Risques psychosociaux : outils d'évaluation
101SEPTEMBRE 2015 — RÉFÉRENCES EN SANTÉ AU TRAVAIL — N° 143
RISQUES PSYCHOSOCIAUX
Ce document appartient à une série publiée régulièrement dans la revue.
Elle analyse les questionnaires utilisés dans les démarches de diagnostic
et de prévention du stress et des risques psychosociaux au travail. L’article,
par les mêmes auteurs, « Les questionnaires dans la démarche de prévention
du stress au travail » (TC 134, Doc Méd Trav. 2011 ; 125 : 23-35), présente cette série et
propose au préventeur une aide pour choisir l’outil d’évaluation le mieux adapté.
Cette fiche annule et remplace la fiche FRPS 4 portant le même titre.
Perceived Stress Scale (PSS)
Échelle de stress perçu
RÉDACTEURS :
Langevin V., département Expertise et conseil technique, INRS
Boini S., département Épidémiologie en entreprise, INRS
François M., département Homme au travail, INRS
Riou A., département Expertise et conseil technique, INRS
Noms des auteurs
Cohen S., Kamarck T., Mermelstein R.
Objectifs
État de stress perçu (sentiment de
contrôle).
Année de première
publication
1983.
Cadre, définition,
modèle
La PSS se base sur l’approche tran-
sactionnelle du stress [Lazarus et
Folkman, 1984].
Cette approche vise à appréhen-
der les mécanismes psychocogni-
tifs du stress. Les tenants de cette
approche distinguent deux types
d’évaluation : l’évaluation primaire
désigne la façon dont un sujet
perçoit les exigences d’une situa-
tion (urgence, gravité, nature de la
menace). Lévaluation secondaire
consiste en l’estimation par le sujet
de ses ressources et capacités à
contrôler ou non la situation.
La PSS est une échelle qui peut
servir à l’évaluation secondaire
(contrôle perçu). Elle évalue la fré-
quence avec laquelle les situations
de la vie (ou du travail) sont géné-
ralement perçues comme « mena-
çantes, c’est-à-dire non prévisibles,
incontrôlables et pénibles ». Elle ne
porte donc pas sur des symptômes
de stress, ni sur des événements
précis (ce qui explique la formula-
tion très « ouverte » des items), ni
sur des facteurs de stress.
Niveau d'investigation
Diagnostic.
Langue d'origine
Anglais.
Traduction
Nombreuses traductions (une
vingtaine) dont française [Quin-
tard, 1994] pour la première publi-
cation.
Vocabulaire
Pas de problème particulier.
Versions existantes
Trois versions :
O la PSS-14 qui comprend 14 items,
O la PSS-10 : items 1 à 3, 6 à 11 et 14 de
la version 14,
O la PSS-4 : items 2, 6, 7 et 14 de la
version 14.
Afin de faire le lien entre les trois
versions de la PSS, la numérotation
des items de la version originale est
conservée, quelles que soient les
versions. L’utilisation de la version
PSS 10 est la plus recommandée car
c’est celle-ci qui présente les quali-
tés psychométriques les plus satis-
faisantes [Cohen et Williamson,
1988 ; Lee, 2012]. La PSS-4 a été déve-
loppée pour des cas où la mesure
du stress perçu doit être rapide (en-
quête par téléphone notamment).
Structuration de l'outil
La PSS a été conçue pour être une
échelle unidimensionnelle (avec
le calcul d’un seul score) [Cohen et
al., 1983, 1988]. Toutefois, cette uni-
dimensionnalité a été par la suite
largement mise en débat [Hewitt
FRPS 4
CATÉGORIE
ÉVALUATION DE STRESS PERÇU
N° 143 — RÉFÉRENCES EN SANTÉ AU TRAVAIL — SEPTEMBRE 2015102
CATÉGORIE
ÉVALUATION DE STRESS PERÇU
et al., 1992, par exemple] sur la base
d’analyses factorielles mettant sys-
tématiquement en évidence deux
facteurs pour les versions PSS-14 et
PSS-10 (voir plus bas).
