dissertation-sociologique

Dissertation sociologique
http://www.academon.fr/Sociologie
"Stigmate" d'Erving Goffman
Fiche de lecture sur l'ouvrage sociologique de Goffman, qui développe une théorie sur l'identité
et la notion de déviance et se demande si l'individu stigmatisé et déviant, joue un rôle social.
Fiche de lecture № 3085 | 2010 mots ( approximativement 5 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
"Stigmate, les usages sociaux des handicaps" paraît en 1963. Le terme stigmate est un terme
d'origine grec qui désigne des marques corporelles destinées à exposer ce qu'avait d'inhabituel et de
détestable le statut moral de la personne stigmatisée.
Le procédé de Goffman est basé sur un certain nombre de concepts donnant ainsi une grille
d'analyses. Il essaie de définir les types de personnes à partir d'un ensemble de situation. Il fait une
typification de la réalité.
Selon Goffman, un individu est dit stigmatisé lorsqu'il présente un attribut qui le disqualifie lors de
ses interactions avec autrui. Chaque individu est plus ou moins stigmatisé en fonction des
circonstances, mais certains le sont plus que d'autre. Le stigmate est donc ce qui disqualifie et
empêche pleinement une personne d'être acceptée par la société.
I. Définitions et concepts selon Goffman
1) L'identité sociale
2) L'individu stigmatisé
II. Le "stigmatisé" et le "normal"
1) Définitions de Goffman
2) Le ressenti du stigmatisé
3) La relation mixte
Extrait du document
Il est important de préciser que c'est avant tout à travers le regard de l'autre qu'un individu est
stigmatisé. C'est la relation qui «fabrique» le stigmate.
Un homme présentant un stigmate souffre d'humiliation constante car le regard des autres est
pesant. Il souffre également de discrimination. Il en vient à vouloir rejeter cet attribut qui le rend
différent aux yeux des autres et qui l'écarte de la société.
Goffman précise qu'un individu peut aussi ressentir sa différence tout en étant seul face à lui-
même, il s'agit alors d'une relation entre l'individu et le stéréotype. Il cite l'exemple d'un homme
qui, après un accident, décide de se regarder dans un miroir. Cet homme ne se reconnaît plus, au
fond il est toujours le même mais son apparence à grandement changée, mais fait-elle de lui
quelqu'un d'autre ?
Mots-clés:rencontre, externalisation, psychisme, personnalité, psychiatrie
Sport et société : le sport comme reflet de la société ?
Dissertation analysant le lien et les similitudes qui existent entre sport et société.
Dissertation № 5249 | 1905 mots ( approximativement 4.8 pages ) | 7 sources | 2007
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Résumé
Le sport est-il le reflet de la société ? En quoi peut-il être un organe de contrôle de la société ?
Cette étude tente de trouver une réponse en étudiant la construction du sport comme une contresociété, puis en definissant le role du sport comme catalyseur. L'exemple des émeutes en Italie
montre que le sport sert également de catalyseur aux pulsions des individus.
Cette analyse de l'influence du sport est aussi illustrée par l'exemple du dopage.
I/ Le sport comme contre-société
A. Une idéologie pour l'harmonie
B. « Nous somme tous égaux devant le sport »
II/ Le sport : symbole et catalyseur de la société
A. Un monde en miniature
B. Contrôle et dilution de la violence
III/ Un mythe remis en cause par le dopage
A. Logiques économiques et vision de soi-même
B. La lutte contre le dopage pour perpétuer le mythe
Extrait du document
Le dopage peut s'expliquer par des logiques économiques conjuguées à la montée d'un sport
spectacle où les performances se doivent d'être toujours dépassées. Le sport est une formidable
manne financière pour les sponsors et publicitaires, le taux d'audience du tour oscille entre 52,6% et
70%, l'exposition médiatique est donc énorme. Des facteurs psychologiques entre également en ligne
de compte, l'image que l'on a de soi, le rapport à la performance, la volonté d'être le meilleur
poussent les sportifs à avoir recours au dopage. Selon Alain Ehrenberg « le dopage n'est finalement
que la formule la plus courante donnée à ces pratiques très rependues visant à la modification et
l'amélioration de soi-même ».
Mais la nouveauté réside aujourd'hui dans l'utilisation quasi systématique du dopage dans l'élite
sportive, 75% des bodybuilders utiliseraient des anabolisants. On assiste également à la mise en
place « d'un système professionnel » (M.Bieu) constitué de réseaux et d'une population active de
fournisseurs, ce qui constitue une rupture dans l'histoire du sport. Le produit dopant devient alors
partie intégrante du programme d'entraînement.
Mots-clés:bodybuilder, supporteur, développement olympique, idéal universel
"Les règles de l'art" de Pierre Bourdieu
Fiche de lecture sur le livre de Pierre Bourdieu dans lequel il esquisse une compréhension
sociologique de l'écrivain et de son œuvre.
Fiche de lecture № 2021 | 1310 mots ( approximativement 3.3 pages ) | 0 sources | 2006
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Résumé
Dans cet essai publié en 1992, Pierre Bourdieu, sociologue français, part du postulat qu'il existe une
fausse opposition entre l'œuvre littéraire, qui représente « l'expérience de l'Unique, de l'émotion »
et les sciences sociales, qui tentent de parler du « général », « d'établir des lois ». Il va ainsi
démontrer qu'il n'en est rien et que la compréhension du champ social devient nécessaire pour
apprécier l'œuvre littéraire.
Extrait du document
En se fondant sur l'étude de L'Education sentimentale de Gustave Flaubert, œuvre qui « restitue
d'une manière extraordinairement exacte la structure du monde social dans laquelle elle a été
produite (…) » (p, 68), Bourdieu va démontrer en quoi Flaubert, et d'autres écrivains
contemporains, vont affirmer une nouvelle autonomie de l'artiste en s'opposant aussi bien à « l'art
social » et à la « bohème littéraire » qu'à l'art bourgeois, faisant ainsi émerger de cette nouvelle
conception d'un « art pur » un champ littéraire propre, dédouané des contraintes de l'état et des
institutions, socialement libre. « Leur autonomie consiste dans une obéissance librement choisie,
mais inconditionnelle, aux lois nouvelles qu'ils inventent et qu'ils entendent faire triompher dans la
République des lettres. » (p.133). C'est alors que vont apparaître deux positions distinctes entre les
tenants de l'art pou l'art, en opposition avec l'économie et les institutions politiques et les artistes «
vendus » aux institutions (politiques et économistes).
Mots-clés:autonomisation, logique, engagement, théorie, mécanisme, déterminisme
"C'est la guerre" de Louis Calaferte
Commentaire composé portant sur un extrait de cet ouvrage de Calaferte, qui retrace l'exode
et la fuite massive des populations qui fuient les combats de la Seconde Guerre Mondiale.
Commentaire Composé № 6073 | 1640 mots ( approximativement 4.1 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
Louis Calaferte a onze ans lorsque éclate la Seconde Guerre mondiale. Dans "C'est la guerre" (1933),
il en retrace l'histoire, de la déclaration (septembre 1939) jusqu'à la Libération (août 1945).
Ce commentaire de texte, en prose poétique, rend compte de ce moment particulier de l'Histoire,
en évoquant un désordre tel qu'il ôte aux hommes leur humanité et les réduit à un seul sentiment,
la peur. L'extrait étudié va de "Une route bondée de gens qui marchent..." jusqu'à "La panique".
I. L'exode
A) Accumulation et désordre
B) La déshumanisation
II. Les sentiments de peur et de panique
A) Souffrance physique et souffrance morale
B) Le regard de l'enfant
Extrait du document
Cette page de "C'est la guerre" relate l'exode des Français durant l'été 1940. En effet, après
quelques mois de guerre, le 13 mai 1940, les troupes allemandes franchissent la ligne Maginot, qui
devait protéger la France, et envahissent le territoire. Tous les habitants du Nord et de l'Est de la
France de jettent alors sur les routes de l'exode, pour échapper aux combats, protéger leur famille
des nazis ou mettre à l'abri leurs biens. Ce n'est qu'après l'Armistice, le 22 juin, que certains
regagnent leur foyer.
Ce qui frappe le plus le lecteur dans l'évocation de cet épisode par Louis Calaferte, c'est le désordre
qui règnent sur les routes. Des familles entières prennent la fuite, ne sachant pas ou aller, comment
y aller. Les hyperboles soulignent l'ampleur de cet exode ("Une route bondée de gens", ligne 1 ; "de
ces centaines et de ces centaines", ligne 9 ; "tous ces malheureux", ligne 24). Certains partent en
voiture, avec leurs biens les plus précieux, mais aussi leurs meubles. Mais, faute d'essence, ils
doivent renoncer à leur véhicule, pour poursuivre à pied. Ainsi, l'enfant est tout d'abord frappé par
"les gens qui marchent" (ligne 1), "les gens qui trébuchent" (ligne 3), "les gens qui tombent" (ligne
3). Un peu plus loin, il voit la cause de cette marche forcée : "Des voitures accidentées" (ligne 47),
"Des voitures abandonnées" (ligne 49). Progressivement, "les gens qui ploient sous la charge" (ligne
3) abandonnent leur fardeau au bord des routes. Les routes de France deviennent alors un immense
capharnaüm. Une figure de style, récurrente, exprime ce désordre : l'énumération ("Des vêtements,
des chaussures, des paquets, des valises […]" lignes 26-27). Cette très longue énumération
rassemble essentiellement des articles de voyages, toutes formes de sacs et de valises. Mais les
énumérations ne sont pas toujours aussi cohérentes. La construction du passage en est la preuve...
Mots-clés:victime, innocente, souffrance, population, faim, soif
La famille d'hier est-elle la même qu'aujourd'hui ?
Dissertation qui traite de l'évolution de la "famille" au fil du temps.
Dissertation № 355 | 1840 mots ( approximativement 4.6 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
Ce document retrace, point par point, l'historique de la notion de "famille" et des valeurs du couple.
Il décrit les nouvelles formes de foyers (familles recomposées, couples divorcés, mères
célibataires...)
I) La famille face à l'évolution du couple
A- Conception traditionnelle du couple (notion d'hier)
1- Le mariage: seule institution familiale jusqu'à la fin du XIXè siècle
2- Le mariage: une institution créatrice d'inégalités jusqu'au XXè siècle
B– Conception contemporaine du couple (notion d'aujourd'hui)
1- Image contemporaine du mariage.
2- Apparition et développement de nouvelles unions
II) La famille face à l'évolution de la parentalité
A- La parentalité des couples mariés
1- Couples mariés : certitude d'un avenir parental
2- Foyer conjugal : environnement favorable à l'enfant
B- Evolution de la parentalité
1- Nouvelles compositions de la famille
2- Nouveaux profils familiaux
Extrait du document
Depuis la création de l'homme, des groupes humains sont observés. Unis par un sentiment
d'appartenance commune ou par des liens sanguins, les hommes sont caractérisés par ce besoin de
proximité avec ses semblables. Plus que le groupe ethnique, religieux ou social, la famille apparaît
être incontestablement le groupe le plus constant et le plus évident. Elle est en effet une sorte de
micro société au sein de la société, reproduction réduite de celle-ci : parallèlement à toute société
organisée, on constate au sein de la famille la supériorité incontestée et incontestable de l'un des
membres, en l'occurrence quasi systématiquement le mâle le plus âgé ou le plus autoritaire, ayant
un rôle semblable à celui qu'aurait un dirigeant d'un pays, sur les autres membres de la famille,
assimilables au peuple. Le parallèle biblique est tentant, tant le rôle du chef de famille est
semblable à celui des prophètes bibliques, dominant les brebis, facilement comparables aux autres
personnes composant la famille. Ce modèle familial a longtemps prévalu au sein de toutes les
sociétés du monde.
On assiste cependant, en France notamment, depuis deux siècles, à une évolution de cette
organisation familiale.
L'importance des enjeux est considérable : la famille est le lieu de la Vie. Sur le plan sociologique,
la structure familiale est la cellule de base de toute société, elle est le lieu de formation de l'être
humain, le point de départ de l'épanouissement de celui-ci. Cet enjeu de la famille explique que
tous les régimes dictatoriaux aient eu une approche particulière de la famille : ils l'ont soit réduite,
soit substituée.
Mots-clés:couple, mariage, homosexuels, polygamie, famille recomposée, pacs
Les médiations éducatives
Dissertation de psychopédagogie sur les intérêts et les limites des médiations éducatives, outils
de travail de l'éducateur spécialisé.
Dissertation № 3482 | 2010 mots ( approximativement 5 pages ) | 0 sources | 2007 |
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Résumé
L'éducateur spécialisé se doit de toujours être innovant par rapport aux médiations éducatives qu'il
propose afin qu'elles soient les plus adaptées possible à l'usager. Ces médiations prennent des
formes très différentes telles que celles d'ateliers divers et variés ou tout simplement de moments
de vie quotidienne.
C'est ensuite à l'éducateur spécialisé de transformer un simple moment en une médiation éducative
permettant de favoriser la communication et d'améliorer la qualité de la prise en charge.
Extrait du document
La naissance du terme « médiation » est identifiée au 18e siècle, il désigne une intervention
humaine entre deux parties. Il tire son origine du latin « mediare » qui veut dire être au milieu. Le
mot « médiation » fait son apparition dans le dictionnaire de l'Académie Française en 1694. Ce
terme employé dans de nombreux domaines désigne plusieurs actions différentes telles que les
médiations familiales, judiciaires, professionnelles ou encore éducatives. Il convient donc de
préciser que nous nous attacherons à voir ici les médiations éducatives comme outils du travail de
l'éducateur spécialisé. Quels sont leurs intérêts et leurs limites ? Ont-elles toute leur place dans la
pratique éducative ? Leur enseignement est-il nécessaire durant la formation d'éducateur spécialisé
?
Mots-clés:espace, communication, relation, repère, confiance
Les seniors, une opportunité pour les entreprises
Mémoire qui traite de l'état de l'emploi des seniors et des différentes solutions mises à la
disposition des services Ressources Humaines.
Mémoire ou thèse № 573 | 21430 mots ( approximativement 53.6 pages ) | 18 sources | 2006
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Résumé
Les seniors constituent une ressource indispensable aux entreprises qui doiventr apprendre à les
gérer et à les manager, véritable défi pour elles. En effet, comment motiver des salariés qui, en
grande majorité, ne souhaitent pas travailler au-delà de 60 ans voire pensaient pouvoir partir plus
tôt ?
Pour apporter des réponses à toutes ces modifications du paysage professionnel, les entreprises
doivent repenser toute la gestion des ressources humaines et mettre en place des mesures
innovantes, spécifiques aux seniors.
I. Les seniors sur le marché du travail aujourd'hui
1 – Le contexte : les particularités et contradictions du système français
2 – Où en sommes-nous aujourd'hui ?
II. Les stratégies de ressources humaines : comment réintégrer les seniors dans l'entreprise ?
1 – Réintégrer les seniors dans les pratiques traditionnelles de gestion des ressources humaines
2 – De nouvelles solutions
III. Exemples de mesures prises en France et ailleurs
1 – Quelques initiatives d'entreprises en France
2 – Que se passe-t-il ailleurs ?
Extrait du document
La France a toujours cherché à détenir des records, et ce dans tous les domaines. Elle peut donc
être fière aujourd'hui de voir que sa population détient le record de la longévité en bonne santé de
tous les pays européens mais également que la population française est celle qui entre le plus tard
sur le marché du travail et qui en sort le plus tôt : c'est le plus souvent vers 58 ans que l'on part à la
retraite.
Parmi les seniors au chômage, certains continuent à rechercher activement du travail tandis que les
autres rejoignent les rangs des chômeurs découragés abandonnant l'espoir de retrouver un emploi et
attendant avec impatience leur droit à la retraite. La préretraite n'est plus un déshonneur mais une
échappatoire, libérant le salarié du stress et des contraintes liées à la vie professionnelle.
Mots-clés:allongement, durée, vie professionnelle, compétences, grh, retraites
La stratégie de la Société Nouvelles Frontières
Etude de cas sur la société Nouvelles Frontières, voyagiste français créé à l'origine par des
étudiants, afin de proposer des voyages à bas prix.
Étude de Cas № 1673 | 2465 mots ( approximativement 6.2 pages ) | 0 sources | 2007 |
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La distance dans la relation éducative
Mémoire d'éducation spécialisée portant sur la nécessité de l'instauration d'une distance entre
l'éducateur et le jeune en difficulté.
Mémoire ou thèse № 7270 | 15680 mots ( approximativement 39.2 pages ) | 11 sources | 2008
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Résumé
Dans toute relation éducative, il n'existe pas de «bonne» ou «juste» distance en soi ; elle est à
adapter selon chaque situation, selon chaque personne. Il faut aussi accepter de ne jamais la
trouver.
La relation éducative avec des enfants psychotiques repose sur une distance difficile à évaluer car
dépendante de multiples facteurs.
I) Pourquoi instaurer une distance dans la relation éducative ?
1) Définition de «relation éducative»
2) Définition de «distance»
3) Les phénomènes qui rentrent en jeu dans la relation éducative
4) L'utilité de la distance
II) Comment instaurer une distance dans la relation éducative : les «outils» facilitateurs au
quotidien
1) Le recours au tiers
2) L'humour
3) L'empathie
4) Les difficultés, les limites dans la relation éducative
III) L'approche clinique
1) La situation de Tom
2) La situation de Théo
3) La situation d'Elsa
Extrait du document
Philippe Gaberan dans son livre Cent mots pour être éducateur précise qu' « Il n'y a de relation
éducative possible que si, entre Soi et l'Autre, s'instaure un peu de distance, du jeu en quelque
sorte, qui permette au lien de se distendre sans rompre et aux deux personnes de se disjoindre sans
se perdre »
Ceci est un point essentiel. En effet, au cours des différentes situations de relation éducative que
j'ai vécues, j'ai pris conscience qu'il était constructif de laisser et de faciliter voire provoquer un
éloignement momentané de l'enfant car cette « disjonction » pouvait être bénéfique dans le sens où
elle permet à l'enfant d'apprendre la différence et de se construire par comparaisons.
Mots-clés:identité, relation, psychothérapie
"La relation éducative" de Philippe Gaberan
Fiche de lecture portant sur l'ouvrage d'éducation spécialisée de Gaberan, dans lequel il étudie
la relation éducative qui s'établit entre l'éducateur et la personne aidée, accompagnée.
Fiche de lecture № 4081 | 1860 mots ( approximativement 4.7 pages ) | 0 sources | 2007
$ 5.95
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Résumé
Philippe Gaberan, dans son ouvrage, nous rappelle les valeurs initiales de l'engagement des
éducateurs spécialisés. Dans un contexte social parfois marqué en apparence par un retour au
capitalisme, la tentation politique est de transformer les éducateurs et les travailleurs sociaux en
"agents de l'ordre social".
En effet, dans la société contemporaine on est bien souvent dans la recherche de résultats rapides
et immédiats. Cette quête d'efficacité et de la rentabilité, que certains traduisent par la notion de
"professionnalisme", a parfois comme conséquence que les professionnels de l'action sociale se
rendent «complices» de l'abandon des valeurs fondatrices de leurs métiers.
C'est pourquoi Gaberan repart ici sur la véritable question du «à quoi ça sert d'être éducateur ?».
I. Situation historique de l'ouvrage
II. Sujet traité et hypothèses formulées
III. Déroulement de l'analyse
IV. Intérêt de l'ouvrage
Extrait du document
L'éducateur accompagne le passage du vivre à l'exister, plus particulièrement le passage du «chacun
à sa place» (modèle Républicain) au «chacun a sa place» (modèle Démocratique). Dans ce
cheminement, l'éducateur constitue un tiers médiateur.
Eduquer n'est pas un processus de fabrication (acte égoïste par ailleurs) mais de transformation.
C'est pourquoi l'éducateur doit «savoir renoncer à l'illusion de la toute puissance» et «accepter le
risque de manquer son objectif» (p.117), autrement dit d'échouer (sauf que pour être enseignant,
l'échec ne doit pas être humiliant).
Et cela dans le but de laisser à la personne sa part de liberté et de lui laisser prendre sa propre
place. C'est la raison pour laquelle Gaberan définit un projet comme une négociation ensemble des
objectifs à atteindre.
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"La relation éducative" de Philippe Gaberan
Fiche de lecture portant sur l'ouvrage d'éducation spécialisée de Gaberan, dans lequel il étudie
la relation éducative qui s'établit entre l'éducateur et la personne aidée, accompagnée.
Fiche de lecture № 4081 | 1860 mots ( approximativement 4.7 pages ) | 0 sources | 2007
$ 5.95
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Résumé
Philippe Gaberan, dans son ouvrage, nous rappelle les valeurs initiales de l'engagement des
éducateurs spécialisés. Dans un contexte social parfois marqué en apparence par un retour au
capitalisme, la tentation politique est de transformer les éducateurs et les travailleurs sociaux en
"agents de l'ordre social".
En effet, dans la société contemporaine on est bien souvent dans la recherche de résultats rapides
et immédiats. Cette quête d'efficacité et de la rentabilité, que certains traduisent par la notion de
"professionnalisme", a parfois comme conséquence que les professionnels de l'action sociale se
rendent «complices» de l'abandon des valeurs fondatrices de leurs métiers.
C'est pourquoi Gaberan repart ici sur la véritable question du «à quoi ça sert d'être éducateur ?».
I. Situation historique de l'ouvrage
II. Sujet traité et hypothèses formulées
III. Déroulement de l'analyse
IV. Intérêt de l'ouvrage
Extrait du document
L'éducateur accompagne le passage du vivre à l'exister, plus particulièrement le passage du «chacun
à sa place» (modèle Républicain) au «chacun a sa place» (modèle Démocratique). Dans ce
cheminement, l'éducateur constitue un tiers médiateur.
Eduquer n'est pas un processus de fabrication (acte égoïste par ailleurs) mais de transformation.
C'est pourquoi l'éducateur doit «savoir renoncer à l'illusion de la toute puissance» et «accepter le
risque de manquer son objectif» (p.117), autrement dit d'échouer (sauf que pour être enseignant,
l'échec ne doit pas être humiliant).
Et cela dans le but de laisser à la personne sa part de liberté et de lui laisser prendre sa propre
place. C'est la raison pour laquelle Gaberan définit un projet comme une négociation ensemble des
objectifs à atteindre.
Mots-clés:échange, parole, mot, sentiment, engagement
Les seniors, une opportunité pour les entreprises
Mémoire qui traite de l'état de l'emploi des seniors et des différentes solutions mises à la
disposition des services Ressources Humaines.
Mémoire ou thèse № 573 | 21430 mots ( approximativement 53.6 pages ) | 18 sources | 2006
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Résumé
Les seniors constituent une ressource indispensable aux entreprises qui doiventr apprendre à les
gérer et à les manager, véritable défi pour elles. En effet, comment motiver des salariés qui, en
grande majorité, ne souhaitent pas travailler au-delà de 60 ans voire pensaient pouvoir partir plus
tôt ?
Pour apporter des réponses à toutes ces modifications du paysage professionnel, les entreprises
doivent repenser toute la gestion des ressources humaines et mettre en place des mesures
innovantes, spécifiques aux seniors.
I. Les seniors sur le marché du travail aujourd'hui
1 – Le contexte : les particularités et contradictions du système français
2 – Où en sommes-nous aujourd'hui ?
II. Les stratégies de ressources humaines : comment réintégrer les seniors dans l'entreprise ?
1 – Réintégrer les seniors dans les pratiques traditionnelles de gestion des ressources humaines
2 – De nouvelles solutions
III. Exemples de mesures prises en France et ailleurs
1 – Quelques initiatives d'entreprises en France
2 – Que se passe-t-il ailleurs ?
Extrait du document
La France a toujours cherché à détenir des records, et ce dans tous les domaines. Elle peut donc
être fière aujourd'hui de voir que sa population détient le record de la longévité en bonne santé de
tous les pays européens mais également que la population française est celle qui entre le plus tard
sur le marché du travail et qui en sort le plus tôt : c'est le plus souvent vers 58 ans que l'on part à la
retraite.
Parmi les seniors au chômage, certains continuent à rechercher activement du travail tandis que les
autres rejoignent les rangs des chômeurs découragés abandonnant l'espoir de retrouver un emploi et
attendant avec impatience leur droit à la retraite. La préretraite n'est plus un déshonneur mais une
échappatoire, libérant le salarié du stress et des contraintes liées à la vie professionnelle.
Mots-clés:allongement, durée, vie professionnelle, compétences, grh, retraites
La stratégie de la Société Nouvelles Frontières
Etude de cas sur la société Nouvelles Frontières, voyagiste français créé à l'origine par des
étudiants, afin de proposer des voyages à bas prix.
Étude de Cas № 1673 | 2465 mots ( approximativement 6.2 pages ) | 0 sources | 2007 |
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Résumé
Le métier de voyagiste consiste à réunir dans une formule " tout compris " les diverses prestations
d'un séjour (transport, hébergement, restauration, excursions, loisirs etc.). Dès le début de son
activité, Nouvelles Frontières a développé un avantage concurrentiel en proposant des voyages vers
des destinations lointaines à petits prix.
I. Introduction
1.1 Présentation
1.2 Problématique
1.3 Organisation du travail
II. Diagnostic stratégique
2.1. Analyse externe
2.1.1. Les cinq forces de porter
2.1.1.1 Menaces des nouveaux entrants
2.1.1.2 Menaces des substituts
2.1.1.3 Pouvoir des acheteurs
2.1.1.4 Pouvoir des fournisseurs
2.1.1.5 Intensité de la concurrence
2.1.2. L'analyse compétitive
2.1.3. L'environnement : opportunités et menaces
2.1.4. Détermination des facteurs clés de succès
2.2. Analyse interne
2.2.1 Marketing mix
2.2.1. Produit
2.2.1.2 Communication
2.2.1.3 Prix
2.2.1.4 Distribution
2.2.1.5 Finance
2.2.2 Forces et faiblesse de Nouvelles Frontières
2.2.3 Détermination des compétences techniques
III/ Recommandations
3.1. Recommandation n° 1
3.2. Recommandation n° 2
3.3. Recommandation n° 3
Extrait du document
C'est grâce notamment au développement d'un réseau national d'agence de voyages exclusif que
l'entreprise s'est imposée sur le marché devant son principal concurrent (Le Club Méditerranée). Par
la suite, le groupe s'est agrandi, en créant une chaîne hôtelière (Les Paladiens) et en rachetant une
compagnie aérienne (Corsair).
Dans les années 90 après une trentaine d'année d'existence, Nouvelles Frontières est devenu le
premier voyagiste français et le sixième voyagiste européen se positionnant ainsi parmi les vingt
premiers mondiaux avec 2,8 millions de clients et 8,8 milliards de francs de chiffre d'affaire.
Mots-clés:Look voyages, Club Med, marketing, force, voyage organisé, all-inclusive, forfait
La distance dans la relation éducative
Mémoire d'éducation spécialisée portant sur la nécessité de l'instauration d'une distance entre
l'éducateur et le jeune en difficulté.
Mémoire ou thèse № 7270 | 15680 mots ( approximativement 39.2 pages ) | 11 sources | 2008
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Résumé
Dans toute relation éducative, il n'existe pas de «bonne» ou «juste» distance en soi ; elle est à
adapter selon chaque situation, selon chaque personne. Il faut aussi accepter de ne jamais la
trouver.
La relation éducative avec des enfants psychotiques repose sur une distance difficile à évaluer car
dépendante de multiples facteurs.
I) Pourquoi instaurer une distance dans la relation éducative ?
1) Définition de «relation éducative»
2) Définition de «distance»
3) Les phénomènes qui rentrent en jeu dans la relation éducative
4) L'utilité de la distance
II) Comment instaurer une distance dans la relation éducative : les «outils» facilitateurs au
quotidien
1) Le recours au tiers
2) L'humour
3) L'empathie
4) Les difficultés, les limites dans la relation éducative
III) L'approche clinique
1) La situation de Tom
2) La situation de Théo
3) La situation d'Elsa
Extrait du document
Philippe Gaberan dans son livre Cent mots pour être éducateur précise qu' « Il n'y a de relation
éducative possible que si, entre Soi et l'Autre, s'instaure un peu de distance, du jeu en quelque
sorte, qui permette au lien de se distendre sans rompre et aux deux personnes de se disjoindre sans
se perdre »
Ceci est un point essentiel. En effet, au cours des différentes situations de relation éducative que
j'ai vécues, j'ai pris conscience qu'il était constructif de laisser et de faciliter voire provoquer un
éloignement momentané de l'enfant car cette « disjonction » pouvait être bénéfique dans le sens où
elle permet à l'enfant d'apprendre la différence et de se construire par comparaisons.
Mots-clés:identité, relation, psychothérapie
Les médiations éducatives
Dissertation de psychopédagogie sur les intérêts et les limites des médiations éducatives, outils
de travail de l'éducateur spécialisé.
Dissertation № 3482 | 2010 mots ( approximativement 5 pages ) | 0 sources | 2007 |
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La famille d'hier est-elle la même qu'aujourd'hui ?
Dissertation qui traite de l'évolution de la "famille" au fil du temps.
Dissertation № 355 | 1840 mots ( approximativement 4.6 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
Ce document retrace, point par point, l'historique de la notion de "famille" et des valeurs du couple.
Il décrit les nouvelles formes de foyers (familles recomposées, couples divorcés, mères
célibataires...)
I) La famille face à l'évolution du couple
A- Conception traditionnelle du couple (notion d'hier)
1- Le mariage: seule institution familiale jusqu'à la fin du XIXè siècle
2- Le mariage: une institution créatrice d'inégalités jusqu'au XXè siècle
B– Conception contemporaine du couple (notion d'aujourd'hui)
1- Image contemporaine du mariage.
2- Apparition et développement de nouvelles unions
II) La famille face à l'évolution de la parentalité
A- La parentalité des couples mariés
1- Couples mariés : certitude d'un avenir parental
2- Foyer conjugal : environnement favorable à l'enfant
B- Evolution de la parentalité
1- Nouvelles compositions de la famille
2- Nouveaux profils familiaux
Extrait du document
Depuis la création de l'homme, des groupes humains sont observés. Unis par un sentiment
d'appartenance commune ou par des liens sanguins, les hommes sont caractérisés par ce besoin de
proximité avec ses semblables. Plus que le groupe ethnique, religieux ou social, la famille apparaît
être incontestablement le groupe le plus constant et le plus évident. Elle est en effet une sorte de
micro société au sein de la société, reproduction réduite de celle-ci : parallèlement à toute société
organisée, on constate au sein de la famille la supériorité incontestée et incontestable de l'un des
membres, en l'occurrence quasi systématiquement le mâle le plus âgé ou le plus autoritaire, ayant
un rôle semblable à celui qu'aurait un dirigeant d'un pays, sur les autres membres de la famille,
assimilables au peuple. Le parallèle biblique est tentant, tant le rôle du chef de famille est
semblable à celui des prophètes bibliques, dominant les brebis, facilement comparables aux autres
personnes composant la famille. Ce modèle familial a longtemps prévalu au sein de toutes les
sociétés du monde.
On assiste cependant, en France notamment, depuis deux siècles, à une évolution de cette
organisation familiale.
L'importance des enjeux est considérable : la famille est le lieu de la Vie. Sur le plan sociologique,
la structure familiale est la cellule de base de toute société, elle est le lieu de formation de l'être
humain, le point de départ de l'épanouissement de celui-ci. Cet enjeu de la famille explique que
tous les régimes dictatoriaux aient eu une approche particulière de la famille : ils l'ont soit réduite,
soit substituée.
Mots-clés:couple, mariage, homosexuels, polygamie, famille recomposée, pacs
"Stigmate" d'Erving Goffman
Fiche de lecture sur l'ouvrage sociologique de Goffman, qui développe une théorie sur l'identité
et la notion de déviance et se demande si l'individu stigmatisé et déviant, joue un rôle social.
Fiche de lecture № 3085 | 2010 mots ( approximativement 5 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
"Stigmate, les usages sociaux des handicaps" paraît en 1963. Le terme stigmate est un terme
d'origine grec qui désigne des marques corporelles destinées à exposer ce qu'avait d'inhabituel et de
détestable le statut moral de la personne stigmatisée.
Le procédé de Goffman est basé sur un certain nombre de concepts donnant ainsi une grille
d'analyses. Il essaie de définir les types de personnes à partir d'un ensemble de situation. Il fait une
typification de la réalité.
Selon Goffman, un individu est dit stigmatisé lorsqu'il présente un attribut qui le disqualifie lors de
ses interactions avec autrui. Chaque individu est plus ou moins stigmatisé en fonction des
circonstances, mais certains le sont plus que d'autre. Le stigmate est donc ce qui disqualifie et
empêche pleinement une personne d'être acceptée par la société.
I. Définitions et concepts selon Goffman
1) L'identité sociale
2) L'individu stigmatisé
II. Le "stigmatisé" et le "normal"
1) Définitions de Goffman
2) Le ressenti du stigmatisé
3) La relation mixte
Extrait du document
Il est important de préciser que c'est avant tout à travers le regard de l'autre qu'un individu est
stigmatisé. C'est la relation qui «fabrique» le stigmate.
Un homme présentant un stigmate souffre d'humiliation constante car le regard des autres est
pesant. Il souffre également de discrimination. Il en vient à vouloir rejeter cet attribut qui le rend
différent aux yeux des autres et qui l'écarte de la société.
Goffman précise qu'un individu peut aussi ressentir sa différence tout en étant seul face à luimême, il s'agit alors d'une relation entre l'individu et le stéréotype. Il cite l'exemple d'un homme
qui, après un accident, décide de se regarder dans un miroir. Cet homme ne se reconnaît plus, au
fond il est toujours le même mais son apparence à grandement changée, mais fait-elle de lui
quelqu'un d'autre ?
Mots-clés:rencontre, externalisation, psychisme, personnalité, psychiatrie
Sport et société : le sport comme reflet de la société ?
Dissertation analysant le lien et les similitudes qui existent entre sport et société.
Dissertation № 5249 | 1905 mots ( approximativement 4.8 pages ) | 7 sources | 2007
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Résumé
Le sport est-il le reflet de la société ? En quoi peut-il être un organe de contrôle de la société ?
Cette étude tente de trouver une réponse en étudiant la construction du sport comme une contresociété, puis en definissant le role du sport comme catalyseur. L'exemple des émeutes en Italie
montre que le sport sert également de catalyseur aux pulsions des individus.
Cette analyse de l'influence du sport est aussi illustrée par l'exemple du dopage.
I/ Le sport comme contre-société
A. Une idéologie pour l'harmonie
B. « Nous somme tous égaux devant le sport »
II/ Le sport : symbole et catalyseur de la société
A. Un monde en miniature
B. Contrôle et dilution de la violence
III/ Un mythe remis en cause par le dopage
A. Logiques économiques et vision de soi-même
B. La lutte contre le dopage pour perpétuer le mythe
Extrait du document
Le dopage peut s'expliquer par des logiques économiques conjuguées à la montée d'un sport
spectacle où les performances se doivent d'être toujours dépassées. Le sport est une formidable
manne financière pour les sponsors et publicitaires, le taux d'audience du tour oscille entre 52,6% et
70%, l'exposition médiatique est donc énorme. Des facteurs psychologiques entre également en ligne
de compte, l'image que l'on a de soi, le rapport à la performance, la volonté d'être le meilleur
poussent les sportifs à avoir recours au dopage. Selon Alain Ehrenberg « le dopage n'est finalement
que la formule la plus courante donnée à ces pratiques très rependues visant à la modification et
l'amélioration de soi-même ».
Mais la nouveauté réside aujourd'hui dans l'utilisation quasi systématique du dopage dans l'élite
sportive, 75% des bodybuilders utiliseraient des anabolisants. On assiste également à la mise en
place « d'un système professionnel » (M.Bieu) constitué de réseaux et d'une population active de
fournisseurs, ce qui constitue une rupture dans l'histoire du sport. Le produit dopant devient alors
partie intégrante du programme d'entraînement.
Mots-clés:bodybuilder, supporteur, développement olympique, idéal universel
"Les règles de l'art" de Pierre Bourdieu
Fiche de lecture sur le livre de Pierre Bourdieu dans lequel il esquisse une compréhension
sociologique de l'écrivain et de son œuvre.
Fiche de lecture № 2021 | 1310 mots ( approximativement 3.3 pages ) | 0 sources | 2006
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Résumé
Dans cet essai publié en 1992, Pierre Bourdieu, sociologue français, part du postulat qu'il existe une
fausse opposition entre l'œuvre littéraire, qui représente « l'expérience de l'Unique, de l'émotion »
et les sciences sociales, qui tentent de parler du « général », « d'établir des lois ». Il va ainsi
démontrer qu'il n'en est rien et que la compréhension du champ social devient nécessaire pour
apprécier l'œuvre littéraire.
Extrait du document
En se fondant sur l'étude de L'Education sentimentale de Gustave Flaubert, œuvre qui « restitue
d'une manière extraordinairement exacte la structure du monde social dans laquelle elle a été
produite (…) » (p, 68), Bourdieu va démontrer en quoi Flaubert, et d'autres écrivains
contemporains, vont affirmer une nouvelle autonomie de l'artiste en s'opposant aussi bien à « l'art
social » et à la « bohème littéraire » qu'à l'art bourgeois, faisant ainsi émerger de cette nouvelle
conception d'un « art pur » un champ littéraire propre, dédouané des contraintes de l'état et des
institutions, socialement libre. « Leur autonomie consiste dans une obéissance librement choisie,
mais inconditionnelle, aux lois nouvelles qu'ils inventent et qu'ils entendent faire triompher dans la
République des lettres. » (p.133). C'est alors que vont apparaître deux positions distinctes entre les
tenants de l'art pou l'art, en opposition avec l'économie et les institutions politiques et les artistes «
vendus » aux institutions (politiques et économistes).
Mots-clés:autonomisation, logique, engagement, théorie, mécanisme, déterminisme
"C'est la guerre" de Louis Calaferte
Commentaire composé portant sur un extrait de cet ouvrage de Calaferte, qui retrace l'exode
et la fuite massive des populations qui fuient les combats de la Seconde Guerre Mondiale.
Commentaire Composé № 6073 | 1640 mots ( approximativement 4.1 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
Louis Calaferte a onze ans lorsque éclate la Seconde Guerre mondiale. Dans "C'est la guerre" (1933),
il en retrace l'histoire, de la déclaration (septembre 1939) jusqu'à la Libération (août 1945).
Ce commentaire de texte, en prose poétique, rend compte de ce moment particulier de l'Histoire,
en évoquant un désordre tel qu'il ôte aux hommes leur humanité et les réduit à un seul sentiment,
la peur. L'extrait étudié va de "Une route bondée de gens qui marchent..." jusqu'à "La panique".
I. L'exode
A) Accumulation et désordre
B) La déshumanisation
II. Les sentiments de peur et de panique
A) Souffrance physique et souffrance morale
B) Le regard de l'enfant
Extrait du document
Cette page de "C'est la guerre" relate l'exode des Français durant l'été 1940. En effet, après
quelques mois de guerre, le 13 mai 1940, les troupes allemandes franchissent la ligne Maginot, qui
devait protéger la France, et envahissent le territoire. Tous les habitants du Nord et de l'Est de la
France de jettent alors sur les routes de l'exode, pour échapper aux combats, protéger leur famille
des nazis ou mettre à l'abri leurs biens. Ce n'est qu'après l'Armistice, le 22 juin, que certains
regagnent leur foyer.
