Du « sport » sous l’antiquité à l’Esport du XXIe siècle : raisons et enjeux des définitions plurielles du
« sport »
Le sport est un mot valise qui regroupe des pratiques multiples
Jean-Marie Brohm :
« La première difficulté qui se présente à l’étude du phénomène sportif concerne la délimitation de
l’objet à étudier. Qu’est ce à vrai dire que le sport ?
Michel Bernard :
« Le sport a l’apparence d’un paradoxe : c’est un mot et un phénomène compris par tous mais que
personne même les plus savant spécialistes ne peuvent le définir c’est un concept surdéterminé. »
Des traces d’activité qui ressemble au sport
Des gestes techniques et organisation qui ressemblent au sport
Selon la théorie de la continuité
Bernard jeu « une généalogie du sport moderne nous conduirait des compétitions rituelles aux
compétitions sportives à travers des jeux populaires »
Dans les tournois du moyen-âge des similitudes dans l’organisation avec le sport moderne
Un calendrier mais lié aux fêtes religieuse
compétition lié a des gains symboliques (les vainqueurs reçoivent leur récompenses) mais les prix
sont différents
Les Chevalier s’organisent en « équipes »
N.Elias « considérer le mouvement sportif moderne comme l’héritier de l’antiquité est une des
légendes idéologiques qui servent à renforcer l’unité d’un mouvement plein de tensions et de
tendances conflictuelles ainsi qu’à rehausser son attrait et son prestige »
Des gestes techniques et organisations qui ressemblent au « sport » mais des fonctions sociales
différentes, ce qui rend difficile l’assimilation de ces pratiques du « sport ».
Comme le souligne et le critique F. Baillette
Le sport est très souvent présenté comme un fait universel, un invariant culturel. Sous des formes
certes changeantes, il aurait été pratiqué à toutes les époques et sous toutes les latitudes.
Thèse de la rupture
Le therme « sport » renvoie à des formes de pratiques semblables mais qui pourtant relèvent de
finalité très différentes.