mars 2015 - Promotion économique de la république et canton du

MARS 2015
INFORMATIONS DE LA PROMOTION ÉCONOMIQUE
DE LA RÉPUBLIQUE ET CANTON DU JURA
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ENJEU
Master en innovation
à la HES-SO
ENtrEprisE
Locatis SA
ENVOL
Mission économique
en Afrique du Sud
ENsEMBLE
Bâle prend de la hauteur
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m a r s 2015 m a r s 2015
Active dans le développement, l’industrialisation et
la fabrication d’équipements électroniques, Locatis
SA fournit des produits de haute qualité grâce à des
services et des équipements de pointe.
LOCAtis sA, CHEffE DE
fiLE rOMANDE EN sOUs-
trAitANCE ÉLECtrONiQUE
La récente décision de la
Banque Nationale Suisse
d’abolir le taux plancher
préoccupe bon nombre
de PME jurassiennes
essentiellement tour-
nées vers l’exportation
de leurs produits ou services.
Au niveau fédéral et cantonal, l’amé-
lioration des conditions-cadre pour les
PME reste une tâche permanente des
Départements de l’Economie. Ils encou-
ragent les PME à continuer à miser sur
l’innovation et à diversifier leurs marchés
d’exportation. La prochaine mission
économique organisée par la Promotion
économique en Afrique du Sud (voir page
6) est un élément de réponse pertinent à
cette diversification.
Le premier signe de soutien est venu de
la Confédération avec l’assouplissement
des conditions d’octroi de l’indemnité en
cas de réduction de l’horaire de travail
(RHT). Cela permet aux PME d’examiner
l’éventualité de demander une indemnité
RHT avant de prendre une décision de
licenciement de personnel et ainsi perdre
leur savoir-faire acquis de haute lutte ces
dernières années.
Une fois encore, les PME devront s’adap-
ter aux nouvelles conditions du marché
afin de pérenniser le tissu économique
de la région. Le Service de l’économie
se tient à leur disposition pour réussir ce
nouveau challenge.
Jean-Claude Lachat
Chef du Service de l'économie a.i.
Editorial
fabrication et la livraison du produit terminé,
certifié et packagé. Au besoin, elle s’appuie
sur un réseau de bureaux de développe-
ment et de partenaires spécialisés, en
Suisse et dans le monde.
Locatis SA est structurée de manière à
répondre avec souplesse au marché. Elle
peut donc traiter aussi bien des produits
courants que d’autres plus spéciaux, en
grandes ou petites séries, et destinés à des
marchés industriels ou de niche. L’entre-
prise est certifiée aux normes ISO 9001 et
13485, cette dernière l’autorisant à réaliser
des dispositifs médicaux. Sa clientèle pro-
vient de différents secteurs, et citons, à
titre d’exemples, les instruments de
mesure et de télémédecine, le médical, le
dentaire, l’outillage haut de gamme, l’aéro-
nautique, le e-warranty, l’horlogerie ou
encore la machine-outil.
Locatis SA évolue dans un secteur très
concurrentiel, vis-à-vis d’acteurs asiatiques,
mais aussi européens et suisses aléma-
niques. Pour y faire face, l’entreprise juras-
sienne s’appuie sur différents atouts, à
l’instar de son panel de prestations cou-
vrant toutes les technologies existantes,
son expertise depuis longtemps reconnue,
sa propre ligne de production ou encore sa
centrale d’achats. Cette dernière s’approvi-
sionne en composants électroniques dans
le monde entier, au meilleur rapport qualité-
délai-coût-monnaie. Il s’agit ici d’un élé-
ment fondamental, car le coût des compo-
Petit retour sur l’histoire de Locatis SA. Au
début des années 2000, l’industriel juras-
sien Pascal Bourquard invente et développe
une balise de géolocalisation. Alliant GSM
et GPS, elle est par exemple destinée à
rechercher des chiens fugueurs. Avec
notamment l’idée de produire son inven-
tion, M. Bourquard acquiert une société du
groupe Kudelski. La nouvelle structure per-
met d’assurer la fabrication de la balise,
mais peut aussi offrir des prestations d’as-
semblage électronique à des tiers. C’est
ainsi que la « Division électronique » de Biwi
SA voit le jour et s’installe à Glovelier.
