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UE1 - 29 - Bioenergetique 1

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Bioénergétique
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BIOÉNERGÉTIQUE
Partie I
A) Métabolisme et bioénergétique
Le métabolisme est l’ensemble des transformations chimiques qui ont lieu dans un système
biologique (une cellule ou un organisme) et qui assurent l’apport et l’utilisation de l’énergie
libre pour assurer ses fonctions variées.
Le métabolisme est divisé en 2 phases principales : le catabolisme et l’anabolisme.
→ Le catabolisme est la dégradation enzymatique des nutriments riches en énergie
(hydrates de carbone, gras, protéines) en une série de molécules plus simples pauvres en
énergie comme l’eau et le dioxyde de carbone. Le catabolisme s’accompagne d’une
libération de l’énergie libre qui en grande partie est conservée par la réduction des
transporteurs d’électrons (NADH, FADH, NADPH) et la production d’ATP.
→ Dans l’anabolisme ou biosynthèse, les précurseurs simples sont utilisés pour produire les
macromolécules plus complexes notamment les protéines, les polysaccharides, les lipides et
les acides nucléiques.
Les réactions anaboliques utilisent l’énergie chimique produite par le catabolisme au travers
de la dégradation de l’ATP et l’oxydation des transporteurs d’électrons. L’ATP fonctionne de
manière cyclique comme transporteur de l’énergie chimique à partir de réactions de
dégradation vers les réactions anaboliques ainsi que d’autres processus cellulaires variés qui
requièrent de l’énergie.
La bioénergétique étudie les transformations de l’énergie libre qui ont lieu dans un système
biologique, une cellule ou un organite.
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B) L’ATP
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L’ATP est un nucléotide formé d’un nucléoside et d’une unité triphosphate. Le nucléoside est
l’adénosine qui est formée d’un résidu de ribose et d’un résidu d’adénine.
→ Lorsque 3 groupements phosphate sont liés à cette adénosine, la molécule s’appelle
adénosine triphosphate ou ATP.
→ Lorsque l’on a 2 groupements phosphates on a une Adénosine diphosphate ou ADP.
→ S’il y’a qu’un seul groupement phosphate on parle d’adénosine mono phosphate ou
AMP.
Les 3 phosphates de l’ATP sont appelés ,  et  à partir de l’adénosine.
L’ATP contient :
- deux liaisons anhydrides acide phosphorique ou liaisons anhydrides phosphoriques
entre les phosphates  et  et les phosphates  et .
- Et une liaison phosphoester entre le phosphate  et le groupement ribose.
L’énergie de liaison est plus forte dans le cas des liaison anhydrides phosphoriques car il
existe des répulsions fortes entre les charges négatives des groupements phosphates
contigües. Ces répulsions n’existent pas dans le cas de liaison phosphoester.
C) Rappel : les deux principes de thermodynamique
Pour contrôler le rôle de l’ATP dans le cycle énergétique de la cellule il est nécessaire de
rappeler brièvement les lois de thermodynamique.
→ La première loi de la thermodynamique est le principe de la conservation de l’énergie :
dans un processus donné, l’énergie totale du système et du milieu extérieur demeure
constante.
Bien que l’énergie ne soit ni crée ni détruite au cours des processus chimiques, elle subit
cependant des transformations d’une forme en une autre, telles que chaleur, énergie
mécanique, énergie chimique etc…
→ La seconde loi de la thermodynamique précise que tous les processus tendent à évoluer
dans le sens où l’entropie (le grade de désordre) du système et du milieu extérieur
augmente.
Et pour prévoir la direction de l’équilibre des réactions chimiques, un critère a été établi : la
variation d’énergie libre.
La variation d’énergie libre standard d’un système en réaction et l’entropie dans des
conditions standards de température et de pression est résumée dans l’équation suivante :
G = H - TS
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La variation d’enthalpie est :
→ positive dans les
réactions endothermiques
qui absorbent de la chaleur
→ négative dans les
réactions exothermiques qui
libèrent de la chaleur.
La variation d’énergie libre standard G0’ peut être définie comme la fraction de la variation
totale d’énergie qui est disponible pour fournir un travail, lorsque le système évolue vers
l’équilibre dans des conditions standard de température et de pression, tous les réactifs et
produits étant à concentration 1M et à pH 7.0.
→ Les réactions chimiques qui s’accompagnent d’une variation d’énergie libre standard
négative sont exergoniques. Ce sont des réactions qui évoluent spontanément.
→ Les réactions chimiques qui s’accompagnent d’une variation d’énergie libre standard
positives sont endergoniques. Elles ne peuvent pas avoir lieu dans le sens de l’équation
chimique.
Dans les cellules, l’ATP est
continuellement hydrolysé en
ADP ou AMP et ces réactions
libèrent une grande quantité
d’énergie.
