignements nécessaires sur les emplois qui pourraient être offerts à ces officiers et les moyens de leur faciliter l'accès à ces emplois lorsque une préparation spéciale serait nécessaire. eass les usines ai y-uewe UN MEETING DE CHOMEURS Paris, 26 janvier, Un meeting de chômeurs et de chômeuse* des usines de guerre a eu lieu samedi aprèsmidi. Après de nombreux discours, l'assemblée a voté un ordre du jour demandant que les chômeurs ayant travaillé pour les intendances anglaises ou américaines bénéficient d'indemnités de licenciement identiques à celtes accordées par le gouvernement français. A l'Académie des Sciences LES MEMPRES NON RÉSIDENTS Paris, 26 janvier. fine commission, chargée de dresser une liste de candidats pour la place de membre non résident, vacante a l'Académie des sciences, adressé, en comité secret, la liste de présentation suivante, portant en première ligne M. Kilian, professeur à la Faculté des sciences de Grenoble ; en deuxième ligne, "M. Cosserait, professeur à la Faculté des science» de Toulouse ; en troisième HKne, cx-œqnio et par ordre alphabétique, MM. Barbier, de Lyon, de Forcrnnd de Coiselet, de Montpellier, et de Sparte, de Lyon, tous correspondant» de la Compagnie. L'élection aura lieu demain lundi. Aérienne mit ex r opriat,on «!mi P , Madrid. Vigo : A ,aires de M. Païva Conccïro, dont un militaire, sont arrivés à Vigo pouf, se mettre en rapport télégraphiquement avec les monarchistes portugais do Madrid. / monarchistes portugais qui se trouvalent dans les villages de la frontière anrljuit a Vigo et, bien qu'ils ne veuillent paa iaire de déclarations, il est évident qu 'ils juient leur pays parce que la cause royaliste est perdue. LES DES BOLCHEVISTES TOULOUSE LE RAVITAILLEMENT PAR AVION Paris, 2X3 janvier La première ligne Paris-Valenciennes a été ouverte le 23. En quelques heures, les avions ont enleva tout le stock préparé par l'Intendance militaire en vivres et couvertures . Bien aue le premier jour. 0.000 boîtes de lait ont été transportées. . . Paris-Maulxiixge est en service depuis hier ; les terrains pour Paris-Douai ont été reconnus ; la ligne fonctionnera dans deux ou trois jours. LA TRAVERSÉE DE LA MÉDITERRANÉE EN AVION (Marseille, 26 janvier. iLe lieutenant pilote aviateur Henri Rogot. qui tente la traversée de la Méditerranée en avion, de Marseille à Alger, par les Iles lialéares, sans arrêt, a pris son vol cette nuit, à 2 h. 05. du camp d'aviation de Miramas, a 51 kilomètres de Marseille . Le lieutenant Hoget est accompagné <îu capitaine Coli. , „.„ . .. Il s'agit d'un voyage de SOO kilomètres audessus de la mer, en passant par les îles Baléares, mais sans atterrissage. le lieutenant pilote Henri Roget et, le capitaine Coli ont atterri, sans incident, à du matin, sur 1 hippodrome de Russefn Dey. '"ua traversée s'est effectuée normalement, avec grand vent. . . Les deux aviateurs sont repartis dans la matinée, par la vole des airs, pour regagnée la France. ROCHEFORT PARIS LIÈCE EN BALLON SPHÉRIJUE Bruxelles, 26 janvier. J.'Eloile Rclgc annonça que l'aéroiiuuto aviateur belge Demuyter a fait une longua traversée en ballon sphérique. Parti de Rochefort dans la soiréo, Il C passé au-dessus de Parts à minuit, et a attarri à Liè-ge avant le jour. 11 était acxompagnft do quatre passagers, dont l'un descendit ' WStPSrsWBBWB 03 PRISONNIERS LES DERNIERS a RAPATRIEMENTS Brest, 26 janvier. Le vapeur Almeria, venant a'AileTna^ Wrivé à Brest avec sept officiers e soldats, dont 12 Herbes. il avait a boni dix malades qui ont transportés à l'hôpital maritime Cherbourg, 87 janvier. Le vapeur allemand Sierra Ventât» rapatrié, à l'arsenal, hier après-midi, 1.895 l'i'antais et 320 Italiens. , ... Le vapeur italien Bucnos-Ayres a rapatrie 4 l'arsenal, 2.172 Français et 70 Italiens, dont «» malades alités. Un troisième vapeur, le Re d'itfllia. est arrivé en rade avec des rapatriés. Le débarquement aura lieu ce matin. g LES INSTRUCTIONS EN COURS LE LIEUTENANT HERVÉ TRANSFÉRÉ A NANTES Nantes. 2fi janvier. Le lieutenant Hervé, qui a été transféré de Bordeaux à Nantes, a subi un interrogatoire sur le fond au sujet duquel on garde le secret le plus rigoureux „• On dit toutefois que le lieutenant Hei.e s'est défendu avec énergie en déclarant que des faits qui lui sont reproches, certains sont inexacts et d'autres dénaturés ou considérablement .exagérés. INTELLIGENCE AVEC LA CONFÉRENCE DES ASSOCIATIONS INTERALLIÉES Paris, £6 janvier. On sait que les Associations française, anglaise, américaine et italienne pour la Société des Nations ont décidé de se réunir en ume Conférence pour élaborer un projet commun de Société des Nations. La première réunion de cette Conférence a eu lieu hier, a 4 h. 30 du soir, sous la présidence de M. Léon Bourgeote. De nombreux délégués des différents pays alliés étaient présents. Nous citerons notamment : MM. Painlevô, Ribot. Jules Roche, Albert Thomas, d'Estournelles, de Constant, Paul Strauss, Ferdinand Buisson, Doumer, Godait, Aujard, Paul Appel, doyttfi de la Faculté des Sciences. Weiss et de La Pradelle, professeurs à* la Faculté de Droit ; Larnaude, doyen de la Faculté de Droit ; le général Hallier, sous-chef d'état-major ; M. Barnes, délégué britannique à la Conférence de la Paix ; lord Robert Cecil, Henderson et J.