Résumé de l’introduction du livre « Le travail » de Christian Rogue :
Pour les Grecques, la priorité était au travail dans la vie humaine car seul le travail qui garantit
une satisfaction des besoins vitales. Et après cette satisfaction se voit le temps « qui reste du travail »
pour réfléchir et pour penser à la philosophie. Les Grecques considéraient le travail comme l’activité
la pire qui est réservée seulement aux esclaves et aux citoyens qui eut confronté des contraintes
vitales. Le travail alors éliminait les compétences intellectuelles au moment du travail. La
philosophie, en effet, est séparée de cette activité d’esclaves qui empêche la liberté du travailleur
ainsi que son aptitude à penser ; il n’est plus approprié à la philosophie.
Socrate, Aristote et Platon critiquaient les sophistes car ils font du commerce de la
philosophie, qui est en fait une science désintéressée, et de la sagesse. Quant à eux, le sophiste est
aussi dégradé par ce travail car il fait se payer pour éduquer les gens afin de satisfaire ses propres
besoins. Enfin, bien que la philosophie semble séparée avec le travail, elle ne cesse jamais de le «
penser » puisqu’elle est illimitée par aucun domaine.