La variation d’énergie libre
standard de l’hydrolyse de
l’ATP est de -31 kJ/mol soit -7,3
kcal/mol.
Elle est équivalente pour l’hydrolyse de la liaison - et -.
Par contre G0 de l’hydrolyse ribose- est beaucoup plus faible : G0’ = -14kj/mol
Pourquoi la variation d’énergie libre standard de l’ATP est négative ?
→ La rupture de la liaison anhydride acide phosphorique diminue en partie les répulsions
électrostatiques dans l’ATP. Le Pi libéré HPO42- est stabilisé par formation de plusieurs
formes résonnantes dans lesquelles chaque liaison PO a le même degré de caractère de
double liaison et dans lesquelles l’ion hydrogène n’est pas en permanence associé avec un
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atome d’oxygène donné. L’ADP 2-, l’autre produit de la réaction s’ionise immédiatement en
libérant un proton dans un milieu où la concentration en H+ est très faible (10^-7 M).
En fait, dans la cellule, les conditions sont telles que les variations d’énergie libre sont
modifiées. 3 paramètres interviennent :
- Le cation métallique Magnésium Mg2+ présent dans le cytosol se lie à l’ATP et à
l’ADP. Il se complexe avec une forte affinité aux groupes chargés négativement au
niveau des liaisons - et -.
- Le pH qui modifie les interactions phosphate-phosphate
- Les concentrations relatives d’ATP, d’ADP et de Pi qui ne sont pas identiques et sont
beaucoup plus faibles que les concentrations standard (1M).
On peut estimer que dans les
conditions cellulaires, la variation
d’énergie libre de l’hydrolyse de la
liaison - est d’environ -52kj/mol
soit – 12Kcal/mol. Elle est donc plus
négative que la variation d’énergie
libre standard qui est de -31 kj/mol.
L’hydrolyse de l’ATP est donc une
réaction très exergonique c’est-àdire qu’elle libère beaucoup
d’énergie.
Cependant cette réaction ne se produira que lorsqu’elle est catalysée par des enzymes car
l’énergie d’activation de l’hydrolyse de l’ATP est assez élevée.
L’énergie libre libérée par l’hydrolyse de l’ATP est utilisable dans de nombreux processus
endergoniques comme par exemple :
- La contraction musculaire (travail mécanique)
- Le transport actif des ions minéraux ou des nutriments cellulaires à travers la
membrane contre un gradient osmotique (travail osmotique)
→ Contraction musculaire (travail mécanique)
Dans le système contractile des cellules du muscle squelettique, la myosine et l’actine
utilisent l’énergie chimique de l’ATP pour produire le mouvement.
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La myosine est liée à l’actine à l’état rigide, ensuite l’ATP se fixe de façon covalente à la
région de la tête de myosine en changeant la conformation de la protéine.
La myosine se détache de l’actine, c’est une ATPase, elle catalyse donc l’hydrolyse de l’ATP
fixé. L’ADP et le phosphate inorganique formé reste liée à la myosine qui pivote sa tête et se
lie à une nouvelle molécule d’actine.
La libération de Pi permet à la myosine de pivoter poussant avec elle le filament d’actine. À
la fin la tête de la myosine libère l’ADP et revient à l’état de départ.
Le changement de conformation de nombreuses molécules de myosine va permettre le
glissement des fibres de myosine sous les filaments d’actine ce qui se traduit par la
contraction de la fibre musculaire donc cette contraction a été rendue possible par l’énergie
produite par l’hydrolyse de l’ATP.
→ Transport actif des ions minéraux ou des nutriments cellulaires à travers la
membrane contre un gradient osmotique (travail osmotique)
Le transport de molécules chargées contre leur gradient électrochimique nécessite de
l’énergie.
Dans les tissus comme le cerveau ou le rein 2/3 de l’énergie consommée au repos sont
utilisés ou pompés le sodium Na+ et le potassium K+ à travers les membranes plasmiques.
Ceci se fait grâce à la Na+/K+ ATPase ou pompe sodium/potassium.
Chaque cycle de transport conduit à la conversion d’ATP en ADP et Pi dans les cellules
animales, l’hydrolyse d’une molécule d’ATP est accompagnée par la sortie de 3 ions Na+ et
l’entrée de 2 ions K+.
→ L’ATP a aussi un rôle comme transporteur d’énergie dans les principales voies de
biosynthèse des macromolécules cellulaires ou l’ATP peut céder son groupe phosphate
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terminal à une grande variété de molécules accepteurs dans des réactions qui sont
catalysées par des enzymes spécifiques.
En fait une réaction endergonique peut avoir lieu lorsqu’elle est couplée à une réaction
fortement exergonique par un intermédiaire.
