Telechargé par Rabbi Justice

Guide de la prise de parole en public

publicité
service
de l’Information
et de la
Communication
les outils
Guide de
se préparer
la prise de parole
capter l’attention
en public
octobre 2003
écouter
S o m m ai r e
Compr endr e la communicat ion
Pourquoi communique-t-on ?
Comment se transforme un message ?
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Pr épar er sa pr ise de par ole
Se poser les bonnes questions
Définir un objectif
Choisir et organiser ses idées
Structurer son intervention
p5
p6
p9
p 10
p 11
p 12
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Réussir sa pr ise de par ole
Argumenter solidement son discours
Choisir une expression vivante
Illustrer ses propos par des supports visuels
Adapter son comportement à l’auditoire
Savoir écouter
p 19
p 19
p 20
p 21
p 22
Annex es
Exercices de diction
Grille d’évaluation d’une prise de parole
Fiche d'évaluation du guide « La prise de parole en public »
p 25
p 26
p 28
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1
Co m p r e n d r e
l a c o m m u n i c at i o n
Po u r q u o i c o m m u n i q u e -t -o n ?
X Pour transmettre
X Pour échanger
X Pour faire faire
X Pour partager
X Pour convaincre
X Pour prouver qu'on existe
Schéma global de la communication
5
Co m m e n t s e t r an s f o r m e
u n m e s s ag e ?
Chaque élément des messages que nous communiquons à un
interlocuteur subit, entre nous et notre interlocuteur, une distorsion croissante illustrée par l'échelle de déformation suivante.
(100 %)
Ce que j'ai à dire
(90 %)
Ce que je pense à dire
(80 %)
Ce que je sais dire
(70 %)
Ce que je dis effectivement
(60 %)
Ce qu'il entend
(50 %)
Ce qu'il écoute
(40 %)
Ce qu'il comprend effectivement
(30 %)
Ce qu'il admet
(20 %)
Ce qu'il retient
(10 %)
Ce qu'il dira ou répétera
Ent r e chaque ét ape, envir on 10 % de per t e de message.
6
P r é p ar e r s a
p r i s e d e p ar o l e
Se poser les bonnes quest ions
« Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mot s
pour le dire arrivent aisément » ( Nicolas Boileau, « l'Art poét ique »)
Pour réussir sa prise de parole, la maîtrise du contenu est essentielle, mais pas suffisante.
Une communication efficace ne repose pas seulement sur une
bonne connaissance du sujet…comme le pensent beaucoup !
Qui n'a pas subi, une fois au moins, la douloureuse épreuve du
discours d'un orateur assommant, pourtant brillant spécialiste
en la matière traitée ?
Bien se préparer pour une prise de parole demande du temps et
impose d'avoir au préalable répondu à certaines questions :
X dans quel environnement j'interviens ? Connaître le contexte ;
X pourquoi ? Définir l'objectif ;
X pour dire quoi ? Dégager les idées essentielles ;
X comment le dire ? Organiser ses idées, concevoir les supports.
9
Déf inir un obj ect if
Avant toute intervention, même de courte durée, vous devez
savoir très clairement ce que vous visez.
« Pourquoi prendre la parole ? »
Pour : informer, justifier, convaincre, introduire un débat, un
questionnement, expliquer ; déclencher une action, distraire,
expliquer…
Autant d'intentions qui doivent être claires pour vous et que le
public doit pouvoir percevoir.
Définir un objectif revient à se poser une série de questions :
X qu'est-ce que j'attends de l'auditoire ?
X qu'est-ce que je veux qu'il fasse ?
X à la fin de mon exposé, quel sera le résultat ?
X si mon public ne devait retenir qu'une idée, quelle serait-elle ?
Autant de questions qui vous permettront de mieux cibler votre
intervention.
10
Ch o i s i r e t o r g an i s e r s e s i d é e s
Fondamentalement généreux, nous voulons souvent tout dire.
Pourtant, en tant qu'auditeur, il nous est difficile de tout retenir.
Le travail de préparation s'effectuera en 3 phases.
Le « déballage d'idées ». En vrac, notez ce qui vous vient à l'esprit dans le cadre de l'objectif visé.
