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Défi scientifique : Sauvages de mon école.
Photographier le plus possible de plantes sauvages dans votre école
Compléter leurs fiches d’identité
Dire de quelle façon vous avez utilisé votre (vos) clé(s) de détermination
Nous avons travaillé ensemble, tous les élèves de CP de l’école, par groupes, afin de répondre
à ce défi. Voici notre travail.
1. Présentation du défi.
Nous avons commencé par lire le défi et cherché ce que tous les mots voulaient dire.
Tout d’abord, qu’est-ce qu’un défi ?
Nous avons cherché le mot défi dans le dictionnaire. Un défi est l’action de défier
quelqu’un à un jeu, une compétition. Lancer un défi c’est donc inciter quelqu’un à
faire quelque chose en l’amenant à se surpasser.
Ensuite, nous avons cherché ce qu’est une plante ? Pour cela, nous avons travaillé sur le
vivant et le non vivant.
Nous avons découvert que les êtres vivants naissent, grandissent, se reproduisent
et meurent, ce qui, n’est pas le cas pour les choses non vivantes.
Les êtres vivants sont des plantes, des animaux ou des êtres humains.
Enfin, nous avons cherché ce qu’est-ce qu’une plante sauvage ? Quelle est la différence avec
une plante qui ne serait pas sauvage ?
Une plante sauvage est une plante qui pousse naturellement. Comme les animaux
sauvages grandissent seuls dans la nature. Contrairement à une plante cultivée,
qui elle est plantée ou semée par l’homme, ou un animal domestique qui est élevé
par l’homme.
2. Recherche de plantes sauvages et prises de photographies.
Dans la cour, la pelouse, et le jardin de l’école, nous avons trouvé de très nombreuses plantes:
des herbes, des arbustes, des arbres, des fleurs. Nous avons choisi de travailler sur les fleurs.
Nous les avons prises en photos, plusieurs fois pour que les photos ne soient plus floues.
3. Identification en utilisant internet.
Dans la salle informatique, nous avons observé nos photos projetées avec le vidéoprojecteur
sur un tableau blanc. Nous sommes ensuite allés sur un site internet
(abiris.snv.jussieu.fr/flore/flore.html) qui permet de trouver le nom des plantes, de les identifier.
A partir d’une photo affichée en grand, la maitresse nous a lu sur le site le critère à observer,
nous avons choisi et validé parmi les propositions celle qui correspondait à notre photo. Le
nombre de fleurs diminue à chaque choix. Et à la fin, nous trouvons la fleur que nous
cherchons ou des fois, il reste plusieurs choix, il nous manque des informations.
4. Nouvelles prises de photographies.
Nous sommes donc retournés dans la cour, la pelouse, le jardin et nous avons de nouveau pris
les fleurs en photos, de dessus, de dessous, de côté, mais aussi les tiges, les feuilles, les
plantes en entier.
5. Identification en utilisant internet.
Nous sommes retournés en salle informatique, sur internet, pour chercher le nom des fleurs
que nous n’avions pas trouvées la première fois. A la fin de nos recherches, nous avons pu
identifier beaucoup de nos fleurs. Mais certaines fleurs jaunes n’avaient pas encore de nom.
Nous avons utilisé un livre sur les fleurs pour trouver leur nom et nous avons ensuite comparé
avec les fiches que le site donne pour chacune des fleurs.
6. Lecture des différentes fiches des fleurs.
Nous avons lu ensemble les fiches des fleurs que nous avions trouvées. Nous avons comparé
ce qui était écrit avec ce nous avons vu. Nous avons ensuite complété nos fiches
d’identification afin de faire notre herbier numérique.
7. Ecriture de la démarche.
Nous avons écrit avec nos maitresses comment nous avons fait pour répondre au défi et ce
que nous avons appris.
