DICTIONNAIRE VOLOF-FRANÇAiS 3-k:—- KOBÈS Par de la Congrégation du Saint-Esprit Nouvelle Edition revue et p^r considérah^ement augmentée le de R. P. la même O. ABIVEN Congrégation PARIS LIBRAIRIE ORIENTALE ET AMÉRICAINE MAISONNEUVE 3, FRÈRES RUE DU SABOT ÉDITEURS DICTIONNAIRE VOLOF- FRANÇAIS KOBÈS ^ Par M8' de la Congrégation du Saîni-Esprîl Nouvelle Edition revue et par considérablement augmentée le de R. P. O. la même ABIVEN Congrégation «I Et omnis^ conhtebitur Deo. M, » fingufe (Rom. 11). PARIS LIBRAIRIE ORIENTALE ET AMÉRICAINE MAISONNEUVE FRÈRES 3, RUE DU SABOT ÉDITEURS , (aJII UI4M s ^^ON COTXEGEUBRARy J2HESJNUTHILL,MASS. Imprimatur Louis Le Vicaire HUNSEC Apostolique du la Dakar, Sénégambie 20 Cc'obre 1922. j; PRÉFACE La langue oement du sous l'impuilsion de la comanen- le îMigr <lu baron Roger, igouverneur du Sénogal, le imême époque; par la dès dernier: par Dard, instituteur à Saint-Louis i8i5-i82o; par Sénégal, vers a été sé rien semé it étudiée volof-e siècle l'abbé vers Boilat, Mais, i85o. c'est Kobès, deuxième Vicaire apostolique de Sénégambie (1847-1872) sous et son direction active que les plus sérieux 'travaux ont été entrepris et en (partie exécutés. C'est qui, lui dains sa granumaire vollofe, et qui en a fix' du moins dans riallphabet, taux, en prenant pour base quelques pri vrais. ler aivail Il vint Dans que .ommenicé lui-même l'impresfsion du présent dic- pour terminer dictionnaire, s-on qui en «xaciemient mots dérivent. viéritable la à la fois. îiaires suivirent iCette avait deux Mgr Kobès ses on -a le cru la ajoception ^t on devoir, ipou^vait saisissait Mgr livre des difficultés, cherchait. dans cette dams l'onîre aliphabétique. les mission Kobès. avantages ses mais, ; aujourd'hui surtout où du les plus apprendre plu- Dans une édition subséquente, l'on méthode adopté la manière, on en cette se ser\ir mot que avait mots primitifs, ou miots- racines, inconvénients, éprouvait parfois trouver De l'exemple de d'indigènes veulent On lorsque tiers travail. le iméthode avait certainement aussi fondamen- aussi simples consistant à rapprocher des sieurs élé- les surprendre. Ses missionnaires n'eurent qu'à oonsud- le .notes ,ses .mots ainalysé ses traits .ciipes tionnaire et l'avait déjà poussée jusqu'aux mort a de cette langue avec une précision et une rare sagacité, meints pour apprendre on et Voilà nouvelle la (perdait raison édition, le du elle beaucoup fraiirais. ten)})s h pour laquelle ranger les mots II On a cependant lal&sé tratifs et pronoms les et démons- adjectifs les dans l'ordre primitivement adopté, à cause de possessifs l'importance qu'il y a à se familiariser avec ces mots. Les suffixes, servant à former tes mots comiposés, ou plutôt juxtaposés, seipt Dans varie, est ont été ajoutés, dans cette édition, ainsi que six à cents autres -mots nouveaux. se nuance diversement, suivant parlée, puis, valeur la surtout ipour les cherchant mots. po'UvoiT ; de beaucoup de mots Ja 'langue volofe, la prononciation 'les idav voyelles. dov, et dumi, s'étonner, Malgré tous Aiiinsi, de plusieurs est Il utile caractères yëh ; et langue la diffère de se rappeler on entend souvent courir où régions les yîh, : être mân lent ; peu, ceci en men, domi et et etc. soins apportés à les la rédaction de cette nouvelle on y trouvera certainement des inexactitudes, des erreurs, des omissions. La langue volofe étant très riches en mots, et le même objet étant souvent désigné par des mots complètemient édition, différents, suivant la diversité des régions, il est difficile d'arri- une nomenclature complète. Aussi recevrons-nous, avec reioonnaissance, oommiunication des mots de cette ilan'gue que le ver à présent dictionnaire ne contient pas, ou dont fication inexacte ou incomiplète. il donne une signi- AVIS pour l'usage du Dictionnaire I. A, a A, â A, à b B, D, d P, d E, e É, é Ê, ë Ê, è Ê, ê F, f G, g , C, g *H,*h ALPHABET VOLOF comimie en français. 'long, comjm«e en français. sourd, se rapproche de Ve. icomme français. ein comme en Irançais. comime di dans diantre. icomme e muet en français. (fermé et bref. ifermé et lonig. ouvert et bretf. ouvert et long. icomme en français. toujours dur comme dans gaz. son guttural comme ng en anglais dans young mand H, h VOLOF FRANÇAIS le i çonime en î, î idem, long. j alle- espagnol et comme en L, J M, m idem, jamais mouillé. idem. ch allemand. français. N, n N, n iidem. O, o 0, ô ù, b P, p iconime en français. eomme le français, K, k en français ng dans agneau. idem, long. grave et fermé, tient R, r comme en comme en S, s idem, n'a jamais le milieu entre Vo et français. le son de z. comime en T, même son que d mais dur. comme en espagnol, en portugais, ou en l'a. français. T, t t en toujours aspiré. comme I, U, u et dans bringen. français. français. C, û iidem, long. y, v Y, y comme en français. comme dans le mot yacht. en italien, en allemand, IV OBSERVATIONS Le son ment Toutes mais encore volof. non affecte Il seule- (consonnes. les deviennent nasales, chaque A()\e1]<^s les en très-fréquent ost najsal voyelles, les fois qu'elles précèdent n suivi d une coinsonne gutturale: ng, ng, nk, nh, me Mangi, consonnes qui peuvent devenir nasales sont 2^ Les ^ 4y .(» Ngem, 3° f/> Devant les E^-' Mhaal, ^^ : h, p, d, pardon, de haal, paixloimier. de gejn, croire. Nroy, imitation, de roy, imiter. foi, devant li^ 9^ — Ènga, pendre. Dèiikâ, confier. Fanha. annuler. voici. les et p, h laj)iales s'exprime par m, nasalité 'La autres coaisonnes par n. Lorsque ces deux consonnes nasales précèdent immédiate- ment une autre consomme, eMes ne doivent pas être promoncées séparément oom.me des conson Elles les distinctes. ne sont qu*un signe orthographiquie, indiquant que la consonne qu'elles précè- dent est miodifice et doit prononcer se fpar le mez. N ou m ne doivent donc pas être accoimpagnés ou suivis d'un son, quelque sourd ou quelque léger qu'il ou les isuivait. ngem, foi; on n'écrit pas 50 Lorsque ies comme soit, On ne cédait n'gem, car oonsonmes / et si un e muet les préengem ou negem, mais pas dit s il n'y la pas d'élision. devraient devenlT nasales, en vertu des principes qui règlent la dérivatioin des mots, elles se changent, de fat, du même Les première en p et la laver. V(nb, seconde en t. Ex.: 3/pof, lessive, consonnes ne se perm'u'tent jamais qu'en une consonne ordre, les labiales en d'autres labiales, les dentales en d'autres dentales, boroin, la de sûh, teindre. teintu.re, maî.tie; par ex.: 5a/, m balle; vorom, val, dont pluriel e:t vandal vanta; se / • n p, s en hanta, bois, t, h etc., en domt v comme îe dans pluriel est chaaige en v dans manda], chiquenaude,, T. La contraction CONTRAC.TJONS deux voyelle* qui euphonique, lieu '0(rdinaireme*n't eintrc a rencontrent, lorsqu'il n'y a ni oomoiie l'indiquent le tableau et se élisioai, les ni lettre exemples suivants e G è o Y alla ko dèf, (pour Yalta a), c'est Dieu qui Amêti, (pour arné ati), avoir encoire. Dânôti, (pour dânu ati), tomber encore. Indiquons quelques ici contractions l'a : fait. très-fréquentes et qu'il est difficile d'anialyser. Lui pour lu du]. Bô Dâ Dô — — — l)u ng.i. 41a nga. (lu la ou '))g"a. — — — a. Fô Lô Ya ne (lu II. Les principales Sô j)Our su élisions lu nga. lu nga. VGA ELISIONS soit autre les suivantes : a final s'olide ordinairement devant une voyelle ou à la fin des pluases. Ex.: Sop'on nâ ko (pour sopâ on), je l'avais laiimé. Ku nèk (pour ku nèkà), chacun. 2° L'adjectif conjoinctif u s'élide parfois. Ex.: Borom'katan (pour borom u katan), niaître de la force, toutpuissant. ViVBër (pour vâ u Bër), Goréen. 3° La terminaison en al ou en l de la 2® pers. du sing. de l'impératif s'élide devant le ipronom peirsonnel. Ex.: Dèf ko (pour dèf al ko), fais-le. Bayi ko (pour hayil ko), laisse^e. Vl LETTRES EUPHONIQUES TII. On appelle ainsi litres les que pour irharimonie. J^s plus souvent : a, h, v, y, k, qui ne sont ajoutées aux mots qui s'errrploient ainsi sont le lettres d- A euphonique se met souvent à la fin des mots qui finissent par une consonne duii^, lorsque le mot suivant commence aussi par lune sem<blable consonne. Ex.: Doul on nopê'kà nân 1^ (pour nopê'\k nân), il ne cessait de prier. Dans certaines régions, presque tous les mots commençant une voyelle, sont précédés d'une des lettres euphoniques 2° par h, V, y. Ham (am) nâ, cela neuf. Yës est, hari (a/î), dîner. mauvais. Yèt (èf), canne. Yîh (îh), être lent. Yëg (ëg), moin ter. Va (d), appeler. Vor (or), trahir. Vôr (or), être certain. Vut (ut), (Chercher. Vurus (urus), or. 3^ Dans 'les substantifs dérivés de verbes commençant par a ou e, la lettre k s'ajoute souvent au commencement par euphonie^ Kanda, amitié, de andâ être ensemble. Kétifâ, chef, de étif commander. 4° Dans les verbes dérivés k, v et d sont employés comme euphoniques: k est employé dans la forme passive pour les verbes qui se terminent par une voyelle autre que à. Ex.: supiku (pour supiu), être changé; hmnéku (pour haméii), être reconnu; V est emiployé pour les mêmes cas, dans la forme négative. Ex.: vahiivul (pour vahuwl), n'avoir pas été dit d n'est employé que pour la forme dérivée i signifiant aller faire une chose, lorsque le verbe finit par une voyelle. Ex.: sangudi (pour sangui)^ Yês (es), (ës), : adler se baigner. 5° Dains les mots venus des langues étrangères, les volofs ne pouvant pas prononcer les articulations composées que leur langue n'admet pas, ont soin de les décomposer en intercalant des lettres euphoniques. Ex.: Fàransé pour français. Agirippa pour Agrippa. Éxavier, Xavier. Torop nâ, c'est trop. ABREVIATIOlNS YOLOFES b. bâ. {]• dâ. k. gâ. kâ. 1. la. g- m. ma. v. va. s. sa. fi. y- nâ. .. ... • .. . . . . . VII ABREVIATIONS FRANÇAISES (A) Arabe (An; An^ i^l (P) Français. 1 n is Portugais. Kayor. (M) Lcbou Manding. V. Voir, vo\€z. {L) Salon m t. transitif. pl. pluriel. pr. propre. abr. ajbréviation, adj. adjectif, aav. adverbe, affir. afîirmatif, ve. aff. affixe. aux. oej défini, e. dém. démonstratif, ve. dsr. dérivé, e. adverbial. auxiHtaire. iJC^ désinence. dini,. diminuitif, ex p. explétif, imp. ve. ve. i'inypersonnel oc. locution neg. négatif, 710771. noimiîre. Ofif. op tn l'il 07 d. ord n a ve réciproque. n II rcc abrégé. ve. .'11 ve. f3r.'i 1 i , e. , '^e , l . j) Demande. /? i\ Réponse. circonstanciel nom, neutre. uu J ^J ti o a 1 J t'- j[j (1 qualificatif. V. verbe, verbal. substantif. s. , réf. réfléchi, ré g. régime. suj. sujet. syn. synonyme. e. le. . VIII ABREVIATIONS FRANÇAISES curd. cardinal, conj. oanioin c t io n particule. part. (suite) e. co nj o n c i f , pers. personne, poss. possessif, prép. pron. pronom, (pronominal, sing. siingulieir. personnel, le. ve. préposition, suhst. substitutif, super. superlatif. contr. contraction, indéj. indéfini, e. prépositif. e. ve. contracté, défect. défectif, interr. interroigatif, ve. interj. interjection, interjectif. tn.-à-m. mot- à- mot. au figuré. ProverLe Volof. au fig. Prov. Vol. Ënig. Vol. Énigme ve. volofe. e. A A A A, Â, a comme en prononcce s€ ou sœur frère aîné même le dans français aînée; rakà, frère puîné que A mais long. so,n amafi. Ex.: Mak, ou sœur puînée. Ex.: Bât, cou, voix, pamle. À, représente tantôt le son ordinaire de Va, tantôt celui de et ordinairement un son souird, qui tient à la fois de l'un l'e, et de l'autre. Ce son toujours bref est presque muet à SaintLouis, au Sénégal et au Kayor, miais il est plus oiuvert et se rappix>che davantage de îi'a à Dakar, dans le Baol, le Sine, le C'est la diversité de cette prônonciat'on, Saloum et en Gamibie. qui a nécessité 'adoption de cette lettre, qui fait double emploi soit avec l'a, soit avec l'e. — il À ABA À, voyelle finale de Tadjectif défini indiquant que l'objet est connue, ils F as (p. éloig^né et sa ou que l'action est passée. ca, lie bas). cheval (qui est Bât bâ nga vah que tu parole A, moi. position v. c'est s. Yorv as a, — e'est là- l'a, on, la dite. M an c'est Môm a, s'emploie dans lia oonjuga/isoin du mode subjectif et se contracte a^ec la c'est lui. voyelile finale pronom). Il du sujet (nom ou YalJâ ko dèf (p. Yalla a ko dèf), c'est Dieu qui l'a fait. Mâ ko vah (p. ma a ko vah), c'est moi qui l'ai dit. Yâ bâh (p. yâv a bâh), c'eist toi qui es bon. Mo èy (p. môm a èy), c'est lui qui a raison. A, interj. Ah! oh! À, oonfj. la qui voyelle veulent partir. ban ko précède. nanu a), Ban ko dèf (p. refuser iti), de le faije. A', p. ak, avec. et. Yov a'man^ moi. Fak'a'nâr, douze. AB, lo, UB, adj. conj. d^u, de lia. toi et a, toi. aA€c Begé nanô dèm de, à. Se place entre deux verbes régis l'un par l'autre. Ban a gem, refuser de croire. Il subit une contraction ÀB, adj. indéf. place avant jardin. un, une nom. Âb le AB, ABA, en prêt. ABÀ emprunt, A. recevoir g., t. ; toi, se un emprunter, action d'emprimtcr. ABABLU, n. faire senil)I;)iil V. d'emiprunter. ABADÀ, ABADÀN, éternellement. abadà tày, éternité, Abada dapèt, éternellement, sans fin ABÀKÀT ABAL, v.t. b., emprunteur (emprunter en fa- veur de quelqu(^in) prêter, don- . . ABA ADU prêt. Abal ma sa pâkà, ner prête-moi ton œuteau. Permettre. Abal ma ma vah aik diu, permets-moi de dire un mot un à tel. ABALKÂT b., prêteur. ABDUDABÂR, ABDUDAMBÂR, b., d., mort la censé tuer génie qui est hommes; chef des les ; ADI v. t. nettoyer auhabitations ou des champs pour les préserver contre lies incendies de brousse. ADI, ARI, aff. qui, ajouté à un verbe, exprime une idée de (ar), tour des diminution Lèka, ou de nifanger, négation. lèhâdi, lèkâri, manger peu. Dubô, être d'acdubôdi, n'être pas d'ac- cord, démons, Lucifer. ABLÉ, V. t. prêter de bon cord cœur ADI, terme qui entre dans la formation de plusieurs noms gratuitement (m.-à-m. avoir des choses qui sont empruntées par un autre, qui sont comme emprunt entre les mains d'un autre). et ABLÉ prêt (dans g., le sens précédent). ABLÉKÀT prêteur. b., ABLO, V. t. faire emprunter. ÂD, même que ÂR, v. t. laver du linge neuf pour la première fois. AD, V. t. accrocher, suspendre, mettre en haut. ÂDÀ s., principe, premiers éléments d'une chose, manière, ADAMÀ, Adam. Dôm i Adamé, enfants d'Adam, les hommes en général, le genre hu- les ÂDANTI, V. neuf pour la laver t. seconde du linge fois. ADANÀ, même que ALDANÀ. ApAR, V. t. parer une femme lui cheval faire avoir marcher faire pour peut être appliqué qu'à Dieu. Adikatan, maître de la force, tout-puissant, le principe de la force, la force elle-même. Adibâhay, bon par essence, la bonté même. Api, V. afin la ApAR de et le un mari. courir un faire valoir vente. b., mairchand de chet. ébourgeonner, élaguer. A PAT g., oib- sur une étagère. Adi détacher des nids d'oi- jet 'placé tàxja, seaux. ADL'VJXA F. g., V. t. Bantamaré. faire décrocher. ApLO, V. t. faire accrocher. ApO, V. n. avoir besoin, désirer (par avoir le sentiment besoin). ApO âdo, besoin, d., être affable, Nakâ tention. désir, Baré plein d'at- manquer âdo, d'attention. APOR, AYOR b., du K a y or habitant et la n g a g e ApU, V. suspendu, ADU, porter v. un p. être accroché, être être placé en haut; s'accrocher, se suspendre. vaux. ADAT, dépen- décrocher, t. dre, détacher, desicendre du main. — comiposés. Il a la même signification que borom, mais iil ne ApiLÔ, façon pour . ébpurgeonnement. V. la n. Parler, répliquer, parole, parole. Svn. ADUKAY APUKAY adresser VAH. b., b., parloir. suspensoir la _ — — ADU ADUNÀ monde, univers, d., 5. globe tenresti^. terre, s-iècle temps, époque. Nit u adumi sôsàlëé, les homme-s de ce tempsH(im aduna, avoir l'expélà. ; du monde. Dcfar rience — différends. Sô ko leis avenir, exisicnce. adunà yahu, si perdu sa dè'fé, adiinâ, arranger concilier, pacitier, tu le fais, ton avenir sera A F, V. n. ouvrir la bouche. AFÉ, v. n. parler ou chanter 00 mime les griots. ÀG, de UG, IG, du, oonj. adj. la. ÂG, nom. le même n. ÈGÀ que parvenu être arrivé, être une; se un, indéf. adj. met avant AGÂ, v. jus- Aga në Ndar, il est arrivé Agâ sûf, s'asseoir à St-Lo'uis. par terre. Vah lèn nu a(jà sûf, qu'à. s'asseoir par terre. leur de Cette expression n'est emiployée que par les supérieurs à l'égard dis de leurs inférieurs. AGALI, y. ?t« bu ina inorom, M m'a t;(v> bien nâ ma agali bu Agali bojm, m'a iil AGALI AGSI, g., très ni;il (uiiul r^çai. naka reçu aocueiil. venir, n. v. re- aocuei'llir, t.. Agali cevoir. approcher, s'approcher. AGUL, tif, {agâ, n'est il néga- nég., ne agul llgéy n'a pas encore fini son encore. âm, n. arrivé. AGUL, ANGUL, pas v. ul), pas il aff. Sotal AGUM, l'aime pas encore. Du-jn(Vgun bûr, ou du-nia bur agun, je ne suis pas encore roi. AHA! se dit et dans le Yalo à Saint-Louis pour agun. AGUN, adv. nég. pas encore. Ndah falu nà bûr? Dët agun, est-il nommé core. Sopu-ma kô'gun, roi.^ non pas enje ne oui certes, c'est intorj. cela. AHAKAN interj. ! certaine- ment! ah! certes! si! ^fasu-lâ hulô? ahakan ! Ne t'es-tu jadisputé.^ mais certainement, mais si. avec. Andal ak va avec lui. Bôlé kô'k sôv, mêle-le avec du lait. Loc. adv. Ak bâhay, avec bonté. Ak ntohorté, avec malice, mé- AK, prép. môm, — chamment. Ak dama, en paix, paisiblement. Ak mèr, avec colère, avec indignation. Ak mu>n, avec patience, patiéniment. Ak avec conscieiuce, sago, consLoc. prép. ciencieusement. — — And'ak, conjointement avec. oo.nj. et. Pêr ak Pôl, Pierre et Paul. Yà'k man, (p. yov ak man), toi et moi. Ak ne s'em- que pour lier deux noms, deux Aerbes ou deux membres de phrases ou deux propositions. Dans ces cas on emploie té. ploie jamais AKÀ adv. d'admiration, coml)ien! S'emploie dans la Aka jugaison adjuirative. bah! ilôkâ bah qu'ils bons! Akà ngâ bâh! yâkâ ! que! con- nô sont bah! que tu es bon! — y\K V., des travail. . AKA 3 V., croûte d'une plaie. écorce extérieure et rude airbrc5. AKA, V. n. s'arrêter ment dains une course, nir. s'est F«.< va ari-êté AKAL, u/n cheval V. subitese rete- akà na, le cheval subitement. t. dans i^tenir course. arrêter, sa . . — — AKU AKU, n. avoir les cheveux première fois. AKU, noiï^ de i>eiiple, Akou, V. tressés la ÀL, UL, IL, du, conj. adj. AL, nom. au d'un verbe neutre lui donne une Cfui, active. signification Dêh, être épuisé; dêhal, épuiser. Le même aff. s'ajoute aux verbes passits et neutres actifs, pour exprimer préposition la accompagnamt pour, française verbe français et signifiant: de la part de, à la place de, en Nân, à cause de. faveur de, le prier; pouT quel- prier i^àncd, Nânal nu Y ail a, prie Dieu pour nous. D'autres fois, d'un verbe il fait un suljst.mBegé, désirer, mbegcl, betif. qu'un. gèl, désir. ALÀ forêt, b., dans clier les aVura et cinipagne, couaba, champs, AVu)b nën, en vain, Ii Fanàn champs. gratuitement, s.nis ub nW, chien des Uad profit. Ijois, chica.l. Mbûni' (da. sanglier. Snritâ sois l)ien\enii ]e ALAIM (]., ALAK, V. dlie, es'père t. ahà, clin.mips. fies de caleçon. niau- ré])rouver, (limner. A .A K ré p r o b a t ion g ALx\KU, V. n. être réprouvé, être maudit; être misérable à n'avoir plus rien, mais par sa I • n. maU livrer se à prosti- se fauU^. que Arbarké. Gâ , . ahiku fia fut, lc> ré- pron\ és. ALKU, iii^iiî'S ALAL (]., avoi r, deTirée ALARPÀ q\:e Alaku. i-îche>.^>e, 1' , d., ) ))ie]i, rt une. (A), d., (A), séjour paradis, ciel, le des le biien-heu- ireux. ajouté aff., il., radical une; se un, indéf. adj. place avant le nën V. de tuer. ALDANÀ la. Al, les AI^A\'LÉ, toute sorte ALBARKÀ, ALBARKË, même Aoon de ALH 4 mercredi. ALDUMÀ ALDUN AduTm. ÂLË, f]., (A), vendredi. même fj., exprimant aff. que la si- multanéité de l'action exprimée });ir un verbe transitif avec une autre ad ion exprimée ou sousou bien encore la même action se rapportant si- entendue, multanément à deux objets ou à deux régimes. Bô démé var nga yobuâlé sa fétal, quan 1 tu partiras devras tu temps) emiporter ton (en même Lédèn, manger du couscous avec du poisson. Avec 'es A orbes neutres ce même affixe signifie un peu. Sorèy, knlé fusif. iérê'k être loin, sorcydlé, être un peu loin. ALÉ. ALI, un grand nombre de verbes neutres, susceptibles de prendi'e l' affixe al pour devenir actifs, sont plus usités avec ali qui a la même valeur. Met, mM, être parfait, achevé, melali, achever, parfaire. D'autres verljes sont employés avec r//c. Km, être égal; èmalé, rendre égal. ALÉN, V. t. nettoyer un endroit qu'on veut creuser. ALFA d., (A), grade dans la hioiarchie mahométane. ALFUX, (A), iuinombrable. ALH AMES d., (A), je;:di ALHURÂN d., (A), le Coran . . — ALI M.l, \. ôtor I d'im (Hais les \Ll, V. aff. \LKATI VLKl magique. di, ag:ent ALLAHIRA L (i / 1 i rh ' I plaît «"il chez parfois .\1.MÂNT, syiioanme (A), lualionu'titris, les c'est s-oit, entendu, chef religieux et de provinces mu- (A), Bondou Foula, du quelques autres du suil mânes. (A), le Messie. verl^^nacce à ijois et dur. Son fruit, g., Ijeau très alôm jaunâtre à l'extérieur, d'une pulpe suest ;rem;pli crée. Syn. Doki. b>, Al/rLNË ALUA en tahîeUe (A), d., ÀM, IM, UiM, adj. écrit des conj. du, la. AM, adj. indof. un, une; se plaœ avan't le nom. conj. ou N.dah hur ha di nn. qâv h — arn del? est-ce fie\\ que roi le — bientôt ou non ^ Gis ngn kô'm interr. viendra ajdv. vu.