L’apport de l’informatique à la médecine peut être situé à deux niveaux :
Sur le plan de la pratique médicale qu’elle soit le fait d’un médecin exerçant dans un cabinet individuel
(Cabinet médical) ou collectif (Clinique ou centre hospitalier)
Sur le plan de la recherche en sciences médicales (Laboratoires pharmaceutiques, Centres de recherche
en sciences médicales)
Apport de l’informatique à la pratique médicale
L’introduction de l’outil informatique dans les établissements de santé s’est effectuée graduellement et
tend à se généraliser de manière accélérée ces dernières décennies.
Parmi les cas d’utilisation les plus perceptibles nous pouvons citer :
1. L’aide au diagnostic.
L’outil informatique peut aider le médecin à confirmer un diagnostic difficile, lui servir de guide dans sa
démarche d’utilisation des examens complémentaires pour une meilleure stratégie de diagnostic.
Nous pouvons citer principalement les prodigieux progrès réalisés dans le domaine de l’imagerie
médicale (Scanners, Echographie, IRM qui contiennent une multitude de systèmes informatiques
embarqués)
Assister le médecin dans la prescription des médicaments en fonction des nomenclatures de produits
pharmaceutiques édictées par les organismes centraux. (Le praticien ne prescrit plus des médicaments
qui n’existent pas sur le marché)
2. L’optimisation économique et médicale des actes et des prescriptions
Proposition de génériques ou d’équivalents thérapeutiques ;
Optimisation de la prescription en fonction du nombre d’unités par conditionnement ;
Calcul du coût de l’ordonnance.