CHOISIR
et utiliser un
Télescope
en astronomie
Pour la plupart, les mots ‘astronomie’ et ‘télescope
sont inséparables. Plusieurs nouveaux venus en
astronomie amateur croient à tort que c’est
important d’acquérir un télescope aussi rapidement
que possible. En raison de la grande variété de
conceptions, de grosseurs et de qualités, choisir un
premier télescope pour un futur astronome amateur
peut-être une tâche intimidante en raison des
nombreuses ramifications. Un télescope qui serait
trop gros ou trop complexe à utiliser pourrait le
rendre difficile à sortir, pour une session rapide
d’observation. Un trop petit, de pauvre qualité
optique ou d’une qualité mécanique discutable
pourrait possiblement tuer la passion pour
l’astronomie visuelle.
JUMELLES
Comme il est décrit dans la brochure associée
‘Choisir et utiliser des jumelles en astronomie’, l’idéal
pour un premier télescope serait en réalité des
jumelles. Elles offrent un large champ de vision et
une image lumineuse, sans inversion, de plusieurs
objets célestes. Des jumelles sont relativement
moins dispendieuses et suffisamment versatiles pour
d’autres activités. Des jumelles accompagnées d’un
bon guide d’astronomie comme ‘Observer’s
Handbook ou ‘Beginner’s Observing Guide’ de la
Société Royale d’Astronomie du Canada sont tout ce
que vous avez besoin pour commencer à
comprendre le ciel de nuit.
ÊTES-VOUS PRÊT À UTILISER UN
TÉLESCOPE?
L’espace est plutôt vide et vous pouvez y trouver
beaucoup de néant avec un bon télescope’” --- par
Richard Weis, ex-président de la SRAC-
groupe de Calgary.
Si vous pouvez faire ce qui suit, vous êtes prêt à
utiliser un télescope pleinement et avec satisfaction :
Trouver et nommer quatre constellations
circumpolaires
Trouver et nommer trois constellations
visibles au sud durant chacune des quatre
saisons.
Trouver et nommer : (a) 4 étoiles doubles
(b) 4 étoiles variables (c) 5 amas d’étoiles (d)
5 nébuleuses ou galaxies
Avez –vous vu tous les objets précédents,
soit à l’œil nu ou avec des jumelles?
Pouvez-vous trouver tous ces objets par
vous-même, utilisant des jumelles si
nécessaire?
Êtes-vous familier avec au moins un
catalogue d’étoiles?
Êtes-vous certain que vous désirez prendre
le temps d’apprendre à opérer un télescope
pour explorer l’univers par vous même?
MODÈLES DE TÉLESCOPES
Réfracteur
Pour la plupart des gens, un réfracteur représente ce
à quoi un télescope devrait ressembler. Ce type de
télescopes utilise des lentilles pour dévier (réfracter)
la lumière et la centrer en un point. La plus grosse
lentille en direction du ciel se nomme l’objectif et
l’oculaire est à l’autre bout. Une lentille ne fera pas
que dévier la lumière, malheureusement, elle va la
répartir en un petit arc-en-ciel, assombrissant les
détails. L’objectif dans les réfracteurs achromatiques
est communément fait de deux lentilles ou plus qui
ont différentes caractéristiques
de vitre pour aider à corriger ce
problème, connu sous le nom
d’aberration chromatique. Ceci
se manifeste communément
par de faibles bordures de
couleur autour d’objets comme
la Lune ou Jupiter, mais qui est
rarement totalement corrigé,
excepté dans les réfracteurs
apochromatiques très dispendieux.
Les avantages : Les réfracteurs ont une ouverture
sans obstruction centrale qui laisse la lumière se
répandre des régions plus lumineuses aux plus
sombres. Conséquemment, le contraste est bon dans
les réfracteurs. Les réfracteurs sont souvent choisis
comme le meilleur instrument pour l’observation
des planètes et des étoiles doubles. De plus, ils
demandent peu d’entretien.
