rapport  indique  le  numéro  de  certicat  de  qualication  et
comprend  une  copie  du  certicat  (article  3,  alinéa  1  de
l’arrêté). 
Lorsque l’audit est réalisé en interne
, le rapport d’audit doit
justier  des  moyens  techniques  mis  en  oeuvre  pour
l’application  des  exigences  méthodologiques  et  la
conformité du personnel aux conditions de  compétence et
d’indépendance.  Il  faut  annexer  au  rapport  un
organigramme  de  l’entreprise  ou  du  groupe  identiant  le
positionnement du personnel d’audit et les CV recensant les
diplômes  et  expériences  professionnelle  des  référents
techniques (article 3, alinéa 2 de l’arrêté).
Obligations documentaires
L’entreprise  doit  transmettre  au  Préfet  de  la  région
d’implantation  de  son  siège  social  (si  son  siège  est  situé
hors de France, la transmission doit être faite au préfet d’Ile-
de-France) (article 3 de l’arrêté) : 
– la dénition du périmètre retenu pour l’audit ; 
–  la  ou  les  synthèses  du  ou  des  rapports  d’audit
énergétique, dont les éléments sont dénis dans l’annexe III
de l’arrêté (article 3, dernier alinéa de l’arrêté); 
– la copie du ou des certicats de conformité en cours de
validité délivré par l’organisme certicateur.
Il est précisé (article 5 du décret) que : 
– si l’entreprise a son siège social hors de France, les
documents doivent être transmis au préfet d’Ile-de-France ; 
– en cas de transmission électronique, les rapports d’audit
sont également transmis (et non leur simple synthèse) ; 
– l’ensemble des documents est transmis en une seule fois.
Les rapports doivent être conservés pendant au moins huit
ans, et être transmis (outre la transmission obligatoire) sur
demande sous un délai de 15 jours.
Dispositions transitoires