Le choix et la hiérarchie des idées : moment difficile, ce choix
se fera par élimination en fonction du public, de l'objectif, du
temps disponible. Se limiter à deux ou trois idées-force facilite la mémorisation. La hiérarchisation de ces idées permet à l'auditoire de recevoir et de retenir plus efficacement encore le
message.
L'organisation des idées consiste à faire un plan qui sera le
point de repère tant pour vous que pour votre auditoire, auquel
vous l'aurez clairement annoncé.
11
S t r u c t u r e r s o n i n t e r ve n t i o n
Feriez-vous confiance à un guide qui hésite ou ne semble pas
savoir où il va ? Un point commun à l'organisation de tout type
de discours sera la règle de trois : introduction, développement,
conclusion.
Introduction : voilà ce que je vais vous dire
Développement : voilà ce que je vous dis
Conclusion : voilà ce que je vous ai dit
Commencer et conclure une intervention sont des phases importantes et indispensables.
L'introduction
Indispensable entrée en matière, sorte de « bonjour », l'introduction est un moment clé de l'intervention. Votre objectif est
de vous faire entendre et comprendre. La réussite de votre intervention dépend en grande partie de votre départ. Vous devez
intéresser les auditeurs en les « forçant », éventuellement, par la
vigueur mais le plus souvent par le charme, l'inattendu, la pertinence des paroles initiales…
Une introduction peut être mise au point à la fin, lorsque le sujet
est structuré, que l'on connaît les différentes parties que l'on va
traiter.
Deux objectifs
Accrocher l'auditoire : il s'agit dès les premières minutes de
retenir l'attention de votre public, de l'inviter à être à l'écoute en
utilisant une image frappante, une question, une citation, des
faits le concernant… le tout en donnant de vous une image
adaptée.
12
Informer sur ce qui va suivre, ce qui consiste à répondre aux
questions :
X quoi ? Le sujet, le thème ;
X pourquoi ? L'intérêt du sujet ;
X comment ? La gestion du temps ; l'implication du public.
Que dire dans l'introduction ? La structure
Énoncer la question que vous allez traiter. Il faut que le sujet
soit clair dès le début. Réservez cependant le suspens, en évitant de donner d'emblée la réponse à la question que vous posez.
Vous pouvez, situer le sujet une fois l’avoir énoncé par rapport
à son contexte : pourquoi ce problème ? le préciser, le limiter, le
définir…
Enfin, vous allez indiquer les points traités : c'est l'annonce
du plan, qui doit se faire adroitement.
Le destinataire a besoin d'être averti par avance des différentes
étapes de l'exposé. Il doit disposer de repères afin de ne pas s'égarer. Ainsi vous préparez vos auditeurs à cheminer avec vous et
leur donnez envie d'aller plus loin.
Le développement
Le plan est une structure organique, indispensable dans un
texte qui présente un mouvement et une unité. Il existe différents
types de plan pour agencer un discours (ou un texte écrit) :
le plan chronologique. Articulation autour du temps (hier,
aujourd'hui, demain… avant, maintenant, après…) ;
le plan dialectique et ses variantes. Thèse-antithèse-synthèse
/ pour ou contre / avantages-inconvénients.
13
Le modèle du diagnostic médical
X Qu'est-ce qui ne va pas ?
X Que pourrait-on faire pour que cela aille mieux ?
X Quelles seraient les conséquences de ces actions ?
X Quelle décision prend-on ?
Le modèle SOSRA
Situation : situer le thème (temps, lieu), préciser les aspects qui
seront envisagés, définir le contexte…
Observation : donner des informations, décrire, comparer, distinguer.
Sentiments : exprimer ce que l'on pense.
Réflexion : expliquer pourquoi on pense cela.
Action : conclure en évoquant le futur (modifications qui seront
apportées, actions décidées…).
Le modèle de Laswell
Qui ? Dit quoi ? À qui ? Pourquoi ? Où ? Quand ? Comment ?
Avec quel résultat ?
Aspects et critères
À partir d'un thème X, évoquer et analyser les différents aspects
ou critères : financier, scientifique, commercial, historique, sociologique, médical…
Cette liste n'est pas exhaustive. Il ne s'agit pas de suivre à la lettre
les modèles de plan, mais de les adapter au sujet, à l'auditoire et
à sa personnalité.