-H. Thomas, du parti travailliste anglais ; le major D. Davies, de la Chambre des Communes ; Hamilton Holt, délégué de la Société américaine pour la Ligue des Nations ; Vandervelde, délégué belge à la Conférence de la Paix, etc.. L ENNEMI 26 janvier, Pari: de L'Allomand Hoolz, ancien' secrétaire *Âbvssinie, et son complice l'Autrichien Carmeich ont été interrogés hier après-miai, par lè capitaine Mangm-Bocquct, officier wumorteur au 2.» conseil de guerre. Ils viennent, d'être inculpés d'intelligence avec 1 enTous deux avaient été récemment condamnés par le 7« conseil de guerre de Paris à la détention perpétuelle' pour avoir tenté de de partisans ««emparer, avec une troupe notre possession qu'ils avaient recrutée di de Djibouti. AC capareurs Struxfano, que nous n'avions pas vu à l'ouvrage depuis 5 ans, fournit une partie merveilleuse ; il est actuellement dans une forme splcndide ; sa passe sèche et nette la mêlée : la puissance et la précision de son service à la touche font de lui l'un des meilleurs demis de mêlée que k> rugby français est produit. Bioussa. quoique fort handicapé par ses glorieuses blessures, est, toujours le joueur élégant et scientifique que nous avons connu. Mounic nous montra une forme que nous étions loin de lui soupçonner. Delricu, meilleur que jamais, joua la touche de superbe façon. Gay. très adroit, possède toujours son joli coup de botte. Allons ! que- voilà de jolies réserves pour nos Stadistes. Excellent arbitrage du sympathique Dugès, ancien arrière stadiste. — LYNX. 'et M. LÉON BOURGEOIS SOUHAITE LA BIENVENUE AUX DÉLÉGUÉS •M. Léon Bourgeois a souhaité la bienvenue aux hôtes de l'Association française. Il a d'abord adressé son salut aux représentants do l'Association américaine qui répondant à l'émouvant appel du président Wilson, ont traversé l'Atlantique pour affirmer qu'après avoir pris la part la plus noble et la plus désintéressée à la grande guerre, le peuple américain entendait donner son concours absolu à la grande cause de la paix ; à. l'Association anglaise, qui resserre encore entre la France et le 'Royaume-Uni les liens que le sang versé en commun pendant quatre années a formés pour toujours entre les deux nations ; à l'Association italienne, qui a tenu à venir affirmer ici la communauté des pensées et des sentiments qui ont uni, sur le même champ de bataille, les deux grandes sœurs latines pour le triomphe de leurs revendications nationales. LES GRANDS MATCHES 46* division britannique bat Stade français par 5 points h rien. Club athlétique de la Société générale et de l'Union sportive et amicale de Clichy font match nul par 2 points à 2. .^iiori ing-Cub de Choisy-le-Roi bat Cercle athlétique de Vitry par 6 buts à 1. Légion Saint Michel bat Association sportive française par 3 buts à 1. Gallia Club bat Paris-Université-Club par 2 put s à 1. Rueil-Alhlétkiue-Club bat C. S. des SourdsMuets par 3 huts à rien. Le match, qui devait mettre en présence le< Bacing-Club de France et le Naional-RugbyClub, na pas eu lieu, le terrain étant igelé. k'îimh H,a Température Du i« janvier 1919 Situation générale : temps froid-, ciel couvert, avec brouillards; neige dans ta stations oiev©es; Température : minîma, — 3" -, à midi, — î ; maxinia, 0". Probabilités : temps brumeux, et froid. Le Relèvement économique VERS UNE CONFÉDÉRATION AGRICOLE GÉNÉRALE Nouvelles religieuses siècles la politique française, celle de la en particulier, revendiquant constamment la rive gauche du Rhin et progressant Vers le tlanc par Metz, Toui et Verdun, plus lard .par l'Alsace Strasbourg, enfin »-ar Mayencc et Coblentz. Quant aux sentiments des populations, ils étaient telluncnt français qu'on a dû les admettre en 1>!01 au sein do la patrie " tança iso après plusieurs refus et sur leurs nstances réitérées- : «lie» plébiscitèrent deu: fois Napoléon et lui fournirent ses mei urs soldats. Si donc il y a attentat con leur voJonté, c'est en 1814 qu'il a été contint c'est, une injustice à réparer comme les an- Monarchie <BO VUE BBS ËCOIiRS D'ORIENT. — Demain, il S horcrcs, ii l'oratoire M.-J> de Na'/rufth, m Pn*llnpe-JPtol messe pour les nwmtwe-t associés a» l'Œuvre. Allocution. »ûtc et ibénéd letton. «r Notre Clergé à l'honneur mmes particulièrement heureux d'annonNe cé* que M. l'iufcé Couzier, vicaire à Salnt-Ptcrrc, mobilisé aux armé;/; d'Orient, a reçu la decaratlen fie.iiùe de « la Miséricorde ». Cette dt.corauon e.si destinée a récompenser le ûéveiaioroent dont 11. couzler a été prodigue dans l'hôpital du retimaïuberoum. iprès de Salonlque, dont 11 éta.t le quasi gestionnaire. Nous prions M. l'aimé Co-.r/ier, qui honore avec tant d'autres le clergé toulousain, d'agréer l'expret-sion de nos meilleurs compliments. A la Section Toulousaine d'Action Française LES PROBLEMES DE LA PAIX CONFERENCE DE M. DESPE RAMONS capétienne et et 11 se peut que sous la contrainte allemande, les sentiments des Rhénans aient été modifiés et, noue n'avons pas l'intention de les annexer contre leur «ré. Donc, nous occimerons un territoire qui est nécessaire ft notre défense et quant aux populations, nous les attendrons, nou s causerons Pour celles qui crieront : c Vivo la France ! » nous les admettrons individuellement ou par groupes, a.nrès un stao-e suffisant dans 1--' famille française. A ceux qui crieront : « Vive l'Allemagne ! » noms d'rons : c'est sur l'autre rive, veuillez traverser. Et elles trouveront ce traitement bien doux -par rapport à celui qu'ont subi nos populations du Nord et à celui que l'Allemagne victorieuse aurait imposé h l'Artois, a la Picardie et à la Champagne annexés à l'Empire. Mais le tempg passe et M. Despéramons ne peut qu'indiquer succinctement les autres problèmes de, la Paix. Le. plus