Ce qui frappe le plus le lecteur dans l'évocation de cet épisode par Louis Calaferte, c'est le désordre
qui règnent sur les routes. Des familles entières prennent la fuite, ne sachant pas ou aller, comment
y aller. Les hyperboles soulignent l'ampleur de cet exode ("Une route bondée de gens", ligne 1 ; "de
ces centaines et de ces centaines", ligne 9 ; "tous ces malheureux", ligne 24). Certains partent en
voiture, avec leurs biens les plus précieux, mais aussi leurs meubles. Mais, faute d'essence, ils
doivent renoncer à leur véhicule, pour poursuivre à pied. Ainsi, l'enfant est tout d'abord frappé par
"les gens qui marchent" (ligne 1), "les gens qui trébuchent" (ligne 3), "les gens qui tombent" (ligne
3). Un peu plus loin, il voit la cause de cette marche forcée : "Des voitures accidentées" (ligne 47),
"Des voitures abandonnées" (ligne 49). Progressivement, "les gens qui ploient sous la charge" (ligne
3) abandonnent leur fardeau au bord des routes. Les routes de France deviennent alors un immense
capharnaüm. Une figure de style, récurrente, exprime ce désordre : l'énumération ("Des vêtements,
des chaussures, des paquets, des valises […]" lignes 26-27). Cette très longue énumération
rassemble essentiellement des articles de voyages, toutes formes de sacs et de valises. Mais les
énumérations ne sont pas toujours aussi cohérentes. La construction du passage en est la preuve...
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Sociologie
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L'école et l'égalité des chances
Dissertation traitant du rôle du système scolaire dans la société.
Dissertation № 3890 | 870 mots ( approximativement 2.2 pages ) | 0 sources | 2006
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Résumé
Ce devoir traite de la fonction des écoles au fil de l'histoire.
En effet, jusqu'aux années 60, l'école est un instrument de cohésion sociale et on assiste à cette
période à une démocratisation du système scolaire ce qui donne les mêmes chances à tous les
écoliers.
Néanmoins, des inégalités subsistent.
I. L'école n'a été que progressivement conçue comme un instrument d'égalisation des chances
A. Jusqu'aux années 1960, l'école est un instrument de cohésion sociale, et le destin dépend peu du
destin scolaire
B. A partir de la fin des années 1960, on assiste a une démocratisation du système scolaire qui
améliore l'égalité des chances scolaires et sociales
II. Toutefois, on observe toujours une inégalité des chances scolaires
A. Constat
B. Explications
III. Enfin, une réussite scolaire identique ne garantit pas l'égalité des chances sociales
A. Constat
B. Explications
Extrait du document
Des raisons à la fois sociopolitiques (Pour A. de Tocqueville la démocratie repose sur l'égalité des
conditions) et économiques (concentration des entreprises donc besoins de cadres, concurrence
accrue donc volonté d'accroître la compétitivité qualité, professionnalisation et spécialisation des
métiers, déjà anticipée par Weber, hausse de la demande de santé, d'éducation, de nouveaux bien
d'équipement, conformément à la loi d'Engel) font que le diplôme devient le critère de
compétences sur le marché du travail, et détermine de plus en plus l'accès à l'emploi et le genre
d'emploi, lui-même fondement du statut social.
Conséquences : démocratisation du système scolaire : développement des maternelles, des Bourses
d'Etudes, en 1959 la scolarité devient obligatoire jusqu'à l'âge de 16 ans, en 1975 apparaît le collège
unique et aujourd'hui près de 70% d'une classe d'âge accède au lycée, alors que moins de 50%
accédaient au collège dans les années 1960. Accès des classes populaires à l'enseignement
supérieur. De ce fait, on constate une hausse de la mobilité sociale : aujourd'hui les deux tiers des
français de 40 à 59 ans ont changé de groupe par rapport à leur père, contre la moitié seulement en
1977.
Mots-clés:socialisation, valorisation, culture, cursus, sélection, concours
La place de l'habitat en France
Dissertation sur l'évolution de l'habitat sur le plan économique, politique, juridique,
sociologique et psychologique, de 1970 à nos jours.
Dissertation № 2618 | 2085 mots ( approximativement 5.2 pages ) | 0 sources | 2007 |
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Résumé
L'habitat est un espace de vie propre au ménage, à la fois privé et public, selon le désir. Il permet
de s'isoler de la société et de se retrouver très vite en petit comité.
Une de ses principales fonctions sociales réside en la possibilité qu'il offre à chacun de recevoir des
personnes extérieures mais proches.
Toutefois, la plupart des habitations disposent du confort minimum et différents types d'aides
financières sont mises en place par l'Etat afin de parer à d'éventuelles dérives.
Extrait du document
De nos jours, l'habitat représente un lieu de vie personnel, propre à soi, à sa famille. En effet, par
la diversité des mœurs, des personnalités, des vécus de chacun et parce que tout être humain est
unique dans son savoir-faire, son savoir être, son paraître, mais aussi dans ses habitudes, son passé,
ses normes et ses valeurs, l'habitat est un lieu unique. Unique par sa composition, son agencement,
ses matériaux, ses équipements. Unique également par le nombre d'habitant, la décoration, la
fonction que l'on a envie de lui donner, ses besoins, ses désirs. Tous ces facteurs font de l'habitat un
lieu intime. Mais cela n'a pas toujours été le cas. C'est ce dont nous allons analyser par la suite.
Pour ce faire, dans un premier temps, nous identifierons et analyserons les fonctions sociales de
l'habitat. Par la suite, nous constaterons et expliquerons l'évolution récente des conditions de
logement en France, en précisant leurs limites. Enfin, nous montrerons comment les aides au
logement permettent de répondre aux attentes des ménages.
Nous allons de ce fait identifier les fonctions sociales de l'habitat, puis nous les analyserons.
L'habitat est un lieu de vie, de partage, un endroit que l'on s'est approprié, que l'on a personnalisé.
Un lieu où l'on se sent chez soi. Se sentir chez soi, c'est retrouver en ce lieu ce qui nous correspond.
C'est se sentir en sécurité. C'est confortable parce que ce lieu nous caractérise, nous réconforte par
les repères que l'on s'est instauré.
Mots-clés:pièce, famille, espace, intimité, réception, soirée
"Le système des objets" de Jean Baudrillard
Fiche de lecture sur l'ouvrage de Baudrillard dans lequel il montre que les relations que nous
entretenons avec les objets se sont profondément transformées avec l'avènement de la société
de consommation de masse.
Fiche de lecture № 9503 | 1820 mots ( approximativement 4.6 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
La consommation est «un mode actif de relation (non seulement aux objets, mais à la collectivité et
au monde), un mode d'activité systématique et de réponse globale sur lequel se fonde tout notre
système culturel» (Baudrillard, 1968: 275).
Ni le volume des biens, ni la satisfaction des besoins suffisent à définir la consommation, ils n'en
sont qu'une condition préalable. Tout le temps on a acheté, possédé, etc., mais on ne consommait
pas. On parle de consommation pour la société contemporaine car elle est la «totalité virtuelle de
tous les objets et messages constitués dès maintenant en discours plus ou moins cohérent»
(Baudrillard, 1968: 276).
I/ Analyse des objets dans un système objectif
II/ Analyse des objets dans un système subjectif et non-fonctionnel
A- Le double sens des objets anciens
B- La collection
III/ Le système socio-idéologique des objets et de la consommation
A- Modèles et séries
B- Le crédit
C- La publicité
Extrait du document
«La configuration du mobilier est une image fidèle des structures familiales et sociales d'une
époque» (Baudrillard, 1968: 21). Dans cette partie, Baudrillard se donne pour objectif d'étudier
l'évolution que connait l'ameublement dans les intérieurs des classes moyennes pour s'interroger sur
le sens nouveau que trouvent ces objets dans la vie quotidienne.
Il compare ainsi, l'intérieur bourgeois et l'intérieur moderne. L'intérieur bourgeois est caractérisé
par l'obsession morale dans le sens où chaque objet, qui occupe une destination stricte, est
empreint d'une idéologie patriarcale. Cette obsession morale confère à ces intérieurs une certaine
théâtralité.
Mots-clés:modernité, collection, organisation, possession, musée, esthétique
"La société de consommation" par Jean Baudrillard
Fiche de lecture de l'ouvrage de Baudrillard qui analyse la société de consommation des pays
occidentaux et présente les limites de cette société et de son mode de fonctionnement.
Fiche de lecture № 1639 | 2820 mots ( approximativement 7.1 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
Dans cet ouvrage, l'auteur nous présente « l'envers du décors » de la consommation (ex : la
manipulation du consommateur) par une analyse des théories économiques libérales face à l'offre de
produits qui sont proposés aux consommateurs. Il montre, au-delà du simple fait de consommer,
l'aliénation mentale provoquée par cette société d'abondance.
I. Eléments bibliographiques
A) Objectifs et démarche
B) Idées principales de l'ouvrage : Un certain rapport à l'objet, une
logique sociale de la consommation
II. La culture médiatique et la société de loisirs
III. Cas concrets de la portée des idées de Jean Baudrillard
IV. Critiques de l'ouvrage
Extrait du document
L'auteur précise en premier lieu, que nous sommes dans une société d'abondance où il y a une
multiplication et une sacralisation des objets au quotidien : désormais le consommateur vit au
rythme des objets. Parallèlement, nous assistons à une célébration exagérée des produits, à un
spectacle permanent des marques dans les médias ou dans les boutiques où des univers motivant la
consommation sont recrées permettant une « errance ludique » (ex : les Grands magasin durant les
fêtes de Noël).
Cette idée conduit à un changement de relation entre l'objet consommé et le consommateur : on ne
préfèrera plus un objet en fonction de son utilité, mais plutôt par rapport à la signification globale
qu'il dégage (ex : j'achète un mp3 Ipod pour écouter et stocker de la musique mais aussi pour
l'image "tendance" qu'il engendre: modernité, dynamisme, mode, …). Baudrillard précise à juste
titre : « on ne manipule jamais l'objet en soi (dans sa valeur d'usage), on manipule toujours l'objet
comme un signe qui vous distingue, soit en vous affiliant à votre groupe, soit en vous démarquant
de votre groupe par référence à un groupe de statut supérieur ».
Mots-clés:meurtrières, Lyotard, gaspillage, liberté, bonheur, propagande
La chirurgie esthétique
TPE qui pose la question de savoir en quoi la société contemporaine nous pousse-t-elle à la
chirurgie esthétique.
TPE № 7498 | 4815 mots ( approximativement 12 pages ) | 0 sources | 2007
$ 11.95
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Résumé
Aujourd'hui, dans nos sociétés, l'apparence physique est, pour la plupart des individus, une des
principales préoccupations, chacun tente alors d'être présentable. Pour y parvenir, on s'embellit
grâce au maquillage, aux crèmes, mais aussi grâce à un style vestimentaire. Mais, ces artifices ne
suffisent pas à un nombre croissant d'individus. En effet, certain passe par un acte chirurgicale,
pour atteindre leur objectif : être «beau», ainsi chacun change un dit «défaut» suivant ses critères
de beauté.
I. Evolution de la chirurgie esthétique
A) Les origines de la chirurgie esthétique
B) L'essor récent de la chirurgie esthétique
C) Les lois
II. Les raisons sociales qui nous poussent à avoir recours à la chirurgie esthétique
A) Mettre un terme à un complexe / les motivations
B) L'influence de notre société de consommation et du paraître
C) Une certaine confiance en soi
III. La pratique et ses limites
A) Un rapport hiérarchisé entre les deux sexes
B) Les différentes pratiques
C) Les risques
Extrait du document
Certaines personnes ont donc recours à la chirurgie esthétique. Il s'agit d'une spécialité médicale
dont les buts sont le rajeunissement ou le remodelage du visage et de la silhouette chez des sujets
en bonne santé. Par remodelage, on entend les modifications que l'on peut apporter à certaines
zones du corps en les diminuant ou en les augmentant. Ces modifications s'accompagnent d'un
mouvement de la peau et des tissus qui se moulent sur la nouvelle forme donnée. Elle revêt à la fois
un aspect artistique et un aspect psychologique. En effet, l'essentiel de la démarche consiste à
trouver une image de soi cohérente et gratifiante. Le but ultime est d'harmoniser le physique et le
psychisme.
Auparavant, la chirurgie esthétique faisait peur, les techniques n'étaient pas encore parfaitement
au point. A présent, malgré les risques de ce genre d'opérations, cette pratique est rentrée dans les
mœurs de notre civilisation où la beauté dicte la loi. De plus en plus des gens pensent qu'une belle
apparence physique est sans nul doute le meilleur atout d'un être humain pour réussir
professionnellement et trouver l'âme sœur. La vie quotidienne offre toujours plus d'exemples de
discriminations physiques…
Mots-clés:réparatrice, défiguré, modifie, corps, améliorer, artiste
Le cas Facebook
Etude de cas stratégique du concept Facebook qui analyse toutes les raisons de son succès.
Étude de Cas № 9916 | 3865 mots ( approximativement 9.7 pages ) | 10 sources | 2009
$ 10.95
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Résumé
A l'origine, Facebook est le réseau social fermé des étudiants de Harvard, crée en 2004 par Mark
Zuckerberg. Il devient par la suite accessible aux autres universités américaines, puis s'ouvre à tous
en septembre 2006.
Facebook est un service en ligne destiné à créer de nouveaux contacts, participer à des discussions,
télécharger des photos et des vidéos, découvrir de nouvelles applications.
A) Analyse exerne
1. Activité de l'entreprise
2. Analyse PESTEL
3. Analyse de l'industrie : 5 forces de Porter
4. Segmentation de l'industrie
B) Analyse interne
1. Vision Corporate
2. Analyse des ressources
C) Diagnostic final
1. Réflexion sur la situation de l'entreprise
2. Pistes de développement, options possibles
3. Rapport de Benchmarking
Extrait du document
La finalité que poursuit Mark Zuckerberg actuellement vise à développer de nouvelles applications
visant à élargir les champs d'actions possibles de Facebook : écoute de musique en ligne
(streaming), ou encore développement des partenariats avec des entreprises de grande
consommation afin que les utilisateurs de Facebook puissent partager leurs listes de courses sur un
site avec leurs amis. (application Facebook Connect).
La performance de l'entreprise Facebook peut être mesurée par deux variables qui sont en forte
corrélation entre elles. Ainsi la première variable est le nombre de profils et d'utilisateurs sur
Facebook, cette dernière est le facteur clé de la seconde variable : les gains engendrées par la
publicité sur Facebook.
Depuis Juin 2008, Facebook est le n°1 mondial des réseaux sociaux devant MySpace avec 123.8
millions d'utilisateurs par mois contre 114.5 millions pour MySpace.
Les projets de Facebook consistent en le développement constant de nouvelles applications pour
ces utilisateurs, environ 170 ingénieurs travaillent quotidiennement sur le développement de
nouvelles applications.
Mark Zuckerberg, le jeune fondateur et PDG de Facebook, a choisi d'ouvrir le capital de l'entreprise
au géant américain Microsoft le 25 Octobre 2007 à hauteur de 1.6 % pour une valeur de 240 millions
de dollars. (Facebook vaut donc 15 milliards de dollars)
Microsoft vise à contrôler la publicité sur le site afin se développer à l'international, ainsi que pour
concurrencer Google dans le domaine de la publicité sur internet.
Pour le moment Facebook reste donc une petite structure avec peu de collaborateurs malgré sa
forte valeur.
Mots-clés:façon interactive, concurrents, réseaux sociaux, sites
Egalité des chances et égalité sociale
Dissertation sur la notion d'égalité des chances. Dans quelle mesure la promotion de l'égalité
des chances favorise t-elle l'égalité sociale ?
Dissertation № 2109 | 770 mots ( approximativement 1.9 pages ) | 0 sources | 2004
$ 4.95
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Résumé
Actuellement les inégalités tendent à s'accroître, ce qui montre les limites de la promotion de
l'égalité des chances en terme d'égalisation des conditions.
I/ L'égalité des chances favorise l'égalité sociale
A) Des principes égalitaires
B) Le rôle de l'école dans la réduction des inégalités
C) D'autres facteurs explicatifs
II/ Cependant l'égalité des chances ne certifie pas la réduction des inégalités
A) Une mobilité sociale limitée
B) Une reproduction sociale importante
C) Un renforcement des inégalités
Extrait du document
Aujourd'hui, le rôle du système scolaire dans nos sociétés démocratiques demeure un sujet très
controversé. Un des objectifs principaux affiché par l'école depuis sa démocratisation est la
promotion de la notion d'égalité des chances. En d'autres termes, elle doit œuvrer afin de donner à
tous les individus les mêmes chances de départ, et donc tenter d'effacer les inégalités résultant du
milieu d'origine. Il est par conséquent intéressant de s'interroger sur la capacité du système à
favoriser l'égalité sociale c'est-à-dire une égalité réelle des conditions.
Afin de répondre au mieux à cette problématique, nous verrons dans un premier temps que l'égalité
des chances peut encourager une tendance à l'égalité sociale et dans un second temps que celle-ci
ne garantit pas pour autant la réduction des inégalités.
Mots-clés:milieux, origine, réussite, scolaire, mérite
"Surveiller et punir" de Michel Foucault
Fiche de lecture sur l'ouvrage du philosophe Michel Foucault, qui montre l'évolution du
jugement et de la punition ; aujourd'hui, on ne punit plus un crime mais une âme criminelle.
Fiche de lecture № 4388 | 3050 mots ( approximativement 7.6 pages ) | 3 sources | 2008
$ 8.95
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Résumé
Dans "Surveiller et punir", Foucault s'intéresse au lien entre pouvoir et punition. Selon lui, il y a
quatre grands types de société punitive : les sociétés qui excluent, les sociétés qui organisent un
rachat, les sociétés qui marquent, les sociétés qui enferment.
Chaque procédure pénale révèle une forme de pouvoir déterminée. La question que se pose
Foucault est dans quelle technologie générale de pouvoir ces techniques de punition s'inscriventelles ?
Les techniques changent et leur point d'application aussi.
Foucault constate que l'on punit moins aujourd'hui un acte qu'un individu. La justice s'arme de
vérités psychologiques. Les «circonstances atténuantes» prennent ainsi un rôle important dans le
jugement et le principe des remises de peine devient possible suivant le comportement en prison.
I- Supplice
1. Chapitre premier : le corps des condamnés
2. Chapitre II : l'éclat des supplices
II – Punition
1. Chapitre premier : la punition généralisée
2. Chapitre II : la douceur des peines
III- Discipline
1. Chapitre premier : les corps dociles
2. Chapitre II : les moyens du bon dressement
3. Chapitre III : le panoptisme
IV- Prison
1. Chapitre premier : des instituions complètes et austères
2. Chapitre II : illégalismes et délinquance
3. Chapitre III : le carcéral
Extrait du document
Foucault analyse le concept de supplice dans son origine, sa définition, son objectif et sa
disparition. La torture, art quantitatif de la souffrance, apparaît dès l'époque médiévale avec
l'Inquisition et relève d'une logique de l'ordre ancien fondé sur les duels judiciaires et le jugement
de Dieu. Elle se définit d'après Jaucourt comme «un phénomène inexplicable – agissant sur le corps –
que l'étendue de l'imagination des Hommes en fait de barbarie et de cruauté».
Les supplices répondent à deux volontés : l'une politique qui est le rappel de la toute puissance du
Roi («Le supplice ne rétablissait pas la justice, il réactivait le pouvoir») ; l'autre juridique qui
permet au peuple d'assister, de constater l'acte de justice et de sentir que l'homme torturé n'est
plus homme mais déviant, plus dans la communauté mais en dehors. («il faut non seulement que les
gens sachent, mais qu'ils voient de leurs yeux, parce qu'il faut qu'ils aient peur») Il faut ici noter –
malgré l'application barbare de la peine – que déjà jusqu'au XVIIIe siècle la justice répondait à une
«arithmétique pénale», fondée sur l'enquête et la preuve.
Mots-clés:surpouvoir, peine, souveraineté, code, arbitraire, preuve
"La galère : jeunes en survie" de François Dubet
Fiche de lecture sur un ouvrage qui analyse la situation des jeunes des quartiers populaires et
qui tente de trouver une explication à leur expérience de jeunes à la dérive et sans projet
professionnel.
Document № 428 | 3140 mots ( approximativement 7.9 pages ) | 23 sources | 2006 |
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Résumé
Ce travail est une étude menée auprès de jeunes et d'adultes qui explique la situation de certains
jeunes de banlieue dans les années 1980. Pour savoir ce qui est à l'origine de leur expérience de la
galère, l'auteur utilise la sociologie d'intervention, qui mêle le recueil des données (interviews de
groupe) et l'élaboration d'une interprétation des propos recueillis.
I. Définition de la galère
II. Définition de la « jeunesse ouvrière »
III. La fin des banlieues rouges en France
IV. Différentes formes d'actions pour renverser les logiques de la galère
Extrait du document
La marginalité est un phénomène d'action sociale soit parce qu'il renvoie à des rapports sociaux
conflictuels soit parce qu'il est l'expression d'un problème social.
Il s'inspire d'une théorie de mouvements sociaux, et nous pouvons voir tout au long du livre, qu'il
parle de l'absence de mouvements sociaux chez les jeunes de la galère qu'il compare à la jeunesse
ouvrière, qui elle, est engagée dans le mouvement ouvrier. Mais il finit par déceler la naissance de
mouvements d'action dans les quartiers populaires, notamment par la lutte contre le racisme. (...)
« La délinquance est accepté comme une déviance traditionnelle accepté par le milieu et qui ne
devient déviance que sous le regard des autres. »
Pour donner une idée de leur état d'esprit, ils restent dans les traditions. Le viol par exemple, n'est
pas très fortement puni, et pour eux, ça reste de la faute des filles.
« Les conduites délinquantes et violentes ne sont qu'un espace de turbulence avant que la famille et
le travail n'instaurent leur ordre. »
Mots-clés:exclusion, rage, zonage, émeutes, déviance, frustration
Le chômage selon les néoclassiques et Keynes
Devoir qui présente comment les néoclassiques et Keynes envisagent des solutions à apporter
au chômage.
Dissertation № 1752 | 1040 mots ( approximativement 2.6 pages ) | 0 sources | 2006
$ 4.95
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Résumé
Chez les neoclassiques, le taux de salaire est fixé en fonction de la loi de l'offre et la demande. S'il
est trop élevé, les entrepreneurs ne vont pas vouloir embaucher et le feront donc baisser. S'il est
trop bas, les salariés ne vont pas vouloir travailler pour si peu. Les néoclassiques pensent que si ce
chômage existe, c'est à cause de la mauvaise flexibilité effective du taux de salaire.
Keynes a une vision tout à fait différente de celle des néoclassiques. La solution principale que
Keynes nous propose pour atteindre le plein emploi est que l'Etat doit opter pour politique de
déficit budgétaire, en dépensant plus, et ainsi augmenter l'activité de production pour inciter les
entrepreneurs à embaucher.
I. Rendre le marché du travail plus flexible
II. L'État doit dépenser pour soutenir l'activité
Extrait du document
Tout d'abord les néoclassiques (dernier quart du XIXème siècle) se placent dans un système de
concurrence pure et parfaite où règne l'atomicité des offreurs et des demandeurs, l'homogénéité
des biens, la transparence des informations, la libre circulation des capitaux et le libre accès des
marchés. Les individus ou agents économiques sont libres de rentrer sur les marchés, lieux de
rencontre des offreurs et des demandeurs. Prenons en compte le marché du travail (qui fonctionne
comme n'importe quel autre marché). (...) Pour les néoclassiques, dans ce système de flexibilité du
prix, le chômage est en fait un « chômage volontaire ». Ceux qui ne travaillent pas sont ceux qui ne
le veulent pas ; ceux qui trouvent que le taux de salaire est trop bas.
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L'isolement social en psychologie clinique
Travail de recherche portant sur l'état d'isolement qui engendre toujours un sentiment de
solitude souvent vécu comme un manque, une souffrance et apparait fréquemment aux
différents âges de la vie.
Travail de Recherche № 9036 | 1180 mots ( approximativement 3 pages ) | 4 sources | 2008
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Résumé
L'isolement est parfois choisit par la personne mais le plus souvent il est subit. Plusieurs grandes
causes de l'isolement peuvent être identifiées à travers la littérature comme les conflits familiaux,
relationnels, ou encore l'éloignement géographique ou professionnel. Les conflits engendrent un
repli sur soi qui provoque l'installation d'un isolement de plus en plus grand et peuvent même
aboutir à des séparations qui peuvent se traduire par un déménagement.
I. Solitude et processus de construction de soi
II. Vécu de solitude : les différentes façons d'entrer en résonnance
Extrait du document
L'isolement social est le plus souvent définit dans la littérature comme un état de rupture des
relations sociales, se traduisant par une absence de contact avec d'autres personnes dans la vie
quotidienne. Il s'agit à la fois d'un symptôme et d'une cause de grande difficulté.
Cependant cette notion est a rattaché au concept plus large de solitude en ce sens qu'elle en est un
cas particulier. Les travaux de A. Mayrat (1981) ont permis de distinguer deux formes de solitude :
la solitude subjective et la solitude objective. La première est un phénomène psychologique du
vécu qui échappe à l'observation et au contrôle. Elle est de l'ordre du sensible et peut être
caractérisée comme un état d'âme ressentit sur un mode émotionnel. On parle plutôt de sentiment
de solitude. A l'inverse, la seconde fait référence à un état d'isolement définit par la privation de
compagnie humaine, la mise hors du circuit social. Il s'agit d'un fait observable et qui peut-être
mesuré à l'aide d'indicateurs spécifiques...
Mots-clés:construction, personnalité, désillusion, processus, psychoaffectif, espoir
"Sociologie de la jeunesse" de Galland
Fiche de lecture sur l'ouvrage sociologique de Galland, qui propose une reconstruction
sociologique de la jeunesse puis décrit et analyse la situation des jeunes dans la société
française.
Fiche de lecture № 2914 | 1030 mots ( approximativement 2.6 pages ) | 0 sources | 2007 |
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Résumé
Galland est un des sociologues les plus reconnus pour avoir travaillé sur la notion de jeunesse.
Stanley Hall, fondateur de la psychologie de l'adolescence, consacre l'adolescence comme une
seconde naissance et comme une période marquée par un profond changement de la personnalité
qui la distingue de l'enfance et de l'âge adulte, et même de la jeunesse proprement dite.
Mais être jeune, qu'est ce que cela signifie au fond ? Quels sont les critères qui définissent sans
ambiguïté cet état ? Où se situe la frontière entre la jeunesse et l'âge adulte ?
La jeunesse n'est pas de tous les temps, elle est une invention sociale, historiquement située, dont
la condition de définition évolue avec la société elle-même.
Extrait du document
Plusieurs définitions sont venus secourir le terme «jeunesse» mais, bien que non critiquables dans
leur champ propre, elles ne peuvent prétendre à fournir les bases d'une définition sociale de la
jeunesse.
Tout d'abord, celle-ci se doit d'éviter l'écueil essentialiste, qui confère à la jeunesse une nature
éternelle, et donc un comportement fixé une fois pour toutes.
On ne peut accepter la catégorie a-social et a-historique définie par ce courant. Les jeunes et la
société évoluent avec leur temps, avec leur monde. De plus, on ne peut par ailleurs accepter
l'approche fonctionnaliste, qui se contente de définir la jeunesse comme une théorie des rôles
sociaux. Ce courant répond qu'à la question «Pourquoi les jeunes» et non à la réponse prioritaire de
«Comment les jeunes». Il existe un renouvellement social et il faut en être conscient.
Ensuite, il ne s'agit pas d'adopter une problématique purement nominaliste, qui conviendrait de
considérer la jeunesse comme une simple catégorie idéologique.
Mots-clés:contrainte, irresponsabilité, insouciance, déviance, devoir, norme
Les jeux vidéo
Exposé portant sur l'évolution des jeux vidéo dans notre société et leur impact sur la nouvelle
génération.
Exposé № 9523 | 800 mots ( approximativement 2 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
Qui ne connaît pas les jeux vidéo à notre époque ? Depuis plusieurs années, les jeux vidéo nous ont
envahis peu à peu. Cet univers si particulier s'est créé à l'aide du virtuel et maintenant nous ne
croisons plus un jeune sans qu'il ait une console.
Cependant, sont-ils bons ou mauvais que ce soit pour nous ou pour nos enfants ?
Cette problématique sera analysée au travers de quatre documents. Il s'agit d'un extrait d'essai
(Laurent Tremel dans "Les cahiers pédagogiques") , d'un article de presse (« Et si c'était bon pour les
enfants » de Pascale Kremer dans Le Monde), un passage d'un essai (de Sébastien Genvo), et un
document iconographique(dessin humoristique de Samson).
I. Avantages des jeux vidéos
II. Inconvénients
Extrait du document
Tout d'abord, quelques auteurs nous parlent des avantages de ses jeux vidéos avec les biens faits
thérapeutiques. Dans cette article qu'est « Et si c'était bon pour les enfants » de Pascale Kremer
dans Le Monde, l'auteur interroge des psychanalystes qui nous démontrent que les jeux vidéos en
cure de thérapie sur les enfants en échec scolaires font preuve de concentrations, leurs donnent
confiance en soi, évitent également l'autostimulation. Mais il n'y a pas que cela, en fonction du jeu
choisit ainsi que la réaction du patient, les psychanalystes affirment pouvoir faire un diagnostic et
amener le patient à s'exprimer. Bien sûre, c'est le thérapeute qui choisit les jeux, et qui décident
du temps. Nous avons aussi Laurent Tremel dans Les cahiers pédagogiques avec « les jeux vidéos,
outil pédagogique ou vecteurs de l'idéologie dominante », qui affirme également que ses jeux
peuvent donner confiance en soi mais aussi d'acquérir des techniques. Nous voyons bien que ses
jeux vidéos ont bien un effet thérapeutique
Mots-clés:spectateurs, outil pédagogique, divertissement, réalité
"Malaise dans la culture" de Sigmund Freud
Fiche de lecture portant sur cet ouvrage de Freud clairement marquée par une vision
pessimiste de la condition humaine, dans lequel il développe les thèmes de pulsion de mort, de
narcissisme, de violence ou d'omnipotence et de haine d'autrui.
Fiche de lecture № 10306 | 1960 mots ( approximativement 4.9 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
Proposant une analyse psychique des comportements humains face à la culture (envisagée comme
«procès culturel de l'humanité»), "Malaise dans la culture" se structure en huit parties où Freud est
amené à développer les conséquences sur le comportements individuel de la relation d'antithèse
entre pulsion de vie (Eros) et pulsion de destruction que l'on rencontre chez l'homme au niveau
psychique. En découle la thèse freudienne selon laquelle le refoulement pulsionnel (relatifs aux
pulsions d'agression envers autrui mais aussi aux pulsions sexuelles) auquel invite la culture
(structure imposé par les impératifs de la vie en communauté) produit un «malaise», une névrose,
un sentiment de culpabilité.
I. Présentation de l'oeuvre et de son auteur
1) Biographie de Sigmund FREUD (1856-1939)
2) Contexte d'écriture du Malaise dans la culture (1930)
II. Résumé
III. Discussion
1) Postérité de la thèse freudienne développée dans Malaise dans la culture
2) nOpinion personnelle
Extrait du document
Neurologue et psychiatre autrichien d'origine juive, Sigmund Freud est le père de la psychanalyse
(moyen de guérir les névroses par l'analyse psychique, qu'il définit comme étant à la fois une
méthode d'investigation des processus mentaux, une méthode thérapeutique et une théorie du
fonctionnement psychique).
Né en 1856 à Freiberg (Moravie, actuelle République Tchèque), le jeune Sigmund Freud réalise de
brillantes études secondaires à Vienne, puis décide de se consacrer à la médecine dans le cadre de
son parcours universitaire. Ainsi, il choisit de se spécialiser dans l'étude du système nerveux en
portant un intérêt tout particulier aux comportements liés à l'hystérie, et obtient en 1885 une
bourse d'étude grâce à laquelle il se rend à Paris auprès du psychiatre français J-M Charcot. Ce
séjour, ainsi que sa rencontre avec H. Bernheim à Nancy marquent un tournant décisif dans son
invention de la psychanalyse.
Mots-clés:science, Hitler, comportement, pulsion, psychiatre, douleur
L'image des femmes dans la publicité
Exposé illustré portant sur les femmes qui occupent un rôle central dans la publicité.
Exposé № 6761 | 1340 mots ( approximativement 3.4 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
Les femmes sont utilisées principalement comme illustration du produit, notamment si les femmes
elles-mêmes sont la cible de la publicité. La femme est reine, c'est la beauté incarnée et à travers
ses courbes harmonieuses, on veut faire passer tous les messages publicitaires.
I. La femme comme épouse et mère
A) La ménagère
B) La mère
II. La femme belle et désirable
A) L'image de beauté
B) Le fantasme
Extrait du document
Une femme illustre une publicité pour un aspirateur, une machine à laver, car elles sont
considérées comme les consommatrices traditionnelles, stéréotypées, de ces produits.
La ménagère, celle qui fait la cuisine et entretient la maison, est depuis bon nombre d'années la
cible de la publicité. Le message véhiculé est toujours sensiblement le même : une bonne ménagère
doit avoir des produits efficaces, des appareils perfectionnés et des objets lui faisant gagner du
temps car elle a tant de choses à faire !
Seule une femme peut cuisiner quelque chose de bon, peut-on croire en entendant le slogan d'une
marque de plats cuisinés : «c'est si bon de faire confiance à une femme».
Mots-clés:objet, utilisation, excessive, jolie, fille, plaisir
Le travail est-il toujours un facteur d'intégration sociale ?
Dissertation qui analyse si le travail n'a pas perdu son rôle d'intégrateur, symbolisant dès lors
une réelle exclusion de l'individu qui se retrouve en marge de la société.
Dissertation № 8304 | 1365 mots ( approximativement 3.4 pages ) | 0 sources | 2008
$ 4.95
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Résumé
Dans l'ensemble des sociétés modernes, et cela depuis les Trente Glorieuses notamment, le travail
occupe une place prépondérante. Cependant, si sa valeur est inhérente aux sociétés actuelles, il
n'est pourtant pas toujours le symbole d'une intégration sociale totale d'un individu avec autrui.
Si le lien social est parfois fondé sur le monde professionnel, le travail peut également être à
l'origine d'un délitement de ce même lien social.
I- Le travail comme instrument intégrateur : la socialisation des individus
II- Des limites à une intégration parfaite : un chômage en progression et une omniprésence des
mutations
Extrait du document
La valeur du travail est reconnue comme très importante au sein des sociétés modernes. Le travail
occupe en effet une place centrale dans ces sociétés : « Le travail est l'un de ces grands faits
sociaux qui ont une place essentielle dans l'existence des individus ». Les individus faisant partis de
la population active sont reconnus comme membres à part entière de la société ; ils ont une
certaine image de marque et ne sont donc absolument pas stigmatisés par la société, bien au
contraire.
Les travailleurs, par le fruit de leurs efforts, se sentent utiles vis-à-vis de la société ; ils participent
au bon fonctionnement de celle-ci et l'a font « vivre ».
En plus de structurer le temps de l'individu, et donc de lui donner certains repères particuliers, le
travail renvoi donc une image positive à l'individu. Se sentir bien avec soi-même, n'est-ce pas se
sentir également bien avec les autres ?
Mots-clés:profession, stigmatisation, collègue, cohésion, qualification, activité
"Stigmates, les usages sociaux des handicaps" d'Erwing Goffman
Fiche de lecture sur l'ouvrage de Goffman qui pose la question de savoir comment la personne
présentant un stigmate visible (personne discréditée) va gérer ses relations sociales avec les
personnes dites «normales».
Fiche de lecture № 9571 | 3120 mots ( approximativement 7.8 pages ) | 1 source | 2007
$ 9.95
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Résumé
E. Goffman veut nous montrer au travers de cet ouvrage que la société et les relations sociales sont
régies par des règles, des normes et que si toutefois une personne s'en écarte, elle est considérée
comme «anormale» ou «asociale» et donc pas tout à fait humaine.
C'est pourquoi les personnes présentant un stigmate visible ressentent un malaise face aux
personnes normales car les stigmatisés présentent une particularité qui les discréditent et qui les
définissent comme des «déviants» car non conformes aux normes de la société.
1/ La situation de l'auteur (professionnelle, historique, intellectuelle)
2/ La ou les questions centrales de l'ouvrage
3/ Les thèses défendues par l'auteur
4/ Repérage des mots clefs et des concepts
5/ Situer l'ouvrage dans la production intellectuelle du champ ou de l'histoire de la thématique
6/ Si l'ouvrage s'appuie sur une recherche de terrain donné, situez cette recherche et le dispositif
méthodologique
7/ Trouver un ouvrage qui correspond à la même sensibilité épistémologique, qui se situe dans le
même type de recherche ou bien dans le même panorama de réflexion tout en mettant en avant
une autre sensibilité épistémologique ou une autre orientation
8/ En quoi vous sentez-vous concernés personnellement par cet écrit ? Qu'est-ce qu'il vous apporte
dans votre projet de connaissance ou dans l'élaboration de votre projet de recherche ?
Extrait du document
Les personnes discréditées ne peuvent pas dissimuler leur stigmate, trop visible et doivent donc
comme nous l'avons expliqué plus haut gérer leur rapport aux autres. Erving Goffman décrit
également les modalités du contrôle social. En effet, il existe un contrôle social informel assumé
par l'ensemble des membres du groupe qui en quelque sorte font pression sur chacun d'entre eux
pour que les règles du groupe soient respectées. La stigmatisation est le plus souvent le produit du
contrôle informel.
Mots-clés:identité, culture, groupe, stigmatisation, société, minorité
Les cosmétiques pour hommes
Mémoire qui pose la question de savoir si les cosmétiques pour hommes répondent à un réel
besoin ou à une stratégie marketing mise en place par les marques pour créer une nouvelle
cible et développer un nouveau marché.
Mémoire ou thèse № 9601 | 24650 mots ( approximativement 61.6 pages ) | 49 sources | 2008 |
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Résumé
A travers cette problématique, il s'agit de mieux comprendre d'une part, la relation de l'homme
avec son apparence à travers une approche sociétale et comportementale et d'autre part, d'étudier
les stratégies des professionnels des cosmétiques pour répondre à ce besoin sur ce marché en pleine
expansion.
Alors, le nouveau business du bien-être, véritable changement sociétal ou simple passade ?
I. L'évolution du comportement masculin dans la société française
A. Le changement de statut
B. Une féminisation ou un hédoïsme masculin ?
II. Les cosmétiques pour homme : des stratégies marketing adaptées à de nouveaux besoins
A. Le marché des cosmétiques pour homme
B. Stratégie «Push» ou «Pull» ?
Extrait du document
A travers notre analyse, nous avons pu en conclure que les hommes ont évolué dans la société et
cette évolution s'est manifestée par un besoin en faveur des produits cosmétiques, en lien avec la
problématique de départ de bien être et de santé. Parallèlement, les professionnels des
cosmétiques ont contribué à cette attitude favorable et ont voulu répondre à ces besoins à travers
différentes stratégies. Ces stratégies ont été développées en réponse à des réactions par la création
d'une identité de marque solide sur laquelle l'homme peut se fier. C'est cette même marque qui l'a
éduqué, qui lui a appris à être séduisant, qui lui donne les meilleurs conseils, et qui lui donne les
clés du bien–être.
Mots-clés:clientèle, adolescent, homosexuel, tendance, prix, produit
"L'acteur et le système" de Crozier et de Frieberg
Fiche de lecture portant sur les contraintes de l'action collective. Ce livre est un modèle auprès
de tous les sociologues qui souhaitent travailler dans le domaine de l'organisation stratégique.
