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Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
Université de Kairouan
Institut supérieur des sciences appliquées et de technologie de Kairouan
Département Electronique électrotechnique et automatisme
Rapport de stage d’initiation
Effectué à : Les Ciments de Bizerte
Elaboré par : Chaima SAIDANI
Encadré par : Mr Mohamed MAALAOUI
Année universitaire : 2019-2020
1
Sommaire
Remerciements ........................................................................................................................... 3
Liste des figures ......................................................................................................................... 4
Introduction générale .................................................................................................................. 5
Présentation de l’entreprise ........................................................................................................ 6
Introduction ................................................................................................................................ 8
1.
2.
Généralités sur les ciments ................................................................................................. 8
1.1.
Définition ..................................................................................................................... 8
1.2.
Composition des ciments ............................................................................................. 8
Processus de fabrication des ciments ................................................................................. 9
2.1.
Extraction des matières premières ............................................................................. 10
2.2.
Concassage ................................................................................................................ 10
2.3.
Pré-homogénéisation ................................................................................................. 10
2.4.
Broyage de matière première ..................................................................................... 12
2.5.
Homogénéisation de la poudre crue .......................................................................... 13
2.6.
Cuisson et clinkérisation ............................................................................................ 13
2.7.
Refroidissement ......................................................................................................... 15
2.8.
Broyage du clinker ..................................................................................................... 15
2.9.
Stockage, Ensachage et Expédition ........................................................................... 15
Conclusion ................................................................................................................................ 16
Chapitre 2 : Les capteurs .......................................................................................................... 17
Introduction .............................................................................................................................. 17
1.
2.
Généralités sur les capteurs .............................................................................................. 17
1.1.
Définition ................................................................................................................... 17
1.2.
Les types des capteurs ............................................................................................... 17
Le choix des capteurs PT100 ........................................................................................... 18
Conclusion ................................................................................................................................ 20
Conclusion générale ................................................................................................................. 21
Références bibliographiques .................................................................................................... 22
2
Remerciements
J’ai l’honneur à exprimer ma grande gratitude à toutes les personnes
qui ont contribué au succès de mon stage.
Tout d’abord, j’adresse mes remerciements à Mr Mohamed
MAALAOUI pour ses orientations judicieuses qui m’ont été
infiniment utiles et à tous les employés de la société pour leur accueil
et serviabilité.
Je remercie de même, mon maitre de stage : Mr Mohamed Monaem
OTHMANI qui m’a formé et accompagné tout au long de ce stage.
3
Liste des figures
Figure 1 : Organigramme de l’entreprise
Figure 2 : composition des ciments
Figure 3 : les étapes de fonctionnement d’une cimenterie
Figure 4 : Carrière d’extraction
Figure 5 : Concasseur à marteaux
Figure 6 : Vue en photo de stock en matière première
Figure 7 : Pré homogénéisation de la matière première
Figure 8 : Vue extérieur du broyeur à crue
Figure 9 : Vue intérieur du broyeur à crue
Figure 10 : Vue en photo du four rotatif
Figure 11 : Schéma du four rotatif
Figure 12 : Broyeur à boulets
Figure 13 : Le XS4P18MA230
Figure 14 : Soliphant T
Figure 15 : Schéma de PT100
Figure 16 : PT100
4
Introduction générale
La production de ciment dans le secteur a été particulièrement robuste au cours de la dernière
décennie (1998-2008), enregistrant une croissance annuelle de près de 6% (supérieure à la
croissance économique du pays). Cette évolution découle des différents programmes
d’investissement engagés au niveau national (infrastructures, aménagements touristiques,
projets immobiliers…) ainsi qu’à la forte demande étrangère (Europe, Algérie, Libye...).La
capacité de production installée dans le secteur est de 7.3 Millions de tonnes dont plus de 80%
est consommé sur le marché local.
En effet, le secteur tunisien comprend au total 7 cimenteries dont 5 privatisées durant les années
1990 – 2000 et cédées à des groupes internationaux. Seules deux cimenteries sont encore, à
cette date, restées dans le giron de l’Etat, à savoir les « Ciments d’OUM ELKELIL » et les «
Ciments de Bizerte ».
La transformation des roches en liants hydrauliques nécessite la mise en œuvre de multiples
procédés en vue d’obtenir un produit fini de bonne qualité. Société les Ciments de Bizerte assure
alors la fabrication, le contrôle et la commercialisation des liants hydrauliques. En fait cette
cimenterie est entièrement automatisée.
Leurs produits actuels sont : les ciments «PORTLAND CEM I AL 32-5» et les ciments
«PORTLAND CEM II Al 42-5».
Ce rapport est divisé en deux parties : la première partie comporte une étude bibliographique,
où ils sont décrites les critères généraux et les diagrammes de fabrication des ciments et la
deuxième partie est réservée pour étudier les capteurs utilisés au sein de la société les ciments
de Bizerte.
5
Présentation de l’entreprise
Société Les Ciments de Bizerte (SCB) est un établissement à caractère industriel et
commercial, elle est l’une des plus importantes sociétés Tunisiennes vu la vitalité de son
domaine d’activités et son rôle déterminant dans l’économie national.
Création et situation géographique
Société les Ciments de Bizerte fut créée en 1952 sur la baie de Sebra et son usine installée à
Bizerte Sud à 65 Km au Nord de la Capitale Tunis.
Organigramme
L’organisation de la société est basée sur 11 directions comme indiquée dans la figure cidessous :
Figure 1 : Organigramme de l’entreprise
La direction à laquelle mon travail a été lié est la direction de production et de qualité.
Activités de la société
Fabrication et commercialisation des liants hydrauliques.
Capacité de production
Depuis son extension en 1978 l'usine fonctionne en voie sèche intégrale. Sa production
actuelle est d'environ 900 000 tonnes de clinker.
6
Les matières premières
Les gisements des matières premières de la Société des Ciments de Bizerte sont
essentiellement composés de :

