Telechargé par Abdou Amour

rein-+++

publicité
Exploration fonctionnelle
rénale
!
MBOUSSOU Yoan – interne
Laboratoire de Biochimie
2011/2012
CORTEX
(VAISSEAUX)
MÉDULLAIRE
(NÉPHRONS)
BASSINET
(URETERE)
LE NÉPHRON
Unité fonctionnelle du rein
Le rein, un organe noble
• Régulation du milieu intérieur
• Excréteur de déchets • formation de l’urine
Maintient volume
!
• En eau • En électrolytes
Filtration, réabsorption et Excretion
La Fonction EXCRETOIRE
élimination des déchets du
métabolisme plasmatique
via l’urine
!
!
– Urée
– Créatinine
– Acide urique
– Médicamentss et autres exogènes
La Fonction ENDOCRINE
• Rénine
• Erythropoïétine
• Vitamine D active
Régulation hémodynamique vasculaire et rénale
La RENINE
Régulation hémodynamique vasculaire et rénale
La RENINE
Régulation hémodynamique vasculaire et rénale
L’ERYTHROPOÏETINE (EPO)
Hormone de nature glycoprotéique sécrétée
à 90 % par le CORTEX RENAL
L’ERYTHROPOÏETINE (EPO)
Facteur de croissance des précurseurs des GR
L’ERYTHROPOÏETINE (EPO)
Facteur de croissance des précurseurs des GR
VITAMINE D ACTIVE
Participe au métabolisme phosphocalcique
L’insuffisance rénale
Généralités
• Complexe
• Fréquente +++
• Augmentation
• Urgence
• Nécessité d’un Diagnostic précoce
• Impact sur la prise en charge --> EER ?
• PEC selon étiologie
IRA Insuffisance Rénal Aigu
• ’’ état pathologique résultant de la baisse brutale du
débit de filtration glomérulaire ‘’
• Diminution du nombre de néphrons fonctionnels
• rétention des déchets azotés
• déséquilibre de l’homéostasie hydroélectrolytique.
IRA Insuffisance Rénal Aigu
• DFG est le meilleur indice global de la
fonction rénale
!
• Le principal paramètre utilisé en pratique
courante pour évaluer la fonction
glomérulaire = créatininémie
Circonstances de découverte
• Asymptomatique +++ • diagnostiquée devant une élévation de la créatinine
sanguine.
• diminution du débit urinaire.
• anomalies biologiques (hyperK+…)
• signes cliniques tardifs et non spécifiques.
Affirmer l’IRA
• antécédents du patient
• événements médicaux récents
• examen clinique
• traitements pris et en cours
• examens biologiques • échographie rénale et des voies urinaires
Quantifier l’insuffisance rénale
définition
clairance
traitement
IR légère
60-100
Ø
IR modérée
30-60
Mesures de protection rénale
IR sévère
15-30
correction des troubles
hydroélectrolytique, acido- basique, ou
phosphocalciques.
IR évoluée
10-15
IR terminale
< 10
traitements substitutifs , dialyse.
Etiologies
Pré-rénale ( cause fonctionnelle)
• Hypovolémie
• Hypoperfusion rénale
• Médicaments
Etiologies
De l’IRA pré rénale ou fonctionnelle +++
•
hypo perfusion rénale avec parenchyme intact
Etiologies
Post-rénale ( cause obstructive)
• Lithiase obstructive
• Tumeur pelvienne
• Hypertrophie bénigne de la prostate
• Ligature chirurgicale accidentelle
Etiologies
rénale ( cause organique )
• Nécrose tubulaire aiguë
• Glomérulonéphrite
Etiologies
IRC Insuffisance Rénal Chronique
Réduction permanente de la masse fonctionnelle
rénale
> 3 mois
IRC Insuffisance Rénal Chronique
Plusieurs stades
STADE
DESCRIPTION
DFG (ml/min/1,73 m2)
1
MRC
>90
2
IR légère
60 à 89
3
IR modérée
30 à 59
4
IR sévère
15 à 29
5
IR terminale
< 15
IRC Insuffisance Rénal Chronique
— L’IRC est 2 à 3 fois plus fréquente chez l’homme que chez
la femme
!
