dossier de presse musée royal de l`afrique centrale

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DOSSIER DE PRESSE
MUSÉE ROYAL DE L’AFRIQUE CENTRALE
DE PRESSE
MUSÉE ROYAL DE L’AFRIQUE CENTRALE
Dès le 18 décembre 2012, une nouvelle exposition vous permettra d’admirer des araignées et
des scorpions vivants.
L’exposition, d’origine polonaise, a d’abord été présentée en Allemagne, en Pologne et aux PaysBas avant d’arriver en Belgique. Elle présente des araignées et scorpions dans 40 terrariums.
Plus de la moitié des espèces proviennent d’Afrique.
Les araignées vivent sur tous les continents à l’exception de l’Antarctique. Elles peuplent la Terre
depuis 400 millions d’années et ont vu apparaître et disparaître les dinosaures. Plus de 42 000
espèces d’araignées sont connues, dont environ 6500 en Afrique et 700 en Belgique. Les
espèces les plus grandes se rencontrent dans les régions tropicales. Et presque toutes sont
exclusivement terrestres.
Les terrariums présentent des araignées colorées comme la mygale à pattes rouges, l’usambara
orange, la dangereuse veuve noire ou encore l’araignée Goliath, une des plus grandes araignées
du monde. Vous pourrez également faire connaissance avec des espèces d’arachnides
exceptionnelles comme un amblypyge, un solifuge ainsi qu’avec une série impressionnante de
scorpions dont le scorpion empereur.
Le Musée royal de l’Afrique centrale profite de l’accueil de cette exposition pour présenter au
public les recherches qu’il mène sur les araignées. L’institut de recherche du MRAC dispose
d’une collection de 300 000 spécimens d’araignées africaines et mène des recherches sur la
biodiversité et sur l’utilité des araignées dans l’évaluation de la qualité d’une forêt.
L’exposition présente également des scorpions puisque ceux-ci appartiennent à la classe des
arachnides. La majeure partie des presque 2000 espèces de scorpions connues se rencontrent
dans les régions tropicales et subtropicales. A quelques exceptions près, ils ne sont actifs que de
nuit. Vous pourrez néanmoins les admirer sans problème dans l’exposition car, fait remarquable,
le squelette des scorpions devient lumineux lorsqu’on l’éclaire aux rayons ultraviolets.
L’exposition vous donnera des informations générales sur la morphologie et le mode de vie des
araignées. Un cartel décrit chaque araignée des terrariums. Enfin, des interviews filmées vous
permettront de faire connaissance avec la recherche scientifique menée sur les araignées au
sein de l’institut de recherche du MRAC.
Saviez-vous que la soie des araignées est plus résistante que le kevlar, matière première des gilets
pare-balles ?
DOSSIER DE PRESSE – Musée royal de l’Afrique centrale
Attention, araignées ! (18.12.2012 – 31.03.2013)
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UN AVANT-GOÛT DE L’EXPOSITION
Theraphosa blondi (Araignée goliath)
Distribution : Vénézuela, Brésil, Guyane
Copyright : ©Wadycki Pacyna
D’une taille adulte de 12 cm et d’un poids de plus de 160 gr,
Theraphosa blondi est la plus grande araignée du monde.
Mais elle est très exigeante, et seuls les plus expérimentés
parviennent à la conserver dans leur terrarium.
Pelinobius muticus
Distribution : Kenya, Tanzanie
Copyright : ©Wadycki Pacyna
Cette araignée, nommée autrefois Citharischius crawshayi,
est la plus grande mygale africaine. Elle vit dans les régions
de savane de l’Afrique de l’Est où elle creuse des galeries
qui débouchent sur des chambres situées parfois à deux
mètres de profondeur et au plafond desquels elle suspend
les cocons de ses œufs.
Psalmopoeus cambridgei
Distribution : Trinidad
Copyright : ©Wadycki Pacyna
Toutes les mygales du genre Psalmopoeus sont des
araignées arboricoles d’Amérique latine. Lorsqu’elles se
reposent, elles étendent les pattes dans les crevasses des
arbres ou d’autres abris semblables. Souvent elles tissent
une toile autour du trou qu’elles habitent.
Pandinus imperator
Distribution : Afrique centrale et occidentale
Copyright : ©Wadycki Pacyna
Pandinus imperator est l’un des plus grands scorpions du
globe : adulte, il peut atteindre 20 cm de long. Son venin ne
présente pas de danger pour les personnes saines, mais
peut provoquer de fortes douleurs. L’animal capture ses
proies grâce surtout à ses fortes pinces.
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LES ARAIGNÉES
TAXONOMIE DES ARAIGNÉES
Les araignées font partie des Arthropodes et plus précisément de la catégorie des Chélicérates.