Ainsi, un certain nombre d’auteurs
propose le calcul de deux sous-
scores, correspondant aux deux
sous-échelles suivantes :
O sous-échelle « perception de
débordement » ou « détresse per-
çue » perceived helplessness » en
anglais) : items 1, 2, 3, 8, 11, 14 pour
la PSS-10 ;
O sous-échelle « efficacité person-
nelle perçue » ou « capacité perçue
à faire face » (« perceived self-effi-
cacy » en anglais) : items 6, 7, 9, 10
pour la PSS-10.
Modalités de réponse
et cotation
Pour chaque item, le sujet estime
sa fréquence d’apparition sur une
période récente (le mois écoulé).
Échelle de fréquence en 5 points (de
« jamais » à « très souvent ») :
Otrès souvent : 4 points,
Oassez souvent : 3 points,
Oparfois : 2 points,
Opresque jamais : 1 point,
Ojamais : 0 point.
Les items 4, 5, 6, 7, 9, 10 et 13 sont in-
versés (très souvent : 0 point, assez
souvent : 1 point, parfois : 2 points,
presque jamais : 3 points, jamais :
4 points), ce qui, pour certains au-
teurs, expliquerait l’apparente bi-
dimensionnalité de l’échelle.
Temps de passation
Administration rapide : environ
5 minutes pour les versions à 14 et
10 items.
Disponibilités et
conditions d’utilisation
Libre accès [Quintard, 1994, Dupret
et Bocéréan, 2013].
Voir aussi le site (entrer « PSS » dans
RISQUES PSYCHOSOCIAUX
le moteur de recherche) :
www.psy.cmu.edu
Qualités
psychométriques
Globalement, la PSS présente des
qualités psychométriques tout à
fait satisfaisantes (en premier la
PSS-10, puis la PSS-14, et enfin la
PSS-4).
VALIDITÉ
OValidité critériée concomitante
[Quintard, 1994 ; Cohen et al, 1983 ;
Cohen et Williamson, 1988 ; Bel-
linghausen et al., 2009 ; Kopp et
al., 2010 ; Lee, 2012 ; Warttig et al.,
2013 ; Andreou et al., 2011 ; Dupret
et Bocéréan, 2013]
Corrélation positive avec les symp-
tômes physiques, psychologiques,
dépressifs, anxieux.
Corrélation négative avec des me-
sures de satisfaction de la vie, du
soutien social.
La PSS est corrélée significative-
ment et positivement avec divers
indicateurs de maladie, dont l’in-
dex psychosomatique de Derogatis,
Rickels et Rock [1976].
On observe des corrélations signi-
ficatives avec l’état de santé perçu
(- 0,23 ; - 0,35), le recours à des ser-
vices de soins (0,21), le nombre de
symptômes survenus le mois pré-
cédent (0,27 à 0,32) et l’utilisation
d’antidépresseurs (0,27).
OValidité critériée prédictive
Des auteurs ont mené des expéri-
mentations montrant que le stress
perçu (mesuré au temps T1) accroît
la vulnérabilité aux infections
des voies aériennes supérieures
(observée au temps T2 sur l’état
de santé des personnes) [Cohen,
Tyrell, Smith, 1991, 1993].