Fiche de lecture № 2908 | 1525 mots ( approximativement 3.8 pages ) | 1 source | 2007 |
$ 4.95
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Résumé
L'acteur n'existe pas, en dehors du système qui définit la liberté qui est la sienne et la rationalité
qu'il peut utiliser dans son action.
Mais le système n'existe que par l'acteur qui seul peut le porter et lui donner vie, et qui peut seul le
changer. C'est de la juxtaposition de ces deux logiques que naissent ces contraintes de l'action
organisée, que leur raisonnement essaie de mettre en évidence.
La question centrale de ce livre est de savoir à quelles conditions et au prix de quelles contraintes
l'action collective, c'est-à-dire l'action organisée, des hommes est possible.
Extrait du document
L'action collective et organisation sont donc complémentaires. Ce sont deux faces indissociables
d'un même problème : celui de la structuration des champs à l'intérieur desquels l'action, toute
action, se développe. L'action collective n'est pas un exercice gratuit. Ce n'est rien d'autre que de la
politique quotidienne. De toute façon, tout est politique puisque le pouvoir est partout.
Il n'y a pas de systèmes sociaux entièrement réglés ou contrôlés. Les acteurs individuels ou collectifs
qui les composent ne peuvent être jamais réduits à des fonctions abstraites et désincarnées. Ce
sont des acteurs à part entière qui, à l'intérieur des contraintes souvent trop lourdes que leur
impose le système, disposent d'une marge de liberté qu'ils utilisent de façons stratégique dans leurs
interactions avec les autres.
Les relations aux autres sont toujours des relations de pouvoir dans la mesure même où il existe,
c'est-à-dire demeure, un acteur relativement autonome, au lieu d'être un simple moyen.
Mots-clés:maîtrise, communication, production, pouvoir
Le culte du corps
TPE qui pose la question de l'importance de la beauté dans notre société et du développement
de la chirurgie esthétique.
TPE № 4459 | 8600 mots ( approximativement 21.5 pages ) | 13 sources | 2007
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Résumé
La beauté du corps dans nos sociétés a toujours tenu une place prépondérante. On le voit à travers
la recherche continuelle du beau depuis des millénaires.
De nos jours, cette recherche de la beauté parfaite s'accentue et touche tous les domaines jusqu'à
la politique.
En effet, en période de campagne présidentielle, on remarque que les candidats font très attention
à leur apparence, à ne pas trop transpirer, à paraître en bonne forme, éveillé et de bonne humeur.
On sait que certains d'entre eux comme Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy, ont eu recours à la
chirurgie esthétique, l'une pour les dents, l'autre pour effacer les rides entre les yeux.
En quoi la beauté est elle importante dans notre société ?
Pourquoi la chirurgie esthétique connaît tant d'effervescence ?
I) Le culte de la beauté
1. La beauté en question
2. L'influence des médias sur la société
II) Les caractéristiques de la chirurgie esthétique
1. Chirurgie réparatrice et chirurgie esthétique
2. L'aspect technique de la chirurgie
III) Les limites de la chirurgie
1. Des patients sans réel besoin
2. Les voyages esthétiques
3. Les risques et les complications
Extrait du document
La beauté était déjà source de préoccupation au temps des pharaons, des corps de rêve, proches
des modèles actuels, défilaient sur les parois des temples et des tombes égyptiennes. Pour cette
civilisation, le beau était source de vérité et d'équilibre, c'était une des valeurs importantes.
Au moyen âge, l'archétype de la beauté se révèle être la femme blonde, grande et mince. Selon les
écrivains de l'époque, c'est un modèle qui a toujours existé et qui a su plaire.
A la renaissance, les artistes, notamment vénitiens et flamands, redécouvrent l'antiquité. La mode
est au teint clair, synonyme de richesse, et les corps deviennent plus charnus car ceci se trouve être
un indice de bonne santé. A la cour du roi soleil, l'artifice règne en maitre. Dorénavant, le
maquillage supplante le naturel et permet d'exagérer certains traits du visage ou du corps afin d'en
traduire les émotions. C'est le culte de soi et sa mise en valeur qui s'imposent. Le mot « maquillage
» apparait, le rouge sert à masquer la vieillesse et à éveiller la sensualité. L'idéal, à la renaissance,
est l'enfant avec ses joues rouges et son visage de poupée.
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La parité homme/femme
Exposé traitant de la parité et de son évolution dans différents domaines.
Exposé № 6339 | 1650 mots ( approximativement 4.1 pages ) | 4 sources | 2008
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Qu'est-ce que la parité ? C'est l'égalité parfaite entre deux choses…
La parité entre les hommes et les femmes est donc l'égalité dans tous les domaines de ces deux
groupes pour qu'ils ne forment plus qu'un, celui d'êtres vivants.
Depuis toujours les femmes mènent ce "combat" pour l'égalité des sexes…
Quelles sont exactement les problèmes qu'elles rencontrent, les moyens mis en place pour assurer à
la parité ? D'abord, en France, en politique, le berceau de la démocratie ; puis dans la vie
quotidienne ; cette étude montre enfin les différences qu'il y a avec d'autres pays du monde.
I. Introduction
I. En politique
III. Au quotidien
IV. Comparaison avec d'autres pays du monde…
V. Conclusion
VI. Débat
Extrait du document
"Depuis deux ans, la discrimination, la violence et l'insécurité y sont omniprésentes, en dépit des
promesses faites par les dirigeants de la planète, dont Georges Bush et le secrétaire d'état
américain Colin Powell, que la guerre en Afghanistan permettrait de libérer les femmes" a souligné
l'organisation de défense des droits humains.
Centré sur l'absence de justice pour les femmes, qui n'ont pas le sentiment d'être traitées comme
des êtres humains, le rapport d'Amnesty Internationale rend compte des préoccupations des femmes
afghanes vis-à-vis des violences conjugales généralisées, des mariages forcés et des viols imputables
à des groupes armés. Dans certains cas, des fillettes âgées de 8 huit seulement, n'ayant donc pas
l'âge du consentement sexuel, sont mariées à des hommes beaucoup plus âgés. De plus, les femmes
d'Afghanistan ne peuvent pas recourir à la justice. Des barrières sociales et communautaires les
empêchent dans de nombreuses régions de chercher à obtenir réparation, et même lorsqu'une
femme est en mesure de se mettre en rapport avec la police ou les tribunaux, elle est confrontée à
une très forte discrimination, ceci est intolérable! Les femmes ont longtemps été obligées de porter
la bourka (voile de la tête au pied + grillage sur le visage), et officiellement aujourd'hui elles ne
sont plus tenues de le mettre… Mais la réalité est plus dure!"
Mots-clés:société, féminisme, discrimination, politique
Les droits fondamentaux des prisonniers
Exposé portant sur la reconnaissance des droits fondamentaux au sein du milieu carcéral et sur
la conciliation entre les libertés fondamentales et le paradoxe de la détention limitant ces
droits.
Exposé № 7286 | 3445 mots ( approximativement 8.6 pages ) | 6 sources | 2008
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Résumé
Comment concevoir la reconnaissance des droits fondamentaux dans le contexte de la detention, là
où la liberté n'est pas la règle mais l'exception? La privation de liberté ne peut entrainer d'autres
restrictions aux droits du détenu que celles qu'entrainent nécessairement les exigences de sécurité
et de contrôle de celui-ci.
Un détenu peut se définir comme une personne qui a été incarcérée par ordre de l'autorité pour
avoir commis un ou plusieurs préjudices envers la société ou envers un particulier.
Par définition, il voit donc sa liberté d'aller et venir très fortement restreinte.
Cependant, l'ensemble des droits juridiquement reconnus ou droits moraux fondamentaux, doivent
être préservés. Cette étude rejoint celle des partisans de l'ingérence minimale et de la
normalisation au sein de la prison de la situation des détenus. Il faut souligner dès lors que les droits
fondamentaux sont consubstantiels à la notion de liberté fondamentale. La rencontre des droits
fondamentaux et la prison soulève nécessairement des questions.
S'il apparait clairement que certains droits fondamentaux sont effectivement reconnus aux détenus
afin de leur permettre de jouir d'une certaine liberté, il est toutefois indéniable que ces droits font
l'objet d'une application restrictive.
I/ Une reconnaissance effective des droits fondamentaux
A. Le droit à la vie : le respect de la dignité du prisonnier
B. La liberté individuelle : sûreté et respect de la vie privée
II/ Une application limitée des droits fondamentaux
A. Une atteinte aux droits fondamentaux
B. Vers une protection renforcée des droits fondamentaux des détenus ?
Extrait du document
La loi du 18 janvier 1994 a réformé le dispositif des soins en milieu pénitencier. Les détenus doivent
disposer d'une qualité et d'une continuité des soins équivalentes à celles dont bénéficient la
population libre. Ils bénéficient aussi d'une couverture sociale.
Ainsi, selon l'article L. 1110- 2 du Code de la Santé Publique : « La personne malade a droit au
respect de sa dignité.» Ce droit au respect de la dignité de la personne malade est une déclinaison
du principe constitutionnel de sauvegarde de la dignité de la personne humaine reconnu par une
décision de 1994 -bioéthique- . D'une part, le respect de la dignité du malade implique de tenir
compte de son état particulier qui le différencie des personnes en bonne santé. D'autre part, cela
implique de prendre en considération le fait que le malade reste une personne humaine à part
entière quelque soit son état et la situation dans laquelle elle se trouve (prisonnier ou personne
libre).
Ce respect implique la garantie du droit aux soins énoncée à l'article L. 1110- 5 alinéa 1 du Code de
la Santé Publique : « Toute personne a, compte tenu de son état de santé et de l'urgence des
interventions que celui-ci requiert, le droit de recevoir les soins les plus appropriés et de bénéficier
des thérapeutiques dont l'efficacité est reconnue et qui garantissent la meilleure sécurité sanitaire
au regard des connaissances médicales avérées. Les actes de prévention, d'investigation ou de soins
ne doivent pas, en l'état des connaissances médicales, lui faire courir de risques disproportionnés
par rapport au bénéfice escompté.»
Mots-clés:respect, dignité, prisonnier, torture, inhumain, dégradant
Facebook et ses dangers
Etude de cas qui présente les risques encourus par les utilisateurs des nouveaux réseaux
sociaux sur Internet, en s'intéressant particulièrement à la communauté Facebook.
Étude de Cas № 9528 | 1895 mots ( approximativement 4.7 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
A l'origine, Facebook avait été créé pour rassembler les étudiants de Harvard avant de s'étendre aux
autres universités américaines et au monde entier depuis Septembre 2006.
Facebook est devenu un réseau social sur internet destiné à rassembler des personnes proches ou
inconnues. Ce réseau est un phénomène mondial car en deux années, il a rassemblé plus de 100
millions de membres.
En quoi la communauté Facebook modifie les relations entre les individus membres de ce réseau
tant au niveau virtuel que réel et quels sont les risques et déviances qui peuvent en résulter ?
1. Les impacts de Facebook sur l'individu et ses relations en société
2. Le problème de la confidentialité des informations personnelles dans les nouveaux réseaux
sociaux : les risques et déviances possibles
Extrait du document
Un comportement qu'il faut analyser est celui de savoir qui nous devons accepter comme contact
sur Facebook ? Tous les usagers ont des comportements différents à ce sujet. Ainsi, doit-on accepter
uniquement nos bons amis ou nos connaissances voir nos collègues de travail ? La question doit être
posée quand on sait le nombre d'informations personnelles que l'on fournit en acceptant quelqu'un
dans sa liste de contact. Le contact aura ainsi accès à toutes les nouvelles informations (résultats à
des tests, nouvelles photos, nouveaux statuts…). Un employeur pourrait parfaitement s'inscrire sous
un nom banal ou même le nom d'une connaissance (usurpation d'identité) dans le but d'obtenir des
informations. En ce sens, accepter quelqu'un que l'on ne connaît pas dans sa liste d'amis représente
un risque élevé pour nos informations personnelles.
L'impact de Facebook sur le lien social est donc double. On assiste à la création d'une nouvelle
facette du lien social grâce aux nombreuses fonctionnalités qui nous permettent d'interagir avec nos
contacts. Ainsi, les jeux, les tests, le partage de photos et d'informations, et l'accès à des
renseignements personnels nous permettent d'obtenir des informations précises sur des gens que
l'on connaît. Il est intéressant de noter que nous n'aurions jamais demandé certaines de ces
informations. Toutes les fonctionnalités pour tester sa personnalité, jouer à des jeux et comparer
ses résultats avec ceux de ses amis sont propres à Facebook. Cela veut bien dire que sans Facebook,
ces comportements ne pourraient pas exister où du moins qu'ils n'existaient pas avant l'apparition de
Facebook.
Mots-clés:informations partagées, base de données, ciblage publicitaire
L'intégration des handicapés dans la société
Exposé traitant de la difficile intégration des personnes handicapées dans la société et des
différentes aides dont ils bénéficient.
Exposé № 10911 | 1750 mots ( approximativement 4.4 pages ) | 6 sources | 2009
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Résumé
Les handicapés sont encore très mal intégrés dans notre société, néanmoins ils bénéficient de
plusieurs aides quelles soient juridiques, associatives ou autres. Nous allons voir de quelle manière
ces personnes s'intègrent-elles dans la société et ce malgré leurs différences.
I) Une intégration difficile pour ces gens jugés« différents »
1) La scolarité d'un enfant handicapé
2) La vie professionnelle d'une personne souffrant d'un handicap
3) Les conséquences de ces exclusions
II) Des aides à l'intégration
1) Les aides juridiques existantes
2) Les aménagements des lieux publics
3) Les associations
Extrait du document
La vie d'un individu est fondée sur son éducation. L'école est censée préparer un enfant à une vie en
société où l'on doit apprendre et respecter certaines règles comme le respect de l'autre ou la
tolérance par exemple. On aurait donc pu croire que le droit à l'école était accessible à tous en
France. Or, que leurs différences soient physiques, sociales ou comportementales la machine à
éduquer peine à vraiment intégrer des élèves au profil hors-norme. Actuellement 30000 enfants
handicapés ne bénéficient d'aucun contact avec un enseignant.
Mots-clés:scolarité, accessibilité, associations
Marketing d'une association humanitaire
Étude des spécificités des techniques de marché, de politique de communication et
d'organisation d'une association humanitaire.
Étude de Cas № 1242 | 1227 mots ( approximativement 3.1 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
L'association privilégie une population urbaine et ne vise pas des donateurs à l'échelle
internationale. Le donateur d'aide sans frontières est généralement une personne qui favorise le
secteur social ou humanitaire au niveau international. L'association vise une cible sur le long terme,
une cible tous publics, une cible fidèle.
I. La cible de l'association
A) Quelles sont ses caractéristiques principales et ses particularités
II. Le marketing de l'association
A) La technique du parrainage : les avantages et les inconvénients ?
B) Etude des fichiers et notamment l'historique des dons reçus pour l'association
C) Quelle analyse peut-on faire des résultats de mailings : taux de réponse selon le fichier et selon
la période, valeur du don moyen ?
D) Les dirigeants de l'association consacrent un petit budget pour une véritable politique de
communication
Extrait du document
En ce qui concerne ses particularités, le profil type du donateur ASF est une famille qui s'apparente
à un individu ou à un couple qui a deux enfants et dont le niveau d'instruction atteint le secondaire
ou le supér-ieur. Au niveau de la religion, les catholiques semblent les plus nombreux donateurs.
L'association va chercher ses donateurs directement à leur domicile, notamment par le biais du
publipostage, meilleur moyen de communication d'aide sans frontières. Elle favorise le jeune couple
qui a des enfants et qui sera d'autant plus sensibilisé par les projets d'aide sans frontières qui
luttent pour la scolarisation et la santé des enfants dans le monde, mais elle vise aussi les personnes
sans enfants, enjeux plus compliqués.
Aide sans frontières se positionne sur une cible très large de dons privés. Elle privilégie les
particuliers afin d'impliquer directement les donateurs et faisant alors de l'association un simple
intermédiaire. Les donateurs sont ici des clients.
Mots-clés:enfants, baisse d'impôts, enquêtes, téléphoniques, parrain, cross
Le marketing olfactif sur le comportement d'achat du consommateur
Etude sur le marketing sensoriel : son histoire, ses utilisations et ses limites.
Mémoire ou thèse № 2297 | 11435 mots ( approximativement 28.6 pages ) | 11 sources | 2007
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Résumé
1- Panorama du marketing sensoriel et plus particulièrement du marketing olfactif
1.1. Définition et enjeux du marketing sensoriel
1.2. Les origines du marketing sensoriel
1.2.1. Cadre théorique :
1.2.2. Historique du marketing sensoriel
1.3. Objectifs du marketing sensoriel et plus particulièrement du marketing olfactif
1.4. Les outils du marketing olfactif
1.5. Les utilisations du marketing olfactif
2- L'Influence du marketing olfactif sur le comportement du consommateur
2.1. Cadre théorique
2.1.1. La perception de l'odeur d'ambiance
2.1.2. La perception de l'odeur combinée aux préférences va créer des réactions affectives
2.1.3. Les comportements d'approche ou d'évitement du consommateur
2.2. Les études qui ont été menées
2.2.1. Cadre des études
2.2.2. Les résultats obtenus
2.2.3. Conclusion des études qui on été menées :
2.2.4. Les difficultés d'interprétation des résultats
2.2.5. Conclusions partielles
3- Les perspectives à venir du marketing olfactif
3.1. Des utilisations au service de la télévision et du cinéma
3.2. Les nouvelles utilisations du marketing olfactif : internet
4- Vers une remise en question du marketing olfactif ?
4.1. Des contraintes techniques à surmonter
4.2. Limitations juridiques
4.2.1. Protection de l'environnement et du consommateur
4.2.2. Propriété intellectuelle
4.3. Des goûts différents d'un individu à l'autre
4.4. Un coût important
4.5. Marketing olfactif et éthique
Extrait du document
Tout d'abord, il est important de souligner que le marketing sensoriel peut être défini comme un
ensemble d'outils venant compléter les instruments déjà utilisés par le marketing traditionnel, tel
qu'on le connaît aujourd'hui, en faisant intervenir les sens : l'odorat, le toucher, le goût, la vue ou
encore l'ouïe. Le marketing des sens vise à augmenter la qualité perçue du produit et à créer une
relation intime entre le produit et le consommateur. Les consommateurs n'achètent plus un produit,
une marque ou un logo, mais de plus en plus un concept, une sensation.
Il a pour objet de solliciter un ou plusieurs des cinq sens du consommateur pour le séduire, tout en
accroissant son bien-être et en faisant naître des émotions qu'il associera à un produit ou à un lieu à
l'avenir, et cela, dans un but commercial. Si la vue, le toucher et le goût font depuis longtemps
partie intégrante du marketing produit (les dégustations de fromage au rayon crémerie sont des
pratiques courantes), l'expression « marketing sensoriel » s'est développée lorsque les grandes
marques ainsi que les commerçants ont commencé à exploiter les deux autres sens, à savoir l'odeur
et le son, pour vendre leurs produits et animer leurs points de vente.
Mots-clés:comportement d'achat, odorat, ambiance, fidélisation, habitude, marque
"La mise en scène de la vie quotidienne" de Erving Goffman
Fiche de lecture portant sur l'ouvrage de Erving Goffman. Ce livre est une sorte de guide de la
vie sociale, une liste expliquée de nos comportements.
Fiche de lecture № 5232 | 750 mots ( approximativement 1.9 pages ) | 0 sources | 2007 |
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Résumé
Comment l'individu se comporte-t-il face à autrui ? Quelles sont ses attitudes ? Quel rôle joue-t-il ?
Quelle influence exerce autrui sur les comportements de l'individu, en bref : quel type de vie
sociale mène-t-il ?
Voici les questions auxquelles Erving Goffman s'efforce de répondre dans son livre paru en 1973.
Erwing Goffman fait une étude claire de situations complexes en utilisant de nombreuses références
toutes soigneusement expliquées, ce qui permet une meilleure compréhension de lecteur.
Extrait du document
Quoi de plus efficace pour intéresser le lecteur que de lui parler de lui-même ? En effet, les
personnes mises en scène dans ce livre sont des personnes quelconques qui interagissent dans des
situations banales qui arrivent tous les jours à n'importe qui. Quoi de plus parlant que la vie
quotidienne ? N'est-ce pas dans la vie quotidienne que nos comportements sociaux évoluent le plus
?
Cette vie quotidienne est mise en scène de façon théâtrale avec des fictions, des acteurs, ce qui
rend le lecteur spectateur de lui même. On assiste au premier chapitre à une représentation de
l'interaction entre autrui et ce qui pourrait «me» représenter.
Les explications données dans ce livre, à propos des phénomènes sociaux observés, sont complétées
par des références à d'autres auteurs (philosophes, romanciers, sociologues…) et illustrées par des
exemples concrets et clairs à l'image du livre.
Mots-clés:contradictoire, état d'esprit, communication, technique, protéger, équipe
Les enjeux de l'éducation et de la formation au XXIème siècle
Dissertation qui dresse un constat sur l'éducation et la formation en ce début de siècle, alors
que l'Europe connait un vieillissement généralisé de sa population.
Dissertation № 5592 | 1155 mots ( approximativement 2.9 pages ) | 0 sources | 2006
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Résumé
On peut constater l'importance que donne la loi à l'éducation, considérée comme la première
priorité nationale. En ce début de XXIème siècle cet enjeu prend progressivement de plus en plus
d'importance dans le contexte du vieillissement généralisé de la population européenne. Le système
français fonctionne sur un système d'école unique, ce qui est une conception bien française de
l'éducation.
La loi semble garantir «l'égalité des chances».
Extrait du document
L'étymologie latine du mot «éducation», educatio, signifie «élevage» ou «formation de l'esprit».
C'est au sens strict, la mise en œuvre de méthodes et de procédés propres à assurer la formation et
le développement d'un être humain. Pour le philosophe E.Kant : «L'homme est la seule créature qui
doive être éduquée» car pour lui l'homme doit acquérir la culture qu'il ne possède pas
naturellement. Nous avons sur ce point un avis similaire étant donné que l'école joue un rôle moteur
dans la socialisation primaire des individus (et il s'agit phase la plus importante). Toujours d'après
E.Kant, il existe deux branches fondamentales de l'éducation : la discipline et l'instruction. La
discipline est la partie négative de l'éduction. En effet, elle habitue l'enfant à supporter la
contrainte des lois. En ce sens, elle l'aide à surmonter sa sauvagerie originaire.
Mots-clés:égalité, chance, orientation, culturel, religieuse, linguistique
"Culture écrite et inégalités scolaires" de Bernard Lahire
Fiche de lecture sur l'ouvrage de ce sociologue français dans lequel il entreprend une analyse
sociologique de l'inégalité sociale devant l'école primaire.
Fiche de lecture № 6910 | 1540 mots ( approximativement 3.9 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
Bernard Lahire réalise une analyse microsociologique des pratiques scolaires et sociales de lecture
et d'écriture par une étude détaillée des pratiques scolaires d'élèves du Cours Préparatoires au
Cours Moyen 2ème année en français. Il énonce la signification sociologique de ce problème d'un
point de vue d'une anthropologie de la connaissance et d'une anthropologie du pouvoir.
Il fait référence à plusieurs auteurs. Notamment Pierre Bourdieu lorsqu'il évoque les «difficultés»
des élèves d'origines populaires avec le schéma de dominant/ dominant.
La problématique ou plutôt les questions de société dégagées par ce livre sont les suivantes :
Que veut dire "échouer" ou "réussir" à l'école primaire ?
Pourquoi les enfants d'origine populaire éprouvent-ils des «difficultés» en lecture, écriture,
grammaire, conjugaison, orthographe, vocabulaire, expression orale et expression écrite ?
Quel est le processus de construction de l'échec scolaire à l'école et plus précisément dans les
classes ?
Extrait du document
L'auteur met en exergue les débats entre macro sociologue et micro sociologue. Il avance que les
sociologues de ces différents courants théoriques ont chacun abordé une partie de la réalité sociale.
Il se base lui-même sur ces deux courants théoriques.
En effet, il avance qu'il est important de cadrer à l'aide de données statistiques, le problème qu'il
entend traiter. Il va donc s'appuyer sur des approches macrosociologiques qui ont dressé le tableau
statistique de l'échec scolaire. Sans ces études statistiques et leurs analyses sociologiques, toute
étude particulière ne serait qu'une monographie.
Mots-clés:méthodologie, observation, nationalité, système, difficulté, échec
Les obstacles à la médiation familiale
Analyse complète du concept de la médiation familiale. Qu'est-ce au juste, qui peut la
pratiquer ? La société française est-elle prête pour cette forme de médiation ? Pourquoi n'a-telle pas eu le succès auquelle elle se destinait ?
Travail de Recherche № 164 | 7600 mots ( approximativement 19 pages ) | 27 sources | 2007
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Résumé
La médiation familiale s'est développée, dans les années 1980 en France, dans un contexte de
mutation de la famille contemporaine pour répondre aux difficultés que connaissaient les familles
en séparation.
Cependant, dans la pratique, elle n'est que très peu utilisée. En effet, des obstacles s'opposent à
son développement. Comment explique-t-on ce paradoxe ? La médiation n'est-elle pas efficace ?
Est-elle possible dans tous les cas ? Que pourrait-on faire pour assurer son évolution ?
PREMIÈRE PARTIE : LES OBSTACLES À LA MEDIATION FAMILIALE
§1- Les limites ″internes″ au fonctionnement de la médiation familiale
1) Un coût prohibitif
2) L'incapacité des personnes
3) Les limites du médiateur
§2- Les obstacles culturels
1) Une logique de confrontation
2) Conséquences de cette logique
§3- Obstacle tenant à la lecture du conflit
1) Le conflit destructeur
2) Le conflit créateur de lien
§4- Rôle du monde judiciaire et de la loi : des obstacles ?
1) L'absence de définitions
2) Le rôle du juge
3) L'injonction d'information
§5-la médiation familiale : un enjeu de pouvoir
§6- Paradoxes et ambiguïtés de la médiation familiale
1) Le paradoxe de la médiation familiale
2) La médiation repose sur une illusion et ne répond à aucun besoin
3) La médiation familiale peut être néfaste
DEUXIÈME PARTIE : PROPOSITIONS POUR DEVELOPPER LA MEDIATION FAMILIALE
CHAPITRE 1 : LE FLOU CONCEPTUEL, LE VERITABLE OBSTACLE
§1- Le primat de l'urgence théorique
1) L'histoire de la médiation
2) L'urgence de clarification
§2- Le « SMIC » conceptuel
1) Définition de la médiation familiale
2) Le concept de la médiation familiale
CHAPITRE 2 : DES PERSPECTIVES D'AVENIR POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA MÉDIATION FAMILIALE
§1- Assurer l'information et la diffusion de la médiation familiale
1) Une meilleure information du public
2) Information et sensibilisation des professionnels
3) Ouverture de son champ d'application
4) Le coût pour les demandeurs
§2- Une idéologie de savoir vivre à développer
Extrait du document
La médiation familiale s'est développée en France depuis une quinzaine d'années dans un contexte
de profonde mutation de la famille traditionnelle. Elle est l'œuvre de pionniers qui l'ont découverte
outre-Atlantique, et qui ont voulu transporter ce modèle sur le territoire français. Elle s'est
développée dans un premier temps de manière empirique face à un vide juridique, avant d'être
reconnue comme une nécessité par les pouvoirs publics en tant que moyen privilégié pour satisfaire
à la nouvelle idéologie de co parentalité. Dans un deuxième temps, ce sont ses promoteurs qui ont
voulu clarifier sa place. En effet, ceux-ci ont pris conscience qu'ils avaient mis l'accent en priorité
sur la pratique, et qu'elle ce retrouvait de ce fait dans un vide théorique et conceptuel. L'urgence
théorique et la nécessité de sa professionnalisation ont constitué un deuxième combat pour ses
promoteurs. Finalement, grâce aux travaux du Conseil National Consultatif de la Médiation Familiale
(CNCMF), la médiation a été institutionnalisée et reconnue comme pratique professionnelle ( Loi du
4 mars 2002 et création du diplôme d'Etat en 2004). Cette avancée est incontestable en terme de
reconnaissance de la médiation familiale, mais elle comporte le risque de la voir grandir comme «
province du judiciaire ».
Mais malgré l'engouement qu'elle a suscité, elle a encore peu de « clients » et connaît une relative
stagnation ces dernières années.
Des obstacles l'empêchent de progresser et de devenir un recours connu et reconnu par les familles
en conflit. Ceux-ci tiennent à son public, la société française elle-même, qui n'est pas encore en
mesure, culturellement, de fonctionner selon ce procédé. Notre société est peu habituée à la
culture du changement et a une mauvaise lecture du conflit. La médiation familiale comporte
également des limites « internes » à son fonctionnement et connaît des échecs en terme de réussite
en fonction des parties et du médiateur. Une partie de la doctrine, qui défend la médiation
familiale à sa manière, y voit un paradoxe fondamental dans la tournure que prend son évolution.
En effet, comment concilier l'éthique de la médiation, qui se voulait à son départ non
interventionniste, librement consentie et sans pouvoir et la volonté de l'ériger comme profession,
au même titre que les autres professions du champ socio légal. Ce paradoxe fait l'objet de critiques.
De même, sa faible diffusion, en terme d'information de son publique et de sensibilisation des
acteurs publics et privés constitue un obstacle à sa connaissance. La majorité des gens ne
connaissent pas l'existence de la médiation familiale ou n'y accordent que peu de crédit. Ces
constatations ont conduit à réfléchir sur les moyens de la rendre plus claire, de la positionner par
rapport aux autres activités ayant attrait a la préservation du lien familial et surtout de la
distinguer des multiples représentations véhiculées par le terme de médiation en général, qui en
font un concept flou. Un besoin de confiance en la médiation familiale se fait sentir, et cette
confiance passe avant tout par la nécessité de construire une théorisation rigoureuse de son
concept.
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Dans quelle mesure peut-on parler d'une moyennisation de la société française ?
Dissertation d'économie sur l'apparition progressive de la classe moyenne dans la société
française depuis les trente glorieuses. Il aborbe aussi bien l'aspect économique que l'aspect
sociologique.
Dissertation № 211 | 850 mots ( approximativement 2.1 pages ) | 5 sources | 2007
$ 4.95
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Résumé
La moyennisation est apparue avec les Trente Glorieuses. Les français ont adopté des modes de vie
similaires et les inégalités se sont restreintes. Cependant les modes de vie restent hiérarchisés et
les inégalités sociales et économiques se cumulent.
Dans un premier temps nous constatons qu'il y a eu une moyennisation de la société française depuis
la seconde moitié du 20ème siècle. Dans un second temps, nous nous rendons à l'évidence qu'il est
difficile de parler de moyennisation car il subsiste encore de fortes disparités en France.
Extrait du document
Un récent sondage montre que 75% des habitants des pays européens développés ont le sentiment
d'appartenir à la « classe moyenne ».
La moyennisation d'une société signifie l'attenuation des disparités socio-économico-culturelles
entre ses habitants. Elle correspond à l'accession d'un mode de vie moyen pour la population.
Peut-on parler d'une moyennisation de la société française depuis le début des Trente Glorieuses
(1945)?
Il existe aussi des inégalités dans l'accession à la culture. En effet 84% des cadres et professions
libérales lisent régulièrement des livres, contre 33% pour les ouvriers. Ces différences sont
expliquées par le sociologue Pierre Bourdieu par une socialisation différente entre les catégories de
la population.
Ainsi malgré l'homogénéisation des modes de vie il subsiste une hiérarchie dans la consommation,
l'emploi et les loisirs.
Mots-clés:trente glorieuses, état providence, inégalités, disparités
"Diversité culturelle et mondialisation" de Armand Mattelart
Fiche de lecture sur cet ouvrage synthétique qui retrace l'évolution conjointe de la culture et
du mondialisme.
Fiche de lecture № 734 | 2300 mots ( approximativement 5.8 pages ) | 0 sources | 2007
$ 6.95
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Résumé
Ce livre présente les contradictions entre une vision de la culture, comme simple élément marchand
destiné à tous, et une vision plus traditionnelle, qui se refuse à réduire la culture. L'auteur montre
aussi les tensions entre un monde mercantile, universel, fondé sur le libre-échange, et
l'universalisme des valeurs, de la culture prôné par les Lumières. Cette opposition est celle qui
structure l'opposition entre la France, l'Espagne, l'Italie, d'une part, et le monde anglo-saxon,
d'autre part.
I. Résumé des chapitres
1. Domestication du divers
2. Géopolitique des relations culturelles
3. Institutionnalisation de la culture
4. La « révélation » de l'échange inégal
5. La circularité global/local
6. L'exception culturelle : un modèle européen ?
7. Géopolitique de la diversité : l'enjeu civilisationnel
II. Approche critique de l'ouvrage
Extrait du document
A. Mattelart, s'il montre bien la tension existant entre la lutte pour la sauvegarde des identités et «
l'ethnocentrisme des colonisations culturelles », ne montre pas dans ce livre l'opposition de plus en
plus violentes entre les cultures. Le livre présente de façon très précise l'action des Etats-Unis pour
limiter ces tentatives de protection de la diversité culturelle, par les moyens de pression peu
louables (chantage à l'aide alimentaire par exemple), c'est-à-dire la recherche de l'hégémonie
culturelle des Etats-Unis, cependant il ne présente pas les conséquences de cette action. On peut
citer le travail de S. Huntington, Le choc des civilisations : il montre bien les conséquences
violentes de l'uniformisation culturelle, la réaction violente de certains blocs de civilisation, les
civilisations confucéenne et islamique. Face a l'intrusion des Etats-Unis dans le domaine culturel,
ces civilisations se protègent et se replient sur elles mêmes, de plus en plus violemment. Le livre ne
présente pas cet aspect de la diversité culturelle, l'affrontement de plus en plus violent, le refus de
plus en plus marqué de l'uniformisation culturelle.
Mots-clés:échange, inégalité, géopolitique, diversité, globalisation, croissance
Quels sont les principaux facteurs de motivation des salariés ?
Mémoire de ressources humaines présentant des études théoriques relatives à la motivation au
travail ainsi que des études récentes mettant en avant les principaux éléments de motivation.
Mémoire ou thèse № 2531 | 4930 mots ( approximativement 12.3 pages ) | 12 sources | 2007
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Résumé
Ce document est un mémoire réalisé dans le cadre d'études spécialisées dans la Gestion des
Ressources Humaines. Il met en avant les principales études menées par plusieurs psychosociologues
ainsi que par les spécialistes en économie d'entreprise. Il regroupe l'ensemble des éléments de
motivation au travail, définis par plusieurs ouvrages de sociologie et par de récents sondages, ainsi
que les facteurs de démotivation.
Extrait du document
Nous savons que le recrutement est long et qu'il coûte cher à l'entreprise. Il est donc essentiel de
préserver les salariés au sein de la société. Pour cela, il est très important de motiver à court et
moyen terme les collaborateurs et de les impliquer davantage à la vie de l'entreprise. Or, aucune
personne n'est naturellement plus motivée qu'une autre, la motivation n'est pas une qualité innée
mais une disposition qui s'acquière et se cultive en permanence. Les dirigeants doivent donc sans
cesse relancer l'attention des salariés en favorisant la communication entre les différents niveaux
de hiérarchie. C'est la raison pour laquelle l'entreprise doit aujourd'hui mettre au point différentes
méthodes de motivation car l'homme ressent naturellement le besoin d'être conforté dans son
besoin de confiance et d'appartenance.
Mots-clés:entreprise, communication, taylor, performance, socialisation, relations
Evolution du rôle des femmes
Dissertation qui décrit le développement du statut de la femme dans les sociétés
contemporaines.
Dissertation № 2978 | 840 mots ( approximativement 2.1 pages ) | 0 sources | 2006
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Résumé
En France, le vote des femmes n'est accordé qu'en 1945, mais le statut social de la femme
commence à changer dès le début du XXème siècle, principalement avec la Première Guerre
Mondiale.
Des études actuelles montrent que la moitié des femmes actives sont regroupées dans dix familles
professionnelles, contre les quatre-vingt quatre existantes. Ainsi, bien que le statut social de la
femme ait beaucoup évolué durant le siècle dernier, le rôle de celle-ci n'a pas réellement changé.
Pour offrir une analyse complète et objective sur ce sujet, il faut tout d'abord établir le contexte
historique et les origines des inégalités hommes/femmes dans un ménage ou dans la société, voire
leur évolution, puis les problèmes qui se posent actuellement quand aux rôles des deux sexes dans
la société moderne.
Extrait du document
Les inégalités entre hommes et femmes dans la société ne sont pas nouvelles, déjà dans la Grèce
antique, pourtant très avancée socialement, les femmes étaient méprisées: «c'est Zeus qui a créé le
mal suprême : les femmes», statut qui ne s'améliorera pas durant la Rome antique, société dans
laquelle la femme a pour unique but de se marier et de faire des enfants (elle possédait néanmoins
un statut, qui délimitait son rôle par rapport a l'homme et qui donc ne lui donnait aucun droit). Pour
la majorité des sociétés ayant existé avant le 20ème siècle, le rôle des femmes se limitait donc à
s'occuper des enfants et des taches domestiques. Ce rôle n'était aucunement déterminé par la
nature, et était le fruit d'une transmission a travers le temps (cette condition féminine a été établie
par l'homme préhistorique et considéré comme acquise durant des millénaires). Pour voir le statut
des femmes dans la société réellement changer, il faudra attendre la moitié du 19ème siècle, plus
précisément 1848, avec le droit de vote accordé aux femmes en Wyoming.
Mots-clés:égalité, éducation, école, préjugé, filière
Sport et intégration
Dissertation de sociologie qui traite de l'intégration sociale par le sport des personnes
défavorisées physiquement ou économiquement.
Dissertation № 3973 | 2830 mots ( approximativement 7.1 pages ) | 0 sources | 2008 |
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Résumé
De nos jours, de nombreuses diversités sociales et culturelles subsistent en France. On assiste à une
hiérarchisation des classes sociales et différentes nationalités et origines cohabitent sur l'ensemble
du territoire.
Ainsi, certaines personnes issues d'un milieu social défavorisé ou d'une culture différente peuvent
être désavantagées. L'intégration, c'est s'adapter, s'accoutumer aux modes de vies des sociétés qui
sont différentes des leurs. Le sport, c'est la pratique d'un jeu tout en respectant un ensemble de
règles et ses adversaires. On peut distinguer deux catégories de sport : les sports individuels et les
sports collectifs. On peut ainsi s'interroger sur: «Comment le sport peut-il ou non favoriser
l'intégration ?»
Pour répondre à cette question, il est nécessaire dans un premier temps, de réaliser une étude
documentaire, composée d'études de cas.
Une synthèse et analyse de ces études de cas est alors présentée pour répondre à la
problématique.
I. L'intégration des handicapés
II. L'intégration en société
III. Le racisme dans le football
Extrait du document
Dans le cas de l'intégration des handicapés, on observe que la pratique du sport pouvait être
bénéfique pour des personnes en situation de handicap et que des infrastructures subventionnées
soit par l'Etat, soit par des entreprises privées étaient mises en place afin de favoriser l'intégration.
Cependant, les réponses peuvent être mal adaptées et le suivi pourrait être plus individualisé, dans
le cas du sport pour la rééducation par exemple. Dans le cas de l'intégration en société, on nous
montre que le sport peut être un moyen de canaliser la violence dans les quartiers en difficultés,
souvent qualifiés d' « enclaves », et de favoriser l'unité mais on nous dit également que le sport
peut favoriser l'intégration en société des personnes proches des français dits « de souche » et
défavoriser celle des personnes étrangères stéréotypées.