— Sa fréquence augmente avec l’âge
— 1 cas / 10 000hommes < 40 ans
— 1 / 1000 hommes > 75 ans
!
— 30 000 dialysés en France
— 7000 patients en attente de greffe
— 2000 greffes par an
IRC Conséquences
— Altération de la filtration glomérulaire — Accumulation de déchets azotés (urée, créatinine, acide urique) et de toxines urémiques !
— Altération des fonctions tubulaires — Altération de l’équilibre hydro-­‐electrolytique !
— Altération des fonctions endocrines — Baisse de l’EPO — Baisse de calcitriol
Marqueurs classiques de l’IR
• Pb précocité
• Pb sensibilité
• Pb spécificité
Critères d’un bon marqueur de
la fonction rénale?
• Etre totalement filtré / non réabsorbé / non sécrété
par l’appareil rénal
• Différencier IRA et IRC
• Différencier les sous types d’IRA
• Identifier l’étiologie précise
• Etre prédictif de l’intensité de l’IRA
• Facteur pronostic
• Mise en place de thérapeutique adaptée
Dont dosage
• Non invasif et sanguin
• Facile à réaliser
• Rapide
• Reproductible
• Sensible • Spécifique
• Précocité - cinétique rapide
• Coût faible
LES DIFFERENTS
MARQUEURS DE LA
FONCTION RENALE
Le Débit de Filtration
Glomérulaire (DFG)
Le Volume de liquide
filtré par le rein par
unité de temps
Pourquoi le DFG ?
•
Sa Diminution précède la symptomatologie
de l’IR
•
Baisse corrélée à certaines lésions
morphologiques (degré de fibrose tubulointerstitielle)
•
DFG dépend du nombre de néphrons
fonctionnels, des propriétés de la membrane
de filtration, du flux sanguin rénal
Attention au DFG
•
Le DFG peut rester normal dans les phases
précoces de maladies rénales
•
•
Peu sensible au cours de la phase précoce
Vision partielle du rein
ESTIMATION du DFG
— Clairance de la créatinine « calculée » — Formule de Gault et Cockroft !
!
(140 – âge) x poids x k ml/min créatininémie
k=1,04 (femme) k=1,23 (homme) Attention à la formule de
Gault et Crockroft
Attention à la formule de
Gault et Crockroft
Attention à la formule de
Gault et Crockroft
Attention à la formule de
Gault et Crockroft
Attention à la formule de
Gault et Crockroft
ESTIMATION du DFG
— Formule MDRD (Modification of the Diet in Renal Disease CLCR = K x 170 x Cr–0,999 x Âge–0,176 x U–0,170 x Alb0,318
ESTIMATION du DFG
— Formule MDRD (Modification of the Diet in Renal Disease !
mieux corrélée au DFG
meilleures performances diagnostiques
plus précise en cas d ’insuffisance rénale
+
!
-
plus compliquée
sous-estime les DGF normaux et hauts
ESTIMATION du DFG
— Formule de SCWHARTZ (PEDIATRIE) !
Cl = K x T
Créatm
K = 29 (Nouveau-né)
K = 40 (Nourisson)
K = 49 (Enfant jusqu’à 12ans)
ESTIMATION du DFG
— Clairance de la créatinine « mesurée » !
Cl = U x V
P
(U) Créatinine urinaire (en umol/l)
(P) Créatinine plasmatique (en umol/l)
(V) Débit urinaire (en ml/min) sur 24 HEURES
Clairance de l’inuline
• polysaccharide du fructose exogène, • petit PM +++
• physiologiquement inerte , • non stockée par les tissus , non lié aux Pr plasma
• éliminé librement au niveau du glomérule
• clairance de l'inuline est strictement égale au DFG !!!
Clairance de l’inuline
+
méthode de référence pour l’estimation du DFG
(Gold Standard!)
!
!
-
difficile a mettre en œuvre
La créatinine
La créatinine
– Produit azoté du métabolisme musculaire dérivant de la
créatine
– Biosynthèse de la créatine: hépatique+++
– Production constante
– Dépend de la masse musculaire
– Formation de la créatinine dans le muscle
– Elimination rénale +++
– Reste relativement stable.