Ainsi la synthèse de glucose triphosphate est la première étape de l’utilisation du glucose.
Voici la réaction :
Dans les conditions standard, cette réaction ne peut pas avoir lieur car la variation d’énergie
libre standard est égale à 14 kJ/mol.
Cette réaction est couplée à l’hydrolyse de l’ATP qui a en commun les intermédiaires
phosphate inorganique et H2O.
La variation d’énergie libre standard est obtenue en additionnant les G0’ des réactions
individuelles :
G0’ = 14 + (-31) = - 17 kj/mol
La réaction globale est donc exergonique. L’énergie de liaison de l’ATP est utilisée pour
permettre la synthèse de glucose-6-phosphate.
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Dans la voie utilisée pour former le glucose-6-phosphate comme dans d’autres nombreuses
voies de biosynthèse, la décomposition de l’ATP peut ne pas faire intervenir une molécule
d’eau. Il ne s’agit pas alors d’une réaction d’hydrolyse. Il y a transfert de phosphate sans
formation de Pi intermédiaire. C’est une réaction de phosphorylation. Ces réactions sont
catalysées par des enzymes appelées phospho-transférases ou kinases.
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→ Dans de nombreux cas l’ATP participe aux réactions en 2 étapes où il y a transfert de
groupement phosphate.
La réaction peut être présentée en une seule étape :
Il s’agit en fait d’une réaction en 2 étapes catalysée par la glutamine synthétase ATPdépendante.
Ces réactions en 2 étapes impliquent d’abord une partie de la molécule d’ATP en
groupement phosphate et transféré sur une molécule de substrat, (c’est le cas pour cette
réaction) ou sur un résidu acide aminé de l’enzyme et fixé par une liaison covalente.
Ceci augmente le contenu en énergie libre du substrat ou de l’enzyme.
Dans le sens 2 du schéma la partie contenant le phosphate est déplacée en générant le
phosphate inorganique. L’ATP participe à la réaction en fournissant l’énergie libre.
Dans certaines réactions consommant de l’ATP les 2 groupes phosphates terminaux sont
arrachés ensemble sous forme pyrophosphate en laissant comme produit de l’AMP.
Donc il s’agit d’une réaction différente qui correspond à l’hydrolyse de la liaison anhydride
phosphorique - de l’ATP.
La variation d’énergie libre est
équivalente à l’hydrolyse de la
liaison -. Le produit de la
réaction (pyrophosphate) est
aussi hydrolysée par une
enzyme ubiquitaire : la
pyrophosphatase.
La variation d’énergie libre de
cette réaction exergonique est
égale à -31 kj/mol aussi.
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La résultante de ces 2 dernières réactions au cours desquelles les 2 liaisons anhydrides
phosphoriques de l’ATP sont rompues correspond donc à une variation de l’énergie libre
standard de -62 kJ/mol.
L’association de ces 2 réactions renforce le caractère très exergonique de l’hydrolyse - de
l’ATP.
Cette réaction rend possible par couplage des réactions fortement endergoniques.
Il faut mentionner aussi que l’AMP formé dans la cellule peut être introduit dans le cycle de
l’ATP grâce à l’adénylate kinase qui catalyse la réaction :
ATP + AMP → ADP + ADP
L’ADP formé peut être phosphorylé pour former de l’ATP dans la phosphorylation oxydative.
→ Autres composés phosphorylés ayant des énergies libres d’hydrolyse
importantes
C’est le cas du phosphoénol pyruvate qui contient une liaison ester-phosphate et dont
l’hydrolyse conduit à la formation de pyruvate.
Ce produit de l’hydrolyse peut exister sous 2 formes tautomères ce qui le rend plus stable
que le PEP qui existe sous une seule forme (énol).
→ C’est la raison majeure pour laquelle la variation d’énergie libre standard est
exergonique.
La créatine phosphate sert de réserve énergétique en particulier dans les muscles et le
cerveau des vertébrés. La liaison phosphate azote peut être hydrolysée pour produire de la
créatine et du Pi.
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La créatine est stabilisée par résonnance ce qui induit une variation d’énergie libre standard
importante = -43 kj/mol.
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Dans cette liste on peut remarquer que les composés phosphorylés peuvent être divisés en
deux groupes en fonction de leur énergie libre standard d’hydrolyse :
-
Les composés dits riches en énergie ont un G plus négatif que -25kj/mol soit
environ 6kcal/mol
Les composés dit pauvres en énergie ont un G moins négatif.
D’après cette définition l’ATP est un composé riche en énergie tandis que le glucose-6phosphate est un composé pauvre en énergie.
⚠️ Remarquez que le terme « liaison riche en énergie » est trompeur : la liaison elle-même
ne contient pas d’énergie, c’est sa rupture qui nécessite un apport d’énergie.