^ l'as-tai gcn? est- il pron. Gôr hVm, am mâ^e ou feimeille.^ po'îs. sa. Dèlô lui son i-jô ko am, Nag airgent. ? çfi- — AM, fuk'i Lôlu V. nâ. nag, am ii nû, y a cela de rend)on' m : au de mnu-ma, interj. tiens! lieu AM ! (AM-AM tuine, bien, A existe, AMANDO, ble, t. V. t. AMDIDAMA cfiiel on for- avoir en at- maison. c'esl avoir en sem- môme b., temps. celui avec le- en bons un li":bih'-' est en t<, raipports .'""e la Sunu (mvjhçUnim là, jiairitué de cliez nous. AMI':, AMP:L, V. t. avoir quelquel chose qui appartient à au trui, qui .regîîirde, qui intéresse nutrui. Anièl na la lef, j'ai quelque chose pour toi, qui est à toi, cjuii t'intéresse. AMËF essence, ce qui nature d'une chose. A^ltlAY g., grami.née c[ui fait im ]>eau gazon sous les g., coTîstilue la pa.lmiers. b., c'est A. posséder en AMLF Yalla prends! tendant. V. m n'ai avoir. (A), y a, je possesion, b., AMb!^^ na dix bœufs. existe. l'a-rgent. avoiir m AMIM àm être, exister, îî. Dieu (i(3 être gros et gr;is. A avoir du ccrur, être iuiperturbable. A nà dôJc, \] a de La force. A Saint-Louis, dans la voix négative on dit au-ma, rends- ses bœufs. am avoi]- fit, son, kl i, d'elle, hâlis ce (im, posséder. avoi)-, l. yaram, 1/77, frr rf r lundi. du Coran \e rse ts de (A), (]., sur laquelle on Ijois Y. hâlis, AMANDI, ALMASIU, \L0M Lu soit. r/n?, point, Diou. //is'4/Dieu. à ALLAKUBÂR, de hisirnilay, convenu. que mio n'de (A), AM, \m même d., a u t re ALIAIIU, ICihul de police. Àlaku. V. , Ah'. b., Nà vrai. qui est. ce qui exikS'te. 'Lff menu! à nm. 'l'imposslbiililé, ce qui ne peut exister. jiiiils. ALIKf^N AML 5 amen! ainsi soit-ill quereller se disputer, se chamailler, avoir un différ<jid avec quelqu un. rixe, n. querelle difféiend, AMLÉKAT chioaneur, se dispute, démêlé. b., brouillon querelleur, AML AMLO, avoir, V. G procurer, t. AMPAGAY, sorte d'encens. ÂN, ajouté qui, alï., à un verbe exprime la profession ou l'habitude d'une action. Ligéy, travailler ligéy an, ; est profession. en raanassé petit tas, dé- décombres ou barrasser dos des balayures et les amonceler. AN, V. n. dîner, prendre le de mlidi. dîné, repais AN b., An vèsu na, de midi. dîné est p.issé. repas le adv. AN' A, Ana mu? où ou.^ Ana g or ga? maître de la maison.^ est-i'l'^ ANADI, V. ANAL, V. ANALÉ AXAM ANâ\, jaloux être n. — un des n (L) un lègue, miendier dîné, aller par men- — AXDA, b., parasite. poële. n. être ou aller ^ ou aller ensemble, accompagner, fréquenter. Ndah yov rèk'a di and'ak môm? Estce que tu iras seul avec lui ? avec, être v. col- n. V. être d'ac- compagnon. b., ANDANDOL, v. mettm a. d'arco7(i. ANDÂR mesure dé capa- d., cité. ÀNDl, aff. qui, ajouté à un exprime l'idée de faire une cil ose en attendant qu'on fasse une autre, ou d'être encore ce que l'on était. Binda^ écrire; bindàndi écrire en attendant. Dundâ, être en vie ; dundnndi rm, il est encore en verbe, mort. Andando. ANDO. \D0 aff. indiquant le con^orrs sin«ultané. ou la> l'action encore ^'. n. V coo[)ération à pas n'est il de plusieurs sujets exprimée par le Dekâ, habiter; dekmdOy ensemble. Dèm, aller,. dèmandn, ailler ensemble. verlje. habiter ANGU, un objet gné), voilà; argi (p. un pré-enli. voici; angu (p. A:nGI, indéterminée, par ici, éloignée) ou . part, éloi- (p. distar:re , ANANKAT ÀXDA b., faire faire v. compagnon, b., ANDANDO, cord. — — — dîné. t. avec, associé. ANGA. queil- jalousie. n. ANDALÉ dém. Anga refuser t. v. habitude dier ou v. envieux v. que chose par ANAM, envieux, fortune la b., ANANÉ, livre. aller accompagner. faii^ A\l.)(> dîner. à d'un p.'igc qualités d'autruit. être avare. ANÂN le convive du d'ner. V. de est faire mu vie. donner t. V., où dîner peu. n. b., ca- accoinjpagner. Amul ku and(d, il n'a personne pour se travailler niédicaFad, ment/Cir; Jadân, exercer la profession de médecin. AN, v. t. emporter ce qui par ou être (amuï, gêné), b., ANDAL, ANDÀLO par raccroc. hété. AMÙLGEtNÉ ami, confrère, b., marade. adv. bu Ti ANG A-NDÀ faire ()l){eîiir. Syn. — objet une proche par la. ajoutée à quelques verljauv et con'tr-ictée , pronon.s avec eux, quand il y a rencontre de di'ux voyelles cette pairticule sert à former des pro- noms composés qui s'emploient isolément comme verbe, et qui servent à conjuguer le piésent , — — AN(; quelques d<nis Mangi, v<^rl>os, niungi, mingi, môngi, niingi, nôngi, yen angi, nungi, nôngi. yongi, jmhigi, — — yâiKji, — part. , , être V. ôtre ici, Ne prend jamais de forme là. Ndnh nésrative. g'angi maison Où est il là miingi ; mungu par ici. Munga pore? est ton 'est maître ici? est-i'l oui, ji, ker de la m^ingi l'ai', Ana sa bây? bornjn' Le fi ? fu, par ici ; ou ici là. ANGÀLÉ, ANGILË, dém. part. de Anga, roborative <:oi est il fi, est il il fa, an^ji. ANGÔGU, ANGÔGÙLÉ, forme de même la autre particule. AXG p. Angà a. ANGAT (L), p. Agun. ANGÊ p. Angi a. V.\GÉ ANKO, • I V. aff. ANTAN, H. être capable t. pouvoir, avoir ANTANLÔ, — de, b., A tan, contenir, cap;icilé de.. rendre ca- t. pable. ÂTÉ, «ujet au supposa,nt aff. plunel et expri- îmant une idée de Dam, blesser; daiiianlc, se réciprocité. ble^^- ser -mutuellement. Aie seauble parfois remplacer unie, car il même la iDiaiser ; Fôn, significntion. fônâté, se baiser mu- tuellement. ANTU, rerbe, amul évaluia- apâ, indéfini, indéterminé. APÀKÂT estimateur, éva- b., luateuir. APÂT, être n. V. par une course ou essoufflé, chaleur. la APO, V. n. faire ense^mble une convention, pactiser pour un temps. APO b., même Â.R v. convention, que Âd. pacte. entourer un arbre t. ou un champ en par- tère (A), V., ARÂM, ble, carac- lettre, d 'écriture. horreur! c'est (A), int. être i crime, illicite, n.bomina- êhe uiad. aràm, bâtard, fils (terme injurieux). ARÂM, V. t. du avoir détester, en horreur, ARBARKË b., bonheur, béa- bénédiction Arharké* "Yalla! da-ma ko dèf, par le bonheur de Dieu, je ne le ferai titude, ANTÉ, iim estimation, ; Lu tion. Dôin que la X. piration une a>])C'iiii'3n;tion! ARÂ'M, V. n. être mi. même estimer, apprécier, t. convenir d'un temps, d'une époque, d'un terme. AP b., terme, échéance, ex- A RAF être ami. n. V. à ticulier. balayures. b., APÀ, temps son passer évalueir. AR, AXGUL, même que AguJ xA.MT foantu, jouer. fruitier Angi. p. ARË aff. qui, n jouté à un exprime ordinairement de s'occuper ©on temips à. a 'idée à, ser Fo, ,de p^as- jouer, pas. ARBIS du b., qui geaison pied, faire et une ARDO ARDO d'ébat. déman- au qui finit dessous par y plaie. d., (]., — escargot; vient chef des Peuls. espèce de jeu ou V. t. jouer au jeu de Ardo. gfARËN Gerté. d., (K), arachide. Syn. . . —8— ARF ARFAL ARFAN d., pas- (]., qui sans ooinip rendre une oan vexation et sans y prendre part dit: oui. Arfandu né ira sa ni vav, pajssiant le preuve que ARFAN, ARI, dit a c'est oui, : V. Adi. discuter sans n. laisser à l'adversaire le teiups de répoïKlie. aff. ARSAL, V. AS. V. t. |)oiii[)€r ou puiseir toute l'oau dans un. navire ou dans un ])urts. AS, avec fuir n. un bagageis sac village qui est nom. AS m., nid ÂS, V. et me- Am est iné. a dix ans, il mu At ans. est il nâ fuk'i af, âgé de dix nèkâ, at mu nè, chaque année. AT b., V. Hât h. ÂT, S'uff. qui s'ajoute certains verbes pour indiquer une répétition plus ou moins fréquente de l'action. Quelque?i fois il valeur de la -a Aendre; (h^iyât, vendre ati. Ddy, et revein- î du corij. qui indéf. adj. le b., pompe ou instrupour vider l'eau d'un puits ou d'un navire. AT m., an, âge. Ta at màlé Ui dm du, c'est l'autre année d e nacé d'être envalni. AS, IS, US, adj. de la. ÀS, avant ASU ment qu'il] vraii. n. ouirdir, tramer. V. ATÉ met se ÂT pour faire pour empêcher qiuelqu' action, pour exprimer une surprise. ÂTAM interj. pour chasser un animal. ATAM interj. terme de déexclamation ! marcher un cheval, ! terre. à faire t. nid le par ! terre. dai AS, ASTÉ, raison, que, tôt au compa- de canj. jdu- de, lieu que. A SÂK À ASÀL, s . pr ù mà ce , interj. certes. AS AMAN s., oiel, firnuament, temps. Asaman sèt nà, le ciel est clair; asaman râflé nâ, le dépouille de asan^an tùn nâ, se ciel ges; est nua- ses temps le sombre. ASÈR (]., (A), samedi. ASKAN V., famille du du père; hoimonyme, qui môme nom ASKANÔ, du côté m'en préserve ! ! ! ATË, t. Kayor et le Baol. jugement, décision. até, porter une sentence, décider. DagaVaté g., sentence alors le ATË Do gai b., portée, arrêt. ATËKÂT parent à V. aff. An té. juge. ATÊNGI^'L {ufé, angul), pas encore jugé. b., ATP^TI, Dieu Dieu «e interj. que Anfaii. juger, être arbitre» d6cid*eir, juger à propos, gouverner, régir un pays. Di nâ jâ dèm, su ko Y alla até, j'y irai, si Dieu le veut. Dàmèl a don até bol) nie Kayor ak Baol, Damèl qui gouvernait c'est V. ÂTÉ, le {Hwl'il m;' nie coté paternel. ASTAFARLAO plaise être n. AT\N, a de famille. V. bail! 1, conde V. fois, ATËUKAY où se i"end v. t. t. juger une sejuger enooire. b., -la tribunal, justice. lieu . — ATI ATI, oncor-o, adv. ko dcjê sô plus, lu n'irai plus je dcfatê) mukà, vor si de noiiko dèf ati, (mieux ali uf}dàti-ni(\'!: fais Bii derocheil'. \eaii, a^ec ne le encore, lais le 9 AYAYLÉ, V. t. «e dit d'un objet qui passe entre plusieurs, mains, ou qui sert h plusieurs personnes. Tëré bi avavlé, \i\vc passe AYO ATIL, aff. Il a le sens de « ne plus jamais faire ». Dèf, faire; défatil, il ne fera plus d'un polyagame. jiajmais. tivement, chanter ATLÉ, le aff. donine au verbe répétition plusieurs Il sens de de siidte. fois donnant le sens de h aibi t ue leme n t f ai te-s ÂTU, aff. ch oises Dây, vendre; dâyâtu, l'aire le comimerce. Quelquefois il donne au verbe le même sens que 1 AYU, AV, a\ant il y ne il AIJ-MA, Y. adj. ne plus. Li- nég. aff. Ani, aAoir. qui indéf. nom. Av ay le guerre par a plus. travaille se aug<a met fa, là. ÀY, (rto) V. t. même que Ev. AY, (ao), V. n. uiarcl.L'.; (];t:i'S chemin. Av-lïm y Cm vilé, le marchez par ce chemin. v.t. recevoir dans les mains un objet qui est lancé comime uine — Aval li nu qu'on t'a peloite. trape sani, la ce at- lancé. pose. Lot à fatigué, AYÂ, av nià, ko, il ecit -remipilace-îe. n. AYANÉ, V. n. AYU b., irefrajin, écho. AY V., guerre, querelle, corde. Dama g en ay, la indus- V. t. se remplacer mutuellement. 'AYANTÉ b., emplacement mutuel, action d'alterner. en dis-, paix vaut mieux que la guerre. Ay u bîr'rëv, guerre civile. Âv ay a fâ ne ha, il y a guerre là. AY, est n. V. être gâté, être dé- Sôv mi ay nâ, ce tério^ré. gâté, il lait- tourné. est AY, V. n. être périodique, revenir à son touir. Bès bii av, jour qui revient à son rang, V., périodicité. A y u bès périodiciiié des jours, semaine, Ayuhcs vu dë, semaine passée, — y ri ayiib'cs ùer, di 'Semaine. prochai:-M\ ÀY, V. méchant, être n. lavare, mauvais, être, être mauvais cœur, avoir incoimpatible, être na fi sod, est mauvais Ilasoivûn ây rhume Ay >n\à AY AY, ! (le guérit). il in t. cri suff. pour (Prov. le vol.) mauvais cœur. a bîr, basilic le de douleur. qui, ajouté en à un un. désignant la qualité exprimée par le verbe. Bâh, être bon; héhay, bonté. Ajouté à um verbe actif ou neutre, i\ en fait irn substantif d 'action Tahav, se tenir debout taiha vay, action de se tenir debout qualificatif fait substantif être trieux. AYANTÉ, alterna- le irefrain chœur. verbe Eve. pr. chamteir n. V. (pliante) AY, (rto), V. t. remplacer quelqu'un, prendre sa p^ace au travail pendant qu'il se re- femme, premiiêre b., aritu. ATUIj, géy(dul, dà nu, ka de l'un l'autre. à toi. ce ; AYA AYANTÉ, AYO, 'tn AYO v. n. aile mer ut utilement. AY-AY ! int., excclamation pouT encourager à lever ou pousser un fardeau! AYAYLÉ, V. in. à alterner, faire xhacun son 'tour. Se dit des femmes d'un seul mari, qui ïont la cuisine à tour de rôle. AYAYLÔ, V. AYÉ, t. "^on V. tour. t. faire agir alterner. chacun à ÂYÉ, V. t. refuser, défendre ou prohiber une chose par mauvaise voilonté. ÂYLÔ, ÂYÔ, V. rendre mauvais. t. toujours en guerre, en parlant de plusieurs entre eux. AYÔ, faire n. V. terme employé un taire porte sur être le dos, légèrement sur enfant en le pour qu'on lui tapant derrière. ,, , . B deuxièmo B, comme prc^nonœ absoliimeni de ralphabet volof, lellre soit avant, soit après en français, uno voyelle consonne B, défini qui est tiales, la. l'ad- — — celle passé), plus fréquemment avec di^orses iniprimidans les noms et cependant noms oom- semble Elle tifs. de C'est initiale le, la employée plus usitée avec les monçant par des lettres Quand les. ordinaiTement à toujours plu- elle s'associe celui qui ex- prime une peirsomie. ploie nasa- noms ont les acceptions, sieurs Elle s'em- avec i° : les noms dérivés •en k^il; 2^ u\ec noms dési.miniii les Ivuils les tandis que la elle-même pieiid ordiconsonne nairement la (j. ; 30 avec quelques noms dérivés terminés en ay; [\^ avec les noms déiivés en iikay. ÂB, IB, UB adj. conj. 'B, p du, de la. BA b. (L), tante, sœur du d'une plante; plante père. B que Bàndoli, autruche. BÀ, Bl, Tërc ha, livre-ci; ©st — , nga par adj. conj. , qui-nd; bu (poui' quand. Bà bl maintenant présent), le Bà (pour v. lorsc{ue, futur), le ma le. (p. que ; lorsque, deke Ndakaru^ lorsque je demeurais à Dakar. Bi ma danga tëré bilé, maintenant que je lis ce livie. Bu ma dèmé Bcr, quand j'irai à Gorre. BALÊ, BILÉ, BULË, ce, cette. et rel. là. ( — — — , , celui-ci, adj. pro. , celle-ci, dém. dém. celui^,. -ej^e-lfi BÔBÂ, BÔBU, adj. dém. forme, expressive, ce, ]^lus ndèy! bôba cette. quant à moi, ce comprends pas. dém. celui-là, celile4à. — — — , BÔBÀLÉ, BÔBULÉ, forme , , pron. dém. que la. adj. plus expressive précédente, ce, cette. pro. M an dégu-ma ko, mot je ne le bât — — — , , dém. celui-là, celle-là. Loc. Ta hôbâlé, pendant oe temps, sur ces entrefaites, à époque. Ta bôbàlé nak^ Jckà nà mu dér bu méti, or sur ces entr3faites. il arriva qu'il tombât très malade. cette BU, tëré ici adj. bu, ma may là). le le (qui — — , Tëré ha qui, que. on, la. bi, livre le ou par rel. le déi". iëré livre; le que livre — — — — m'avais donné. pron. rel lequel, laquelle. tu , adv. môme b., ah. BA B jectif ha, : , , même que Bai et abandonner, permettre, tolérer. Ba ma^ bai ma, bayi ma, laisse-moi^ BA, Bayi, V. t. laisser, tranquille. céder, Ba Y alla, affranchir,^ , . — BA 'On Ba nâ ko dit: nâ Yttlla BA ko, ha BABÏîKAR tin-pécheur. laisser, de lipermission, délivrance d'un escla\e action h., d'abandonner, oence, d'un prisonnàer. BAAL, BAHAL, BAL, v. t., pardonner, gracier, permettre, X)U Baal nénu la sa i bakar, on t'a remis tes péremis. *C'hés, tes péchés' sont que, ^ouffri/r ma, Lêl, baal par- je t'en prie, BAALÉ, BALÉ, v. gratuitement, pardon- t. bonne p:ir ko lèkâ, îlaisse-loup, le loup ne le m^ange pas (jeu de mots). BÂBUN BÂD b., l)a,rrique BA-ALÉ se BÂLÉ g., par- le g., te BABA b., graine qui, repousse BÂBAK clianvre g., sansevière. ressemlolant à ré- la d'Afri- une C'est à un petit taichetées, ifeuilles racines iBÂBAL, Y. paître grand matin BABAL longues. t. même que Mbâtroupeaux de les à la rosée. pâturage du ma- g., BABALÉ, V. secouer, hous- cé^ler ,n. fu- bondir, sau- donner du se (F.) b., baillard, ci- facile- pardonner Jacilememi. BABIT, part. adv. Aé habit sert à exprimer l'action subite 'et spontanée de quelqu'un qui prend la course. Syn. ^Deber- brancard. iSyn. Nopi-ker. se n. V. se débarrasser dont on est BADEN débattre des liens >liié. b., sœur marraine; du père, tante paternelle. Dôm Il badàn, eousin ou cousine, fils ou fille de la sœur du père. BADÉNT b., enflure des pau- pières. BADO unique, qui n'a semblable. Incomparable. Dôm âm du di bado, scm fils unique. Day ni bado, être unique dans son genre, n'avoir point de sem'blable. expression de respect et de reconnaissance: Yal n\a la Yalla fèy, nalày! Musé hadol Veuille certes, Dieu te récompenser, point — n. V. BADBAPI, pour à Syn. tin à la rosée. tièt. t. cabrioler, BADAR premières aii\ .BADAiNTU, vière, Adèr. inent, V. t. pluies suivantes. bal, besoin avoir t. /BADAJVTAL b., espèce de aux pieds. restée champs après les grosses en mouvement. m aloos, V. BADAiNG, tiller, ou soiée d'une chose. der pardo,n. Baalu nâ la, Je demande pardon. BAALUîLÔ, BÂLULÔ, v. f ad re de ande r p airdo n plante ou barrique BADAiL b., espèce d'abcès qui forme aux yeux. iTonole que moitié de (F) baille, deux. don laooordé gratuitement. BAALU, BÂLU, v. t. deman- colle, biabouin. g., piller. volonité. dans espèce de mar- b., B\BUKJ g., même que J5ambuhi, rectum. Babuki, buki du BAD ALI, Tionne-moi. ner BAD 2 affranchi. Yalta, et l'ai }e, I b., de , — Monsieur incomparable terme de mépris ou d'indiffé! rence, vre Bado bà féhi nïi, le pauest mort (esquivé). homme . BAD — V BADOLO, BADOLÀ b., paysan cultivateur, roturier, indigent; qui est obligé de vivre de son travTail. Au pl. on dit Vadolo w1. BÀDÔM,*BÂRÔM b., céphalope, ou ,biche toute petite, brune, : oorne. sans BADU farine de galette b., de mil, BAÊNDI, BAYÊNDI, en attendant, seir t. lais- différeir, sur- pour un discontinuer seoir, v. moment. BAF, V. t. grimper. Bâf garap, grimper à un arbre. BAG tout espèce de vaise servant à puiser l'eau dans un b., puits. V. BAIl m pTOvenaint d'un usage i mémorial; coutume d'une nation, d'un d'un pays, Suiva bâii i ko vota, un c'est etc., vil'lage, inàn i du-nu lé, droit tradi- de nos ancêtres, nous, ne l'abandonnerons pas. Bâh bur la, c'est le droit ou lei tioinnel devoir du mensitrues, BAHÀ Bâh roi. digèn, i règles. une lace a. C'est g., es- pèce de hampe se terminant par un feuillage en ombelle, qui La fleur, donne un Lar, èt disparaît vite» fruit rougeâtre, V. i. iBAHAL, V. t. Syn. nnnu. buki, i BAH AL, BAGÀ pour faire bouillir, améliorer, bo- BAG An à g., les grande cainebasse BAH, i . b., n. V. des . au phy- BAHAR couleur n oi.re vant peureux, poltronnerie, lâcheté. b., rolle, b., g., de servir BAHAV oiseau avec verte BAHAT ourdissoir. bouillir, — lâche, ipoltron, bo'u) ourdir. BAG BAG I, V. n. trennbler me nib re s Sy n Dag dag . BAHAR fils bois. BAGUKAY BAHALUKAY, h. bouiBoire, b., BAH AD b., (peu tissage. le ourdis âge; b., ou prépa- ourdir, t. ichaîne la ourdis en — nifier. BAGÂ, rer i3 praniinée fourrage. pou^ mauvàise ziznnie, b., de. queue l'a et au moral. A'do/i mi bah nâ, l'eau ibout. Suinà hol bah nà, mo,n cœur est bouil- herbe dans lant. premiière fois, détruire pour la sique BAH, V. q. être l)on, être vertueux, bien, Y alla bon. Bah nà être valide, être utile. nâ, c'est Dieu très est bien, c'est être être sage, très bcùh loi, bon. Bah bè dof, être bon à l'excès, Lu béh, (loc. nom.) ce qui est bon, ce qui est bien, le ibien. Kâ bâh, l'homme de bien. à la folie. BAH coutume, Bâh i droit b., usage mûm, coutumier, traditionnel. droit ou devoir BAHAV, première — les V. t. sarcler fois herbes. (b., mier sarclage. BAHAY bonté, cultures. du pr^^ MBAHAY g., bénignité, BAHBAHLU, la mauvaises les travail b., pour v. sagesse. n. faire sem* q. faire sem- b liant de bouillir. BAHBAHLU, blant d'êt}'e v. bon. BAHIT, v. t. cultiver le riZ: le hoynn appelé iongii ou a\ec koJyi. BAIILÀ h., mulet, mule. — BAIILÉ, Bâhlé nâ V. avoir t. de j'ai fas, i bon. peu de péché, «e point comment tre V. BAHLU, V. bon rendre bon. se rendre bon, t. t. pour V. t. posséder une en propi^. Kénèn bàhô nâ ixgem giâ, un autre possède le don de la foi. BÂIION BAIIM b., cor- b., BAHOR b., fruiit d'une plante aquatique que l'on mange en temips de famine. BAKÀ, à battre le tamla ilouange de quelqu'un. BAKÀ V. n. exécution m., musique par le de la commet- t. BAKARKÀT péché. pécheur. b., V. aider à pét. cher. BAKARLÔ, V. comtomber faire t. mettre le péché, dans le péché. faire BAKARLÔANTÉ, v. s« p. mutuellement tomiber dans le péché. BAKÀT g., gra minée. bakân! par ma vie! parole d'honneur! Ndokâ sa hakàn, salut de félicitation à une personne qui a échappé à un grand danger. Bakan bu tapandâr, nez camus, applati. Bakan bu jata, nez bouclée. Bakân bu nor, ,nez marqué piw Sumà ma la -petite vérole. nez qui fait BAKAR Bakan bu nos, nasiller. péché, b., BAKIS Walo. Elle commune 'liane g., Gayor dans Je surtout dit-on, a, mes propriétés que la et le mê- les quinine.. Syn. Péis. tamtam. BAKAN, BAKËN b., nez. vie. Dund'u hakàn, le cours de la vie. v. tre ensemible le faire beau. tam de péché. BAKARLÉ, soi. BÂIIO, . BÂL BAKARANDO, BÂIILÔ, quialité — bons chevajLix. rendre I/i faute, crime. Bakar l)u ré y, péché grave; bakar bu di dëlo, péché mortel; bakar bu di rèy fii, péché qui tue l'âme; bakar bu BAKU, V. chanter se p. soi- même.. BAKU b., pour remuer la marmite. BAKURAA morceau la de bois bouillie dans grand taureau 1)., du troupeau. BÀLÀ, BÀ LÀ, conj. v. avant avant de, ipour que. Bâlâ nît a bûJ}, UgcY, pour qu'un liomme soit bon, il faut qu'iil que, Bà la gudê dot, ma dèm, avant que la nuit arrive, je partirai. Bà là gudé ây, het bir, avant que la nuit soit mautravaille. vaise, jour apparaît. le BALAFOAG de musique Mandingueis, b., instrument par les fabriqué péché léger; bai:ar bu niM â baalu, péché véniel; baka-^ u nduduâlé, péché originel; bakar u sago, péché actuel. Dèf bakar, comimettre un péché. BAKAR, V. t. pécher, commettre une faute, violer la loi de dimensions graduées et suspendus à des planchettes que l'on frappe coups sec's. pa.]' des divine. rage. tût, BAKARADI. v. n. commettre petites et consistant en callebaisses BALAK BÂL AH b., b., (Ang. black) ci- viande en ragoût. — BAL (né), BAl.AL.AJ. loc. nuisibles, .ani'maux BAL.