– Permet d'apprécier le DFG et donc la fonction rénale
La créatinine
Différentes méthodes de dosage
– Méthode colorimétrique (cinétique de Jaffe)
– Méthode enzymatique
–à lecture UV
–action d’une oxydase spécifique
Méthode enzymatique
Méthode enzymatique
Créatinase
Créatinin
+ H2O
Créatine
Méthode enzymatique
Créatinase
Créatinin
+ H2O
Créatine
Créatine aminohydrolase
Créatine
+ H2O
Sarcosine
Urée
Méthode enzymatique
Créatinase
Créatinin
+ H2O
Créatine
Créatine aminohydrolase
Créatine
+ H2O
Sarcosine
Urée
Sarcosine oxydase
Sarcosin
+ H2O + O2
Glycine
Formaldéhyde
H2O2
Méthode enzymatique
Créatinase
Créatinin
+ H2O
Créatine
Créatine aminohydrolase
Créatine
+ H2O
Sarcosine
Urée
Sarcosine oxydase
Sarcosin
+ H2O + O2
Glycine
Peroxydase
H2O2
+
Leucodériv
Formaldéhyde
H2O2
Coloration % à la
concentration en
créatinine
Méthode enzymatique
LABO
Créatinase
Créatinin
+ H2O
Créatine
Créatine aminohydrolase
Créatine
+ H2O
Sarcosine
Urée
Sarcosine oxydase
Sarcosin
+ H2O + O2
Glycine
Peroxydase
H2O2
+
Leucodériv
Formaldéhyde
H2O2
Coloration % à la
concentration en
créatinine
Méthode Enzymatique - lecture UV
Méthode Enzymatique - lecture UV
Créatinase bactérienne
Créatinine
Créatine
Méthode Enzymatique - lecture UV
Créatinase bactérienne
Créatinine
Créatine
Créatine kinase
Créatine
+
ATP
Créatine (P)
+
ADP
Méthode Enzymatique - lecture UV
Créatinase bactérienne
Créatinine
Créatine
Créatine kinase
Créatine
+
ATP
Créatine (P)
+
ADP
+
ATP
Pyruvate kinase
Sarcosine
+ ADP
Pyruvate
Méthode Enzymatique - lecture UV
Créatinase bactérienne
Créatinine
Créatine
Créatine kinase
Créatine
+
ATP
+
ADP
Pyruvate
+
ATP
Lactate
+
NAD+
Créatine (P)
Pyruvate kinase
Sarcosine
Pyruvate
+ ADP
+
NADH.H+
LDH
Cinétique décroissante suivie à 340 nm
Méthode Enzymatique - Oxydase
+
spécifique
+
Méthode Enzymatique - Oxydase
spécifique
Oxydase créatinase
Créatinine
H2O2
Sarcosine
+
+
Méthode Enzymatique - Oxydase
spécifique
Oxydase créatinase
Créatinine
H2O2
Sarcosine
H2O2
Chromogène incolore
+
H2O2
Chromogène coloré
+
Méthode Enzymatique - Oxydase
spécifique
Oxydase créatinase
Créatinine
H2O2
Sarcosine
H2O2
Chromogène incolore
H2O2
Chromogène coloré
Chromogène incolore
4- aminophénazone acide 3-5 dichloro 2 hydroxybenzène sulfonique
Chromogène coloré
complexe quinone-imine rouge (absorbe à 520 nm)
+
+
Réaction de Jaffé
– Utilisation d’acide picrique en milieu alcalin – Formation de picrate de sodium et de picrate de
créatine --> coloration jaune-orangée.
Réaction de Jaffé
!
• tube sec ou héparinate de lithium.
• à jeun si possible
• Prélèvements urinaires à effectuer sur 24h00
• Principe :
– Technique de dosage direct
– Méthode colorimétrique
Réaction de Jaffé
!
• tube sec ou héparinate de lithium.
• à jeun si possible
• Prélèvements urinaires à effectuer sur 24h00
• Principe :
– Technique de dosage direct
– Utilisation d’acide picrique en milieu alcalin -->
formation de picrate de sodium et de picrate de
créatine --> coloration jaune-orangée.
Réaction de Jaffé
•+
rapide
sensible
automatisable
peu coûteuse. !
•-
sensible a la température ( 37°C seulement )
spécificité nombreuses interférences par divers chromogènes dont
bilirubine, glucose,protéines, hémoglobine, céphalosporine.