La conclusion
Rappel : le départ d'une intervention ne peut être convenablement orienté que si nous savons où nous allons. Sauf dans le
cas de l'improvisation, l'ouverture d'un discours ne peut être
composée sérieusement qu'après une mise au point de l'en14
semble. En règle générale, la conclusion et la structure de l'intervention se préparent donc avant de préparer l'introduction.
Comment conclure ?
C'est la conclusion qui va entraîner l'approbation ou la critique,
déclencher ou infléchir la décision, achever tout le travail de
démonstration ou de persuasion, en laissant à l'auditeur une vue
claire de la question et une dernière impression.
Une première nécessité est donc de marquer nettement la
conclusion.
Quelques exemples de moyens :
X marquer une pause, un silence, avant d'aborder la conclusion ;
X jeter un regard panoramique sur les auditeurs pour les
« reprendre » et les « avertir » ;
X souligner par une diction différente le passage du développement à la conclusion (ralentissement, rupture de ton…) ;
X remercier l'auditoire de son attention.
Annoncer la fin par une transition originale ou par une déclaration franche que l'oral tolère mieux que l'écrit.
Bien conclure c'est laisser
X une trace, un rappel de ce que vous avez dit, dans la mesure
où l'on retient mieux ce qui est le plus récent,
X une dernière bonne image de vous.
Une bonne conclusion doit être précise et donc préparée. Elle
doit résumer synthétiquement les idées principales développées
(deux à trois phrases). Elle peut « ouvrir » sur une interrogation,
une prise de position personnelle, une invitation au débat ou au
questionnement. Toute formule maladroite est à proscrire (« Et
bien, voilà, j'ai fini »).
15
Réussir sa
p r i s e d e p ar o l e
Préparer son argumentation, soigner son vocabulaire et
s’appuyer sur des visuels pour illustrer ses propos aident à
réussir sa prise de parole.
Ar g u m e n t e r
solidem ent son discour s
X N'affirmez rien que vous ne puissiez justifier.
X Structurez votre message pour finir sur un temps fort.
X Choisissez vos arguments en fonction du public.
X Devancez certaines oppositions ou contre-argumentations.
Ch o i s i r u n e ex p r e s s i o n vi van t e
X Un vocabulaire riche, imagé, évocateur.
X Des situations concrètes, des anecdotes, du vécu.
X L'appel à l'imaginaire, au rêve, à l'irrationnel.
X Les fausses interrogations, les vraies questions.
X L'anticipation des réactions.
X L'appel à la curiosité, à l'humour, à l'émotion.
X L'implication de l'auditoire dans la démarche :
•le prendre à témoin,
•parler en son nom.
19
I llust r er ses pr opos
p ar d e s s u p p o r t s vi s u e l s
Les supports visuels ont un intérêt pédagogique indéniable s'ils
sont bien construits et bien utilisés. Ils doivent illustrer le discours
de façon synthétique et imagée, sans redondance, afin de faciliter la mémorisation des points clés. L'orateur utilisera les moyens
techniques actuels : les diapositives en Powerpoint sont préférables aux transparents quelque peu « démodés ».
Ils doivent être peu nombreux. Cinq à douze diapos en
Powerpoint (selon la durée du discours).
Ils doivent être brefs. Pas plus de trente mots par diapositive.
Ils doivent être lisibles. Les rédiger en minuscules, dans des
lettres en corps 14 au minimum, sans abus de couleurs.
Ils doivent être clairs. Un thème par diapositive, pas plus de trois
idées, un style concis.
Ils doivent être illustrés. Par une alternance de textes avec des
graphiques, des schémas, des dessins.
Les « diaporamas Powerpoint » ne sont pas les seuls supports
visuels existants. Penser également aux vidéos (pas plus de sept
minutes), au paperboard…
Prévoir, dans la préparation, un temps d'installation et de test des
matériels nécessaires.
