UE1B - TUTORAT SANTÉ RÉUNION Biologie et homéostasie cellulaire I Dr. KREJBICH-TROTOT P. Tutorat Santé Réunion-Université de La Réunion-REPRODUCTION INTERDITE SUZANNE Flora FONTALIRANT Sara 1 2022 / 2023 Semaine n°38 2 3 + VOIR LA FICHE MÉMO SUR L’IMAGERIE DES STRUCTURES CELLULAIRES 4 1/ Concernant la microscopie optique, elle: A) B) C) D) E) Permet d’observer les ultrastructures cellulaires. A une résolution de l’ordre de la dizaine de nanomètres. Utilise un faisceau de photons. Peut fournir des images en noir et blanc. Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte. 5 1/ Concernant la microscopie optique, elle: A) Permet d’observer les ultrastructures cellullaires. J’ai compté cette réponse fausse car même si elles sont décelables, notament par l’utilisation de la microscopie à fluorescence, elle ne permet pas d’observer avec précision les éléments internes de la cellule, cela étant réservé à la microscopie électronique. B) A une résolution de l’ordre de la dizaine de nanomètre. Résolution de l’ordre de la centaine de nanomètre. C) Utilise un faisceau de photons. D) Peut fournir des images en noir et blanc. E) Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte. 6 2/ L’immunodétection: A) B) C) D) E) L’immunodétection directe permet une amplification du signal très importante. Cette technique n’est possible qu’en microscopie optique. Dans l’immunodétection indirecte il y a utilisation d’un seul anticorps. Les anticorps sont des outils de détection peu spécifiques. Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte. 7 2/ L’immunodétection: A) L’immunodétection directe permet une amplification du signal très importante. Non, c’est l’immunodétection indirecte qui permet la meilleure amplification. B) Cette technique n’est possible qu’en microscopie optique. Non, c’est également possible en microscopie électronique, c’est la technique immunogold. C) Dans l’immunodétection indirecte il y a utilisation d’un seul anticorps. Non, il y a utilisation de deux types d’anticorps, les premiers sont liés à l’antigène et les deuxièmes se lient aux premiers anticorps. D) Les anticorps sont des outils de détection peu spécifiques. Au contraire, les anticorps sont très spécifiques dans leur liaison à l’antigène. E) Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte. 8 3. Concernant la cellule présentée en figure 1: A. B. C. D. E. Il s’agit d’un champignon Son diamètre est d’environ 15 à 20μm On l’observe en MO en contraste d’interférences différentiels Elle a été incluse en paraffine Aucune des propositions ci-dessus n’est vraie. 9 3. Concernant la cellule présentée en figure 1: A. B. C. D. E. Il s’agit d’un champignon Son diamètre est d’environ 15 à 20μm On l’observe en MO en contraste d’interférences différentiels Elle a été incluse en paraffine Aucune des propositions ci-dessus n’est vraie. Cellule animale, un champignon présenterait une paroi Ici MET (contraste (+)), en MO on n’a pas ce grossissement. On y voit l’ultrastructure cellulaire. On veut des coupes ultrafines, on utilise de la résine, bcp plus solide, permet d’obtenir des coupes de 50nm. 10 4/ Le document suivant : A. B. C. D. E. Il provient de l’observation au MEB. On y voit des cellules sanguines. On y observe plusieurs noyaux. Les images proviennent des électrons transmis. Aucune des propositions ci-dessus n’est vraie. 11 4/ Le document suivant : A. B. C. D. E. Provient de l’observation au MEB. On y voit des cellules sanguines. On y observe plusieurs noyaux. Les images proviennent des électrons transmis. Aucune des propositions ci-dessus n’est vraie. Nx observables à partir de coupes ! Non, des e- diffusés. 12 5/ Concernant les organismes procaryotes : A. Ils sont aisément visibles à l'œil nu. B. Leur matériel génétique est contenu à l’intérieur de leur noyau. C. Ils sont notamment représentés par les champignons et les bactéries. D. Ils ont toujours une paroi, un flagelle et des plasmides E. Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte. 13 5/ Concernant les organismes procaryotes : A. B. C. D. E. Ils sont aisément visibles à l’oeil nu. Leur matériel génétique est contenu à l’intérieur de leur noyau. Ils sont notamment représentés par les champignons et les bactéries. Ils ont toujours une paroi, un flagelle et des plasmides Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte. Les procaryotes sont représentés par 2 familles phylogénétiques : les eubactéries et les archae. Les champignons = organismes eucaryotes. Ce sont des organismes unicellulaires, et en + de petite taille ≈ 1μm. Les cellules eucaryotes échappent donc à nos capacités d’observation directe. La distinction entre le monde eucaryote et procaryote repose sur la présence ou l’absence de noyau. Les cellules procaryote n’ont pas de Nx La paroi = élément essentiel qui donne notamment leur forme aux bactérie flagelle, plasmides, capsule = éléments facultatifs 14 6/ Concernant la Vie et son maintien: A. Est défini comme vivant, tout système capable du renouvellement, de la synthèse de tous ses constituants de manière autonome B. La survie des organismes est caractérisé par leur capacité d’adaptation malgré les différentes contraintes extérieurs, c’est ce qui caractérise l’homéostasie C. Le maintien des espèces dépend de leurs capacités de reproduction. D. Les roches et les plantes sont des organismes vivants. E. Aucune des propositions ci-dessous n’est vraie. 15 6/ Concernant la Vie et son maintien: A. Est défini comme vivant, tout système capable du renouvellement, de la synthèse de tous ses constituants de manière autonome B. La survie des organismes est caractérisé par leur capacité d’adaptation malgré les différentes contraintes extérieurs, c’est ce qui caractérise l’homéostasie C. Le maintien des espèces dépend de leurs capacités de reproduction. D. Les roches et les plantes sont des organismes vivants. E. Aucune des propositions ci-dessous n’est vraie. 16 7/ A propos de l’étude du vivant: A. On doit notamment à Claude Bernard l’approche expérimentale de la médecine. B. L’approche descriptive du XVIII siècle permet de classer les organismes vivants selon leur ressemblance au niveau génétique. C. L’expérience de Miller met fin au principe de génération spontanée. D. Robert Hooke est le scientifique qui énonça la théorie de la pathologie cellulaire. E. Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte. 17 7/ A propos de l’étude du vivant: A. On doit notamment à Claude Bernard l’approche expérimentale de la médecine. B. L’approche descriptive du XVIII siècle permet de classer les organismes vivants selon leur ressemblance au niveau génétique. C. L’expérience de Miller met fin au principe de génération spontanée. D. Robert Hooke est le scientifique qui énonça la théorie de la pathologie cellulaire. E. Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte. Approche descriptive du XVIIIe: on décrit les êtres-vivants selon des caractéristiques morphologiques/ anatomiques, pas du tout selon des caractéristiques génétiques découvertes bien plus tard. C’est l’expérience ( pasteurisation avec le ballon en col de cygne) de Pasteur qui met fin à cette théorie de génération spontanée. On doit la théorie de la pathologie cellulaire à Virchow. 18 8/ A. B. C. Concernant la théorie cellulaire: Elle énonce le phénomène d’homéostasie cellulaire. Les cellules sont les plus grandes unités fonctionnelles de la vie. Elle énonce que les cellules apparaissent spontanément de matière organique en décomposition. D. La cellule est l’unité universelle du vivant. E. Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte. 19 8/ A. B. C. Concernant la théorie cellulaire: Elle énonce le phénomène d’homéostasie cellulaire. Les cellules sont les plus grandes unités fonctionnelles de la vie. Elle énonce que les cellules apparaissent spontanément de matière organique en décomposition. D. La cellule est l’unité universelle du vivant. E. Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte. En disant que la cellule est la plus petite unité capable de se maintenir, on fait référence à la notion d’homéostasie. Attention, plus petites unités fonctionnelles de la vie. “omnis cellula e cellula” toute cellule est produite par une cellule pré-existante. 20 9/ Concernant le comportement bactérien: A. Les bactéries se comportent toujours de manières isolées, se sont des unicellulaires ! B. Elles peuvent fonctionner en symbiose avec d’autres organismes vivants tels que l’homme. C. Les bactéries sont capables de se déplacer selon les substances présentes dans leur environnement. D. Les bactéries colonisent tous les milieux. A. Aucune des propositions ci-dessus n’est exacte. 