Les désavantages : Les gros réfracteurs sont
massifs et dispendieux! Des halos de couleurs
résiduelles sont visibles autour des objets brillants à
moins que des lentilles apochromatiques soient
utilisées.
Réflecteur
Les réflecteurs utilisent des
miroirs, avec un
revêtement d’aluminium
sur la surface frontale, pour
recevoir et centrer la
lumière. Les meilleurs
utilisent des miroirs de
Pyrex et les plus
économiques ont des
miroirs faits de verre. Dans
un réflecteur de type
Newton, la lumière entre dans le tube, frappe le
miroir primaire parabolique au fond du tube et est
réfléchie sur le miroir secondaire plat, près du haut
du tube, pour être réfléchie de coté dans l’oculaire
.
Le réflecteur de type Cassegrain a aussi un miroir
primaire parabolique. La lumière est réfléchie d’un
miroir secondaire hyperbolique au travers d’un trou
au centre du miroir primaire, ce qui permet
d’installer l’oculaire ou une caméra sur la partie
arrière du tube.
Les avantages : Les télescopes réfléchissants n’ont
pas d’aberration chromatique. Les miroirs ont une
seule surface à être polie avec haute précision. Ils
sont donc moins dispendieux à produire que les
lentilles des réfracteurs.
Les réflecteurs sont généralement plus faciles à
transporter que les réfracteurs de même ouverture.
Le type Newton est plus confortable à utiliser étant
donné que l’oculaire est presque toujours à une
hauteur confortable.
Les désavantages : Tous les réflecteurs newtoniens
ont du coma, un défaut qui rend les étoiles
semblable à une comète, près du bord. Plus la
longueur focale d’un newtonien est courte, plus le
coma est important.
Les réflecteurs sont plutôt sensibles aux chocs et au
voyagement. Un réflecteur qui n’est pas installé en
permanence sur une base nécessite que la
collimation soit refaite avant chaque session
d’observation.
Catadioptrique ou conception combine
Le Schmidt-Cassegrain et le Maksutov-Cassegrain
sont des hybrides qui dans leur conception, ont un
mélange des éléments de réfracteur et de réflecteur
pour replier le chemin de la lumière sur lui-même,
résultant en un tube plus court. Comme le réflecteur
Cassegrain, un miroir secondaire renvoie la lumière à
l’oculaire, au travers d’un trou dans le miroir
primaire. Le télescope Maksutov utilise une lame
correctrice sphérique épaisse, alors que celle des
modèles Schmidt a une courbe moins importante.
Des versions newtoniennes des deux télescopes
existent également.
Les avantages : Plus compact des trois modèles;
moins dispendieux que les réfracteurs; grand choix
d’accessoires;
l’opération peut en être
complètement
informatisée; très
populaire.
Les désavantages :
Plus dispendieux que
les réflecteurs; plus sujet à la buée que les autres
types de télescopes.
LES MONTURES
Une monture instable fera que même un bon
télescope ne donnera pas des images de qualité. Si la
monture est d’un gabarit insuffisant, le vent – fléau
de plusieurs gros télescopes – ne sera pas votre seul
ennemi.
Lorsque vous ferez la mise au foyer, les images
sautilleront. Le test de qualité d’une monture est le
temps du retour à l’immobilité : le temps requis pour
que l’image redevienne stable (que les vibrations
s’amortissent) après un mouvement du télescope ou
une mise au foyer. L’image ne devrait jamais prendre
plus de cinq secondes pour se stabiliser.
Monture azimutale
Une monture azimutale est la plus simple des
montures de télescope. Le nom alt-azimuth (en
anglais) vient d’altitude, la distance au-dessus de
l’horizon et l’azimut, la direction horizontale. Un
télescope sur ce genre de monture bougera vers le
haut ou le bas, à gauche ou à droite, mais ne
compensera pas pour le mouvement de la Terre.
Les montures du genre Dobson sont une version
des montures azimutales qui sont habituellement
faites de bois. Cette conception simple est rigide et
idéale pour un tube de télescope de type Newton.