Mots-clés:communauté, unité, discrimination, différence, classe sociale, célébrité
"Les règles de la méthode sociologique" de Durkheim
Fiche de lecture sur l'ouvrage d'Emile Durkheim dans lequel il définit de façon claire et
synthétique les principales règles et l'approche à respecter dans une démarche sociologique.
Fiche de lecture № 5846 | 1220 mots ( approximativement 3.1 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
En 1894, dans son ouvrage "les règles de la méthode sociologique", Durkheim détermine la méthode
sociologique qui va marquer l'indépendance de la sociologie vis-à-vis de la philosophie. Selon le
sociologue, l'objet de la sociologie est le fait social et les faits sociaux doivent être traité comme
des choses et par conséquent la sociologie peut devenir une science autonome disposant aussi d'un
caractère pratique.
Durkheim considère même qu'elle a une autorité plus grande que les autres sciences du fait de son
objectivité. La méthode de Durkheim se determine par différentes étapes : on définie le fait social
et ensuite on applique les règles relatives à l'observation des faits sociaux, à la distinction du
normal et du pathologique et à la constitution des types sociaux.
I/ L'objet de la sociologie pour Durkheim : le fait social. Donc qu'est-ce qu'un fait social ?
1) La détermination du fait social
2) Caractéristiques du fait social
3) La définition du fait social
II/ Le projet théorique et politique
1) Règles relatives à l'observation des faits sociaux
2) Règles relatives à la distinction du normal et du pathologique
3) Règles relatives à la constitution des types sociaux
III/ L'application proprement sociologique du fait social
Extrait du document
L'enjeu de ces règles est de fixer une base scientifique au projet réformateur de D. en distinguant
le normal du pathologique, D espère déboucher sur un traitement scientifique des questions
pratiques. Le projet pour lui, est de distinguer la santé de la maladie dans différents phénomènes
sociaux. L'objet sont les phénomènes normaux et les phénomènes pathologique, et la méthode pour
déterminer ces faits da rechercher « un critère objectif » D le trouve dans la généralité et pr lui la
première caractéristique grâce a laquelle on reconnaît la santé. Les généralités ne suffisent pas, il
faut remonter a la cause qui nous apparaît comme normale pck générale. Dans les périodes de
transitions, le type normal est lié au système de faits réalisés donc relié au passé. Et ce système de
faits réalisés peut se trouver en décalage par rapport aux conditions nouvelles d'existence sociale.
Ainsi un fait peut être général sans correspondre aux exigences de la situation actuelle de la
société. Dc la généralité apparaît comme une étiquette trompeuse dans ce cas, pck elle se
maintient par la force de l'habitude, sans être étroitement liée aux conditions générales de
l'existence collective. Donc le fait, tout en étant général n'est plus adéquat. Et cette inadéquation
peut le rendre pathologique.
Mots-clés:phénomène, pathologique, concept, espèces, individu, société
"Le suicide" de Emile Durkheim
Fiche de lecture portant sur l'ouvrage sociologique de Durkheim, publié en 1897.
Fiche de lecture № 8091 | 1740 mots ( approximativement 4.4 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
Dans cet ouvrage, Durkheim recherche les causes sociales du suicide. Il fait une étude du taux social
de suicide. L'ouvrage est composé de trois livres qui retracent la méthode utilisée par Durkheim. Il
commence par étudier les causes extra-sociales du suicide. Ensuite, analyse les causes sociales et
les différents types de suicide. Enfin, il observe le suicide en tant que phénomène social. Pour
respecter la démarche utilisée par Durkheim, ce devoir étudie ces trois étapes dans l'ordre de
l'ouvrage.
I. Les facteurs extra-sociaux
A) Les états psychopathiques
B) Les états psychologiques normaux
C) Les facteurs cosmiques
D) L'imitation
II. Les causes sociales et les différents types de suicide
A) Le suicide égoïste
B) Le suicide altruiste
C) Le suicide anomique
III. Le suicide comme phénomène social
A) L'élément social du suicide
B) Rapports du suicide avec les autres phénomènes sociaux
Extrait du document
Durkheim remarque que les suicidés sont souvent des névropathes. Ce seraient donc des personnes
dont leur système nerveux est très sensible. Dans les asiles d'aliénés, il y a plus de femmes que
d'hommes, cependant, il y a plus d'hommes qui se suicident. Durkheim va établir quelques
observations issues de statistiques. Il en ressort que le suicide serait plus répandu dans les villes que
dans les campagnes. Il compare ensuite l'intensité de la tendance à la folie dans les différents
cultes. Il observe que la tendance au suicide augmente avec l'âge, que quand il y a moins de fou il y
a plus de suicide. Le dégénéré se tue plus facilement que le sujet sain mais il ne se tue pas
forcément en raison de son état.
Nous pouvons donc établir la première conclusion : il n'y a pas de relation entre le taux social de
suicide et la tendance à la folie.
Avec la même démarche, Durkheim montre qu'il n'y a pas de rapport constant entre le taux social de
suicide et l'alcoolisme.
Mots-clés:région, cultivé, phénomène, pathologique, perturbation, profonde
Un journaliste peut-il tout dire ?
Dissertation qui pose la question de savoir si le journaliste est un homme libre et quelles sont
ses limites.
Dissertation № 9202 | 1980 mots ( approximativement 5 pages ) | 0 sources | 2006
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Résumé
Dans la société actuelle, les médias se voient souvent être définis comme «le quatrième pouvoir».
Ce statut qui leur est conféré n'est donc pas insignifiant. Constamment, des affaires impliquant les
médias et les politiques, les médias et les personnalités publiques éclatent et remettent en
question la place du journaliste aujourd'hui. Cela pose ainsi une question fondamentale : Un
journaliste peut-il tout dire ? De cette question en découlent de nombreuses autres : Doit-il
s'autocensurer ? Quels sont ses droits ? Sa carte de presse lui donne-t-elle le droit de tout dire ?
Doit-il dire tout ce qu'il sait ? Par quoi ses droits sont-ils limités ? Quel impact a la parole ou la
plume du journaliste dans la société ? En fait, a-t-il le droit et le pouvoir de tout dire ?
I. Le journaliste ne peut pas tout dire
II. Le journaliste s'autorise dans certains contextes à tout dire
III. Les nouvelles formes de journalisme
Extrait du document
La sacro-sainte liberté de la presse est un idéal pour de nombreux journalistes, une illusion pour
d'autres. Car bien souvent, le journaliste ne peut pas tout dire. En effet, il est cadré, encadré, voire
contrôlé par de nombreuses instances et éléments. Ce cadrage, cet encadrement, commence de
manière interne dans une rédaction, par l'établissement dans un journal quel que soit son support
de communication d'une ligne éditoriale, que les journalistes devront respecter . Ainsi, l'orientation
politique d'un journal est une forme de cadrage de la latitude qu'un journaliste aura au sein d'une
rédaction. Selon qu'il est dans un journal plutôt à gauche ou à droite, il y aura certains éléments
qu'il conviendra plutôt de développer ou non, certaines personnalités qui seront constamment
descendues ou encensées, en tout cas le traitement médiatique de l'information s'en verra influencé
d'une manière ou d'une autre et donc la part de liberté du journaliste sera forcément réduite.
Mots-clés:presse, CSA, document, secret professionnel, magazine, information
Commentaire de texte sur l'origine des langues (Rousseau)
Commentaire détaillé d'un extrait de l'essai sur l'origine des langues de Rousseau, traitant du
rapport entre besoins et langage, langage et les passions ainsi que langage moderne et langage
primitif. Une partie explicative du texte et une partie critique
Commentaire de Texte № 28 | 3000 mots ( approximativement 7.5 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
Les grandes parties du commentaire:
1) Explication de texte
a) pourquoi les besoins ont écarté les hommes
b) pourquoi le langage vient des passions
c) le caractère passionnel du langage, rapport entre passions et langage + la critique du langage
moderne par l'auteur
2) Commentaire
a) les besoins sont autant à l'origine du langage que les passions
b) l'homme doit raisonner avant de parler, même primitivement
c) ce que le langage moderne a de plus sur le langage premier
Extrait du document
Introduction
Ce texte est extrait de l'Essai sur l'origine des langues de Rousseau, philosophe français du XVIIIème
siècle. L'auteur y traite la question de l'origine du langage et de ses différences selon les zones du
globe. Cet essai s'inscrit dans la lignée d'une réflexion collective qui place le langage au premier
rang des grands thèmes philosophiques du XVIIIème siècle. Dans le passage suivant, le philosophe
s'interroge sur ce qui a poussé les hommes à inventer le langage. Sa thèse est que le langage trouve
son origine dans les passions et non dans les besoins. Il défend cette idée en affirmant que les
besoins ont écarté les hommes, puis en expliquant que le langage a servi à exprimer les passions. Il
déclare enfin que cette origine passionnelle a donné aux premières langues leur caractère
mélodieux et passionné.
Mots-clés:Rousseau, Essai sur origine langues, Condillac, Gébelin, Smith, Besoins, Langues, Langage, Passions, Nature,
Culture, Lucrèce, Echange, Communiquer
La classe ouvrière
Dissertation sur le déclin de la classe ouvrière. Peut-on parler de disparition de la classe
ouvrière aujourd'hui en France ?
Dissertation № 1795 | 1950 mots ( approximativement 4.9 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
La classe ouvrière est en crise, cependant elle compte encore cinq à six millions de salariés. Cette
classe a perdu sa "conscience de classe", moteur de la lutte sociale. Aujourd'hui elle est très
marquée par l'individualisme et par la recherche d'un lendemain stable face à la précarité, au
chômage et à la mondialisation capitaliste. La rupture des unités de production a profondément
ancré la classe ouvrière dans une crise matérielle et morale.
Extrait du document
La Classe ouvrière est apparue en France, au XIX e siècle avec la Révolution industrielle se
caractérisant par le passage d'une économie rurale, artisanale à une économie industrielle et
capitaliste. La classe ouvrière se définit aussi comme le prolétariat. Selon Karl Marx c'est la classe
sociale opposée au Capital, une classe sociale étant un groupe d'individus homogènes selon certains
critères. Le prolétariat ne dispose pas des moyens matériels de production détenus par le Capital et
se voit donc dans l'obligation e vendre sa force de travail à la classe antagoniste pour survivre. On
parle aussi de culture ouvrière car elle possède des normes, des valeurs, un mode de vie propre à
elle même. Numériquement et depuis la Révolution Industrielle la classe ouvrière a longtemps été
considérée comme la plus importante. Cependant, à partir des années 1960, à cause de l'émergence
des employés on constate une diminution du nombre d'ouvriers. Puis à partir de 1970-1980 cette
diminution va s'accélérer avec les chocs pétroliers, la désindustrialisation...
Ce déclin entamé à partir des années 1960 n'a t-il pas entrainé une disparition de la classe ouvrière?
Dans une première partie nous analyserons les différents facteurs qui ont conduit à ce déclin puis
dans une seconde partie nous verrons en quoi, malgré tout, la classe ouvrière perdure.
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Sociologie
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publication:
2 000 – 2 012
Pages
:
2
20
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"Signes d'identité" de David Le Breton
Fiche de lecture sur l'ouvrage de Le Breton dans lequel il s'attache à analyser les pratiques de
modifications corporelles que sont le piercing, le tatouage et autres pratiques.
Fiche de lecture № 3427 | 1910 mots ( approximativement 4.8 pages ) | 0 sources | 2008 |
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Résumé
L'auteur aborde la question des modifications à travers les époques, les religions, les classes sociales
et la manière dont elles sont perçues.
Il s'attache également à l'aspect du marquage identitaire qui caractérise ces pratiques et à la
question de l'éventuel rite de passage qu'elles peuvent traduire. Enfin, il fait référence à la culture
qui s'est créée autour de ces pratiques de modifications corporelles.
1. Principaux ouvrages de l'auteur
2. Situation historique et genre du livre
3. Sujet traité et hypothèses
4. Déroulement de l'analyse
5. Intérêt de l'ouvrage
Extrait du document
L'auteur nous informe sur le caractère déviant que représentaient les modifications corporelles pour
les religions monothéistes. Le corps étant une offrande divine et sacrée de la part de « Dieu »,
toute modification de celui-ci était considérée comme une atteinte et un non respect. Ainsi, les
textes sacrés énoncent clairement que le corps doit rester tel que Dieu l'a créé. Cependant, les
modifications corporelles et surtout le tatouage s'érigent peu à peu sur les corps. Les signes restent
des signes de reconnaissance et d'appartenance à la communauté.
Dans certaines sociétés, les marques corporelles sont aussi symbole de domination. On marque le
corps des esclaves, des soumis. Les modifications corporelles étant alors « marques d'infamie »
(page 28). Puis, les tatouages deviennent, aux yeux de la société, outil de marginalité et de révolte.
Ils prennent une connotation négative. Tout à chacun associe ces pratiques à la déviance et ces
pratiques s'enferment dans une « mauvaise réputation » (page 59). Celle-ci provoque la
stigmatisation, le rejet et l'incompréhension face aux adeptes. Ainsi, le tatouage restera longtemps
« le privilège des cultures marginales » (page 61).
Mots-clés:identité, tolérance, maturité, culture, popularité, implants
Mesures pour l'emploi des travailleurs handicapés
Mémoire qui tente de répondre à la question suivante: "Comment une entreprise dans le
secteur du Bâtiment et Travaux Publics peut-elle faire pour satisfaire à son obligation sur
l'emploi des travailleurs handicapés?"
Mémoire ou thèse № 3682 | 30530 mots ( approximativement 76.3 pages ) | 21 sources | 2007
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Résumé
Ce mémoire s'attache en définitive à proposer un plan d'action afin que l'entreprise puisse honorer
au mieux son obligation d'emploi en tenant compte des particularités de son contexte.
I. État des lieux face à un nouveau mode de calcul
1) Un nouveau mode de calcul pour février 2007
2) Comment se situent les entreprises face à l'Obligation sur l'Emploi des Travailleurs Handicapés ?
II. Une Obligation sur l'Emploi des Travailleurs Handicapés dans un secteur particulier : Le Bâtiment
et Travaux Publics …
1) Qu'est ce que le Bâtiment et Travaux Publics (BTP) aujourd'hui
2) Les pratiques engagées dans les entreprises du Bâtiment et Travaux Publics
III. Les préconisations
1) La mise en route d'une « Mission Handicap »
2) Les premiers points stratégiques de votre politique handicap
3) Encadrer votre programme dans un accord d'entreprise
Extrait du document
La loi pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes
handicapées du 11 février 2005 réforme, 30 ans après la loi d'orientation du 30 juin 1975, le droit
des personnes handicapées. Lancé par Jacques Chirac en 2002, peu après sa réélection à la
présidence de la République, le projet de loi a été présenté en conseil des ministres en janvier 2004
par le secrétaire d'Etat aux personnes âgées, Marie-Thérèse Boisseau, remplacée en mars 2004,
après un remaniement ministériel, par Marie-Anne Montchamp. Sous la pression des associations, le
texte a fait l'objet de nombreuses modifications au cours de la navette parlementaire en vue
d'obtenir une amélioration du projet qui concernait alors environ 5,5 millions de personnes
handicapées.
C'est un texte de loi long de 101 articles qui vise à améliorer les droits des personnes handicapées
par la mise en place de mesures favorisant leur accès à la vie professionnelle et par la création
notamment d'une prestation de compensation du handicap. L'entrée en vigueur des dispositions de
la loi relatives au renforcement de l'obligation d'emploi de travailleurs handicapés avait été fixée au
1er janvier 2006. La loi est depuis cette date juridiquement complète et pleinement applicable. La
date du 15 février 2007 est la première échéance puisque c'est la date à laquelle les entreprises ont
du rendre leur première Déclaration Obligatoire sur l'Emploi des Travailleurs Handicapés. Cette
première déclaration permet donc d'évaluer les premiers impacts de la loi.
Mots-clés:pénurie, main d'œuvre, physique, chantier, sécurité, prévention
Le football dans la société française d'aujourd'hui
TPE qui analyse, à travers l'exemple de la Coupe du Monde, l'impact économique, social,
culturel, mais aussi politique de ce véritable phénomène de masse qu'est devenu aujourd'hui le
football.
TPE № 4112 | 9015 mots ( approximativement 22.5 pages ) | 17 sources | 2007 |
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Résumé
Ce sport est bien plus que ce qu'il laisse paraître : pour des millions de personnes c'est avant tout
une passion, qui se transforme en un sentiment communautaire particulier. Au final, le football
devient un instrument important capable de réunir les populations du monde entier. Il peut être
défini comme un « vecteur d'identité nationale » et se traduit donc comme un moyen d'intégration.
Une question se pose alors : le football n'est t'il qu'un sport se jouant à 22 joueurs, ou a t'il une
signification bien plus profonde ?
L'engouement populaire pour le football ne se dément pas, mais au fil du temps, le football a su
prouver qu'il n'était pas uniquement synonyme de passion et d'enthousiasme. Il est en passe
d'imposer ses valeurs et ses codes au monde social, culturel et économique. Alors, le foot, un
phénomène de masse total ?
I- Origine
II- Les impacts économiques
III- Les impacts sociaux
IV- Les impacts culturels
V- Au niveau politique
Extrait du document
Depuis plusieurs dizaines d'années, le football est devenu un véritable phénomène de masse : en
effet, il est suivi par des milliers de personnes et est capable de les unir comme de les déchirer
quatre-vingt-dix minutes durant. Il est assurément un des sports les plus marquants du XXème
siècle. Pourtant, on est encore loin aujourd'hui d'avoir expliqué l'histoire de cette réussite.
Le football comme on le connaît aujourd'hui s'est développé pendant les années 1960. A cette
époque, il devient plus populaire grâce à la couverture médiatique et la télévision.
Mots-clés:héros, politique, marketing, culte, supporter, équipe, sport
Que penser de la violence actuelle ?
Dissertation qui traite d'un problème d'actualité, la violence, ses causes et ses formes.
Dissertation № 5627 | 750 mots ( approximativement 1.9 pages ) | 0 sources | 2005
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Résumé
La violence touche de nombreuses catégories de personnes sous toutes ses formes, en partant des
enfants jusqu'aux personnes âgées ainsi que des nations entières. Les causes en sont nombreuses.
Souvent démunis face à la violence nous ne savons comment réagir. La répression mais surtout la
prévention pourrait nous permettre de lutter contre la violence.
Mais vivons-nous dans un monde plus violent qu'avant ou est-ce seulement le fait que tout est
beaucoup plus médiatisé qu'avant ?
1. Les différentes formes de violences
2. Les causes qui engendrent celle-ci
3. Les solutions pour remédier à cette vague de violence
Extrait du document
Tout d'abord, nous allons énumérer les différentes formes de violence. En premier lieu, la violence
peut surgir sous forme de violence des groupes. En effet, la violence se manifeste souvent de
groupe à groupe, comme par exemple les gangs aux USA qui s'entretuent pour défendre leurs
territoires. Pour ces quartiers difficiles la violence est partout. Elle se manifeste également en
milieu scolaire. Contrairement à ce que la majorité des personnes peuvent penser cette violence
n'est pas nouvelle, elle a toujours existé. Cependant aujourd'hui elle est beaucoup plus médiatisée.
Les enseignants poignardés, étranglés, les rackets entre élèves font en effet la une des médias
depuis quelques temps. Les violences urbaines sont également le sujet principal des journaux en ce
moment.
Mots-clés:manifestation, racket, incendie, maltraitance, destruction, sécurité
"La tradition n'est plus ce qu'elle était" de Gérard Lenclud
Analyse d'un texte de l'ethnologue Gérard Lenclud sur la notion de "tradition" aujourd'hui.
Commentaire de Texte № 9633 | 1350 mots ( approximativement 3.4 pages ) | 1 source | 2006
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Résumé
Dans ce texte, l'auteur définit le terme de tradition, non pas employé selon le sens commun. Selon
les définitions qu'il donne, cette notion possède des significations différentes, chacune pouvant être
remise en cause. On distingue celle de "conservation dans le temps", celle de "message culturel" et
celle de "mode particulier". Par la suite, l'auteur va s'interroger sur les sociétés les plus
traditionnelles par rapport au critère de traditionnalité dégagé. Qu'est ce que la tradition ? Q'est ce
qu'un fait traditionnel ? Quels sont les critères pour le définir?
Le texte est édité par la revue "Terrain" (numero-9 d'octobre 1987) et consultable en ligne sur
www.terrain.revues.org/index3195.html.
1. La tradition : conservation dans le temps
2. La tradition : message culturel
3. La tradition : mode de transmission du message
4. Les sociétés les plus traditionnelles et leur aptitude au changement
Extrait du document
Selon Pouillon, le mode de transmission se ferait du présent vers le passé. Les hommes du présent
sélectionneraient ce qu'ils pensent de meilleur dans le passé pour le développer comme le dit
l'auteur, la tradition serait « ce qu'on la fait être et non ce qu'elle a toujours été ». Cependant il
faut que le présent soit accentué pour que le présent puisse sans emparer. Cette approche amène
Lenclud à se demander si le présent reconstitue de façon réel le passé et s'il dit la vérité. La
tradition permet à chacun « d'affirmer » leur différence et leur autorité.
Mots-clés:usages, passé, transmission, génération, peuple
"La fin de la télévision" de Jean-Louis Missika
Fiche de lecture portant sur l'essai de Jean-Louis Missika, dans lequel il analyse les facteurs qui
ont mené la télévision à sa perte.
Fiche de lecture № 10012 | 1025 mots ( approximativement 2.6 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
Dans son essai, Jean-Louis Missika soumet son présage d'une apocalypse futuredu média capital de
ces dernières décennies, la télévision. En effet, ce dernier avance comme argument majeur que « la
télévision est morte en tant que média ». Initialement, la télévision était selon lui une télévision
institution, autrement dit un objet social qui organisait le temps social, politique, collectif et les
valeurs communes. Cependant, elle est en train de disparaître sous nos yeux, pour faire place à une
société sans télévision.
1. Présentation de l'auteur
2. Résumé du livre
3. Analyse personnelle
Extrait du document
L'auteur opère en trois temps afin de présenter les étapes convergentes de la télévision. Tout
d'abord, il érige un portrait chronologique et historique de la télévision, qui a selon lui connu trois
âges. La « paléo-télévision », mise au service du pouvoir politique, ouvre le bal. Elle avait pour
mission d'être pédagogique et politique face à un téléspectateur-élève. Vient ensuite à partir des
années 1980 la « néo-télévision » qui, suite à la naissance de la chaîne Canal + et du câble, va créer
la télé-réalité afin de séduire le téléspectateur, en lui donnant la parole. Pour finir, la « posttélévision » va achever le travail entrepris par la néo-télévision. En effet, elle va créer une
véritable fracture sociale, une émission de télé-réalité ayant pour finalité le triomphe d'un individu
au détriment des autres. Elle va ainsi abroger la différence de statut entre celui qui passe à la télé
et celui qui la regarde.
Mots-clés:chaînes, support autonome, septième art
"Outsiders" de Howard Becker
Fiche de lecture sur l'ouvrage de H. BECKER qui s'interroge sur le phénomène de déviance et
plus précisément sur les processus sociaux qui mènent à un acte de délinquance.
Fiche de lecture № 1679 | 2500 mots ( approximativement 6.3 pages ) | 3 sources | 2005
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Résumé
Le domaine de la vie sociale étudié dans Outsiders est désigné sous le terme de déviance ; sont
qualifiés de déviants, au sens de la sociologie américaine, les comportements qui transgressent des
normes acceptées par tel groupe ou telle institution. L'analyse de Becker constitue une étape
importante du développement récent de la sociologie de la déviance, puisqu'elle élargit les liens des
études sur la délinquance.
I. Le travail préalable à l'enquête de terrain dans Outsiders
1) La définition des termes du sujet
2) La problématique formulée par H. Becker
3) La méthode choisie
II. L'enquête de terrain et l'apport de H. Becker à la sociologie de
la déviance
1) Les grandes étapes de la recherche
2) L'apport de H. Becker
Extrait du document
Howard Becker (né en 1928) est un sociologue américain de l'Ecole de Chicago. Ancien élève de
E.HUGHES, il est considéré comme un représentant de l'interactionnisme symbolique.
L'interactionnisme est une mouvance sociologique vivace à partir des années 1960. Les auteurs qui
s'en réclament( Becker, Goffman, Blumer…) partagent l'idée que la réalité sociale ne s'impose pas
telle quelle, aux individus ou aux groupes, mais qu'elle et en permanence modelée et reconstruite
par eux à travers des processus d'interaction. Dès la fin des années 60, les théories interactionnistes
deviennent une des principales sources d'inspiration pour les recherches sur la déviance.
Les normes sociales instituées par les groupes sociaux sont appliquées en toute circonstance.
L'individu supposé avoir transgressé une norme, sera considéré comme étranger au groupe
(outsider). Cependant, l'individu étiqueté comme étranger peut ne pas accepter la norme selon
laquelle on le juge ; il en découle un second sens du terme : le transgresseur peut estimer que ses
juges sont étrangers à son monde La conception la plus simple de la déviance est surtout statique :
« est déviant ce qui s'écarte par trop de la moyenne » (pp.28)
Mots-clés:homosexuel, toxicomane, carrière, musiciens, marijuana, jazz
Responsabilité sociale des entreprises (RSE)
Dossier sur la responsabilité sociale des entreprises : véritable engagement ou pur Marketing ?
Travail de Recherche № 2210 | 4615 mots ( approximativement 11.5 pages ) | 5 sources | 2007
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Résumé
A l'heure où l'on parle de Grenelles de l'environnement, on ne peut pas ignorer les nouveaux enjeux
mondiaux comme le respect des droits de l'homme et de la femme, l'environnement et la santé.
Tous les acteurs se sentent concernés car l'avenir de la planète en dépend. Chacun s'organise selon
les moyens à sa disposition. Les consommateurs se regroupent au sein d'associations, et les
entreprises se lancent dans une démarche nommée RSE : Responsabilité Sociale des Entreprises.
I. Qu'est-ce que la RSE ?
1) Historique
2) Définition et champs d'application
3) Les outils et les moyens d'action
II. L'instrumentalisation de la RSE
1) La quête du profit
2) La quête d'image
3) Eviter la règlementation
III. Les marges de progression
1) Formalisation
2) Contrôle et reporting
3) Certification et lisibilité internationale
Extrait du document
Contrairement à ce que nous pourrions penser, parler de morale et d'éthique dans les entreprises
n'est pas un phénomène nouveau. Dès le XIXe siècle on trouve traces de forme de RSE, comme par
exemple le paternalisme. C'est l'époque des grandes idées du socialisme utopique porté par des
intellectuels comme Charles Fourier en France ou Robert Owen en Grande Bretagne. Nous pouvons
citer comme exemple le Familistère de Guise fondé par Jean-Baptiste André Godin. Cet homme est
un riche industriel qui décide de faire profiter à ses ouvriers de la réussite de son entreprise. Il
souhaite améliorer les conditions de travail et de vie des employés et de leur famille. Pour cela il
développe autour de son usine le concept de familistère : logement confortable et propre,
équipements éducatif et culturel… Malgré une intention louable de rendre la vie de ses ouvriers plus
agréable, Jean-Baptiste Godin pense aussi aux effets bénéfiques sur son entreprise : des ouvriers en
bonne santé donc plus productifs, des enfants scolarisés qui permettent aux femmes de travailler.
Mots-clés:éthique, environnement, développement, durable, industriel, ouvriers
La prison : source d'exclusion ou de réinsertion ?
Dissertation sur la prison, qui montre que le manque de moyens d'accompagnement
psychologique, financier, et tout simplement humain, pénalise les détenus dans leur processus
de réinsertion.
Dissertation № 3531 | 1080 mots ( approximativement 2.7 pages ) | 0 sources | 2006 |
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Résumé
La prison est un lieu de détention, c'est une des peines qui peut être infligée aux individus qui ne
respectent pas les normes de la société. Historiquement, le rôle de la prison a évolué.
Au fil du temps, l'émergence de la prison s'est faite avec une mise au secret du traitement de la
délinquance. Les exécutions publiques étaient de plus en plus discrètes, puis ont disparu, étant trop
barbares. La prison a donc évolué en institution disciplinaire. Le détenu devait réparer le mal qu'il
avait commis, puis il ressortait pour une nouvelle vie
Aujourd'hui, la prison est un héritage de plusieurs époques : son objectif est de punir le fautif, de
protéger la population contre cet individu, et de l'aider à sa réinsertion.
La prison mène t-elle toujours à l'exclusion ?
Il convient d'aborder la prison en tant que source d'exclusion, puis de montrer l'espoir d'une
réinsertion du détenu dans la société.
I ) La prison source d'exclusion
A) Une exclusion psychologique, économique
B) Exclusion familiale et échec dans le système scolaire
II) L'espoir d'une réinsertion
A) Une réinsertion possible pour les détenus
B) Une réinsertion à relativiser
Extrait du document
La prison est une peine privative de liberté, avant cette exclusion, il est recensé chez le détenu des
problèmes économiques, familiaux et scolaires. En dehors de cas exceptionnels récents, liés à la
délinquance financière, on constate que la prison accueille essentiellement une population plutôt
défavorisée.
Cette population est en situation d'échec dès le début, un échec économique, familial et scolaire.
Si l'on retire les personnes inactives (femmes au foyer, mineurs scolarisés), un tiers seulement des
détenus exerce une activité régulière et rémunérée avant leur incarcération comme le distingue le
livre de Petit Jacques-Guy ; Faugeron Claude; Pierre Michel, Histoire des prisons en France (1789200), Toulouse, Editions Privat, 2002)
Ainsi, près de la moitié des détenus sont sans emploi au moment de leur incarcération.
Concernant les jeunes de moins de 25ans, cette proportion atteint 62%. On observe que 28% des
entrants perçoivent une indemnité de chômage.(référence au site http://www.prison.eu.org).Par
déduction, plus du tiers ne touche aucun revenu découlant de l'exercice d'une activité
professionnelle présente ou passé, qu'il s'agisse de revenu d'activité ou d'allocation chômage.
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Sociologie
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La massification scolaire
Dissertation de sociologie de l'éducation qui montre que la massification scolaire n'est pas
uniquement positive, et qu'elle pourrait être moins inégalitaire.
Dissertation № 4332 | 2425 mots ( approximativement 6.1 pages ) | 0 sources | 2006
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Résumé
L'intégration sociale est nécessaire pour un homme, elle dépend de plusieurs instances dont la
famille, le travail et avant tout l'école dont le but est d'apporter un système de valeurs légitimes,
défini par la société et essentiel pour pouvoir être intégré.
Cependant, cette dernière connaît, depuis quelques temps, des changements qu'elle n'arrive pas
toujours à surmonter.
En effet, dans la seconde moitié du 20ème siècle, lorsque l'école de masse apparaît, de nouveaux
problèmes scolaires surgissent. L'école de masse correspond à une hausse du nombre d'élèves dans
les écoles, ce qui entraîne une diversification des populations et des trajectoires scolaires et donc,
du fait de cette hétérogénéité, les inégalités ont augmenté.
L'école républicaine, qui avait jusque là la suprématie, voit l'émergence d'une nouvelle école qui
semble davantage pédagogue et démocratique.
Cela nous amène donc à nous demander en quoi la massification scolaire a-t-elle entraîné des
modifications ? Quelles sont-elles ? Et dans quelles mesures peut-on les contourner afin de réduire
les inégalités ?
I- De l'école républicaine à l'école démocratique
1- L'école républicaine
2- L'école démocratique
II- Les changements dû à la massification scolaire
1- Concernant les enseignants
2- Concernant les élèves
3- Concernant les parents
4- «Une redéfinition du rôle des acteurs»
III- Les limites de l'école démocratique
1- Une école inégalitaire
2- La discrimination positive
3- Comment rendre l'école plus juste ?
Extrait du document
L'un des enjeux de la massification scolaire est le passage de l'école républicaine à l'école
démocratique.
L'école républicaine a pour fonction de construire un individu selon un modèle qui est l'homme de la
troisième république. Chaque élève doit alors posséder les mêmes connaissances, c'est-à-dire savoir
parler correctement et avoir une image semblable de l'histoire ainsi que de la morale. Le but est
alors d'apporter aux élèves un socle commun de connaissances.
Toutefois, ces savoirs sont élaborés par les «classes supérieures», les élèves appartenant à ces
classes ont donc des facilités d'intégration, contrairement aux élèves des autres classes qui
reçoivent peu de diplômes car il ne comprennent pas cette culture trop éloignée de celle de leur
famille.
Ainsi, cette école ne s'intéresse qu'aux élèves ayant déjà une culture héritée de leur famille et ne
s'occupe pas de savoir si les autres ont envie d'étudier.
Mots-clés:enseignement, mobilité sociale, élève, motivation, autorité, étude
Dans quelle mesure les inégalités sont-elles un facteur de croissance ?
Dissertation qui analyse par quels moyens les différences de niveau de vie sont favorables à la
croissance économique.
Dissertation № 4429 | 1580 mots ( approximativement 4 pages ) | 0 sources | 2008
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Les troubles alimentaires chez les adolescents
Dossier expliquant les troubles alimentaires chez les adolescents dans le cadre de la
psychologie du développement
Travail de Recherche № 85 | 8900 mots ( approximativement 22.3 pages ) | 16 sources | 2007
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Résumé
Ce document a été élaboré afin de rendre compte des différents troubles alimentaires chez les
adolescents. Plusieurs parties expliquent les différentes pathologies comme l'hyperphagie, la
boulimie et l'anorexie.
I - Introduction
II - Période adolescente et période à risque
III - La société et les médias comme facteurs aggravants des troubles alimentaires
1) Le rôle de Barbie
2) L'influence des médias
IV - L'hyperphagie
1) Définition
2) Les causes
3) Les conséquences
4) L'hyperphagie nocturne
V - La boulimie
1) Epistémologie
2) Définition
3) Les causes
4) Epidémiologie
5) Les traitements
6) Les différentes formes cliniques relevées
7) Comparaison avec l'anorexie
8) Quelques bases des différentes approches de la boulimie
9) Témoignage de « Vittoria »ancienne boulimique
VI - L'anorexie
1) Les symptômes
2) Les causes
3) Les conséquences
4) Des exemples de théories
5) Résumé de livre : L'anorexie chez les adolescentes
VII - Pro-ana / Pro-mia
1) Principe
2) les “conseils” diffusés sur Internet
3) Les photos choc retouchées
4) Témoignage
VIII – Bibliographie
IX – Conclusion
Extrait du document
I - Introduction
L'adolescence est une période de transition durant laquelle le jeune doit s'habituer à son nouveau
corps. Ce n'est pas choses évidente surtout lorsque l'on est sans cesse influencé par les médias,
incité à être aussi mince que dans leurs publicités même si les modèles proposés sont retouchés de
nombreuses fois et ont ainsi des mensurations impossibles.
De nombreuses adolescents, plus particulièrement les filles, sont sensibles à ce qui leur est proposé
ainsi et souhaitent se rendre aussi désirables et belles que dans les spots publicitaires. Il n'est pas
rare de voir des modifications du comportement alimentaire : les jeunes filles suivent un régime,
refusent les repas en familles mais grignotent toute la soirée. Toutefois, en commençant un régime,
elles ne savent pas ce qui peut les attendre (environ la moitié des adolescentes et le quart des
adolescents ont déjà suivi un régime pour changer la forme de leur corps). En effet, les restrictions
alimentaires infligées à leur corps peuvent parfois les faire devenir totalement indépendantes de la
nourriture et les en dégoûter. S'installent alors ces troubles alimentaires que l'on appelle anorexie,
boulimie et hyperphagie. Ces maladies sont beaucoup plus fréquentes chez les filles que chez les
garçons (1garçon pour 9 filles) et l'anorexie est plus fréquente que la boulimie (la boulimie n'est
présente que chez 2% de la population). Il convient de noter que les médias ne sont pas seuls
responsables de ces maladies, les relations familiales, la psychologie de l'adolescent, une certaine
sensibilité prédisposant à être plus facilement influencé…De plus, les troubles alimentaires révèlent
souvent des conflits qui remontent à la tendre enfance. Toutefois, il convient de noter que l'on
parle souvent de troubles alimentaires affectant les jeunes filles mais l'image corporelle préoccupe
de plus en plus les garçons qui en général commencent d'abord à fumer pour perdre du poids.
Nous aborderons aussi une description des mouvements Pro-ana et Pro-mia qui s'inspirent de ces
maladies et dont les adeptes en font leur mode de vie en prônant la maigreur et le contrôle de son
corps par la privation volontaire de nourriture.
Toutefois, le thème des troubles alimentaires à l'adolescence est si vaste que de nombreux livres lui
ont été consacrés. Cet exposé n'en est pas un résumé mais les bases que nous en avons compris et
que nous avons estimées juste d'approfondir ainsi qu'une ouverture sur les comportements déviants
qui en découlent.
Mots-clés:troubles alimentaires, anorexie, boulimie, hyperphagie, période adolescente, période à risque
La redistribution des revenus
Dissertation socio-économique sur les effets de la redistribution. Analyse des limites de cette
redistribution en matière de réduction des inégalités de revenus.
Dissertation № 1419 | 1630 mots ( approximativement 4.1 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
Les prestations sociales, les impôts directs et les cotisations sociales sont les trois composantes de
la redistribution des revenus. La redistribution permet d'augmenter les bas salaires en prenant aux
riches pour donner aux pauvres. Cependant, les inégalités de revenus persistent. En effet, certains
moyens utilisés sont inefficaces et parfois, ce sont les personnes déjà aisées qui profitent de la
redistribution.
Extrait du document
Dans notre société actuelle, les hommes ont un salaire plus élevé que les femmes, de plus qu'un
chômeur n'aura pas le même revenu qu'un cadre d'entreprise. Il existe aujourd'hui de très fortes
inégalités de revenu. En prélevant une partie des richesses via l'impôt et les différents
prélèvements sociaux, l'Etat ne cherche pas seulement à financer ses dépenses, mais il cherche à
rééquilibrer une distribution inégale des revenus d'activité.
Une inégalité et une différence qui se traduit par un avantage ou un désavantage.
De plus que les revenus que perçoivent les ménages se composent du revenu du travail, du revenu
de la propriété et des revenus mixtes.
La redistribution entraine-t-elle la réduction des inégalités de revenus ?
Afin de répondre à la problématique, nous étudierons comment la redistribution en Europe,
aujourd'hui, permet de réduire les inégalités de revenu dans une première partie, pour ensuite,
montrer dans une seconde partie que les effets de la redistribution sont limités.
La redistribution permet la réduction des inégalités de revenu.
Tout d'abord, il faut savoir que la redistribution des revenus joue un rôle important pour déterminer
le revenu disponible des ménages. Celui-ci se compose de la somme du revenu primaire avec les
prestations sociales, à laquelle on soustrait les impôts directs et les cotisations sociales.
Mots-clés:ménages, richesse, rééquilibrer, déficit, consommation
XY, de l'identité masculine, d'Elisabeth Badinter
Fiche de lecture de l'ouvrage d'Elisabeth Badinter sur la socialisation des hommes et sur
l'identité masculine.
Fiche de lecture № 1479 | 1040 mots ( approximativement 2.6 pages ) | 0 sources | 2006
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Résumé
L'entourage de l'enfant mâle a sa part dans l'affirmation de son comportement. Notamment le
regard de ses parents ; celui-ci détermine la tendance masculine ou féminisée de l'enfant durant sa
croissance.