En résumé, pour identifier une fleur, il faut regarder la fleur, ses pétales, sa couleur, la
disposition et le nombre de pétales, regarder sous la fleur, la tige, l’endroit où sont les
fleurs sur la plante, les feuilles, leur forme, leur couleur et la forme générale de la fleur.
Un seul de ces détails change et la plante n’est plus la même (comme par exemple la
différence de couleur entre le trèfle blanc et le trèfle des champs ou la différence de taille
entre une pâquerette et une marguerite).
Ce sont les maitresses qui ont tapé ensuite sur l’ordinateur ce que nous avions fait et trouvé.
8. Prolongements.
Nous allons maintenant simplifier les textes de notre herbier, ajouter des photos dans cette
trace écrite et nous pourrons l’imprimer pour nos cahiers. Un affichage de notre travail sera
fait dans l’école.
Crépis capillaire (Crepis capillaris (L.) Wallr.)
Taille : 20 à 80 cm de haut.
Époque de floraison : Elle fleurit de juin à septembre.
Fleurs : les fleurs sont regroupées en capitule, c'est-à-dire que ce qui paraît
être une fleur unique est en réalité un amas de fleurs élémentaires,
regroupées sur un plateau. Ces capitules forment un petit groupe au
sommet des tiges. Dans un capitule, les fleurs sont toutes ligulées, jaunes. Le
réceptacle est nu, sans écaille ni fibrille.
Feuilles : les feuilles sont alternes, avec une base simple (feuilles inférieures)
ou embrassante (feuilles caulinaires) formant des oreillettes aigues. Les
feuilles sont simples. Celles de la base sont entières, très allongées,
oblongues, pétiolées avec une base en coin. Celles de la tige sont entières,
lancéolées, non pétiolées avec une base droite. Les feuilles ont un limbe
mince, avec un bord profondément denté et un sommet pointu. Leurs deux
faces sont glabres, avec seulement quelques poils sur la face inférieure de la
nervure principale.
Tige : La tige est dressée, ramifiée. Elle est creuse, avec une consistance
herbacée, à section polygonale. Elle a une surface cannelée, et elle est
glabrescente ou poilue (dans sa partie inférieure). Elle produit un liquide
blanc en cas de section.
Habitat : prairie, pelouse, terrain vague, chemin.
Lampsane commune (Lapsana communis L.)
Taille : 30 à 80 cm de haut.
Époque de floraison : elle fleurit de juin à août.
Fleurs : les fleurs sont regroupées en capitule, c'est-à-dire que ce qui paraît
être une fleur unique est en réalité un amas de fleurs élémentaires,
regroupées sur un plateau. Ces capitules forment un petit groupe au
sommet des tiges. Dans un capitule, les fleurs sont toutes ligulées, jaunes.
Feuilles : les feuilles sont alternes, avec une base simple. Celles de la base
sont profondément découpées, pétiolées. Celles de la tige sont entières,
lancéolées, pétiolées avec une base en coin (le pétiole est très court). Les
feuilles ont un limbe mince, avec un bord faiblement denté et un sommet
pointu. Leurs deux faces sont pubescentes
Tige : la tige est dressée, ramifiée. Elle est pleine, avec une consistance
herbacée, à section ronde. Elle a une surface striée, et elle est glabre ou
glabrescente (dans sa partie inférieure).
Habitat : elle se rencontre principalement sur terres retournées, en bordure
des chemins, sur les talus, dans les bois clairs et les friches ; principalement
en plaine, mais peut se trouver jusqu'à 1 500 m d'altitude. Elle vit
préférentiellement sur les sols riches en azote.
Mauve sylvestre (Malva sylvestris L.)
Taille : 30 à 50 cm de haut.
Époque de floraison : de mars à octobre.
Fleurs : les fleurs sont groupées par deux ou plus le long de la tige. Elles sont
mauves, veinées de violet. Elles sont portées par un pédoncule long et poilu,
avec des poils étalés. Elles ont des étamines soudées entre elles, formant un
tube autour du pistil. Les styles sont soudés entre eux, et terminés chacun
par un stigmate obtus. La corolle présente 5 lobes égaux, disposés en coupe
et soudés seulement par leur base, avec l'extrémité échancrée légèrement.