important est la connaissance et la surveillance de ce qui se passera de l'autre cOtô du Rhin. La situation a empirée depuis qu'ont été écrits VHistoire de deux Peuples et les Tronçons du Serpent. Auionwt'hui, l'Al'emwno vaincue va se retrouver forte de ses 70 ou 80 millions d'habitants, surtout si elle annexait l'Autriche allemande, ce qmo nous ne devons permettre " i aucun prix : de plus l'AutricheHongrie n'existe pas. l a Russie est en décomposition et l'Allemagne ne va plus être entourée, en dehors de la France que par des peuples en formation, Pologne, Bohême, Yougoslavie, sur lesquelles elle aura vite fait si nous n'y prenons garde, d'étendre ses tentacules. Petite Correspondance DEUX VIEUX ABONNES, — Nous avons principe absolu do no pâmais pulhlier tes eomntiT niellions anonymes. VeitUllez nous donner votist nom ot votre- adresse; nous publioions ensuiu, votre lettre. AVIS DE DÉCÈS Mesdemoiselles Marie et Eugénie DAGRAS, Madame et Monsieur Marius DAGRAS. négociant ; Madame et Monsieur Jean DAGRAS ei leurs entants. Monsieur Charles DAGRAS ont la douleur de faire part à leurs umis e| connaissances de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de Monsieur Auguste DAGRAS décédé le 26 janvier 1919, a l'âge de 19 ans, muni des Sacrements de l'Eglise, et le* prient de vouloir bien assister à ses obsèques, qui auront Ijeu a Toulouse, le ma Ui i& janvier 1919. à 2 heures du soir, sur la pa< roissc Saint-Etienne. On se réunira à la maison mortuaire, 19, Port Saint-Etienne. Les personnes qui, par oubli ou omission, n'auraient pas reçu de lettre de faire part, sont priées de considérer le .présent avis coin., me en tenant lieu. Pompas Funèbres Générales, 7. r. Latayetto, T. 10-34 Hier, à 8 heures fort exactement, a eu lieu, au siège de la Section toulousaine d Action iraiicaise.la réunion que nous avons annoncée et au cours dé laquelle notre excellent ami, M. André Dcsvéramons.que les auditoires toulousains entendent chayue fois avec un plaisir accru, a donné une très intéressante conférence sur les .problèmes de la paix, dont malheureusement il n'a pu développer complètement que la première partie. L'orateur a été présenté dans les termes les Monsieur et Madame de RAYMOND, Mesplus délicats par M. d'Welles, président de la demoiselles Anita et Angèle de RAYMOND reSection toulousaine, qui a rappelé, avec émoligieuses ; Madame veuve Pierre MIGNoiSAC tion, tous les liens qui rattachent iM. Despéraont la douleur de faire part à leurs amis el mons à Toulouse, le souvenir de son père et le connaissances de la perte cruelle qu'ils viea. sacriace de son flis, tombé au otiamp d honnent d'éprouver en la personne de neur au cours de la grande guerre. Le devoir de chaque Français, a dit M. DesMadame Cécile de RAYMOND péramons, à l'heure où nos diplomates et nos Née de LUPPE gouvernants -discutent -autour dte la table de la et les prient de Conférence les conséquences de la défaite al, „(,..-„• ------ bien - — assister à * se« BWt ; -- vouloir auront heu le lundi 27 janvief lemande, est de créer autour d'eux une atmosphère do nature à appuyer les droits qu'ils i, ™wvs et demie, sur la paroisse Saint- Michel sont chargés de faire valoir ; à montrer aux On se réunira à la maison mortuaire Allées représentants des nations alliées que les rebaint-Michel, il bis. présentants de la France ont l'opinion du pays derrière eux. Il ne sera pas fait d'autre invitation Nous devons aller à la Conférence comme un peuple victorieux. Lés droits que nous D'autres problèmes territoriaux nous solréclamons à l'heure du règlement des complicitent, Syrie, Maroc, car il faudra bien retes, nous les tenons de notre situation de voiviser un traité dont Jaurès disait : « Nous Monsieur Henri FREJAVILLE ; Monsieur et sins les plus immédiats de l'Allemagne, souavons internationalisé tous le 9 profits et nous Madame SIR1AY ; Mesdemoiselles Marguerit* mis périodiquement, au cours des siècles, a n'avons nationalisé, que les charges » et Jeanne SIR1AY. ont la douleur de faira ses brutales agressions ; nous les tenons de la P^fin il v «. '« ,i e la réparation. parts à leurs amis et connaissances de la vaillance de nos soldats, nobles héritiers do Il faut que l'Allemagne pale. perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la toutes les tra-ditions françaises et dont von ( o iibien ? Le» est mations sont des plus ! personne de Kiuolt a pu dire : « Nous avions tout ptrévù i variées. 1250 milliards disent les uns, 875 mil Monsieur Jea Si FRÉJAVILLE tout sauf l'héroïsme du soldat français qui, 1 liards dit la Banque Suisse qui paraît s'aip battu, repoussé, n'en pouvant plus, manquant ' puyer ' et les prient de vouloir bien assister à ses ob sur des documents. de munitions comme de vivres, se redresse sèques, qui auront lieu le mardi 38 janviei Se basant sur l'énormité du chiffre, nos tout à coup à l'appel du clairon et repart in1919, 2 heures de l'après-midi, sur la -pasocialistes disent : elle ne pourra pa$ payer ; fatigable en sens inverse jusqu'à la vicroisse, Sainte-Germaine. peut-être pourrait-elle payer le tiers, tant toire. » On se réunira à la maison mortuaire, avetvaut ne rien lui demander du tout. nuo Crampel, -4. Et nous los leur devons, malgré notre imMais si elle ne paie pas, c'est noms qui depréiparation officiellement reconnue. Il ne sera pas fait d'autre invitation. vrons payer ; notre budget devrait être porté •Nos droits, nous les tenons encore de tout pour cela à 20 milliards et chacun de nous <,7*i