21 9/ Concernant le comportement bactérien: A. Les bactéries se comportent toujours de manières isolées, se sont des unicellulaires ! B. Elles peuvent fonctionner en symbiose avec d’autres organismes vivants tels que l’homme. C. Les bactéries sont capables de se déplacer selon les substances présentes dans leur environnement. D. Les bactéries colonisent tous les milieux. E. Aucune des propositions ci-dessus n’est exacte. !! Les bactéries peuvent fonctionner en colonies et former des biofilms notamment. B cf microbiote C cf chimiotactisme 22 10/ Concernant le microorganisme de la présente figure: A. B. C. D. E. Sa taille est de l’ordre du μm. Le cliché a nécessité un contraste négatif. Il s’agit d’un virus. Il s’agit d’une cellule procaryote. Aucune des propositions ci-dessus n’est vraie. 23 10/ Concernant le microorganisme de la présente figure: A. B. C. D. E. Sa taille est de l’ordre du μm. Le cliché a nécessité un contraste négatif. Il s’agit d’un virus. Il s’agit d’une cellule procaryote. Aucune des propositions ci-dessus n’est vraie. 24 11/ Concernant le cliché présenté en figure 2B (annales 2016) et vos connaissances sur la MET: A. Il a probablement été obtenu à partir de coupes de 10μm d’épaisseur réalisées à l’ultramicrotome. B. L’appareil contient des lentilles de verre C. Des indices nous permettent d’affirmer qu’on a eu recours à l’immunomarquage. D. Le contraste est positif. E. Aucune des propositions ci-dessus n’est vraie. 25 11/ Concernant le cliché présenté en figure 2B (annales 2016) et vos connaissances sur la MET: A. Il a probablement été obtenu à partir de coupes de 10μm d’épaisseur réalisées à l’ultramicrotome. B. L’appareil contient des lentilles de verre C. Des indices nous permettent d’affirmer qu’on a eu recours à l’immunomarquage. D. Le contraste est positif. E. Aucune des propositions ci-dessus n’est vraie. CORRECT: CD Cf point noir qui correspondent au marquage à l’or colloidal qu’on utilise justement couplé avec des Ac Contraste + oui, c’est l’objet qui est coloré En effet coupe à l’ultramicrotome en revanche l’épaisseur = 50nm soit 0,05μm faisceau d’e- => utilisation de bobine EM pour la formation de l’image 26 12/Les techniques d’hybridation in situ: A) Permettent de mettre en évidence les éléments constitutifs de l’ADN mais également des protéines. B) Reposent sur le principe d’immunodétection. C) Peuvent utiliser des fluorochromes comme marqueurs. D) L’image suivante montre du matériel génétique: E) Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte. 27 12/Les techniques d’hybridation in situ: A) Permettent de mettre en évidence les éléments constitutifs de l’ADN mais également des protéines. Ce sont deux des exemples donnés dans la fiche de cours, l’ADN est mis en évidence par FISH et les protéines grâce à la transfection de gènes, qui suite à la transcription puis la traduction donnent des protéines modifiées pour être fluorescentes et donc observables. B) Reposent sur le principe d’immunodétection. Non, l’immunodétection est une technique basée sur la complémentarité antigène/anticorps et non pas sur la manipulation du matériel génétique comme en HIS. C) Peuvent utiliser des fluorochromes comme marqueurs. C’est le cas dans la FISH. D) L’image suivante montre du matériel génétique: Plus exactement des chromosomes observés grâce à la technique FISH. E) Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte. 28 13/ La microscopie à fluorescence: A) La longueur d’onde de la lumière émise par le fluorochrome est plus petite que la longueur d’onde de la lumière excitatrice du fluorochrome. B) La microscopie confocal fait partie de la microscopie à fluorescence. C) La microscopie à épi-fluorescence utilise comme source lumineuse un laser. D) La microscopie confocal permet de conserver l’intégrité des échantillons. E) Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte. 29 13/ La microscopie à fluorescence: A) La longueur d’onde de la lumière émise par le fluorochrome est plus petite que la longueur d’onde de la lumière excitatrice du fluorochrome. Non elle est toujours plus grande, sur le schéma présentant les longueurs d’onde excitatrice et émettrice du Texas Red, un fluorochrome, on peut voir la longueur d’onde excitatrice à 595nm et l’ émettrice à 615nm. B) La microscopie confocal fait partie de la microscopie à fluorescence. C) La microscopie à épi-fluorescence utilise comme source lumineuse un laser. Non c’est la confocale. D) La microscopie confocal permet de conserver l’intégrité des échantillons. E) Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte. 30