Autonomisée en 2007, la division adopte
une nouvelle raison sociale, Locatis SA. Pla-
cée sous la direction de M. Patrick Muller,
elle emménage dans ses nouveaux locaux
à Bassecourt et bénéficie ainsi de 1'200 m2
spécialement adaptés à ses activités.
Au fil des années, Locatis SA n’a jamais
cessé de développer ses capacités de pro-
duction, son niveau d’automatisation et ses
compétences en développement de pro-
duits électroniques. Aujourd’hui, les activi-
tés de sous-traitance ont nettement pris le
pas sur celles de géolocalisation. Locatis SA
propose un éventail complet de prestations
dites « d’intégration électronique ». Si cer-
tains clients ne sollicitent qu’une simple
prestation, d’autres ont l’idée d’un produit
et Locatis SA se charge alors de le dévelop-
per (hw, sw, fw, plasturgie, mécatronique,
marquage CE, etc.), de la phase initiale à la
ENTREPRISE ENTREPRISE
sants peut représenter jusqu’à 85% du prix
du produit fini. D’ailleurs, afin de s’affranchir
des effets de change, Locatis SA propose
depuis plusieurs années à ses clients une
facturation multi-monnaies (surtout en euro
et dollar, devises courantes lors de l’appro-
visionnement). En outre, le haut niveau
d’automatisation atteint grâce à ses équipe-
ments de pointe permet de gommer les
différences de coûts de production par rap-
port à la concurrence étrangère. Pour finir,
la pleine maîtrise des processus, les
contrôles réalisés à l’aide d’équipements
automatiques, la tenue des exigences liées
à la double certification, les frais initiaux et
de lancement moindres ainsi que la grande
réactivité face aux demandes et aux délais
de livraisons sont autant d’éléments qui
jouent en sa faveur.
Depuis 2013, Locatis SA, qui emploie plus
de vingt collaborateurs, est le plus impor-
tant sous-traitant électronique de Suisse
romande. Afin d’augmenter encore son
LOCATIS SA
Rue St-Hubert 38
2854 Bassecourt
Tél. : +41 (0)32 427 04 40
Fax : +41 (0)32 427 04 41
www.locatis-electronics.ch
Les équipements à la pointe de la technologie permettent un haut niveau d'automatisation.
Locatis SA peut prendre en charge l'intégralité d'un
nouveau projet, du développement initial à la livraison
du produit terminé et packagé.
volume d’affaires, l’entreprise a maintenant
comme objectif de s’étendre en Suisse alé-
manique, et la recherche d’un collaborateur
adéquat pour pénétrer ce marché est en
cours.
Grâce à une équipe qualifiée et motivée,
une structure performante orientée « satis-
faction client » et des investissements
constants, Locatis SA entend bien devenir
un acteur suisse majeur de la branche.
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m a r s 2015 m a r s 2015
ENJEU
Ce nouveau Master en innovation intitulé
Master Innokick (Integrated Innovation for
Product and Business Development), inédit
en Suisse, est le fruit d’un partenariat entre
les hautes écoles des domaines Economie
et Services, Design et Arts visuels ainsi
qu’Ingénierie et Architecture. Axé sur la pra-
tique, il permettra aux étudiants de suivre
un cursus interdisciplinaire et professionna-
lisant autour d’un projet en partenariat avec
des PME, PMI et start-ups locales.
ENJEU
LA HEs-sO LANCE UN MAstEr EN
iNNOVAtiON
Questions à M. Yves Rey, Vice-recteur
Enseignement au sein de la HES-SO.
D’où vient l’idée de ce nouveau Master ?