Monture équatoriale
S’il n’y avait pas le mouvement de la Terre, une
monture azimutale serait la seule dont chacun
d’entre nous aurait besoin. Une monture équatoriale
compense pour le mouvement de la Terre. Elle le
fait, car un de ses axes est parallèle à l’axe de rotation
de la Terre. Il y a deux principaux types de montures
équatoriales, l’équatoriale allemande qui place le
télescope d’un côté et le contrepoids de l’autre. Puis
la monture à fourche, qui ressemble à une monture
azimutale et n’a pas de contrepoids. Ces deux
montures se vendent en deux versions, manuelle et
motorisée. Si vous avec le choix, prenez la version
motorisée.
Malgré que la majorité des débutants choisissent
cette monture pour expérimenter en
astrophotographie, au début, évitez de penser à
l’astrophotographie, puisque la courbe
d’apprentissage est abrupte, complexe et que la
difficulté de cet aspect du loisir pourrait vous
détourner des parties plus intéressantes de
l’astronomie.
Commande informatisée (GoTo)
Les systèmes GoTo combinent un petit ordinateur
avec un mécanisme motorisé sur les deux axes. La
commande GoTo exige que vous visiez une ou deux
étoiles pour faire l’alignement. Maintenant la plupart
des télescopes GoTo manufacturés ont une grande
base de données d’objets parmi lesquels vous
pouvez choisir. De tels systèmes peuvent opérer en
mode azimutal ou équatorial.
NOTIONS DE BASE POUR LES
TÉLESCOPES
Malgré la variété de conception, il y a certaines
fonctions communes à tous les télescopes.
Capacité d’accumuler la lumière & ouverture
Recevoir la lumière est la plus importante fonction
qu’un télescope doit exécuter, puisque plusieurs
objets sont pâles. De plus, grossir une image en
diffuse la lumière. Dans un télescope, la grandeur de
l’objectif est la grandeur de l’élément qui recueille la
lumière, que l’objectif soit fait de lentilles comme
dans un réfracteur ou d’un miroir primaire comme
dans un réflecteur. Plus grand est le miroir ou la
lentille, plus de lumière le télescope récoltera. Les
objectifs des télescopes sont des cercles donc la
surface grandit au carré du rayon, ainsi avoir un plus
grand objectif, même si la différence est minime,
peut améliorer la performance de beaucoup.
La résolution
C’est une mesure de la netteté et de la précision de
l’image produite par le télescope. L’habileté d’un
télescope à rendre la finesse du détail dépend de la
grandeur de son ouverture et de la qualité de son
optique. Dans la plupart des cas, la résolution d’une
image est plus importante que son grossissement.
Grossissement
Le meilleur grossissement pour un télescope est le
moindre pouvant vous montrer les détails (vraiment
différent de la façon dont les magasins à rayons ou
de caméras vantent leurs télescopes au public non
averti.)
Évitez tout réfracteur à bas prix vendu sur la base de
son pouvoir de grossissement, c’est presque
certainement de la pacotille. Ces télescopes sont à
peine mieux que des jouets et probablement
détruiront votre enthousiasme naissant.
La réclame de 500x pour de tels télescopes ne veut
rien dire. Normalement, le pouvoir de grossissement
utile d’un télescope bien fait correspond à 50x par
pouce ou 2x par mm d’ouverture. Ainsi, un
réfracteur typique de 60 mm est au mieux, seulement
un télescope de 120x. Donc, si un oculaire de piètre
qualité à fort grossissement est inclus avec le
télescope, l’image qui en résultera sera totalement
inadéquate. Un télescope de 4 pouces peut être
utilisé avec un oculaire qui permet
approximativement 200x et ainsi de suite.
Le pouvoir de grossissement d’un télescope se
modifie en changeant un oculaire pour un autre.
Pour savoir combien de grossissement un oculaire
produit, divisez la longueur focale du télescope par
celle de l’oculaire, bien sûr, en se servant de la même
unité de base. Donc, 1200mm/25mm = 48x.