\AKÉT autres grands BALÀV, balle h., gue pour tuer lon- adv. nous, navire long de\aint trait BALÀV 'b,, BAMBA, Nag ii halè, bœuf noir. BÀLÉ, BILÉ, BULÉ, voyez noir. ^ BAMÈL ne t'occupe pas de bnoatelles. Nit ku haré bnUnî, farceur, plalsaiil. BÀLT, yakali bàli, regarder avidement, imanger des yeux. Halcl bi drfn set tcrê di té di yakali bâli, cet enfant mange le couscous des yeux. BALOR g,, gros serpent vé- don. faire deman- BAMÂ, v. faire t. des de cordes au métier et les roulant sur les tresses non (L), en faire des g., servant tresse à cordes. BÀMÀH, bemeh, ser, Ban heurter. lequel, t. pous- — pron, Bnn laquelle. ti nga begà? lequel veux-tu.^ m., argile, b., terre ghiise. que Mban même V., odeur. BAN, V, t, ne pas vouloir, désagréer, refuser, résister, haïr, se refuser à. Ma ban, je ne veux Ban nâ ko pas. dèf, 'i\ n'a pas voulu le faire. Il s'em* ploie souvent pour suppléer à l'absence des prépositions d'op^ Sédél nà ko ba.fï ko. rendu témoignage contre position. a iil lui. Votai bakar, ko baiï quitte le péché, ne mets plus. ati, g., le dèf com. — bananier. b,, banane. BÂNAMLU, V. n. BANAY (/lé), part. flairer. exhrder- v. une odeur. blant de v. n. faire sem, refuser. BAND V., de espèce pois.; sons. g., (L) Syn. Dambal. arbre. fruit v. fos>-e. quel jardin.^ tôl? inierr. BANDÀ genoux. IBAMÀ tombe, BANBANLU, der pairdon. griot. b., b,, BANÂNÀ — BALOY, nit ku bonhomme. BÂLU, v. t. demander pari. [)ubli. BAl\, adj, interr. quel, queUe^ BAN BAN jnbâJé g., pardon. BALENT 1)., babiole, bagabaliverne, telle, futilité, fadaise. Bill topato yef i halènt, V, que rumeur une rumeur m., BAMBADO Baalé. BAiLÉ BÂLULO, même t. BAMBA^L^RAiL, loc. adv. Bo. Toni kanam gu né banithamâ^ ral, ho mime à figure remplie et joufflue ou enflée. et qui inairche bien. BALÈ, se dit d'un bœuf tout nimeux. v. BAMBA étroit Ba, Bi, Bu. BÂjLÉ, V. réc. se pous.. v. heurter mutuellement, se Marna, répandre publique. bnlœv A'ë d'une chose qui passe vite, Dân éa né balàv ti sunu kanam, le serpent passe comime un BÀMAIIANTË, que. animaux. part. BAN ser, éléphants et îles dit se — se v., montrer, se faire voir, surtout en parlant de seri)enis et d'autres 5 même du BANDA ventre nom — d'un b., (iL) arbre. gros g., blanchâtre, serpent à la à têt^ . r. des ay^ant Cbat. est Il isouffle très son venin. riANDÀKAT griot oomime un venimeux ot dents troubadour, ]., ani})ula.nt. vandal y., b., pl. une qui [;end à de cheveux. 'B,A:\DAL Verroterie Ires'se BANDÂLU, Bandâru, n. V. être même bidiancé, se que ba- lancer, BANDÂR, l)randir, V. balancer, t. -BANDOLI Bâ b. autruche. b., Svn. nà ban g or bà, sauvez-vous, il serpent) a gonflé ees poches de venin. (le BAN H À g., plante aquatique comestibles. BANIIALÈN b., (L) sable menu et blanc. à de deux mots miandini^s: duhi, fil, ligne, longue suite; ban g, palmier), la Gamhie, et principa(dériiv. lement l'île et la ville de SteMarie de Bathurst. BANËII pays. plaisir, b., ainsi, BANÈHU, mon bon c'est V. n. se réjouir, dans la joie, être content. Bakarkat bu rèy menai à banêhu banêh bu ôr, Un grand pécheur ne peut pas divertir, être une joie BANÈHUiLÔ, avoir joyeux, véritable. V. t. BANKÀ, rendre content. . . BÂNGAR et (F), BANKÀ, fonner, d'ar- V. V. ban- faire n. a il chif- froisser, t. courber, (ait croiser les b., fort. (L) BANKARNI, BANKU, V. n. s'accroupir, en courbant entièrement, se se homme V. redresser. t. courber, se blottir; fonné, être froissé. BANKU ladie b., qui a blance avec être chif- nom d'une maquelque ressem- le tétanos. BANLÔ, V. BAINILU, V. faire . t. refuser. percevoir par sentir. l'odorat, BANLU BANT allongé, poutre, rendre B.ANGÀ b., (L.) nom générique de différentes espèces de co u rges Syn Nâd é terme branche b., rameau. queroute. Bankà nà, faillite. Syn. Ndôl. volupté, plaisir. se du fruit de cet arbre. b., jambes. contentement, délectation. Banèh bu bon, plaisir mauvais, voluptueux. Topa banèh yu bon, être voluptueux, adonné aux plaisirs sensuels et mauvais. Sumà banèh la, cela plaît — BANHÂS bre, jouissance, me fruits BANlfANÔS b.. suie. BANilANÔSË ])., arbre ' BANDUL, b., du serpent qui se gonffe, quand il est en colère. Dâv-lën, firi V. Bandàlu. n. V. MBANGIR 1)., personne privée de doigts. Syn. Ganâ. BANGOiR 1)., poche de venin (L), lancer. BANDÂRU, BAN BANGFR large à sa racin'C, fort 'plate et — g., odorat. morceau de bois b., pieu,, tige levier, poteau, de plante, bâton, mais non dans le sens de ceux ^'apsert pour dont on se puyer en marchant. Au pl. on dit aussi: bois de vanta yà. Bant'u lit. BanVu fètâl, lal, crosse de fusil. BanVi sôtu, morceau de bois servant de cure -dents. BVN BmiCi kehi, à HAR filer est glissant. our- F as va bar na, petits BAR joncs doTit les femmes se serchevent pour se friser les veux. Trgô i vanta, tirer à la courte paillle, ou lirer au sort -en jetant des pelils morceaux sa uva/ge. de bois. Darnô hanta -e dit de deux personnes qui font serment de s'engager à une chose ou qui se font une promesse quelconque, en prenant un petit bâton, et le tenant chacune d'un bout, elles le rompent, r;)\in, Banl'i <ibsoir. bai?ent le et arriver. ram, avoir uiro taille doit •c-t fine. BA^TAMARl':, B \M A n., café nègre. C'est une casse indigène, peut-être le meilleur succédané du café, et l'une des plantes les pays dams le utilisées plus -comme fébrifuge. BANTU, V. n. flairer. BAP g., — abondante BARA H LU, de du ou bredouiller, en articulant mal ,'u] riciilniie. habile à timr ; ii in- être BAR, MBAR, v. q., être glissant. Yôn ri bar na, ce chemin Nrh Jyârnm., un dard ou Au pl. on une arjr.e à !eii. dit: vàra.ni y. Bàrani riété haricots (le dé, i va- longues à gousse-s. BARAM, v. BARAMKAÏ tresse les les l)uste, V. V. ou celle faire tres- celui c lie veux. n. qui travail, se tordre. liomme reuipoi'te à la V. i. urie (laji< BAUAT. t., 1)., BARAXTi. pa-sS^"]- b., cheveux, BARAX, an tresser les che- t. . BARAMU, perdu, en parlant des bêtes du troupeau, ou des esclaves qui fuient. n u dohonu, Bàràni u diÇ'â, doigt maBàrani ii tof u digë, doigt anniii;Iaire. Bnrni u sanhalè\n, BARAX V. déy — dex. les mots. BAR, ii u sanikay. — dohGumkay. ser n. Bârâm pied. Bàrâm pouce, par- v. Béni (Ar.) ! Dieu! expression usitée seulement par les mahométans. BÂRÀM b., doigt de la main qui vite des mois ou lune 8© BARAK ALLA forte BÂR, du fait soit beau-tem^ps. rosée du matin. ler On en très rives musulmane. l'annc'e veux (S) graminée nattes. légère du soufflant régulièrenord-est, ment avant l'aurore, pendant h., un verser lofng des le fleuve Sénégal. brise — li^a 11. pide Syn. Bartahi. BAR A H g., être le V. descendre une pente raou un endroit escarpé. doigt > Y. Hel. g., pente' e-;carj)é. jeuir. BAiR 1)., gueule-tapée, espèce d'iguane. g., trouf)e, foule de travailleurs qui trav ai lient ensemble. BÂR d<>:>cente, 1), <Mi(li'(>it l)\KV(iLl', ya- sv-elto ni.unaise herbe. 1)., r,\R\GL\Y r;ipi!e. glisser. n., v. cheval a glissé. espèce de tabac ]e b., BAR\ doit résiliant un iji-dlieur Dèka htuit'u mourir, ou lui diinbi, le — pour bagu, fusoaii main. Bant'u la V. 1). fort, ro- sur tous lutte. vanner, p;issoiro. glisser. trier, BÀR BÀRAY couscous granulé. n. aller par en b., BARDÉ, V. en haut et par purgeant. RARÉ rè'h b., séJcii 8 b., en bas, V. cheval blanc. Bacheval gris-pom- quantité, être i Lôlu baré nâ, bœulis. (le cela va assez bien, réponse éva- ou pour ne insignifiante, défavorable de de l'état d'un malade, quand on en demande des nouvelles en dire rien BARÊT, disant: ngâ N<àké Nit nu baré nànu dèm di vandé nu g en à baré it di nânu dèm safarâ, beaucoup de monde ira au ciel, mais un plus grand nombre encore ira en enfer. Bê mu baré, loc ad. beaucoup. Neyul ma ko bè mu baré, salue-le beaucoup de ma part. Nu baré, un grand nombre. BÀRÉ, V. Beré, BARÉFULÉ, V. v. tromper, V. t na en BARKN V., t. mouche à abon- miel de l.^eaucoup a il Barkt'bày , il! <: BARKËLÉ BËRKÉLÉ b., b., mulet BARKÉLU, IBARLÉ, être béni. n. V. V. avoir t. des bes- tiaux de perdus. BARMA BARMA de danse. grande chau- sorte d., i)., dière. BÂRMOL veau petit b., qui de naître. vien'l BÀRÔM b. Y. BARS A, V. n. Bâdôm. dissoudre faire bois de teinture. le BARTABARTA, sure égale. adv. me par nânu Vété barta- bartâ, ils ont échangé par mesure égale. BARÏALU, MBARTALU, descendre v. d'une pente la n. col- line, traverser un ravin, glisser ou rouler du haut d'un endroit dégringoler. Syn. Ba- raglu. dérivé de Bar. V. BaragUi. BARU, rendre dant, faire abonder. V. grâce, for- bénédictïon du père, bonne fortune lissant sur le fils. d u p(M j a BARKKL, v. t. bénir une personne, une chose. grand nombre. BARÉLÔ, bti'^J:é, BARÏALU, avoir... bénédictioin, \ i Ijoriheur, bonlieiir. nuire par malice. BARÉLÉ, i)., bonne chance. .4m nof n il du bonheur. Baré escarpé, t. t. t. tune, hnrké, al- danâ, v. roiileir fitr-. Lola Dieu est abondant en moyens, en expédients. Baré nâ bè epâ, baré nâ bè hepâ, baré nâ bè tèpâ, il y en a extrêmement, beaucoup, il y en a en masse. BARAGAL, Bereng, faire prospi' : nak, baré nd bu bâh cela va beaucoup mieux maintenant. Yalla baré nâ mpèhéy, nâ-' très-glissant. objet. BAR Kl': com- dèf ? ment vas-tu.»^ ou nâkà mu dèf? comment va-t-il.^ on répond qui et Batah adv. part. c'est BARGAL même que abonder, affluer, n. dard point de n'a bar et, nomDiu breux, a^voir beaucoup. baré nà nag, un tel a beauen sive qui un BARÉ, coup BAR se loge dans les arbres. se me Ir. être — répéter air ou — b., aLr ou un chant. action ou un chant. répéter un reprendre n. v. un de — _ même que Bos, pron. Sumà bas, le mien sa 19 — BATANSÉ BAS, posvs. ; bm, sunu bas àm, le sien; nôtre; son bas. le tien; le bas, le vôtre; sèn bas, BAS, V. BASA^^G leur. le j BÀSAP ou d'ar- /i/sap Y. Sénégaml)ie. h., de BASBASI, BASÉ ib., couscous, .Basé' couscous aux haricots. esipèce de poieson. BASI mil, grois b., sajuvage poussant ]e> clfins BASIN BÂT lettres les b.^ ou phal)et, m pila. — de- bouteille. mot. role, Bât BAT, V. ha, le battre, n. gou- voix, pa- "\erbe, Tahar. \. bahoil. II ]'a]- «le gosier, cou, b., lieux B. l'A. partir em parlant de la détente du fubatatul, sil. Fètal <gi déjà hur, ce fusil est rouillé, la détende ne part plus. BATA, BAT, mil et BAT le v. t. égrainer né bai tëré'm, il montra vivement son livre. BATA, V. t. tirer sur la détente d'un fusil pour faire pairtir le coup. Bat al sa fétal, tire. BATÂHÈL b., lettre, épitre. BATAKOLÉ g., figuier dont . viennent en grappes Syn. Soto aldanâ. fruits sur la tige. BÂTAL, BATALÉ, ner nalé. par V. V. détracter." t. t. donSyn. Do- léguer, testajment. et vieux en nies BATITOR b., racines, réu- les douveteux faisceaux sont douées de propriétés vomitives et toniques. au collet, BÂTIR superstitions. y., BATISÉ, V. administrer baptiser, (F) t. sacrement de baptême. Ndah batisé nânu la? Dëi, Est-ce qu'on t'a baptisé batisêngu-nu ma, non, on ne le .^^ m'a pas encore t. Es-tu baptisé suis baptisé. suis pas lu que Batisé ? — ba'ni? que c'e?l v. nga? nâ, je ne je sacre- b., nga Ham. Baptême. batisé di batisé Batiséu-jiia, baptisé. ment de — baptisé. Ndah être baptisé. Sais-tu ce Baptême? le BATISÉKAT b., administra leur du sacrement de Baptême BATISÉLO, riz. Mu (né) bu a il gro^; b., BATBNTOR, mil <]c humides. Syn. du gui» u Bât BATBATOR sorglio. sorte b., ivre-mort^ ivre-mort. verwonia dont BASIMBASl les léza rd. ûébé, lot adv. baWor, bé être droi- tige et feuilles. BATÀTOR, ruisseler, n. V. d'épines fortes sut la et Nân nà 6., jallilir. les comerte lanée jusiqu'à oseille le ou avec faite -ne bre. ,v., potagère. Batansé golo^ dahatii dan g, est ime so- nervures des n;iH<> g., des filaments de aubergine, b., plante tes polir. t. BÂV V. faire t. bap tiser. BA\ avoir pluie. la BÂVAL japper Coran pour n. lire le V. de lal^oyer, n. V. , BÂV, MBÂVAL b., — b., ra v. \. donde manger. ner- la ration ne manger. BAVAL, V. n. inonder, se ré- tion pandre mungé (le tous côtés. né bavai, pand de tous BAVIvÂT BAVLO, se ré côtés. 1)., v. Ndoh mi l'eau t. aboyeur. faire aboyer. . BAY Iv'V^ 20 père, 1)., du frère BAYU, V. t. honoier quelqu'un com'me son père. BË, BËL, BÉY, prép. et conj. pjbro oncle paternel. Boka bdy, avoir le imême père. Bây hu maxj h., frère aîné du père, oncle paternel plus âgé que le ou Bây bu ndav, frère puîné Bây teh, père adoptif, père. du père. père nouricier. BÂY terme interj. ! à de une chose qui faire Nânal pugne. ten- un enfa dresse pour enigager garap lui t ré- bây. gi, bois ce remède, iniom cher. C'est aussi un terme de compassioi. BAY, V. Y. t. Bry. BAYÀKU, BAYIKU, BAYKU, ^enir de. Fô bayâku? d'où viens- tu. Syn. être n. V. parti Jusqiies, jusqu'à, tant que, si bien que, pour, de mianière que. Agsil bè filé, arrive jusqu'ici. Dôr nâ ko bè mu dë ta tahavay, il l'a tellement battu qu'il est mort sur le chamip. Loc. ad^. Bè sotail, entièrement. Bindâ nâ tërê'jn bè sotal, il a fini d'écrire sa lettre. Bè epâ, excessivement, trop. Bè fi tèy, jusqu'à présent. BEBALI, BFJLBALI, BOB ALI, — V. de, " — B étalé. S\n. ter. v. n. pé- au fig. ra- BÂYBÂYLÉ, V. à son père. BÂYDADÀ, BAlDADË a un ventre gros. qui b., large et BEL), gris charme, gris- V. t. le corps. BAYIBAYILU, v. BWLÙ g., BAIYI ib., Y. faire n. BAYMO animal (b., domes- BÂYO, V. n. n'avoir plus que père, être orphelin de mère. BÂYÔ, Y. t. qu'un pour son prendre père. quel- a tête 'la le à queue. la chabot, b., les petit plus fem- (L) b., son, pois- grosse un dard corps et qui a <BBDÀ tique. cajoler t. que la FelerJay. enfant avant l'âge Syn. Mùmin. raison. V. mes. BÉDÀ semblant d 'abandonner. BAYIKU, Y. Bayâku. le le son qui Y. Ba, Bai. du feu du bois. faire (L) t. bâiller. BËD b., (bouton volant qui produit des déniiangeaisons sur porte-bomheur. BAYI, de V. frottement Parpar. par Syn. BÊD, b., (Prov. bâillement. g., BEBALIiLÔ, V. t. faire BÉD g., chapon. ohèsf BAIÉRÉ a soif la dormir. de BEBALI , regarder t. bâiller faim, la Yol.) doter, dire des choses qui n'ont pas de ra[)po'rt entre elles. quelqu'un comme son père, lui témoigner du respect comme causes: l'envie et BAYÀKU, BAIKU, gemént, mar, trois Dogé. Bebali, yèt'i gây: bâiller. n. hif, résidu de farine. BËDÂ, V. BEDBEDI, n. V. suppurer. pleuvoin. à verse. BÉprN b., tahatière en corne corne d'animal ventouse ; ; appliquée avec une corne; grisrenfermé dans une corne. gris Bédin corne du ne defcâ \bopâ sah, la pousse pas avant la — Bf:pO, de BÉG, l'eau d'ume barrique. mettre se pr. à BÔGÀ, BUGÀ, begta, lâ c'est w. i. amde Mbour h que je veux aller. Lô ti begâ? qu'en veux-tu.^ Begâ nâ ti nâr derem, j'en veux deux gouri des je (lo ne Begu ma francs). le veux ko, V. désirer t. vi- vement, vouloir beaucoup. BEGÀBEGÀLU, semblant de vouloir. BEGÀBEGÉ, BBGÀDI, V. V. n. peu, ne point vouloir. BÉGADÏ, BÉGARI, n. v. être miécontent. BBGÀKÀT amateur, b., cupide. Begâkàt amateur de chevaux. -sijeux, BE<jÂTU, dans v. profit i choses. BEiGÉ, v. t. A^ouloir beau coup, désirer ardemment. BEGÉBEGÉ b., ambition, cu- pidité. BEGÉBEGÉKÀT ambi- b., tieux. rapace, qui désire avoir beaucoup de choses. g., g., V. manière de BEHLÔ, V. BÊHUKAY t. MBËHUKAY b., b., teinturerie de bleu-clair. BEKÀ, cous V. le remuer t. une avec petite le couscalebasse refroidir. BEKAJVÊG b., ser- seirviteur, domestique, gar- valet, çon ouvrier, ministre. b., compagnon b., MBEKANË- de service. BEKAJVÊGAY GAY b., service de doimestique, de servante, ministère. ou v. n. servir, être dans une maison en qualité de serviteur, de servante ou de ministre. travailler BEKÀTAL b., que perstitieuse cérémonie sul'on fait (quel- ques jours après la naissance d'un enfant, ordinairement le huitième jour, et seulement chez les griots et quelques autres rares familles. v. t. prendre les — BEL b., barre d'une rivière, son em^bouchure. BÈL, V. couler faire t. d'une barrique. l'eau vou- loir. BÉGLO, tein- t. vo- lonté, action de vouloir. BE(GIN, v. v., oiseaux par une attrape. action de prendre les oiseaux par une att' ape. b., MBEGÈL légè- bleu-clair. BEKÂTAL, BEGÊKÀT BEOÈL BÊHAL, MBÊHAL, dre en BEKANÊGU, défas, chercher du ti. toutes pagnes des dit BEKANÉGÂLË être avare. vouloir t. Se olair. vante, faire n. v. l'ciito- couler laisser t. BEH, V. t. délayer dans l'eau, du savon ou chose semblable. BÊH, \MBÊH, v. n. être bleu- pour pas. BEGÀBEGÀ, V. rement colorés de bîeu. conteni. être n. cbaponné. être n., V. V. vouloir, souhaiter, désirer, bitionner, aivoir l'intention Mbûr de semblant de vouloir V. BEGÀ, creux — part. BÉDU, donner des coups t. au in>ac. îe se battre étant soûl. BÉDU, V. [joing fanfa- faire n. V. faire BEH, anleii- insectes. des ron, gunùr, u Bédin \i'U\ no-s BËL rendre content. marché V. à t. gagner dans un gain forcé. 2 BEL BÈL, vent, n. ne pas aller au parlant d'un bateau. V. €1) BÈL, remporter n. Y. une toire dans la — lutte. vic- b., vic- dans une toire rempoirtée BÊL BEN lutte. (L) feu. b., BÈ, conj. Jusqu'à ce tellement que, afin que. iBÈL, que, BBLBELI, Y. n. v. Bebali. BELEMÉ, BELEiM, v. ac- t. cueillir mal. BELËNT BÈLI, V. b., (L) V. Balènt. être aimable^ q. gracieux, sain, avoir un beau teint, avoir recouvré une bonne nak, yaram Sum^â santé. enfin bonne nâ béli recouvré j'ai une BELIS BÀLIS b., b., mauvaise concupiscence personmauvaise tentation. nifiée, BERLOL b., b., BELUS, V. bà lebasse s'amollit. belus nâ, la Syn. oal- Nor. éclater avec bruit. (né), BEMBÂ, s'amollir. n. Gamfhà BEiM mugir, beugler, en parlant du taureau et des bœufs. g., beuglement, mugissement. V. n. — BEMBÀ, fMBEMBÀ, MBOMBÀ, V. t., égrainer l'épi du gros mil après l'avoir préalablement gril'lé. BEMBU, V. n. griller égrainer pour soi-même épis de gros mil. BEMBU qu'on a m., et des MBEMBU grillé et m., ce égrainé pour soi. , BEMEH, V. Bâmàh. BEMEHANTÉ, Y. Bâmàhanté. BÉiMPÉM — Té 'bémur b., MBÉMPÉM b.. nâ mpèhé'Nhèl tâ mu Sèlâ nriâ, elle conçut par l'opération du Saint-Esprit. BÈN pour Bè Né. jusqu'aujourd'hui. BEN b. pommeau Bèn téy, u tèg, dont. Ben d'une selle. Ben u néy, défense d'éléphant, ivoire. âni, il a caché les dents (pour dire: qu'il ne s'est Rèy nâ ben pas montré gracieux). Dëal befi, dents. les menu. sable blanc et b.., Banhalèn. Syn. BÊN de terre vieux vase b., troué. et BÊN, cir- conci* qui est guéri. — rien n. BÊN démon, maladie d'yeur b., pendant la nuit. avoir cette maladie. BÉMUR m., MBÉMUR m., conception, v. n. concevoir. amabilité. b., BBLOR ment V. agacer santé. BÉLIAY BÉPÉNTÀ de ceux qui ne voient absolu- V. BENÀ, faire un mettre à l'envers. t. V. percer, t. trouer, déborder, entrer dans les terres en parlant de la mer et des rivières qui débordent. v. n. être percé, trou, — troué. BÉNÂ, (ce suffit. Bènâ Bènâ c'est simple double). Yépà pas n'est un. oard. n. doy nâ ma, un me la, il y en a un, bènâ, yépâ bènâ lâ, c'est tout un, c'est la même chose, tout de même. Bènâ'k bènâ, un à un. adj. num. un, une. Bènâ dekâ, un village. pron. num. un, une. Doh nu ta bèn^i, donne-nous en un. Dapu-mâ tâ bènâ, je n'en ai pas un seul — à — ma disposition. BENÀBENÀ b., petite BENÂT, Syn. trou, pertuis, ouverture. V. Volé., p. être vermoulu, — BEN 23 BENÉ b., nom qu'on donne aux habitants du Valo. BÈJVÉ (M) sésame. b. BÈNÉFALA g., . une tre, village. autre. Von bènèn V. la forme pron. indéf. bènèn, mon- ta ma Doh autre. donne-moi bi, — — ma un tre-m'en au- Bènèn deka, un autre. autre un indéf. adj. cet autre. ma ne s'emploie que dans sui^vante. Su bènèné, mieux su bènèn yôné, du ko dèfati, une autrefois, je ne le ou n. BÉNGAL rin fruit le ne soit entièrement mûr. b., petit pilon. s., BÉJVTÉNGI Son à faire iBENU percer, BÉNTÉG g., g., fromager, ouate. sert arbre bois est léger des pirogues. instrument b., poinçon, silène, à et ber bè sèt nâ, attends soit jour. Ber sètangul, fait pas encore jour. BER, V. Hâ- faire jour. à qu'il sèt, ne il vaniteux dans n. être ses habits. BER, V. Bar, bredouil- n. v. ler. BER m., MBER m., dér, de Beré jouteur victorieux. BÉR, V. t. mettre de côté, mettre un objet dans un coin ou à sa place. BÊR g., spondiacée à bois blanc très mou. C'est, dit-on, l'arbre qui aurait donné son nom indigène (Bër) à Gorée, BER, V. n. avoir congé. Ndongo ber yi. nânu congé ont tèy, les aujourd'hui. BÉRÀF, BÉRÉF pépin du b., melon du pays, pastèque melon d'eau. Lu bérèf ou fètâ- dal ti anda'm. Le pépin beau sautiller (dans la casserole), il retomibe toujours sur son compagnon. Bérèf u bu/ci, le melon de l'hyène