L’énergie libérée par l’hydrolyse de cette liaison résulte du fait que les produits de cette
réaction ont un contenu en énergie libre plus faible que les réactifs.
On peut remarquer aussi que l’ATP n’est pas le composé avec la plus haute variation
d’énergie libre standard d’hydrolyse, l’ATP présente une variation d’énergie libre standard
d’hydrolyse moyenne.
Ceci permet d’assurer sa synthèse en l’accouplant à la dégradation d’énergie libre d’un autre
composé phosphorylé ayant une énergie de l’hydrolyse plus négative.
C’est le cas dans l’exemple de la créatine phosphate.
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La créatine phosphate sert de donneur de son groupe phosphate à l’ADP dans une réaction
catalysée par la créatine kinase pour produire l’ATP.
La variation d’énergie libre standard de cette réaction globale est obtenue en addition les
G0’ des réactions individuelles.
Le G final est de – 3 kcal/mol.
La réaction globale est donc exergonique.
→ Dans les cellules, les adénines
nucléotides ont des concentrations
globales de 10^-5 à 10^-3 mol/L.
D’un type cellulaire à l’autre les
concentrations varient.
Les différentes formes sont en
équilibre les unes avec les autres.
Lorsque le fonctionnement des voies de synthèse est plus important que le fonctionnement
des voies de dégradation dans une cellule, on observe une diminution de la concentration en
ATP et une augmentation des concentrations en ADP et AMP et inversement.
Le rapport ATP/ADP est un signal chimique qui régule l’activité de plusieurs enzymes
impliquées dans le métabolisme en fonction de l’état énergétique de la cellule.
Une diminution de la concentration en ATP induit une accélération des voies de la
respiration génératrice d’ATP qui évolue à une vitesse supérieure pour contrebalancer la
déphosphorylation de l’ATP et rétablir l’équilibre.
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Comment cette régulation est possible ?
→ L’ATP, l’ADP et l’AMP sont des effecteurs allostériques des enzymes des voies
énergétiques, stimulateurs ou inhibiteurs
Exemple :
En plus de ces sites de liaison pour ces deux substrats, le fructose-6-phosphate et l’ATP,
cette enzyme possède des sites régulateurs où des activateurs ou des inhibiteurs
allostériques peuvent se fixer.
Ainsi l’ATP est un inhibiteur allostérique qui baisse l’activité de l’enzyme pour le frucotse-6phosphate. L’ADP et aussi l’AMP a un effet inverse. On obtient donc une plus forte activité
quand l’ADP est formé et d’une plus faible quand l’ATP s’accumule.
D) La respiration cellulaire et ces 3 étapes
Les cellules contiennent leur énergie sous forme de molécules d’ATP en oxydant le glucose
en eau et en dioxyde de carbone dans des conditions aérobies c’est-à-dire en présence
d’oxygène.
Ce processus cellulaire impliqué dans la consommation d’oxygène et dans la formation de
CO2 est appelé la respiration cellulaire.
La respiration cellulaire se traduit par l’équation RedOx suivante :
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La variation d’énergie libre standard associée à l’oxydation complète d’une molécule de
glucose est de -2823 kj/mol.
La respiration cellulaire ainsi que tout le métabolisme en général est une succession de
réactions enzymatiques qui produisent des produits spécifiques.
Elle a 3 caractéristiques essentielles :
- Elle est irréversible, ce qui fait que si deux métabolites sont inters convertibles, la
voie de synthèse du premier au deuxième doit être différente de celle du deuxième
au premier
- Elle est régulée
- Chez les eucaryotes, elle est organisée en étapes qui ont lieu dans des
compartiments subcellulaires spécifiques
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La respiration cellulaire est divisée en 3 grandes étapes :
1) Le glucose et des AG sont oxydés pour former le groupement acétyl de l’acétyl coA.
Cette étape a lieu dans le cytosol.
2) Les résidus acétylés sont oxydés par voie enzymatique en CO2 dans le cycle de l’acide
citrique. L’énergie libérée par ces oxydations est conservée dans des transporteurs
d’électrons sous leur forme réduite. Cette étape a lieu dans la matrice
mitochondriale.
3) Ces transporteurs réduits sont eux-mêmes oxydés pour produire des protons et des
électrons ; Ces électrons sont transportés le long d’une chaîne de transporteurs
d’électrons appelée chaine respiratoire vers l’oxygène qui est réduit en eau.
L’énergie libérée au cours de ce transfert d’électrons est conservée sous forme d’ATP
par un mécanisme appelé phosphorylation oxydative. Cette étape a lieu sur la
membrane interne des mitochondries.
Fin du cours du 12 novembre 2018
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