Y.R. L'option partait du constat que les por-
teurs de technologies ou de savoir-faire de
notre région (PME, start-ups, laboratoires
de recherche) disposent souvent de
concepts qu’ils ont de la peine à faire évo-
luer au-delà de la maturation technologique.
Ils se retrouvent ainsi avec des pistes de
développement potentiellement intéres-
santes, mais non explorées, faute de
La Haute Ecole Spécialisée de Suisse occidentale (HES-SO) propose, dès la
rentrée 2015, un nouveau Master interdisciplinaire en innovation, construit
autour d’un projet pratique de développement confié par des PME/PMI, des
laboratoires de recherche ou des start-ups.
moyens suffisants pour les mettre en
valeur et les développer.
Après plusieurs années de collaboration,
avec des mandants, dans le cadre de l’op-
tion « Marketing et Innovation », nous nous
sommes retrouvés confrontés au problème
suivant : en fait, cette option n’étant propo-
sée qu’à des futurs économistes dans le
cadre de leurs études en Bachelor, il est
difficile dans ce contexte de faire intervenir
tous les acteurs nécessaires au déploie-
ment d’une véritable activité d’innovation.
www.hes-so.ch/innokick
Il nous a donc semblé plus intéressant, et
surtout pertinent, d’associer dans un même
programme de formation, au niveau Mas-
ter, des ingénieurs, des designers et des
économistes déjà diplômés. Immerger ces
trois populations dans une formation articu-
lée autour d’un projet concret est une véri-
table innovation pédagogique.
Comment va s’articuler cette formation ?
Y.R. Elle va s’articuler autour de projets de
nature technologique (technology push) ou
sociétale (market pull) que réaliseront, pour
des entreprises ou des laboratoires, tout au
long de la 1ère année d’études, des groupes
de six étudiants provenant des trois
domaines du design, de l’économie et de
l’ingénierie. Le projet sera la colonne verté-
brale de la formation autour de laquelle
s’articuleront des cours théoriques et pra-
tiques, compléments méthodologiques et
métiers tels que les techniques de créati-
vité, le management de l’innovation, la
stratégie marketing ou encore la gestion
des talents.
Quel genre d’entreprises seront intéres-
sées, et pour quel genre de projet ?
Y.R. Dans les faits, n’importe quelle PME,
laboratoire, start-up ou grosse entreprise
peut proposer un projet d'innovation. Il peut
s'agir d'aider les entreprises à trouver des
nouvelles applications pour une technolo-
gie existante ou en devenir, de repenser un
produit actuel qui arrive en fin de vie ou
encore de répondre à une problématique
issue du marché, l’idée étant d’aborder
avec nos étudiants les approches techno-
logy push ou market pull. Les entreprises,
respectivement les projets, seront sélec-
tionnés de manière à pouvoir « calibrer » au
mieux les besoins de l’entreprise aux objec-
tifs de la formation. Bien entendu, les entre-
prises peuvent prendre contact avec nous
pour voir dans quelle mesure nous pourrons
réaliser avec eux des projets d’innovation.
Les critères de sélection seront les sui-
vants : caractère innovant du projet, poten-
tiel de développement de nouvelles appli-
cations et d'atteinte de nouveaux marchés,
et surtout le degré de motivation de l'entre-
prise à accompagner nos étudiants dans le
processus Innokick.
Quels sont les avantages pour la PME ?
Y.R. Les PME bénéficieront des compé-
tences des étudiants spécialistes du mar-
keting, du design et de l’ingénierie et des
professionnels qui les accompagneront et
qui s'engageront dans une optique de co-
création pour répondre à leurs objectifs de
développement. Ils pourront notamment
bénéficier d’un regard neuf, critique, sur
leurs activités en innovation.