ou melon fètà, sauvage. pour amor- çoir, foret. BÉNUR, commence Ber jour. b., a Syn. Féhé. bomibax, BET b., chaque jour. Ber sèt, ral gousse du tama- g., avant que BElNKÀLÉR BER bu élèves plus. referai BER il haute graminée à odeur aromatique très prononcée. On s'en sert souvent dans la médecine indigène» V. Dafan BÈINÈL, n.ord. unième. N'est que dané le guère employé nombre composé durom-hènèl. BÈNÈN, — V. BÉNURAL, être n. après a^oir fixé lune. le soleil ébloui, ou la BÉRATLÉ, BÉRAL, éblouir. t. du V. mouvement. n. se Syn. donner Badbadi BE'RBIT (né) faire un souSavul né fier né ber- bresaut. bit, lage. b., ré- t. et Kerkeri. BÉPÂ, adj. intdéf. tout, entier. Dekâ bâ bépâ, tout le vilBEPÂ, V. n. en parlant de v. server la part de quelqu'un. BEJRBERI, V. BEP, V. Bip. BÉPÉNTÀ BÉRANDÀ b., longue perche pour conduire une pirogue. BERÀiNG, V. t. V. Bereng. crouler, tombeir case. V. Bémpén. Saûl surpris fit un sou- bresaut. BERÉ, lutter. — BÀRÉ, b., V. n. jouter, joute, lutte. . . — BER. BER MBER m., queur dans BÉRÉB droit, BÉRÉ b., lieu. plac-e, gam, m., vain- lutte. la b., en- Béréb san- miné). endroit (indéterBéré bô mené dèm, quelque Béré bu mu men que ce tel que part tu ailles. â dôn, quel- qiielqu 'endroit part, Béréb u ndadé soit. que bà, le rendez- vous. à MBÉRÉHU, jaser, n. MBÉ- parler à travers. BEREK b., BERÉKÀT anus. joûteur, b., V. t. griller, rôtir. BE/REING, BERMC, BÉRONG, t. rouler un objet. BERENGAL, V. t. faire rou- un objet. BEREA'GU, v. p. être roulé. BERElP (né) tomber à terre. MBERFÉRËN BE'RFÉRËN Dânu berférën, tomber adv. du hauit mal, avoir des conler , , V u lisi o ns ép i lep t iq ue s BE'RIKÀiL, salut qu'on dit au berger, quand il revient à la maiscci. BEIRKÀ, prép. avant, aupaNe s'emiploie que pour les jours, Berkà démbâ, avanthier. Berkà big, avant-hier au ravant. Berk'ati démbâ, il Berk'ati bîg, soir. jours. trois au trois joums BÉRKÉiLÉ y a il y soir. b., tente des Mau- b. mudet, mule, V. uriner, n. pissoi BKRU g., MBËRU g., urine. BËRUKAY b., urinoir, lieu où l'on urine. BE.S, V. appuyer, pousser. presser, t. serrer, comprimer, soutenir, — pression, b., action d'aippuyer. BÈS journée, jour, b., opposition à jour BÊS, V. nuit. la par suivaint. ou vanner cribler t. em- des grains au vent qui en porte la menue-paille. BÊ ! exclamation de d'étonnement, hé! surprise, ! de cribler nouveauté. action b., — au vent. BESTElN, V. porte un bâton. avec b., BBSTENU, V. B'ESTENUKAY ipour BÉSU, V. appuyer t. avec un bâton, la porte. bois bu Bès être appuyé en parlant de p. barre h., fermer q, la être la de porte. capricieux, lunatique. BET b., œil, ouvertiiie, per- Bet &b tankâ, la cheville du pied. Bet i tên, endroit ou l'eau jaillit, sort de terre. Luhoti bet, arracher les yeux. Borom'bet yn gudà, sorcier, devin qui est censé voir plus loin que les lautres. Bet u dân, graine pisiforme, rouge, tachée de noir, de la liane réglise et du hundèl. Bet du dôy lui lu mu ham, t'œil ne pleure que tuis. celui qu'il connaît. (Prov. Vol.) res. BÉRKÉLÉ bardot. BERLÔL b., BELOR qui est guéri. BÉRU, se mettre à b., cir mis à l'écart. Nor bet, malicieux, fourbe. BETA, n. être percé, V. troué. BÈTA, concis être BËRU, BÈS A Y BEREM, a BÈT BÊS lut- teur. V. — topa, BÉRÉHU, RÉHTU, V. tort et 2^1 l'écart, V. i. surprendre, sur- inopinément d'une manière subite, venir , arriver à l'im- — BET — provisto. Ak surprise, h., 25 — BETLU, V. t. regarder un trou ou une inopinément, vers fortuitement, à rimproviste. BETÀ, V. t. essayer de re- Syn. bètâ, subiteiii€'nt, muer un qu'on fanJfeau ne peut pas soukve)^, BETÂBET ouver- lure. BËTÀBÈTALÉ. avoir de n. V. quoi être surpris. BETÀBETÉ, reposer se n. V. ehaque instant en transportant un fardeau trop lourd. BÉTÀKU, V. n. (L) tomber à sous fardeau. le BÉTARNI, ner et BITARNI, tourner en v. inverse, retourner, BÉTARNIKU, t. tour- changer. se pr. V. sens inverse, refré- V. BÉTÉ (b., BÉTÉII BETÈK petite deux betèk, s'emploie — journée, jour. i betèk, j'ai tra- journées. Dâ ma cherche des jour- je nées (pour travaiiller). dans — quelques v. n. moquand des du verbe. Su beteké, le milieu du jour sera arrivé. DETÈKU, n. travailler à V. la journée. tion à quelqu'un, ne pas l'écouler. BÉTI, a Bélà bèy a aniimal sauvage). BÈY BËY (Prov. vo'l.) panaris. b., briquet. ib., BËY, BÀY, cultiver, n. V. mauvaises les une première herbes Lu nu fois. béyul, Béy dugup, cultiver du mil. Béy malo, cultiver du Tiz. BÉYÂT, V. t. sarcler pour la ce qui est inculte. fois. V. n. sem- faire cultivateur, b., sar- cleur. BÉYLÉ, V. t. aider à t. faire cultiver, culti- ver, à sarcler. BÉYLÔ, faire V. sarcler. BÉYT, MBÉYT! inte^rj. holà! Bà, Bi, bu. BIB, V. t. chasser les oiseaux des -oh a mips de mil. Su bib mpitâ doté, quand l'époque de chasser les oiseaux sera venue. BIBAL, V. n. Etre bien portant pour avoir été bien nourri. BIDALI, V. t. rappeler, re- V. BI, mettre en mémoire. /BETÉjNGI, BETÉiNGENÉ, v. t. mépriser, ne pas faire atten- un Bèl. yûhu, la chèvre bêle avant de mourir. Bèy bi nu yapà, reis nà mhus, il est trop tard de faire un mbus avec la peau d'une chèvre dévoré (par un BÉYKÀT partie de la jour- Ligéy nâ nâr et chèvre. blant de cultiver. chèvre. plomb. b., b., midi. betek, ut m., BÉYBÉYLU, inopiné. être n. née depuis lo h. jusqu'à h h. Gis nâ ko ta hetèk, je l'ai vu au milieu de la journée. Dig'u vaillé BÉY seconde tiller. BÈTÉ, fente. Yurlu. BÉY, V. Bè sarcler louirner en sens tra- 5 dë, trou, b.,* HID V. fardeau, soulevé. même par terre quelqu'un, qu'on t. jeter BIDANTI, Los vu bidanté n. V. bidanti, se lever tard, Ku torticolis. hif, paresse b., homme engendre misère. BipAV blancs. veux — blar.cs v. n. ou à cheiveux avoir les che- gris. Dôr a bi- — Bip, grisonner. Hur bè bidœo, couvert ou blanc de moi- dm\ être 6 ^ commis. d., Bindânkât BlpÉ b., griot d'une extrême impudence et très méprisé. BIDÉNTÉ, V. t. faire la conquelqu'un. ;i BIDÉY Bidèv étoile filante. BINDU, se faire, V. BINDUKAY BINÉGÀR BiG, adv. hier au soir. Berkà bîg, avant-hier au soir. BILÉ, adj et pron. dôm. dér. de Ba, Bi, Bu. BILIV, V. n. bourdonner. BIJ\I tirer Vèn angé biliv bilivi, les mouches bourdonnent incessamment (tout autour). BILIV g. (biliii), bourdonnement incessant, agaçant. BIN, V. n. montrer du dédain par certains mouvements des lèvres. BÎN vigne. raisin. a bln, vin. Dôm u de r'iioiup B1>DA, gistrer, u u Garap garap Tôl u garap u b., v. t. inscrire, bîfi, ' bîiï, în, toi vigne. enre- écrire, \e\er un plau; engager ou affermer quelqu'un pour travailler moyennant paiement et pour un temps déterminé; créer en parlant de Dieu. Yallâ bindà adun'ak lu ta nèkâ lépà, c'est Dieu qui a créé le monde et tout ce ren- qu'il ferme. b., Créateur, écri- vain. Bl\DAN, v. t. faire mé- le moyennant d'écrire rétri- bution. ÎUM)A\ écris ain bureau b., — missement. gémir. BIMIT plainte, gié- soupirer, n. v. limon, boue, terre b., glaise, vase, fange. Binit lahâ, pour écrit. vinaigre. (F) b., soupir, b., créé, bu flu argile. BINITÀ, v. t. construire, bâ- tir. BIOTÉ, V. t. construire un navire. BINTÉAT, TÉVAT, v. douber un BINTÉHAT, BIN- reconstruire, navire. t. ra- BIP, BEP, part. »dv. Né bip, dit d'une chose qui tombe subitement. Tav bà né bip ti gâl gà, la pluie tomba tout-àcoup sur le navire. BIP, BIPÀ, V. t. arracher violemment, tirer avec force. se BlR b., venitre, entrailles. déf ma méti, j*ai mal au ventre, Bîr bu doav, ventre qui court. Bîr dèrèt, bir Sumâ bu bîr di Bîr àb dàv tafia, dèrèt^ dyssenterie. bir âb tanènt, dys- sanguinolente. Bîr àb dyssenterie violente et continue. Bîr bu har, bîr- u harèntân, bîr bu harân, colique sèche. Bîr i naniy boulimie, ifaim insatiable. b., au senterie BtNDÀKÂT tier fait, s'inscrire. endroit où l'on ment. t. être p. créer, se éorire, v. mu- s'écrire — brusque- BIF, BIP, v.n. tuellement, entretenir une correspondance par lettres. b correspondance, commerce par b., bu fahâ, comète, étoile. ndalôré lettre. BIDOK, BIDOV b., u historien. BINDANTË, sissure. duite BÎR de b., RIXDAMxÂÏ profession, b., iscribe, valatân, — moral, entrailles, tère. Ây nâ bîr, cœur, il a carac- mauvais BÎR 7 cœur, caractère, ^ùl bu fïûî, homme sans bir, Ak cruel, impitoyaible. bir entrailles, iliil bîr, impitoyablement. Bîr ba lâby mansuétude, bonté, clémence, état d'une b., douceur. — femme Qapâ en enceinte bîr, intérieur, de- de la l'intérieur à bîr'ker, maison, dans la cour intérieure Ta bir-â-bir, d'une maison. au fond. Doh ta bîr, au milieu, à travers. Dèr u garap gi rèk'a bâh, bîr ba bâhul darà, c'est récorce de cet arbre seule qui est bonne, l'intérieur ne vaut haute mer. la Bîr'gêt, rien. b., jour, ne s'emploie que dans l'expression suivante: Birô-bîr, chaque jour, jouirnellepasser — ment. Syn. BÎR, à v. épier BÎR, usité Gir-ô-gîr, pajrlant être n. que bès-ô-bès. rempli, prêt être n. en V. d'un clair, dans . épi. n'est l'expression suivante: Bîr-ô-bîr, chaque jour, jouirne lie ment. Syn. Glr-ô-gl-, V. être n. enceinte, femme V. i. rendre une MBIRIT g., étoile g. paille y g., point du matin. pour tressée les cases. BISÂP, BASÂP Guinée. Les de oseille g., em- très feuilles, ployées, ont réellement un goût d'oseille très prononcé. Les dif- férentes variétés sauvages sont: bisap u alâ, bisâp u dèr, bisâp u buki, bisâp u golo. (BISÂY ib., Aeit d'Ouest. BIiSÈT h., griot d'une ex- comme trême impudenice, le bidé. BISIMILÂY, au (Ar.) nom de un Dieu! se dit pour conclure accord: soit c'est entendu, c'est convenu! d'accord expression dont se servent les marabouts pour sanctifier certaines actions et qu'ils prononcent avant de les comimoncer. exclamation de surprise et d'étonnement. On dit aussi — ! — : Bisimilây dama! BISKA pincette b., très pe- tite. boisson b., avec faite le BITAKAL sole enceinte. démontrer, BIRAL, V. t. promer, expliquer. BIRALÉ, V. n. faire la veilpasser la nuit sans aller se coucher ni dormir jusqu'au •point du jour. b., veillée prolongée jusqu'au point du 'lée, — jour. BIRIT du jour, très forte, du ngolon. fruit BIT m., MBIT m., gland. avoir conçu. /BIRAL, oiseaux. BIT bès-ô-b'ès. Bl'R, 13IRAMPÂTE fb., espèce de mange les petits vautour qui BIRO b., qui vei'leur, 1)., veillée. lia couvrir — tout-à-fait BIRALÉKAT faiit animaux, con- des dans, milieu d'u<ne chose, Ten(ers d'une étoffe par cxpposition à l'endroit qui se dit Biti. Ta traverser, BIT ou simplement dapâ parlant cevoir. grossesse. , — sur les BITERNÉ, BITI endroit étoffe, (b., ou de b., boîte la bous- bateaux. v. t. V. dehors, beau Béiarni. extérieur, côté par opposition signifie l'envers; côte à d'une Bîr qui ou rivage de la haute mer. Mangi sënu biti bà pâlé, j'aperçois la terre Iv.-bas. Dèinai tl biti, va-t-ea — BIV Ta tielïors. biti, ti 28 BOL BOpU en de- biti, extérieurement. BiV, V. n. ibourdonner, en- BOF, — en parlant des mouches. BiV (né) part. adv. se dit pour exiprimer l'action de pous- V. BOFKÀT V. b., V. — bras. — BLIS b., V. Beîis. BO, contr. pour Bu nga. Bô ko dékaté, nga %wn ma ko, quand tu y auras mis la dernièie main, tu me le montre- t. V. t. BOHARNI, BOHOM, BOHU, V. V. dèm avec, BOKÀ, t. se bokâ ndéy, vandé baku fïu bây, sont frères de mère, mais non pas de père. Mbot'a gen à begà ndoh, vandé mu tangâ boku ta, le crapaud aime beaucoup l'eau, mais non pas l'eau chaude. (Prov. vol.) ils fïxrv foin. Bà, bi, bu. BOBÀLI, BOBI, n. V. V. t. V. Bebali aller faire BOL du mouillée. farine b., M'BOL, v. n. égrainer l'épi de petit mil ou de maïs fait griller au après l'avoir feu. m., épi de petit mil ou de maïs cueilli avant le temps BO, foin. BOBU, Y. Bn, bi, bu. BOBULË, V. Ba, bi, bu. BOBUKAY faiie participer Bokà dehà, habiter le même Bokà dono, être cohéritier. Bokâ ligéy, être collaborateur, travailler ensemble au môme travail. Bokâ bây^ avoir le même père. Bokâ ndéy avoir la même mère. Dâ nô première syllable de la et troisième formes de l'adjectif démonstratif. Bôbà, bôbâlé, bôbu, bôbulé. Y. à, être de la par- village. BO, BOBÀLE, de tie. ne deuxième BOBU, appartenir arvoir part à, à, jour. t. parent, 'la l'ai plus revu. Bôbâ bèn téy, depuis cet^ époque jusqu'à ce v. être même famille, allié, agrégé, de même espèce, faire corps meurs avec un péohé mortel, en ce cas tu iras en enfer. Bob' ak tèy gi- — conj. donc, oon- n. V. égrainer. cacher. la ta safarâ, si tu foin. arracher de t. p. BOK, MBOK, b., cou- couveuse. mettre sous le mettre une ca^e. V. séque miment. BOB œufs. de bras. le BO, iBOBÀ, adv. alors, en ce là cas, depuis lors, dès lors, dessus, sur ces entrefaites. Sô bô nga dëâlé bakar bu réy, je les action cacher. t. dessous ras. du couver t. couvée, b., yBOHÀ, de heurter. BiVAY b., bourdo.nnement. lors, oCi ver. ser, satu-ma ko, depuis endroit aire, b., égraine. l'on hors, valiir — du h., instrum nt — à foin. BODÀ, V. t. se dit des bêtes cornes qui se donnent des coups de cornes au ventre en et ' se battant. ïiODÀ, V. BOpU, V. t. p. ég rainer. être ég rainé. grillé. BOLAH à b., BOLÂTÉ, v. ler , b., BOLAiNG ensemible, socier. V. Boloh. Bolong. adjoindre, col- V. t. se cotiser, s'as- ROL 19 I^OLDI^ !>., marteau de forgeron indijîène. BÔLË, mêler, mélan^fer, incorporer, «Hier, assembler, accoupler, annexer, agréger, ameuter, conV. t. ensemble, mettre masser en un tas, acrecomcu muler, agglomérer, mander une personne à une autre, lui donner une recomauprès de quelmandation qu'un. Bôlé nâr, doubler. Bôlé centrer, ameuter divers adiinâ. pirtis, — entre eux. les brouiller v.p. s'immiscer, se mêler dans une Bul bôlé affaire. samâ ti yef, ne t'immisce pas dans mes af- faires. mélange, b., mixtion, assemblage. ou boli bàli). v.n. se joindre, s'unir, — se réunir, se rassembler. accouplement, ble menl. BOLOH b., peau qui imion, BOLAH certains du menton. Syn. écroueries. BOLÔ\G b., — b., fine, homme fois et v. épi fluet, bien s'entretuer. V. p. t. frotter avec la main, ou avec un linge. Syn. Fômbà, rag\à. BÔMBOiLI instrument y,, composé de trois bâtons que l'on frapper fait l'autre en l'un contre pour agitant, les écarter les singes et les oiseaux, dans champs. les BÔMKAT trier, assassin, b., meur- homicide. Bomkàt u bây, parricide. V. être mauvais, être q. en mauvais état, être F'Grvers. Lu vil, mail, bon, le mal, et surtout ce qui est conà l'honnêteté. Lu gen â bon, ce qu'il y a de pire. Lôlu les t. t. b., mord mourir. assassiner, n. faire tortue d'eau sem- gésier. grand strophanen forme de gouspointues réunies deux à ses deux par le gros bout et simulant deux cornes de bœufs. tus à fruits Syn. Léngé, toh. BONLÉ, du avoir nâ i fas, avoir mauvais, t. Bonlé désavantage. j'ai de mauvais cheV. vaux. BONLÔ, tuer. V. rivière blant d'être mauvais. g., égrai- MBONÂT, de terre ou de douce. b., Honhonêr. V. — BONAT BÔxNDA de petit nuit, fait cela est mauvais, c'est Bon-à-bon, être détestable, être dans un très mauvais état. g., avilissemenl, mal. BONDÉ grillé. la bon ma, m-al. de hommes, attaque quelqueen masse les animaux do- BOM BÔMANTÉ, BOMBA, V. fait. espèce de fourmi grandeur, mestiques et S^Ti. assassi- b., homicide. Bôm u bây, parricide. Bûm u dôm, bôm u halèl, infanticide. BONBONiLU, ma- b., moyenne qui ne sort que les scrofules, NgaL svelte, V., (ie dessous BOLANG mil préalibilement BOLCL gorge b., BOLU, MBOLU, ner pour soi un noire fanon, la bœufs. — b., assem- b., pend sous de rigot. MBOM b., meurtre, traire BOLO, taille BOM nat, dissolu, (vahali Bah. Y. BON BON, BÔLÉ BOLI — vais, V. pervertir. t. rendre mau- BOPÀ et au b., BOP — têté, au physique commencement, marail, pommeau, poignée. Sujnâ hopâ à la j'ai mal dèf ma méti, Borom'bopâ, homme de tête. tête, et surtout personnage célèbre, auquel on attribue cersurnaturelles et superstitieuses. Bûr'Salum, Balé Ndav, borom'hopà là von, le taines qualités du Saloum, BaM Ndav, roi était homme supérieur du pays). Deher nâ gens les hopâ, degéy nâ hopa, il a la Deheray u hopâ, tête dure. un (disent KeVu hopâ g., crâne. Ham ma bopa'm, se conles savoir soi-même, naître Sa garder. les convenances, vah amul hopâ, sa vah ilakâ opiniâtreté. hopâ^ >oe que tu dis n'a point de sens. Tangâ nâ hopâ, n'â chaude, il est irascible, il est emporté. Rërantal Téki ma hopâ, se déguiser. il a tête la nàn hop'i i sunu Borom, ex- 3o — BOR sèn hopâ, en eux-mêmes. — sure de quantité. Bop'u fiance tête ii V. Sohmat hopâ. loc. pron. Sum'â bopn, gêt. moi-même; sa hopâ, toi-même; hop'âm, lui-même; sunu hopâ, nous-mêmes; sën hopâ, vous- mêmes; sèn hopâ, eux-mêmes. Bâlâ ngâ fadân, fadal sa hopâ, de avant de faire le métier toi-même. guéris-toi guérir, (Prov. Vol.) Bop'âm lâ, ou simplement, hop'âm c'est son affaire, tant pis pour lui. Môm hop'âm, il est émancipé, il est majeur. Nav nga sa hopâ, tu t'es loué toi-même, ôlu nânu nâ pris, de Bopâ hu grande réy, (réunion de plusieuirs têtes ordinaires de tabac). Bop'u Tugal, tête d'Europe, (réunion de plusieurs feuilles de tabac tête, ensemible, expédiées liées ÀM BOP' qu'elles telles le com- nom d'un dans sont merce). TUT, mois de l'année chez les Lé- bous. BOR homme Borom'hor, qui doit beaucoup, ou auquel il est dû beaucoup. BOR b., igros poisson lone: de dette. b., cinq pieds, dont blanche et bonne quatre à chair e^t la à manger. BORl b., hémorragie, v. n. gnement du nez. — saisai- gner du nez, avoir une hémorragie du nez. BORIKU, V. BORHAL, p. V. s'éoorcher. par passer t. une porte presque fermée. BORLÉ, V. t. BOROHLU, V. avoir prêté beaucoup. K'amul — me- - tabac (trois feuilles de tajbac). commencement le plique-moi de l'oriiison dominicale. Bop'u proue de navire. Borom gâl, jopâ h., enflure de la figure, d'air, coup d'un provenant n'ont pas de con- ils passer t. pénétrer, travers. à BOROM b., maître, seigneur, commandant, gouverneur, possesseur. Sunu Borom, Notre Borom' dekâ, Seigneur, Dieu. Borom' ker, chef du village. chef, maison. Borom'Bër, commandant de Gorée. Borom* gouverneur de SaintNdar, chef de Louis. la Ana horom'pâkâ hi? où maître de ce couteau.^ ce mot entre dans la formation de plusieurs noms composés. Borom-katan, maître de est — le BOR va tur dont le doli, homme nom est illustre, courageux, Bo- célèbre. Borom- aventurier. rom-solo, fit, Borom- tout-puiîysynt. force, la imperturbable. Borom-hamham, savant, doc- Borom-er lépreux. Borombakàn bu tapandâr, l'homme au nez camus. teur. BORONCÀ, V. Bereng. V. t. BORSIdMBOR, louvoyer n. V. (bord sur bord). BORU, V. le miatin par paresse. BORU dé se lever ajction g., tard. même que Bas, pron. Sumâ bos, le mien, sa BOS, poss. bos, sunu le bos âm, le sien; nôtre; sën bos, tien; le bos, le vôtre; sèn bos, BOS V. t. BOS, V. n. lant V. Syn. en par- avorter, Os. sortir dâsê'm, de. loc. Mu il tira son b., V. Bâsi, tirer, v., né bosèt épée. Syn. gros mil. Botèt. BOSI BOSl ceinture de paille tressée. Syn. Katol, katoli. b., espèce de belle paille avec laquelle on fait cette ceinture, b., dont on couvre les BOSlKÀ(iL) BUTÂFÀ fleurir, en parlant de gros mil déjà formé. et BOT — cases. (S) g., V. t. avoir sous sa dé- famille une village. l'épi à élever, entretenir, à province, royaume à gouverner. BÔT, V. se dit aussi un un du maïs produisant i&on épi. BOTÀ, V. t. engainer l'épée la mettre dans le fourreau. BÔT AL b., femme qui est chargée de porter habituellement un enfant sur le dos. b., homme âgé qui a soin des jeuines circoncis, jusqu'à ce — soient guéris. sur le b., action de V. Bosèt porter dos. BOTÉT (né). (né). BÔTI, V. t. retirer un enfant qu'on avait sur le dos BOTI, v. t. faire tort. BOTI, v. t. dégainer l'épée, du fourreau. BOTIKU, V. p., être dégainé, sortir se dégainer. BOV, part. adv. se dit pour exprimer l'action de pousser. A'^é ko bov, pou s se- le. BOY, V. n. avoir une inflainmation cutanée, résultant du frottement de — habits. la ib., peau ou des inflammation cutanée. v.n. de grand flous dont le bois, analogue à celui du siapin, est blanc et léger. Syn. Gang, geng. une la (né) pâtira). pendance des enfants mettre bas chenet du feu ou qui en tiennent lieu. BOSÈT faire mal en CÔT, Bes. b., pierres chiens. (Qui se conduit les BOTAY avant terme. BOS par qu'ils leur. le animaux, des BÛT, V. t. porter sur le dos un enfant ou autre chose. Kii bât buki, hâd bâv la, qui porte une hyène sur le dos sera aboyé .t. se lever tard p. BOY 3 BOY, BOY, V., n. être V. n. échaipper en lant d'un dait. Sumà inculte. par- animal qu'on garsiru boy nâ, dapâ génar, mon chat sauvage s'est échappé, prenez garde à vos poules. lën sën i — BRA BRASIN Syn. maïs. b., makandé. BREPTEP, adv. brusquement. Do g nà hre.pt ep, il se leva brusquement, en sursaut. Mboha, BRESUKAY BRIS b., BÀRIS b., vent d'ouest. BU, adj. ind. conj. V. Bâ, bi, (L) balai. b., (F) brise, pron. bu. rel. et BU, pron. poss. de la troisième pers. avec un nom. Bu' Pêr, celui ou celle de Pierre. BU suivi de l'infinitif d'un avec verbe qualificatif forme lui une locution adverbiale qui correspond à nos adverbes de BLK 3 — genre. trompette, trompette, ce> qui en sonne. BUGÀ b., famine. BUGÀ, v, t. V. Beg^à. BUGAL, V. n. importer, BtfBUKAY b., ba- b., BUBU b., grigris, corne rcuge une autre plus petite. BUDI, V. t. arracher, déra- avec déplanter, extirper ; le- BUDIKÀT BUDIKAY arracheur. b., déplantoir. BUDIKU, V. p. être arraché, êtie déraciné. BUFÀR b., espèce de i)œuf sauvage. Syn. Nafâr. BUFI b., enflure sans douleur à la figure de l'homme. V. n. avoir une enflure sans b., — douleur à BUFTÀ t. la b., figure. trompette, tout instrument cor, de ce vexer, inquiécen- supplicier, maltraiter, châtier, tracasser. côté deis mangliers. BUH b., poisson à petits yeux très-vilain. vilain. Yangi vilain BUHÀ. Né buhà qui Au fig. mèl ni honimie buh tu comme un Buh BUKHÀ, ouvre de BUHAMÀ part. adv. de quelqu'un gros yeux. dit se b., BUHI, BUKHI, xeT l'ancre. cornet, à es lai. V. BUGALU, V. p. se tracasser. BUG AN g., arbuste à fleurs blanches en cyme qu'on trouve et BtlBU ciner, ter, ta Vol.) (Piov. BUGAL, ba- layures. être hugâl ? que m'imiP'OTte ? Tohgo'l golo lu mu bugal borom'tôl? qu'importe au maître du champ la bouderie du singe.