Première pare
Chapitre premier
Les terreurs de la nuit s’évanouirent avec le premier chant des coqs.
L’ombre traîna encore sur les cases serrées du village. Opaque,
vivante, animée de créatures invisibles et perdes dont l’approche du
jour annonçait la retraite, elle fuyait par des vagues longues et lentes
devant le crescendo de mille bruits caractérisés.
L’Orient demeurait fermé, mais l’idée du jour qui allait naître d’un
moment à l’autre
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