Talent
Dynamics
Ideation Selection Concept Summer
Academy
Implementation Master Thesis
Integration
Market
Strategy
Product
Concept
Ideation
Process
Management
of
Innovation
APPLIED PRODUCT DEVELOPMENT PROJECT (24 ECTS)
PRACTICAL AND THEORETICAL COURSES (36 ECTS)
MASTER THESIS (30 ECTS)
Research
Methods
Lectures
Talent
Dynamics
Ideation Selection Concept Summer
Academy
Implementation Master Thesis
Integration
Market
Strategy
Product
Concept
Ideation
Process
Management
of
Innovation
APPLIED PRODUCT DEVELOPMENT PROJECT (24 ECTS)
PRACTICAL AND THEORETICAL COURSES (36 ECTS)
MASTER THESIS (30 ECTS)
Research
Methods
Lectures
S1 S2 S3
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MissiON ÉCONOMiQUE
EN AfriQUE DU sUD
Potentiel de croissance
Ce n’est pas un hasard si le groupe de pays
auparavant dénommé « BRIC » a été rebap-
tisé « BRICS ». L’Afrique du Sud, à laquelle
renvoie cette nouvelle lettre « S » (pour
South Africa), a largement mérité sa place
au cénacle des Etats émergents les plus
dynamiques. Economie performante, mon-
tée en puissance de la classe moyenne,
l’Afrique du Sud aspire à une amélioration
de son niveau de vie, d’où une demande
accrue de produits étrangers à forte valeur
ajoutée. Le luxe made in Switzerland,
comme les montres, rencontre un large
écho. Un débouché intéressant de diversi-
fication pour les exportateurs suisses et
jurassiens.
L’Afrique du Sud est un marché très
attrayant pour les entreprises suisses et
jurassiennes, en particulier depuis la signa-
ture, début 2008, d’un accord de libre-
échange entre l’AELE et l’Union douanière
d’Afrique australe, qui regroupe l’Afrique du
Sud, le Bostwana, la Namibie, le Lesotho et
le Swaziland. Cet accord facilite les
échanges commerciaux avec l’Afrique du
Sud et ouvre plus largement le marché afri-
cain aux entreprises suisses. Par ailleurs, un
accord bilatéral de coopération scientifique
et technologique avec l’Afrique du Sud a été
signé en décembre 2007 par la Suisse.
L’Afrique du Sud, forte de près de 50 mil-
lions d'habitants, abrite plus d’une centaine
de filiales d’entreprises suisses et sert sou-
vent de rampe de lancement à destination
d’autres marchés du continent.
ENVOL
Une mission économique sera organisée du 21 au 28 novembre en Afrique
du Sud. Elle sera axée sur des visites d'entreprises dans les domaines des
technologies propres et médicales, ainsi que des industries minière et
automobile. alémanique. Dans les années 50, les gratte-
ciels étaient déjà à la mode, surtout pour les
immeubles à loyers modérés. Cette période
a cependant laissé en héritage quelques
verrues et, depuis, les tours ont très mau-
vaise réputation. Depuis l’an 2000, on
recommence à construire des tours et,
depuis 2010, on parle même de «fièvre des
hauteurs». Aujourd’hui, les tours ne sont
plus synonymes de ghetto social, mais sont
érigées dans les centres-villes, elles abritent
de grandes entreprises et un segment de la
population au revenu confortable. En Suisse
alémanique, les tours sont désormais syno-
nymes de luxe et de modernité.
Source : 24Heures, Lucie Monnat, décembre 2014
ENSEMBLE
BÂLE prEND DE LA HAUtEUr
A l’instar des grandes agglomérations, Bâle manque de place.
Son développement immobilier se réalise désormais dans la verticalité.
Selon une estimation du Conseil d’Etat,
200'000 personnes vivront en 2030 dans le
canton de Bâle-Ville. Pour y faire face, le
canton a introduit en 2010 le « Hochhaus-
konzept », instaurant un développement
immobilier en hauteur plutôt qu’en largeur.
Pour ces bâtiments, des zones précises ont
été délimitées, et chaque projet est soumis
au Conseil d’Etat. Outre l’emplacement, les
tours doivent respecter un certain nombre
d’exigences (équipement avec les der-
nières technologies d’économie d’énergie,
règle des deux heures d’ombre, etc.).