Ces derniers sont caractérisés par les chélicères, appendices buccaux terminés par une griffe
mobile grâce à laquelle l’araignée injecte son venin dans sa proie.
Presque toutes les araignées recourent au venin pour capturer leur proie. On parle d’araignées
venimeuses surtout lorsque leur venin est dangereux pour l’homme. Des 6500 espèces
d’araignées africaines, seules quelques-unes sont « venimeuses » ; de plus, leur morsure est
sans danger pour les personnes en bonne santé. Il en va de même pour les quelque 700
espèces qui vivent dans notre pays.
Le corps d’une araignée se compose de deux parties. Le céphalothorax (fusion tête-thorax), ou
prosome, et l’abdomen, ou opisthosome. Les araignées sont pourvues de huit pattes et la tête de
l’araignée porte des organes tactiles, les pédipalpes, que l’on peut comparer à une paire de
pattes supplémentaire. Sur l’abdomen de l’araignée apparaissent trois paires de filières, qui
produisent la soie dont les fils sont utilisés entre autres pour la fabrication de la toile. Une
araignée est généralement pourvue de huit yeux dont certains reconnaissent les images, d’autres
captent le mouvement.
DES CARNIVORES
Seule la moitié des araignées sont des araignées à toile. Parmi celles-ci, les cribellates tissent
une toile dans laquelle la proie se prend les pattes, les écribellates utilisent quant à elles des
soies encollées.
D’autres espèces d’araignées capturent leurs proies en se tenant aux aguets ou en se mettant
activement à la chasse.
Les araignées se nourrissent principalement d’insectes et d’autres arthropodes. De petits
vertébrés tels que des grenouilles ou des oiseaux peuvent quelquefois figurer à leur menu.
Les araignées dissolvent leur proie au moyen de sucs digestifs, qu’elles injectent dans la victime
ou qu’elles leur crachent. Il en résulte une bouillie qu’il ne leur reste qu’à sucer.
Saviez-vous que les araignées ne sont pratiquement jamais dangereuses pour l’homme ?
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MODE DE VIE
Les araignées sont des animaux à squelette externe (exosquelette). C’est donc une enveloppe
rigide qui donne au corps sa solidité. L’abdomen reste souple, et peut augmenter de volume
lorsque l’araignée s’alimente. Le reste du corps étant constitué d’une forte cuirasse, l’araignée ne
peut grandir que par mues.
La reproduction est souvent, pour l’araignée mâle, une entreprise périlleuse. Si la femelle décide
que le mâle n’est pas à son goût, ou qu’elle n’est pas d’humeur à s’accoupler, il y a de grandes
chances pour que ce mâle, souvent plus petit, ne devienne la proie de la femelle et termine là ses
jours. Chez certaines araignées, la règle est que le mâle soit mangé après l’accouplement.
Chez le mâle adulte, l’extrémité des palpes porte un organe de copulation, le bulbus. Le mâle
remplit celui-ci de son sperme, secrété auparavant sur une toile fabriquée à cette fin. Avec l’aide
de ce bulbus, le sperme peut, lors de l’accouplement, être introduit avec précision dans
l’ouverture génitale. Les araignées pondent. Leurs œufs sont enrobés dans de la soie formant un
cocon protecteur plus ou moins solide. Chez certaines espèces, la femelle veille sur le cocon, ou
les porte jusqu’à ce que les œufs éclosent.
Saviez-vous que seule la moitié des araignées tissent une toile ?
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LES SCORPIONS
Tout comme les araignées les scorpions sont des arachnides et donc des Arthropodes de la
catégorie des Chélicérates, caractérisés par huit pattes et des appendices buccaux préhensiles.
On reconnaît les scorpions à leur corps entièrement segmenté, aplati et portant à l’avant une
paire de palpes, courtes pattes transformées en pinces. L’abdomen, formé d’une série de
segments, est long et mobile, caudiforme, terminé par un aiguillon. Celui-ci est fixé sur le dernier
segment, renflé, qui contient le poison avec lequel le scorpion tue sa proie.
Tous les scorpions sont carnassiers, et se nourrissent presque exclusivement de petits animaux
tels que les insectes et les millepattes.
Leur squelette externe est dur et parfaitement adapté contre la perte d’humidité. Ils doivent donc
muer pour pouvoir grandir.
Le venin de certains scorpions est très dangereux pour l’homme, voire mortel quelquefois.
Saviez-vous que le cannibalisme existe aussi chez les araignées ?