Feuilles : Les feuilles sont alternes, avec une base simple, munie de stipules
pointues, à bords poilus. Elles sont simples. Elles sont entières, pétiolées avec
une base droite ou en coeur. Elles ont un limbe gaufré, avec un bord
faiblement denté et un sommet arrondi. Leurs deux faces sont glabres.
Tige : la tige est dressée, ramifiée. Elle est pleine, avec une consistance plutôt
coriace, à section ronde. Elle a une surface lisse, et elle est poilue.
Habitat : bords des chemins, bords des vignes, décombres, prairies, talus,
terrains vagues, sur sol sec, drainé et riche en azote souvent à proximité des
endroits habités.
Oeillet des Chartreux (Dianthus carthusianorum L.)
Taille : 20 à 50 cm de haut.
Époque de floraison : fleurit de juin à septembre.
Fleurs : les fleurs sont regroupées en tête formées de 2 à 8 fleurs. Elles sont
rose plus ou moins sombre, ou même pourpre. Elles sont portées par un
pédoncule court et glabre. Elles présentent 10 étamines libres. Le pistil est
surmonté de 2 styles filiformes. La corolle est formée de 5 pétales égaux,
libres, avec l'extrémité dentée. Ces pétales portent de longs poils sur leur
face supérieure.
Feuilles : les feuilles sont opposées, avec une base engainante. sont simples.
Elles sont entières, à bords parallèles, non pétiolées. Elles ont un limbe
mince, avec un bord lisse et un sommet pointu. Leurs deux faces sont
glabres.
Tige : la tige est dressée, simple, et la souche est ligneuse. Elle est pleine,
avec une consistance herbacée, à section anguleuse. Elle a une surface lisse,
et elle est plutôt carrée, à angles très arrondis.
Habitat : éboulis, rocher, terrain rocailleux; prairie, pelouse, terrain sec
Pâquerette (Bellis perennis L.)
Taille : 5 à 15 cm de haut. Les feuilles sont toutes à la base, en rosette.
Époque de floraison : elle fleurit de février à novembre.
Fleurs : les fleurs sont regroupées en capitule, c'est-à-dire que ce qui paraît
être une fleur unique est en réalité un amas de fleurs élémentaires,
regroupées sur un plateau. Ces capitules sont isolés ou en groupe lâche.
Dans un capitule, les fleurs centrales sont tubulées, les fleurs périphériques
sont ligulées. Les fleurs tubulées sont jaunes, les ligulées blanches. Le
réceptacle est nu, sans écaille ni fibrille.
Feuilles : les feuilles sont toutes à la base, en rosette. Les feuilles sont
simples. Elles sont entières, ovales, pétiolées avec une base en coin. Elles ont
un limbe mince, avec un bord faiblement denté et un sommet arrondi. Leurs
deux faces sont glabrescentes.
Tige : le pédoncule floral est poilu.
Habitat : prés, prairies, bords de routes, friches, dépotoirs, dépôts de terre
de ballast, champs.
Pissenlit (Taraxacum campyloides G. E. Haglund)
Taille : 6 à 30 cm de haut. Les feuilles sont toutes à la base, en rosette.
Époque de floraison : Elle fleurit de mars à octobre.
Fleurs : les fleurs sont regroupées en capitule, c'est-à-dire que ce qui paraît
être une fleur unique est en réalité un amas de fleurs élémentaires,
regroupées sur un plateau. Ces capitules sont isolés ou en groupe lâche.
Feuilles : les feuilles sont toutes à la base, en rosette. Elles sont simples. Elles
sont profondément découpées, non pétiolées, mais atténuées à la base. Elles
ont un limbe mince. Leur face supérieure est glabre ou glabrescente, leur
face inférieure glabre ou glabrescente. Dans un capitule, les fleurs sont
toutes ligulées, jaunes. Le réceptacle est nu, sans écaille ni fibrille.