Longueur focale
C’est la distance réelle que la lumière parcourt dans
le télescope, du miroir primaire ou des lentilles de
l’objectif au point focal (l’emplacement de l’oculaire).
Plus grande est la longueur focale, plus important
sera le grossissement que le télescope pourra
produire avec le même oculaire. La longueur focale
d’un télescope est habituellement inscrite sur le tube.
Ratio focal
Le ratio focal est une indication de la ‘vitesse’
photographique du système optique du télescope et
on l’obtient en divisant la longueur focale par
l’ouverture. Les vitesses des ratios les plus élevés
(plus de f/8) sont ‘plus lentes’, alors que les plus
petits (sous f/6) sont considérés comme étant ‘plus
rapides’. Pour de l’observation visuelle, ces chiffres
peuvent aider au choix lors de l’achat. La plupart des
systèmes ‘rapides’ sont plus compacts que leurs
contreparties ‘lentes’, mais sont plus sujets à des
problèmes d’optique : aberration chromatique dans
les réfracteurs et le coma dans les réflecteurs, pour
des conceptions optiques équivalentes.
Accessoires
En raison de leur petit champ de vision, presque
tous les télescopes requièrent un appareil de visée.
Traditionnellement, c’est un chercheur, un petit
télescope à grand champ de vision, à faible
grossissement, monté en parallèle avec le système
optique principal. Choisissez en un de bonne quali
optique et qui permettra une vue plaisante de
champs d’étoiles ou de gros amas, trop vastes pour
le télescope principal; 6x30 ou 8x50 sont de bons
formats à choisir.
D’autres accessoires de visée peuvent également être
utilisés. Pour indiquer exactement où vous pointez,
un point rouge ou l’illusion d’un axe de visée rouge
sur écran est utilisé. Par contre, ça ne grossit pas ou
ne montre pas les objets plus faibles que ce que l’œil
peut voir.
Les oculaires
Malgré la vaste sélection disponible, vous n’avez pas
vraiment besoin de plus de 3 ou 4 oculaires bien
choisis, 1 Barlow et peut-être 1 ou 2 filtres. Les
modèles d’oculaires varient d’abord par la longueur
focale (grossissement) et le champ de vision
apparent (AFOV). Les AFOV les plus grands
donnent un champ de vision plus étendu au
télescope. Le tirage d’anneau (eye relief) est à
considérer, particulièrement pour ceux qui portent
des verres. Typiquement, il est meilleur pour les
grandes longueurs focales.
Les modèles d’oculaires économiques fournis avec
les télescopes de bas de gamme, Ramsden et
Huygenien sont à 2-lentilles pour un champ de
vision étroit. Ces oculaires devraient être remplacés
avec des oculaires de meilleure qualité.
Les oculaires Kellner et leurs semblables Modified
Achromat ont une conception 3-lentilles qui donne
un AFOV de 40-45 degrés. Les orthoscopiques
sont des oculaires à 4-éléments et sont populaires
pour le planétaire. Ils ont un AFOV de 45 degrés. Le
modèle populaire Plossl utilise 4 ou 5 éléments,
pour donner 50-52 degrés de AFOV. Les Erfles
utilisent 6 éléments et ont un AFOV de 60-65
degrés, mais les distorsions vont en augmentant près
du bord.
Les conceptions plus récentes utilisant de 6 à 8
éléments de lentilles, donnent 60-84 degrés de
AFOV de haute qualité et certains oculaires ont un
tirage d’anneau (eye relief) extraordinaire,
indépendamment de la longueur focale, et sont une
bénédiction pour ceux qui doivent porter des verres.
Une lentille Barlow est un accessoire précieux.
Inséré avant l’oculaire, un Barlow va typiquement
en doubler ou tripler le grossissement. Pour 60$ ou
100$, vous pouvez effectivement doubler l’étendue
de votre collection d’oculaires. Un Barlow préserve
le tirage d’anneau (eye relief) de vos oculaires de plus
grande longueur focale, réduisant le besoin de plisser
les yeux, spécialement si vous devez porter des
verres qui corrigent l’astigmatisme.