Créatininémie
!
Homme 65 à 120
Femme 50à 100
μmol/L μmol/L
!
!
Enfant de 4 à 14 ans, 30% de ces
valeurs.
!
Créatininémie et DFG
Créatininémie
Possibilité de prise en charge précoce
4,0
3,5
100,0
3,0
80,0
2,5
60,0
2,0
1,5
40,0
1,0
20,0
0,0
0,5
0
1
2
3
4
5
6
7
8
0,0
Time (days)
Créatinine +
Elevation tardive
Serum Cr (mg/dL)
GFR (mL/min)
120,0
Créatininémie - variations
!
•Pas d’influence par l’alimentation du sujet
•grossesse
•Fonction de la masse musculaire •du sexe et de l’âge
!
Créatininémie
• permet d’évaluer la fonction rénale • indicateur pour évaluer la filtration
glomérulaire
!
• Valeurs patho
• : fonte musculaire
• : IR Créatininurie
!
!
•
Homme : 7 - 18mmol/24h
•
Femme : 5 - 16mmol/24h
•
Permet de calculer la clairance
•
En dehors de tte patho rénale , elle peut être
considérée comme le reflet de l’importance de la
masse protéique musculaire
L’urée
déchet azoté majeur du catabolisme protéique
L’urée
• Généralités
– déchet azoté majeur du catabolisme protéique
– = transformation ammoniac toxique
–
soluble +++
– électriquement neutre – peu toxique
– synthèse hépatique / cycle de l’urée
– élimination rénale +++
– pas de dégradation dans les tissus
Méthode enzymatique à l'uréase !
– tube sec ou hépariné. – Mieux matin a jeun
!
!
Méthode Enzymatique - lecture UV
Méthode Enzymatique - lecture UV
Uréase
Urée
+ 2 H2O
2
NH4+
+
CO3 2-
Méthode Enzymatique - lecture UV
Uréase
Urée
2-Oxoglutarate
+ 2 H2O
+ NAD +
2
2
NH4+
CO3 2-
+
GLDH
NH4+
2L Glutamate
Cinétique décroissante suivie à 340 nm
+2
NAD+
+2
H2O
Méthode Enzymatique - lecture UV
Uréase
Urée
2-Oxoglutarate
+ 2 H2O
+ NAD +
2
2
NH4+
CO3 2-
+
GLDH
NH4+
2L Glutamate
+2
NAD+
Cinétique décroissante suivie à 340 nm
LABO
+2
H2O
L’urée - dosage
✦ Prélèvement : sérum, plasma ou urine des 24 h
• Dosage à l'hypobromite
– déprotéiniser le sérum à l'acide trichloro-acétique
– ajout d'hypobromite de sodium en milieu alcalin =>
dégagement d'azote quantifiable via uréomètre
– rapport aux courbes de calibration
– + : rapide
– - : spécificité
!
Méthode
au diacétylmonoxime
!
– pH acide
– température élevée
– urée + diacétylmonoxime =>diazine – = chromogène orange => lecture à 520 nm.
– Spé / rapide
– sensible à la lumière.
Urée - Valeurs physiologiques
Adulte
Enfant
Nourrissons
2.5 à 7.5 mmol/L
2.5 à 5.5 mmol/L
1 à 3 mmol/L
Urée - Variations physiologiques
!
!
!
• En fonction de l’apport en protides
• En fonction du catabolisme protidique
• En fonction de l’âge • Au cours de la grossesse (augmente)
• En fonction de la diurèse
!
Urée - En pathologie
Témoin majeur du catabolisme azoté
!
Atteintes
hépatiques Atteintes rénales
paramètre grossier de dépistage des maladies
rénales.
Urée urinaire = azoturie
• Dosée ds l’urine
• Valeur physiologiques : 250-500mmol/24h • Variation
• apport alimentaire en protides
• l’âge • infections urinaires à bactéries uréase+.
Urée urinaire - Valeurs pathologiques
!
Hypoazoturies
•IRA –IRC
•IH sévères
•États d’acidose (utilisation des éléments azotés pr
éliminer les ions H+ ss forme de NH4+)
!
Hyperazoturies •Hypercatabolisme protidique
La Cystatine C
!