*^ (Prov. Vol.) Darâ bugalu ma ta, cela m'est fort indifférent. Gan yu baré bugalul mbâmsej. le grand nomibre d'hôtes importe peu à surer, m., Lu ma important. BU, conj. V. servant à conjuguer le prohibitif direct et indirect. Bu nu dèm ta dekà M, n'allons point au village. BÛB, V. t. balaver. MBCBÎT b., lui l'âne. y., vent. k BUFTÀKÀT bien, BCBÎT souffler instrument en français. Bu bdh, bonnement. Bu tèdà, honnêtement, décemment. qualité sonner de la dans un n. v. spirite. V. t. fixer du regarder fixément, ouvrir de gros yeux. ngélem i buhtà, BUIÏTÀ, regaird, chameau à plusieurs bosses. iBUKI b., hyène. -4m ma buki bu gâhul, té dégén nà ker, il y la des hyènes qui ne hurlent pais et sont près de la maison. Buki balâ bâh mu yôy, ivant que l'hyène soit bonne, il faut qu'elle soit maigre. (Prov. vol.) pour dire que les hommes mai- ^ BUL plus ordinaircnieni sont gies que les obèses. BUL, BULU, conj. v. sert pour personne du mode la seconde ne Bul dèf lôtu, prohibitif. actifs f«is pas mal élevé n. être V. grossier). pron. dém. ce, bi, bu. qui sert à BULKT, interj. marquer la surprise l'étonnement. Bulèt! lef li, mô ma do- BULÉ, adj. et dér. de Bà, cette, mal! que cela m'étonne! C'est la première fois que. Bulèt tèy là fiev ti sa nêg, c'est aujourd'hui la première fois que je viens dans ta chambre. BULI, V. t. faire sortir (t. grossier). BULU, conj. BULU V. BULI BULUMBÀ biintà De u bunta d'une Y nière, ficelle. corde, de Bûm vèn, i MBUMI souverain, comquelquefois chef de village. Bûr'Bandul, gouverneur de S. Marie de Gambie. Hêt u bûr, race royale, dynas- par BCN, V. Dôm mère. Bûr qui gouverne fer. autrefois, du trône BCR, grouiller. ti les vers viande. dans cette BUNTÀ verture, ses fille états. de roi. rempli à V. yapâ bi, remplir un vase à déborder, en- t. ou une mesure semencer. BURUHLU, BURUNÔ^LU, v. n. quelque chose. sous reine des termi- V., BUSAYNÀ sensitive g., du lem^arquable par ses nombreux piquants et les poils à gratter dont les gousses sont couvertes. Syn. Dèd u nay. Sénégal cracher ou soufen parlant du serpent lançant du venin ou de l'eau. b., venin que le serpent lance. fler à la v. t. figure, — BUTÂFÀ V. Bo~ boucher, qui lue (S), V. n. sikà. iBUNKANl sur être n. v. BCI6U, 8 ah y'angi bufibmni grouillent père ci bu digèn, bûr, être reibelle. Ma nakà bûr! que je n'aie pas de roi! (serment). Yalà nâ bûr bâ gudâ fan! vive le roi lon-gtemips! tes. tût, de fîl n. V. ou fîils issu roi, le Ban la- avoir grand envie d'une chose. BUNBUNI, grand fari, u bûr, passer n. de manger g., les b., fusil porte, passage, BUTAR long pour éléphants. par ouVotuTedâl issue, entrée. u buntâ b., portier buntâ bi, ferme cette porte. kàt la reine ri- au Gayor et au Saloum. tirer BÛT tie. du sang royal par Bûm bu b., présomiptif héritier lien Bûm câble. BUMI, de entrée dèh, roi, b., BÛRAL, amarre. cordage, réy, cette bâ, seuil rivière. BÛR Bul. b., oiseau b., b., g., bi, Bunt'u porte. la BURVAiN BUM ouvre Tidil porte. vière. bu BUT verser. antichambre, vestibule, petit toit avancé sur la porte d'une case b., — mandant, cela. BULAKU, (très 33 état. BUTÊL plie. vide. de b., Syn. b., (F) bouteille Hot'u — Tiflékat. b., captacité et butêl, bouteille, rem- bouteille mesure de quantité. Bu- — BUT têl II pris, quatre bouteille têtes BUTI, V. les entrailles, de de tabac, trois feuililes. évemtrer, t. vider nettoyer du pois- son. — BUTIT y., g., b., viscère, en l railles, boyau. intestin^. BUY 3 BUY pain b., que du du dit-on, iiianson ou baobab, huy, co- du baobab. fruit BUYÉBÉTÉ rait, fruit de singe. HoVii g., le acacia qui se- contrepoison du tali. D troisième D, , français, soit avant soit après en une voyelle da, ad. : DAD D D, dans le Saloum, est ordinairement substitué à B. Bîd, pouV hîr, ventre ; vèd, pour hod, pour sohor, être méchant; g edem, pour gerem, remercier; nahad, pour nahar, chagrin. DÂ, V. est c. constater que eu lieu d'une fois. a employé pour attributif fait le Dâ nâ ko Vm dèf, Je dan^ le temps passé. exprime une habitude, une coutunçie, mais touSouvent il képà Nit hom'me nâ dâ sujet est Dâ nâ am, per. il tom, tout arrive quel- Ce verbe n'a ni quefois. ipassé le passé antérieur. simple De pré- y a deux il et le deux là ses — fermes da et dân (dâ on). pour di nga. Dâ sopâ Yalla sa Borom, tu aimeras Dieu, ton Seigneur. D éciritoire, d., tif. part. DAB, la V. atteindre, t. rejoindre attra- quelqu'un sur route. DÂB DÂB ç?;, DAHÂB b., sarcloir au bout de laquelle d., lion. ou perche est a l'ivresse. DABSI, V. venir rejoindre. t. DABU, V. t. restituer, réparer un tort ou une injure, satisfaire. Dabu Yalla la nu ko tmî on, satisfaire à Dieu pour injures qu'on lui a faites. b., satisfaction, réparation. les — DAD, V. Dad obtenir, t. qu'on ce adapté arriver à éprouver. ko nahari, il a chagrin. Gêt gi voulait, lu éprouvé du dad nà, k mer est tout à fait basse. Yâ ko dad, tu es tombé juste, tu as deviné. Dx\p, V. clouer, t. donner des — coups de marteau. b., cl u. Dâd u hanta, cheville de bois DÂDÀKU, DÀDIKU, V. sont partis. per, reprendre une échappé. DABÊRA b., sorte de bouillie pour neutraliser les effets de encrier. du mode causaDâ nânu dèm, c'est qu'ils DÂ, ou rattraper chose qui trom- «e à sent ni ifutur, mais passés, l'époque. préciser sans jours tranchant fer petites plantes. DABÂN, V. t. 'rejoindre. DABÂT, DABÂTU, rejoindre, plus et avitrefois parfois fai un morceau de pour sarcler les guéri; so- être guérir, se ver, comme de l'alphabel; volof, se prononce lettre déclouer, v. pr. décloué. être — se b., dégradation, état d'être décloué, de se déclouer. — DADAL, V., V. faire t. obtenir, nâ rëv parcouru tous les parcourir. Dadal yâ yépâ, il royaumes. DADALË, a • V. t. rassembler, réunir, agglomérer, accumuler. — 36 — DAD DADALÉKÂT rassemb'eur, b., accumulateur. DADALÔ, bler, se pr. V. tance, V. clouer t. en temps. se pr. V. renccji- — DADÉ, V. n. joindre, se DAGAN, V. cite. ensemble. iVdr i dèh yôyulé dà fui mihd à dadé ta gêt gâ, ces deux rivière finissent par aboutir ensemble à la mer par demandeur. môm, DADÉNÏÀ, je V. l'ai rencontré. pr. s'assoupir, — sommeil, sommeiller. assoupissendadènt m., avoir b., DADËNTLÔ, DÂDI, V. V. t. assoupir. dédéclouer, t. DADO, V. p. être rapproché, réciprcqueiment. DÂDU, V. être p. cloué. — marteau, maillet. .DAF V., ipeau que les chercheurs de vin de palme s'adapla afin que tent aux reins, courroie de branche de pal- ma- ils laquelle t-ent au sommet des hauts palmiers ne leur fas^e pas de mal. avec DAF, TAF, V. iDAFU, TAFU, t. v. boucher. cacher sa DAGAY DAG DAGDAGI, par ou madonner du mouvement ladie; se faire dagi tiremiblotter n. V. crainte, vieillesse l'issue d'une Lô importante. af- dag- fi leleg hèl tèy? Pourdonnes-tu tant de mouvement depuis ce matin b., action de tremblotter, ou de ta te — donner du mouvement se DAGÉ, par de v. DAGÉKU, DAGU, de cesser d'être n.' V. courtiser a. un puissant, l'aduler, faire partie de tier v. irriter blessantes. de queliqu'un. couirtisan homme piquer, t. paroles — cour. sa courtisan, b., mé- adulation, flatterie. DAGU, V. ralentir dans n. se marche; marcher fièrement d'une manière lente et affectée. sa b., courtisan, favori, qui CDur sonnage. fait de tortue espèce b., de mer. t. nudité. s'irriter, santes. b., mier solliciteur, rée., V. li- piquer par des paroles bles- quoi monter. rendre t. 'b., pour obtenir ment. joint v. DAGANTË, se permis, être q. DAGANKÂT même embouchure. Dadé nâ'k suip- légal. DAGANAL, se tir prière, plication, sollicitation. rencontrer, s'assembler, se réunir en un même endroit, abou- une l'on prier avec inssollicier, conavec insistance t. demander ndagân m., b., licite, ment. V. supplier, jurer, réciproque- rejoindre se DAGÂN, rassem- se réùnir. DADANTË, trer, champs que cases dans les cultive. DÂDANDO, même DAH DÂGÀ, DÂG V. un grand à la per- t. couper. réunion ou groupe de greniers. g., groupe de d., iDAGUAN, courbettes, — n. V. faire révérences des des ob- séquieuses DÂGULÔ, V. DAH beurre g., t. faire ralentir frais. . - DAFI DAH, V. moder un pièces, bou- dalâ, rape- cher un trou. Dâh tasser des savates. un <louiber ou autre veteiiiien.t mettre des chose, raccom- rapiécer, t. Dâh — navire. gâl, ra- b., ac- de rapiécer. DAH g., algue marine. DAHA, V. t. chasser, bannir, battre les renvoyer, expulser -ennemis et les vaincre, pouschasser devant s-oi; remser, ; ifer. DAHAB d. V, Daba. DAHÂKÂT b., vainqueur, Y. différents sens les DAHÂR, DAKHÂR rin, DAH AT, et V. les de Dahâ. tama- g., champs de chasser t. isinges miil; DAHÂTLÉ, V. les dans oi- les pourchasser. t. rafistoleir, rapiécer. Il raccommodeur, remet des pièces. DâhkQt dâla, iDAHÉ b., saActier. concurrence. 'DAHÉKÂT b., un concurrent. DAK b., pilote, genre de poisons de mer. DAK, conj. mais, donc, et. Kilé dak, dô ko ti may? cëîuici donc, ne lui en donneras-tu pas.!^ an dak, dà nga ma fatê'm? et moi, m'oublies-lu.^ DAK b., colle, espèce de poix ou de gomme, terre noire b., M icollante. ler. DAKANDÉ d., DAKARNDF. d., gomme de traite. Lu di hâlis dakarndé, qu'es.t-ce qui alâ? Il gomme. DAKEiNTAL — v. t. cacheter, col- la ? surnom qui b., — injurieux. pas n'est champs des l'argent v. t., donner un surnom. DAKHÀ, v. g., DAL, n. V. V. t. DAKHÂiR — d. être Dahâ. V. Dahâr. apaisé, être calmé, s^apaiser, se calmer. Gêl gi dal nâ hè né nèm, la mer est entièirement calme. Mèr âm dal — colère sa nâ, apaisée. est tomber sur. Kasarâ dal nâ ma, un malheur est tombé n. V. m'est arrivé. Lu bé- and'âm, le pépin de melon d'eau a beau réj dal fétafétâ, s;ii:ti!!er ti marmile\ la (dar.'S il retomibe toujours sur son voisin. (Prov. Vol.). V. n. loger, — dem^eurer momentanément, se porcher, se jucher en parlant d'oiseau, camper. Fd dal? où — loges-ttu? DÂHKÂT qui dos. !e sur moi, etc. tamarinier. seaux DAI. DAK g., grigris sur la poitrine avec son corres-pondant sur dans une lutte ou concurrence. Dahâ nag, conduire, chasser devant soi les bœufs. Dahâ nahar, chasser le chagrin, consoler. Dahà helis, chasser le^ tentations, vaincre ses passions. Dahà vèiï, battre le - est tion l>Drter la victoire 37 se mettre vaté ta téfès, comme on rivage, il me n ç a à DÂL, s n. commencer, Nâkâ la nu ko mu dal di hem^ V. à. l'a ' débarqué sur le (il com- s'évanouit év a n o u i r ) seulenent, simplement, seul. Môm dàl a fi dès, il ne ie3.te que lui ici. Ham nâ la dâl, je te connais bien. Dama adv. nga dâl am? paix seulement rien que la paix)? la DÂL DEL 1., 1., avez-vous (pour dire lèpre, Bo- Tom-dâl, lépreux. DAL sandale, chaussure semelle, souliers. V., des noirs, — DAL DALAL, V. calmer, t. consoler. Dalal apai- consoler, tranquilliser. Dalal nhèl, rassurer, remettre de la peur. Dalal nahar, apaiser le chagrin: ser, — V. donner t. l'hospitaliité. — logement. donnée. hol, le hospitalité b., qui rhospitalité, donne qui b., qui apaisé, DÂLDÉ écarlate. V., rouge dâldé, DALÉ, commencer. n. ni pouT Il comme souvent très conjonction Honhâ écarlate. V. s'emiploie signifier : à commencer à, deLa dalé, fi tèy, ou partir de, à dès. dalé fê'k tèy, dorénavant, désormais, dès à présent, dès aujourd'hui. Dalé ta, depuis, à partir de (pour le passé). Dalé ti lëgi, ou dalé lëgi, ou dal ti lëgi, désormais, à partir d aujourd'hui. Dalé ta môs hè mos, de toute éternité. DALÈN Y. testicules V., gros- (t. Kanam). DALÈNGÈR désert. b., DÂLI, salut, salutation réservée autrefois aux rois. DALKANÉ plante g., à tige par quatre florale terminée grandes fleurs blanches rayées de rouge. Syn. Tabal. DALÔ, peau on fait DAM DALUKAY V. t. en dit: dâlo pairlant d'une nâ ko, j'en ai des souliers. DALO, V. t. lieu DAM DAMÀ, romipre. casser, V. pa- rompre; se de action ou d'être brisé DAMÀKÀT b., t. cassant, brisure, fracoii une briseur. rompre en plu- ces. DAMÂTKÀT DAMBÀ qui b., qui romipt en ceaux. plusieurs brise, mor- gros panier ou de rondier, dans lequel on expédie des produits. DAMBALÉ, V. t. mettre plusieurs objets e^îsemble. Syn. sac en b., feuille Tafé. DAMBALÉR g., ficus donnant un très beau feuillage ornemental et ne perdant jamais ses feuilles. DAMBÉ, V. doubler, mettre t. en double. DAMB'l GANAY, case où le armes, arsenal. DAMÈL, titre qu'on donnait autrefois aux rois de l'ancien royaume du Cayor. roi gardait les pièces V., les provenant tette encore. des paroles, si elles étaient des pagnes neufs, on s'en habillerait. (Prov. Vol.) b.,, morceaux, morceler en briser, mettre en piè- sieurs nga dalo a tarêt^ — cassé. b., DAMÂT, V sé brisé^ casser, rupture, endroit chose est ronupue. hér, y de ture, fois. il être Dama nâ briser, des ko, briser,, briser, cassé entièrement. neuf pour la première Am nâ bât hu, dônté hé- gne se n. v. romipu. cassé, casser, t. — DAMIT un mettre ju- ijerchoir, b., de campement. d., DAMÀ (S) d., sang. choir, DAMÀDAMÀ calme. sier. — c'est DALALKÂT puis, 38 morceaux ou des brisures, petit veau qui fractures. DÂMOR DAMPA, b. V. (L) t. masser, fric- tionner. DAMPÀ b., massage, friction — DAM DAMPÉ b., pagne gros et soen forme de couverture. Dampé'kafé, pièoe d'étoffe in- lide 3. DANG b., couscous cuit et durci simpleme-nt à la vapeur. DANC, v. n. être très tendu, raide, <lien ne. DAMPUVÂN, V. masser. Au fig., pr. faire se chercher des vanter, glorifier, se s'en faire accroire, fan- de la jactance. ibravade, fanfaronnade, faronner, — se n. V. g., a\x)ir jactance, ostentation, DAMUKÀT vanité. fanfaron, b., pé- DÂN pour Dâ on. V. Dâ, v. DkN, punir, V. b., — maltraiter. c. châtier, une infliger battre, <x)rriger, peine, t. nd<%n g., punition, châtiment, peine infligée. cor- rection, DAN, V. caracoler, n. ca- parlant du cheval. habile tireur. Dannà sahèt tahul di'b danâ, briser une tapade d'un coup de fusil ne prouve pas qu'on est brer en DANÀ bon b., v. t. faire tomber, Dânaî hopa'm, se précipiter. DAN AL, V. faire caracoler, t. — faire se cabrer. action de b., v. p. cosser, moutons parlant des chèvres. DANTAL, en des et V. t. V. (S) Ban- d., DANGLÔ, venin, poison baré dangar^ beaucoup a V. tendre, faire t. do tendu. DANGON V. (L). y., Ron- gon. DANH blant au Le tit. ressem- arbre g., ditah, fruit, mais plus peégalement plus chair jaunâtre, est sucré et m^oins fibreux que celui du ditah. La graine à plus aux intérieure sert femmes (pour faire des colliers odorants, mêlre avec le horompolé. DENKA b., DANKÀ, V. b., serrer, t. presser ensemble. boule, pelote. ser, DANKALIKU, se désagréger v. p. table. entas- — b., se défaire, en parlant d'une objet DANKARNI, V. DANKARNIKU, arrondi. desserrer. t. v. p. être des- DANKÉU b., espèce de petite qui fait du abeille souterraine, (]., endroit propice pour creuser un puits. iDANDU, V. n. (S). V. Randu. (DAjNÈL, v. n. sert pour exprimer quelle est la consonne initiale de l'adjectif défini qui détermine un inom. DÂNÈL, pingre. serré. dai. iDAN.DÉ qui boule, d'un caracoler. DANANTÉ, d., Dân du DÂjNKÀ tireur. DÂNAL, DÂNÈL, faire DANÔAR animal. serpent venin. petit, se être INDANGÀ d., bi ten- porte-feuille. rendre dant. corde est loho, DANGÀ Bùm iserré cette Dang due. consolations partout. DAMU, étroit, dang nâ, v. t. V. Dânal qui ne pique pas. DAJSKU, V. t. quereller, chicaner, opprimer, vexer, malmiel et commettre des exactourmenter injustement peuple, en parlant d'un traiter, tions, son roi et de vexation, ses officiers. exaction, — g., oppression. DAV DÂN DANTUKÀT qui vexe DÂiNU, parce qu'il autres, les croit plus se cliicaneur, b., tomber, culbu- n. rên verser. Lamèû am dânu nà, îi ne peut plus parler. Dânu ndcn, dânu dèl, tomse ter, ber en — arrière, à renverse. lâ ndânu m., b., action chuite, de tomber, renversement. DÂNULO, DAPÈT, V. faire tombeir. t. explétive particule aux Cor, durillon d., 1., DAR veau petit (L) b., qui V. ctreindre, serrer, t. embrasser. Daràl nuhura, serre sangle. DAR, DAR, V. t. V. PARA, adiv. rien. les couchent en- se réunir, s'at- pr. se V. l'autre. à. avoir de la croûte, n. V. se dit de la croûte qui se f orme- ampoule commence une néant, de nullemeiit. point darâ, ce n.'est Darà nèku ti, il n'y a Darâ bè darà dêh, rien du tout, se à bouts. d éc o le des école d., ' DARA d., maramaître darâ, Sérifi' m a h o mé ta n e ' d., l'âge attrait du cœur, charme, beauté. DARAL g., parc ordinaire rude, V. rôche q., comme singe, ib., (né) «ans encombre. mettre cacher, t. à sous quelque chose. .DASKÀT affileur, b., repas- émouleur. seur, puyer, étayer, sur. ))., — v. reposer faire appui, DASTÀNDIKU, ap- a étai. ^ 'ap- pr. v. mains pour se lequand on est assis ou puyer des ver, DASTÀNU, des pr. V. mains sur quelque b., pour repasser un DAT V., estrade, cliose. instrurrent tranchant. marche. ;DATUL, DÔTUL, part. v. ne plus. [uUu-ma ko dèf, je ne le ferai i)lus. V. Du. Dul V. n. courir, aller \ite^ arriver fj-uits v., s'appuyer missement de peur ou d'étonnement. Dâi}, rav ti ngôr la des ampoule loc. V. du âpre, stigmate. DARÈT DAS, dés'échapper serter, s'évader. Bîr bu di dai\ dévoiemeni, cours de ventre, diarrhée. Yaram vu di dâv, fré- être non mûrs. DÂRDÂR tran- chant. DAV, des boeufs. DARA M, instrument DÂSUKAY ayant fille un aiguiser, affiler, t. . de raison. DARADA V. coucher. absoluimeni rien. DARA DÂS, DASTÀN, DESTÀN, voir. rien, Du tout. pavé. b., couvrir se t. nulle valeur, rien. DARU, tacher iDÂS, deux ee dit de pr. V. semble l'une contre l'abri — paver. yeux pouir ne pas du le personnes qui repasser encore. DAR, la sur M'bafngu. DARÔ, marcher, se derrière. Syn^ n. V. traîner d'acajou. guérir. pieds. lette pomme b., acajou- aux mains et aux pieds quand qui s'ajoute au mot Abadn. DAR — tier. acajou, g., DARNGU, fort. V. DARKASU fuiT*. bokà, s'enfuir, s'enfuir, s'échapper fait — DÀV du courage. (Prov. Vol.) partie — évasion, g., fuite, vites.se m avancer en la conclu non après d'un mairché. à-com(pte DAV AL, DAVALÉ, lage. du v. sau- t. du l'eu, ma Davaléu — pil- dier les champs après la moisson, mettre le feu aux hei'bes,., DÀY, DAY, DÀY AL, un coup jeter DÀYLÔ, DÂYLO, d'œil. DÀVKÀT coureur, b., déser- DAVI, v. n. décéder, mourir. Ga nu davi inâ, les défunts, trépassés, IDAVLÈF DÀVLÔ, morts. les v. déposter, t. DÂY, V. V. n. n. me- telle dimension, telle intensité, être en telle quantité, au moral oom:me au physique. Ma nah la nakâ mu day? (Veuxsure, V. DAYLÔ, V. DAYAY b., iDAYO faire accourir. ao'oir émousser. t. émousser. t. V. DAYDAYL torrent. ib., V. faire quitter ui\ t. limiter. t. dimension, telle v. n. énormément c'est dayo, être nmul dayo, Lu sans me» infini, sure. DE De u buntâ ko c'est ici que je à peu près. day, ou marche. ni, au- Lu day nàkn fuk'i y on, h peu près dix fois. Ni la day, ma lâ day, voilà tout, n'y a que cela, il ni plus ni moins. Day n\â ni man, il est de ma taiille. Day nâ ni h ado, il est énorme, excessivement gros. Sumâ tôl day nâ 'nakâ sa hos, imon jairdin est aussi grand que DÂY des le tien. incendie des herbes champs. Lakâ dây, inceng., b., seuil. DË pour Di dèf, je le DÉ pour m'arrête, qu'est le terme de ma Lu day nakâ, lu day tant, lâ Dèm loin. indéterminé. de Filé borne, étendue, dimenion. Bè dèm infiniment, dayo, exorbitam»_ ment. Soré nâ bè dèm dayo^ seuil de la porte. injures. démanger. limite, b., tu) que je te dise que!îe est sa dimension Antanu-ma hasté yu ni day, je ne puis supporter telles éten» due, intensité, nombre. faire s'enfuir. DÀVSI, garde, la par mécontentement. village fugitif. courir, à aller n. V. robe. DAVAL BET, ^es fuir d'un village, n. v. par mécontentement. Syn As, DÀY, V. p. s'émousser. Pâkâ bi dây nâ, ce couteau est. émoussé, ne coupe plus. dara, je n'ai rien sauvé. teur, DË sèches. dans la arche. DÀ^'AL, V. t. ver des objets Ut part. v. bâ, Dé na ferai. Dët, adv nég. non, Ndah baiiséu-nu la ? Est-ce. qu'on ne t'a pas baptisé.»