Ainsi, dans la fièvre du développement de
la cité rhénane, nombre de projets immobi-
liers flirtant avec le ciel sont en construc-
tion, ou le seront prochainement. Petit tour
d’horizon non exhaustif. La Tour Roche
(achèvement octobre 2015) domine fière-
ment Bâle, et pour cause. Il s’agit du plus
haut bâtiment de Suisse, soit 41 étages
pour 178 mètres de haut. Roche a d’ores et
déjà annoncé le projet d’une 2e tour, qui
culminera à 205 mètres, et prévoit d’agran-
dir son campus avec des bâtiments de 132
et 72 mètres. De son côté, Novartis, qui
achèvera au printemps 2015 un bâtiment
de 65 mètres sur son campus, planifie trois
immeubles supplémentaires d’une hauteur
de 120 mètres. Prévu à l’automne 2017, le
Biozentrum de l’Université de Bâle culmi-
nera quant à lui à 73 mètres. Près de la gare
centrale, le complexe des CFF nommé
Meret Oppenheim Hochhaus aura une tour
qui atteindra 81 mètres alors que la Gross-
peter Tower, non loin de là, culminera à 78
mètres de haut. Notons encore la tour
Clara, planifiée à 96 mètres de haut, ainsi
que le remplacement de l’Hôtel Hilton par
un immeuble de 87 mètres.
Le plus grand phare d'Europe
A côté des tours aux lignes plutôt clas-
siques, se dessine également le projet, un
peu plus fou, d’un phare gigantesque, des-
tiné à être le plus haut d’Europe. S’il se réa-
lise, le bâtiment situé dans le port rhénan
mesurera 132 mètres, dont 7 mètres d’an-
tenne. Ses 26 étages abriteront un hôtel,
deux restaurants, des bureaux, des locaux
administratifs, des ateliers et des parkings.
Nouvelle mode
De manière générale, on assiste à un chan-
gement de mentalité vis-à-vis des construc-
tions en hauteur, tout du moins en Suisse
Mission économique 2015
Cette mission est organisée sous l'égide
du Département de l'Economie et de la
Coopération, en collaboration avec l'an-
tenne lausannoise de Switzerland Global
Enterprise (SGE) et le Swiss Business Hub
de SGE à Pretoria. Basée sur la pratique
des affaires, la mission donnera une vue
d'ensemble de l'économie sud-africaine.
Le programme comprend une réception à
l'ambassade de Suisse et différentes
visites d'entreprises à Johannesburg, Pre-
toria et Cape Town ; il sera élaboré définiti-
vement selon les désirs des participants
jurassiens.
Prix et inscription
Prix par participant : environ CHF 5'000 tout
compris. Inscription jusqu'au 20 mars 2015
sur bulletin ad hoc auprès de [email protected],
en mentionnant vos souhaits de visites ou
de contacts. Renseignements complé-
mentaires auprès de Jean-Claude Lachat,
délégué à la Promotion économique.
Nombre de participants limité; inscriptions
prises dans l'ordre d'arrivée.
Le groupe pharmaceutique Roche a annoncé la construction d'une nouvelle tour de 205 mètres de haut.
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m a r s 2015
POINT DE SITUATION SUR LA REFORME DU SERVICE DE L’ECONOMIE
En décembre 2014, le Parlement a accepté la réforme proposée par le Département de l’économie et de la coopération. Pour rappel,
les principaux points forts sont, d’une part, la fusion du Service de l’économie avec le Service des arts et métiers et du travail au sein
d’une nouvelle entité dénommée « Service de l’économie et de l’emploi » et, d’autre part, la création d’un guichet unique pour les
PME jurassiennes.
Grâce à cette réforme, la qualité des prestations fournies aux entreprises et aux particuliers sera améliorée, notamment avec une
organisation simplifiée structurée en quatre centres de compétences, à savoir un Etat-major centralisé, la Promotion économique, le
centre de compétences « Régulation et contrôle » et le Service public de l’emploi (maintenu tel quel).