calcaires, nécessitant le tir à l’explosif pour leur abattage. Ils sont relativement faciles à
broyer.

marnes grises riches en alumine.

marnes noires.
Les matières premières comportent, par endroits, des composants organiques permettant
d'améliorer la consommation calorifique spécifique.
Produits de la SCB
L’usine de la Société les ciments de Bizerte produit actuellement les liants hydrauliques
suivants :
- Les ciments Portland (type CEM I AL 32-5) ;
- Les ciments Portland au calcaire (type CEM II AL 42-5) ;
- La chaux hydraulique artificielle : CHA 10. [1]
7
Chapitre 1 : Etude Bibliographique
Introduction
L'exploitation des roches afin de produire les ciments est considérée comme un des piliers de
l’économie industrielle contemporaine.
Ce chapitre est divisé en deux parties : la première est consacrée à la présentation des critères
généraux des ciments et la deuxième décrit le processus de fabrication des ciments.
1. Généralités sur les ciments
1.1.Définition
La norme tunisienne NT47–01 équivalente à la norme européenne EN197–1 définit le ciment
comme un liant hydraulique. C’est à dire une matière pulvérulente, d’origine minérale, non
métallique, formant lors du gâchage avec l’eau, une pâte plastique liante, ouvrable pendant un
temps suffisamment long, capable d’agglomérer des substances variées en durcissant. En
effet, de nombreux réactions et processus d’hydratations transforment cette pâte liante, ayant
une consistance de départ plus au moins fluide, en un solide pratiquement insoluble dans
l’eau, atteignant des niveaux de résistance prescrits et aussi présentant une stabilité de volume
à long terme.
1.2. Composition des ciments
Le ciment produit est composé d’un fort pourcentage de Clinker, avec des pourcentages
pondérés d’ajout et de gypse :
- Le clinker : Les matières premières (Calcaire Haute Titre + Calcaires Base Titre +Mine de
fer) utilisées dans la fabrication du ciment sont mélangées, broyées puis cuites. Le mélange
entre alors en fusion et forme après refroidissement un granulé appelé Clinker, qui est la base
constitutive du ciment. Le Clinker ; terme anglais signifiant « scorie », se forme à la désagrège
sous l’effet de la chaleur et s’associe avec la chaux contenue dans le calcaire pour former des
silicates et des aluminates de chaux, qui constituent le Clinker.
- Le gypse et les ajouts : Afin de régulariser la prise du ciment, on ajoute du gypse au Clinker
an pourcentage ne dépasse pas 5% de l’alimentation totale. Comme nous pouvons le voir au
8
figure 2 d’autre matières sont ajoutées pour des raisons économiques vivant la diminution des
coûts de production du ciment sans aucune influence sur la qualité.
Figure 2 : composition des ciments
2. Processus de fabrication des ciments
La fabrication du ciment est un procédé complexe qui exige un savoir-faire, une maitrise des
outils et des techniques de production. Elle suit plusieurs phases comme les montre la figure
suivante :
Figure 3 : les étapes de fonctionnement d’une cimenterie
9
2.1.Extraction des matières premières
Elle s’effectue à l’aide d’explosif dans des carrières à ciel ouvert qui se trouvent à
proximité de l’usine. La matière battue sera transportée à l’usine à l’aide d’une
transporteuse à bande.
Figure 4 : Carrière d’extraction
2.2. Concassage
Dans la station de concassage, la matière est réduite à une diminution de l’ordre de un à