20
Ad ap t e r s o n c o m p o r t e m e n t
à l ’ au d i t o i r e
Préparez-vous minutieusement (plan, support, répétition). Vous
serez plus rassuré et vous rassurerez votre auditoire. Aidez votre
auditoire :
X en adaptant votre langage ;
X en illustrant vos propos ;
X en étant clair, concis et précis.
Il vous en sera reconnaissant.
Décontractez-vous et surtout respirez. Votre auditoire sera plus
décontracté et donc plus accueillant. Pensez au confort de vos
auditeurs : ouvrez la bouche, articulez, respirez. Pas de précipitation : parlez à haute et intelligible voix.
Faites des pauses et des silences : vous vous reposerez et surtout vous reposerez votre auditoire. Utilisez tout votre espace :
alliez le geste à la parole. Votre auditoire verra un orateur plutôt
que d'entendre seulement une voix.
Regardez votre public, ne le fuyez surtout pas, il pourrait vous
échapper… Soyez à son écoute, il sera à la vôtre.
Sachez contrôler le temps dont vous disposez, il vous accordera le sien.
Enfin, si vous prenez du plaisir à parler, il aura plaisir à vous
écouter.
21
S avo i r é c o u t e r
Laisser l'autre parler. On ne peut écouter l'autre, si l'on est en
train de parler.
Mettre l'interlocuteur à l'aise. Lui montrer qu'il est libre de
s'exprimer.
Montrer que l'on veut écouter. On est intéressé par ses propos,
on ne fait pas autre chose en même temps.
Éviter toute distraction. Notre regard se dirige vers notre seul
interlocuteur.
Se mettre à la place de l'autre. Il s'agit d'essayer de comprendre
son point de vue.
Être patient. C'est lui accorder le temps nécessaire, ne pas l'interrompre.
Rester calme. S'énerver ne peut qu'amener à donner de mauvaises significations aux mots.
S’abstenir de critiquer. Elles entraînent des réactions de défense.
Poser des questions. Il s'agit d'écouter vraiment et d'encourager à continuer, à développer d'autres points.
Et toujours rester attentif à l'autre.
On nous a donné deux oreilles et une bouche, cela veut
peut-être dire que nous devons écouter deux fois plus que
nous ne parlons !
22
An n e x e s
Exe r c i c e s d e d i c t i o n
Dis-moi gros gras grand grain d' orge
quand te dé-gros gras grand grain d'orgeras-tu ? Je me dé-gros gras grand grain d'orgerai quand tous les gros gras grands grains
d'orge se seront dé-gros gras grands grains
d'orgés.
Petit pot de beurre, quand te dé-petit pot de
beurre-iseras-tu ? Je me dé-petit-pot de
beurre-iserai quand tous les petits pots de
beurre se dé-petit-pot-de beurre-iseront.
Trois très gros rats dans trois très grands
trous rongèrent trois très gros grands grains
d'orge.
25
Gr i l l e d ’ é val u at i o n
d ’ u n e p r i s e d e p ar o l e *
Nom de l'orateur en situation :
Contexte et objet de l'intervention :
É motivité Tension, nervosité, trac, décontraction, aisance, calme.
Regard
Fuyant, fixe, absent, mobile, vivant, expressif, recherche l'auditoire.
attitude Gestes
Mains dans les poches, bras ballants, doigts nerveux, pieds l'un
sur l'autre.
Corps
Figé, contraction statique, inertie, fermeture, tassé, attitude
corporelle positive, ouverte, occupe l'espace, ancrage au sol.
maintien
̌ à l'aise
̌ nerveux
̌ démonté
enthousiasme
̌ débordant
̌ modéré
̌ aucun enthousiasme
attitude
̌ ouverte
̌ effrayée
̌ renfermée
présentation
̌ séduisante
̌ convenable
̌ rebutante
gestes
̌ en situation
̌ artificiels
̌ inexistants
* Merci d'utiliser une fiche par orateur
26
Articulation Parle la bouche fermée, mange ses mots, prononce bien,
intelligible.
voix
Débit
Rapide, lent, haché, varié, rythmé.
Intensité
Voix forte, faible, adaptée à l'auditoire.
Intonation Voix monotone, vivante, excessive.