ce que nous avons souffert, do nos devrait verser a l'Etat la moitié des revenus ments ravagés, de nos 1.200.000 morts, de nos de son travail. Or l'Allemagne peut écono000.000 mutilés, du sacrifice des uns, des souf- miser 15 milliards sur son budget ; personne frances des autres, des larmes de la plupart d'entre nous ne supporterait qu'on ne soufd'entre nous. frît pas un peu pour payer la différence. Ouols sont tlonc les problèmes qui s'imposent Nous ferons le errante de cr- mi'*>1le doit ; Madame DOAZAN -NANCY ; Messieurs Henr* à 1 attention ries négociateurs, quels sont res nous la ferons payer par acomptes, nous et Armand DOAZAN ; Mademoiselle Made droits que nous devons faire valoir à la Consaisirons poin ce*u les gages iicvusca res et leine DOAZAN ; Madame veuve Félix DOAférence ? nous irons, s'il le faut, jusqu'à l'expropriaZAN : Monsieur et Madame Philippe DOATout d'abord des revendications territoriation. ZAN et leurs enfants, préviennent leurs pales. Il y a un dernier problème, celui de la rents, amis et connaissances, qu'un serv.ee Et sériant le problème comme il l'a été au responsabilité personnelle des auteurs de la de neuvaine sera célébré pour le repos dl cours de notre histoire nationale, M. Cespéguerre ; il est nécessaire que ceux-ci supporl'âme de ramons examine successivement la question tent les conséquences pénales de leurs criMonsieur C-rtende DOAZAN ,1-Alfce-l.oriaino. <ui bassin de la Sarre, mes mais qui ne doit venir qu'après le reste. de la riva gauche du Rhisi, Maire de yiUariès (Haute-Garonne) Que l'Allemagne oaie d'abord et qu'elle ne La question oit Jieui «renient réglée en ce pn 'sco A -opori» venir noue dire '<» auteurs le jeudi 30 janvier, à 10 heures et demie, eu qui concerne l'Alsace-Lorraine ; l'Allemagne, responsables de la guerre ont été puni?, l'église de Villariès, ainsi que le service d'an, en nous déclarant la guerre, a déchiré le ! nous sommes quittes. niversaire de traite cto Francfort et nous avons repris pu- i Cette conférence, au cours de laquelle 1 orarement et simplement notre bien ; nous l'a- t teur a montré une fois de plus la précision, Monsieur Félix DOAZAN yons repris sans avoir recours auv firmes =an--, l'élégance et la chaleur qui l'ont toujoers Il ne sera pas fait d'autre invitation. lesanellfla «ertains '--nln-ient nés jÀir !i« ! fait 'particulièrement goûter du public, a été ! réaniii' ÎI possibie. « Le plébiscite est fait », chaleureusement applaudie. 0,V,«eq 'i6so <ïl! 1 Justement émue >par la persistance de la crise, économifiuo, la 'Fédération agricole do la région toulousaine a convoqué, en une assemblée irténcéré qui s'est tenue bler matin, de 0 heures a midi, siège de la Société d'agriculture, rue SanitAntotnc-dn-T. toutes les organisations axroîessionmeMes intéressées. . . . Cette réunion, fort Intéressante a tous les points, do vue, présidée par M. HiiRpoIy te I (aurons, président do la Société d'agriculture, s'est ouverte par la lecture du remairiTuaMe raioxu-t, do M. le marquis de Palaminy sur la situation agricole dans, notre pays et l'avenir do l'agriculture. LA LIBERATION DES RESERVISTES DES Cette étudo d'un, si puissant intérêt — et sur laCLASSES AUXILIAIRES POUR BLESSURES aueilo nous nous réservons do revenir — a obtenu Paris, 27 janvier. lo plus vif et le plus légitime succès. 11 a été ensuite procédé a la discussion de l'orNous recevons la note- suivante dre du jour. Les diverses questions concernant lé Par un additif à l'ordre particulier de déravitaillement ont particulièrement éveillé l'attenmobilisation n» 2-, du 21 janvier, concernant ^On a égaltment arrêté un représentant de tion, de l'Assemblée. A signaler la judicieuse incommerce de la rive gauche, qui revendait les 3°, 4°, 5° et 6° échelons, le président du terventlem do M. Coaizinet qui a fait ressortir ce Conseil ministre de la, guerre, fait connaîque présente d'arbitraire le système de la «parudu beurre on taxi-auto, chez des particutre que : tion imposée aux communes comme aux départeliers au prix de 16 a 18 fr. le lùlo. ments et celui do 3a réquisition. Ce double système, ^° Les militaires classés dans le service Pur le marché Bdgar Quinet, les inspeca exposé l'orateur, a abouti à favoriser les In ton. teurs ont arrêté un marchand qui vendait auxiliaire par suite de blessures de guerre, môdiaires véreux. 11 taut obliger les propriétaires appartenant aux classes 1905 à 1911, feront le beurre 18 fr. le Kilo. _ ,«.-_!,« a. faire la déclaration de leurs denrées; cetto déclapartie du 5° échelon et seront ainsi cSémobiTous ces individus ont été remis en liberté ration devrait être afflcliée et l'Etat pourrait do la sorte s'assurer de ce qui lui est nécea-airo ot invités à se tenir a la disposition de la i lises avec ie s classes 1303 et 1904. 2° Los militaires classés dans le service i'ius d'inquisition, de visite domiciliaire du gentastice. , , . . darmes ! auxiliaire par suite de blessures de guerre, Cinquante-deux commissions rogatoircs ont M. Tunrol, ancien ministre des travaux publics, appartenant aux classes 1912 à 1317, feront êié délivrées contre les producteurs ds proa démontré la nécessité impérieuse pour les popupartie du 6° échelon et seront démobilisés lations rurales de choisir judicieusement leurs reavec lias classes 1305 et 1908. présentants aux Assemblées politiques. « Si vous Note. — La décision que l'on vient de lire n'y prenez pas garde, a déclaré M.