quelques centimètres.
L’usine de Bizerte possède un concasseur à marteaux type EV 200 x 200 FLS .Sa capacité
nominale est de 650 Tonnes par heure concassant des blocs de diamètre pouvant atteindre 1500
mm jusqu’à une granulométrie de 0 à 80 mm.
Figure 5 : Concasseur à marteaux
2.3.Pré-homogénéisation
Apres avoir réduit les blocs de matières extraites en grains, ces derniers seront ramenés du
concasseur, sur des transporteurs à bande de caoutchouc vers le hall de pré homogénéisation.
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La matière acheminée est disposée par le chariot verseur en couches horizontales superposées
sous forme de tas représenté par la figure suivante.
Figure 6 : Vue en photo de stock en matière première
Deux tas sont placés entre deux murs en béton :

Tas haut titre(HT) : constitué de calcaire,

Tas bas titre(BT) : constitué d’un mélange de calcaire et de marne.
Ces tas de matières vont subir le phénomène de pré-homogénéisation, afin d’avoir des matières
homogènes. Cette opération est réalisée à l’aide du gratteur par deux moteurs à courant
continue(MCC) (380V) qui opère perpendiculairement au tas ; de telle façon, il reprend toutes
les couches, simultanément dans les deux parties du stock.
11
Figure 7 : Pré homogénéisation de la matière première
2.4. Broyage de matière première
Pour produire des ciments de qualité constante, les matières premières doivent être
soigneusement dosées et mélangées de façon à obtenir une composition régulière. De plus en
plus pour avoir la composition chimique voulue, il est généralement nécessaire d’affiner cette
composition par des ajouts correctifs (minerai de fer dans le cas de notre société).
L’alimentation en matière premières est assistée par un système informatique qui détermine
le taux d’intégration de chaque composant « Haut Titre, Bas Titre et Minerai de fer », selon la
composition désirée. Ce mélange est broyé dans un broyeur vertical.
Figure 8 : Vue extérieur du broyeur à crue
12
Figure 9 : Vue intérieur du broyeur à crue
2.5. Homogénéisation de la poudre crue
Sortant du broyeur la poudre est stockée dans des silos (pour la SCB, les silos H01 et H02,
ayant une capacité nominale de 10000 tonnes chacun).L’homogénéisation de la poudre crue
dans chaque silo se fait par un circuit d’air comprimé à contre-courant, celle celle-ci peut être
introduit directement dans le four sous forme pulvérulente (dans le cas de procédure de
procédure de fabrication par voie sèche, cas de SCB).
2.6. Cuisson et clinkérisation
La transformation de la poudre crue se fait par un transfert de chaleur à contre-courant dans
un four rotatif, essentiellement constitué par un tube cylindrique tournant de 1,5 à 3 tours par
minute et incliné vers l’aval de 3 à 4 %, de tels fours ont une longueur de 30 à 200 mètres et un
diamètre de 2 à 6 mètres. « Par exemple le four N° 2 des Ciments de Bizerte a 178 m de long
et 5.5 m de diamètre ».
Le cru, introduit en amont du four rotatif, progresse lentement dans le four par gravité.
Au fur et à mesure de sa progression, la température s’élève jusqu’à atteindre la température
maximale de 1450 °C.
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Figure 10 : Vue en photo du four rotatif
Le processus de cuisson du cru se subdivise en différents zones qui correspondent à peu près
aux différents traitements thermiques qu’il subit :

