Nicolas DIDIER & Francisco Gaio Nicolas DIDIER & Francisco Gaio Identification des espèces planctoniques dans l’échantillon d’eau de mer NoEspèce Séquences 1 gtcgcacctaccgattgaatggtccggtgaggactcgggattgtggtttggctccttcattggggcctgactgcgagaacttgtccgaa 2 gtcgcacctaccgattgagtggtccggtgaagtctcgagattgtggcaatctcctttattggagtttgactgcgagaacttgcctaaacc 3 gtcgcacctaccgattgaatggtccggtgaagcctcgggattgtggttagtttcctttattggaagttagtcgcgagaacttgtctaaac 4 gtcgcacctaccgattgaatggtccggtgaggactcgggattgtggtttagctccttcattggggcctgactgcgagaacttgtccgaa 5 gtcgcacctaccgattgaatggtccggtgaagcctcgggattgtggttggtttccttcattggaagttagtcgcgagaacttgtctgaac 6 gtcgcacctaccgattgaatggtccggtgaagcctcgggattgtggttggtttcctttattgggagtcggccgcgagaacctgtctaaa 7 gtcgcacctaccgattgaatggtccggtgaagcctcgggattgtgaccagtgcctttattggtgttggtcgcgagaacttgtctaaacc 8 gtcgcacctaccgattggatggtccggtgaagcctcgggattgtggttctgccgctttattgtggctgaccgcgagaacttgtctaaac 9 gtcgcaccgaccgattgaatgattcggtgaaaacctgggattgtggctctgtgcctttattgggacattgccgtgagaactcgtttaaa 10 gtcgcacctaccgattggatggtccggtgaagcctcgggattgtggttcttgccgctttattgtggcgtgaccgcgagaacttgtctaaa 11 gtcgcacctaccgattgaatggtccggtgaagcctcgagattgtggttagtttcctttattggatgttagccgcgagaacttgtctaaac Nicolas Didier 2e2 Expression Graphique de l’Abondance Relative planktons: apporte de l’hydrogène à l’eau et du carbone (provenant du CO2 absorbé) La Biodiversité planctonique et son environnement autour du monde Le projet TARA est un projet de recherche exploratoire, qui a comme principal objectif explorer les océans et cataloguer les différentes espèces présentes. On ira donc s'intéresser aux abondances et la diversité de ces différentes espèces. Nous sommes un groupe de deux étudiants-chercheurs, Francisco Gaio et Nicolas Didier. Pour commencer, on a parcouru les différents océans du monde, pour récolter des échantillons. Ici, on s'intéresse aux stations 20, 41, 66 et 109, qui sont situées en Méditerranée du Sud, en Mer Arabique, au Cap de Bonne Espérance et dans les côtes indiennes du Pérou respectivement. Ensuite, grâce on analysant les différents fragments d’ADN d’organismes (séquences), qui suit d’une comparaison avec ceux d’une banque de données avec des espèces déjà connues, on réussi à identifier la diversité présente dans chaque station (et donc chaque endroit). Nicolas Didier 2e2 Après, on a fait un bilan sous la forme d’un graphique de ces valeurs, en analysant quelles espèces sont présentes à chaque station. On retrouve une diversité considérable chez toutes les stations, sauf la 41, où se situe le Cap de la Bonne Espérance. À la station 20: -Ici, la profondeur est un peu plus petite que les autres stations, mais elle reste encore plus ou moins égale à 5,43 m de profondeur (avec les 3 autres stations se situant à 5,46 m de profondeur). -La température est un peu au-dessous de la moyenne des températures des stations se situant à 21,47o (avec la moyenne étant 23,340). -La salinité est un peu au-dessus de la moyenne, se situant à 38,38 (avec la salinité moyenne des stations étant à 35,75). -Le niveau de chlorophylle est 3 fois en dessous de la moyenne, mais il n’est le niveau le plus petit des 4 stations, restant à 0,05 Chl a,mg.Chl.m-3 (avec la moyenne étant à 0,15 Chl a,mg.Chl.m-3). -Le niveau d’oxygène est proche de la moyenne, restant à 197.55 Oxygen, µmol.Kg-1 (avec la moyenne étant 205.83 Oxygen, µmol.Kg-1). -La proportion de phosphate est l’un des éléments le plus intéressant de l’échantillon de la station 20. Cet échantillon a un niveau de phosphate PO4 à 0,01, le niveau de phosphate le plus petit de toutes les stations (avec la moyenne de toutes les zones étant à 0.19) -Pour finir les données sur la composition non biologique de l’eau, on