- Tunnel, la ren'est pas seulement un additif à la circulaiprésentation de ce pays va être antiagricole ! Envoyez à la -Chambre des agriculteurs et non pas re du 21 janvier 19M, mais encore un rect'fides politiciens ! » (Vives approbatioits.'l catif h celle du 16 décembre 1918 en vertu Je Tout naturellement la discussion, s'est alors orlen. LA HESCS A PARIS laquelle tous les hommes de la réserve de l'actée vers les moyens do meilleurs propagande. ES tive avant été classés i ans le service auxiParis, 36 janvier. l'on a envisage la création d'une vaste Fédération liaire à la suite de Mesures de guerre sont Depuis ce matin, 8 heures, la neige tombe *trou,i>ant tous les syndicats agricoles, une sorte r orra assimilés à la plus jeune classe de la terrinous do Confédération générale de l'Agriculture, MM. «ans discontinuer. Une couche blanche couteurs. lion. 3 pas de discussion en ce qui conEeniaury, Savignol, de Beaumont et do vre les' toits et les rues ; la circulation est for- toriale. Or cette classe, 190S, fait parv.j du PaMmlny Ont topjî . a . tour demandé l'extc-rwiorv de i'Aisa cerne ilCe- t.on«»,„ 5» échelon. tement gênéé.^ " ces syndicats. fj Les familles ""EMAUX et ERARD remercient CRÉATION DE COURS SPÉCIAUX AUe3,1 Asribrolse Rendu, avec l'autorité qui s'attache sincèrement les personnes qui leur ont témoiELLE EMPÊCHE LE DÉPART L'UniA-orsito de Toulouse recevra très j>rocliain-otaspéi son titre de jurésident du Syndicat central des rialj et de gné des marques do sympathie à l'occasiofi DE L'AÉROBUS preparep la revanene. ment 1 500 étudiants faisant partie de l'armée agriculteurs do la Haute^Garonne, a insisté sur la du décès de En ce qi arnéricain-e qui suivront dans nos Facultés des base même de cette Confédération qui est le SynParis, 26 janvier. îa Sarre, nos droits ni cours spéciaux organisés à leur intention. dicat communiai. M. Anihroisa Rendu a annoncé Monsieur Louis DEMAUX eurent ePar suite de la neige et de la brunie, l'autoI :0]1J:US L. CB M. Cowdery, n«ro1jcsseur am « Oberlin Collège », la création prochaine d'TOe coopérative agricole, trait,,i rité militaire a interdit le déport de laerobus Ancien industriel a été <Méguo nar la Comnni-ssion d'éducation <i© où les cultivateurs trouveront à bon compte tenu de 1815 et, puisque l'on est en train de répade. Farina», qui devait tenter ce matin le raid l'Y. M. O. A. ipour remplir auprès d'eux lo rôle Ancien artilleur mobile de la Haute-Garonm les avantages matériels désirables. rer las anciennes injustices en Pologne, en de totour et do conseil. Paris-Londres. , , . . H. Bonjiaïous. — . Il nous faut rester dans le [Siège de Belforl 1870-71) A REIMS En conséquence, le départ est retarde ]Uscadre professionnel avec pour base lo Syndicat Bavieroet ailleurs, on doit également réparer La mess© de neuvaine sera célébrée dan< eèiie-là. Le bassin uc m odvru lioao .av.w** DM» communal. » * Beims. 26 janvier. uu 'à ce que le temps soit favorable. avec la fr la plus stricte intimité. M. le marquis de Palaminy a fait ensuite émet1WM ; en 1815, LanLa neige tombe en abondance, et, sous le rfi". Sarrelvuck et Sarre tre des vœux concernant la suppression des taxaP®£os>«4 Funèbres VA «ina-ai©s, 7. r. Latayette. T. 10-3» jiiis nous furent enlinceul blanc, Reims paraît plus tragique COMMENC.EM.EiNT D'INCENDIE. — Hier matin, levés ; «n sait pourquoi tions et des répartitions, la réfaction du; matériel encore. veirs i il. 20, un commencement d'incendie s'est dédes chemins do fer et de batellerie a confier à l'Un. C 'est -que les A. -alors avaient voulu Le président et Mme Wilson, acclamés claré au n* 131 do la Grand'rue-Saint-Miciie], dr.istrio privée, la création de services automobiles laisser aux lianes de la France cette blessure par la foule, traversent les rues en ruines. dand l'atelier do clrarpen-te do -M. Ducros. Le feu a interdépartemontaux sous la directian comb^méo d© ouverte par laquelle il était facile de l'enDu 26 janvier. nris naissance à la uoutre maîtresse qui soutient Us sont reçus sur le parvis de la CathéT-Administration et des Chambres do commerce. la toituro et dont l'extrémité so trouve en faco Le vceit concernant l'utilisation des poudreries — le vapeur remorqueur Le-Niolê, qui avait drale par le cardinal et visitent en détail **ais il n'est nas missi-We <m? p« vWa* n-a.n d'uno cheminée de la maison portant lo n" 138 do pour la fabrication de l'azote et de l'acide, sulfnle monument, s'arrètant notamment devant la ruo des Récoliete, appartenant à M. Artis. Oo été coulé en Tade de Toulon, le long de l'épaçaises que ces places fortifiées par Vaumn rltfhe a motivé une savante Intervention do M. le ; Monsieur Eîio DORRES, pharmacien da ve du cuirassé la Libel le, a été renfloué par le transept où un obus de 380 a failli causer Professeur Fabie. no soient pas rendues à la mère-patrie. , feu a été rapidement étetet >ar les pomip-iers do. la r des dégâts irréparables au cours du bomcaserne centrale. Les dégâts, évalués i 300 francs l » classe : Madame Elie DORRES née ANle pontont t Allas, après une semaine dopéra11. Honoré Le-y^ue, sénateur, a appuyé lo wittenviron, sont couverts aiar une Compagnie di'assubardement d'avril 1917. Des sapours du géMUES et leurs enfants Jean et Renée ; Ma«<soe de la for.nration d'-une C. G. T. agricole et le"" «rei» à» 1815 ; ils li »<s^W e «H«.'i' rances. préconisé la résistance aux empiétements d'un dame Henri REY, née DORRES ; Monsieui j_ i,e conseil municipal de Metz a adopté, i nie ont édifié, sous les obus, un contrefort. Reste la rive gaucùe du Rhin. Etatisme do