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CONTEXTE :
Le monde souffre d’une insécurité alimentaire malgré un manque de ressources et de la
production, la pauvreté et le pic démographique. Une étude a été faite que près de 750 millions
de personnes ont faim, exposé a une insécurité alimentaire grave (FAO, 2020)
La croissance agricole est un outil particulièrement efficace de lutte contre la faim et la
malnutrition. La plupart des personnes vivant dans une pauvreté extrême sont tributaires de
l’agriculture et d’activités connexes et en tirent une partie importante de leurs moyens
d’existence (FAO, 2012)
A Madagascar 80% de la population vivent dans le monde rural ; Cette masse de population
rural se lancent dans l’Agriculture, l’Elevage, la pèche (ONU-Habitat, 2016) ; Ils jouent un
rôle primordiale à la stratégie de lutte contre la pauvreté, l’insécurité alimentaire et la manque
d’emplois. Ils n’arrivent pas à subvenir à leur besoins nutritionnel ainsi qu’au reste de la
population Malagasy. (INSTAT, 2013)
Le système agricole traditionnelle utilisé n’est pas assez efficace vis-à-vis de l’insuffisance de
production, le déséquilibre naturelle, le problème socio-économique et socio-culturelle. Les
connaissances insuffisantes des producteurs en matière de technologies améliorées, et la
faiblesse des programmes de formation et de vulgarisation, peuvent faire obstacle à la
productivité des exploitants (INSTAT, 2013)
L’apparition des techniques agro-écologiques, le système d’agroforesterie, l’Agriculture
Biologique offre un minimum d’éloignement à tous ces enjeux favorisant l’insécurité
alimentaire et voire même une satisfaction aux besoins environnementales.
La pratique de la permaculture est une nouvelle solution proposée en fonction de tous les enjeux
socio-économiques et culturels. Elle est un système pour réinventer l’Agriculture et ainsi que
de nourrir l’homme en guérissant la terre (Cathérine S.2015)
Les villageois de TSARATANANA dans la région Analamanga se trouvant à 15 km
d’Antananarivo pratiquent la permaculture.