^ Dè^ vâlây! Hélas! non. DÉ, abrégé de dèy; particule qui se met à la fin d'une phrase. Gisu-ma ko dè, je ne l'ai pas vu. Man dè, hamu-ma ta dam, quant sais à moi, je n'ea rien. DË, mode gérondif et supverbe Di, être. Bâ ma de bûr, lorsque j'étais roi, Su ma de bûr, si je suis roi, positif DË du g., mort, décès, trépas, DÊ DË, décéder, ver vi dëé ^9^^ fèy ma, quand cette lune t)U ce mois sera fini, tu ine payeras. Ku dë, dë, celui qui est mort. Nu dë nà, Ûà dë, les morts. TU bè dë, Bu trépasser,, finir. M "être dans dernier le étonne- ment. Rê bè bega dë, rire à pouvoir plus, mourir de "h 'en rire. n. mourir avec. mourir avec un DïiÂLË, V. Dëâlc bakar, lement DËANDO, V. mourir en- n., semble DEBÂ, V. t. percer ave^c ime arme tranohante, poignarder, enfoncer un poignard dans le corps de quelqu'un. DEBÂ, V. sièrement V. g. faire Vol. gros- travail. Uin DËBÂDËB Syn. piler. t. DEBÀDAHË, superstitions et Vaines observances. y., DEBÀKÀT pileur, b., celui qui perce. DEBÉ, DEDËTU, t. entonner, mencer un chant. DEBU, V. p. être percer, DED DÉD percé, poignarder. V. q. se V. Did. DËNDÀ DEDU (dans les pays sérérs). faire les fumérailles funé- — de v. n. quel- qu'un. DED, DËDÀ V. V. g., DËDËLU, poser, t. n. se placer. retirer. liane très épineuse V. pleurs, tra- dos. (L), g., DEDU, V. a. tourner dos le quelqu'un ou à quelque chose, ne ipas l'écouter. Dedu adunâ, tourner le dos aux choses de la terre, les quitter, être à austère. DEDU, n. être posé, placé, V. en place. DÈF, DËFA, DÉFÀ, du mode causatif. Ana dèfâ ou nêlav, Lu est part. v. sa bây? ton père? nga nev? Dèf nu ma yoné. Pourquoi ne vienstu pas.^ c'est qu'on m'a envoyé (faire une commission). Sumâ bopâ déjà méti, la tête me fait mal. Va dilé dèf a dèf lu kènâ hamul, cet individu fait des fodort. il lies, tèré des extravagances. DÈF, v. t. faire, commettre, Kan a ko dèf? qui Lêl, sumà borom, baal exécuter. fait.^ bakar yi ma dèf, je t'en pardonne moi Seigneur, les péchés que j'ai commis. Lu nu menul â dèf, ce qui es«t ma mort, mort. n. faire le semblant d'être impossible. infaisable, b., railles, sépulture avec tout le cérémonial qui précède et qui ^uit un enterrement; tombeau •DEDA, saccader, en- n. V. prie. se b., com- non non, nuldu tout. vail).; l'a V. adv. point trecouper (paroles, être pécJiG. 'laire DËDËT, mourir, n. V. DÈF 2 placer, ko — v. mets-le là. Dèf ko ti, dedans, inserre-le. n. se comporter, aller. Nàhâ fâlé, mets-le V. t. mettre dedans, sur. Dèf ngâ dèf? Comiment vas-tu? — — n. être. Su lef dèfulé degà, but ko vât, si une chose n'est pas vrai, ne l'assure pas avec serment. Tank'i nën la dèf, je v. n. devenir, suis nu^pieds. V. — se faire. Dèf nâ tédo. je fait tédo. — formation. b., me suis action de faire, — Df'FAL, V. t. faire pour quelqu'un, faire à quelqu'un en parlant de choses agiréables ou désagréables. Dèfal nâ Ja et, Je t'ai fait une canne. DÈFANDO, ble, V. faire t. — coopérer. b , ensemcoopéra- lion. DÈF-AiNDOKÂT coopéra- b., tour. DÈFAR, V. faire, fabriquer, t. adapter, préparer, apprêter, arranger, former, façonner, ranger, metDèfar adimâ, tre de l'ordre. composer, construire, pacifier, concilier les différends. Dèfar bu mat, dèfar bè mu né vét, faire très-bien, faire à perfectionner. perfection, la ndèfar m., fabrication, rangement, ordonnance. b., DËFARÂT, V. monter une se dont manière se fait, fabrique exécuteur, Dèfarkat u b., fabricant. dalà, cordonnier. DËFARU, V. préparer, pour p. et d'agir. DËFKÀT faiseur, b., exécut^ teur. DÈFÔ, pour lui lui être aller au devant quelqu'un, faire, tout ce qu'on croit n. V. des désirs de agréable, être b., ou\ert, réservoir d'eauy ma^ mare, lac, étang. Dëg u horom, marais salé, saline. Dëg u pot, marais où l'on fait la Dëg u pot, hnm am i du ko nân, l'étang où l'on fait? la lessive, ceux qui le oonaais^ une n. V. faire en- redevenir, faire, remettre, replacer. Dèfati réitérer, re- ; redevenir V. n. un homime. DÈFDÈFLU, blant de faire. sin^^ vé<^ couip sûr, certainement, ment. Ak degâ, véritablement, avec vérité. Vah nâ degâ, il a un ou core, repeupler à vrai, Ti degà, en effectivement, vraiment, assurée action t. vérité, g., sûreté. prépara- manière honnête. V. iDEGÀ cérité, être arrangé, ses faire voyage, se disposer, se mettre prêt pour, s'apprêter, arranger ses habits d'en bas d'une nit, — ri té, tout DÈFATI, bre. sent n'en boivent pas. DÈFARKÀT tifs dans sa chams Tolo nâ ta fuk'i at^ défé nâ, il y a environ dix ans, je crois. b., ndéfé m., soup-^ çon, pensée, préjugé. DÉFËJVU, V. pr. se coucher à plat- ventre, se prosterner de. tout son long. DÈFIN V., manière de faire je crois qu'il est rais, reconstruire, V., V. re- et s'arrange. se n. penser, ju;^er. conjecturer, croire^ Défé nd né imunpiâ ta nêg ôm^ lessive. DÈFARIN faiseur, DÉFÊ, présum-er, confiant à son égard recompo'ser. une chose DEG ar- démontée, chose rebâtir, rajuster, — DËG rétablir, t. — /,3 faire sem- dit la vérité, il a parlé sincè- rement. Vây, vahâl degâ, ndah lôlu am nâ? mon ami, paiile sincèrement, est-ce que cela Vah deg! gemu-ma ko est ? van, franchement, je ne le. croyais pas. Vah Y alla deg' ou vah deg'u Y alla, en vérité, vrair ment. Bât u degâ yomhâ n4 ham, naître. la vérité est facile à con« (Prov. Vol.) Degà l^^ — DEG vrai, 'C'est c'est D&gti positif. gu né bénténg, c'erst VTai. Degà là gii vér, ou là vi>r, c'est certain. très ga'm? ou trèsgii Du de- du degâ ? n'est-œ degà, ou dovul "degà, ce n'et pas vrai. Degâ Is'emiploie quelquefois sans préposition comme adverbe. Dèf nà degâ, il a agi avec sinoépas vrai Du P DEGÀ, v. imettre t. marcher pied le fouler aux fouler les épis de mil avec des esipèces de pelles dans des greniers en forme de case pour l'y conserver, ou placer simplement les épis de mil sans les fouler. Dans ce dernier cas Syn. Lëni. DÉGÀ, V. t. comprendre, entendre, avoir entendu dire, ouïr, écouter, obéir Dégu nâ H nga vah, je comiprends ce que tu dis. Dégâ nâ né hûr'Sîn sây — pieds. t. roi le du Sine est mort. Dégë. n\â ti gudi gi buki bâ don gâh, il a entendu nuit l'hyène qui hurlait. Halèl bilé du dégâ mukâ, cet enfant n'écoute jam<Tis ce qu'on Yalla lui dit. dégu ko! c'est une horreur! cela n'a pas de nom! (Litt. Dieu ne comiprend pis cela!) cette DÉGADI, DÉGARI, sobéir, n. v. dé- ne pas écouter, ne pas faire sourde la m prendre, oreille. — b., DÉGAL, V. désobéissance. obéir t. à quel- qu'un. DEGÀL b., de tisserand. DEGALÉ, galé, DÉGALÔ, faire v. pédale du métier — V. b., t. étrier. (L). borner, limiter. V. Di- faire entei'dre, t. comprendre. DËGÀLÔ, V. accorder, t. imetlre concilier, DËGANTÉ, même réc. V. ré- d'accord. — si- que Dëgô. b., arrangement, accord mutuel, bonne intelligence. gnification DEGÂSÈRH b., torpille, genre fouler aux de poissons. pieds, V. t. piétiner. DÉGAY sur, V. entendu dire que në, j'ai tîo DÉG DEGAT, rité. sur, — gence, esprit, b., DÉGDÉG rumeur DÉGÉ, intelli- entendement. raison, bruit, nouvelle, b., publique. V. DÉGÉK h., DÊGÉMUTÉ oui avoir t. quelque part ou quelqu'un. (L) d., au V. dire sujet de Dégét Dogo- V. monté. DEGER Deher et ses dérivés. (L) V. et ses dérivés. DEGERAL, v. t. V. Deheral. DEGERLÔ, V. t. \.'Deherlô. [DÉGERMEN g., nom d'une graminée. DEGERU, V. Deheru. NDÈGËT L, espèce de roseau ou jonc dont on fait des nattes. Lal i d&gèt, natte faite avec cette espèce, de jonc. Svn. Ndès. DÈGÈT 1., DÉGÉT b., DÉGÉK b. (L), dent molaire, mâchelière. DÉGËTU, d'un V. t. casser le pour fruit en noyau manger l'amande. DÉGÉY Deher et DÉGLU, dérivés. et ses ses dérivés. v. t. écouter, V. prê- entendre. Déqluécoute. Déglul, lën, écoutez. DÉGLUKÀT b., auditeur Dégluhât yâ, auditoire ter l'oreille, DBG DFXîMAL d'un fice qualro b., Ioniques soutwmnenl qui [Hiiilres i5 Tnbi puits. l'ori- tên tà^b nvatul à deinantu, sô vêsô deg- mal, dans n'a puits les lu tout seul. DECiMAY puyer de la sur Vol.) d ap- mains ou les avec le pouce et l'index. iDEGMAYU, DEiGMU, se n. v. une main ou tenir la tête dans dans les deux mains, réfléchir en se tenant le menton avec le pouce et l'index. DËGÔ, V. réc. d'accord, être être en harmonie, s'entendre ensemble, tomber d'accord. Bu avec dëgô, entente, accord, tente, avec ac- b., en- — unanimement. C/Ord, arrangement, unanimité. DEGOSf:RH DEGU b., b., Degàsèrh V. NDEGU 1., semelle plante du pied. Degu'tanbn, DÉGU v. n, àm dégu nâ filé, sa voix s'entend jusqu'ici. DÈH g., fleuve, pe- rivière, mer rentrant dans les terres en forme de rivière. Dèh gu ré y, gran^ fleuve. Taconfluent. Bunt'u sé'h dèh, dèh, embouchure de fleuve ou de rivière. Dèh u horom, mabras tit de DEHER, DBGER, DÉGÉY, q, être dur, solide, ferme, stafixe, raide, rude, difêtre endurci. Deher në kéng, ou kéndéng, dur. Deher nâ bopà, têté, v. fort, ficile, obstiné, c'est il ind-ocile, solidement, duiremerit, fermer ment, rudeme)it. DEHER \L, DEGERAL, DÉGÉ. Y AL, v. t. aHermir, consolirendre stable, encourager, enhardir. der, DEHFRAY b., DEGERAY b., DÉGÉYAY b., dureté, solidité, fermeté, endurcisse» raideur de caractère, rigueur, constance, persévérance. ment, stabilité, rigidité, DEGERLÔ, DEBERLO, GÉYLÔ, DÉ. rendre dur, dur^ rendre stable et so-? V. t. fixer, cir, lide. DEHERLU, DEGERLU, GÉYLU, V. durcir, s'attacher, DË, s'affermir, pr. se s'efforceir, s'encourager, s'enhardir, prendre courage. Deherlul, ddm, prends courage, mon enfant. être endurci, être attaché adhérer fcirtement à, avoir bon courage, persévérer, s'af« fermir. g., degerlu g., cons* tance, effort, persévérance cou* V. p. à, — rageuse, très- raideur. DEK, DÈK piquant, DEK épine, pointe, v., ronce. spathe ou ré. non mûr du paltir, régime du fruit KÂIM, I gime du mier. rais salants, salines. ble, revêche; il est persistant, persévérant. Deher-bopà, 'ndo^ cilité, entêtement, obstination, rébellion. Bopâ })u deher, mauvaise tête, tête dure. Bu deher, DEHERU, DEGE;RU, DÉGEYU, être entendu. Bât bè DKK tre, l'orifice, (Prov. menton le auras l'action b., tête tenir b'f'^oiii tu poutres de franchi iras pas quand appris, d'être tomber dèm, nga Icgi un — fruit Dek i mûr du palmier. DÈK d., harpon, lot gros jave» pour pêcher. Syn. Kadâ. DEKÀ région, est en- tation. opiniâ- ville, b., ville, demeure, Deka bu très-gros village, lieu réy, village. pays, d'habi» grande DeW\\ — DÉK 'hduda, pays natal, patrie, BoJùâ ûeka, cohabiter, être du même Va dek^, habitant du Village. village. Gâ i dehà, habitants d'un habitants. demeurer, dekâ né, habiter, n. v. de tel pays, être voisin, habiter ensemhle dans le même pays, dans être résider, ou la même maison. Fô dekâ? où demeu- même le — village b village? Ngigis lâ dekâ, Damèl, c'est à Nguiguis que je demeure, dans la maison de Damèl. Mâ'k môm a dehâ, lui moi nous demeurons en'^i semble, dans la même maison même DÉK V., DU DÉKÀ, • DÉKAL, DÉKALI, rendre à V. res- t. Yésudékal nâ Kristâ sunu Borom bopa'm. Jésus-Christ notre Seigneur s'est ressuscité lui-^mêmè. susciter, DEKAL, habiter va au pour. Y alla '^anâ, V. ciel,- la vie. habiter n. Ku di avec, dèm al- dekal celui qui c'est avec Dieu qu'il lâ habite. DEKÂLÉ, V. t. avoisiner, ha- res- v.n. cohabiter, ha- biter ensemible dans — un même oom- endroit, avoislner. patriote, concitoyen, voisin, do- b., Dekando bu bâk a g en m bohâ mu sorê, u n bon voisin vaut mieux qu'un pahabitant. (Prov. rent éloigné. DEKANDÔL. DEKÀSI, DÉKI, venir à n V. t. t. ressusciter, n. V. Yol.) envoisiner. venir habiter. v. re- Yésu Kristâ déki la vie. dë, Jésus-Christ est d'entre les morts. DékVm yarésurrection. in., ram, réssurection de la chair. DEKU, v. n. parer un coup. tâ n\a ressuscité DEKUKAY DEL, t. être p. se ressusciter. DEKANDO, enclume. présenter un contenant pour recevoir un objet. présente la Déhâl sa loho, main (pour recevoir). Dékâ n\a rnalân âm, il a présenté son pagne. Dékâ nâ kelâ bâ, j'ai présenté la callebasse. Dékâl sa nopâ, ndah ma dëy la, présente ton oreille, afin que je te parle à voix basse. V, V. demeure, b., gement, habitation, village. le — l'autre. voisin. suscité, de quel pays es-tu ? Manga dekâ ta Kayor, je de- tu ker' , de près l'un DÉKALIKU, rets-tu ? meure dans lé Eayor, je suis du Kayor. Ban dekâ? dans quel DÉL biter habitant, d., Au résidant. des — pluriel: — village. /16 lèpre. V. et gîte. lèpre, avoii s., Del nâ, il part. adv. DÈL, lo- a la la lèpre. Fès superl. na dèl^ il est très plein. Fêsal ko bè né dèl, remplis-le jusqu'à oe qu'il soit entièrement plein. DELÀ, pact, té V. q. être épais, com- NU ku delà, massif, dru. gatâ, homme homime gros et petit, trapu. DELAL, V. DËLÉ, V. t. t. épaissir. de mort. Ti dëât gi dëléu ma kèn, je personne de mort dans n'ai cett-e épidémie. DELÉN, droit V. pour y avoir... t. nettoyer un en- faii^ un nid, en parlant de poules et des Qiseaux. DÉLÈN (ne) loc. adv. Mungâ né délèn, il est tènient nu. • superl. complè- - DÈL DÈLÔ, V. rendre, rapporremettre, rame^ t. ter, restituer, ner, remmener, redonner, réin- tégrer, reconduire, remettre même place. DÈLOSI, V. la venir t. à rendre, - DEN cipes de qu'un DÈLÔTI pour pour dèlô — DÈLU, dèlu et ati très inv le sor^. faire le ttti. retourner, n. V. aller DÈMÀ.NDI, V. n. en attendant, sauf à attendre à instant. mêmes sem.ble. mêmes choses, les OÈMANDO, s'en DÉMBÀ, nâ tôg. je DÉMBÉN est revenu vahati, retourner. Dèlu suis revenu, ou il même revenus à ont repris sont parole, ils avoir après parole, Dèlu nà parter. Dèlu nânu s'asseoir. ils la de cessé ndav, ti la il a rajeuni. DËLUSÊTI, lusi DÈLUSI, DÊM Dèm par- un nâ alà, Di nâ lieu est il se allé Corée. dèm Bër, Fô dèm on? où étais-tu allé Fô vas-tu.^ Dèmâl, aux champs. à j'irai ? dèm? où di va-t-en. Dèm na est trépassé. Dèm-Yalla trépassé, feu. Dèm-Yalla Dèinsi allez-vous-en. lën, Yalla, d., sumâ il mon bây, feu père. dèm génav hêr yâ, dèm deka bà dohâni, Dèm ker dèm pot aller faire ses gros besoins. (Termes dèm honnêtes.) aller et fà, DÈM C)EMÀ personne b., sorcier, les âmes du dèn vamyjire, boire ou prîn Batakolé. n. disparaître, se effacé, dis-^. en- dissipé, Vah disparu, avoir ôté, manque de pa^-ôle, V. t. ne s'emploie qu'avec kump^, s'informer, examiner, obsener pour savoir ce qui se dâ, — passe, que que l'on ce ou ce se montrer dit l'on veut faire, curieux. Dèn-kumpà gâ, obser- vation, curiosité. DE?sÀ DENÀ poitrine, b., denâ, tu's Sa- sein. sternum. lente, V., œuf que poux déposent sur les DÈNAL, DÈNLÔ, V. les cheveux. t. faire disparaître. DENALÉ b., side au service tre qui est censée ou manger fi, Sédèm. Y. g. Dèm revenir. t. Y. être siper, levé, aller, coton. congédier, 'aire le festin. V. rendre en se retirer. donne un DÈN, s'en n. V. b., IDEN .1., NDBN 1., repas, fes. tin. Borom'nden, celui qui revenir. de en. partir. g., espèce aller DEMBONÀ b., qui contient iDÈM'LO, v. DElN mulet, Syn. Gis. DÎM, dè- ou un Y. Berkà, hier. adfv. sortir n. V. aller coque ou gousse du cotonnier encore. v., poisson. tir, n. V. pour n. V. revenir ati, s'en revenir- ensuite, actions, bâ, est n. v. quel à vampire, mangerle principe de la vie ou l'âme mianièm de quelqu'un d'une faire cier, de nouveau en un lieu où l'on a déjà été, recommencer à faire les terme ce jurieux. Adressé vie. la magique. etc. . hi — d'hôteJ. service d'un DENÂLÉ vi\e. qui pré- festin, maî- celui d'un V. t. diriger le festin. b., DENANDO, con. — ©ÉNDÀ DËD h., funérail- b., où l'on en fait les J>réparatifs, où l'on pleure, où Ton deuil, les, endroit bre. les, fait — le rendre honneurs funè- les — à, l'un côté à de l'autre. DÈNDÂLÉ, l'un de V. mettre à côté t. v. être t. DÈNDÉ, (L). n. V. jour sans le du dîner, se dîner. n. être oblique, DBNGÀ, ï)encher d'un côté, être incliné, de biaiser, être ob lique men t — Bu dengè, man ère u ne biais. d , ' i b., obliquité, penchée. penché, biais. état d'être DBNGÀL, faire V. p. être rendu DÊNKUKAY nation, obliquité, incli- pente, ipenchant, pen- iDÈNGlDÈG bouillies les g., espèce d'ar- V. t. conser- du ressentiment, de la làncune. b., ndéntà m. g., conservation, garde, détention d'un objet, action de retenir, de re- — DÉNTAKÀT conservateur, b., détenteur. V. t. faire conser- veT, faire garder. b., réservation, con- DÉNTU, V. gardé, garder. DÉNTUKAY une bonne tisane contre rhume. Syn. Ënidèk. p. se b., conservé, conserver, se être lieu où l'on le conserve des objets, armoire, magasin. Déntukar u mata yà, lieu où l'on conserve le bois à la brûler. forment l'eau d'en- en sûreté, serrer dans quelque endroit, retenir, garder, réserver. Dénta nà mèr wn, il a gardé sa colère, il a racines raclées et dans ^ rnettre être biais. buste dont ob- servation, détention. b., che ment, lieu b., DÉNTÀ, DINTÂ, ver, DÉNTAY planche. v., BÀ, curieux. DÉNTALÔ, V. clou. b.., trepôt. oblique. DEïNGATIT de action céder. pencher, faire serviateur, •rendre oblique. DENGAY confié, DÈNKÀT U KUMPÀ biaiser, faire t. incliner, iDENGÀLU, objet DÈNKÀTIT à dèndandôl, celui qui est à côté de moi. DÈlNDÉ, V. n. (L) Y. Dene. >DÊNÉ b., espèce de petite herminette du pays. passer passer planche. toit, — dépôt, Ku ma DENÉ, b., V., DÉNKÂINÉ, V. t. confier, mettre en dépôt, entreposer. b., confier. l'autre. iDÈNDANDÔL, côté. recomimander. DÉNKÀ être n. V. ,DÉNKÀ, DINKÂ, V. t. confier mettre en dépôt, consigner, déposer, bres suivant l'usage. DÈiNDÀ, DEN coton bleu-clair. Denkâ du vêh, coton blanc. Denkâ du honha, 00 ton rouge. convoi funè- faire les funérail- n. V. hS . DÈNHALÈM v., palais de DENU bouche. OEiNKÀ b., DENK d., V. nànkâ, cotom table. filé en 'êchevaux. Denkà da nûl, coton bulô, Dc:i':a du bleu fonc-'. Denu tué, denu, v. n. g., tonnerre, foudre. rèy nà ko, la foudre il a été foudroyé. Dot pierre lormer. de la foudre l'a u — V. n. s'asseoir h une manger, prendre part un repas. Ce mot répond au DENU, lable ?i à DËNUL petit ç]., DÈRÈÏ OE'PÀ, V. t. re.nerser, meten sens dessus dessous, relourner. Yalandil ndap li, sog ko depà, passez ce va e à l'eau, ensuite vous le ren\erserz sens — v. n. chavidessus dessous. être renversé, somibrer, rer, lomiber de côté, en parlant de vase ou autre objet creux. Ndnjalèn /un depâ na, sa petite pirogue a chaviré. Avoir le dos -courbé. DEPARTI, V. t. mettie sur 'DEPARNIKU, retourner, resa base. V. p. elle tourné, relevé sur sa base, retourner, sut se relever re- te sa DEIR., lo. fr. rèt, flux Ku baré dèrèf, ()., sanguin. Talià ensanglante, il a des taches de sang. Au fig. Nêh nà dèrct, il est joyeux, gai, de bonne humeur, de caractère nà dèrèt, est il . bonne humeur, dèrèt, gai. Ne}} Nahari nà dèrèt, mauvaise huimeur, il est de sombre, atrabilaire. Dâ triste, ma îiahari dèrèt ni ndadân, je suis de très mauvaise humeur, Nahari-dèrèt, mauvaise humeur. Dèrèt du di licpu, flux de sang, hémorragie. Gis sa dérèt, avoir ses menstrues, ses règles. DERKÂT b., égréneur de hilarité, n. V. balbutier, bé- gayer. DER jardin d'hiver ou de b., gaîté. DÉR d'arbre. de pain. préparé. peau, b., cuir, b., J)., V. au fig. bonne renommée. DERLÔ, DERU prostituer. à, graminée , ressem- blant à un tout petit bambou. DER, V. t. égraîner du colon avec une baguette en fer. V., coton égraîné. DERAY b., égrainage du co- — lon. DERAY DEREM francs, bégaiement. pièce de cinq gourde. Dej:em u vub., b., aller de V. t. b., endurcir. endurcisse- V. t. faire égrainer coton. le quelle on g s'endurcir, meni. dèr u morom, flétrir la réputation du prochain, médire •ou calomnier. Dcty sa dèr se DÈR n. pis. DERKISAL, DEiRKlSAY réputa- Yahâ bègue. être endurci, empirer, écorce Dèr a mJ)ùru, croûte Dèr bu nu vuli, cuir — DERKAT iDERKÎS, mal en saison sèche. tion, nû coton. base. la Fèv or. eji sang. Hep'u dède sang, hémorragie. mil. tre lever, gourde rus, fuk'i dereriiy j'ai payé dix. gourdes (5o francs). Derem kopar, pièce de o discumbere. jatin - DÉRU, se planche sur égraine le coton b., V. n. se la- cramponner tenir forte nient à. DEIRtjS {né), m.ungé né derûs ti mpah, il est entré dans un trou. iDËS, V. n. rester, être de en arrière, manquer, survivre. Môni rèk'a dès ta ker gà, il ne reste que lui à la maison. Dès nà ta y on va, il est resté en arrière, ou il est resté cri rouîo. Gis nâ inanâji reste, être — DÈS reçu lef dès, ti pagnes, mais les que un de nànu ti nà vandé y à, y man- Smnâ article. nom il j'ai dôm i inépu, tât là rêk'a mes enfants sont n'y a que le cadel qui Dès yaram u n&n, dès tous dès, morts, il survivre. nën, être nu, rester tout nu. Dèsâl ak danm, dès-l&n ak dama, en reste paix; paix, au adieu, restez revoir, en ma- de en quittant une ou plusieurs personnes. nière sialuer DÈSDÈSLU, V. sem- faire n. V. avoir t. du Dèsé s'em'ploie préférablement à la i^'^ personne, et dèslé en parlant d'un tiers. Dèsé nd nâr i nag, il me reste deux bœufs. Dèséu-ma ta dam, il ne m'en reste rien du tout. Tédo nangn nâ sumà i alal reste. gépâ, dèh, bè dam Tiédo a pris tout mon ne m'en reste absolu- le bien, il ment rien. DÈSÉ, V. stupide, grossier. pide, Bu hébété, benêt, dèsé, — idiot, b., sot, homme stupidement, badaud, stuhébété, de peu gros- d'intelli- gence. DÈSÉLÔ, pide, V. t. rendre stu- hébéier. DÈSIT ndèsit V., L, reste, restant; débris, vestige, surplus. Fahàl dèsit yilé, prends ces DET, DETEM, v. Det