plu? en plus envahissant, DEUX VOLEUSES. — Le commissaire de uolice Henri REY et leur fils Gérard, aux arméesj Le cardinal a affirmé solennellement que •\ l'unanimité une motion déclarant Metz I il semole <.ue xon . MB , jj^j'ler • si ' \t Turrel a défendu lo projet présenté par M. de du -i" arrondissement a mis à la ddsr«ositkm du les familles RICHARD. CONSTANS, ROCHEmarraine de 'la ville de Pont-à-Mousson. | jamais les tours ne furent utilisées dans un Palaminy tendant a faire stenaler par dos orsa- l'on en pane, on le fait seulement avec des ' procureur de la RéjniMiquo les nommées Julia Co. FORT, ANDRIES, PEYTCU, RBCOUIE, SA. — Les Ukrainiens ont promis do libérer j but militaire. circonlocutions, dès péripnrases, une timidité cagne, épouse Aoatia, 42 ans, domestique, sans dontemes départementaux a former aux r.,rocureu.rs Le président a répondu ; « l'ai toujours GNE, MARGERY, RUMEAU, RLANCHARD. le capitaine français Villaine et le citoyen j enllu eau donnent nuu.res' - n. ,.ae u ^, U o ne micile fixé, et Jeam ,j .Fontasié, 39 ans. caiiffondo la RtiranMiquo' les actes réprêhensibles commis cru do même. » gp-Dir -as .«MIS iortJS.de i>uue dJ Olt. ' ndèro amiaulante, sans domicile fixe, inculpée do DELASSUS et CRASTE prient leurs amis ei ivi.r certains industriels ou eommercants. ceux-ci belge' Hedonut. I M. Wilson a reçu du maître-verrier Sivol. n'hésitent pas à compliquer te prcMcme né do la connaissances de vouloir bien assister à 1* On invoqué contre l'annexion des payscls— M. et Mme Wilson sont partis, à huit mon la reproduction d'un vitrail. M. Wilcrise- des transports en paralysant 1e transît. messe d'anniversaire de TROUVAILLES. — Réclamer : au Bureau des rbenaiis ic uron ut.> iieiàu» u u >^vo«ex CI euxheures ce matin, pour visiter le bois Belleau « C'est honteux co qui! so produit sur certains réson a fait, malgré le mauvais temps, le éaaw», un bloc-express et un iparapluie; à M. ou combattirent victorieusement les premièMadame veuve DORBES seaux, s'est écrié M. Tutrrel. Des vsçurûns sont mis mêmes, et si quelqu'un émet l'hi.poûiese d'une Pierre Soureubilta, rue du Quatre-Septembre, 9, tour de l'édifice. volonté des populatioais cisrbénanes do «e res divisions américaines ; dans l'après-midi à la dlfinosition de ceux assez fortunés pour y Née Marie JULLIA un ane; à -Mme. Daressy. rue Sainte-Marie, 17, un A son départ, il a été de nouveau acclavoir réunies à la France, on déclare gravemettre lo prix ! » ifs visiteront Reims. parte-monnaie avec potito somme; à Mme Fournil, qui sera célébrée, nour le repos de son finie 1« ment : « i\ous ne voulons pas les annexer •M. Cazal. axent commercial a la Compagnie Z*. Le commissaire du gouverneur du tri- mé Le président est allé ensuite visiter ruo du Poids-de-l'Iiu/ile, 3, un portefeuille- à M. fort de la Pompelle. mardi 28 janvier 1919, à 10 heures du matin d'Orléans. — Stcna-lez inons ces faits. Us ne se re- •GST elles en sont '-"''-{rnes. » Loubens, Hôtel de l'Opéra, place du Capitole, i, bunal régional de Metz a séquestré les biens nouvelleront plus ! » (Ainpla.ud'âsemen.ts.) l'église de Notre-Dame du Taur. un ciiiien avec collier. Il faut cependant oser parler sôrieusedo rex-K&iser en Alsace et Lorraine. LE RETOUR A PARIS t,'e.rd,re du tour ayant été ôpuisé, M. Ili.ppolyte 11 ne sera pas fait d'autre invitation. meiit. _ Le prince de Galles et le prince Albert T yn'ens a levé cette séance qui ne peut avoir On se réunira à l'église. Paris, 26 janvier. La Rhin est et a toujours été la frontière sont arrivés à Bruxelles ; ils sont les hôtes mu d'iienreux effets pratiques dans un très proLe président et Mme Wilson, de retour de naturelle de la France. chain avenir. — L. B r Le droit de monter la garde sur le Rhin _ °Ainsi qu'on l'avait annoncé les trans- leur pèlerinage dans les régions dévastées sont arrivés hier soir, t» h. 30, à leur nous le tenons du fait que nous sommes les ports ont repris aujourd'hui d'une. f»con voisins d'une race de proie -qui, maintes fois hôtel de la rue Monceau. Leur voyage s'est •iorniale dans toute la région parisienne.Jt&DXION DES COMMERÇANTS DEMOBILISES au cours des siècles et cinq fois depuis la Réeffectué sans incident. POMPES FUNÈBRES GÉNÉRALES _ Le nroduit net du placement des Bons — Les commerçants démobilisés qui, du fait do la LA TAXATION volution, a envahi notre territoire ; tous les (Convois, transports, cercueils, lettres, eta» le la Défense Nationale s'est élevé pour la mobilisation, ont été mis dans i 'impossibilité de SUR PIED ET A LA CHEVILLE Organisations de services pour soldat» traités que l'on pourra signer a la suite de payer les effets souscrits antérieurement au première quinzaine de janvier à 1.123 mil7. Rue Lafapette. — Téléphone io Arrôté do M. le -préiet do la Hante-Garoa-nc, en la Conférence de la paix ne nous empêcheront t août l9J<i, et ont. par suite, bénéficié des mora&>uronnes morttiates. — Cbeix à dt>mlelM toires, sont invités à se rendre à la réunion qui dato <lu 13 janvier, qui fixe ainsi qu'il suit les pas de rester la terre promise à la Germanie Drlsnlimitus dai liétail à la production et des vianaura lieu demain mardi 58 janvier, i 9 Jicures du barbare et affamée, et contre ces menaces redes à la cirovllle : soir, salle du V étage du café Aindrau, place du nouvelées d'invasion, le seul bouclier efficace est notre armée. On -conçoit, dans la quesPrix du bétail à la production UME DÉFAITE DES BOLCHEVIKS Ordre du jour : Constitution d'un comité de détion de la rive