L’achat d’un télescope
Un bon télescope économique, ça n’existe pas. Les
télescopes des magasins à rayons peuvent sembler
attrayants au départ, mais ont généralement un effet
dissuasif plutôt que de favoriser l’astronomie comme
loisir. Leurs composantes optiques sont
économiques, mais de piètre qualité. Ils sont fournis
avec une monture branlante, qui rend impossible de
maintenir une vue stable. Ils offrent une trop grande
puissance de grossissement, avec un champ de
vision trop étroit. Ce qui rend presque impossible le
repérage de votre cible. Des lentilles de peu de
qualité donnent une image floue de pauvre qualité.
Tout compte fait, ils sont décevants et frustrants à
utiliser.
Les deux bons endroits pour débuter sont votre
bibliothèque locale et votre club d’astronomie. Votre
bibliothèque devrait avoir une liste des clubs ou
organisations qui vous aideraient à trouver le club
d’astronomie le plus près. Au Canada, il y a la
Société Royale d’Astronomie (SRAC) avec des
centres dans plusieurs villes canadiennes. Visiter le
site web (www.rasc.ca) pour un lien avec le centre le
plus rapproché. Essayez d’observer avec le modèle
que vous préférez. Observez dans autant de
télescopes que vous pouvez et demandez autant de
questions que vous désirez. Informez-vous sur le
temps de mise en station, l’entretien, les accessoires
et le coût. Si vous ne trouvez pas de club
d’astronomie près de chez vous, téléphonez ou
visitez un planétarium. Le personnel connaîtra les
clubs d’astronomie de la région.
Lorsque vous serez prêt à acheter un télescope de
départ, contactez un commerçant reconnu. Votre
club d’astronomie local pourra vous diriger
correctement. Ils ont l’expérience de transiger avec
différents fournisseurs et leurs conseils seront
valables! Ou visitez notre répertoire de ressources
(www.rasc.ca/ressource/home.html) pour une liste
des fournisseurs canadiens d’équipement
d’astronomie.
Attendez-vous de payer de 500$ à 1 000$ pour vous
procurer une ouverture raisonnable et un télescope
qui se transporte sans trop de difficultés. Considérez
un télescope réfracteur de 80 mm ou plus, sur une
monture stable ou un télescope réflecteur de 4.5, 6
ou 8 pouces. Les débutants ont besoin de quelques
succès et les ouvertures de 6 à 8 pouces sont
suffisamment grandes pour une bonne image des
objets célestes les plus courants. Un Dobson de 6
pouces est simple, économique et vous apprendra
beaucoup. Sa conception simple est un atout,
puisque vous voudrez utiliser votre temps à pointer
et observer avec votre télescope, au lieu de fignoler
avec des contrôles parfois compliqués ou une
monture équatoriale. Finalement, la probabilité
qu’un télescope soit utilisé est inversement
proportionnelle à sa grosseur. Ce qui semble
s’appliquer à presque tout le monde, sans distinction
de l’expérience. Il est possible de se procurer un trop
gros télescope!
Vous aurez besoin de beaucoup de temps de qualité
avec votre télescope. Plus vous observerez, plus
vous verrez et plus habile vous deviendrez. Un
observateur d’expérience peut apprécier des objets
du ciel profond dans un réfracteur de 80 mm, alors
qu’un débutant avec une ‘grosse chaudière à lumière’
se débat pour trouver la nébuleuse d’Orion.
Pour plus d’informations :
Pour en savoir plus sur la Socié Royale
d’Astronomie du Canada ou devenir membre de la
Société, contactez votre Centre local ou le Bureau
Chef.
Adresse postale :
La Société Royale d’Astronomie du Canada
203 — 4920 Dundas St W
Toronto ON M9A 1B7
Courriel :
nationaloffic[email protected]
Téléphone :
Tél. : (416) 924-7973
Sans frais : (888)924-RASC (7272)
Fax: (416) 924-2911
Site web: Devenir membre en ligne :
www.srac.ca www.store.rasc.ca
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