Zone de déshydratation (700-800) °C : Au cours de laquelle le mélange libère
tous les modules d’eau.

Zone de décarbonations (800°C) : Au cours de laquelle il y a libération du
carbone sous forme de CO2

Zone de calcination (>1000°C) : Zone de décomposition de toutes les
molécules restantes.

Zone de cuisson (environs 1450°C) : Zone la plus chaude du four, dans
laquelle le mélange est partiellement fondu à cause de la fusion des métaux.
Ce schéma indique les diverses zones de réactions de la matière :
Figure 11 : Schéma du four rotatif
14
2.7.Refroidissement
Un refroidissement brutal (de 1450 à 80°C) permet de figer le clinker dans l’état où il se trouve
à hautes températures, la forme minéralogique acquise lors de la clinkérisation est alors
conservée à températures ambiantes.
Aux ciments de BIZERTE il y a deux types de refroidissement employés :

Refroidissement à ballonnet au four 2.

Refroidissement à grille au four 1.
Le refroidissement se fait en utilisant de l’air ambiant permettant de porter la température de
1450°C à environs 80°C en un temps le plus bref « 20mn pour le four W2 et 12mn pour le four
W1 »
Le clinker est stocké dans de grands silos. Il est repris au fur et à mesure des besoins.
2.8.Broyage du clinker
C’est le fait de réduire les grains de clinker en grains plus fins de ciment, selon une
granulométrie bien déterminée, pour faciliter l’hydratation des composants et cela en présence
de gypse et quelques ajouts (calcaire).
Cette fonction est réalisée par le broyeur à boulets illustré par la figure 12.
2.9. Stockage, Ensachage et Expédition
Figure 12 : Broyeur à boulets
Après broyage le ciment est stocké dans silos par type. L’ensachage est assuré par 4 ensacheuses
de capacité totale de 4500 sacs par heure.
15
Après les diverses étapes de la qualité du ciment, ce dernier est expédié vers les lieux
d’utilisation, soit après ensachage en sacs de 50Kg, soit en conteneurs, ou bien en vrac par
camions. [2]
Conclusion
On peut conclure qu’il y’a des nombreux procédés faites afin d’obtenir une bonne qualité des
ciments et dans des raisons de fiabilité et de continuité de production, la société les Ciments de
Bizerte s’est lancée dans une démarche d’automatisation de plusieurs chaines de production.
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Chapitre 2 : Les capteurs
Introduction
Dans le domaine de ciments, l’automatisation tient une place très importante. Il serait difficile
de concevoir un système de production sans avoir aux différentes technologies et composants
qui forment les systèmes automatisés de production.
Ce chapitre est consacré à une étude de plus importants capteurs qui assurent le bon déroulement
de chaine de production.
1. Généralités sur les capteurs
1.1. Définition
Un capteur est un dispositif transformant l'état d'une grandeur physique observée en une
grandeur utilisable, telle qu'une tension électrique, une hauteur de mercure, une intensité ou la
déviation d'une aiguille.
1.2. Les types des capteurs
- Le XS4P18MA230 :
Figure 13 : Le XS4P18MA230
Le XS4P18MA230 est un 2 fils de proximité inductifs Capteur avec NO sortie discrète. Capteur
M18 cylindrique. Pour les non détection de métal de contact des objets jusqu'à 60mm. Boîtier
PPS. IP68 à double isolation conforme à la norme IEC 60529.
Il possède les propriétés suivantes :
 8mm Distance de détection ;
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 Non-encastré ;
 -25 À 70°C Température de fonctionnement.
- Soliphant T :
