Pour se créer, exister et croître ces entreprises innovantes ont donc besoin d’être financées et
accompagnées ; c’est là qu’interviennent les Business Angels.
Pourquoi devenir Business Angels ?
La motivation citoyenne pour le développement des entreprises et des emplois est au centre de
la démarche !
Loin de l’image d’investisseurs fortunés et spéculateurs qui leur collent à la peau, les Business
Angels sont là pour soutenir des projets qui répondent à des besoins et des usages nouveaux et
surtout pour être des moteurs dans la création d’entreprises.
Ils espèrent voir ainsi les start-up se transformer, à termes, en entreprises de taille
intermédiaire, pourvoyeuses d’emplois sur nos territoires.
Ces investisseurs de proximité investissent leur propre argent dans le capital d’entreprises et
mettent en plus gracieusement à disposition des dirigeants leurs compétences, leur expérience
et leurs réseaux relationnels.
Plus que l’investissement financier, la motivation première est de participer à une aventure
entrepreneuriale et au développement de jeunes entreprises.
Côté montant, il n’existe pas d’obligation formelle pour devenir Business Angels, mais la
norme est d’investir autour de 5 000 à 10 000 euros par an. Chaque Business Angels prend
librement sa décision lors des tours de table selon sa situation du moment, ses investissements
déjà réalisés, l’intérêt qu’il porte à l’activité, les autres opportunités présentes, etc. Pour
minimiser le risque, il est conseillé de se constituer un portefeuille assez diversifié et de ne
pas investir plus de 5% de son patrimoine financier.
Les tours de table, toujours minoritaires, pour Auvergne Business Angels, s’échelonnent entre
50 000 à 150 000 euros. Cet apport de fonds propres permet à ces jeunes entreprises de
solliciter plus facilement les crédits auprès des institutions financières et des autres réseaux
d’accompagnement.
France Angels qui fédère les 76 réseaux de Business Angels sur toute la France dont
Auvergne Business Angels, recense plus de 4 000 Business Angels qui ont investi en 2015
plus de 40 M€ et ont créé ou maintenu plus de 3 000 emplois
Communiqué de presse du Journal de l’éco