retrouve une autre donnée intéressante, un niveau qui est encore le plus petit des 4 stations - le niveau de nitrites-nitrates. Ici, il est à 0,02 (avec la moyenne étant à 1.09~) -On retrouve une proportion de 70% de Pseudo-nitzshia sp. dans l’abondance relative de l’échantillon, mais encore, il y a d’autres espèces qui comportent les autres 30%. Ici est également l’endroit où il y a le moins de vie, avec seulement 185 individus présents, dont 130 Pseudo-nitzshia sp., l’espèce la plus présente. On peut suggérer que la raison qu’il ait une proportion aussi élevée de Pseudo-nitzshia sp, est que les conditions pour vivre ne sont pas aussi faciles (avec le niveau de chlorophylle étant 3 fois au dessous de la moyenne et les niveaux de phosphate et de nitrites-nitrates étant les plus petits des 4 stations). On confirme cela par le fait qu’il n’ait que 185 individus dans l’échantillon récupéré à la station 20, la valeur totale d’individus la plus petite des 4 stations (avec la moyenne étant 6468.5 individus / échantillon). Comme l’espèce Pseudonitzshia sp. est comme même très abondant (70% des individus dans l’échantillon) dans cet espace difficile de survivre, on peut assumer qu’elle est résistante, car elle est présente à 3 autres stations, mais encore, n’est pas la plus résistantes des espèces étudiés, car elle n’est pas présente à la station 41. À la station 41, on retrouve seulement l’espèce Fragilariopsis kerguelensis présente dans l’échantillon étudié. On peut penser que cela est le cas car le niveau de chlorophylle est très petit (seulement 0,01 Chl a,mg.Chl.m-3) et la température étant la plus élevée de toutes les autres stations, à 29,11o (avec la moyenne des températures chez les stations étant à 23,34o). De plus, c’est les seuls éléments qui le diffère des autres stations de manière extrême, avec la station 20, qui a aussi un niveau de chlorophylle un peu faible (0.05 Chl a,mg.Chl.m-3). Pour la température, certe il y a seulement une différence de moins de 1,5o avec la station 109 mais, c’est une différence considérable si on considère la Nicolas Didier 2e2 résistance des espèces, tenon par exemple le réchauffement climatique: “D'après une étude récente, la hausse des températures des océans provoqueront le rétrécissement de centaines d'espèces de poissons (allant des thons aux badèches gueule jaune, en passant par les saumons, les requins-renards, les aiglefins et les morues).” -National Geography. Le réchauffement climatique a fait que la température (dès 1971) a augmenté de un peu plus de 0,5o “Au niveau mondial, la surface de l'océan (jusqu'à 75m) s'est réchauffée de plus de 0,1 °C par décennie depuis 1971.” - climat.be. Cela montre qu’une différence de moins d’un degré a été trop pour que des espèces s’habituent, donc une différence de 1,5o serait difficile de résister pour beaucoup d’espèces. À la station 66, Dans la station 66 on retrouve toutes les espèces de plankton sauf Fragilariopsis kerguelensis . Les facteurs qui la diffèrent au autres stations sont premièrement sa température étant à environ 15o, ce qui est considérablement plus froid que les autres. Un niveau de chlorophylle beaucoup plus élevé (0.30 Chl a,mg.Chl.m-3). 