OValidité de structure interne
La PSS comportant des items in-
versés, les analyses factorielles
font systématiquement appa-
raître deux facteurs obliques (non
orthogonaux) [par ex. Lee, 2012 ;
Lesage et al., 2012 ; Bellinghausen
et al., 2009 ; Quintard, 1994], ceci
en raison de l’interrelation entre
eux (par ex. 0,43 et 0.50 respecti-
vement pour la PSS-14 et la PSS-10,
Lesage et al., 2012). Pour certains
auteurs [Cohen et Williamson.,
1988 ; Lesage et al., 2012], il s’agit
d’un artefact lié à la rédaction des
items soit de manière positive, soit
de manière négative. Pour d’autres,
la mise en évidence récurrente de
ces deux facteurs reflète la mesure
de deux réalités subjectives dif-
férentes : d’un côté la perception
d’un vécu difficile, un sentiment
de détresse générale, de l’autre
côté, la perception d’une capacité
à faire face à son environnement
[Dupret et Bocéréan, 2013 ; Taylor,
2015].
Les analyses factorielles effectuées
sur la PSS-4 ne mettent en évi-
dence qu’un seul facteur [Cohen
et Williamson, 1988 ; Lesage et al.,
2012 ; Andreou et al., 2011 ; Dupret
et Bocéréan, 2013] et parfois ne par-
viennent pas à valider sa structure
interne [Lee, 2012 ; Ingram et al.,
2014].
OValidité de structure externe
(validité convergente)
Corrélation positive avec des
marqueurs biologiques du stress,
comme le cortisol [Andreou et al.,
2011].
OValiditéconcourante
Quelques études montrent des
corrélations positives avec d’autres
mesures de stress objectif ou perçu
[Quintard, 1994 ; Lee, 2012].
OValiditédiscriminante
La PSS présente une bonne validité
discriminante [Cohen et William-
son, 1988 ; Quintard, 1994 ; Warttig
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et al., 2013 ; Lesage et al., 2012 ; Lee,
2012 ; Andreou et al., 2011 ; Dupret
et Bocéréan, 2013].
Le score de stress perçu diminue
lorsque l’âge augmente, lorsque le
revenu augmente, quand le niveau
d’éducation s’élève et lorsque la si-
tuation professionnelle et familiale
est stable.
Le nombre d’enfants [Lee, 2012] ou
le fait d’en avoir ou pas [Lesage et
al., 2012] a un lien avec les scores
moyens à la PSS (pas d’enfant ou un
faible nombre d’enfants est associé
à un état de stress perçu moindre).
Les scores obtenus avec la PSS per-
mettent de discriminer les per-
sonnes en bonne santé de celles
qui ont des soucis de santé [Kopp et
al., 2010].
Concernant le genre, les résul-
tats montrent assez souvent des
scores moyens plus élevées pour
les femmes [Cohen et Williamson,
1988 ; Dupret et Bocéréan, 2013 ;
Lee, 2012 ; Taylor, 2015 ; Warttig et
al., 2013 ; Andreou et al., 2011 ; Bel-
linghausen et al., 2009 ; Lesage et
al., 2012]. L’interprétation de cette
différence entre les genres fait dé-
bat (biais méthodologique ou vraie
différence entre les femmes et les
hommes ?) [Lee, 2012 ; Taylor, 2015].
FIDÉLITÉ
OFidélité test-retest
La fidéli test-retest de la PSS-14 et de
la PSS-10 est tout à fait satisfaisante
entre un délai de 2 jours à 4 semaines
(coefficient > 0.70). Après 6 semaines
entre les deux passations, le coeffi-
cient tombe à 0,55 [Lee, 2012].
OConsistance interne
Quelles que soient les publications,
les coefficients alpha de Cronbach
sont toujours supérieurs à 0,70 pour
la PSS-14 et la PSS-10, ce qui n’est pas
toujours le cas pour la PSS-4 [Andreou
et al., 2011 ; Lee, 2012 ; Cohen et Wil-
liamson, 1988] bien que la moindre
consistance interne de cette version
puisse être aussi un effet de la lon-
gueur de léchelle.
SENSIBILITÉ
Une seule étude portant sur la PSS-
4 signale une distribution normale
des scores [Warttig et al., 2013].
Pour toutes les autres publications,
notamment celles portant sur des
échantillons d’envergure, cette ca-
ractéristique n’est étonnamment
pas précisée.
