Une crise financière peut conduire à une crise économique comme nous le montre la crise des subprimes de
2008 dans le monde. Celle-ci en effet, peut induire un effet récessif sur la croissance économique, qui
entraînerait une diminution du PIB comme dans le cas de cette crise de 2008. Nous montrerons dans un
premier temps comment la ruine des banques s’est répercutée sur l’ensemble des ménages et des entreprises,
puis comment cette crise financière a mené à une crise financière.
En juillet 2007, les banques ont subi beaucoup de partes car elles ont accordé des crédits à des ménages peu
solvables, qui n’ont pas pu rembourser ce qu’ils avaient emprunté. Ainsi, les banques ont développé une
méfiance qui, comme le montre le document 3, a entraîné une hausse du durcissement de l’offre de crédit car
les banques se sont retrouvées dans une crise de liquidités (elles ne trouvaient plus les liquidités dont elles
nécessitaient). Ce phénomène a ainsi réduit les capacités des banques à accorder des crédits, comme on peut
le voir en 2009 car environ 63% des banques se montraient exigeantes dans l’accord de crédits. Les ménages
ne pouvaient donc plus prendre de crédit et étaient déjà très endettés car on leur avait accordé des crédits
dont ils n’avaient pas le pouvoir de rembourser. Ils étaient ainsi incités à ralentir leur consommation afin
d’épargner : nous avons donc assisté à une baisse de la demande. De plus ls entreprises ont assisté à une
baisse de leur investissement car elles ont fait moins de profit à cause de la baisse de demande des ménages.
Parfois même, cela a conduit à une faillite dans le cas de certaines entreprises notamment à cause de cette
baisse de demande mais aussi à cause de cette exigence des banques dans l’octroi de crédit. Alors ces
résultats ont induit un effet récessif sur la croissance qui a conduit à une crise économique.
Cette baisse de demande et cette augmentation de durcissement pour l’accord de crédit a conduit à une
récession de la croissance. Ainsi on observe qu’en 2008, d’après le FMI, le PIB en volume a diminué de
0,2% et qu’en 2009 celui-ci a baissé de 2,6%. Egalement, a consommation ayant diminué car les ménages se
concentraient sur leur épargne, l’offre diminuait et le taux d’inflation était très faible, comme en 2009 où il
atteignait seulement les 0,1%. Mais cette diminution de l’offre et la faillite de nombreuses entreprises
augmentait le taux de chômagne, atteignant 9,5% de la PAO en 2009. Cette hausse du chômage causa une
augmentation de la dette publique alors de 79% du PIB car l’etat devait verser de plus en plus d’aides
sociales. Cette augmentation du chômage dûe à la faillites des banques, et cette basse du PIB ont ainsi
conduit l’économie dans une période de récession.
Ainsi, nous pouvons conclure que cette crise financière, d’abord causée par la ruine des banques, d’est
répercutée sur l’ensemble de l’économie car des ménages et des entreprises se sont retrouvés eux aussi en
faillite, ce qui a conduit à une baisse de la demande et de l’offre, qui a entraîné une hausse du chômage et
une baisse du PB. Ainsi, l’économie s’est retrouvée dans une période de repression, puisqu’elle a duré plus
de deux trimestres et est entrée dans une crise économique.
Après avoir corrigé la première copie, à quoi avez-vous été sensible ?
Pour cette même copie, les notes que vous avez attribuées vont de ……. à ……
Qu’aurait-il manqué pour que les écarts soient moins importants ?