La mise en application de la réforme se fera dès l’entrée en fonction du Chef du nouveau Service de l’économie et de l’emploi. La
création de l’Etat-major est, quant à elle, liée à la localisation en un lieu unique du nouveau Service, dès l’automne 2016.
ENGAGEMENT
La Promotion économique cantonale juras-
sienne a pour principale mission de susciter
et soutenir le développement de l'économie
jurassienne, à travers la diversification, la
modernisation, l'innovation d'entreprises
existantes mais aussi l'implantation et la
création de nouvelles entreprises.
Nos prestations :
• soutiens financiers et fiscaux ;
aide dans la recherche de locaux, bureaux,
bâtiments industriels ou terrains ;
• accompagnement lors des démarches
avec l’administration publique
( octroi de permis de construire,
de travail, etc. ) ;
• intermédiaire avec les investisseurs ;
• mise en contact avec les acteurs de
l’économie locale ;
• information économique ;
• conseil et assistance tout au long
du processus d’implantation ;
• soutien à la promotion des exportations ;
aide dans la recherche de collaborateurs.
CONTACT
Promotion économique du canton du Jura
12, Rue de la Préfecture
CH2800 Delémont
Tél. : +41 ( 0 )32 420 52 20
[email protected], www.jura.ch/eco
A votre disposition :
• M. Jean-Claude Lachat, délégué
à la Promotion économique endogène
• M. Jean-François Loncke, délégué
à la Promotion économique exogène
Partenaire de
prOMOtiON ÉCONOMiQUE :
QUi sOMMEs-NOUs ?
IMPRESSUM. Editeur : Promotion économique du canton du Jura, 12, rue de la Préfecture, CH-2800 Delémont, Tél. : +41 (0) 32 420 52 20, Fax : +41 (0)32 420 52 21, [email protected],
www.jura.ch/eco – Changements d’adresses ou commandes d’exemplaires supplémentaires : [email protected]Rédaction : Magaly Barth, Jean-Claude Lachat – Tirage : 1'800
exemplaires – Reproduction autorisée sous réserve d’un accord écrit – Concept et réalisation : OPENROOM Sàrl, Delémont – Impression : Centre d’Impression Le Pays,
Porrentruy – Numéro 22 / Mars 2015
AGENDA
Industrie Lyon 2015
Du 7 au 10 avril 2015
Eurexpo Lyon France
www.industrie-expo.com
Foire de Hanovre
Du 13 au 17 avril 2015
Hanovre Allemagne
Swiss Pavilion organisé par SGE
www.hannovermesse.de
Salon International
des Inventions de Genève
Du 15 au 19 avril 2015
Palexpo Genève
www.inventions-geneva.ch
Medtec Europe
Du 21 au 23 avril 2015
Messe Stuttgart Allemagne
www.medteceurope.com
Forum suisse du commerce extérieur
23 avril 2015
Messe Zürich
www.s-ge.com
Commandes fédérales pour
les PME jurassiennes
Le 23 avril 2015 à 09h30
Centre l’Avenir Delémont
Organisation : Promotion économique en
partenariat avec la CCIJ
www.jura.ch/eco, rubrique agenda
EPHJ, EPMT et SMT
Du 2 au 5 juin 2015
Palexpo Genève
Stands collectifs d'entreprises JU
organisés par la Promotion économique.
Réception officielle à l'intention
des exposants jurassiens
le 3 juin 2015 à 18h15
www.ephj.ch
Medtec France
Du 10 au 11 juin 2015
Micropolis Besançon France
www.medtecfrance.com
Futurallia
Du 17 au 19 juin 2015
Bucarest Roumanie
Forum international de
développement des entreprises
Renseignements : M. Lionel Socchi,
tél. 032 420 52 28
www.futuralliabucharest2015.com
Présentation des Nouvelles
Entreprises Innovantes (NEI)
3 septrmbre 2015 à 17h00
Delémont
Organisation : Promotion économique
et Service des contributions
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