« audibilité » ̌ distincte
̌ parfois indistincte
̌ fréquemment indistincte
timbre
̌ agréable
̌ rauque, métallique
̌ monotone
débit
̌ convenable ̌ un peu rapide (lent)
̌ trop rapide (lent)
diction
̌ très bonne
̌ convenable
̌ défectueuse
puissance
̌ forte
̌ moyenne
̌ faible
Vocabulaire Riche, imagé, pauvre, expressions « parasites » (heu, bon,
donc, hein, voilà…).
discours
Clarté
Phrases non finies, mal construites, passe du coq à l'âne,
bon enchaînement des idées.
plan
̌ bien préparé ̌ convenable
longueur
̌ adaptée
grammaire
̌ très correcte ̌ convenable
̌ défectueuse
exemples
̌ concrets
̌ peu convaincants
̌ incompréhensibles
̌ moyenne
̌ peu précise
information ̌ complète
̌ médiocre
̌ un peu courte (longue) ̌ trop courte (longue)
27
Fi c h e d ’ é val u at i o n d u g u i d e
« l a p r i se de p ar ol e en p ubl i c »
L'équipe de SIC/CIT vous remercie de lui retourner cette fiche
d'évaluation du guide, après avoir pris connaissance de son contenu, soit par courrier, soit par fax (01 40 81 31 10). Cela lui permettra d'améliorer ses futures productions méthodologiques.
Ce guide est destiné à vous aider dans la préparation de vos
situations de prise de parole. Vous paraît-il avoir atteint son
objectif ?
Oui ̌
Non ̌ (*)
Avez-vous déjà mis ses recommandations en pratique ?
Oui ̌
Non ̌
Si oui, en quelle occasion et que vous a-t-il apporté ?
Si non, envisagez-vous de le mettre en pratique ?
(*) Cocher la case correspondant à votre réponse.
28
Oui ̌
Non ̌
Comment jugez-vous ce guide ?
Sur le fond ?
Sur la forme ?
Si vous avez participé au séminaire des animateurs de secteur de
janvier 2003, le contenu de ce guide, par rapport à ce séminaire, vous semble-t-il ?
Fidèle
Oui ̌
Non ̌
Complémentaire
Oui ̌
Non ̌
En quoi ?
29
Re m e r c i e m e n t s
Le guide méthodologique « La prise de parole en public » a été
réalisé dans le cadre du séminaire annuel des animateurs de secteur qui s'est déroulé les 28 et 29 janvier 2003, à La Défense. Il
a été rédigé par Renaud de Manoël, formateur et comédien, et
Brigitte Pistre, du CELSA, avec le concours de l'équipe du bureau
de la Communication interne et territoriale du service de
l'Information et de la Communication. Il est accompagné d'un
memento.
Ont participé au séminaire des animateurs de secteur :
Marie-Thérèse Aroq (DDE du Puy-de-Dôme), Marie-José
Carriquiry (DDE des Pyrénées-Atlantiques), Nolvenn Daniel
(DDE de l'Ille-et-Vilaine), Bernard Guiguet-Doron (DDE de
la Savoie), Marie-Claude Jomas (DDE du Loiret), Éric Kabeya
(DDE du Pas-de-Calais), Bernard-Yves Messager (DDE du
Loir-et-Cher), Maxime Nordée (DDE de la Corse du Sud), Éric
Remont (DDE du Haut-Rhin), É lisabeth Richard (DDE de la
Moselle), Isabelle Schmitt (DDE de la Côte d'Or), Annick
Venet (DDE de la Saône-et-Loire) et Frédérique Wandrol (DDE
des Bouches-du-Rhône).
30
Réalisation :
service de l’Information et de la Communication.
Conception éditoriale et rédactionnelle :
Renaud de Manoël et Brigitte Pistre (CELSA) avec le concours
du bureau de la Communication interne et territoriale.
Conception graphique :
Christian Nivelon, bureau Identité, Édition et Audiovisuel.
Photogravure, impression :
Ingenidoc
31
service
de l’Information
et de la
Communication
bureau
de la
Communication
interne
et territoriale
Arche Sud
92055 La Défense Cedex
téléphone :
01 40 81 21 22
télécopie
01 40 81 31 18
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