I. Construire un mâle
1) Y ou le dualisme sexuel
2) La différenciation masculine
3) C'est l'homme qui engendre l'homme
4) Identité et préférence sexuelle
II. Etre un homme
1) L'homme mutilé
2) L'homme réconcilié
Extrait du document
A la fécondation, ce sont les chromosomes XX, de la femme, qui s'affirment, il faut alors que le
chromosome Y, s'il est porté par le spermatozoïde, lutte pour faire apparaître les organes génitaux
du fœtus. Ce n'est que le premier combat que devra mener le mâle afin de s'affirmer. Le sexe
masculin se définit par quatre étapes ; il y a eu début le sexe génétique (XY), puis le sexe
gonadique (apparition des testicules), le sexe corporel (organes internes, externes et caractères
sexuels secondaires et enfin le sexe déclaré à l'Etat civil lors de la naissance.
Parce qu'il a été porté par sa mère, l'enfant, après sa naissance, entretien une relation amoureuse
puissante avec elle. Cet amour influencera ses prochaines, dans lesquelles il recherchera
instinctivement sa mère, mais influencera aussi sa sexualité. En grandissant, l'homme cherche à
devenir le contraire de la femme. Il a du mal à se situer par rapport a sa génitrice. Et le sevrage de
l'enfant est assez difficile à mettre en place au bon moment. Si la rupture est trop rapide, il sera
plus introverti quant à ses sentiments. Alors que si la mère conserve un lien fort avec son fils sur
une longue période, celui-ci aura tendance à se féminiser et sera, plus tard, dégoûté de sa mère qui
l'aura rendu différent.
Mots-clés:virilité, unisexes, homosexuelles, puberté, érotisme, androgyne
"Les droites en France" de René Rémond
Fiche de lecture qui fait une analyse de la thèse des trois droites proposée par René Rémond,
puis offre une analyse chronologique des droites en France.
Fiche de lecture № 1652 | 1500 mots ( approximativement 3.8 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
"Les Droites en France" est un ouvrage d'histoire politique de René Rémond, publié en 1954 sous le
titre "La Droite en France de 1815 à nos jours". Il est généralement considéré comme l'un des
travaux les plus importants de la science politique française et comme l'un des signes avantcoureurs du renouveau de l'histoire politique dans les années 1980.
Extrait du document
Dans Les Droites en France, René Rémond développe une thèse novatrice selon laquelle il n'y aurait
pas en France une seule droite, mais trois, les droites légitimiste, orléaniste et bonapartiste.
Rémond ne se contente cependant pas d'une simple affirmation : tout au long de son ouvrage, il
s'efforce de retrouver dans chaque courant de la droite l'essence de ces trois idéologies, et analyse
successivement les divers avatars de la droite pour y déceler l'héritage légué par le légitimisme,
l'orléanisme et le bonapartisme. Son étude se montre particulièrement originale en ce qu'elle met
en évidence une continuité, une filiation entre les différents mouvements de la droite depuis les
conflits du XIXe siècle, alors même qu'ils pourraient sembler très différents à un commentateur peu
averti. Il apparaît en réalité que la droite à évolué depuis 1789, mais sans jamais trahir ses racines
profondes.
Mots-clés:orléanisme, bonapartisme, légitimiste, nationalisme, Restauration, centralisme
"La crise des banlieues" de J.M. Stébé
Fiche de lecture sur le livre du sociologue Jean-Marc Stébé dans la collection "Que sais-je ?",
qui intervient sur le malaise des banlieues, nouvelle question sociale de cette fin de siècle.
Fiche de lecture № 3140 | 1400 mots ( approximativement 3.5 pages ) | 0 sources | 2008 |
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Résumé
Le malaise des banlieues sensibles ne peut être expliqué par un seul phénomène : il n'est pas
exclusivement le produit d'un urbanisme fonctionnel ou d'une architecture imposante, pas plus qu'il
n'est seulement l'effet des conséquences de la crise économique, ni celui des seuls problèmes
d'intégration des immigrés.
Il est nécessaire de prendre en compte un certain nombre d'épiphénomènes, par exemple la
déliquescence des liens sociaux et des structures de socialisation, ou l'instabilité des solidarités
familiales.
Extrait du document
J.M. Stébé apporte le point de vue de différents sociologues ayant travaillé sur le sujet auprès
desquels il émet des critiques.
Il conçoit notamment que déplacer les pauvres ne résoudra pas la question sociale.
Depuis une quinzaine d'années, le discours sur la ville semble se focaliser sur le problème des
banlieues. Ces territoires à la lisière des villes serviraient de réceptacles à tous les maux dont
souffre notre société : lieux symboliques de la crise sociale, ils incarneraient la souffrance et la
misère, l'exclusion et la marginalité, la violence et le risque de ghetto, l'échec urbanistique et la
médiocrité architecturale.
Par réduction, confusion et amalgame successifs, on projette alors sur les banlieusards toutes les
fautes de la société. Mais comment en est on arrivé là ? Les banlieues au sens contemporain du
terme apparaissent au XIXème siècle avec le développement du chemin de fer et de
l'industrialisation. Certains continueront d'identifier la banlieue à la zone.
Tous les facteurs de différenciation montrent que la banlieue n'est pas une entité géographique,
urbanistique et sociale homogène ; c'est un espace complexe qui agglomère une grande diversité de
lieux, d'activités et de populations.
Mots-clés:modernité, population, chômage, pauvreté, marginalisation
Peut-on parler d'une disparition de la classe ouvrière aujourd'hui ?
Dissertation portant sur les classes sociales, définies par Marx comme des acteurs sociaux. Il y a
division de la société entre la bourgeoisie et le prolétariat.
Dissertation № 3631 | 1110 mots ( approximativement 2.8 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
La classe ouvrière tend à disparaître tout au long des années 1970-1980, pour se stabiliser de
nouveau jusqu'à aujourd'hui et reformer une classe sociale à part entière. Une première partie
s'attarde sur les facteurs de cette disparition progressive des classes sociales, en se focalisant sur la
classe ouvrière, puis une seconde partie tente d'expliquer pourquoi cette classe sociale persiste
malgré tout.
Extrait du document
Il faut avoir la même place dans le processus de production, avoir une conscience de classe, c'est-àdire avoir le sentiment d'appartenir à une classe, ainsi qu'être engagé dans la lutte des classes, pour
pouvoir constituer une classe sociale « pour soi », lorsque tout ces éléments ne sont pas réunis, il
n'y a pas de classe possible d'après Marx. Il y a division de la société, entre la Bourgeoisie et le
Prolétariat. Les classes existent réellement d'après Marx, il y a une exploitation des prolétaires,
c'est-à-dire des ouvriers, par les Prolétaires, car il ne peuvent que vendre leur force de travail, ceci
étant leur seule ressource, alors que la Bourgeoisie possède les moyens de production. Cette
bipolarisation de la société était très forte pendant les « Trente Glorieuses ». Depuis, on a constaté
des changements sur la définition de classe sociale et sur son existence, due à l'introduction de
nouveaux moyens, nouvelles notions.
Mots-clés:facteur, chômage, ouvrier, ménage, inégalité, conflit
La pluralité des cultures est-elle un obstacle à l'unité humaine ?
Dissertation de philosophie qui montre que la multiplicité des cultures est un facteur de
segmentation de l'humanité qui mène à de multiples conflits, mais qu'elle constitue aussi une
opportunité de s'ouvrir à autrui.
Dissertation № 3771 | 2650 mots ( approximativement 6.6 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
L'homme ne naît pas homme mais le devient à travers une culture particulière. Le mot culture
désigne ici la coutume, la tradition, la religion, la langue aussi. De ce point de vue, nous ne pouvons
que constater la diversité au sein du genre humain. Il est incontestable qu'elle a souvent été la
cause d'incompréhension et qu'elle a souvent même légitimée des conquêtes, des guerres ou des
génocides. Cependant, l'immense océan culturel dans lequel est plongé l'Homme représente en
quelques sorte une richesse inestimable dans le sens ou il permet à chacun, en s'accordant avec des
cultures dites «étrangères», de découvrir de nouveaux horizons.
En quoi la diversité puis le brassage des cultures peut être à l'origine de crispations identitaires
faisant obstacle à l'unité du genre humain, ou au contraire, peut-elle permettre une alliance entre
les hommes et donc une assurance de son unité ?
La définition et le sens des termes du sujet sont d'abord étudiés, puis les raisons et les causes qui
font en sorte que la pluralité culturelle est un obstacle à l'unité du genre humain sont présentées.
Enfin, cette étude conclut sur les points communs des différentes cultures qui assurent la continuité
de l'Homme.
Extrait du document
Tout d'abord, précisons que la culture qui est un terme vaste, désigne dans notre contexte la
religion, la langue, les coutumes, la tradition. Ainsi il n'est pas difficile de constater à quel point la
diversité des cultures est importante sur Terre. On aurait tendance à croire que chaque culture
correspond à un point géographique du globe. Cela aurait été vrai il y a un demi-siècle, mais depuis
que voyager est devenu chose aisée pour une majorité des habitants de la planète, on assiste à un
brassage des cultures dont nous verrons les effets plus loin.
Il convient désormais de définir en quoi l'Homme est un être culturel.
L'homme occupe une place particulière dans la Nature qui n'est pas la même que celle qui est
dévolue à l'animal. Cependant, dans une représentation finaliste de la Nature d'Aristote, il n'y a pas
de coupure brutale tracée entre l'homme et la Nature. La finalité qui régit globalement la Nature
s'applique aussi à l'humain. S'il y a une nature propre des éléments tels que la Terre, le Feu ou l'Eau,
s'il y a une nature de l'animal, il y a aussi une nature propre à l'homme qui est caractérisée par la
raison. Et comme toute nature, la nature de l'homme doit connaître un développement qui lui est
propre.
Mots-clés:religion, langue, culture, tradition, diversité
En quoi la motivation est-elle un facteur d'efficacité ?
Exposé qui tente de comprendre en quoi la motivation est importante au travail, et qui analyse
plus en détail les méthodes de motivations existantes.
Exposé № 4196 | 6350 mots ( approximativement 15.9 pages ) | 7 sources | 2007 |
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Résumé
Anticiper les modes et les mouvements de société, réagir rapidement aux changements, à la
concurrence, aux stratégies, investir dans les bons créneaux…Tant de comportements à adopter,
tant d'obsessions dans l'esprit des entrepreneurs. Cela suppose de décider promptement mais
surtout de faire preuve d'initiative et d'esprit de créativité avec le moins de délais possibles. Pour
les salariés, cela va se traduire par une adaptation permanente et donc des changements
perpétuels.
Cette exigence d'adaptabilité a pour exigence de modifier une partie du contenu de la fonction
managériale.
C'est le cas depuis un certain nombre d'années et ce, grâce aux managers qui ne cessent d'utiliser
tous les moyens à sa disposition. D'ailleurs, la ressource la plus abondamment utilisée, est celle de
la motivation. Il faut réduire les coûts et augmenter les bénéfices et l'élément le plus efficace pour
ce faire, est le personnel.
I. Les théories de la motivation
1) Chez les classiques
2) Chez les psychologues
II. Les différents systèmes de motivation du personnel
1) La motivation intrinsèque
2) La motivation extrasèque
III. La motivation négative
IV. Entretien et confrontation
Extrait du document
Deux besoins de la pyramide tiennent une importance majeure dans le travail. Le besoin
d'implication, autrement dit le fait d'être concerné par tout ce qui touche à l'emploi et le souhait de
la réussite de l'organisation. Il conduit à un besoin de s'accomplir dans le travail et d'y actualiser ses
capacités. Toutefois, les effets de l'implication peuvent être néfastes sur l'efficience. De plus
l'organisation en tant que telle peut empêcher la réalisation de soi car les activités y sont souvent
collectives.
Puis, le besoin de réussite, c'est une motivation voisine de l'implication mais plus personnelle. Son
effet sur la performance est d'autant plus important que les tâches sont variées, autonomes…
Il existe aussi des besoins d'ordre supérieur en matière de travail. Ils témoignent d'un goût pour les
différentes tâches à accomplir. Néanmoins, les individus ayant des besoins d'ordre supérieur
développés seront plus satisfaits mais leur performance n'augmentera pas forcément. Alors que si
les individus ont un fort besoin de réussite, cela va les inciter à l'efficience.
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"Essai sur les variations saisonnières des sociétés Eskimos" de Mauss
Fiche de lecture portant sur l'ouvrage ethnologique de Marcel Mauss, qui étudie les spécificités
de la morphologie des sociétés esquimaux, et notamment leur regroupement saisonnier.
Fiche de lecture № 4322 | 5830 mots ( approximativement 14.6 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
"L'essai sur les variations saisonnières des sociétés Eskimos" est un recueil de textes, préfacé par
Claude Lévi- Strauss, de nature ethnologique. Il y étudie le phénomène des saisons, la manière dont
ils se regroupent, la forme de leurs habitations et la nature de leurs établissements qui changent
radicalement.
Mauss n'effectue que très peu d'études de terrain à l'inverse d'autres ethnologues et ne s'est pas
immergé au sein des Eskimos (ou esquimaux)pour les étudier.
Il tient ses informations de plusieurs sources datant du 19ème siècle, ce qui ne l'empêche pas de
prendre en compte à la fois les aspects physiologiques, psychologiques et sociologiques dans ce
travail.
Cette étude analyse comment se manifestent ces variations saisonnières chez les sociétés Eskimos.
I. Morphologie générale des Eskimos
a) Les traits constants et invariables de l'habitat des Eskimos
b) L'unité sociale chez les Eskimos fondée sur l'établissement
c) Modalité de la répartition des eskimos sur les espaces habités
II. Morphologie saisonnière des Eskimos
a) Variation de l'habitat selon les saisons
b) Particularité du « kashim » de la saison hivernale
c) La distribution des habitations sur le sol suivant les saisons
III. Effets des variations morphologiques sur la vie des Eskimos
a) Effets sur la vie religieuse
b) Effets sur la vie juridique
c) Effets sur le régime des biens
Extrait du document
Marcel Mauss est né en 1872 et est considéré comme l'un des pères fondateurs de l'ethnologie
française. Cette discipline consiste en l'étude explicative et comparative de l'ensemble des
caractères sociaux et culturels des groupes humains. Elle privilégie l'analyse des communautés
traditionnelles extra- européennes. L'anthropologue Français était à la fois le neveu et l'élève
d'Emile Durkheim. Il obtient l'agrégation de philosophie en 1895, avant de s'orienter vers la
sociologie religieuse. En 1925, il est l'un des co-fondateurs de l'Institut d'Ethnologie à Paris. Il meurt
en 1950. Son œuvre majeure s'intitule Sociologie et anthropologie et fut publiée en 1950. Ce recueil
de textes, préfacé par Claude Lévi-Strauss, contient son essai sur les variations saisonnières des
sociétés Eskimos, texte de nature ethnologique.
Mots-clés:religieux, individuel, tente, collective, hiver, été
"De l'indigence à l'exclusion, la désaffiliation" de Robert Castel
Exposé au format PowerPoint sur l'ouvrage de Robert Castel qui traite de la précarité actuelle,
en l'expliquant de différentes façons.
Présentation PowerPoint № 5063 | 825 mots ( approximativement 2.1 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
La pauvreté résiduelle est une constante historique. Cependant, la conjoncture actuelle a fait
apparaître une nouvelle forme de précarité.
L'auteur traite le problème de la désaffiliation en tant que processus, et donc de façon dynamique.
Il préconise une double politique sociale: une politique à dominante préventive et une politique à
dominante réparatrice.
I. Les zones de turbulences sociales
II. La remontée de la vulnérabilité
Extrait du document
Robert Castel préfère l'approche transversale pour aborder le problème dans son intégralité
sociale.
L'usager des services sociaux est une personne en état de dénuement.
Le dénuement est « l'effet » de 2 vecteurs:
Un axe d'intégration/non-intégration par le travail
Un axe d'insertion/non-insertion dans une sociabilité socio-familiale
L'auteur revient sur la situation des indigents de l'Ancien Régime puis celle des sociétés modernes
afin de mettre en évidence leur « évolution ».
Mots-clés:rupture, ordre, isolement, culture, tradition, valeur
La mode dans la société actuelle
Exposé qui traite de l'évolution du rôle du vêtement au fil des années.
Exposé № 5398 | 1750 mots ( approximativement 4.4 pages ) | 0 sources | 2008 |
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Résumé
Jusqu'au milieu du XIXe siècle, il est possible de distinguer, au gré des époques, des modes
successives qui se répandent dans les classes privilégiées de la société.
Cependant, d'une manière générale, le vêtement apparaît plutôt comme un facteur de
différenciation sociale et professionnelle. Il ne subit donc que de rares évolutions. C'est le cas,
notamment, du costume paysan, fortement empreint de particularités locales, qui reste en vigueur
dans certaines provinces jusqu'au milieu du XXe siècle, ou du vêtement porté par les ouvriers (que
le port de la casquette et de la blouse différencie des boutiquiers ou des bourgeois) ou encore du
vêtement rayé qui est synonyme dès le moyen-âge d'exclusion ou de transgression de l'ordre social.
I
l est porté notamment par les bouffons, clowns…etc ou les criminels en purgation de peine.
1. Introduction et petits rappels historiques
2. Définition et caractéristiques majeures de son fonctionnement
3. Les effets de la mode sur la société contemporaine
Extrait du document
La Première Guerre mondiale a une influence considérable sur l'évolution de la mode : l'absence des
hommes modifie la place des femmes dans la société. Confrontées à de nouvelles responsabilités,
les femmes sont désireuses d'accéder à un style de vie qui soit l'expression de leurs nouvelles
aspirations. Les années vingt savent traduire cette émancipation. On arrive peu à peu à une
silhouette « à la garçonne ». Les robes sont alors raccourcies, largement décolletées à l'arrière, la
taille peu marquée, le corset définitivement abandonné. Maquillées de manière artificielle (fards de
couleurs vives, sourcils épilés), portant pyjama du soir et cheveux courts, parfois gominés, arborant
de longs fume-cigarettes, les femmes manifestent une volonté de libération par rapport aux années
de l'avant-guerre.
Mots-clés:connaissance, image, confrontation, existence, identité, classification
L'exclusion dans la société
Exposé sur l'exclusion qui se propose de répondre à la problématique suivante : comment
explique-t-on que dans un pays civilisé, le taux d'exclusion soit si important ?
Dissertation № 5744 | 1230 mots ( approximativement 3.1 pages ) | 11 sources | 2008
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Résumé
La France, pays qui proclame la liberté, l'égalité et la fraternité, a pourtant un taux élevé
d'exclusion, de 5 à 10 %, soit de 3 millions à 6 millions de français exclus.
L'exclusion se définit comme l'action d'exclure quelqu'un en le privant de certains de ces droits
I. Qu'est-ce que l'exclusion ?
A) Qui sont les exclus ?
B) À cause de quels critères exclut-on quelqu'un ?
II. Conséquences et solutions contre l'exclusion
A) Quels sont les problèmes que rencontrent les exclus ?
B) Comment lutter contre l'exclusion dans la société ?
C) Peut-on devenir exclu quand on ne l'était pas ?
Extrait du document
Les exclus sont les SDF, les anciens détenus, les personnes handicapés, les étrangers, les
séropositifs et les homosexuels.
Les SDF sont généralement pauvres, ils ont souvent d'abord perdu leur travail, puis leur maison, et
se retrouvent directement dans la rue, sans aucun endroit où aller. Ils se désocialisent et perdent
totalement le contact avec les autres. Ils se retrouvent seuls, ce qui les rend plus faibles. Il devient
alors très difficile de faire le chemin inverse pour s'en sortir car ils n'ont pratiquement aucune aide
extérieure.
Mots-clés:logement, handicapé, étranger, victime, homosexuel, différence
L'impact de la violence dans les médias
Dissertation sur les effets de la violence qui apparait dans les médias. Quel est l'influence de ce
phénomène sur l'évolution de la violence observée dans la société?
Dissertation № 6001 | 3485 mots ( approximativement 8.7 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
La violence dans les médias est à l'origine d'un débat de société qui, en 30 ans, n'a toujours pas
trouvé de réponses définitives. Une bataille politique s'est rapidement engagée entre ceux qui,
assurés de l'effet néfaste de la violence des médias, souhaitent la contrôler afin de protéger les
enfants et ceux qui affirment que de telles mesures ouvrent la porte à la censure et dissimulent les
causes réelles de la violence dans notre société.
Quel lien convient-il d'établir entre l'augmentation de la violence dans les médias et l'augmentation
effective de la violence dans notre société ? S'agit-il d'une simple corrélation ou d'un lien de cause à
effet ?
Ce lien ne peut laisser indifférent.
I/ La violence dans les médias grandit de manière inquiétante
a. La violence dans les médias de divertissement
b. Facteurs économiques de la violence dans les médias
II/ Comprendre les phénomènes de violence dans la société
a. L'encadrement de la diffusion : fonctionnement et limites
b. Responsabilité du public et éducation aux médias
Extrait du document
D'autres études montrent que la violence dans les médias n'a pas seulement augmenté, elle est
devenue plus spectaculaire et sadique que jamais. Elle est aussi très souvent liée à la sexualité. Les
images hyperréalistes de corps humains explosant au ralenti sous l'impact des balles ou de cadavres
baignant dans leur sang sont devenues choses courantes. À l'échelle de la planète, ce sont des
millions de spectateurs, dont beaucoup d'enfants, qui regardent les Championnats mondiaux de
lutte féminine, où les protagonistes tentent de s'arracher mutuellement les cheveux ou de mettre
en pièce les vêtements de l'adversaire. Un des jeux vidéo les plus vendus au monde, Grand Theft
Auto, accorde des points boni aux joueurs qui, après une relation sexuelle, tuent les prostituées à
coup de bâton de base-ball.
Les inquiétudes que pose la violence dans les médias ont grandi avec la diffusion de plus en plus
universelle du cinéma et de la télévision. En 1998, l'UNESCO a mené une enquête auprès d'enfants
de 23 pays et découvert que 91 % d'entre eux avaient accès chez eux à la télévision. L'étude ne
concernait pas uniquement les Etats-Unis ou l'Europe, mais également des pays arabes, d'Amérique
latine, d'Asie et d'Afrique. Plus de 51 % des garçons vivant dans des zones de guerre ou de forte
criminalité s'identifiaient aux héros des films d'action, de préférence à n'importe quels autres et,
chose étonnante, 88 % des enfants étudiés reconnaissaient immédiatement le personnage joué par
Arnold Schwarzenegger dans Terminator. Selon le rapport de l'UNESCO, Terminator « semble
illustrer parfaitement l'attitude que les jeunes croient nécessaire d'adopter dans des situations
difficiles ».
Mots-clés:image, criminalité, télévision, percutant, mort, recrudescence
Les hommes dans la publicité
Exposé portant sur l'image stéréotypée de l'homme dans la publicité.
Exposé № 6357 | 1760 mots ( approximativement 4.4 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
La société connaît de grands bouleversements sociologiques et des modifications dans l'organisation
de la famille. Les hommes, majoritairement présents dans le monde politique et dans les
entreprises, e sont également dans les crèches ou à la sortie des écoles… Sous l'effet conjugué du
travail féminin et d'un contexte professionnel incertain, les hommes sont devenus "multifonctions".
Une évolution que ne reflète pas toujours la publicité, qui continue de véhiculer des stéréotypes,
malgré quelques changements dans la représentation publicitaire du mâle.
I) L'évolution de l'image de l'homme dans la publicité
II) Les 3 types d'homme présents dans la publicité
III) Les nouveaux marchés masculins
Extrait du document
Alors que l'on a toujours dénoncer les dérives sexistes de la publicité envers les femmes, on observe
aujourd'hui que les hommes connaissent petit à petit le même sort. En effet, il n'est pas toujours
montré à son avantage et peut être représenté comme maladroit, idiot, ou doté d'une virilité
primitive. La pub malmène de plus en plus le sexe fort, où on y voit clairement la revanche des
femmes. Ainsi, En décembre 2002 l'hebdomadaire anglais « The Observer » remarquait qu'en six ans,
le nombre d'hommes ayant déposé plainte pour maltraitance publicitaires était multiplié par dix.
Les hommes ne se reconnaissent plus dans l'image véhiculée par la publicité. Alors qu'il deviennent
une cible marketing prioritaire, du fait de leur pouvoir d'achat et de leur part démographique dans
la société, les marques peinent à trouver le ton juste pour parler aux hommes et les amener à l'acte
d'achat.
Mots-clés:stéréotype, machiste, l'homme objet
"Les Essais" de Montaigne - Livre I, chap 31
Commentaire portant sur un extrait du chapitre "Des Cannibales" de l'ouvrage de Montaigne qui
montre comment celui-ci se moque de l'ethnocentrisme des Européens.
Commentaire de Texte № 6599 | 955 mots ( approximativement 2.4 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
Au XVIème siècle, la découverte du nouveau monde a enthousiasmé les humanistes et a permis de
provoquer une réflexion sur l'altérité (le fait d'autre).
La première édition des Essais date de 1580. Montaigne consacre le chapitre 31 du livre 1 aux
cannibales, aux rites de l'Anthropophagie qui ont horrifié ses contemporains.
Au début du chapitre, l'auteur s'est efforcé de relativiser les moeurs des Indiens. Dans les trois
derniers paragraphes, il donne la parole aux Indiens en racontant une scène dont il a été témoin
témoin en 1562 dans laquelle il a rencontré trois hommes du Nouveau Monde à la Cour royale.
L'extrait étudié va de "«Le roi parla à eux longtemps ..." jusqu'à "... ils ne portent point de hauts de
chausses !".
1) L'art du récit
2) La description des sauvages
3) Un texte satirique
Extrait du document
Montaigne nous présente d'abord le cadre spatio-temporel : "à Rouen" (ligne 9) durant le règne de
Charles IX (lignes 6 et 7) (en 1562). L'anecdote est faite au passé simple : "parla" (ligne 7) et à
l'imparfait : "ils trouvaient" (ligne 13).
Montaigne fait la représentation du cadre et montre les belles choses aux Indiens (ils se taisent)
jusqu'à la ligne 9. "Après cela" montre la coupure de ce paragraphe. Des lignes 9 à 25 c'est ce que
les Indiens pensent de la France. Quant aux lignes 26 à 29 elles montrent leur mode de vie. Et les
lignes 39 à la fin sont la chute de l'anecdote, les Européens s'expriment sur leur pensée.
Montaigne met en scène son histoire en utilisant le discours indirect, il recueille le témoignage des
Indiens : "ils répondirent trois choses" (ligne 11) ou "il me dit que" (ligne 31).
Mots-clés:indifférence, hiérarchie, culture, contradiction, économique, injustice
Psychanalyse des contes de fées
Exposé qui introduit la psychanalyse des contes de fées et l'illustre par le cas du "Petit
Chaperon Rouge".
Exposé № 6640 | 2700 mots ( approximativement 6.8 pages ) | 0 sources | 2008 |
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Résumé
La psychanalyse, tout en se situant dans le prolongement de la découverte progressive des
phénomènes inconscients au fil du 19ème siècle, marque une rupture tant elle renouvelle la
conception du sujet humain.
Pour Freud, la personnalité se forme à partir du refoulement dans l'inconscient de situations vécues
dans l'enfance comme source d'angoisse et de culpabilité.
Cet exposé présente l'intérêt psychologique des contes de fées chez l'enfant avant d'aborder le cas
particulier du "Petit Chaperon Rouge".
I. L'intérêt psychologique des contes de fées chez l'enfant
II. Le petit chaperon rouge : un conte d'avertissement
Extrait du document
Cette histoire existe dans de multiples versions différentes, la plus populaire étant celle des frères
Grimm, où le petit chaperon rouge et sa grand-mère renaissent et où le loup reçoit le châtiment
qu'il mérite. Mais l'histoire littéraire de ce conte commence avec Charles Perrault.
Résumé :
Un jour, la mère du petit chaperon rouge envoie l'enfant porter des gâteries à sa grand-mère qui est
malade. Le chemin qu'elle doit suivre traverse un bois où elle rencontre le loup. Celui-ci n'ose pas la
manger tout de suite, à cause des bûcherons, et lui demande où elle va. Il la devance ensuite et
s'introduit avant elle dans la maison de la grand-mère en se faisant passer pour l'enfant. Il dévore la
vieille femme et s'introduit dans son lit à sa place. Quand le petit chaperon rouge arrive, celui-ci lui
demande de le rejoindre dans le lit. L'enfant se déshabille et se couche, étonnée de voir que sa
grand-mère est nue.
Mots-clés:oedipe, moi, surmoi, inconscient, enfance, croissance
Entre dépendance et parentalité
Mémoire traitant des parents souffrant de toxicomanie et de leurs relations avec leurs enfants.
Mémoire ou thèse № 6758 | 24925 mots ( approximativement 62.3 pages ) | 29 sources | 2008 |
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Résumé
La spécificité de l'accompagnement mère-enfant est particulièrement intéressant de part son côté
orignal et très pertinent. En effet, l'idée d'accompagner ces mères de famille dans leur démarche de
soins par rapport à la toxicomanie mais également dans leur fonction parentale, permet de prendre
en compte l'environnement complet de l'usager et ainsi de lui offrir la possibilité d'agir et d'évoluer
sur de nombreux points.
Il convient de découvrir la problématique de la toxicomanie dans toute sa complexité et également
de comprendre quels effets elle peut avoir sur la parentalité et sur les enfants.
Plusieurs questions se posent donc : quelles sont les conséquences de la toxicomanie sur la vie des
usagers (travail, famille, relation sociale, santé…) ? La substitution est elle obligatoire dans la
démarche de soins ? Suffit-elle ? Quelle place a le produit dans la vie de ces personnes ? En quoi leur
toxicomanie peut elle avoir des effets néfastes sur l'exercice de leur parentalité ? Quelle
conséquence a la toxicomanie des parents sur les enfants ?
Est-ce la toxicomanie de ces femmes qui fait obstacle dans l'exercice de leur parentalité ou est ce
que d'autres causes antérieures peuvent également expliquer leurs difficultés ?
Extrait du document
Selon l'Observatoire Français des Drogues et des Toxicomanies, la dépendance est un «
comportement psychopathologique présentant des caractéristiques biologiques, psychologiques et
sociales » . Nous devrions alors plutôt parler des dépendances étant donné qu'elles sont multiples et
qu'elles touchent différents aspects. Afin de diagnostiquer le degré de dépendance, un outil existe :
c'est le DSM IV. C'est donc un outil de classification des troubles mentaux mis en place par
l'Association Américaine de Psychiatrie. Son objectif est d'offrir des critères de diagnostics précis
afin de pouvoir déterminer le degré de dépendance de l'usager.
Mots-clés:s'insérer, travail, consommation, éducateur
La motivation dans le milieu infirmier
Exposé sous forme d'une enquête de terrain analysant pourquoi, malgré des conditions de
travail et un degré de reconnaissance largement en deçà des standards des autres professions,
les infirmières s'attèlent à leur tâche avec autant d'engagement.
Exposé № 7158 | 14070 mots ( approximativement 35.2 pages ) | 11 sources | 2008
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Résumé
Au centre de toutes les revendications sociales depuis la fin des années 1980, à la fois infiniment
respectée et très peu reconnue, la profession d'infirmière concentre une grande partie des
paradoxes que renferme notre société moderne.
En passant du statut de simple assistante à celui d'acteur incontournable du monde des praticiens
de la santé, l'infirmière a gagné en compétences depuis la fin du XIXème siècle.
En revanche, et cela peut paraitre paradoxal, la fonction n'est qu'à peine plus reconnue qu'elle ne
l'était au début des années 1970.
Malgré une place de choix dans l'imaginaire collectif de notre société, qui la met en bonne place
dans le cercle fermé des héros modernes, l'infirmière reste très (certains diront trop) peu reconnue
au quotidien, en particulier par les pouvoirs publics. Temps de travail, salaire, pression
professionnelle, la profession, quand elle s'exprime sur sa condition, se garde bien d'excès
d'optimisme. Le diagnostic est le même chez les non initiés, qui la respectent, voire l'adulent, mais
se garderaient bien d'en partager le quotidien.
Elle semble donc au cœur d'un double discours, tenu à la fois par celles et ceux qui l'exercent (les
infirmières), ceux qui l'encadrent (les médecins), et ceux qui en bénéficient (les patients).
Le but de cette recherche de terrain est de décrypter les paradoxes qui sous-tendent la motivation
dans le milieu infirmer.
I/ L'idéal de l'infirmière, au sein de la profession et de la société
1) L'historique de la fonction d'infirmière et l'évolution du statut de la profession
2) L'identité de l'infirmière type : valeurs, idéaux et nouvel « ethos infirmier »
3) De l'étudiante à l'infirmière, la construction d'une identité
4) La perception de la fonction dans la société
II/ La difficile confrontation à la réalité du terrain et la motivation des infirmières ?
1) La théorie de la motivation
2) La situation problématique de l'infirmière dans l'environnement de l'hôpital
3) Les reconfigurations de la profession : évolution depuis les années 80
4) Les craintes et difficultés des infirmières : temps de travail, pouvoir d'achat, difficultés du
métier
III/ Hypothèses sur la motivation des infirmières
1) Etude des lettres de motivation
2) Hypothèses de l'étude de terrain
IV/ Méthodologie
V/ Analyse des entretiens
1) Résultats des entretiens
2) La réalité au quotidien
VI/ Les limites
Extrait du document
L'entraide et les bonnes relations au quotidien semblent être un facteur de motivation primordial. «
Si je ne sais pas faire un soin, je suis sûre de pouvoir compter sur une autre infirmière pour qu'elle
m'aide. Et si le contact ne passe pas bien avec un patient, je peux aussi demander à une collègue
d'aller le voir. C'est rassurant », affirme une jeune infirmière. « On se serre d'autant plus les coudes
que les conditions de travail sont difficiles et qu'il manque des infirmières ». « Mon métier est
agréable grâce à l'entente de l'équipe. On partage plein de choses, on s'entraide». Deux infirmières
sur onze nous disent ne pas aimer leur équipe.
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Sociologie
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2 000 – 2 012
Pages
:
2
20
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L'évolution de la famille
Dissertation qui analyse quels types de mutations socio-économiques et métamorphoses ont fait
évoluer la famille.
Dissertation № 7301 | 3760 mots ( approximativement 9.4 pages ) | 0 sources | 2008
$ 9.95
détails |
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Résumé
Si avant, la famille était considérée comme l'une des valeurs les plus importantes ( travail, famille,
patrie ), ce n'est plus du tout le cas aujourd'hui. En effet, depuis son apparition, la famille n'a pas
cessé de subir des transformations. Ces changements ont contribué à la constitution de nouveaux
modèles familiaux. Ils ont également amené un changement dans les mœurs, ce qui a fait évoluer le
sens du mot «famille» et son rôle dans notre société actuelle.
I) Définitions
A) La socio-économie
B) Mutation et métamorphose
C) Exemples
II) Les mutations socio-économiques de la famille
A) Mariages et divorces
B) Naissance et fécondité
C) Nouvelles formes d'union
III) Métamorphoses de la famille
A) De 1936 à 1970
B) De 1970 à 1975
C) De 1975 à 2008
Extrait du document
La société contemporaine connaît de profonds bouleversements au niveau de l'organisation du
travail, et les catégories qui composent la population active se transforment. Tout cela provoque
des conflits. Ils sont au centre des mécanismes du changement social. Ces conflits ont une double
fonction sociale : ils permettent l'intégration des individus dans les groupes ou dans la société en
réduisant les tensions ; ils évitent l'immobilisme du tissu social. La société fonctionne à partir de
conflits institutionnels, repérés et repérables, qui constituent des moteurs et qui mettent aux prises
des groupes sociaux appartenant, souvent, à un étage opposé du système de stratification sociale.
Mots-clés:grossesse, âge, carrière, entourage, indépendance, conjoint
La solution addictive face à la menace mélancolique
Mémoire analysant le lien entre addiction et mélancolie.
Mémoire ou thèse № 7719 | 17020 mots ( approximativement 42.6 pages ) | 54 sources | 2008
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Résumé
Pathologie de la modernité, la question de la dépendance interpelle tant elle est passée du statut
de marginalité à celui de phénomène social, voire politique à regarder la législation récente sur le
tabac en Europe. Au delà de l'alcool ou des stupéfiants, l'addiction se décline désormais sous toutes
les formes possibles, à grand renfort de médiatisation : addiction au sexe, aux jeux vidéos, aux
séries télé, à la « cyber-sphère» et ses avatars (forums, chats, emails, jeux en ligne etc.), mais
aussi dépendance affective, accrocs au travail, au sport, ou même au chocolat...
L'addiction, véritable «solution de survie psychique» viendrait alors recouvrir et combler une béance
innommable en court-circuitant par l'agir toute élaboration de ce "défaut fondamental", élaboration
qui, si elle avait lieu, conduirait à la mélancolisation du sujet.
Il s'agit dès lors de s'interroger sur la façon dont l'addiction viendrait «au secours» du sujet menacé
dans son intégrité psychique.
I- A l'origine de l'addiction, un miroir brisé ?
A/ L'incomplétude de l'addicté, une brisure identitaire
B/ Philippe Léotard, le miroir de la mère froide
II- L'addiction : une stratégie défensive contre l'appel de la mélancolie
A/ La solution addictive
B/ Un équilibre précaire sur la crête de la mélancolie
Extrait du document
Le mélancolique au contraire ne peut pas se détacher de l'objet, sa perte est impensable. En effet,
dans l'échec du processus du stade du miroir, ni l'objet ni le Moi ne se sont totalement constitués.
Le travail de reconnaissance est resté inachevé, maintenant une continuité entre le Moi et l'objet,
comme un résidu du « sentiment océanique » évoqué par Freud dans " Malaise dans la culture ".
Mots-clés:défaillance, moi, pathologie, enfance, brisure
"Quand la ville se défait" de Jacques Donzelot
Fiche de lecture portant sur cet essai de Jacques Donzelot où l'auteur explique les échecs de la
politique de la ville et propose de nouvelles solutions.
Fiche de lecture № 9853 | 1100 mots ( approximativement 2.8 pages ) | 0 sources | 2009
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Résumé
Dans son ouvrage, "Quand la ville se défait : Quelle politique face à la crise des banlieues ?" Jacques
Donzelot analyse en profondeur la politique de la ville.
L'auteur tente de faire comprendre la relation étroite entre ville et société à travers ce qu'il appelle
la « question sociale ». Derrière celle-ci se cache la notion de cohésion sociale.
Nous suivrons le plan de l'auteur :
I) La question urbaine
II) La politique de la ville
III) La politique pour la ville
Extrait du document
Les grands ensembles, apparus pendant les 30 Glorieuses, étaient la solution au problème de
logement. Aujourd'hui ils représentent un problème auquel on associe le chômage, la précarité,
l'instabilité et la concentration de minorité ethnique. Ainsi pour changer la donne, l'auteur propose
différentes solutions. Tout d'abord, il y a une nécessité d'agir sur les habitants afin qu'ils changent
l'image des quartiers. Pour cela il faut valoriser les habitants. A ce jour, il existe trois types
d'actions. La première qui consiste à faire un développement social. C'est-à-dire corriger localement
les échecs « de la modernisation de la société par l'urbain. Le développement de la citoyenneté est
préférable au développement de l'urbain. La deuxième à établir une discrimination positive des
territoires. C'est ce qui s'est mis en place avec la création des zones franches urbaines. Et enfin une
action de rénovation urbaine qui elle semble plus difficile à réaliser.