t. sa approcher ses lèvres pour tun, boire. DET, pleuvoir à verse et pendant quelques jours consécutifs, b., grande pluie de plusieurs jours consécutifs. DÊT, DÈDÊT, adv. de nég., non, non non. n. v. — DETÀ ou d'un ulcère. Sumà s'épurer. delà, d'un abcès Géné detâ, sortant sanie pus, mon sortir fait gêné tâb g'angi que voici humeur, (L) d., V., abcès pus. le DÉTÀH d., V. Ditah. iDETAR b., insecte qui paraît à la fin de l'hivernage. DËTÈL, V. ren- abaisser, t. dre bas, déprimer, humilier. b., dépression, action d'abais- ser. DÈTÈLÔ, faire V. t. déprimer, faire abaisser. DÈTÈ'LU, V. p. être rabaissé, déprimer, tomber en roulant sur un banc ou autre chose renverse. DETEM, V. n. boire y. faire t. rester, arriérer. DÊTl, pour Di pour Dë core. — DESTÀdN', V. DESTEN b., t. Dastàn. accoudoir. le être ati, ati, en- mourir encore. DETOM, V. n. DÉV, n. être calme, V. V. Dotom. tran- quille, en parlant du vent; se calme 1., calmer, s'apaiser. pour le vent. — DÉV AL, cir, apaiser v. t. le cal-mer, radou- vent. l'an prochain. Dévèn ati ou dévèn dëg, en deux ans. Dévèn ati dëg, en trois V. dans milieu d'un vase. DÉVÉIV, adv. restes. DÈSLÔ, DÉV qui se badaud, être n. s-ot, sottement. sier, dard dèscu-'ma — s'épure, blant de rester en arrière DÈSÉ, DËSLÉ, 5o dévèn en vie fèké Baré dugup, a ko gen, être encore l'année prochaine, vaut ans. — DÉY mieux que d'avoir b-eiauc-oup — se conde mil (Prov. Vol.) jugue comme verbe. Su dévèné, di nâ dèm Tugal, Tannée prochaine, j'irai en Eu- DÉY, V. BânKm. DÉY, V. n. (L) être a, Déy tard. parler à voix basse parler oonfidentiellement. Ti ndëy, confidenv.t. tiellement, secrètement. confier un secret. Agsil filé, ma n. V. quelqu'un, — dey la arrive lef, ici, — confier un secret. confidence, colloque le mystère. secret, Ak dëy, je 1., veux ndëy secret, ndëy, en ti en confidence, DËYALÉ à l'oreille. cret. DËY'O, même DO, DI, que Dëyanté. DON. V. s." expri- ment raffirmation Donul expriment Dul, Doul, la négation. y laut toujours ajouter un snom ou un pronom pour at- sans cela ils n'auraient point de sens. Di nâ ibûr, do nâ bûr, don nâ bûr, je suis roi. Ces trois verbes ne sont pas également usités partouit, mais ils sont compris partout. DI, part. V. pour le présent tribut, et le futur, comme don {di on), von pour le passé, s'emploie dans la conjugaison. Di on, nâ ko dèf, je le ferai. — conj. s'emploie entre un nom verbal et un verbe. part. exp. qui se met à la fin de la phrase et qui donne de la force à l'afde, — Dimanche. d,., DËp, V. en parlant des DIDÀ, DEDÀ, DIDAL, V. être Ti. mûr fruits. V. compact, n. être gros, épais. grossier, rendre t. gros. DIDÂY DipU, sion, grosseur,, obésité. b., y. tourner en déri- t. moquer ironiquement se en dissimulant, feindre, brocar- — der, censurer. — ricaner. sion v. feindre, n. ndidu g., dissimulée, g., ironie, déri- feinte maligne. DIPUKÀT confident. t., DËY^ANTÉ, V. réc., se communiquer mutuellement des secrets, se parler mutuellement à l'oreille, s'entretenir en se- Il DIBÉR obèse, tard. est il DËY, a ou à la négation. firmation Méti nâ loi di! cela fait bien mal, oui! Dèfu-ma ko. di! ]e ne l'ai point fait, non! Dip, rop)e. 71 DIG 5 moqueur DIFI, V. protéger. DIG, dô ma !b., brocardeur, Ironique, censure.ur. amortir défendre, t. V. t. may promettre. Ndah natal bâ nga m,a me donneras-tu ne point l'image que tu rn'av is promise. b., promesse. Dig*i Gamu, (promesse du Gamou), nom du 2® mois lunaire de dig'on, — l'année musulmane, entre Tarnharèt et Gamu. Dig'i tahaski, (promesse du Tabaski), nom du II® mois lunaire de l'année musulmane entre Kori et Tahaski, DIG V., frontière, limite, bornes d'un royaume, d'un champ, etc. DÎG, l'eau, fond. s'enfoncer dans aller au fond, couler à V. n. Bétèh yombâ nâ dîg, le plomib va facilement au fond. milieu, centre, DIGÀ b., Dig\u betèk^ milieu de la journée, midi. Dig'n giidi, minuit. Dig'u bopâ, zénitth. Ta digà - — DIG Doh nu travers. à traversé, Nâkà doyé bè l la digà, passé a il il mu digà, la a tra\ers. à — pâkâ rër nà ma ta diganté Gérév ak Popongin, j'ai perdu mon couteau entre Guérév^ et Poponguine (deux villages nônes aux deux côtés du cap de Naze). Gis nû ko diganté nâ~ DKÎÀFÉ, prép. pendant que. DIGAL, V. t. promettre, con- nènt ak durom i yôn, je l'iai vu à peu près quatre ou cinq un di après ré, certain rire. reinsinuer, engager, faire des présenter, exhorter, ndigal représentations. b., seiller, — promesse, b., DiGAL, V. — pierre en guise pirogues. d., d'ancre dans les DIGALË, DEGALÉ, borner, enfoncer, faire au fond, sonder dans faire aller mer. avis coinseil, t. (L)., v. t. limiter. DIGÂLÉ, communiquer, fois. DIGÂSU, V. p. DIGDIGI, V. empressement du pied. n. DIGÉ, mutuel, coaliser, se être en relation. V. et se un contrat faire t. dandineir. marcher avec en frappant convenir d'une chose entre plusieurs personnes, se promettre (mutuellement, comploter, réc. V. s'aggréger, se confédérer, se liguer, contracter mutuellement, consipirer, -conjurer. — ndigé m., contrat, convention mutuelle, promesse mutuelle, accord. Ndigé mu bon,. complot, conjuration. Digé'yôn,^ b., S'emploie aussi pour exprimer déceminîent les rapports entre Or l'homme être infidèle à sa promesse, vio- ndigâlé et b., g., engagement coalition, — femme. la pacte muiuel, b., mutuel, congrégation, liaison, DlGALl, était V. t. tirer ce b., Ti diganté, ou simplement diganté, entre, parmi, au milieu, environ. Samà à peu près, parole, b., DIGLÉ, — V. V., contractant, comploteur. oonjurateur, seils. religieux. sa vœu. DIGÊKÀT t. donner des con- conseil donné. DIGLÉKÀT milieu, entre- deux, intervalle, distance, séparation, rapport avec quelqu'un, relation, paroi, digue de sépaDiganté bâ yahu na, ration. l'entre-deux est gâté. Diganté' Mbav ak Tangagët tahu ko soré loi, la distance entre Mbao et Rufisque n'est pas trop grande. Bakarhâi var nâ défar digantê/m ak Y alla, le pécheur doit arranger ses rapports 5ivec Dieu. vœu manquer à Yalla, ti digé, ler son qui enfoncé dans l'eau. DLGANTË digé alliance, amitié- 1 DIK avoir pleuré temps, il se mit à dal -la •a 5: b., qui donne dei& conseils. DIGÔR b. V. Dugôr. DIGU, V. t. menacer par ranb., mecune ou venrgeanoe. — nace. â DIKÀ, Bûr bà venu. — b., î V. n. arriver, venir. | le roi n'est pas 1 var à dikâ, l'avenir. 1 ndikà b., venue, arrivée. î dikul, Lu DIRTAL, v. t. conseiller, don~'^ ner un avis, suggérer, proposer^;! avis, conseil, 1 b., imposer, — précepte. J — DÏL de Di, regarde là-bas tois regardant là-bas). niL, DU V. donner un coup seconder, rir, main, de (liit. secou- aider, t. rendre assister, ser- Dis DlR, arme DIMALIANTÉ, s'en- d'aj us ter. aide, auxi- g., (L) DliR b., DIMALIKU, donner de peine, la dera. vise, arbre g., ressemble à une grosse poire, ce qui l'a fait appeler du Cayor ». à dânu ta foudre tombe souvent poirier « Demi dâ nâ faràl dimha, la sur diîThlm le (disent indi- les gènes). DIMBÂ, g., grisonner. n, V. cheveux DINDABÈa DINDI, boisson b., avec du sucre, gingembixi. DINDAR — gris. du faite citroii, du gingembre. g., ganay, je t. l'ai nâ vah àm, DINDÏKÀT ôte, qui désarmé. je b., abolit, Dmdi refuté. l'ai enîeveur, qui etc. DmDIKU, V. réf. être enlevé, enseignement, doc- b., trine. DINKÀ, DINTÀ, intention. traîner à terre. viseur, pointeur, pesant, sérieux, (surchargé, masaccablant. Kanam gu dis, sif, austère, Hal bu un cœur gonflé de chagrin visage sévère, dis, de peines. Bu dis, pesamment, lourdement, massivement Etre enceinte d'une grossesse et avancée. DIS, V. qu'un exposer t. à quel- une confidence, oonfier chagrins à. Dîsâl Yalla sa sohla yépu, confie à Dieu tous fes besoins. DÎSAL, V. t. appesantir, rengreiA^er, aggraver, lourd, alourdir, accabler, surcharger. DÎSAY b., lourdeur, poids, pesanteur, gravité. DÎSLÔ, V. t. rendre lourd, pesant. DÎSO, V. réc. se confier mutuellement, délibérer. b., dé- dre — DÎSÔ, t. t. V. Dénka. V. Déntâ. V. t. confier, flânai ko sa i sohla yâ yépà, prie Dieu, confie-lui touYalla, tes V. V. — lijjération. ôté, s'enlever, s 'ôter. dîné puîné b., endroit où l'on point de mire. DÎS, V. q., être lourd, grave, tes enlever, ôter, abo'lir, annuler, déplacer, supprimer, retrancher, défaire, démettre, réfuter, rétracter, révoquer, emporter. Dindi nâ ko V. cadet, DIRUKAY NDMBÀ fruit le t. DÎRKÀT, s'exciter ajusteur. DIMBÀ, b., V. au courage. Dimalikul, Yalla dimali la, aide-toi, Dieu t'ai- dont (L) ami. DIRiI, s'aider, se réf. V. — d., DIRAY ^ liaire. ajuster a\ec un« pointer, viser, mi- li-iais ne tire pas. alignement, action de viser, réc. v. t. sani, vise, ir'aider. DIMALIKÂT V. à feu, rer, bornoyer, regarder avec un seuJ œil, pour ne pas manquer Dirai, son coup. bul vandé b., soul-ager. vice, — sois. iiiiipératif set fàlé, DIMALI, 53 tes dîsô affaires. DÎSTUAN, V. t. confier peines à tout venant. ses 3 — DIT DITAH DËTAH g., g., grand et bol arbre touffu, fruits h ronds, comestibles, à chair farineuse, verdâtre, entremêlée de nombreuses. Le ditaJi u fiéy, ou hol, ou holi, est une variété à fruits amers et vénéneux. DITIN (]., espèce de mil de fibroi moyenne, J2:randeur on. ou blanc un individu, tel, quelqu'un indéterminé, tel, Sa diu la vahé nangam, nga dèl nâkà? Si un individu le dit telle chose, que feras-tu. DIV beurre, huile, certaine substance grasse, enduit; onction, action d'oindre. Rây divv, frotter avec du beurre, g., huiler. Div'horam, beurre salé d'Europe ou d'ailleurs. Div'vobeurre indigène, Div'tîr, lof, huile palme. de Div'mhâm, saindoux. Div'Ngalam, beun^e ou huile végétale de (Nga!' m. Div* tulikunâ ou tulukiinà, beurre ou huile végétale. Div Il darok yâ, huile des infirmes, v. Extrême- Onction. t. en- — duire, graisiser, DIVLIN DO, V. g., agâ mukâ, dèm, tu ne DOB g., DÔG touffu. On g., grand l'appelk ficus po/ aliéné, insensé, fan- danporbat- Lef extrava- bêtise, folie, dof, «ance, b alourdie, absurdité. B(V^ là bè dof, il est bon à la folie trop bon, simple. Nomé nà bè dof, il est téméraire. Bu dof, follement, sottement. DOF, viter V. mange pour dit se t. quelqu'un Dôfal, riz. in- manger du à (du avec riz) nous. DÔF, arracher les maudans un champ de V. t. tondre les cheveux ou rendre chauve. V. t. vaises herbes — riz. à ras, action ])., ('e d'arracher herbes mau\ai.se,s DOFAY — riz. b., dans un action de ras. NDOFAY b., aliénation mentale, raganoe, chose aosurde. lie, DOFDOFLU, pas.^* t'en iras pas. dôh mâle, puur le distin guer du hel, dôi femelle. Dôlu diné ou lévân est un au ire ficus qu'on rencontre sur 1« bord des eaux. fois u tondre à may tu fou, ])., extravagant, nigaud. Dof u kalankâ, fou furieux et (?:ereux, qui a la manie de ter bâton et armes et de tre ceux qu'il rencontre. la. viendras jamais. Dô ma ko âm? Ne me le donneras-tu très — inconslaiice. champ par- JDô \ DÔFVY Du nga ou Du Lu mu être utile. 1. h — les n'y fà V. quoi cela lui est-il utile quoi cela lui sert-il à V. t. utiliser. Ld ko doé? qu'en ^eux-tu faire? quel service en eux -lu mtirer.î^ DOÉRl, DOr.Dl, V. n. déraisonner, ennuyer, parler ou agir bêtement. Syn. Dèsé. g., oindre. huile. V. Di, do don. s. Dô, pour Dô DOE, ko doé? DOF rougeâtre DIU m., un DGF 5, V. n. m., foextra faire sem- blant d'être fou, contrefaire un fou. DOFIN de folie, un fou. DOFLÔ, NDOFIN manie v.. çrenre particulièie à rendre fou, troubler l'esl'embarrasser, hébéter égarer prit, V., V. l'esprit, t. DOII 1)0 F pour nOFl', V. p. vire netloyi': en parlant d'un champ de riz. taillade être tendu p. rendu chauve. veau. — DOG, IV. dog nâ, cette rompue. Bu n g élan nga budi, quand le bi corde est dogé, li vent aura cessé, tu lèveras l'anV. t. couper, amputer, cre. — trancher, tailler, inciser, tronquer, rompre, casser. Dog nâmi loho'm, on lui main. Dogal yôn a vi, amputé la traverse ce chemiin. Dog nànu yôn vi, la par des route est interceptée voleui's DOG ou par g., DCKÎAL, clure. porté V. décider, it. arrê- déterminer, conj'ai nâ até ba, Dogal le l'autorité. V. Dôb. limiter, ter, jugement ou la NDOGAL'ATÉ, b. jugement, décision, sen- tence. DOGANDU, DOGANTÉ, empêcher. se couper réciproquement. Doganté nànu yôn, on fait le métier de coupeur de bourse sur les routes. — V. t. réc V. séparation, division, paaction de se couper réci- roi, DOGANTI, V. mager, retenir, chandises, dédo faite réf. dédomdes mar- — s'indemniser. b., t i nden n n Isa tio n mm a^e me n , par soi-même. DQGAT, V. t. découper, tail- en plusieurs morceaux, disséquer, hacher, mutiler, morceler en coupant, mettre en pièces, dépecer. Dogat perki ou ler . viande par petites tranches de DOGDOG b., morceau, coufragment coupé, incision, échancrure. b., rognure, reste de ce qui a été ooupé. Dogit u bantâ, reste d'un bâton coupé. DOGKÀT b., couipeur, découpeur. DogkM u yôn, coupeur de bourse, voleur de grand entaille, DOGIT chemin. iDOGLÔ, v. faire t. coupeur, faire trancher. DOGÔ, V. réc. brouillé, être brouiller, se en parlant personnes autrefois amies. rupture, division entre personnes ci-devant amies. des — b., DOGOMONTÉ d., Dëgémiité d. nmladie des articulations, rhumatisme. DOGU, V. n. être coupé. DOG U DALÉNÔ v., espèce de grande fourmi ayant des pinces à DOH V. n. rougeâtm, la tête marcher, aller, Menatumâ doh, je ne puis plus marclier. Vahàl né nangam dohé nn nangam, dis que telle chose s'est passée de telle manière. Dohàl ti kanam, marche en avant, va en avant, avance. avoir lieu, se passer. Doh tank'i taytay, courir le guilledou, aller pendant la nuit pirki, découper, déchiqueter, de la mur b., amputation, acde couper, coupe, décou- pon, se saisir paroi, b., pure. b., proquement. couper de nou- t. DOGAY tion divisé, DOGAL'ATÉ b., hachis. refend. sen- tence. arrêt, DOGATLË être ooupé, cassé, n. Bûm c^esser. V. — griller. menue, DOGÂT, être ras, V. faire la it le pour mal. — pour marche voler, soit b., faire , DOL DOÎI DOUA dos, (]., tresise laisse derrière DOHAN, (se chignon, nuque, de cheveux: qu'on V. la îête. n. se DOKI DOLË prend sôUAent en niauvnic 1 ) . ] , .majiiier. DOHaNDI, aller n. y. en V. marcher en- n. et se sur dohâni, ipromeiier le liieu Vaùi JiTmu sa dôlé, on a marcher pour, V. n. faire des s'occuper de, démarches pour. Dohé nâ suma sohla, je me suis occupé de aller, DOHKÀT. tes b., Vanil fort coureur, ter, Irm V. n. péter, lâcher aumo b., avant et DOiLI, sa pas. qui piéton, marcheur, bon voyage beaucoup. DOHLÔ, V. t. faire marcher. DOHOT, rie}. esses, plus DOLI dohin, ralentis -.wec pairvre, mes fait démarche, manière de marcher. dôlé ' affaires. allure, puissance, ta Ak c'est que tu es que moi, voilà tout. Nkepcrdôlé, vrépondérnnce de force et de moyens. BÙ\Al, V. t. donner de~^ f nres. ;;re DOLf:NTIKU, V. a. iDOLFfN b., espè. endroit, de promenade. V., force, ta affaibli. ' excursion. DOHIN t'a conquérir. Naka dôlé, n'avoir pas de Xrv-dôlc, faiblesse, ressource-s. pauvreté. Epa dôlé, être plus fort, surpasser en force. Nangu nga siiniià i ahiL da nga ma epa dôlé dàl, tu i'es e^n;;ar'' de être DOUÉ, mes l'éner- force, ri- allons une petite promenade, comme en temps de convalescence, faire une excursion. b., dôlé, de force, la énergiquement, vigoureusement, fortement, ânrpétueusement. Del nk dôlé, prendre de faire DÔnÂNUKAY A m nqa force. de force, aller se pro- n. V. nâ Baré conforter. (le as gie. nous promener. DOHANTU, oôJé, force, de l'éneigie, lia a il on {]., vi- ?>eaucoup de force, il est très fort, vigoureux, puissant, riche. Barclô nà /ro dôlé, je lui est donné beaucouip de force, ;ie lui ai fait avoir beaudôlé, DOlîÂNI, V. n. aller se promener, faire une promenade. Ana tubâb bà? Munga doliaui ia téfès, le blanc, où est-il.^ il An dèm May puissant. fortifier, diminué — énergie, force, d., donner de tu DOîïA'NDO, mener, péleur. Aloni. 1)., V, g. , riche semlile. à in- véhémence, violence, consistance. Borom-dôlé homme coup at- ten(tant. vage. vent pet, b., gueur, DOHÂlNAL, V. t. faire des (h'marclies en faveur d'un autre a mh u an t DOIT AN D Î^M étranger, voyauciii-. passant, rôdeur. aventurier v.njabnnd, Bô gisé dohaiidèin bu hif, may ko la mil lèka, si tu vois un passant qui a faim, donne-lui à est — vent. DOHOTKÀT :p]x)Jii'Mi(M- I)art). . un discret. V. ,m r K- ajjrè. gr;>ssi!-, ger, accr:»îire, fortifier. en sus. darni'm? est-ce que vre, d:)nner . donneras riei DoUl bè nu ajou- aU'g'Mieiiler. i. multiplier, e i n- ;)7-.)l ]) uirsui- Dô ma doli ne nie sii-^ di fiàr. i-,:.n mariage. ]e tu d;i pi-iv ^l^e[^-]e ? .iii - DOL Nâ \\\)k\ K'U que doit! bien nom 1 variété de iidoU 1)., du une à iint' Yalln la fas?-e le lèpre. ;mf;mentalion, g., redoublement. nOLlKU, V. q. être augmenté, accru, multii^îié, devenu grand, nombreux, s'augmenter, s'aCsurcroîl, •-urplus — se <'roître. multiplier. état d'être b., augmenté, action de s'accroître, de ingmenter. augfaire hOLLLÔ, V. t. ndolikii g., «Mi'er. DOLLNKÀ ignair.e (1, sau- de Sénégambie. iLe DÔLÔL noir insecte V., qui mange le mil. elc. •singe, DÔM d., -considéré ' hameçon. g., DOLOHOM père et à e'.if'^iit. par le dôm tous bây, (enfants à fille, son à l'éga^'d les enfants' Dôm pères) i cou- cousire'-. iW:- 'Ui lilles des "deux frères-^ Dôni i ndcy, (enfants de mères) cousins, cousines, fils ou filles de deux soeurs. Dôm i yâk'ak vôlu cousin ou cousine, fils ou fille soit du 'sins, frère soit de dây (enfants la soeur. Dôm ini- d'cncle),. cousins ou sœur par rapport de la aux enfants (Prov. Dôm de enfant religion, lé- gitime. DÔ777 i l)ùr, fils ou descendant- de roi. Dôm u d/irljât (enfant de ne^eu), petit-ïieveu, Dôm du digèn, petite-nièce. Dôm du digèn, fille. u glrr. garçon. Dôm u dôm u dâmbûr, enfant d 'autrui. Lô dôm a dàmbùr, sa dôm a la ko genal, quelque amour que vous ayez pour l'enfant d'un autre, vous lui présopa-sopà férez encore le vôtre. Dôm i Adam>a, /es descendants d'Adam. Sumi i dôm yâ, notre postéfruit d'im arbre térité. 1)., ou d'une plante, et tout ce qui procède d'une autre chose comme de son principe. On — dit aussi: u gàl, Glé; dôm espèce de maillet dÔ7ii taparha, u pour bat Ire DÔM pagires. les dôm b., i dre ipour les armes i tûl, cendre. DOM, gi lèv son adv. nà fètal, pou- feu. Dorn à Ker absolument. ma dom, n'appartient cette mai- tout-à-fait en p7->pre. V. a. surmonter. Dom diko'm, il a surmonté, il vaincu son caractère. DOM, a -de tante), beau- le fils. Dôm enfant Dôm cousine,, enfants dôm, uji u far (enfant de l'amant), enfant de libertinage. u Ydn, n^ii hadèn (enfant pas térin cousines, enfants d'un frère par II u dit lé du a ndàlô, enfant adul(terme injurieux). Dôm u arâm, dôm i harûm, enfant du crime (terme injurieux). Dôm Vol.) •rapport aux enfants d'une sœur, •cousin, le n dîllc, (enfant <ravance) beau-fils, enfant dont on a père mi la mère. n'est fils dôm d'elles. de Dôm gôr, rappoii. de chacune bele-fille, épousé et ou Dôm du frère. qu'on a de géniture d'un animal quelconque. Le <pève et tous ses frcyes (oncles paternels) appelleat dôm tous les enfants nés de chacun d'eux. La mère et toulei ses sœurs (tantes maternelles) appellent DOM pain de l'un d'eux seulement; pro- liés - rouge filr^ mcre ou sa 57 . DOMDOMz\T ti;e-fill«. <]., petit-fils, pe- . — DOM DÔMÔ, V. pour nu dômô ta adopter t. son enfant. Yallâ Dieu qui nous a adoptas pour ses enfants uans le sacrement de Baptême. hatisé ba, c'est DOMODÀ DOMODAH b., b., iDOMPÀ, V. pinc/er, t. fortement avec prendre une douleur cuisante. Sumâ dèf ma dompâ bu méti, je ser hir sens de ventre. douleurs \ifs dans le V. Di. DI, mu Lu don? qu'est-ce.*^ Lu mu don on? qu 'était-ce Lu mu men à aon? quoique ce puisse être. Fu mu men à don, quelque part que .î* puisse êtie. DÔN pour temps Di on, forme du du verbe Di. passé • — signe du passé rel.'tif, et quelquefois du conditionnel. part. V. DONÀ, V. t. ou l'héritage succéder hériter de, avoir succession la Donu-ma sumà à. ndah sumà nidây rèk, de, bây, n'ai je ce de mon père, n'est que de mon oncle seulement. Lu ma ti donâ? qu'est- hérité p^-is ce m'en qu'il DONALÉ, V. revient.!