gauche du Rbin deux phases • Animaux de l'espèce bovine, — Bœute et tautenÊo «les nieratorlés. ficiiauliements récents on anciens, BJ»mor«* dôgermanisation des pays cisrtiénans- francireaux de tous âges et vaches ayant au i>lus t ans : R. A. T., TERRITORfiAUX HT RÉSERVISTES DE gie. Cystite, Rétrécissements, Maladie.» de 1« Rue dépèelie Wolff, datée de Kovno 25 jansation dos mêmes nays. V qualité, '2 fr. 10; S-* 1 fr. 70; S", 1 tr. 35; vaches L ACTIVE. — Réunion générale ce soir lundi à vier, annonce que les troupes lithuaniennes vessie, Coliques néphrétiques. Incontinence âiïées do plus <lo i ans : 1" qualité, i fr. O0; On est à peu près d'accord sur ]a première De notre correspondant particuticr : a h. 30, i (Tanclennc Faculté das Lettres, rue de auraient infligé une défaite aux bolcheviks, à d'urînea et élites maladies de votas urt» 2*. 1 fr. »; 3", 1 fr. 23. — Veaux : 1" qualité, phase et sur la nécessité qu'il n'y ait plus Bentusat. Puy-l'Evé-quc, 20 .janvier. 35 kilomètres ^ l'est de Kovno et auraient lait i! fr. 00, lo tout lo Mlo. nairôs SCTU radicalement tnisrls pa' les un soldat allemand, plus une forteresse alle— • i e coupable. André ltouvenot est né à Marpins de prisonniers. Les Lithuaniens mar/ini»iati.>; de l'espèce bovine. — Agneaux et moumande sur la rive gaucho du Rhin sinon mêPILULES DU DOCTEUR 10UX mande • il liabite Agén et est âgé de 30 ans. cheraient sit'r Vilna. tons : 1" qualité, 2 fr. 70; 2*. 2 fr. 10; 3*. f fr. 61). me dans une profondeur de 30 kilomètres le Le llacon, 6 fr. Envoi iranoo contre mail* toïès avoir divorcé à 23 ans, il s est remarie. — «rebis : 1" qualité, 2 fr. 40 ; 2*. 1 fr. &) ; long' de la rive droito ; car c'est là que ont poste de 6 tr. 33. Dépôt : Pharmaolli 3*. 1 fr. 40, le tout lo liilo. Vt y a six ans, avec Jeanne Cbadelec, sa vtcl'Allemagne prépare et de là qu'elle lance ses OuLtEUX, 9. rue de Kémusat. ToulouM. Animaux de l'espèce porcine. — Porcs pesant plus agressions. do 120 Mlos : i fr. S0. — Porcs pesant de SO ù ' Celle-ci, ne pouvant supporter sa brutalité, Et certains en sont arrivés à la thèse des 120 kilos : -4 i-r. &0. — Porcs .ursant moins do SO 1(1 rentra chez elle. v . . A L'INSTITUT CATHOLIQUE trois frontières, politique, économique et miETAT GRAVE DU ROI PIERRE los : 4 fr. 10. — Truies ot verrats : 4 fr. 20. le Rouvenot mécanicien-chauffeur, fut mobiCours publics tout .lo lillo. litaire, dont la première resterait celle de lisé à l'Arsenal de Toulouse : c'est, de là qu'il Râle, 27 janvier. 1815. Lundi 33 janvier, ;\ ', heures. — « La législation revint chez sa bello uière pour réclamer cerPrix de la viande à la cheville On mande de Laibach : Mais il ne suffit pas qu'il n'y ait, pas un mariage d'-anrùs le nouveau code do droit canoVieux dentiers, argenterie, bijoux meuBtevrfs de tous âges et vacïiCi? ayant au pinj soldat allemand sur la rive gauche du Rhin ; d,u Le roi Pierre, dont l'état de santé avait emnl«iuo (suite) : lies emiiéche-mcnts dtrimants », par bles anciens, reconnaissances Mont-de-Piété< Aw'lvé cnë/. celle-ci, H la trouva avec sa 4 ans : 1" qualité, 4 fr. 30; S*, 3 fr 70; 3' 3 tr. «0 piré en ces derniers jours, a ou une seconde 3/6. UeseoD, doyen. il est nécessaire quel'armée, charg-éo de Félix, antiquaire. 18. ruo Saint-Etienne. femme, assise au coin du feu. — Yj'ciiics âgées do plus de i ans : 1' qualiU; •Mardi ss, ;\ 4 benires. — ( Le miracle devant la attaque. Le prince héritier s'est rendu immégarder le Rhin, ait des vues sur la rive droiH prétend qu'une discussion s éleva ou sui fr. .10; 2", S fr. CO; 3*. 3 tr. — Veau. : 1" qua. raison », ipar M. Catliala,. professeur. diatement auprès de lui. 1 qualité te, donc qu'elle occupe les pays de la rive Agneaux et moutons : ,1 lit», 5 fr. 30 jet de quelques objets qui lui étaient contesM0NDlAL-0FPii ~raa ~Bàvaid. Grand* Mercretli -10, à 4 heuws. — ILO Bralima-ni-smc. fr. 20; 3", 3 tr. 83. — BreMs : l" qua. 0 fr. »; 2' gauche ; et comme il faut éviter les frictions Y-s et alors, de doux balles de revolver, U AKence. Locations, Ventes. Achats coaunerc*» Littérature et phllosoiphte religieuses », ,par M. lo ltté. 6 fr. 20; 2', 4 fr. 90; 3", 3 fr. 80. - - Porcs et les complications de l'occupation d'un Maisons. Propriétés. Massa mortellement belle mère et tira une chanoine Malsoavnoiive, doyen. 1" qiunKté « tr. 70, lo tout lo kilo. pays fût-il neutralisé, l'armée française, qui Vendredi 8t, à k heures. — a Les fondements bio. nuire ballo sur sa femme, qui ne fut pas atloiriques <ln Vitalismo », par M. l'abbé Houle. ëinto • niais il se précipita sur elle avec un campe sur la rive gaue.be du Rhin, doit routeau, qu'il lui plon.ffçn dans le côté gause trouver en territoire français. A LA FACULTÉ DES LETTRES 11 y va des intérêts des Alliés comme des " L'assassin mit le feu ;\ trois lits, puis sinôtres ; le colonel Rcpmgton n'éerivait-ii pas Cours dd In semaine du n janvier au /• lévrier L/* conseil mtmiûtoal s?, réunira en sosatoH Guérissent dto la Qeutt e et des Rlmmastisnief mula un suicide en se Jetant dans la rivière ivee-iu,!»cnt. : « La Manche doit être défendue Lundi, à 6 li, 10. — M. Durrbach. — Antiquités extraoïxiinaire, aujoiuMl'îiul linnil in Jamler coupar l'usage du ajreorfues et latines. — sujet, dn cours : « Pc/mméï sur le Rhin ». il peu près sans eau. * ra,nt. il i> Iwwircs du soir. M'i'êté par ln gendarmerie. Rouvenot fut — IJCS ftiillcos du Forum » (suife cl j(m. pi-ojcc' OlKSve du ion-»- : Indemnité de cliûmase. Et M. Despéramons montre au cours des A TOULOUSE tiens. conduit il Piu-H'.vcque : sur lui furent trouItordi. a i h. ta. — OM. lr. Mérimée. - Littérav'ées trois lettres adressée Tune à son coloLe Stade Toulousain (mixte) bat le tiffl'o espagnole. — Sujet du cours : u Le d.vamanel, l'autre au procureur do la Itépubliquc et DÉPURATIF VCCÊTAL Olympique par 81 points 15 essais, 3 butej •urgfi Jean Bneina et l'influente de la aies ln troisième à son père. Une sur la littérature dramatique « ù 3 points (1 essai). Dans lettres, le misérable annonce que La liolle, 1 fr. 60 ; par poste. 