Mots-clés:logement, emploi, scolarité
La gestion des ressources humaines dans l'économie sociale et solidaire
Travail de recherche sur l'objet, les enjeux, les freins et les limites à l'introduction de
réflexions et pratiques de GRH (gestion des ressources humaines) dans les organisations de
l'économie sociale et solidaire.
Travail de Recherche № 10832 | 2585 mots ( approximativement 6.5 pages ) | 4 sources | 2008
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Résumé
On peut dépasser la vision classique de la gestion des ressources humeines (GRH) et l'envisager de
façon plus générale comme une activité de soutien à toute organisation, lui permettant d'exister
dans les meilleures conditions et donc de se pérenniser. Ainsi, peut-être les organisations de
l'économie sociale et solidaire ont elles également à réfléchir à la gestion de leurs ressources
humaine.
Une réflexion sur les enjeux et pratiques de la GRH est-elle pertinente en économie sociale et
solidaire ? Ne doit-on pas justement parler d'enjeux et de pratiques de GRH spécifiques à ce
domaine ?
I- Les freins et limites de la GRH en économie sociale et solidaire
II- L'importance de la GRH dans les organisations d'économie sociale et solidaire
III- Quels outils et modes de GRH en économie sociale et solidaire ?
Extrait du document
Par ailleurs, on peut noter un autre frein qui est celui de l'absence de formation à la GRH. D'une
part, les formations à la direction et gestion de structures en économie sociale et solidaire
comportent souvent peu de GRH et de gestion comptable et financière. Cela peut se relier au frein
évoqué précédemment : les outils issus du monde de l'entreprise sont souvent rejetés du monde de
l'économie sociale et solidaire pour des raisons idéologiques. Cela est vrai non seulement dans la
pratique mais aussi dans la formation.
Mots-clés:association, coopérative, mutuelle
"Les Nuer" de Evans-Pritchard
Fiche de lecture portant sur l'ouvrage de l'anthropologue Evans-Pritchard qui fait la description
des modes de vie et des institutions politiques d'un peuple nilote.
Fiche de lecture № 12666 | 1280 mots ( approximativement 3.2 pages ) | 0 sources | 2002
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Résumé
Evans-Pritchard marque son ouvrage d'une évolution intérieur, car en déterminant la vie des Nuer, il
introduit au fur et à mesure les interactions complexes du milieu avec les hommes. C'est sur ce
continuum inéluctable qu'Evans-Pritchard base son étude : il marque la multiforme
complémentarité entre la face interne et la face externe de la société c'est à dire les relations
entre hommes et les relations entre les hommes et le milieu.
I. Présentation de l'auteur
II. Présentation de l'œuvre
III. La problématique
IV. Méthodologie
Extrait du document
Les Nuer vivent dans un milieu naturel très marqué par les saisons. Leurs moyens de subsistance s'y
adaptent. Leurs activités sont en grande partie l'élevage du bétail, mais ils pratiquent aussi la pêche
et l'horticulture. Tout tourne autour de ces animaux qui sont les centres d'intérêt pour les Nuer,
c'est sûrement l'écologie qui tend à favoriser cette activité. Les rapports économiques des Nuer sont
à étudier avec les relations sociales, la division du travail fait partie des relations normales entre
personnes de sexe opposé. L'économie est souvent commune aux membres de chaque village, ils
pratiquent le travail en coopération et le partage de nourriture surtout pendant les temps de
pénurie.
Mots-clés:patriclan, exogame, clan, tribu, système politique, guerrier
La socialisation
Dissertation sur le thème de la socialisation en tant qu'outil de la reproduction sociale et
processus de construction sociale de l'identité.
Dissertation № 531 | 3800 mots ( approximativement 9.5 pages ) | 11 sources | 2006
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Résumé
La sociologie contemporaine s'intéresse à l'individu; elle l'étudie en passant par trois grandes voies :
la socialisation, la subjectivation et l'individuation. La socialisation est le processus de fabrication
sociale et psychique d'un individu. Le terme socialisation désigne l'ensemble des mécanismes par
lesquels l'individu intériorise les normes et valeurs de son groupe d'appartenance et construit son
identité sociale. C'est un processus par lequel l'individu devient membre d'un groupe, et plus
largement d'une société. La socialisation est un processus réciproque entre la société et l'individu.
I. La socialisation est un processus qui assure la reproduction sociale
1. La notion d'habitus
2. Les étapes de la socialisation
a. Socialisation primaire
b. Socialisation secondaire
3. Les agents de la socialisation
a. La famille
b. L'Ecole
c. Le groupe des pairs
d. Les médias
II. La socialisation est un processus de construction sociale de l'identité
1. Processus d'interactions
2. Changement social
Extrait du document
La famille constitue l'instance principale de la socialisation primaire. C'est en effet dans le cadre du
milieu familial que se forge le système de dispositions à partir duquel seront filtrées toutes les
autres expériences de la vie sociale. La famille a un rôle important dans la socialisation de l'individu
puisqu'elle intervient dès le premier âge de la vie au moment où la personnalité de l'enfant est la
plus malléable. L'action de la famille sur l'individu est intense puisque les contacts entre enfant et
parents sont quotidiens, et elle se déroule dans un climat affectif, du coup l'enfant est
particulièrement réceptif aux apprentissages nouveaux.
Cependant, pour Emile Durkheim, l'enfant ne peut pas apprendre les règles générales et
impersonnelles que la société requiert de lui, au sein du milieu familial puisque les relations entre
les individus sont trop influencées par les sentiments personnels. L'école doit alors aussi intervenir
dans la socialisation des individus.
Mots-clés:idéal, rationalité, jeunesse, langage, groupe, règles
La génération Y
Etude qui s'intéresse à la génération Y en France, jeunes nés entre 1978 et 1994, et qui analyse
leurs comportements et leurs modes de vie.
Travail de Recherche № 645 | 4020 mots ( approximativement 10.1 pages ) | 15 sources | 2007
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Résumé
Si cette génération est définie par une empreinte démographique sur la pyramide des âges, elle s'en
est affranchie pour devenir une véritable “culture” ou un “état d'esprit” que l'on retrouve chez les
membres des autres générations. Cette génération est donc la génération montante. Cette étude
cherche à évaluer les nouveaux besoins et la nouvelle manière de vivre de cette génération.
1. Définition générale
2. La génération Y et le travail
a) La relation qu'ils entretiennent avec le travail
b) La génération Y et le recrutement
c) Les facteurs de motivation et de fidélisation de la génération Y
3. La consommation média de la génération Y
a) Consommation presse de la génération Y
b) Consommation télévision des 15-24 ans
c) Consommation radio des 15-24 ans
d) Consommation internet des 15-24 ans
e) Consommation de l'affichage chez les 15-24 ans
f) Consommation cinéma des 15-24 ans
Extrait du document
Hédonistes au grand cœur, ce sont également des globes trotteurs, avides d'en connaître plus sur le
monde. Strauss et Howe prédisent que les valeurs de gauche (alter mondialisme, état providence)
seront accentuées durant l'apogée des Y. Le racisme est très peu répandu dans cette génération :
l'ouverture y est multidimensionnelle. L'obésité subit une forte hausse, mais le tabagisme diminue,
surtout dans les régions où fumer est prohibé dans les lieux publics.
Les membres de la Génération X sont, selon la classification William Strauss et Neil Howe, les
occidentaux nés entre 1961 et 1981. En France, la génération X est composée des personnes nées
entre 1964 et 1977. Cette génération a été marquée par la Guerre froide et par les innombrables
progrès technologiques ayant eu lieu durant cette ère. D'après eux, rien n'est impossible, il suffit
qu'on y mette le temps et l'argent. La génération X serait la jeunesse sans identité, jeunesse issue
de la Révolution tranquille qui a grandi dans la promesse d'un avenir meilleur.
Mots-clés:indépendance, homogénéité, performance, technologie, stabilité, pragmatisme
Les transformations de l'organisation du travail depuis les années 70
Dissertation d'économie qui étudie les principales transformations de l'organisation du travail et
les effets de ces transformations sur les conditions de travail.
Dissertation № 791 | 920 mots ( approximativement 2.3 pages ) | 0 sources | 2005
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Résumé
L'organisation du travail fait partie du progrès technique et est utilisé par les entreprises afin de
produire sans perte, mais surtout en faisant des profits. L'accent est mis sur la force de travail,
autrement dit, sur les hommes et les machines. Jusque dans les années 70, le taylorisme et le
fordisme régnaient en maître.
Cette étude montre comment et pourquoi ils vont être remis en cause après 1970, et quelles sont
les retombées sur le statut du travailleur.
I/ Les principales transformations de l'organisation du travail depuis les années 70
1) L'avant 70 : les systèmes de Taylor et de Ford
2) Les différentes crises vont faire naître d'autre systèmes
3) Les systèmes néo-tayloriens
II/ Les effets des transformations de l'organisation du travail sur les conditions de travail
1) Un effet négatif décrit par Marx
2) Et infirmé par Durkheim
3) Vers une certaine autonomie des travailleurs
Extrait du document
Deux modèles vont être étudiés, le modèle kalmarien, qui combine une certaine flexibilité mais
avec une faible négociation des travailleurs au sujet de leur contrat de travail. Et le modèle
toyotiste, qui combine une flexibilité avec une possibilité de négociation. De plus, ce système
fonctionne selon les flux tendus, autrement dit le « total quality control », où les employés,
ouvriers, décident de la façon de produire, avec un contrôle. La production doit alors expérimenter
les 5 zéros, qui sont : zéro défaut, panne, délais, papier, arrêt. Mais ce modèle va lui aussi
connaître une crise. En effet, malgré quelques variantes, ce système fait partie d'une organisation
néo-taylorienne, c'est à dire d'un système taylorien qui a subit des modifications, c'est en réalité
une nouvelle forme du système.
Le système néo-taylorien proprement dit est un système où l'offre est adaptée à la demande, les
travailleurs sont de plus en plus polyvalents, et ils contrôlent la qualité des produits.
Mots-clés:cadence, travail à la chaîne, fidélité, négociation, solidarité, stress
La sociologie a-t-elle sa place parmi les sciences ?
Dissertation qui, en se basant sur les études menées par Pierre Bourdieu, Durkheim et Weber,
décrit en quoi la sociologie est une science.
Dissertation № 1189 | 2270 mots ( approximativement 5.7 pages ) | 1 source | 2007
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Résumé
La sociologie, en entrant dans ce qui est supposé être son âge scientifique, se présente d'emblée
comme partagée entre deux démarches radicalement différentes : la méthode explicative
(Durkheim) et la méthode compréhensive (Weber). La scientificité de la sociologie a longtemps été
contestée, et l'est encore parfois, par ceux qui estiment que le seul modèle de science est celui des
sciences dures, et notamment le modèle de la physique où règne une méthode unique. Cette étude
cherche à définir ce qu'est réellement la sociologie et en quoi on peut la qualifier de science.
I) Mise en perspective
1) L'invention du mot « sociologie »
2) Deux fondateurs, deux méthodes
3) Expliquer et comprendre
II) Position de Bourdieu sur la scientificité de la sociologie
1) Une science comme les autres ...
2) … Et pourtant différente
3) Un argument à double tranchant : les résistances à la sociologie
Extrait du document
En 1822, le philosophe Auguste Comte, père du positivisme, rédige un Plan des travaux scientifiques
nécessaires pour réorganiser la société. Dans ce texte programmatique, il formule l'exigence de
développer une science nouvelle qu'il appelle la « physique sociale » ou « science des lois
fondamentales propres aux phénomènes sociaux ». Science nouvelle qui viendrait terminer
l'entreprise de connaissance du réel entamée par l'humanité depuis l'origine, en s'ajoutant aux cinq
autres sciences déjà constituées : mathématiques, astronomie, physique, chimie, biologie.
Dans son Cours de philosophie positive, en 1839, Comte invente un nom à cette science nouvelle et
ultime : il l'appelle la « sociologie ».
Malgré ses efforts pour faire de la sociologie une science, Comte appartient encore à ce que
Bourdieu appelle la « préhistoire » de la sociologie, il fait encore de la « philosophie sociale » (19).
Pour quelles raisons ?
Mots-clés:positivisme, progrès, outil statistique, polémique, expérimentation, psychanalyse
La protection sociale
Dissertation qui pose la question de savoir si la protection sociale est trop importante en
France ?
Dissertation № 1593 | 1160 mots ( approximativement 2.9 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
La réforme récente des retraites, ainsi que la réflexion actuelle sur le fonctionnement et le
financement de l'assurance maladie montrent que la protection sociale est au cœur des
préoccupations du gouvernement français, mais aussi des autres démocraties européennes.
I. Le développement de l'Etat-providence a engendré une forte augmentation des coûts liés à la
protection sociale
A) Le développement de l'Etat-providence
B) Une remise en cause du fonctionnement de la protection sociale et le retour de l'argumentation
Libérale
II. La protection sociale reste nécessaire et stimule l'activité économique en renforçant la demande
A) La nécessité de la protection sociale
B) La protection sociale soutient la demande
III. L'efficacité du système de protection sociale doit être améliorée par des réformes
A) La nécessité des choix politiques
B) L'urgence des réformes dans les domaines de la santé et de la vieillesse
IV. Les changements dans le domaine du travail provoquent une évolution dans l'organisation de la
vie Quotidienne et la gestion du temps libre
A) Généralisation de la bi activité
B) L'aspiration plus forte pour les loisirs
Extrait du document
Le système de protection sociale vise à corriger les inégalités nées de la répartition primaire des
revenus, et à assurer les citoyens contre un certain nombre de risques comme la maladie, le
chômage ou encore la retraite. Ce système, nécessite des moyens financiers et humains de plus en
plus important, compte tenu du vieillissement de la population, de l'augmentation de l'espérance de
vie, ou encore des progrès réalisés dans le domaine médical.
Face à l'augmentation de ces budgets, peut-on considérer que la protection sociale est trop
importante en France ?
Si la protection sociale est souvent remise en cause (I), elle peut également être bénéfique du point
de vue économique (II) et son efficacité doit être renforcée (III).
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Sociologie
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"A quoi sert la sociologie ?" de B. Lahire
Fiche de lecture de l'ouvrage écrit sous la direction de B. Lahire dans lequel des sociologues
reconnus se penchent sur la question de l'utilité sociale de leur discipline et la raison d'être de
la sociologie.
Fiche de lecture № 2252 | 1150 mots ( approximativement 2.9 pages ) | 0 sources | 2002
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Résumé
A quoi et à qui sert la sociologie ? Naïve et provocatrice, la question à laquelle une dizaine de
sociologues ont accepté de répondre consiste à se demander si la sociologie doit être conçue
comme un pur savoir scientifique objectif ou si elle doit intervenir dans le champ social et
politique.
I- La sociologie, forme particulière de conscience
II- Utilité : entre sociologie expérimentale et sociologie sociale
III- La sociologie et la réponse à la demande sociale
IV- Pour un calme examen des faits de société
V- Les tentatives de professionnalisation des études de sociologie : un bilan prospectif
VI- Sciences, sociologie, politique : qui expertisera les experts ?
VII- Sociologie et engagement : nouvelles pistes épistémologiques dans l'après-1955
Extrait du document
Lahire souligne la question de l'utilité sociale et de la raison d'être de la sociologie. Elle se pose
d'autant plus qu'académiquement et scientifiquement, la discipline est moins légitime.
Le sentiment d'utilité est souvent lié à sa valeur académique et extra académique (prestige,
débouchés, etc.)
Le fait d'étudier sa propre société, dans des faits contemporains, et avec une fonction critique
souvent implique une longue justification de la démarche « son rôle est d'exprimer le réel, non de le
juger » (Durkheim, 1977, 71) (8)
Elle n'a pas la fonction de servir quelque chose (donc quelqu'un), pas une façon de servir le pouvoir,
mais de comprendre le monde social, donc les pouvoirs.
Curiosité gratuite ? Aucune utilité extra scientifique ?
Il existe un gouffre jamais questionné entre les producteurs et les usages réels qu'en font les
consommateurs.
Mots-clés:théorie, conception, politique, militant, engagement, société
"L'Utopie" de Thomas More
Exposé de littérature autour de l'ouvrage "L'utopie" de More, dans lequel il explicite sa vision de
la cité idéale.
Commentaire de Texte № 2655 | 970 mots ( approximativement 2.4 pages ) | 5 sources | 2008
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Résumé
Thomas More fut un juriste, historien, philosophe, théologien et homme politique anglais de la
Renaissance. Il a écrit L'Utopie en 1516, donc dans la période de l'humanisme, où l'homme et son
bien-être étaient au centre des préoccupations.
Ce devoir présente une analyse de Thomas More sur la cité idéale, qui est non seulement une ville à
l'architecture bien organisée, mais qui se compose aussi d'habitants qui se respectent les uns les
autres, et pensent d'abord au bien de leur société avant leur intérêt personnel.
I. L'architecture idéale
II. La société idéale
III. L'utopie
Extrait du document
Mais ce texte est utopique, comme nous le montre déjà le nom du pays : Utopie, et le nom de son
fondateur : Utopus.
Utopie en latin vient de ou-topos, non-lieu, donc c'est un endroit qui n'existe pas, qui ne peut pas
exister.
D'après Thomas More, Utopus a créé l'île en formant un isthme entre l'île le continent : c'est
impossible.
L'auteur nous explique qu'il n'y a pas de mal dans cette société mais c'est utopique, car il y a
toujours une part de mal dans l'homme : il y aura toujours des vols et de la violence.
Les habitants ne seront sûrement pas d'accord pour abandonner une maison qu'ils ont habitée
pendant 10 ans.
Et l'auteur dit que les fleurs et les légumes sont les plus beaux qu'il n'a jamais vu : c'est une
exagération.
Mots-clés:esthétique, invasion, conflit, harmonie, collectif
"Violences urbaines" de Bachmann et Le Guennec
Fiche de lecture sur l'ouvrage de Bachmann et Le Guennec qui décrivent les «Violences
urbaines» au travers de l'ascension et de la chute des classes moyennes, à travers 50 ans de
politique de la ville.
Fiche de lecture № 2916 | 860 mots ( approximativement 2.2 pages ) | 1 source | 2007 |
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Résumé
Dans les banlieues, l'environnement quotidien est marqué par l'hostilité. Le conflit naît quand se
développe la méfiance entre les jeunes et les garants de l'ordre social.
La violence éclate lorsque l'autorité vacille et chancelle.
Les révoltes sporadiques des banlieues sont les signes annonciateurs de ruptures sociales et
politiques d'une ampleur inédite, et d'une intensité encore inconnue.
Extrait du document
Au bout du compte, les banlieues apparaissent comme une ville avortée, bâclée et ratatinée. Le
problème vient du fait que le besoin précède la rentabilité. En 56, changement de point de vue :
«depuis que je vis en banlieue j'ai perdu l'angoisse du temps qui passe».
Mais en 1960, le doute revient.
Selon Merton, seuls les obstacles institutionnels et politiques s'opposent à ce que les classes
défavorisées intègrent les valeurs dominantes.
Fin des années 70, plus de 28000 associations se créent.
Seul problème, on connaît le nombre d'associations qui se créent mais pas le nombre qui meurent en
silence.
Mais que se passe- t-il à l'aube des années 2000 ?
Mots-clés:logement, brutalité, espérance, émeute, révolte
"Les désordres du travail" de Philippe Askenazy
Fiche de lecture sur l'ouvrage d'Askenazy, qui offre un diagnostic à la fois riche et limpide sur
le nouveau productivisme, sujet qui s'est éclipsé du débat social.
Fiche de lecture № 3766 | 2100 mots ( approximativement 5.3 pages ) | 9 sources | 2007
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Résumé
Le thème du travail a donné lieu ces dernières années à de nombreux développements : tantôt la fin
du travail était annoncée, tantôt l'ère d'un nouveau travail, épanouissant, enrichissant, motivant
était mis en avant.
Une approche courante consiste également à séparer le travail d'aujourd'hui et ses souffrances
psychologiques, du travail d'autrefois (les "métiers pénibles") avec son lot de souffrances physiques.
Or Philippe Askenazy montre que cette représentation, qui renvoie trop rapidement à des
mécanismes psychologiques, est erronée car les pénibilités physiques augmentent en réalité plus
vite aujourd'hui que la "charge mentale" au travail. Il s'agit selon lui de "reposer le travail" : c'est
pourquoi il replace la question dans sa relation avec le système capitaliste et adopte une méthode
fondée sur une analyse économique, croisée avec d'autres disciplines comme l'ergonomie, et qui
s'appuie sur des comparaisons internationales.
I. L'auteur
II. Contexte et méthode
III. Résumé de l'ouvrage
IV. Quelques éléments critiques
Extrait du document
L'approche économique permet tout d'abord de quantifier le problème : 2000 accidents du travail
nécessitent chaque jour une interruption d'invalidité en France (hors accidents sur le trajet).
Cumulé à celui des maladies professionnelles, le coût social de ces accidents s'élève à 3% du PIB.
Cette situation est en grande partie le fruit du nouveau productivisme qui a présidé à la
réorganisation des entreprises depuis une quinzaine d'années. Ce productivisme réactif se
caractérises par la polyvalence, la responsabilité et l'autonomie du travailleur, soumis à une la
normalisation qualité croissante et aux impératifs de satisfaction du client, dans une économie
mondialisée qui impose le juste-à-temps. Il est né de la combinaison sur le continent américain du
vieux modèle fordiste-tayloriste et du modèle toyotiste japonais («cinq zéro» : 0 défaut, 0 panne, 0
papier, 0 stock, 0 délai.)
Les entreprises européennes ont suivi à leur tour ce mouvement, et y ont ajouté flexibilité du temps
de travail et flexibilité des contrats.
Mots-clés:optimisme, paritarisme, prévention, tarification, inspection, santé
La pédagogie différenciée
Dissertation qui analyse en quoi la pédagogie différenciée prend en compte les spécificités de
chaque élève.
Dissertation № 4336 | 1225 mots ( approximativement 3.1 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
La pédagogie différenciée entraîne des évolutions très positives, dans la mesure où elle permet de
réduire les inégalités au sein d'une classe. Cependant, en utilisant ces méthodes, un enseignant
peut difficilement traiter de façon complète, le programme soumis par le ministère. Les inégalités
réapparaîtraient alors entre les écoles puisque toutes ne choisissent pas d'élaborer une
différenciation pédagogique. Pour qu'elle soit réellement efficace, il faudrait alors que le système
soit modifié à la base.
Il semble donc qu'introduire la pédagogie différenciée dans l'ensemble des enseignements
impliquerait des changements en bien des niveaux, comme par exemple au niveau du programme,
de la structure, de la progression scolaire, de la formation des enseignants et chose importante,
agirait sur la mentalité des gens et leur façon de concevoir l'école.
I. La pédagogie différenciée s'adapte à chaque élève
A- Dans la théorie...
B- Et dans la pratique
II. «S'adapter à tous» : un concept qui a ses limites
A- D'un point de vue théorique
B- D'un point de vue pratique
Extrait du document
En premier lieu, le point crucial de cette pédagogie est la grille d'analyse. En effet, c'est à partir de
celle-ci que vont être ciblées les difficultés de chaque élève et que des stratégies vont pouvoir être
élaborées. Concrètement, dans les classes, la pédagogie différenciée se traduit par la mise en place
de la part des enseignants de nouveaux types de supports (par exemple des images, des schémas
...).
L'enseignant peut aussi mettre en place des travaux de groupe, il peut adapter selon les élèves le
nombre ou l'ordre des questions posées.
André de Peretti a souligné le fait que la différentiation pouvait être différée. De plus, grâce à la
pédagogie différenciée, les savoirs et savoir-faire enseignés, sont moins denses, et il semblerait
donc pertinent de croire qu'ils sont mieux compris et retenus grâce à l'attention portée sur chacun
lors de l'apprentissage.
Pour finir, les savoirs-être sont plus développés. En effet, la cohésion de la classe est davantage
prise en compte ainsi que les rapports entre élèves. Les fréquents travaux en groupe permettent de
s'attarder sur le comportement social des enfants et de leur inculquer des notions de tolérance et
de solidarité.
Mots-clés:effectif, fonctionnaire, jeunesse, apprentissage, connaissance, multiculture
Comment expliquer l'exclusion sociale aujourd'hui ?
Dissertation qui identifie les causes du malaise social actuel et des difficultés d'intégration de
la population.
Dissertation № 4351 | 1800 mots ( approximativement 4.5 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
L'exclusion sociale peut se traduire de plusieurs façons et peut s'expliquer par divers facteurs,
surtout économiques et sociaux.
Le travail, la famille, l'école sont autant d'instances qui engendrent fréquemment l'exclusion. La
crise des instances traditionnelles d'intégration sont à la base de l'exclusion.
Celle-ci se définit d'abord par l'explication économique que l'on a pu en donner à travers le chômage
et la précarité, mais elle s'explique également par les difficultés de la société à s'adapter aux
demandes collectives.
Pour Tocqueville, l'individualisme conduit l'homme à se soucier plus de son espace privé que de la
sphère publique.
Ainsi, l'affaiblissement des solidarités maintient la situation des exclus. L'Etat-Providence tente de
renforcer le lien social par des politiques de lutte contre les inégalités, mais malgré cela, l'exclusion
sociale est un phénomène toujours d'actualité et un réel problème.
1. L'exclusion sociale sous l'angle économique : le travail
2. Les autres facteurs qui entrent en jeu dans le processus d'exclusion sociale
Extrait du document
Dans une société dite "salariale", le monde du travail joue un rôle important pour créer des liens
sociaux, mais quand le chômage de masse se développe et qu'il devient difficile d'avoir un emploi
stable, et des perspectives de mobilité ascendante, le travail perd de sa capacité intégratrice. Il
devient alors difficile de se projeter un avenir dans une carrière ou dans une entreprise, et la valeur
du travail perd de sa crédibilité. Les individus se désintéressent au travail et ne ressentent même
plus le besoin d'adhérer à un syndicat par exemple. De plus, nombre de chômeurs se sont sentis
exclus, et ce d'autant plus pour ceux qui étaient syndiqués puisqu'avec la perte de leur travail, ils
perdaient aussi toute reconnaissance au niveau de leur syndicat ; l'esprit de collectif s'atténue donc
en même temps que le travail perd de sa valeur au sein de la société. Le travail se raréfiant, il perd
de son rôle intégrateur, d'où le sentiment d'exclusion chez les individus au chômage où en difficulté
face à l'emploi.
Mots-clés:emploi, intérimaire, revenu, inégalité, isolement, famille
Débat sur l'euthanasie
Dissertation qui présente les différents arguments de ce débat et se demande pouquoi il est si
dur de légiférer sur le sujet.
Dissertation № 5055 | 1600 mots ( approximativement 4 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
Dissertation construite à partir de l'étude et de la confrontation de différents articles de
périodiques.
"Donner la mort doit rester un interdit" ; "Pour mieux accompagner la fin de vie" ; "Mourir au XXIe
siècle" du quotidien La Croix. "Protéger les plus vulnérables" publié dans la revue «Témoignages
chrétiens». "Contraint à vivre, interdit de mort", le document 5, est un article de novembre 2003
écrit par le juriste Marcela Iacub pour Libération.
"Euthanasie : légalité et stabilité" a été extrait d'un périodique des Pays-Bas rédigé par Osslveen et
Courrier International l'a publié le 26juin 2003, tout comme "Euthanasie, mode d'emploi".
Le document 10 quant à lui regroupe un tableau extrait du Libération du 19 mai 2002 et un article
de Courrier International traitant de la légalisation en Europe de l'euthanasie.
1. La complexite de la question de l'euthanasie
a. La mort : un sujet sensible d'un point de vue éthique et moral
b. Différentes conceptions d'euthanasie
2. L'euthanasie une question personnelle, mais pas seulement
a. La responsabilité et l'intérêt du patient
b. La responsabilité et l'intérêt du corps médical
3. Quelle legislation ?
a. Ce qui existe déjà en Europe
b. Les avantages et les risques de dérive d'une loi relative à l'euthanasie
Extrait du document
Comme Michel Serres nous le rappelle dans son entrevue, la mort est un phénomène très relayé par
les médias. Ceci illustre bien le fait que la mort a toujours été un sujet qui passionne le public.
Dans la société occidentale actuelle, nous faisons face à un culte de l'éternelle jeunesse. Vieillir fait
peur et nous refusons l'idée de devenir un jour grabataire. Ces refus font entrer le problème de
l'euthanasie dans les consciences populaire.
Cependant, notre société se retrouve aujourd'hui tiraillée entre l'idée que chacun doit pouvoir
«mourir dans la dignité» et celle traditionnellement transmise que le suicide est un acte
irrationnel.
Mots-clés:Belgique, médecin, éthique, patient, injection, jugement
L'euthanasie
Exposé qui pose la question de savoir comment est géré le problème de l'euthanasie aujourd'hui
en France et dans d'autres pays du monde.
Exposé № 8100 | 5555 mots ( approximativement 13.9 pages ) | 15 sources | 2007
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Résumé
Aujourd'hui, le recours à l'euthanasie peut avoir lieu dans différentes situations. En effet, bien
qu'interdit par la loi française, l'euthanasie est pratiqué en secret, par le corps médical avec
l'accord ou non de la famille.
I. L'euthanasie en France
A) Le recours actuel de l'euthanasie
B) Les dérives liées au manque de législation
II. Comparaison avec les autres pays
A) Les pays européens qui ont légalisé l'euthanasie
B) Les autres pays en Europe et du monde
III. L'euthanasie : le retour du débat
A) Les partisans du «pour»
B) Les opposants à la légalisation
IV. Annexes
Extrait du document
Etymologiquement, le terme euthanasie vient d'«euthanos» qui signifie la bonne mort. Il faut savoir
que le problème de l'euthanasie a toujours existé ; cependant, il peut être différemment perçu pour
chaque civilisation. En Grèce Antique, l'euthanasie ne soulevait pas autant de problèmes moraux ;
en effet, pour les Grecs, un individu ayant une mauvaise vie ne devait pas rester en vie, c'est
pourquoi l'euthanasie ne choquait pas. A cette époque, il existait néanmoins une exception puisque
Hippocrate interdisait à tous les médecins, qui avaient prêté serment sur son Sermon, de participer
à toutes formes d'aides au suicide.
Le premier a utilisé le terme d'euthanasie a été un médecin anglais le Docteur Bacon en 1623. Selon
ce dernier, l'euthanasie est vue comme une délivrance et également comme la possibilité de finir sa
vie dignement. Cette pratique a été reconnue et admise sous le terme de médecine palliative.
Durant la Seconde Guerre Mondiale, les nazis ont détourné le terme d'euthanasie, car pour eux,
l'extermination des handicapés était considérée comme un acte d'euthanasie. Le débat de
l'euthanasie a ressurgi au XIXème siècle à partir du moment où la médecine a progressé et
l'espérance de vie a évolué...
Mots-clés:loi Leonetti, soulager, douleur, physique, morale, traitement
"L'insécurité sociale" de Robert Castel
Fiche de lecture portant sur l'essai de Robert Castel, "L'insécurité sociale" et le rôle limité et
ambigü de l'Etat dans la protection de l'individu.
Fiche de lecture № 8379 | 2570 mots ( approximativement 6.4 pages ) | 0 sources | 2005
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Résumé
L'insécurité sociale est un problème majeur dans nos sociétés occidentales. L'auteur s'interroge donc
sur la question suivante : qu'est-ce qu'être protégé ?
Il distingue les types de protection déjà existants et remarque que la protection est considérée
comme un droit par l'immense majorité de la population.
Toutefois, l'auteur constate un paradoxe : l'insécurité moderne semble être une quête perpétuelle
de protections, qui ne répondent pas nécessairement à l'attente des citoyens et qui même une fois
mis en place, provoquent la recherche de nouvelles protections.
Extrait du document
Dans un premier temps, l'auteur s'attache à définir ce qu'est la sécurité civile dans un Etat de droit.
Il rappelle tout d'abord la configuration de l'insécurité dans les sociétés "pré-modernes" : la sécurité
est assurée par la place que l'individu possède dans la société, une sécurité lié au groupe auquel il
appartient mais au prix de sa dépendance à celui-ci. La société moderne se détache de cette
conception en ce sens que l'individu est désormais considéré en tant que tel, à part entière,
l'homme est donc détache de tout autre groupe. Hobbes fut le premier à se pencher sur ce que
pourrait être "une société d'individus", où ceux-ci seraient livrés à eux-mêmes et deviendraient alors
une "société d'insécurité sociale totale". Ainsi, dans le Léviathan, Hobbes se montre partisan d'un
Etat absolu nécessaire à la maintenance de la sécurité pour tous, afin de protéger les homes d'eux-
mêmes tout en leur permettant de cultiver leur subjectivité. Trente ans après apparaît la
conception de Locke qui place la propriété privée au sein du processus garantissant la sécurité tout
en reconnaissant le citoyen et son indépendance. L'Etat est pour Locke nécessaire pour que
l'individu dispose de libertés de développer ses entreprises et de jouir des fruits de son travail : la
fonction essentielle de l'Etat est donc de préserver la sécurité en protégeant la propriété privée.
Mots-clés:liberté, propriété privée, agression
L'influence de la mode
Dissertation, basée sur la citation de Mikel Dufrenne paru dans la revue Travers en 1976 et
visant à se demander quel rôle joue la mode : un rôle d'uniformisation ou de singularisation au
sein de la société.
Dissertation № 19379 | 1535 mots ( approximativement 3.8 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
Issu du latin « modus » signifiant la manière, la mesure, la mode, dans son sens actuel, apparaît en
1482 et désigne les changements vestimentaires de l'élite. De nos jours, le terme de mode est la
manière générale dont se produit un phénomène, la méthode selon laquelle se produit
habituellement une action. Néanmoins, dans un sens plus étroit, la mode désigne actuellement les
manières de vivre, de parler, de penser variables et passagères dont l'exemple type est donné par la
mode vestimentaire ou encore la consommation audiovisuelle. Mais, la mode concerne également
tous les domaines artistiques, la façon de penser, de se comporter en société… La mode est donc un
élément complexe omniprésent dans la société.
Mikel Dufrenne affirme dans un article paru dans la revue Travers en 1976 : « Loin de discerner ou
encore de singulariser, la mode intègre : le modèle qu'elle impose est un uniforme qui uniformise ».
Selon lui, « la mode intègre » et « uniformise », la mode ne singularise absolument pas les
individus.
I. La mode, symbole de singularisation des individus
II. La mode, instrument d'uniformisation de la société
Extrait du document
Deuxièmement, nous pouvons également affirmer que la mode singularise les individus dans la vie
quotidienne. Ainsi, pour certaines personnes, la mode est un moyen de s'affirmer et de se
distinguer. En effet, certaines modes étant difficiles à assumer, les quelques individus qui vont la
suivre se mettent forcément en exergue par rapport aux autres, qui ne la suivent pas.
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Les sectes
Exposé sur les sectes, leurs adhérents, leur mode de fonctionnement, les drames.
Travail de Recherche № 261 | 2450 mots ( approximativement 6.1 pages ) | 8 sources | 2007
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Résumé
L'adhésion à une secte
a) Le processus d'adhésion
b) Les différents profils
Le fonctionnement interne des sectes
a) Le contrôle psychique
b) Le contrôle du corps
Les différents types de sectes
a) Secte et religion
b) Les différentes sectes et les différents drames
Extrait du document
Qu'est-ce qu'une secte ? Généralement une secte est définie comme un groupe de personne
partageant une même doctrine religieuse ou philosophique, avec les mêmes opinions. D'un point de
vue étymologique, le mot secte signifie couper ou rompre. Pour Bernard Chouvier, une secte est «
un petit groupe de croyant fondé sur la séparation du corps social », en d'autres termes des
personnes coupées du monde extérieur et qui vivent en totale autarcie. Les sectes se sont
fortement développées au cours des années 1970, dès lors nous avons parlé de phénomène de
société. Ces groupes de personnes ont leurs propres croyances et leurs propres modes de vie,
souvent en opposition avec la société.
Mots-clés:adeptes, gourou, dogme, contrôle psychique, contrôle du corps
Adultes en formation, réorientaion et reprise d'études
Mémoire sur le parcours des adultes en situation de reprise d'études et les facteurs de la
rupture des études post baccalauréat.
Mémoire ou thèse № 341 | 9160 mots ( approximativement 22.9 pages ) | 39 sources | 2005 |
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Résumé
Abandonner les études, c'est sortir du système scolaire, ou du cursus avant d'avoir achevé la
formation ou le diplôme initialement visé. Or on constate aujourd'hui qu'un grand nombre d'adultes
reprennent leurs études après les avoir préalablement abandonnées. Ce mémoire étudie l'origine de
ce phénomène ainsi que les solutions proposées en s'appuyant sur des témoignages.
I. Reprise d'études et réorientation
1. L'orientation
2. La motivation en formation
3. La formation
4. Les dispositifs mis en place pour faciliter l'accès aux diplômes
5. L'abandon d'étude après le Bac
II. Adultes en formation
1. Les étudiants du Certificat Préparatoire
2. Les candidats au BTS du Greta
3. Les apprenants du Greta et du certificat préparatoire
4. L'actualité
5. Témoignages d'adultes
CONCLUSION
ANNEXES
Extrait du document
Les motifs d'engagement en formation chez les apprenants observés, sont d'ordre économique,
identitaire, et vocationnel. Bien que pour certains, l'interruption de leurs études était due à des
problèmes d'ordre économique, ils reviennent aujourd'hui pour la même raison. Ce sont les
problèmes surgissant dans une période spécifique, qui donnent naissance au désir de se former. On
constate donc que le désir de formation est en rapport avec le savoir, la société, et les professions.
La formation implique une transformation de la personne dans ses multiples aspects cognitifs,
affectifs et sociaux, et par rapport à des apprentissages de savoirs, savoir-faire et savoir être .
C'est le fait d'avoir abandonné ses études un jour qui est à l'origine de ce phénomène d'adulte en
reprise d'études. Le sentiment d'inachevé dans sa scolarité devient une source de motivation à
reprendre sa formation. C'est aussi pour atteindre une certaine estime de soi, pour remodeler son
image, modifier sa situation sociale professionnelle que l'on s'engage en formation. Ce sont toutes
ces raisons qui sont à l'origine de l'évolution de la demande en formation continue.
Mots-clés:motivation, échec, travail, autonomie, information, expérience professionnelle
La société peut-elle se passer de religion ?
Dissertation de philosophie sur la relation de l'homme à la religion. Quelle est l'influence de la
religion sur l'Homme, sur la société et sur le monde.
Dissertation № 508 | 1650 mots ( approximativement 4.1 pages ) | 0 sources | 2006
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Résumé
Cette dissertation étudie quelques points, à savoir : ce qu'apporte la croyance en un Etre divin à un
homme ; puis, qu'elles sont les conséquences de ces croyances sur la société, en général; pour enfin
imaginer un monde dépourvu de religion : un monde athée.
Extrait du document
Il existe de multiples formes de religions, dans le temps comme dans l'espace. Mais le fait religieux,
en lui même, est universel: il n'est pas de société où l'on ne puisse repérer, sous une forme ou une
autre, des manifestations de la vie religieuse. Cela est-il indispensable à la société ? André Malraud
a écrit que "le 21ème siècle sera religieux ou ne sera pas". Cependant, on peut observer depuis
plusieurs années un certain déclin des religions, un dévellopement de l'athéïsme. Va-t-on pour
autant vers un monde non croyant ? Qu'est-ce que la foi peut apporter aux hommes ? Lui est-elle
indispensable ? Une humanité sans convictions religieuses est-elle envisageable ?
