EXPOSÉE DE : PROGRAMMATION SQL
Groupe N°3
Membres du groupe :
NANFACK FRANCIS DILAN (chef)
NGUEMO TAFEUDONG JOSUE
LIONEL PATRICK TOBIT POUEWE
SAMEKONG LONTSI MESMER
LINJOUOM ROUKAYATOU
REPUBLIQUE DU CAMEROUN
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MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT
SUPERIEUR
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INSTITUT UNIVERSITAIRE DE LA
COTE
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Paix-Travail-Patrie
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REPUBLIC OF CAMEROON
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MINISTRY OF HIGHER EDUCATION
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INSTITUT UNIVERSITAIRE DE LA
COTE
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PEACE-WORK-FATHERLAND
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LE LANGAGE SQL
SUPERVISER PAR :
ESSONO ELLA JUNIOR-STEVE
PLAN DE TRAVAIL :
PLAN DE TRAVAIL :
INTRODUCTION
I- Historique et Evolution du SQL
1- Différence entre standardisation et
normalisation SQL
II- Différents sous langage du SQL
1- Langage de définition de données
2- Langage de Manipulation de
données
3- Langage de contrôle de données et
Langage de contrôle de transactions
III- Les contraintes d’intégrité
CONCLUSION
INTRODUCTION :
Le langage SQL (Structured Query Language) peut être considéré comme le
langage d'accès normalisé aux bases de données. Il est aujourd'hui supporté par la
plupart des produits commerciaux que ce soit par les systèmes de gestion de bases
de données micro tel que Access ou par les produits plus professionnels tels
qu’Oracle. Il a fait l'objet de plusieurs normes ANSI/ISO dont la plus répandue
aujourd'hui est la norme SQL2 qui a été définie en 1992. Le succès du langage
SQL est essentiellement à sa simplicité et au fait qu'il s'appuie sur le schéma
conceptuel pour énoncer des requêtes en laissant le SGBD responsable de la
stratégie d'exécution. Le langage SQL propose un langage de requêtes
ensembliste Néanmoins, le langage SQL ne possède pas la puissance d'un langage
de programmation : entrées/sorties, instructions conditionnelles, boucles et
affectations. Pour certains traitements il est donc nécessaire de coupler le langage
SQL avec un langage de programmation plus complet. De manière synthétique,
on peut dire que SQL est un langage relationnel, il manipule donc des tables (i.e.
des relations, c'est-à-dire des ensembles) par l'intermédiaire de requêtes qui
produisent également des tables
I- HISTORIQUE ET EVOLUTION DU SQL :
Historique
En juin 1970, Edgar Frank Codd publia l'article A Relational Model of Data for
Large Shared Data Banks Un référentiel de données relationnel pour de grandes
banques de données partagées ») dans la revue Communications of the ACM
(Association for Computing Machinery). Ce référentiel relationnel fondé sur la
logique des prédicats du premier ordre a été rapidement reconnu comme un
modèle théorique intéressant, pour l'interrogation des bases de données, et a
inspiré le développement du langage Structured English QUEry Language
(SEQUEL) langage d'interrogation structuré en anglais »), renommé
ultérieurement SQL pour cause de conflit de marque déposée.
Développée chez IBM en 1970 par Donald Chamberlin et Raymond Boyce, cette
première version a été conçue pour manipuler et éditer des données stockées dans
la base de données relationnelle à l'aide du système de gestion de base de données
IBM System R. Le nom SEQUEL, qui était déposé commercialement par
l'avionneur Hawker Siddeley pour un système d'acquisition de données, a
1 été abandonné et contracen SQL en 1975 . SQL était censé alors devenir un
élément clé du futur projet FS.
En 1979, Relational Software, Inc. (actuellement Oracle Corporation) présenta la
première version commercialement disponible de SQL, rapidement imité par
d'autres fournisseurs.
SQL a été adopté comme recommandation par l'Institut de normalisation
américaine (ANSI) en 1986, puis comme norme internationale par l'ISO en 1987
sous le nom de ISO/CEI 9075 Technologies de l'information - Langages de base
de données - SQL2.
1. DIFFERENCE ENTRE STANDARDISATION
ET NORMALISATION :
SQL a été standardise par l’ANSI en 1986 puis par l’ISO en 1989, 1992,
1999, 2003 et 2008. Ces standards successifs ont étendu les capacités du
langage. En plus de ces standards, SQL possède de nombreux dialectes
spécifiques à chaque SGBD.
La normalisation quant à elle, correspond au processus d’organiser ses
données afin de limiter les redondances, divisant une table en plusieurs, et en les
reliant entre elles par des primaires et étrangères.
La normalisation est une approche de conception de base de données utilisée
dans les bases de données relationnelles pour éviter la redondance.
Normalisation de base de données :
Pour illustrer la conversion d’une base de données relationnelle en la première,
la deuxième et la troisième forme normale, nous passerons en revue les
différentes étapes de la normalisation des bases de données relationnelles
comme exemple :
Première forme normale (1NF) :
Une table dans une base de données relationnelle répond à la première forme
normale (1NF) lorsqu’elle remplit les critères suivants :
• Toutes les données sont atomiques
• Toutes les colonnes du tableau contiennent des valeurs identiques
Un ensemble de données est considéré comme atomique si chaque élément
d’information est affecté à un champ de données distinct.
Deuxième forme normale (2NF) :
Une table conforme à la deuxième forme normale doit satisfaire à toutes les
exigences de la première forme normale en plus de celles qui suivent :
• Chaque attribut non clé doit être entièrement fonctionnel, en fonction de la clé
primaire.
Dans l’introduction, une base de données relationnelle est définie comme un
système de tables individuelles reliées entre elles par des clés.
Troisième forme normale (3NF) :
Si une table doit être convertie à la troisième forme normale, toutes les
conditions préalables de la première et de la deuxième forme normale doivent
être remplies ainsi que les conditions suivantes :
• Aucun attribut non clé ne peut dépendre de façon transitoire d’un candidat clé.
Une dépendance transitive se produit lorsqu’un attribut non clé dépend d’un
autre attribut non clé et donc indirectement de son candidat clé.
Quatrième forme normale (4NF) :
Une table de base de données est conforme à la quatrième forme normale si les
exigences de la forme normale de Boyce Codd sont remplies en plus de ce qui
suit :
• Il n’y a pas de dépendances à valeurs multiples à moins qu’elles ne soient
triviales.
II- DIFFERENTS SOUS LANGAGE DU
SQL
1- Langage de définition de données
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