Cystatine C
• Inhibiteur de protéase
• Petit PM
• Toutes cellules nucléés.
• Taux constant
• Filtrée par le glomérule, complètement réabsorbée
par le TCP et non sécrétée.
• Concentration sg ne dépend donc que du DFG
Cystatine C
•
•
•
•
Bon marqueur atteinte glomérulaire
Marqueur atteinte AIGU (>créatinine)
Coût élevée (x2 créatinine)
Absence de standardisation
Cystatine C
• rôle de protection contre les destructions des
tissus cellulaires et extracellulaires dues au
relargage d’enzymes par les cellules mortes ou
malignes.
!
!
• rôle dans la lutte contre les infections.
Cystatine C
• dosée par néphélémétrie • Valeurs : 0,5-1 mg/L !
• Intérêt du dosage • + sensible
• pas d’interférence
• indépendant du sexe- âge-masse corporelle-régime
alimentaire
Cystatine C
Utilisé actuellement pour le suivit de certains patients
• Greffé
• Obèse
• Cirrhotique
• Dénutris
• Diabétiques
NGAL
Gélatinase de
Neutrophile
Associée à la
Lipocaline
SERVICE DE REA
!
•
•
•
Mortalité = 15% si IRA « de néphrologie ».
Mortalité = 50% si IRA de « réanimation ».
Mortalité > 70% si IRA « de réanimation +
EER».
SERVICE DE REA
40 à 50 % des sepsis sévères nécessitent
une EER (épuration extra rénale)
!
Sepsis sévère : 22500 mort / an en France
Possibilité de prise en charge précoce
4,0
3,5
100,0
3,0
80,0
2,5
60,0
2,0
1,5
40,0
1,0
20,0
0,0
0,5
0
1
2
3
4
5
6
Time (days)
Créatinine +
7
8
0,0
Serum Cr (mg/dL)
GFR (mL/min)
120,0
Créatinine ( > 2 jours )
Près de 40% des patients avec une baisse de la filtration
glomérulaire ont une créatininémie normale
NGAL
•
•
•
Protéine de 25 kDa
Superfamille des lipocalines
Ubiquitaire à faible dose (rein, estomac,
poumon, colon)
BIOMARQUEUR
PRECOCE
1 à 2 HEURES après
agression
LA TECHNIQUE
Test Triage NGAL
•
•
•
Immuno-dosage
Lecture par fluorescence rapide
détermination quantitative
250 ul de sang ou
plasma sur tube EDTA
•
•
•
Stabilité 8 heures à T° ambiante
plusieurs mois à - 20°C
Durée dosage : 15 min
La cassette-test
•
Un anticorps
monoclonal de souris
anti-NGAL
•
marqué par un agent
fluorescent
•
NGAL immobilisé sur
phase solide
•
stabilisants
Sample Port
L’échantillon est
déposé
Filtre
Chambre de réaction
Séparation GR/
plasma
Mélange d’une fraction
de l’échantillon avec le
réactif lyophilisé
Controles internes (3)
Contrôles
indépendants
permettant de s’assurer
que la réaction a lieu
convenablement
Poubelle
L’échantillon est
collecté
Réaction
Une surface
hydrophobe assure le
temps de réaction
Zone de lecture
L’échantillon à doser
et les Ac fluorescents
sont stockés dans des
zones distinctes
•
•
•
•
Bon marqueur précoce de l’IRA
Examen pour l’instant occasionnel
Réservé au service de REA
Prix élevé : 28€ le test
Il semblerait que…
• Marqueur de souffrance tubulaire ischémique
• Taux plasmatique stable au cours des 48
premières heures
• Valeur J0 semble suffisante
• Plus discriminant pour prédire la mise en EER
• Valeurs seuil NGAL J0
– ≥ 540 : EER précoce recommandée
– < 250 : EER précoce non recommandée
CONCLUSION
— Evaluation de la fonction rénale par la DFG — Limites de la créatinine en tant que marqueur précoce du DFG — limites de l’estimation de la DFG par la clairance calculée — Limites du dosage de la créatinine — Limites paradoxales / importance accordée à ce paramètre! — NGAL / Cystatine C marqueurs précoces mais «trop cher»!
THE END
THE END
Téléchargement