Mots-clés:sacrifice, amour, réconfort, malaise, bonté, communauté
L'intérim
Rapport de stage qui traite des entreprises de travail temporaire ainsi que des motivations et
des causes du recours à l'intérim.
Mémoire ou thèse № 656 | 13350 mots ( approximativement 33.4 pages ) | 14 sources | 2007
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Résumé
Les agences intérimaires sont des acteurs importants sur le marché de l'emploi, non seulement du
fait de leur impact économique croissant, mais aussi, et dans une mesure encore plus large, en
raison du rôle social qu'elles jouent, au carrefour de l'offre et de la demande sur ce marché.
Partie I. L'environnement immédiat dans une agence d'intérim
A) Présentation de l'entreprise
1 - Historique de Randstad
B) Mon action hors démarche qualité
Partie II. Les enquêtes qualité de Randstad
A) L'utilité des enquêtes qualité dans une agence d'intérim
1 - L'objectif de toute entreprise : obtenir la certification ISO
2 - Contexte spécifique d'une agence d'intérim
B) Méthode et conception des enquêtes
1 - Conception des questionnaires de satisfaction et intérêt des question
2 - Les différents modes de collectes
3 - Détermination de l'échantillon
a) L'enquête distribuée aux candidats
b) L'enquête envoyée par voie postale
C) Analyse des résultats de l'enquête qualité n°1
1 - Résultats et analyse des données « brutes »
2 - Résultats et analyse des données corrélées
a) Relation entre les candidats inscrits dans d'autres agences et leur jugement sur la qualité de
l'accueil
b) Relation entre l'origine des candidats (Unit 251 , 252 ou inscription étudiante) et leur jugement
sur la qualité de l'accueil
c) Relation entre l'origine des candidats (Unit 251, 252 ou inscription étudiante) et leur jugement
sur la qualité de l'information reçue
d) Relation entre l'origine des candidats (Unit 251,252 ou inscription étudiante) et leur jugement sur
la qualité de l'entretien
e) Tableau récapitulatif portant sur la satisfaction sur l'accueil, l'information reçue et l'entretien en
fonction du secteur dans lequel le candidat s'est inscrit
D) Résultats et analyse de la première partie de l'enquête n°2
Partie III - Recours à l'intérim : Motivations et causes
A) Motivation et conception des questions
B) Exploitation des résultats
C) Limites et apports des résultats
1 - Les limites
a) Concernant l'ensemble des enquêtes
b) Concernant le premier questionnaire
c) Concernant le second questionnaire
2 - Les apports
Extrait du document
Le bureau d'intérim Randstad a été créé en 1960, aux Pays-Bas, par Fritz Goldschmeding sous le
nom de « Uitzendbureau Amstelveen ».
C'est en 1965 qu'ont lieu les premières activités d'internationalisation et la Belgique est le premier
pays choisi par l'entreprise pour entamer son expansion. Celle-ci décide de démarrer ses activités
sous le nom d'Interlabor.
A partir de 1970, Interlabor aussi nommé Randstad Intérim, parvient à conquérir la cinquième place
du marché du travail temporaire belge.
En 1992, Randstad Holding reprend le groupe Flex à l'échelle internationale. Pour la Belgique, cette
reprise signifie que la société Randstad regroupe trois appellations différentes : Interlabor Intérim,
Randstad Intérim et Flex Intérim.
Dans le cadre d'une politique de rentabilité et du développement d'une stratégie mondiale,
Interlabor, Flex, et Randstad sont alors intégrées en 2000 de façon à ne former qu'une seule
entreprise. Jusqu'en avril 2001, l'entreprise exerce ses activités commerciales sous un double nom,
à savoir Randstad Interlabor.
Mots-clés:hiérarchie, déportés, consultante, pic, assainissement, industrie
La télé-réalité
Dossier qui s'interroge sur les besoins et les attentes du public de la télé-réalité : est-ce un
simple spectacle ou une réalité psycho sociale ?
Travail de Recherche № 1398 | 9670 mots ( approximativement 24.2 pages ) | 31 sources | 2006
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Résumé
Introduction
I- Psychologie sociale : de l'origine à la dérive
1. Problématique théorique et hypothèses
2. La dynamique de groupe
3. Les origines de la psychologie de groupe et ses conséquences
3.1. Les fondateurs et leurs idées
3.1.1. Les premiers auteurs
3.1.2. Les principaux courants de recherche
3.2. Les premières expériences
3.3. Les premiers dérapages
3.4. Les premières dérives commerciales
4. La Télé-réalité aujourd'hui
5. Conclusion
II- Détails et analyses d'une émission de Télé-réalité : Koh Lanta
1. Introduction
2. Le jeu : Koh Lanta
3. Méthodologie d'enquête
3.1. Choix de la population
3.2. L'échantillonnage
3.3. Les hypothèses de recherche
3.4. L'élaboration des questionnaires
3.4.1. Le premier questionnaire : la Télé-réalité en général
3.4.2. Le second questionnaire : Koh Lanta
4. L'enquête et son analyse
4.1. Lycéens et étudiants face à la Télé-réalité
4.1.1. Qui regarde la Télé-réalité ?
4.1.2. L'implication
4.1.3. L'identification
4.2. Le jugement porté sur la Télé-réalité
4.3. Le truquage
4.3.1. Truquage : ce qu'en pensent les téléspectateurs.
4.3.2. Truquage : facteur d'appréciation ou non appréciation de la Télé-réalité ?
4.4. Visionnage guidé par questionnaire analytique
4.4.1. L'intérêt des téléspectateurs pour la Télé-réalité
4.4.2. L'intérêt des promoteur de ces émissions
4.4.3. L'intérêt des candidats à participer à ces émissions
4.4.4. L'implication
4.4.5. Conclusion
4.5. Ce qui plait dans la Télé-réalité. Un exemple : Koh Lanta
5. Critiques de l'expérimentation
6. Conclusion
Extrait du document
Nous nous sommes intéressés à la Télé-réalité car nous nous sommes rendus compte qu'elle
s'inspirait directement d'expériences de psychologie sociale. Après observation de l'environnement
télévisuel actuel, nous nous sommes aperçus de l'ampleur que ces émissions prenaient dans notre
société d'aujourd'hui. On peut donc se demander comment et pourquoi ce phénomène a pris une
place si importante. Notre objectif général sera alors de tenter de définir les besoins et attentes du
public de la Télé-réalité.
Pour nos problématiques nous nous sommes alors posés deux grandes questions :
1/ Comment des expériences de psychologie sociale sur la dynamique des groupes ont-elles été
dérivées à des fins commerciales et médiatiques ? C'est-à-dire, si ces émissions découlent
directement d'une demande du téléspectateur, ou bien si ce sont les médias qui ont vu ici un moyen
de révolutionner les émissions de divertissement.
2/ Quels sont les besoins et attentes du téléspectateur par rapport à la Télé-réalité ? Autrement
dit, qui regarde et pourquoi ?
Mots-clés:expériences, voyeurisme, production, société, identification
Montée de l'individualisme et action collective
Dissertation de sociologie qui étudie l'effet de la montée de l'individualisme sur l'action
collective, ainsi que les differents points négatifs ou positifs qui découlent de cette relation.
Dissertation № 1526 | 1000 mots ( approximativement 2.5 pages ) | 0 sources | 2005
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Résumé
L'individualisme, c'est la montée de l'égoïsme et de l'indépendance de l'individu en valorisant action
et réflexion. Toute action dans laquelle des individus se mobilisent ou se rassemblent pour atteindre
des fins partagées est appelée "action collective".
Cette étude pose la question de savoir si le fait de faire partie d'une organisation est compatible
avec le principe d'individualisme et les effets positifs et négatifs de la montée de l'individualisme
sur le lien social.
Extrait du document
Le fait d'accepter de me plier à des règles contraignantes et parfois désagréables, signifie que je me
sens suffisamment membre de la société en question pour me plier à ses exigences, même pénibles.
Cette acceptation constitue ce qu'on appelle le lien social. Il est de nature divine (dans la société
féodale, l'autorité qui domine et généralement investie d'un rôle religieux...) et autoritaire dans
une société traditionnelle. En revanche, dans une société laïque et démocratique, dans laquelle
chacun est souverain, les hommes acceptent « un contrat », selon Rousseau. Ils acceptent de laisser
tomber leur souveraineté en espérant obtenir des avantages, car l'association volontaire permet
d'atteindre des résultats que l'individu seul ne pourrait pas obtenir. Depuis plusieurs années, nous
constatons que dans la société actuelle l'individualisme s'accroît, et nous constatons parallèlement
que le lien social s'affaiblit de plus en plus.
Mots-clés:etat providence, groupe, crise, précarité, autonomie, confiance
« Engager la conversation, Introduction à la sociolinguistique interactionnelle »
Fiche de lecture sur le livre de John Gumperz dans lequel il étudie le langage comme discours
interactionnel et analyse en profondeur les interactions interculturelles.
Fiche de lecture № 1895 | 1300 mots ( approximativement 3.3 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
Nous ne parlons pas tous le même langage et nos conversations sont encombrées de malentendus.
Dans une société complexe, marquée par des distinctions de sexe, de classe sociale, d'appartenance
ethnique, comment jugeons-nous de ce que l'on nous dit ? Quels sont les présupposés et les
conventions qui sont à l'œuvre dans tel ou tel contexte ? Comment négocions-nous notre identité
dans des situations où, comme dans les entretiens d'embauche ou les examens, nous devons
mobiliser ressources culturelles et compétences communicatives ?
Ce sont ces aléas de la communication qu'étudie John Gumperz dans ce choix de textes
représentatifs des formes les plus avancées de la sociolinguistique interactionnelle et de
l'ethnographie de la communication.
Extrait du document
Selon Gumperz, la communication verbale est constitutive de la réalité sociale. Il maintient en effet
que l'ethnicité et l'identité sociale sont en grande partie produites et reproduites par le langage. Il
aborde ainsi le thème de la rencontre interculturelle en analysant plusieurs malentendus et échecs
dans la communication engendrés par des présupposés culturels différents. La logique de la
démarche de Gumperz nous amène ensuite, au cours du deuxième chapitre, à nous intéresser à la
communication en face-à-face ainsi qu'à l'étude de la production de la « flexibilité communicative
», dans un monde où l'aptitude à s'adapter à diverses situations de communication est devenue
essentielle. L'auteur souligne que, dans l'interprétation de l'intention du locuteur, une grande partie
de la compréhension dépend de conventions spécifiques du point de vue culturel. Le sens d'une
rencontre est ainsi essentiellement indirect et implicite, raison pour laquelle Gumperz se réfère à
des travaux sur la communication non verbale – en citant entre autres les travaux de Kendon, Harris
et Key (1975).
Mots-clés:synthèse, ethnicité, flexibilité, interprétation, stratégie, fluctuation
Les styles de leadership
Exposé de gestion sur le leadership en management selon des approches situationnelles ou
universalistes.
Travail de Recherche № 2061 | 6380 mots ( approximativement 16 pages ) | 7 sources | 2007
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Résumé
Le leadership est associé à la situation d'un individu, le leader, face à un groupe. Le leader détient
le pouvoir d'influencer les membres d'un groupe afin d'atteindre des objectifs communs, dans le sens
d'une réalisation volontaire d'objectif. Ainsi, le leadership est étroitement lié à la notion de pouvoir
de persuasion.
Cependant, bien que leadership soit une modalité d'exercice du pouvoir, toutes les formes de
pouvoir ne sont pas du leadership. En effet, exercer un leadership, c'est beaucoup plus convaincre,
persuader et orienter, plutôt que menacer, prescrire et imposer. En d'autres termes, le leadership
est une manière efficace d'exercer autorité et pouvoir.
Le présent dossier a pour objectif de présenter les différents styles de leadership selon différentes
approches.
I- Les différentes approches
1- Les approches universalistes
a- Likert
b- Blake et Mouton
c- Mac Gregor
2- Les approches situationnelles
a- Hersey et Blanchard
b- Tannenbaum et Schmidt
c- Fedler
II- Le profil du leader idéal
III- Le leadership en pratique
Extrait du document
Tout d'abord, la notion de leadership est apparue au 19ème siècle, au cours de la révolution
industrielle et de la constitution de nouvelles organisations de travail. Les salariés étaient alors
dirigés par une autorité formelle désignée notamment dans le milieu de travail par l'expression « le
chef dit… ». Jusqu'en 1950 dans les organisations, il y avait donc une hiérarchisation où le statut
était une chose sacrée. En somme, le salarié de l'époque considérait son responsable hiérarchique
comme la référence. Après 1950, on découpe l'évolution en 4 périodes : les années 1950, les années
1970, les années 1980 et aujourd'hui. Dans les années 1950, la notion de leadership se confondait
avec celle du pouvoir légitime de commander et d'être obéi. L'autorité était très centralisée. Elle
reposait sur le savoir-faire et le respect des anciens. Le seul fait d'avoir le titre de « chef » ou de «
responsable » accordait à la personne un pouvoir sur ses subordonnés. Dans les années 70, le
contexte socio-économique a changé : l'urbanisation et l'industrialisation ont été poussées
davantage, les progrès techniques se sont accélérés.
Mots-clés:contrainte, chef, gestionnaire, objectif, influence, communication
"La fatigue des élites" de François Dupuy
Fiche de lecture sur l'ouvrage sociologique de Dupuy qui montre que même si les cadres sont
connus pour être "les compétitifs", ceux-ci semblent à présent démotivés.
Fiche de lecture № 3989 | 1335 mots ( approximativement 3.3 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
Aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale et durant les Trente Glorieuses, les cadres
apparaissent, au même titre que le capital, comme une dimension essentielle du système
économique. Ils constituent une élite du salariat et sont à l'intersection entre les décideurs et les
acteurs.
Or cette définition semble remise en cause depuis le milieu des années 1990.
Cette étude présente tout d'abord les spécificités de ce paradis perdu que constituait l'organisation
durant les Trente glorieuses, puis présente les caractéristiques de la situation actuelle.
Dans un second temps, elle évoque deux facteurs de désillusion pour les cadres : l'inversion de la
rareté puis les errements du management moderne.
Extrait du document
Ainsi, la remontée du client dans l'organigramme des entreprises, ainsi que les prises de positions
contestables du management moderne, ont entraîné une profonde remise en question du statut de
cadre dans notre société.
C'est pourquoi ceux-ci se détachent de plus en plus de leurs employeurs et adoptent une vision de
plus en plus utilitariste. N
éanmoins, cette évolution aboutit à un système perdant- perdant, c'est un jeu à somme négative;
c'est pourquoi une remise à plat de cette relation peut s'avérer nécessaire.
D'autant plus que si comme de nombreux observateurs estiment que l'on assiste peut-être à la
disparition de cette entité qu'est la fonction de cadre, il ne faut pas laisser la situation se détériorer
toute seule, en effet une évolution humaine non dirigée est génératrice de souffrance et de coût.
Ainsi, pour éviter ces surcoûts et ces résistances, on peut souhaiter une volonté franche de rupture
avec les pratiques actuelles.
Mots-clés:hiérarchie, autonomie, collectif, organisation, coopération, structure
Le féminisme et l'évolution de la condition des femmes depuis le XXème siècle
Monographie qui traite du parcours des femmes jusqu'à aujourd'hui et de leur statut et droits
actuels.
Monographie № 4274 | 5435 mots ( approximativement 13.6 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
Tout au long du XXème siècle, des femmes ont disputé leurs droits. Au cours des dernières
décennies, leur lutte est devenue vraiment mondiale : elle continue partout. Le siècle dernier aura
été celui de leur combat pour quitter le foyer où la traditionnelle division des rôles s'était établie. Il
a été rythmé par le féminisme et par le combat que des hommes et des femmes ont mené, afin
d'acquérir des droits dont elles étaient privées jusqu'alors, et pour construire, avec les hommes,
l'avenir de la planète.
1. Le combat des femmes lors de la première partie du XXème siècle
2. La révélation de la condition féminine lors de la seconde partie du XXème siècle
3. Qu'en est-il aujourd'hui ?
Extrait du document
La femme a longtemps été l'ombre de l'homme. Dans chaque société au monde, elle occupe une
place différente : présente actuellement au sein du gouvernement français, occupant des postes
clés, elle a su s'émanciper grâce à différents points au cours du temps.
Cependant, au niveau culturel en passant par le domaine professionnel, la femme rencontre des
difficultés reflétant des inégalités, des discriminations parfois, ou encore, un manque volontaire de
reconnaissance au travers de ses capacités professionnelles.
Au cours du XXème siècle, un mouvement tourné vers les femmes s'est fortement développé : le
féminisme.
Les idées de libération de la femme prennent leurs racines dans le siècle des Lumières mais le
terme du féminisme n'apparaît qu'au XIXème siècle.
Ce mouvement qui est non seulement soutenu par les femmes, mais aussi par les hommes, est un
ensemble d'idées politiques, philosophiques et sociales dont le but est de promouvoir le droit des
femmes et leurs intérêts dans la société civile. Sa croisade vise en particuliers l'amélioration du
statut des femmes dans la société où la tradition établit des inégalités fondées sur le sexe. Le
féminisme est parfois présenté comme un combat mené afin d'abolir l'oppression.
En effet, ce mouvement travaille à construire de nouveaux rapports sociaux et développe des outils
propres à la défense des droits des femmes et de leur acquis.
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Le leadership
Exposé qui présente le rôle du leader, rôle aujourd'hui déterminant pour permettre aux
personnes, aux équipes ou aux groupes, de fonctionner au meilleur de leurs possibilités et de
se développer.
Exposé № 4294 | 4460 mots ( approximativement 11.2 pages ) | 5 sources | 2007
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Résumé
Aujourd'hui nous sommes dans une phase où les changements sollicitent fortement l'individu. Son
travail en est modifié. Ses relations professionnelles évoluent et changent de contenu.
La source de développement réside en la capacité des personnes à coopérer en transversal, à
développer des relations de travail nouvelles et de qualité avec les clients internes ou externes.
Le travail en équipe est central. Le succès des opérations dépend d'employés autonomes et
responsables. Chaque équipe ne produit de bons produits ou services que si ses membres savent
bien travailler ensemble.
Le rôle de l'homme est désormais capital pour permettre aux organisations d'être encore plus
efficaces.
Quel tournant le leadership prend-il ? Vers quoi sera-t-il orienté ?
I/ Le leadership
A. Les caractéristiques humaines du leadership
B. Les styles de leadership
C. Leader ou manager ?
II/ Quelles seront les évolutions probables du leadership ?
A. Une notion en constante évolution
B. Ce que les collaborateurs attendent du leader de demain
III/ Le modèle des écoles britanniques
A. Le NCSL et le leadership partagé
B. Les directeurs peuvent-ils servir de médiateurs au pouvoir du gouvernement ?
C. Le management de la performance des enseignants
D. Comment les chefs d'établissements limitent le partage du leadership
E. Le partage du leadership comme transfert du pouvoir
F. Des managers contre le managérialisme ?
Extrait du document
Un manager est celui qui sait faire travailler les autres, les faire coopérer ensemble et qui œuvre
avec eux. Ces dernières années, les managers n'ont cessé de vivre une constante évolution de leurs
rôles et aujourd'hui, dans les pays développés, le modèle managérial classique touche à sa fin.
En effet, les faits et les expériences révèlent un sens nouveau : l'encadrement des hommes dans les
organisations consiste à tirer le meilleur parti d'eux, dans l'objectif de contribuer à la performance
des personnes et des entreprises. Aujourd'hui, la capacité à travailler avec d'autres et à changer
souvent d'environnement de travail constitue un véritable enjeu.
Mots-clés:entreprise, hiérarchie, influence, objectif, autorité, efficacité
"Nations et nationalisme" de Gellner
Fiche de lecture présentant l'oeuvre de Gellner et les éléments qui constituent selon lui, le
passage vers la revendication nationale de plusieurs peuples.
Fiche de lecture № 5454 | 1220 mots ( approximativement 3.1 pages ) | 0 sources | 2002
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Résumé
"Nations et nationalisme" d'Ernest Gellner se donne comme mandat d'expliquer le nationalisme des
dernières décennies d'une façon assez logique.
Tout se joue autour du nouveau mode de production industrielle qui pose de nouvelles exigences
pour les travailleurs.
C'est ainsi que Gellner perçoit le nationalisme : la division du travail nécessaire à l'industrialisation
amène les classes dirigeantes à instaurer un système qui va mettre en valeur une culture commune ;
cette culture commune favorisera l'identité nationale où tous se verront désormais comme
semblable culturellement ; et cela amènera l'idée que cette nouvelle nation a besoin de conserver
ou de créer, selon le cas, son état afin de protéger la diffusion de sa culture générique par le
système d'éducation.
1. Résumé
a. Le nationalisme crée la nation
b. Le nationalisme ne peut se présenter qu'après le passage d'une communauté agraire vers une
société industrielle
c. L'assimilation d'une haute culture par l'ensemble de la population ne peut se faire sans système
homogène d'éducation
2. Critique
Extrait du document
La pensée générale de Gellner dans nations et nationalisme, dite simplement, veut que le
nationalisme prenne naissance dans un État qui a organisé un système d'éducation et de hauteculture dans le but de favoriser la division du travail nécessaire à l'époque de l'industrialisation.
Ainsi, l'auteur affirme que c'est le nationalisme qui crée la nation . Pour expliquer cette prise de
position, l'auteur soumet aux lecteurs ses appréciations de la culture, du pouvoir et de l'éducation.
Pour prouver sa thèse, Gellner explique donc quand et pourquoi le nationalisme émerge,
l'importance que prend l'éducation dans ce processus, et comment on arrive à la création d'une
nation.
Mots-clés:colonie, puissance, culture, uniformisation, pouvoir, valeur
Le luxe
Dissertation qui montre à quel point le luxe occupe une place importante dans notre société de
consommation.
Dissertation № 6175 | 1415 mots ( approximativement 3.5 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
Le luxe entretient avec la société, l'histoire et la symbolique des liens constants et complexes.
Ainsi, après avoir fait le point sur les définitions concernant le luxe, cet exposé envisage de faire
une analyse sur les liens du luxe avec l'organisation sociale ainsi que sa pratique visible.
I. Le luxe est une notion difficile à cerner
II. Le luxe diverge suivant les époques
III. Aujourd'hui le luxe n'est donc plus tout à fait le même que dans les époques antérieures
Extrait du document
Deux extraits d'essais, intitulés identiquement Le Luxe, s'intéressent aux aspects historiques et
sociaux de ce thème afin d'en dégager les constantes. Le premier, écrit par Jean Castarède en 1992,
s'intéresse aux aspects sociaux. Le second, écrit en 1995, par Philippe Perrot privilégie l'aspect
historique, comme le titre de l'extrait le suggère: «Le luxe, une richesse entre faste et confort,
XVIIIe - XIXe siècles». C'est précisément au XIXe siècle, en 1854, que Gustave Flaubert livre, dans
son recueil de lettres, ses impressions sur le luxe à sa correspondante de prédilection, Louise Colet,
confirmant avec énergie bien des points abordés dans les essais. Cependant, dans un article extrait
d'un magazine féminin, Le Figaro Madame, Laura Cordin s'intéresse aux évolutions contemporaines
du luxe, telles qu'elles apparaissent à la fin 1998 et le titre «Discrétion assurée» indique qu'une
mutation semble s'être opérée entre le «faste» ancien et la réserve actuelle. Un dessin de
l'humoriste Sempé, extrait de Quelques jours de congé et publié en 1986, illustre les signes les plus
démonstratifs d'une vie de luxe qui ne parvient pas à combler l'ennui d'un enfant.
Mots-clés:démonstratif, classe, privilégié, rêve, esthétique, symbole
La société de Cour sous Louis XIV
Exposé décrivant la vie quotidienne à la cour de Louis XIV.
Exposé № 6412 | 3275 mots ( approximativement 8.2 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
la Cour, sous le règne de Louis XIV (1661-1715), que l' on appelait à cette époque « ce pays-ci »,
évoque le concept d' un groupe de personnes associées d' une façon ou d' une autre à la Cour, du
fait de la résidence à la Cour en raison d' un lien familial, amical ou financier ,ou, plus important
encore, de l' adoption de certaines attitudes et d' un comportement en rapport avec le style de la
Cour.
Ainsi, sous le règne de Louis XIV, la cour était extrêmement hiérarchisée dans sa société et dans ses
manières et c'était pour le roi un instrument de l'absolutisme et pour sa société un instrument
d'honneur et d'ascension sociale en plus d'un « gagne - pain », ce qui les obligeaient, assez
régulièrement, de faire figure à la Cour pour ne pas être l'objet de la disgrâce du roi.
Comment se présentait et s'organisait la « société de Cour » sous Louis XIV ?
I/ Une société hiérarchisée et controlée
A/ La stratification de la Cour
B/ La Cour, instrument du règne
II/ Etre privilegié à la Cour
A/ Les conditions pour être à la Cour et d'approcher le roi
B/ Les conditions de vie et pratiques hygiéniques à la cour
III/ Us et coutumes à la Cour de Louis XIV
A/ Les journées à la Cour du roi Soleil
B/ Les usages de la Cour
Extrait du document
Pendant le règne de louis XIV (1661-1715), la Cour était le lieu où les personnes se distinguaient
selon leur degré dans la noblesse et leur pouvoir d'approcher le roi. Celui-ci se servait de cette «
société de cour » pour pouvoir contrôler ses sujets au point que la Cour devenait un spectacle dont
Louis XIV était le marionnettiste.
Mots-clés:courtisans, nobles, royaume, gentilhommerie
"L'empire des signes" de Roland Barthes
Exposé traitant de l'oeuvre de Roland Barthes "L'empire des signes",
qui est une étude sémiologique sociale ayant pour thème le Japon.
Exposé № 6801 | 3380 mots ( approximativement 8.5 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
"L'empire des signes "est défini communément comme un essai de sémiologie sociale (au même titre
que Mythologies, 1957, Le système de la mode, 1967 ou S/Z, 1970).
L'œuvre s'est révélée être un pur exercice de style, au cours duquel Barthes s'est adonné à un
ensemble de variations sur le thème du Japon. Les signes de cet Empire résultent de ces multiples
langages sociaux nés de traditions millénaires et demeurés des pratiques actuelles.
Ces langages, nés de l'écrit, du geste, du corps et ressortant d'habitudes autant que d'attitudes ou
de pratiques, doivent leur organisation, trouvent leur signifiants dans trois formes principales et
complémentaires : la forme vide, le trait et l'interstice.
Et, Barthes montre comment à partir de ces trois seuls motifs, évoquant absence ou extrême
fragilité, s'est organisé non seulement un modèle cohérent, mais aussi une structure dont la force
faite d'un ensemble de faiblesses s'est avérée apte à résister aux incursions culturelles de
l'occident.
1/ Le vide
2/ Le trait
3/ L'interstice
Extrait du document
L'écriture quant à elle est donnée à lire partout ou presque. Jusqu'à la nourriture qui par
l'alternance des substances, des matières, des couleurs et des touches devient écriture, (sic) ainsi la
nourriture japonaise s'établit-elle en un système réduit de la matière (du clair au divisible) dans un
tremblement du signifiant : ce sont là les caractères élémentaires de l'écriture. Cette écriture-là se
signale aussi par son irréversibilité (parce qu'appelée à disparaître) et sa fragilité… Mais ici encore,
comme au niveau du HAIKU, le terme LIRE devient suspect. Par exemple en ce qui concerne l'art du
bouquet, l'ikebana, que l'auteur assimile à une forme d'architecture ou d'écriture, dont la main peut
explorer les volumes, il s'agit (sic) non point [de] le lire (lire son symbolisme) mais de refaire le
trajet de la main qui l'a écrit : écriture véritable, puisqu'elle produit un volume et que refusant à la
lecture d'être le simple déchiffrement d'un message (fût-il hautement symbolique) elle lui permet
de refaire le tracé de son travail.
Mots-clés:théâtre, signifiant, langage, symbolique
L'Etat, personnification de la nation
Dissertation qui analyse quelles sont les conditions et les caractéristiques de l'Etat en tant que
personnification de la nation.
Dissertation № 8987 | 1880 mots ( approximativement 4.7 pages ) | 3 sources | 2008 |
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Résumé
Cette dissertation se base sur le texte de A. Esmein, "Eléments de droit constitutionnel français et
comparé", Sirey, 1914, pp.1-9.
Dans l'analyse classique, on considère qu'il y a un Etat lorsque l'on est en présence d'un pouvoir de
contrainte exercé sur une population donnée dans un territoire donné. L'Etat est aussi défini dans
les dictionnaires courants comme une « personne morale de droit public qui personnifie la nation à
l'intérieur est à l'extérieur du pays dont elle assure l'administration ».
Cette idée de personnification de la nation est définie par A. Esmein. Il y pose l'idée que l'Etat est le
sujet moral de la nation. C'est à ce titre qu'il exerce la souveraineté et c'est du fait de cette
personnification que l'Etat subsiste et perdure, de même que la nation. Au titre de la souveraineté
nationale, l'Etat exerce des droits et des devoirs qui lui sont rattachés.
I. Les conditions de l'Etat
A. Une population
B. Un territoire
II. Les caractéristiques de l'Etat
A. L'Etat souverain
B. L'Etat intemporel
Extrait du document
Pour qu'il y ait Etat, il faut nécessairement qu'il y ait une population. Pour A. Esmein, « l'Etat
[étant] la traduction juridique d'une nation », la population d'un Etat correspond avec une nation.
Une nation est un groupement d'hommes ayant entre eux des affinités tenant à des éléments
communs à la fois objectifs (race, langue, religion, mode de vie) et subjectifs (souvenirs communs,
sentiments de parenté spirituelle, désir de vivre ensemble) qui les unissent et les distinguent des
hommes appartenant aux autres groupements nationaux. Soit l'Etat précède à la nation (en France
par exemple, où le sentiment national a été construit et renforcé) soit la nation précède à l'Etat (en
Allemagne).
Mots-clés:circonscription, gouvernement, modalité, unification, frontière, moralité
"De la démocratie en Amérique" de Tocqueville - chap V
Commentaire du chapitre V de l'ouvrage de Tocqueville "De la démocratie en Amérique" où sont
abordés les "rapports du serviteur et du maître".
Commentaire de Texte № 9415 | 1000 mots ( approximativement 2.5 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
L'émergence de la démocratie s'accompagne d'un certain nombre de bouleversements sociaux.
Dans le chapitre V de son ouvrage "De la démocratie en Amérique", Tocqueville maintient sa
comparaison spatiale - en citant la France, l'Angleterre, les Etats-Unis - et temporelle - entre
société aristocratique et démocratique - afin de mettre en évidence l'influence de cette dernière
sur le rapport maître/serviteur.
Comment, sans en effacer le caractère inégalitaire, la démocratie modifie-t-elle les rapports du
serviteur et du maître ? En quoi cette redéfinition peut-elle s'avérer dangereuse ?
I) L' «égalisation des conditions» met à mal la définition aristocratique du couple maître serviteur
II) Un lien affectueux remplacé par une rationalité contractuelle
III) Une redéfinition qui comporte des risques
Extrait du document
Le rapport maître/serviteur repose donc sur un contrat accepté, et non plus sur l'idée de soumission
ou de destinée providentielle. Néanmoins, la frontière entre la conception aristocratique de
sujétion et la conception démocratique d'obéissance contractuelle est mince et peut mener à une
révolte contre cet état de « serviteur ».
L'égalisation, fondement de la démocratie, fait en effet naître, selon Tocqueville, des sociétés
dépourvues de tout système hiérarchique stable, où chacun se considère comme l'égal de tous. Or,
les membres de ces sociétés ne sont pas placés les uns à côté des autres. La démocratie comme
égalitarisme devient alors un problème à résoudre : chacun prenant conscience qu'il n'y a aucune
raison pour qu'il soit traité de façon inférieure par rapport aux autres, cela risque de déboucher sur
une envie permanente, insatiable, un processus de revendication sans fin. l'individu connaît la
frustration de ne pas être entièrement satisfait de sa condition. C'est là le paradigme de la
démocratie : plus l'égalité progresse, plus les inégalités deviennent choquantes et alimentent
l'exigence d'égalité.
Mots-clés:esclavage, égalité, travail
Internet et lien social
Exposé portant sur le rôle que joue internet dans les relations humaines.
Exposé № 9974 | 1050 mots ( approximativement 2.6 pages ) | 0 sources | 2009
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Résumé
Internet fait partie intégrante de la vie courante. Beaucoup de communications se font désormais
par son intermédiaire.
Mais cette communication qui se fait à distance et par le biais d'ordinateurs, ne remet-elle pas en
cause le lien social ?
I) Internet renforce, transforme le lien social
II) Internet peut être perçu comme une menace pour le lien social car le monde ne se réduit pas à la
technique
Extrait du document
Internet offre de nouvelles ressources aux liens sociaux : des rencontres amicales, des rencontres
amoureuses.
Serge Tisseron, psychiatre psychanalyste, parle d'internet en disant que c'est un véritable el dorado
pour les cœurs esseulés. Relation de sympathie, d'amitié, amoureuse, elle est plus facile sur
internet car elle offre une sécurité, un anonymat, un contrôle total de la relation. Nous sommes à
une période où dans la relation avec les autres nous cherchons le contrôle total. La relation avec
l'autre peut se faire dans le cadre d'un véritable brassage social plus facile à distance et par
internet que dans la vraie vie.
Mots-clés:Tisseron, rencontres, anonymat
"Les identités meurtrières" d'Amin Maalouf
Fiche de lecture portant sur l'ouvrage de l'écrivain franco-libanais qui s'interroge sur la notion
d'identité, sur les passions qu'elle suscite et sur ses dérives meurtrières.
Fiche de lecture № 10294 | 3640 mots ( approximativement 9.1 pages ) | 0 sources | 2008 |
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Résumé
Pourquoi est-il si difficile d'assumer en toute liberté ses diverses appartenances ? Pourquoi faut-il,
en cette fin de siècle, que l'affirmation de soi s'accompagne si souvent de la négation d'autrui ? Nos
sociétés seront-elles indéfiniment soumises aux tensions, aux déchaînements de violence, pour la
seule raison que les êtres qui s'y côtoient n'ont pas tous la même religion, la même couleur de peau,
la même culture d'origine ? Y aurait-il une loi de la nature ou une loi de l'Histoire qui condamne les
hommes à s'entretuer au nom de leur identité ?
C'est à toutes ces questions qu'Amin Maalouf tente de répondre dans cet ouvrage.
I) Présentation de l'auteur : Amin Maalouf
II) Synthèse des principaux thèmes de l'ouvrage
1. Mon identité, mes appartenances
2. Quand la modernité vient de chez l'autre
3. Le temps des tribus planétaires
4. Apprivoiser la panthère
III) Commentaire personnel sur un des thèmes de l'ouvrage
Extrait du document
Amin Maalouf, écrivain franco-libanais, est né à Beyrouth au Liban en 1949 et s'exile à Paris en
1976, pendant la guerre du Liban, où il vit toujours depuis. C'est un arabe chrétien dont la langue
natale est l'arabe mais qui écrit en français.
Après avoir fait des études de sociologie et de sciences économiques, il devient journaliste dans le
quotidien arabe An Nahar, où il écrit principalement des articles de politique internationale. Il fut
ensuite rédacteur en chef à Jeune Afrique, magazine hebdomadaire français consacré au continent
africain, lors de son arrivée à Paris. Il se consacre depuis 1985 à l'écriture.
Mots-clés:Orient, Occident, identité, comportement, appartenance, diversité
L'éducation selon Victor Hugo
Dissertation à partir de la citation "Ouvrez une école, vous fermez une prison" de Victor Hugo;
l'auteur définit ainsi l'éducation comme une solution pour améliorer la condition du prolétariat.
Dissertation № 991 | 1280 mots ( approximativement 3.2 pages ) | 0 sources | 2003
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Résumé
Cette dissertation s'interroge sur les bénéfices de l'éducation et de l'enseignement, tout en
replaçant la citation de Victor Hugo dans son contexte historique et en essayant de voir comment
elle peut s'adapter à notre société contemporaine.
Extrait du document
Victor Hugo a dit : « Ouvrez une école, vous fermez une prison. ». Cependant, il faut replacer cette
phrase dans son contexte historique. Au XIXème siècle, la majeure partie de la population, c'est-àdire le prolétariat, souffrait d'illettrisme. Il vivait dans la misère la plus profonde et ne pouvant
améliorer sa condition, dans un état de totale soumission aux patrons, il sombrait souvent dans la
l'alcoolisme, la délinquance et la violence, donnant ainsi bonne conscience aux bourgeois qui le
considérait alors comme la classe dangereuse. Pour lutter contre ce fléau, dans un but à la fois
humaniste et sécurisant, certains intellectuels (dont Victor Hugo) prônèrent le développement de
l'instruction.
On peut donc dans un premier temps, s'interroger sur cette utopie du rôle de l'école, en la
restituant plus en détails dans sa situation originale. On pourra ainsi voir comment l'instruction
permettrait actuellement d'échapper à la fatalité du milieu social et de quelle façon la prévention
pourrait primer sur la répression.
Dans un second temps, il sera bon de voir si cette affirmation peut s'adapter à notre société, avec
d'une part ses médias florissants –véhicules du savoir parallèles à l'école -, d'autre part l ‘apparition
de nouvelles configurations familiales et enfin, une imbrication de plus en plus forte de l'école dans
la rue, l'école devenant ainsi le reflet de l'extérieur.
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Sociologie
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2
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La solitude dans le monde contemporain
Dissertation de culture générale sur la solitude, qu'elle soit choisie ou imposée.
Dissertation № 1077 | 2085 mots ( approximativement 5.2 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
De plus en plus de personnes choisissent de vivre seules. Les raisons en sont variées. La solitude
choisie est favorisée par la montée de l'individualisme, valeur dominante de la société occidentale.
Le développement des sports individiduels est un bon indicateur de cette évolution. La société est
créatrice de "facteurs" de solitude : les commerces traditionnels, lieux de convivialité,
disparaissent. Les solitudes subies sont bien sûr les plus difficilement supportables.
Extrait du document
Toutes les études sociologiques récentes montrent que les Français vivent, pour la majorité d'entre
eux, dans des agglomérations, ce qui signifie qu'ils sont moins isolés géographiquement, et donc ont
la possibilité d'être de moins en moins seuls. Ils disposent également de moyens de communication
remarquables, qu'il s'agisse du téléphone (notamment le tél. portable) et de plus en plus
fréquemment du réseau Internet. Pourtant, malgré ces moyens de communication, beaucoup de
Français s'estiment, selon de nombreux sondages ou études sociologiques très seuls. Il existe
différentes formes d'une solitude ("des solitudes") dont les personnes âgées, les pauvres et les
malades ne sont pas seuls à souffrir. Touchant l'ensemble du corps social, la solitude n'en demeure
pas moins un phénomène difficile à décrire: il s'agit d'un sentiment avant une réalité sociale. Il est
en effet possible d'être à la fois seul et entouré. La solitude s'éprouve plus qu'elle ne se constate ou
se mesure par des données sociologiques ou statistiques.
Mots-clés:solidarité, exclusion, humanitaire, rencontre, lien
Les tests en recrutement
Travail de recherche, illustré de tableaux et de graphiques, qui présente l'élaboration d'un test
de personnalité : des recherches théoriques à l'application.
Travail de Recherche № 1394 | 17230 mots ( approximativement 43.1 pages ) | 24 sources | 2007
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Résumé
Un test psychotechnique est un test qui, au fil d'une série de questions standardisées, vise à évaluer
une aptitude ou mettre en évidence une tendance dominante chez l'individu.