Étalonnage
La PSS a été validée à partir
d’un échantillon de 2 387 sujets
américains (960 hommes et 1 427
femmes) représentatifs de cette
population au niveau du sexe,
de lâge, des revenus, de lorigine
ethnique et du statut professionnel
[Cohen et Williamson, 1988]. Par
la suite, la PSS a fait lobjet de
nombreuses études et adaptations
dans d’autres langues et d’autres
cultures.
En ce qui concerne son adaptation
fraaise, plusieurs publications
font état de recueil de données sur
des échantillons de taille assez
conséquente mais avec des biais de
sélection plus ou moins marqués :
OBellinghausen et al. [2009] : 10 222
salariés de 6 grandes entreprises
françaises. Données recueillies lors
des visites au service de santé au
travail, dans le cadre de la mise en
place dun observatoire (OMSAD,
Observatoire médical du stress, de
l’anxiété et de la dépression) par
l’Institut français de l’action sur le
stress (IFAS) ;
OCollange et al. [2013] : échantillon
de 79 945 salariés de 28 grandes
entreprises françaises. Données
recueillies entre 2008 et 2011 lors
des visites au service de santé au
travail dans le cadre du même
dispositif que pour la référence
précédente ;
OLesage et al. [2012] : échantillon de
501 salariés choisis de façon aléatoire
par les services interentreprises
de santé au travail de 3 régions
(Champagne-Ardenne, Haute-
Normandie, Ile de France) en 2010 ;
O Dupret et Bocéréan [2013] :
échantillon de 16 853 salariés de 17
grandes entreprises françaises (de
plus de 1 000 salariés) réparties sur
39 sites (en région parisienne et en
province). Données recueillies lors
des visites au service de santé au
travail.
Biais, critiques, limites
Malgré les qualités psychomé-
triques de la PSS, certains auteurs
avancent qu’il est difficile de distin-
guer le stress perçu de la détresse
psychologique, qui peuvent empi-
riquement être liés. L’hypothèse a
été émise que le stress perçu pou-
vait constituer une facette d’un
facteur plus général d’ajustement/
non-ajustement émotionnel. Par
exemple avoir des soucis, se sentir
débordé… seraient aussi des com-
posantes de la détresse.
En fait, il y a bien une distinction
conceptuelle entre stress perçu et
détresse psychologique : la PSS ne
décrit pas la détresse psycholo-
gique mais plutôt le contrôle perçu
sur les événements extérieurs. Ain-
si, on peut très bien percevoir des
événements comme pénibles et
stressants sans pour autant mani-
fester les différents symptômes de
la détresse psychologique (anxiété,
affects dépressifs, plaintes soma-
tiques) [Cohen et al., 1983, 1988].
Observations particulières
La PSS est un outil de mesure du
stress perçu, non scifique du
stress au travail, largement répandu
dans la communauté scientifique et
pour des applications très variées,
auprès de diverses populations (par
exemple, des patients en situation
N° 143 — RÉFÉRENCES EN SANTÉ AU TRAVAIL — SEPTEMBRE 2015104
CATÉGORIE
ÉVALUATION DE STRESS PERÇU
dhospitalisation, des étudiants, des
salariés).
Étant donné que léchelle est courte
et facile à renseigner, elle présente
lintérêt de pouvoir être facilement
associée à dautres questionnaires
portant sur les facteurs de stress et
ses conséquences, par exemple, sans
trop alourdir le protocole de recueil
de données.
La version à 4 items fournit un outil
utile pour recueillir des données par
téléphone. Toutefois cette version
abrégée présente une consistance
interne plus faible et donc une
moins bonne estimation du stress
perçu.
Lattention de lutilisateur est atti-
rée sur le fait que certaines versions
françaises de la PSS utilisent une
cotation de 1 à 5 (au lieu de 0 à 4).
RISQUES PSYCHOSOCIAUX
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