Tige : le pédoncule floral est glabre, creux, et produit un lait blanc en cas de
section
Habitat : il pousse dans toutes les zones de climat tempéré jusqu'à 2000
mètres d'altitude. Il se plaît surtout dans les prairies fertiles et les bois
clairsemés, au bord des chemins et sur les décharges.
Porcelle enracinée (Hypochaeris radicata L.)
Taille : 30 à 70 cm de haut
Époque de floraison : fleurit de mai à septembre.
Fleurs : les fleurs sont regroupées en capitule, c'est-à-dire que ce qui
paraît être une fleur unique est en réalité un amas de fleurs élémentaires,
regroupées sur un plateau. Ces capitules sont isolés ou en groupe lâche
elles-mêmes simples ou un peu ramifiées. Dans un capitule, les fleurs sont
toutes ligulées, jaunes. Le réceptacle est nu, sans écaille ni fibrille.
Feuilles : les feuilles sont toutes à la base, en rosette. Les tiges portant les
capitules ont parfois quelques feuilles à la base, et présentent des feuilles
réduites à des écailles sur toute leur longueur. sont simples. Elles sont
profondément découpées. Elles ont un limbe mince. Leurs deux faces sont
poilues.
Tige : les tiges portant les capitules ont parfois quelques feuilles à la base,
et présentent des feuilles réduites à des écailles sur toute leur longueur.
Habitat : les prés secs, les champs, les chemins et les bois clairs, préfère
les sols siliceux ; jusqu’à 1800 m.
Salsifis des prés (Tragopogon pratensis L.)
Taille : 30 à 80 cm de haut.
Époque de floraison : fleurit de mai à juillet.
Fleurs : les fleurs sont regroupées en capitule, c'est-à-dire que ce qui paraît
être une fleur unique est en réalité un amas de fleurs élémentaires,
regroupées sur un plateau. Ces capitules sont isolés ou en groupe lâche.
Dans un capitule, les fleurs sont toutes ligulées, jaunes. Le réceptacle est nu,
sans écaille ni fibrille.
Feuilles : les feuilles sont alternes, avec une base embrassante mais ne
formant pas d'oreillette. Elles sont simples. Elles sont entières, à bords
parallèles, non pétiolées. Elles ont un limbe mince, avec un bord lisse et un
sommet pointu, et sont souvent tortillées. Leurs deux faces sont glabres.
Tige : la tige est dressée, simple ou ramifiée. Elle est pleine, avec une
consistance herbacée, à section ronde. Elle a une surface lisse, et elle est
glabre.
Habitat : champs, prairie, chemin, prés rocailleux.
Séneçon commun (Senecio vulgaris L.)
Taille : 20 à 40 cm de haut
Époque de floraison : fleurit de janvier à décembre.
Fleurs : Les fleurs sont regroupées en capitule, c'est-à-dire que ce qui
paraît être une fleur unique est en réalité un amas de fleurs
élémentaires, regroupées sur un plateau. Ces capitules (de petite taille)
sont eux-mêmes organisés en corymbe (sorte d'ombelle dont les
rayons sont rattachés à différents niveaux sur la tige principale). Dans
un capitule, les fleurs sont toutes tubulées, jaunes. Le réceptacle est nu,
sans écaille ni fibrille.
Feuilles : les feuilles sont alternes, avec une base embrassante formant
des oreillettes rondes. Elles sont simples. Celles de la base sont
profondément découpées, pétiolées. Celles de la tige sont
profondément découpées, non pétiolées. Les feuilles ont un limbe
mince. Leurs deux faces sont pubescentes, recouvertes d'une sorte de
feutrage
Tige : la tige est dressée, ramifiée. est pleine, avec une consistance
herbacée, à section ronde. Elle a une surface cannelée, et elle est
pubescente, pubescence formant une sorte de toile d'araignée.