Introduction
Chapitre 1 : Problématiques théoriques 1, les tests en recrutement
1. Psychologie de l'évaluation des personnes à l'aide des tests
1.1. D'hier à aujourd'hui
1.2. Et les autres méthodes de recrutement ?
2. Le contexte économique de l'usage des tests aujourd'hui
2.1. Les sociétés d'édition de tests
2.2. Les tests utilisés
3. Les tests : État des lieux
4. Conclusion
Chapitre 2 : Problématiques théoriques 2, la personnalité, tests et recrutement
1. Les théories de la personnalité
1.1. L'approche psychodynamique : Freud et la psychanalyse
1.2. L'approche phénoménologique : Carl Rogers
1.3. La théorie des traits de personnalité
1.4. Les neurosciences et la personnalité
2. Les tests de personnalité
2.1. L'approche typologique
2.2. L'approche factorielle
2.3. L'approche empirique
3. Test de personnalité, application : le recrutement
4. Conclusion
Chapitre 3 : Conception d'un test de personnalité
1. Méthodologie d'élaboration de l'outil
1.1. Considérations théoriques
1.2. Considérations méthodologiques
2. Évaluer l'outil
2.1. Première approche
2.2. Le test est-il fidèle ?
2.3. Le test est-il valide ?
2.4. Le test est-il sensible ?
2.5. Conclusion sur la validité du test
3. L'étalonnage
3.1. Les notes brutes
3.2. Étalonner
Synthèse et ouverture
1. Synthèse
1.1. Aperçu historique
1.2. État actuel
1.3. Un exemple
2. Ouverture
2.1. Critiques méthodologiques de l'outil
2.2. Test de personnalité, qu'en est-il vraiment ?
Extrait du document
Les tests psychotechniques sont populaires et très présents. Les recruteurs leur font confiance pour
ce qu'ils peuvent leur apporter comme une aide au choix du bon candidat. Le grand public les
admire ou s'en méfie, car c'est une pratique qui demeure obscure dans son fonctionnement et que
l'on ne sait jamais trop à l'avance ce qui va en ressortir. Ils sont des outils mystérieux et males
connus, dans le sens où beaucoup de croyances les entourent. Nombreux sont les ouvrages qui vous
apprennent à vous préparer à une épreuve de tests psychotechniques dans le cadre de recrutements
ou de concours. Rares sont par contre les personnes n'ayant jamais remplis ce genre de test, de
manière sérieuse ou non, que ce soit un outil fiable ou non. Les tests psychotechniques connaissent
donc de beaux jours. Mais d'où et de quoi est partie cette méthode des tests ?
On les trouve de manière quasi systématique de nos jours au sein des pratiques de recrutement. Les
recruteurs semblent les apprécier, sûrement par commodité. Mais ils ne constituent pas la seule
méthode mobilisable pour un recrutement. Sont-ils alors fiables et pertinent dans cette pratique ?
Le sont-ils plus que les autres méthodes ?
Mots-clés:Fiabilité, validité, sensibilité, candidat, évaluation
" La proxémique " d'Edward Hall
Fiche de lecture de l'ouvrage d'Edward Hall " La dimension cachée " qui traite de la
proxémique. Il étudie la signification symbolique de l'espace dans diverses cultures, et les
contacts socialement autorisés : poignées de mains, baisers.
Fiche de lecture № 2127 | 4060 mots ( approximativement 10.2 pages ) | 0 sources | 2006 |
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Résumé
Hall constate que les proxémies varient selon les cultures. Ainsi, dans les pays latins, les distances
entre les corps sont relativement courtes. En Afrique, elles sont souvent si réduites que le contact
physique est fréquent. À l'inverse, dans les pays nordiques ou au Japon, les contacts physiques sont
plus rares et ces distances plus importantes.
I. La proxémique pour Edward T. Hall (1963)
II. Les différents espaces et les différentes distances.
III. Exemples concrets : confrontations de cultures différentes.
Extrait du document
Le concept le plus connu de Edward T. Hall est la proxémique (distance physique qui s'établit entre
des personnes prises dans une interaction). Il décrit la dimension subjective qui entoure quelqu'un
et la distance physique à laquelle les individus se tiennent les uns des autres selon des règles
culturelles subtiles. La proxémique étudie la signification symbolique de l'espace dans diverses
cultures, les distances et les contacts socialement autorisés : poignées de mains, accolades,
étreintes, baisers, etc. C'est la distance physique qui s'établit entre des personnes prises dans une
interaction. Une interaction est un échange d'information ou d'énergie entre deux agents au sein
d'un système. C'est une action réciproque qui suppose l'entrée en contact de sujets. Les interactions
sont verbales ou non verbales (gestes, regard, attitudes…). Il y a une réciprocité. Les interactions
peuvent être positives (coopération), négatives (discrimination), ou ambivalentes (compétition).
Mots-clés:compétition, attitudes, ethnique, religions, monnaie, romans
La discrimination positive
Etude comparative qui examine la discrimination positive et la mobilité sociale selon l'approche
française et américaine.
Travail de Recherche № 2674 | 6180 mots ( approximativement 15.5 pages ) | 10 sources | 2008
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Résumé
Si le concept de discrimination positive est relativement identique en France et aux États-Unis,
l'application politique de ce principe reste très différente dans ces deux pays.
Introduction
I. Les Etats-Unis : un modèle unique en termes de discrimination positive dû à une situation
exceptionnelle ?
1. Les États-Unis et leurs minorités
a) Les États-Unis sont une terre d'immigrés forte de sa diversité
b) Les noirs constituent historiquement un cas particulier
c) Aujourd'hui, la question tant socio-économique qu'ethnique des minorités ne se limite plus aux
noirs
2. La mise en place de la discrimination positive répondait à une volonté socio-économique
a) Les noirs avant la discrimination positive : la nécessité d'un changement macro-social
b) La mise en place de la discrimination positive
c) Les résultats immédiats de la discrimination positive dans les différents domaines concernés
3. Le regard sur la discrimination positive aujourd'hui
a) La discrimination positive est rétrospectivement en grande partie contestée
b) Si certains problèmes relatifs aux minorités perdurent, l'approche politique actuelle est
recentrée sur le problème ethnique
c) On peut donc, dans une certaine mesure, constater un nouveau rapport américain avec les
minorités
II. La France : un rapport complexe avec ses minorités et une tradition Républicaine qui s'opposent
à la discrimination positive
1. Des minorités issues de l'immigration
a) La France et son passé coloniale
b) L'immigration, un tabou français ?
c) Le problème de l'immigration, et de l'intégration des minorités reste très politisé en France
2. La non-discrimination, un principe Républicain
a) Le principe français définit une absence de race et par conséquent de minorités
b) Un modèle d'intégration ?
c) Un relatif contournement de ce principe
3. Comment sortir de l'impasse de la discrimination positive en France
a) De nombreux problèmes persistent en matière d'intégration des minorités
b) Le repositionnement politique de la question de l'immigration, et un nouveau regard sur l'histoire
c) Un nouveau mode d'intégration qui passe par une nouvelle considération des « minorités »
Extrait du document
Quelle que soit la définition que l'on donne à la discrimination positive, celle-ci concerne ce que l'on
désigne sous le terme de « minorités ». C'est autour de ce terme ambigu que s'articule toute la
question de la discrimination positive. Par conséquent, on peut se demander si la mise en place
d'une politique de discrimination positive n'est pas déterminée par le sens même que l'on donne au
sens de « minorités ». S'agit-il seulement de groupes définis, minoritaires dans la population (auquel
cas la proportion doit être préalablement déterminée) ? S'agit-il d'une partie de la population, qui
entretient historiquement des liens particuliers avec le reste de la population du pays concerné ? Ou
uniquement de l'ensemble des groupes dont les individus sont discriminés uniquement pour leur
appartenance à ce groupe. Au delà de la définition du terme de « minorité », se pose la question de
la place qu'occupent ces-dernières dans la société, ainsi que leur importance dans le débat politique
du pays concerné.
Mots-clés:groupe, population, société, féminin, culture, étranger
"Les politiques sportives des collectivités territoriales" de Jean Monneret
Analyse du célèbre ouvrage de Monneret, dans lequel il présente un fait social majeur auquel
sont confrontées les collectivités territoriales.
Fiche de lecture № 2910 | 850 mots ( approximativement 2.1 pages ) | 0 sources | 2007 |
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Résumé
Les collectivités sont confrontées à l'évolution des besoins de leurs habitants, et donc obligées de
s'adapter à cette demande.
La notion de collectivité apparaît dans la Constitution de 1958. Une collectivité territoriale relève
du droit public.
Vu que les lois ne l'ont pas décidé, chaque collectivité développe, sous sa propre initiative, les
actions qu'elle juge conforme à ses objectifs. D'où la possibilité de chevauchement.
D'une écriture simple, précise, l'auteur nous apporte tout ce que l'on souhaite obtenir lorsque l'on
ouvre ce livre.
Sachant être concis et bref, Monneret a su élucider les problèmes pour les rendre d'une lisibilité
intransigeante et appréciée de tous.
Extrait du document
La composition sociologique de la ville, de certains quartiers est à prendre en compte afin de
trouver la réponse adéquate au public les composant. Les besoins ne sont pas les mêmes. Les
habitants sont plus touchés par un spectacle sportif que par la satisfaction de leurs propres besoins
personnels.
Pour évaluer une politique sportive, il faut faire un questionnement direct des habitants, puis un
suivi de l'évolution du mouvement associatif, à travers les bilans. Il faut examiner l'évolution des
licenciés, leur participation aux mouvements de la ville, les comportements, les dégradations
observées.
Ensuite une analyse comparative entre promesses électorales et réalisations concrètes peut être
réalisée avec la mise en valeur besoins, objectifs, réalisations et l'étude de la fréquentation des
équipements.
Mots-clés:commune, intérêt, population, élu, vie associative
L'objectivité des médias
Notes de recherche portant sur l'objectivité des médias dans la vie politique. Cette objectivité
relève-t-elle du mythe ou de la réalité ?
Travail de Recherche № 3014 | 775 mots ( approximativement 1.9 pages ) | 0 sources | 2006
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Résumé
Les médias, parce qu'ils nous informent et contribuent à la formation de l'opinion publique, font
partie intégrante de la vie politique, au point les qualifie aux Etats-Unis de ‘quatrième pouvoir'.
L'objectivité des médias, entendue comme leur capacité à décrire la vie politique conformément à
la réalité, apparaît comme une condition du bon fonctionnement de la vie démocratique. Toutefois,
il est possible que, mus par la logique du profit et la recherche d'audience, les médias s'occupent
davantage de nous émouvoir et de nous divertir, que de nous informer.
Les médias sont-ils objectifs dans leur traitement de la vie politique ?
I/ Des lois et pratiques garantissent apparemment l'objectivité des médias …
A) La protection par des textes de loi
B) L'affirmation par un ensemble de pratiques
II/ … Mais celle-ci relève plus du mythe
A) Des limites intrinsèques à l'objectivité des médias
B) La logique de l'offre
C) Les dérives professionnelles
Extrait du document
L'article 11 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 protège la liberté
d'expression et garantit à tous la possibilité de ‘parler, écrire, imprimer librement'. La liberté de la
presse est une condition nécessaire à son objectivité, mais parce-qu'elle autorise aussi bien son
objectivité que sa subjectivité, n'est pas une condition suffisante.
La loi du 29 juillet 1981 accorde à tous un droit de réponse s'il est désigné dans un article de
presse.
La loi Léotard (1986) confère au Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA) le rôle d'assurer
l'impartialité du débat politique : le CSA veille à l'égalité du temps de parole des formations
politiques, et notamment des candidats en période électorale.
Il veille au respect du pluralisme politique et syndical.
En cas de non-respect de ces principes, le CSA peut avoir recours à des sanctions administratives.
Mots-clés:information, pouvoir, journalisme, audience, déontologie
Le pouvoir de la publicté sur les enfants
Dossier qui pose la question de savoir dans quelle mesure l'enfant est manipulé par la publicité.
Travail de Recherche № 3024 | 6340 mots ( approximativement 15.9 pages ) | 13 sources | 2008
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Résumé
Les grandes marques et les agences de publicité s'attaquent de plus en plus à l'enfant, par le biais
de la télévision, et s'efforcent de le transformer en consommateur.
En effet ce dernier, téléspectateur assidu, constitue une proie facile. Si les petits Allemands
résistent mieux, les enfants américains ingurgitent quatre à cinq heures quotidiennes de
programmes télévisés !
Les marques de l'agroalimentaire, de jouets, de vêtements ou les labels de musique investissent
déjà des centaines de millions de dollars ou d'euros pour les séduire.
I/ L'enfant cible privilégiée de la télévision
A) Caractéristiques de la publicité pour enfants
1- Définition
2- La psychologie publicitaire
B) Compréhension des objectifs de la publicité
1- Repérer la publicité et comprendre ses objectifs
2- Son influence contrée par un esprit critique
3- Quelle mémoire ?
C) Les « ingrédients » de la publicité pour enfant
1- Personnages utilisés pour la mise en scène et l'atteinte des objectifs
2- La publicité : un conte de fée
II/ Quels effets de la publicité sur l'enfant ?
A) La publicité séduit l'enfant, l'enfant séduit les parents
1- La publicité séduit l'enfant
2- L'enfant séduit les parents
B) Le danger des spots publicitaires
1- Danger pour les futurs adultes
2- Danger sur le mental de l'enfant
3- Les dangers des spots alimentaires pour enfants
C) Protéger l'enfant
1- Ce que les parents peuvent faire pour protéger leurs enfants
2- La protection de l'enfant par la loi et par un organisme privé
3- La question de l'obésité infantile
Extrait du document
Il est certes moins innocent, mais le fait d'être conscient des objectifs publicitaires ne l'empêchera
pas pour autant d'être influencé (sinon, toutes les publicités pour adultes n'auraient plus aucune
raison d'être). A 5 ans déjà, la moitié seulement des enfants affirment que la publicité dit toujours
la vérité et à 8 ans, ils sont moins de 15%. Les justifications des plus jeunes enfants qui déclarent
que la publicité dit toujours vrai sont le respect de la règle qui est l'interdiction de mentir.
Les justifications apportées par les enfants qui déclarent que la publicité dit toujours vrai diffèrent
selon l'âge.
En effet, les plus jeunes se basent sur le respect de la règle : il est interdit de mentir. Puisque cette
règle leur est imposée par les adultes, ces derniers la respectent forcément. Quant aux plus âgés,
ils se fondent sur leur expérience : ils n'ont jamais été déçus après avoir acheté un produit vu dans
la publicité. A l'inverse, c'est l'expérience de la déception qui protège très vite l'enfant contre une
extrême crédulité : trois quart des enfants de 11 ans ont déjà eu une expérience personnelle
négative après avoir cru la publicité.
Mots-clés:programme, cible, mode de vie, spot, langage, message
Famille et socialisation
Dissertation de sociologie sur le thème de la famille et de son rôle de socialisation, permettant
à l'individu d'acquérir des valeurs et de vivre en société.
Dissertation № 3084 | 1840 mots ( approximativement 4.6 pages ) | 0 sources | 2006
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Résumé
La socialisation est le processus par lequel la vie et l'activité humaine sont prises dans le réseau des
interdépendances sociales.
La famille n'est pas seulement une institution, c'est aussi un groupe social restreint, dont les
membres sont liés soit par le mariage, soit par des rapport de parenté, et dont toutes les formes
sont déterminées par la socialisation.
Au cours de la seconde moitié du XXème siècle, la famille est affectée par de nombreux
changements auxquelles elle a contribué avec l'aide d'agents de socialisation comme l'école, le
travail, l'église...
I. L'importance de la famille dans la socialisation de l'enfant
A) Intervention de la socialisation primaire
B) Influence continue de la socialisation et reproduction sociale
II. L'évolution de la famille
A) La destabilisation de la famille traditionnelle
B) Évolution des valeurs familiales et apport des agents de socialisation
Extrait du document
La culture d'une société comprends d'abord des valeurs. Elles représentent ce qui est considéré dans
une société comme estimable et désirable. Elles constituent un idéal, c'est-à-dire quelque chose
d'abstrait auquel les membres d'une société adhèrent, mais elles se manifestent concrètement dans
les manières de penser (jugements,représentations, symbole…) ou d'agir (normes,rites,règles…) des
individus. Par exemple, les règles de politesse expriment quelque chose de plus profond comme le
respect d'autrui ou le respect de la vie sociale. Des notions telles que l'individualisme ou
l'égalitarisme caractérisent un certain système de valeurs.
Les normes sont des règles de conduite en sociétés auxquelles les individus sont censés se
conformer. Tout comme les valeurs dont-elles constituent une expressions, les normes sont
relatives, c'est-à-dire qu'elles varient selon les sociétés.
Font partie des normes les usages en vigueur dans un groupe ou une société, les mœurs qui
contiennent souvent une composante morale.
Mots-clés:tolérance, respect, responsabilité, bonnes manières, éducation, politesse
Le double sens de "Outsider" de Howard Becker
Fiche de lecture portant sur l'ouvrage "Outsiders" de Becker qui traite des études de sociologie
sur la déviance : fumeurs de marijuana, musiciens de jazz, entrepreneurs de morale, policiers
et délinquants.
Fiche de lecture № 3594 | 1490 mots ( approximativement 3.7 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
Le but de Becker est d'analyser et de clarifier la notion d'outsider en observant les situations et les
processus auxquels renvoie ce terme à double usage. En effet, Becker pose comme hypothèse de
départ le double sens du mot outsider. Ainsi, l'individu qui a transgressé une norme entendue par la
société ou par un groupe social déterminé, ce qui l'en exclut de fait puisqu'il est perçu par les
individus comme non-conforme, est considéré comme étant une personne "étrangère", un outsider.
I. Présentation de la problématique adoptée par l'auteur, de ses méthodes d'enquête et mise en
perspective du texte par rapport à la sociologie actuelle.
II. Résumé du texte de Becker : Le double sens de « outsider »
III. Conclusion et commentaire critique du texte
Extrait du document
Cependant, cet individu peut tout à fait ne pas accepter la norme de référence et suivant laquelle
on le juge et considérer que ce sont ses «juges», c'est à dire les autres individus qui sont étrangers
(traduction de outsider) à son propre univers. Ainsi, le but de Becker est de d'étudier les situation
où la norme est transgressée et celles où on la fait appliquer, ainsi que les processus qui conduisent
certains individus ou groupes d'individus à transgresser les normes et d'autres à les respecter. Il
s'intéresse donc tant aux caractéristiques du phénomène de déviance qu'à ses causes et origines.
Plus généralement, le but de Becker, dans son étude sur la déviance, est d'analyser les relations
sociales, les interactions au sein de la société qui contribuent à entretenir les phénomènes de
déviance. La méthode de Becker est une méthode progressive, argumentative. Il éclaircit tout
d'abord la notion de norme et ses différentes variantes (nature formelle ou informelle de la norme,
à qui revient la tâche de la faire respecter) ainsi que les différents degrés auxquels un individu est
étranger. Dans un second temps, après avoir défini les termes de son étude et les concepts, il
cherche à établir une définition de la déviance.
Mots-clés:norme, prohibition, violation, respect, sanction, enquête de terrain
Le binge drinking, la nouvelle menace
Présentation d'un phénomène qui fait son apparition en France et qui touche une population
jeune.
Présentation PowerPoint № 4627 | 750 mots ( approximativement 1.9 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
Présentation au format PowerPoint du "binge drinking" qui peut être défini comme une intoxication
alcoolique aiguë ou alcoolisation paroxystique intermittente.
I. Le phénomène et ses origines
1. Description du binge drinking
2. La situation européenne du phénomène
II. L'arrivée du phénomène en France
1. Le changement de comportement des jeunes vis-à-vis de l'alcool
2. Les faits
Extrait du document
Les degats sur la santé : coma éthylique, décès dans certains cas exceptionnels, traumatismes,
troubles respiratoires…
Indicateur des consommations d'alcool à problème, de la santé psychique des jeunes ou encore des
futures dépendances.
Principale cause de dangerosité sociale de l'alcool.
Consommation excessive ponctuelle et festive différent de la consommation régulière d'alcool.
La perte de contrôle, les comportements violents et impulsifs, dangereux pour les autres mais
également pour soi.
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Sociologie
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"Histoire de la folie à l'âge classique" de Michel Foucault
Commentaire du chapitre 4 (3e partie) de l'ouvrage de Michel Foucault qui remet en question
toutes les représentations communes conçernant l'asile.
Commentaire de Texte № 4669 | 4940 mots ( approximativement 12.4 pages ) | 15 sources | 2008
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Résumé
Dès 1656, la création de l'hôpital de Paris marque, selon Foucault, l'ère du «grand renfermement».
Désormais le fou est interné aux côtés des marginaux, des débauchés, des oisifs, des délinquants
etc… c'est-à-dire ceux qui pèsent comme une charge pour la société.
Cette période du grand renfermement va enfermer les errants, les déviants de toutes sortes, dont
les fous.
A cette époque, l'isolement et la contention seront utilisés pour emprisonner et exclure.
1 - Présentation de Michel Foucault
2 - Les étapes de la reconnaissance de la folie
3 - Explication du texte
Extrait du document
Foucault Michel est un philosophe français né en 1926 à Poitiers (Vienne), il étudie la philosophie et
la psychologie, puis il entra à l'école normale supérieure à Paris. Pendant les années 1960, il occupe
le poste de directeur du département de philosophie à l'université de Clermont-Ferrand et à
l'université de Paris –Vincennes. En 1970, il est élu au collège de France où il enseigne l'histoire des
systèmes de pensée. Au cours des années 1970 et 1980, sa réputation internationale grandit et il
multiplie les conférences à travers le monde.
Mots-clés:antipsychiatrie, extrême-gauche, Basaglia, Pinel
La télévision
Dissertation sur une citation de Claude Zylberberg parue dans "Le Monde" qui s'interroge sur la
place de la télévision.
Dissertation № 6565 | 940 mots ( approximativement 2.4 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
«La télévision uniformise les loisirs, standardise la pensée, transforme l'individu en récepteur passif
et tue l'échange». Claude Zylberberg, Le Monde, octobre 1979.
A l'heure où l'on compte une télévision en moyenne par foyer français se pose le problème de son
impact sur nos vies. Uniformise-t-elle les loisirs ? Standardise-t-elle la pensée ? Nous transforme-telle en récepteurs passifs ? Nos actes et pensées sont-ils dictés par un petit écran manipulateur au
monologue rébarbatif ?
Extrait du document
Si la télévision est omniprésente, elle n'en demeure pas moins un objet utilisable à la demande. Son
usage est donc celui que l'on souhaite en faire. De plus, le nombre de chaînes à considérablement
augmenté, plus particulièrement depuis l'arrivée de la TNT. Certaines sont spécialisées dans
l'actualité, d'autres dans le divertissement ou encore la musique. Il y a du choix, pour tous les goûts,
et tous les âges. Avant même l'apparition de la télévision numérique terrestre un choix était
possible entre les chaînes publiques, (à vocation plus culturelle) et les chaînes privées, (aux
programmes souvent plus ludique). Sur le service public, les publicités étaient moins présentes et il
a été récemment décidé de les en éradiquer afin de privilégier la qualité des émissions. Cela
permettra d'aménager plus d'espace afin de diversifier un peu plus le paysage télévisuel.
Mots-clés:interlocuteur, esprit, image, assimiler, publicité
Les enfants issus de l'immigration et l'école
Travail de recherche portant sur l'échec et la réussite scolaire, chez les enfants immigrés ou
issus de l'immigration.
Travail de Recherche № 7199 | 4170 mots ( approximativement 10.4 pages ) | 5 sources | 2007 |
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Résumé
Les notions d'échec et de réussite en vu de la scolarité sont difficiles à définir. Ces thèmes sont le
produit d'une configuration scolaire et économique singulière ; le sens et les conséquences varient
historiquement en fonction du degré d'exigence scolaire atteint globalement par une société. Par
ailleurs, le sentiment d'échec ou de réussite varie d'un élève à l'autre, d'une famille à l'autre…
Quelles sont les représentations des notions d'échec ou de réussite ? Vers qui la faute est-elle
rejetée ?
I. Théories
1. Echec et réussite scolaire
2. Le rapport identitaire au savoir
3. Identité culturelle
II. Présentations de recherches
1. Paroles d'enseignants
2. Paroles d'élèves
3. « Décalage socioculturel » entre milieu familial et attente scolaire
4. Les attentes des élèves par rapport aux professeurs
5. Rapport entre échec scolaire et choix d'une identité culturelle
III. Approche clinique de ces processus
Extrait du document
« L'institution-école » est un produit culturel et les modalités des rapports interpersonnels à
l'intérieur de l'institution sont modelés culturellement : il existe en effet des façons de bouger,
d'agir, de parler ou même de se taire. Bref, des façons de faire qui correspondent à l'école et ne
retrouvent pas forcement de sens en dehors de ses murs. D'où des difficultés supplémentaires pour
les élèves issus de l'immigration.
La rigidité des règles scolaires tolère mal les parcours et les profils atypiques ; et bien évidemment,
elle handicape plus nettement les élèves qui n'ont pas été parfaitement formatés par leur milieu
social.
Mots-clés:socialisation, inégalité, personnalité, révolte, délinquance, jeunesse
La femme dans la société française
Dissertation qui analyse quelle société est proposée aux femmes françaises et si l'égalité des
sexes est un fait accompli.
Dissertation № 7366 | 950 mots ( approximativement 2.4 pages ) | 6 sources | 2008
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Résumé
« Une femme est un individu de sexe féminin de l'espèce humaine, par opposition à l'homme, dont
l'anatomie lui permet de porter et mettre au monde des enfants. » Larousse.
C'est ainsi que la femme n'a jamais été définie à part entière, en tant que personne, individu mais
bel et bien comme ce qu'elle n'est pas par rapport à l'homme. Il en va de même de ses activités, de
sa condition, de sa vie.
Quelle évolution pour la femme dans la société française, quelle place occupe-t-elle à l'heure de la
parité et de la mixité dans trois des domaines piliers de la société française à savoir le travail,
l'école et la famille ?
1. L'école des femmes
A. Réussite scolaire des filles
B. Inégalité d'orientation
C. Enseignement supérieur à deux vitesses
2. Travail
A. Féminisation de l'emploi
B. Division sexuelle du travail
C. Fragilité de l'emploi féminin
D. Difficultés familiales
Extrait du document
Longtemps privées, l'école est pour les femmes une véritable source d'émancipation. L'accès s'y veut
mixte et égalitaire. Pourtant malgré de nombreuses évolutions, des inégalités persistent. La réussite
scolaire des filles, Plus nombreuses à avoir leur bac avec mention 38 % contre 28% Avec 67.6% de
filles ayant obtenu leur baccalauréat en l'an 2000 contre 55.8 % de garçon (source DPD n°1-24), c'est
un fait, les femmes réussissent mieux scolairement que les hommes et ce aussi bien dans le primaire
que le secondaire. Ce succès serait du à leur plus grand « esprit de sérieux » ainsi qu'à un plus fort
d'investissements féminine. Leur comportement, la définition sociale de la féminité entrerai plus en
adéquation avec les normes de l'éducation scolaire, plus conforme aux normes scolaires.
Mots-clés:discrimination, identité, émancipation, carrière, famille, ségrégation
Les rapports hommes/femmes
Dissertation portant sur la différenciation sociale et culturelle entre les hommes et les femmes
et sur l'évolution de la condition féminine en France.
Dissertation № 7634 | 1120 mots ( approximativement 2.8 pages ) | 0 sources | 2008
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Résumé
Depuis les années 70, de nombreuses manifestations des mouvements féministes ont accompagné
l'émancipation des femmes. Leur statut, profondément inégalitaire il y a encore trente ans, s'est
transformé de manière spectaculaire. Elles ont fait irruption dans tous les secteurs de la vie
publique. Cependant on continue à remarquer encore de nombreuses inégalités entre Français et
Françaises d'aujourd'hui. Quels sont les rapports hommes/femmes aujourd'hui ? Quelles sont les
différences existantes entre les sexes et à quoi sont-elles dues ?
Extrait du document
Simone de Beauvoir avait-elle prévu des mouvements d'un nouveau « genre » suite à sa célèbre
phrase « on ne naît pas femme, on le devient » quelques années auparavant ? Ces mouvements,
apparus dans les années 70, revendiquent une égalité concernant les rapports hommes-femmes au
quotidien. Même après l'évolution connue ces dernières années, on ne peut s'empêcher de comparer
les différences de genres, dans n'importe quel domaine qu'il soit ( psychologique, économique,
littéraire…). Il faut noter, comme nous l'avons précisé plus haut, que la différenciation hommefemme est une construction sociale, or « tout ce que la société a construit, elle peut le
déconstruire ». C'est pourquoi il faudrait arriver à passer au dessus de cette différenciation de
genre malgré qu'il y ait bien une réalité sociale pour nous la rappeler.
Et cette réalité sociale de différenciation est mise en évidence dès le plus jeune âge. Le
comportement des parents se distingue qu'il s'agisse d'une fille ou d'un garçon. Un père dira plus
facilement à son fil de « se défendre » alors qu'à sa fille il lui dira « soit gentille ». La construction
du masculin se base sur la virilité alors que le féminin sera plutôt d'ordre esthétique. On peut même
parler de stéréotypie sociale des sexes.
Mots-clés:Simone, de, Beauvoir, émancipation, éducation
La famille dans le processus de socialisation
Dissertation qui analyse quel est le rôle de la famille dans le processus d'intégration et son
importance.
Dissertation № 9669 | 955 mots ( approximativement 2.4 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
La socialisation est un processus par lequel l'individu incorpore les valeurs propre à son milieu et les
normes qui lui sont associées, processus assuré par des agents de socialisation qui ont une influence
essentielle sur la formation de l'individu durant son existence. Il existe d'ailleurs deux formes de
socialisation : la socialisation primaire (processus de socialisation d'un nouveau né par
l'intermédiaire de la famille et de l'école) ; cette socialisation est importante, car elle permet à
l'enfant d'apprendre à vivre en communauté. Et la socialisation secondaire (caractérisée par
l'acquisition des savoirs et des rôles) qui se superpose à la première forme et se fait eu sein de
l'entreprise et des amis.
1. Le rôle de la famille
2. Les autres instances de la socialisation
Extrait du document
La famille est la première instance de la socialisation, dans la mesure où elle est à l'origine de la
socialisation primaire. Elle met en œuvre différents processus dans le cadre de la socialisation, tels
que les principes de familiarisation, c'est-à-dire l'imprégnation progressive par imitation, mais aussi
par inculcation. De plus, si la famille transmet à l'enfant dès son plus jeune âge, le langage et les
codes sociaux les plus élémentaires, comme par exemple savoir se tenir à table (apprendre à
manger correctement). Mais la famille transmet aussi des valeurs (principe idéal auquel adhérent
les membres d'une société) et des normes (règles de conduite propres à une société ou à un groupe
social). Celles-ci l'aideront à développer des relations sociales. Ainsi, nous pouvons dire que la
famille est essentielle à la construction de notre personnalité.
Mots-clés:jeunesse, pauvreté, emploi, scolarisation, revenu, insertion
"Le malaise dans la culture" de Sigmund Freud
Etude de l'essai de Sigmund Freud sur la nature profonde de l'Homme et plus précisément sur
son penchant pour l'agression et l'auto-défense.
Fiche de lecture № 9837 | 1600 mots ( approximativement 4 pages ) | 0 sources | 2008 |
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Résumé
Dans son essai, Freud expose la thèse selon laquelle l'Homme n'est pas, contrairement à ce qu'on
pense, de nature douce; il est animé de pulsions agressives qu'il satisfait en agressant autrui, qu'il
voit dès lors comme une tentation. Cette thèse est démontrée en quatre pointd forts, illustrés
d'exemples concrets d'agressions typiquement humaines.
I. L'énoncé : opposition de la vision commune sur la nature de l'homme par rapport à sa vraie
nature
II. La conséquence de sa nature agressive : son prochain est une victime sur qui il peut défouler ses
pulsions
III. Les conditions généralement observées pour que l'homme laisse libre cours à son envie
d'agression
IV. Les circonstances favorables au dévoilement de sa vraie nature
Extrait du document
Ce déterminisme sauvage lui vaut une comparaison avec le loup dans la maxime « l'homme est un
loup pour l'homme ». Le loup revendique ses territoires en usant de violence envers d'autres loups;
et même au sein de la horde apparaît un très clair rapport de domination et de soumission. En ce
sens, l'homme, qui est lui aussi capable de d'attaquer un de ses semblables et se complaît à établir
des rapports de force, peut être comparé à l'animal. Freud fait valoir cette maxime en faisant appel
à « toutes les expériences de vie » et aux événements historiques, où figurent à un moment ou à un
autre, soit un homme agresseur, soit un homme victime de l'agression.
Mots-clés:cruauté, victime, pulsion, pitié, légitime défense
Le tourisme de luxe
Etude de cas marketing portant sur deux agences de tourisme "Kuoni Emotions" et "Go Voyages
Prestige" spécialisées dans les voyages de luxe.
Étude de Cas № 11296 | 1580 mots ( approximativement 4 pages ) | 0 sources | 2009
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Résumé
Kuoni propose des voyages d'exception, évoquant un nouveau luxe, l'accent est mis sur le bien être,
le vécu et la sensorialité, cherchant ainsi à s'éloigner des archétypes de l'opulence. Avec Emotions,
Kuoni s'adresse à l'individu en quête de sens et personnalise ainsi son rapport avec le client.
Go Voyages est un tour opérator spécialisé dans la vente de billets d'avion au meilleur prix, de
séjours, «package dynamique» mais aussi dans toute une gamme de produits touristiques : hôtels,
voitures, croisières, ski et séjours de luxe.
I. Présentation des entreprises
1) Kuoni
2) Go Voyages
3) Positionnement concurrentiel
4) Marketing Mix
II. Analyse et suggestions
1) Adéquation entre les produits proposés et le marché du
tourisme de luxe
2) Adéquation entre la présentation du site et le marché du
tourisme de luxe
3) Propositions et suggestions d'amélioration
III. Retour d'expérience
Extrait du document
Kuoni Emotions propose, en plus de celles de Go Voyages Prestiges, des destinations qui se situent
pour la plupart en Afrique (Kenya, Tanzanie, Botswana), en Europe de l'Est (Russie) et en Amérique
du Sud (Brésil, Chili, Pérou) mais également des destinations telles que la
Malaisie, la Polynésie ou encore les îles moustiques.
La distribution chez Go Voyages Prestige se fait uniquement par téléphone après avoir consulté
leurs offres sur le site. Chez Kuoni Emotions la distribution s'effectue par une demande
d'informations par téléphone, commande de brochures en ligne ou réservations en agence.
La Communication chez Go Voyages Prestige est lancé relativement discrètement, le site n'est
relayé pour l'instant que sur la page d'accueil de Go Voyages. Le site Prestige devrait faire l'objet
d'une véritable campagne. Outre un référencement spécifique et des partenariats avec des sites
spécialisés dans le luxe, cette nouvelle offre devrait faire également l'objet d'une campagne de
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dans des journaux haut de gamme.
Mots-clés:exigence, qualité, innovation, choix, prix, simplicité
Les Principes du gouvernement représentatif
Fiche de lecture sur le livre de Bernard Manin qui décrit l'évolution des démocraties depuis la
période antique jusqu'à nos jours.
Document № 330 | 2520 mots ( approximativement 6.3 pages ) | 0 sources | 2007
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Résumé
Bernard Manin étudie dans son ouvrage l'apparition des démocraties représentatives modernes qui
se caractérisent par l'importance qu'elles accordent à l'élection, ce qui les opposent aux
démocraties directes de l'Antiquité comme Athènes. Ainsi cet ouvrage va tenter de comprendre les
réelles différences entre ces deux types de régimes, pourtant appelés tous deux : démocraties,
leurs caractéristiques respectives et leurs limites.
Biographie de Bernard Manin
Résumé de l'œuvre
I) La démocratie directe de l'antiquité
1) La démocratie directe et représentation : la désignation des gouvernants à Athènes
2) Le triomphe de l'élection
II) Passage au gouvernement représentatif
1) Le principe de distinction
2) L'aristocratie démocratique
III) Les principales caractéristiques du gouvernement représentatif
1) Le jugement public
2) Les métamorphoses du gouvernement représentatif
Conclusion
Extrait du document
L'étude historique de certaines républiques comme Rome, Florence, Venise et autres républiques
italiennes permet de tirer des leçons dans la tradition républicaine, avec un système balancé entre
le tirage au sort et l'élection. Dans chacun des cas, on constate alors que l'élection prédomine avec
la naissance des gouvernements représentatifs.
Tout d'abord Rome, où le tirage au sort était utilisé en parallèle avec une aristocratie censitaire,
dans ce cas il ne conférait pas d'égalité aux candidats, mais servait à conserver une cohésion
politique et une certaine stabilité du régime.
De son côté Venise reflétait un modèle de réussite républicaine élective sans tirage au sort,
contrairement à Florence qui, elle, le redécouvrait peu à peu.
Mots-clés:suffrage universel, Assemblée, élites, tirage au sort, peuple, aristocratie
La présomption de paternité
Dissertation de droit de la famille qui traite de la force de la présomption de paternité depuis
la réforme de 2005. Ce devoir aborde les changements apportés par cette réforme.
Dissertation № 1135 | 2000 mots ( approximativement 5 pages ) | 1 source | 2007
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Résumé
L'ordonnance du 4 juillet 2005, portant réforme à la filiation, a pour but la simplification du droit
de la filiation, le modifie et le réorganise. La principale modification qu'apporte cette réforme est
la suppression de la distinction entre filiation naturelle et la filiation légitime, on parle,
dorénavant, simplement de filiation.
L'établissement de la filiation paternelle n'est pas aussi évident qu'en ce qui concerne la filiation
maternelle. Effectivement, la preuve de la paternité est soumise à la présomption de paternité.
Cependant, les pères non mariés devront toujours, pour que leur filiation soit établie, procéder à la
reconnaissance de leur enfant
I- La force probante de la présomption de paternité dans le cadre du mariage
A- Un calcul probabilité sur la situation matrimoniale effective
B- Les tempéraments à la présomption de paternité
II- L'atténuation de la force probante par l'évolution des formes d'union
A- Les moyens d'établissement de la filiation hors mariage
B- La valeur essentielle donnée à la vérité sociologique
Extrait du document
Il existe deux cas dans lesquels la présomption de paternité va être écartée. Tout d'abord lorsque
l'enfant est conçu pendant une période de séparation légale selon les dispositions de l'article 313 du
code civil. Par conséquent, cette période de séparation peut supposer un acte d'infidélité. Il faut
tout de même ajouter que la présomption de paternité peut être rétablie de plein droit si l'enfant a
une possession d'état à l'égard de chacun et s'il n'a pas de filiation paternelle établie à l'égard d'un
tiers. La loi privilégie ici la vérité sociologique à la vérité biologique, l'éducation de l'enfant et les
attentions qu'on lui porte priment. Un autre cas est prévu par la loi à l'article 314 du code civil
lorsque l'enfant est déclaré à l'Etat civil sans indication du nom du mari et sans possession d'Etat à
son égard. La présomption de paternité peut également être rétablie par l'effet d'un jugement sur
fondement de l'article 329 du code civil disposant que « lorsque la présomption de paternité a été
écartée en application des articles 313 ou 314, chacun des époux peut demander, durant la minorité
de l'enfant, que ses effets soient rétablis en prouvant que le mari est le père. L'action est ouverte à
l'enfant pendant les dix années qui suivent sa majorité. »