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L’arachnologie, ou la recherche scientifique
sur les araignées
TAXONOMIE DES ARAIGNÉES AFRICAINES
Le Musée royal de l’Afrique centrale a une longue tradition de recherche sur les araignées
africaines. Depuis les années 1940 déjà, les scientifiques du musée sont spécialisés dans la
taxonomie de ces arachnides. Cette discipline consiste à décrire et à classer les espèces. Les
scientifiques du musée ont ainsi décrit plus de 500 nouvelles espèces d’araignées africaines. De
nombreux scientifiques étrangers ont également contribué à cette étude de la biodiversité en se
basant sur la collection unique du musée de 300 000 araignées africaines. Malgré tous ces
travaux, de nombreuses espèces d’araignées restent encore inconnues pour la science. Pour
certaines forêts africaines, on estime en effet que seule la moitié des espèces d’araignées sont
connues.
LES ARAIGNÉES POUR ÉVALUER LA QUALITÉ D’UNE FORÊT
La description de cette biodiversité ne constitue que la première étape de l’étude des araignées.
En effet, ces recherches fondamentales servent de base pour des recherches plus appliquées.
Rudy Jocqué, commissaire de l’exposition et arachnologue au musée, a par exemple une longue
expérience dans l’utilisation des araignées pour évaluer la qualité d’une forêt tropicale. En effet,
contrairement aux insectes, les populations d’araignées ne dépendent pas tellement de la
disponibilité en nourriture, mais plutôt des structures physiques présentes dans la forêt, des
circonstances dans lesquelles elles doivent capturer leurs proies. De plus, les populations
d’araignées restent plus ou moins constantes toute l’année, alors que les populations d’insectes
fluctuent fortement en fonction des saisons. Ainsi, en étudiant les populations de certaines
araignées – les espèces présentes, leur densité, la taille des individus etc. – il est possible
d’évaluer la qualité d’une forêt tropicale.
Les scientifiques du musée ont récemment démontré l’utilité des araignées dans le suivi d’une
forêt en Guinée. Le mont Nimba est situé aux confins de la Côte d’Ivoire, de la Guinée et du
Libéria. Riche en minerai de fer, il s’agit du point culminant de l’Afrique de l’Ouest (1752 m). Le
mont Nimba est une zone de grande richesse écologique. La réserve naturelle intégrale du mont
Nimba est classée depuis 1981 réserve de biosphère et site du patrimoine mondial de
l‘UNESCO. La Société des Mines de Fer de Guinée (SMFG) étudie néanmoins la possibilité de
reprendre l’exploitation du minerai de fer sur le mont Nimba. Le développement de ce projet
implique une étude préliminaire d’impact social et environnemental, étude pour laquelle a été
sollicité Didier Van den Spiegel du MRAC. Plusieurs missions scientifiques ont donc été menées
afin de dresser un inventaire de la biodiversité du mont Nimba et de réaliser une étude d’impact.
Ces quelques missions scientifiques dans la concession minière ont suffi pour mettre en lumière
de nombreuses espèces d’invertébrés nouvelles pour la science. Ainsi, les chercheurs ont
découvert une nouvelle espèce d’araignée du genre Ctenus. De taille impressionnante et
endémique du mont Nimba, elle portera le nom de la montagne. Cette araignée constitue une
espèce phare qui permettra aux scientifiques de suivre l’impact de l’exploitation minière sur les
populations d’invertébrés.
Saviez-vous que la durée de vie de la plupart des araignées se limite à un ou deux ans ?
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PUBLICATIONS DE RÉFÉRENCE
Quelques ouvrages de référence dans le domaine de l’arachnologie ont été publiés par des
scientifiques du musée. Ainsi, Rudy Jocqué a largement contribué à la publication de « Spider
families of the world » (« Familles d’araignées du monde ») et de « African Spiders. An
Identification Manual » (« Araignées africaines. Un manuel d’identification »).
RENFORCEMENT DES CAPACITÉS
Enfin, le renforcement des capacités des chercheurs africains constitue également un volet
important du travail des scientifiques du musée. Le travail de terrain en Afrique est souvent
effectué en collaboration avec les institutions locales et de nombreux étudiants et stagiaires
africains sont accueillis chaque année au musée, afin de parfaire leurs connaissances et leurs
méthodologies.
Saviez-vous que les biologistes du musée ont décrit plus de 500 espèces d’araignées africaines ?
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SPIDERDAY
JOURNÉE THÉMATIQUE, LE DIMANCHE 17 FÉVRIER 2013
Pour le dernier jour des vacances de Carnaval, la journée Spiderday vous permet de visiter
l’exposition Attention, araignées ! et de participer aux nombreuses activités organisées autour de
ce thème.