Habitat : espèce très commune surtout dans les champs et jardins à sol
riche et pourvu d'azote. S'élève jusqu'à 1800 m.
Séneçon jacobée (Senecio jacobaea L.)
Taille : 40 à 80 cm de haut.
Époque de floraison : fleurit de juillet à octobre.
Fleurs : les fleurs sont regroupées en capitule, c’est-à-dire que ce qui
paraît être une fleur unique est en réalité un amas de fleurs élémentaires,
regroupées sur un plateau. Ces capitules (de petite taille) sont eux-mêmes
organisés en corymbe (sorte d’ombelle dont les rayons sont rattachés à
différents niveaux sur la tige principale). Dans un capitule, les fleurs
centrales sont tubulées, les fleurs périphériques sont ligulées. Elles sont
toutes jaunes. Le réceptacle est nu, sans écaille ni fibrille.
Feuilles : les feuilles sont alternes, avec une base simple (feuilles
inférieures) ou embrassante (feuilles supérieures) mais ne formant pas
d'oreillette. Elles ont simples. Elles sont profondément découpées, non
pétiolées. Elles ont un limbe mince. Leur face supérieure est glabre ou
glabrescente, leur face inférieure glabre ou pubescente
Tige : la tige est dressée, ramifiée (au sommet). Elle est pleine, avec une
consistance plutôt coriace, à section ronde. Elle a une surface striée, et elle
est glabre ou pubescente.
Habitat : bords de routes, friches, talus de voies ferrées, dépôts de sols de
ballast, ports, cours, prairies.
Trèfle blanc (Trifolium repens L.)
Taille : 10 à 40 cm de haut.
Époque de floraison : de mai à octobre.
Fleurs : Les fleurs sont regroupées en tête assez grosse (15-20 mm). Elles
sont blanches ou un peu rosées. Elles sont toutes réfléchies en fin de
floraison. Elles sont portées par un pédoncule court et glabre. Elles
présentent 10 étamines soudées entre elles (9 sont soudées en tube, la
10eme est libre). Le pistil est surmonté d'un seul style et d'un seul stigmate.
Feuilles : Les feuilles sont alternes, avec une base simple, munie de stipules
brusquement terminées en pointe longue. Elles sont composées, formées de
3 folioles. Elles sont pétiolées. Les folioles ont un limbe mince, avec un bord
faiblement denté et un sommet arrondi. Ils sont souvent marbrés de blanc.
Leurs deux faces sont glabres.
Tige : La tige est en partie couchée, ramifiée. Elle est pleine, avec une
consistance herbacée, à section ronde. Elle a une surface lisse, et elle est
glabre. La tige est ailée, c'est-à-dire qu'elle est pourvue d'excroissances en
lames minces.
Habitat : prairies, prés, cours, pistes, bords de routes, rivages
Autres commentaires :
Trèfle des prés (Trifolium pratense L.)
Taille : 10 à 50 cm de haut.
Époque de floraison : fleurit de mai à septembre.
Fleurs : les fleurs sont regroupées en tête globuleux. Elles sont roses. La
corolle est formée de 5 pétales, un pétale supérieur de grande taille
(étendard), deux pétales latéraux (ailes) et deux ventraux (carène).
Feuilles : les feuilles sont alternes, avec une base simple, munie de stipules à
extrémité terminée en pointe longue. Elles sont composées, formées de 3
folioles. Les folioles ont un limbe mince, avec un bord lisse et un sommet
arrondi, d'aspect légèrement veiné. Leur face supérieure est glabre, leur face
inférieure glabrescente.
Tige : la tige est dressée, ramifiée. Elle est pleine, avec une consistance
herbacée, à section ronde. Elle a une surface lisse, et elle est glabre.
Habitat : champs, prairies, bords de chemins, jardins, plages, pâturages, bois
inondés
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