6 fois plus que la station 41 et 30 fois plus que la station 20.Le niveau d’oxygène est élevé, étant à 239,3 Oxygen, µmol.Kg-1 (avec la moyenne étant 205.83 Oxygen, µmol.Kg-1). Sa proportion de phosphate est la plus élevée de toutes les stations avec un niveau de phosphate PO4 à 0,34 (avec la moyenne de toutes les zones étant à 0.19). Pour en finir avec les données, le niveau de nitrites-nitrates. Ici il est à environ 3,34, 10 fois plus que la moyenne des autres stations (0.3366). Alors on sait que c'est une station avec une grande variété d'espèces, mais 3 constituent la grande majorité celles ci étant: Thalassiosira nordenskioeldii (60%), Chaetoceros tenuissimus (20%) et Minidiscus sp. (10%). Par sa variété d'espèces de plankton on peut en déduire que ces conditions sont en moyenne idéales pour les plankton's étudiée et surtout pour les 3 cités précédentes. Après tout c'est un échantillon contenant 21.939 individus ce qui la fait la stations avec le plus d'individus et qui contient la majorité des individus étudiés. On peut en déduire que c'est des conditions idéales pour vivre, car la station 66 présente une majorité en 6 espèces différentes . Alors on peut en déduire que les facteurs nécessaires pour qu'il y ait vie et développement chez les planktons présents sont : une basse température, et des hautes quantités de Oxygen, µmol.Kg-1,phosphate ,Chl a,mg.Chl.m3 et de nitrites nitrates. D’une autres part, cela nous aides à constatées les espèces spécifiques qui ne pourrait pas y survivre aussi bien, des étudiées se sont Fragilariopsis kerguelensis dont on en trouves 0 ,et 4 autres dont en retrouve juste plus dans la station 109 qui sont Nitzschia dissipata, Pseudo-nitzschia, phytoplankton environmental sample et uncultured stramenopile. À la station 109 Cette station est en partie très similaire à la 66. Elle a comme la 66 une quantité de Chl a,mg.Chla.m-3 quasiment identiques (0,24) et un niveau de phosphates similaires (0,27). Parcontres ici viennent des différences importantes elle a moins de nitrites nitrates étant à 0,90 un peux moins d'un tiers de ce que comporte la station 66 .Le niveau d’oxygène est proche de la moyenne, restant à 199.27 Oxygen, µmol.Kg-1 (avec la moyenne étant 205.83 Nicolas Didier 2e2 Oxygen, µmol.Kg-1) toujours moins que le niveau de la 66. On trouve aussi le niveau de salinité le plus bas des 4 stations (33,27). Les individus de cette station (2264 individus de 8 espèces différentes) sont principalement composés de Nitzschia dissipata et de Pseudo-nitzschia, qui représentent environ 80% de l'échantillon. On peut tout de suite en déduire que les conditions de la station 109 sont idéale pour Nitzschia dissipata car c'est la seule station qui a plus de 100 individus de cette espèces (qui en 1032 ) et que les conditions de 109 sont encore plus favorable pour le Pseudonitzschia que celle de la 66 avec la station 109 ayant environ 100 individus de plus. D’une autre part on peut enfin déduire sur l'importance de la température chez certaines espèces avec la stations 109 ayant aussi une température environ moyenne comme la 20 et 41 elle ne démontre aussi pas d'individus Chaetoceros tenuissimus, Naviculales et Minutocellus poloymorphus alors que la station 66 ayant une température basse en démontre bien on pourrait aussi penser que la quantité de nitrates nitrites en est aussi un facteur avec toutes les autres stations en ayant considérablement moins que la 66. On pourrait aussi jusqu'à même dire et déduire que la salinité est un facteur décisif au milieu des espèces uncultured stramenopile et Pseudo-nitzschia sp. car après toutes les similarités cite entre la 66 et 109 ce sont ces seulement ces deux là qui en démontre de grandes quantités mais la 109 ayant plus d'individus et moins de salinité que la 66 nous indiques comment cela pourrait être facteur décisif sur la quantité retrouvée de ces espèces, On pourrait aussi parler de la grande différence nitrites nitrates entre les deux comme facteur de variation mais comme la différence est si grande, mais différence de quantité d'individus ne l'est pas, il est improbable que ce soit un facteur décisif ici.