Observez de près les araignées vivantes et, qui sait, peut-être aurez-vous l’occasion d’observer
l’une d’entre elles capturant sa proie. Vous pouvez entre autres suivre des visites guidées
passionnantes sur la biodiversité ou l’araignée dans l’ethnographie. Découvrez aussi quel lien
peut exister entre un cocon d’araignée et la musique.
Rudy Jocqué, collaborateur scientifique du musée, vous captive en vous parlant de ses
passionnantes recherches et découvertes, des méthodes de collecte et d’analyse, de la
découverte de nouvelles espèces, ou encore, de l’araignée en tant qu’indicateur de la
biodiversité.
Les enfants de 8 à 12 ans sont à l’œuvre comme de véritables scientifiques avec des loupes et
des microscopes et étudient la morphologie de l’araignée. Ils laissent également parler leur
imagination qui leur inspirera une spectaculaire « création d’araignée ».
Venez écouter un de nos contes musicaux :
Bizélé qui raconte l’amitié entre une petite fille et une abeille, un conte plein d’humour, de
sagesse et de poésie.
Avec Apollinaire Djoumou, Jordan Pembele et Vanessa Torrekens.
50 minutes – en français – à partir de 5 ans.
Verhalenspinsels (toile de contes) qui vous entraînent dans une toile ensorcelante d’histoires et
de contes africains.
50 minutes – en néerlandais – à partir de 8 ans.
Informations pratiques :
de 10h à 18h
ticket d’entrée du musée + 2 € pour une visite guidée ou une représentation
de nombreuses activités sont gratuites
infos et réservations : [email protected] ou 02 769 52 00
Saviez-vous que la plupart des araignées ont 8 yeux ?
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COLOPHON
CONCEPTION & TERRARIUMS
ARANEUS
FORME GRAPHIQUE
Stefan De Pauw
KMMA
Directeur général : Guido Gryseels
Coordination scientifique : Rudy Jocqué
Collaborations scientifiques : Wouter Fannes, Arnaud Henrard, Didier Van den Spiegel
Muséologie : Koeki Claessens, Sandra Eelen, Ludo Engels, Friederike Kratky
Service des Publications : Benoît Albinovanus, Ann Debbaut, Dirk De Croes, Emily Divinagracia,
Michèle Quadt
Service de Communication : Bieke Janssens, Marie-Pascale Le Grelle, Kristien Opstaele, Jonas
Van de Voorde
Service de Comptabilité
Service Technique : Stefaan Marlaire, Patrick Putman, Guy Sorgeloos, Fred Vandeput, Dirk
Verbist, Jacques Wauters
Services d’Entretien, de Gardiennage & de Dispatching
CONTACT PRESSE
02 769 53 40 (français)
02 769 52 98 (néerlandais)
[email protected]
Dossier de presse et matériel d’illustration
Sur demande à: [email protected]
Preview de l’exposition
La presse est invitée à un preview de l’exposition, à assister au montage des terrariums et à
l’installation des araignées et des scorpions. Possibilité également de rencontrer Rudy Jocqué,
arachnologue du MRAC et commissaire scientifique de l’exposition.
Sur rendez-vous, au 02 769 53 40.
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INFORMATIONS PRATIQUES
DATES
Du 18 décembre 2012 au 31 mars 2013
LIEU
Musée royal de l’Afrique centrale
Leuvensesteenweg 13
3080 Tervuren
HEURES D’OUVERTURE
Du mardi au vendredi, de 10h à 17h
Samedi et dimanche, de 10h à 18h
FERMÉ
er
Le lundi, le 1 mai, le jour de Noël et de Nouvel An.
A 15h les 24 et 31 décembre.
EXPOSITION
Accès à l’exposition comprise dans le ticket d’entrée du musée
4 € / adultes
3 € / seniors
1,5 / € étudiants
3 € / groupes à partir de 15 personnes
gratuit / enfants de moins de 12 ans dans le cadre familial
ACCÈS
• Train-tram-métro : depuis la gare de Bruxelles-Central, prendre la ligne de métro 1 direction
Stockel jusqu’à l’arrêt Montgomery ; de là, prendre le tram 44 jusqu’au terminus Tervuren. Le
musée est situé à 300 mètres.
• Bus : depuis Louvain, lignes 315 et 317 ou bus rapide 410 (Gare de Louvain - Bruxelles-Nord) ;
arrêt à hauteur du musée.
• Voiture : par la E40, sortie Sterrebeek ou Bertem ou par le Ring, sortie Tervuren ; depuis
l’aéroport de Zaventem : 15 minutes. vaste espace de stationnement.
• Vélo : Un circuit de promenades à vélo passe à proximité du musée. Informations sur
www.fietsnet.be
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