Soliphant T est un solide fin de course de niveau pour silos avec à grains fins ou à gros grains,
solides en vrac non fluidisés.
Les différents modèles : le dispositif a une large gamme d’applications.
Figure 14 : Soliphant T
- PT100 :
La sonde PT100 est un capteur de température qui est utilisé dans le domaine industriel. Ce
capteur est constitué d’une résistance en Platine. La valeur initiale du PT100 est 100 ohms
correspondants à une température de 0°C. Thermomètres à résistance de platine (PRT) offrent
une excellente précision sur une large plage de température (-200 à 850°C).
Les capteurs standards sont disponibles auprès de nombreux fabricants avec diverses
spécifications de précision et de nombreuses options d'emballage pour répondre à la plupart des
applications.
Contrairement à thermocouples, il est nécessaire d'utiliser des câbles spéciaux pour se connecter
au capteur.
2. Le choix des capteurs PT100
Le type de sonde et le câble doit être choisi avec soin en fonction de l'application. Les
principaux problèmes sont la plage de température et de l'exposition à des fluides (corrosifs ou
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conducteurs) ou des métaux. De toute évidence, les jonctions de soudure normales sur les câbles
ne doivent pas être utilisées à des températures supérieures à 170 ° C.
Les fabricants de capteurs offrent une large gamme de capteurs qui sont conformes à la classe
de BS1904 B (DIN 43760): ces capteurs offrent une précision de ± 0,3 ° C à 0 ° C. Pour une
précision accrue, BS1904 classe A (± 0,15 ° C) ou dixième-DIN capteurs (± 0,03 ° C). Des
entreprises comme Isotech peuvent fournir des normes avec 0,001 ° C précision. S'il vous plaît
noter que ces spécifications de précision se rapportent à la SENSOR SEULEMENT : il est
nécessaire d'ajouter en cas d'erreur dans le système de mesure aussi bien.
normes connexes sont IEC751 et JISC1604-1989. IEC751 définit aussi le codage couleur pour
les câbles de capteur EPR: un ou deux fils attachés à une extrémité du capteur sont le rouge, et
un ou deux fils à l'autre extrémité sont blancs.
Figure 15 : Schéma de PT100
Figure 16 : PT100
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Conclusion
On peut conclure que les capteurs sont très importants dans une cimenterie. En fait, ils
facilitent les taches dans l’unité de production, assurent un bon rendement des ciments et
visent à garantir une bonne qualité de produit finis.
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Conclusion générale
La transformation des roches en liants hydrauliques fait intervenir des nombreux procédés,
l’objectif principal de mon étude était donc de suivre la chaine de production des ciments et
de connaitre la notion et le rôle des capteurs.
Ce stage était pour moi une expérience valorisante au niveau personnel et professionnel, au
bout de lequel j’ai acquis des informations et j’ai eu la chance de suivre la chaine de production
de ciments.
Le problème essentiel que j’ai rencontré dans l’industrie est le risque des produits chimiques et
des machines qui peuvent être parfois dangereux.
Concernant ce point, je suggère à sensibiliser les agents du degré des risques des produits
utilisés et les précautions nécessaires à prendre pour éviter les dangers qui peuvent les menacer.
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Références bibliographiques
[1]
www.lescimentsdebizerte.ind.tn
[2]
F.L.SMIDTH, instructions, Broyage à cru
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