1 fr. 80 Mewaedf il 5 n. «. '— w. Graiîk». — Hisioire de •le graves choses vont se passer ; donc 11 L'équipe première du Stade étant en déplav « ,7 î nSH *» : " Le «*nl« invenlll dans La Croix-Verte. 11. rue de Rémusat, Touieusi tivait prémédité' son mauvais coup. cement à Pau, c'est l'équipe seconde qui 1 awhJtcr.tii.ro vomone de France (suite)1 • j a df.-oCahort ration. » FrojcctioiiB. not. a Uo Joua contre les Castrais. Cette -partie fut, en tous points, splendide-. -M C*»W». La société russe FILS aiu XIX' siècle d'aipru'.; la littérature russe; — SuIJCS Castrais possèdent, une liolle équipe, jet du cours : TA .période do ir;:>iri1inii '.suite) : puissante, bien en souffle, mais. hier, elle COTON, LIN et CHANVRE les Petites fions clM* Gogol, » Projections. avait affaire à trop forte partie, car les Touen nclielinit, DU BON A LOTS PANAMA, MI)!t>rn>émeQI à la loi tpMlla COTONS, câblés, échevaux \cndredi. a r, h. », — M. T.olscau, — La Bandu 12 mars pnyublo DIX fr. en «(inscrivant cl le solde par inensnnllléa lousains étaient renforcés par Stnixianu, LINS, tissages et filtories jfMniinUsme. — Sujet du cours : « Ses base» bisprn.liinl deux un3. Dos It; vorsoin., on ritvinnt seul |iroprlét»!ro du tllro torkruM. _ j. » llioussa. Mounic, Delrieu et lia y. TISSUS. Lainages ot Draperies JJBirae s'il était payé complut at l'on a droit 0 la totalité du lot gagné. La présence de tous ces brillunis Joueurs Samedi, à & h. 15. _ M rartallliae. - AMUéO. BONNETERIE tous genres ces» av«c, un vif plaisir que nous avons Tûuttilri l 'nnama von gafhfitH Ni Htnbourii d 400 jr. p. vol» do tirage. JOAto pnaiistorkrue. — Sujet dm «ours : « T-c« pod'avant-guerre, changea complètement la LINCERIE relevé duns le dernier mouvement de la Les LOT8 PANAMA affreat 370 lliajtes donnant les lotH ci -deasons Dti'latlons primitives de l'.Vinéirternc. » rrojivlloiis physionomie du jeu que nous Sommes àc£OU* RUBANS sorRéa et glacés Légion d'honneur du ministère des travaux: tumés a voir depuis quelques années. Nous LAINES A TRICOTER punîtes, le nom de notre excellent ét symparevîmes, hier, du vrai rugby. Plus de ces thique confrère M. Marius Richard ** c ™a horribles cafouillages où l'on se martelle les taire général du groupement des intérêts côtes plus de plaquages sensationnels après économiques de la prisse quotidienne, fran— lesquels l'homme reste étendu sur lo ground, A eyBoulecard Sèbastorol, Paris çaise, secrétaire général de l'association Total: fr. - Tirage le 15 FÉVRIER 1919 niais tous Us loueurs n'ayant qu'une préoOCU I Usine à Lyon Française pour le développement de 1 ouOn participe • toua los tiragoa fuoqu'n oo quo le numéro eorte. nation ; in fliger l'homme pour le ballon et tillage, national, élevé nu grade d'officier. Tél. 1 Dont se.na — Cent oc sa Xumena de suite — Sécurité absotue — liste gratuite après Tirage ouvrir à outrance. M. Marins Richard qui, durant, la guerre, \M dsmaadaai «ont reçues Ju^n'nn 16 FÉVRIER 191», midi' I.a qualité du jeu fourni par les stadistes LES CALAS CLASSIQUES & rendu îi la pressa française les plus_ signa mantiht-f.ostt de Dix ù-anoa à M. IX>UBAKESSF, directeur du Crédit fut, eupérioure Les lignes arrière», constamnhle et lo plus Familial Algérien, to, rue d lcly, ALGER. lés services, est le nlvis aime " 1*: MMiipatHUrim directeur, M N.-ulra..K>,i.v noua ment en acllon, nous firent admirer toute arino.il»-., iHiii, |,. dnnnnrJw 2 Mvi-lec, Sali..' ilislen». OROS LOT DE BOO.OOO FRANCS, LE 15 FÉVRIER dévoué des cont uno gamme 'In combinaisons exécutées avec ifsion liien cor""«-«'«». I* lH-UU (UH Nous lui ad Gérant . AU finît BBSSfMI aiw; uo \icbo>r lmi>rlmwle ppéetaJ» Paris, 26 janvier. Le service des fraudes a découvert que des producteurs de province, au lieu d'envoyer 'leurs produits sur les marchés réguliers, halles centrales et commissionnaires, adressaient directement leurs marchandises à des marchands qui revendaient clandestinement le beurre' 15 à 20 francs le Uilo, et les œufs, Je 750 à 7S0 francs le 1.000, au lieu de 630 à é6Ô fr., cours noirmal. Hier les inspecteurs ont amené au commissariat de M. Lavaysse un boulanger de Montmartre, qui vendait dans son arriéreboutique du beurre, à raison de 20 fr. le m a départe- S DE N EU VAINE Ve LE MAUVAIS TEMPS REMERCIEMENTS Université de Toulouse .w;..iv. . .. . ûm iss Képsi aefâsieas PETITS FAITS AVIS D'ANNIVERSAIRE s le lî 6 AVIS ET CONVOCATIONS a itons. La Viande de boucherie s« •<!> Ai Maladies Intimes et Contagieuses uoursetuomerences EN SERBIE très cher î*y I ^£7X sa LES ARTHRITIQUES Conseil Municipal FOOTBALL RUGBY Castres* ErCrrfO-SANÛ djea éès J^%.\&}}' COU NOS CONFRÈRES 137 136 274 2/4 J Lois fie 500.000 francs 274 Lois île 5.000 francs - 250.000 1.375 - 2.000 - 100.000 - 14.150 - 1.000 1O.000 - 81.175 400 170.645.000 BoftF lâ L.f\WELCOMME;E. MORO & CK £.0 LE PLUS IMPORTANT STOCK DE PARTS Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés «1 1'V"''''V,'''''- UOn t«