^ t. léguer, donner en héritage. DONALO, V. t. faire hériter de. DONpÀ V., May ma un DONDOL rap C'est que motte de terre, semblable. dond'u sukar, donnemorceau de sucre. tout glèbe, nloi g., objet appelé aussi u laobé (arbre du un bombax moins (7 a- laobé). élevé bènlèngi, sans épines, à fleurs ro«es magnifiques. DÔNGÀ. V. n. tremJ>ler par de vieilfaiblesse de nerl's ou le — occasionné par ou lesse tremblement du d., la vieil- nerfs. les DONGÀKÂT trembleur, b., celui doint les nerfs sont agités par maladie ou ta DONKOTO'N b.., la vieillesse. instrument de culture. DONO succes- héritier, d., seur. DONO je NDONO g., g., héré^ Bokâ nâ dono, il cohéritier. Han nâ ko dono, dité, est DON, DO cela lesse. cau- doigts, les DÔR corps cuit au jus de viande. riz {)ilau, 58 — legs. déshérité. l'ai DÔlNTÉ, opt. de Don. Dônté mon, si c'était moi, quant à moi. Dônté sumâ sago, si cela ne tenait qu'à moi. Dônté sah at vènà yôn, fût-ce même une l'an. fois DÔR V., DÔR, goëland. t. commencer, rléMingi dôr à dèm lëgi nga dab ko, il ne fait que de V. buter. ler, tu l'atteindras bientôt. vah, commencer h parprendre la parole. Dôr t<i ]càv bè partir, Dôr a ti sûf, de haut en bas, commencer par le haut jusndôr g., cornnienceme:it, action de comimen- à qu'en bas. — b., cer. frapper quelDÔR. V. t. Dôr mbèty qu'un, le battre. appliquer un soufflet, soufflefiu la doré ta béréb, ter. Su bènèn yôn dô fâ dèm, si l'on vous bat dans un endroit, une autre fois vous n'y retourneb.. acrez pas. (Prov. Vol ) quelqu'un, frapper tion de — coup. DÔR AN TÉ, V. réc. se frapper mu ue lleme n s 'e n tref ppe r recommejicer DÔR ATI, V. t t i-a , t. - 59 - DOR I>0RD0RLU, V. n faire semblant de coimmencer. DORÏ . insuffisant, DOYLÉ, qui frappe, qui donne des coup^. DORLO, DORLÔ, b., celui V. cer. DORLU, pour V. t. frapper faire soi. DOT DOYÉRl, DOTOM, DETOM. avoir n. v. langue pendante, avoir difoeirtaines ficulté de prononcer lettres ou certains mois. g difficulté de prononcer certaines lettres ou certains mots. DOTOMKÀT b., qui prononce la — , difficilement certaines lettres ou mots. espèce V., blanchâtre, semblable à ou marié. DOY, Y. sez, riter. bè le lesite oelle appelée bôtul n. Doy nâ de haine, mu c'est doy, être suffire, être sîb, c'est odieux. assez, as- mé- digne, ment une manière A fourmi de pour tout suffisant; DUL, DU, V. -.ég. de Di, gras, re- pour les V. voix s. DÛF, V. animaux, g^as. d:du engrais er, devenir Mbâm su dûfé nêh tan s l'âne yû, si esit vautours. les être q., potelé, plet, DCFÂY gras, graisse, b., réjouit il ^ol.) (Prov. embon- point. DUGÂ, trer n. V. dans, — barquer. pénés'em- entrer, s'introduire, nduga b., ac- b., de pénétrer, de s'embarquer, marchandises. DUGÂKÀT b., qui entre, qui tion d'entrer, DUGAL, DUGALO, entrer, faire digne Bu doy, suffisamd'attacher voir. DOYADl, DOYÀRI, v. n. ôtre v. pénétrer, t. laire faire embarquer. DUGOR plus. ferai g., s'embarque. DÔTUL, DÔTU, DATUL pour du atiil, du atu, y. aux nêg. ne plus. Dôtu-ma ko. dèf je le — n. V. Doéri. fuisil. V. n. employer des ou remèdes supeistitieux pour empocher un esclave ou un animal de se sauver. Ce mot désign<^ proprement. Doyul à gis, c'est affreux les anini;*ux en fixar^t k corde en terre. DO Y sa- g., V. n. êi;e content, avoir assez de, être rassasié. Sêtal natal yi bè dovlu, tableaux jusqu'à regarde ces DOTÀ, ne ' satisfait, Dot u silex. grisgris certains — satisifaction. pierre, V., pierre a jetai, par exten- satisfait. DOYLU commen- faire t. être avoir en sjffi- t. assez, tisfaction. faire frapper. l. V. sion, V. avoir sance, usé. DORKAT peu avoir inef>t-(\ d'esprit. presque enliè- ilèr b., rement lue L, DIGOR 1., pomm.e arbuste aont l'écorce des racines infusée est bonne, dit-on, contre le rhume, l'asthme. Son fruit a le même cannelle siauvage, noui. DUGUP d., mil, en général Dugup du dêh mukâ rên, le mil ne s'épuirera jamais cette année. MpiVangâ ta bénténg, vnndé nhèl âm anga ta dugup, l'oiseau va se pe relier sur le fromager, mais son esprit est — 60 — DUK le rnlL Dugiip u mpità, mil des oiseaux, ou millet sauvage que Von mange en temps de disette. DUK 1., ce qu'il y a de plus grossier dans le son du mil. Lô bés bês, dugup du nakà duk, tu au.ras beau vanner le mil, il restera toujours du duk. DUK À 1., ruche d'abeilles. Syn. Sungàr. DUL, DU, voix nég. de Di. DUNDÂLOKÀT tiariis V. — s. pouf! V., ordure, excrément, grotssier). faire ses gros DCL (terme DULUN DUMÀ, — nduma b., action de fouetter, punition. DUiMÀT amorce, appât de b., l'hameçon. DUMDUM DUN b., se dunda vit-il tence. de la à la île. DUNDÀ, vie, de poisqueue. eispèce b., son ayant un dard bây en angé miV? ton père g., vie, vivre, n. V. nourrir. lèy bel .Sa — encoiie? Duiid'u être bakàn, exis- cours DUiNDAKÉ dont les terminent par un fruit arrondi en farnie d'une grosse fraise, d'un goût assez agréable. Syn. Nandôk. DUNDAL, liane g., V. t. tretenir, sustenter, nourrir, donner eni'ali- nienlatioi). DUNDALKAT DU^DALO, faire oontempo- , . DUNDÂJVI, y. n. DUiNDÉ, Y. nourdundé, Je n. vivre, se Amu-ma rir. mear aller là. ma lu n'ai point de quoi vivre. (DUiNDU nouirriture, b., aliment, sistiance, subprovision de bouohe. DUNGÀ DUiNGÀ, V. de plume v., Dungâ yu tût yâ, V. n. se d'oiseaiu. duvet. remplumer. (L) souffler le feu. t. peloton pelote, b., fil. DUNl, lant V. ruminer en n. vaches et des autres miaux ruminants. DUR, V. t. envelopper, tre dans une enveloppe. DURUS, V. t. parani- met- réciter de mé- moire. DÛS, vague V. houle, lame, dus, resac. DCiSU b., (F) de mer, Rir i lia brisant. pièce de 10 sols, 5o cen/limes. vie. liges très foliacées se mer, b dier sa vie çà et DUiNGUL battre fouetter, n. V. de verges, châtier. g., DUNDÀNDO const-eilation. V., vivifiMi: rain, — besoins. b., leur. interj. ! DUY V. vivre. b., t. nourricier. vivifier, ani- DOSU b., chique, ou puce pénétrante, espèce de ciron Syn. Digà d. DUT, n. V. danser à la sal- timbanque. DUTI (né). V. Bosèt (né). DUTKÀT, NDUTKÀT b., danseur à DUY, Syn. la V. Bôt. saltimbanque n. puiser de l'eau , p p, quatrième lettre de Talphabet volof, représente une artK cuktion liniguale et mouillée, qui n'existe point en français et qu'aucune combinaison de nos lettres ne peut rendre exaclenient; il faut l'entendre de la bouche des naturels. On peut eh approcher assez exactemeit en s'efforçant de prononcer par une seule émission de voix le d avec le / allemand ou avec le y consonne Da, ad. anglaise. P se prononce par expiration et par aspiration : DAB P P, consonne initiale de l'adj. déf. le Elle la. est très quemment employée, fré- mais ne dém. je pas vue. l'ai celui-là, pressive que cette. , Dôm celle-là. Niday l'enfant. dâ, di, Rahâ di, le frère puîné. Vah di, le discours. PÀ,"pi, pu, adj. déf. le, la. dém. 1*0 noie. Dân serpent (là). Dân di, le serpent (ici). Dân du, le serpent (ici ou là, indéterminé dâ, quant — , adj. ma la à lel. yoné von, J'avais, en^voyé. reil. que. qui, lequel, Dôm , , —, laqueiWe. PÈiNÀ, adj. et un, une. PÈiNËN, adj. et num. pron. indéf. toute, entier, indéf PÔPU, précédente), ce, dôdà gisu-ma ko, adj. cette. cette Tabi clé interr. laquelle? galoper. n. bourgeonner. — t. V. faire galoper. n. aller et ve- DABAR ç]., épouse, femme Dabar du mag. sœur Dabar du de il'épouse. ndctv, sœur Ntamén u l'épouse. (L) — cadette de l'épouse. dabar, frère de dévér b. Debar d médecin du pays qui , use de supercheries et de sorcelleries. dém. (forme plus expressive que la PÔPÀ, pron. lequel, m<ari('!e. b. entière. celui-là, bourgeon. aînée pron. un autre, une autre. PÉPÀ, ad|. et pron. tout, pron. dém. nir. que l'enfant — — da et n. PÂBAL, V. DABANTÉ, — —, distance). b., la quelle? pAB, V. PABÂ, V. le plus exprécédente), ce, ipron. adj. PAiN.î* quel, adj. encore (forme — pron. PÔPULÉ, PÔPÀLÉ, il donner sur son emploi d'autre règle que la mère. Ndèy da, l'usage. est bien difficile de — celle-là. là, PABARÂN, PÉBARÂN, v. n. exercer le métier de médecin du pays avec les supercheries, les grigris et les sorcelleries. — . — DAB ndcbar })., 62 médecine empi- g., rique, charlatanisme, DABARÂNKÀT Darak mô médecin du saha'm da- b., pays. grimoire. di — DAG — — , teux, min que suivre un rareté, pour Dada Moy. ta satisfaire lë, est rels natu- puissiant. roi P ADAM AL, trop besoins ses un V. V. redresser, ap- t. qu'il DADARNI b., bouiliie très creusé dans DADË le puits b., DADU, n. V. DÂFUR, mettre sa con- en quelqu'un. Dadu nâ Y alla, j'ai mis ma confiance ses dayi. DAFAL, faire bien DAFAN maux de V. t. prendre b., enflammer, le actes. dandà DAG, . V. pr. se tenir à, cramponner à, dépendre de. Ta Y alla là nu dafandu, nous ne dépendons que de Dieu. DAFÉ, DAFÉY, DAFÉ^Î, v. q. se difficile, ardu, incommode, pénible, rigide, de mil démettre dams Lef b. (K), (L) être prêt, arrangé, V. q. un voyage Dag nâ, je Sum>â yaram daguly disposé pour une entreprise. ou prêt. suis je voyage indisposé. — une ou dispo- b., pour un état d'être prêt DAGADI, entreprise. indisposition, ma- disposer, pré- laise. parer, V. t. arranger tout pour un voyage ou pour une entrepnse. action de disposer, de b., — préparer, parade. cots poitrine, DAFANDU, malaisé, b DAGAO les tas (S), b., de le grenier. Syn. le appelé aussi garap u Doalâ (remède de Joal) être — posé avant feu. remède contre enragé, être n. V. DAG AL, animal carnassier. DAÉTIDAÉTI, v. n. V. Dayb., diffi- forcément ses b. ndâfur g., rage, forcément de raconter acteis. en Dieu. DAÈL rendre t. comme raconter fiance fà V. rendre cher. sition, roc. sévérité. difficulté, cherté, b., DAFÉiLÔ, cile, suis épaisse. incon- difficulté, g., tout redresse. le Vègi rigidité. DÂG puyer. Su nit gisé asaman di demgà, mu dadanti ko, si quelqu'un voit le firmament penché, — DAFÉAY tôt. DADANTI, loi le vénient, cherté, action commencer t. bi, village. aller faire ses gros besoins ahâ, (terme honnête). Dada, bûr fari dehâ mil est actuel le ment fort cher ou rare dans le de s'écarter autre, Syn. route. la pris V. Dugup dafén nâ rare. ti avait dafén, difficilement n. être cher, coûd'un prix élevé, être , barânkât, le malade est le grenier du médecin. (Prov. Yol.) DADÀ, V. n. passer par où l'on ne croyait pas passer, chanquitter le cheger de route, l'on Bu —, séivère. b., de hari- n. avoir teigneux. Syn. variété rouges. DÀGAR, DÉGAR, être teigme, la Gégir. — b., DÀGARKÀT DAGLÉ, bien choses en ses v. teigne. b., teigneux. avoir les choles avoir disposées préparatifs, V. n. ordre, être avoir piêt. fini ses . , — 63 — PAG réf. V. |,)AC;LU, prise. (l:spo5€r, s-o une pour préparer entre- - p\H g., pAn. V. algue. dans H'inquiéiude, être dans l'em barras, être ndâh g., pertroublé. g. plexité, em'barras, anxiété, inn. être — quiétude. DAH, meçon mordre n. V. à l'ha- d., en- hasô bè Jimnatul, c'est un pêlemêle à n'y rien comprendre. Bu dahasô, pêle-mêle. PAHATU g., (M.) solanée ressemblant à l'aubergine, plate, Ton de, douée d'une amertume assez prononcée; très employée pour assaissonner les mets indigènes. Dahatu dâng ou bacouverte solanée tansé golo, d'épines droites et fortes sur la tige et les nervures des feu il-, , . DAH crier, NDAH d., petit vase. DAHA H PAHAY d., PAHAY Syn. — DAHANU, DAVANU. pAHAiN, n. i i coucher Tânu. se sur dos. le V. PAHAR nénuphar. On en g., mignoter. t. distingue cinq variétés au Sénégal, h fleurs jaunes ou blanches. DAHARFËT DAHARl, caiir, de Y. P AHASÉ, troubler, la réciter t. par b., recita teur. v. confondre, t. mêler, brouiller, bouleverser, semer discorde, caba'er. — b., con- fusion, mélange, désojd.e, pêlem^''> DAllASÉKÀT teur, perturba- b., séditieux. PAUASC, PAHASU, confondu, brouillé, confus, s'emibrouililer. Lef V. se li v. p. être mélangé, mêler, dèfa da- t. pays. dti discerner, expli- — — inquiet. être b., d'inquiétude, d'hésitation, d'anxiété, de trouble. état PAHLU, V. tirer t. la ligne au moment où b., acle poisson y prend. tion de tirer l'hameçon. PAllNAÏ g., variété de gros l'hameçon de à épis — oontournés. serrés, en fjrm.e de crosse. pAHOY b., noyau du PAHÏANDÈM V., gros néu. frelon noir. PAK V., trait ou javelot quelquefois armé d'un morceau de fer aigu. pointu, PAK lipe pêle-mêle, de prouver quer, démontrer, b., discernement, explication. PAHÉO d., jeune fille chaste ©t pure. pAHLÉ, V. n. avoir de quoi s'inquiéter, avoir sujet de se mil, mémoire. DAHARTKAT mélanger, Daron. Y. v. aigle b., PAHÉ, trouibler, DAHANÏO, nag. ii instrument b., culture. ' , Garap Syn. les. vache à lait. DAHAL, V. t. mettre dams da ns 1 n q u i éii de I *enib a rras troubler. datm 'l'agitation, déaction d'embarrasser, g., rang-ement. p\HALTjR b., vioux bouc punnt. V. PAK I BAHON, espèce de tu- du pays. PAK, V. t. regarder quel- qu'un fixement. 'Né dak di déglu, être tout yeux et tout oreilles. — DAK DAK A font mosquée ou ç]., où découvert prière. la pAKARLÔ, voir à-fate, karlô vant. (loc. DÂKÊR face-à-face. face- Bu da- par Usuninfing. V. g. tetrtre, petite colline, — dent d'une supérieure, ou privation la b., incisive DALÂ, passer une rivière ou un bras de mer avec une embarcation ou à la nage. b., trajet par eau, passage n. V. — d'une rivière. DALAH, séminer ser. — nation, V. disperser, t. dis- bouleverpêle-mêle, b., dispersion, disisémi- bouleversement. DÀLAH, V. n. se cailler — et b., formel" des grumeaux. action de se cailler et de former des grumeaux. DALAHÉ, V. t. bouleverser, éparpiller. DALAH U, V. p. être boule- versé, à travers une b., celui qui passe rivière ou un bras de mer, passeur, batelier. DALÂL d., e&pèce de chenille qui ne pique pas. DALAM b., rayon de soleil, de lune. par ci de quel- V. tourner en t. Syn. inverse. DALDALI, joie kanda sau- g., Bétarni. m. sauter de b., action de joie ou de douV. ou de douleur. de sauter — leur. DÂLË, dér. qu'un du. consoler di, V. pron. et adj. de Dâ, t. l'occasion de à la dém. quelperte ou d'un ami, douleur, lui faire ses condoléances. Tf're u dâlé, lettre de condoléance d'un parent prendre part DALË, sa à passer un quelqu'un. DALÈM. V. Délèm. DALÉN, V. t. rembarrer, re- V. t. cours d'eau — pousser. Né dalèn, faire à sup. avec né. arriver subiteîijenl adv. devant quelqu'un. DÂLÉSI, V. t. venir faire ses condoléances. Dà ma la dâlési, yây. je viens vous faire mes condoléances, ma bonne dame. DÂLÉSIKÀT éparpillé. DALÀKÀT PÀLARBI, DÂLÉ, des deux dents. aller n. V. à la recherche DALANGAR sens sûj, i presque que chose. Dâl — hauteur. DÂL. V. n. manquer de l'une des deux dents supérieures de devant, ou de l'une et de l'autre. là vage. faire éminence, DALÂN, amonun tas de sable ou b., tas, monceau, entasser, bois noir et aussi dur que le véritable ébène. Syn. Gélém- noirs. t. di> ' cœur donne un hâm. V. ébène g., un arbre atteignant cinq à six mètres, à très comprimées-. Le gousses cheval rouge. Dâôm, cheval rouge i DAKOLON but, DALAMBAM pays. C'est aussi d., de terre. DÂL parfois être n. V. aux genoux DÀL, — adv.) face-à-face, de- kêr da fiûr celer, lieu* mahométarns les 6/, qui vient ces à consolateur, b., faire l'oocas-ion ses de condoléanperte la d'une personne; Paraclet. DÂLÔ, V. n. commettre um adultère, vivre en adultère, surtout en parlant des femmes infidèles à leujns maris. . — PAL pM.OH. 1)., DALORË haut une ooimmet nâ dalorê'k maje cornais ses exploits solô'm yépâ, !>ôrè'k 1 d'un actions Ham < )nn.'i£;e. exploit, (]., Lelîos nii€ son histoire, son caractère, je sais tout ce a fait en bien oomme en <•! qu'il :.:al. pALU, de tas pr. V. terre couvrir d'un se ou de sable. n. V. incisaves une pointe, blesser avec aiguil- enlanier poignarder, des palmiers pour on avoir du loniier, Dam vin. piqué nâ lYia pingu, il m'a une épingle. Dam 'd\ec nànu ko hêr, avec pierres, des f)idv. ils Damangii-nu pas encore tiré n'a blessé l'ont ils tîr l'ont la- yâlé, o'a du vin de Dam bè palmiers là-bas. né fel, ou hè né sar, on hè né mel, transpercer, percer de part en part. Dam digé, jouer un jeu de pelote. Dam tontom, se coudoyer. ces mu DÂM b., captif, esolave, serf. Dam ndèy dugup (esolave de la sus mère du mil). C'est un que l'on confond au mier abord avec vage, haut, fleurs On regarde vénéneux. DA'MÀ calme. la ronde, tige d'un les cis- pre- est-ce bien (X)Dvenable dama comme au plur.) Dcsal ak dama, redite en paix. Dènud ak dama, va-t-en en paix. Ëndul ak dama, passe la journc'e Fanârhâl ak danm, en paix. 'nuit en paix. A touformules d'adieu on répond: Dama'k dama, ou simplement ti dama, ou dama ou dam.. Dama ng'ûm? (pour dama nga am). Dama sa? com- passe ? est-ce Lôlu la ces ment te po^rtes-^tu Dama ngën am? comment vous portez-vous.^ On répond toujours: Dama dâl, ou dama dâl ndah sa dam^à, .^^ me je porte bien, et vous.^ 0.n continue demandes Sa les yaram danna? es-tu en bonne s-ar.lc? Sa ker danu.? se portet-on bien chez vous ? La réponse est toujours: Dama dâl. Bër dama dâl a fâ hèv? ça vat-id bien à Corée Dama rèkâ di, ou dama rèkâ a fâ hèv, tout va bien, tout est en paix. Défar dama, pacifier, mettre la paix. Ak danm, paisiblement, t r an q u i 1 lemen t p aci fi que men t : , Nit i dama, silencieux. pâle. tranquillité, une chose du dama hom^me paisible, qui n'est point tracassier. Baré rose comime Ti (au sing. très ta lâ il est pacifique, ter bien, bilé ? niauNaiFO nomeMe. adieu, au revoir ! nâ dama, Dam*u yaram, bonne dama Wm? Cela, Lôlu ;•(' ma Li vigne saurouge en fruits paix, d., santé. nàîu, tes aA^ir les deux supérieure*? limées à 'leurs angles intérieurs. DAM, V. t. piquer, percer, DÂLU, dents l.)AM per- coaguler. l'.iilulière. l;iil, — œr[v\ n'est pas bien. la bcga vah, damu la, ce que je mixw te di;e e'3t une chose favorable, ce n'est pas so qui pr. V. nALOKÂT 65 Am être fort bien paisible, tranquille, dama, se por- tranquille. Hatèl du ami dama mu lui su doté bega, cet enfant n'xi repos qu'il n'ait ob- point de tenu ce qu'il veut. DÂMAL, dre esclave. V. t. asservir, ren- - — DAM DAMALA lèm DAMALÉ val Syn. Gé- giraf€. g., alâ. II pouir concurrent, b., une DAMANO ri- 66 — pAMBÂTU, V. n. se murmurer quand on temps, époque. X''« daman 0 dôdâ, en ce temps là. Nit u daman o, un homane qui m'est pas sûr, à qui on ne peut se fier. DAMANTÉ, V. n. dér. de Dam, être tacheté. DAMANTÉ, V. réc. centre percer. réc. ise PAMBU, du ko dambu ta lâhim, l'homme peut abandonner Dieu son maîire en ce monde, mais il ne écihappera pas dans Tautre. désertion. PAMBUKAT b., qui a déserté lui — g., son m^aître, son ohef. arbre g., dont PÂIMBÛR les soigner la lèpre. priétaire, plaie sur le dos cheval. pAMARLÔ, n. V. ter avec quelqu'un. pute. PAMARLOKÂT b., se — dispub., dis- disputeur. DAMAY, V. n. être laid. PAMBÀ, V. t. délayer, remuer quelque chose dans un Mquide avec faire la infueer main pour plus vite. le DAMB'AB SUKAR, caniie à PAMBÂDOB b., trompetle portant une jaune sur sa tête. PAMBAL g., arbre très touffu à larges feuilles rouges en grappes, fruit gros, allongé en forme de saucisson, d'où son nom de aigrette saucisson nier homm^e PAMBAR b., p/eux, héros, brave. PAMBÀT, n. parler ça et de oes affaires, de ses peines jusqu'à molester les auditeurs. là i dâm- un suis piqûre, b., bles- plaie. PAMÉ, concourir, riva- n. V. pour une liser PAMKAT qui je îâ, libre. PAMPAM sure, place, blesser. b., piqueur, celui blesse. V. jouer à la oombretum à n. baï;e. P AMR AT g., larges feuilles. PAMSIRA amphibie PAMU parle d., rayant sortant de en ». kanam ta Dambûr bles. oiseau « vah bonko yi, Varula uiessleurs. PAMDIGÂ, b., autrui. dâmbûr bûr, tu n'aurais pas dû le dire devant des personnes respecta- sucre. DAMBÀ pro- d'honneur, aesipectab 'e, yen, von Dam- dahar ta ndoh, délaye du tamarin dans l'eau. hal libre, homme personne Kèrni jour, homme bourgeois, b., indépendiant, (]., s'intsurger, dé- n. V. et les racines servent à DAMÀR dans mur- quitter son maître, son chef. Nit men nâ dambu Y alla Borom am ti adiinà si, vandé feuiilles du es-t b., plainte, serter, saluer inutuelleiment. DAMAO plaindre, mure. place. V. — l'embarras. d., DAMANTÉ, DAM la g., poisson petit de gros yeux tête. aiguille, pendant la quand on nuit. — piqué, blessé avec une pointe. Se dit en particulier des piqûres que se font les jeunes négresses sur les lèvres pour les faiœ noircir V. p. être . — DAM j)AMU, faire le mut a dàl V. adorer, t. servir, Y alla ser\ice d'escliave. Dieu seul dnniu, a adorable. DAlV, dér. esit de Da, dî, du, quel? quelle? Dan pron. serpent? inler. adj. dân? quoi inter. — pAN d., serpent en général. Ndoh-sûf. Dân u nangor dà, vipère noire, ou giros serI)ent noir très da«ngiereux. Dân anguille de mer. Syn. u gêt, " Syn. Sîg. DÀN, NDÀN m., grande che- DMÂB, PONÂR d., DANAGAY, n. v. (pour vendre Vol.) que à res, DANASA, DANASÉ d., DANDÀ, V. Dë g<u dandà, DANDAHÊR faire du n. être subit. ou PVNÉV d., NDÊNIV d., df^név, autre tmi qu'on se tourne et se retourne, étant couché, on n'est pajs eincore arrivé dians l'aïutre monde (Prov. Yol.) Dâykàt i yah dèm- y sais- tu ré- — faire lire, p'-eindre gal prières les de l'Bglice. PANGÀLÔ faire les qui lecteur, b., préside offices les v. prière^-,. t., ou réciter ap- Lnbé, dan- ma, abbé, apprends-imoi la i>riè:e. pANGALKÀT dénonciaraconteur. b., rapporteur, teur, PAiNGÀLU, V. se t. faire lire à soi. pANGÀR, V. n. avoir deux dents superpoisées. b., qui a les de n ts s u [jer p os ces — DANGARO (}., maladie. PANGÀSJ, v.n. venir à l'école, un office ou exercice leli- nga vêpar tèy? aux vêpres .tujourd'hui? Dè7, dâ ma don dangieux. Dangâ'si as-tu sauvage monde. Teràdi ègul qui PANGAL, à cornichon g., ba'm? s api et le PANGÀKÀT subite gravier pour mortier. PA>;DULUP d'église chapeAet? b., lecture, étude, office religieux en imort ])., office des priè- dang'i tuhâb, je sais lire le volof, mais je ne connais par la ecture des blancs. Men ngâ cre, cimetière des — réciteir un étudier lire, t. Men ngâ danga'm ? sais- tu lire? Men nâ dangà vovandé menu ma dangâ lof, étudie, sépul- y. livre, f^iire général. mahotmétans. DANDÀ g., termitière, ou grand tas de terre e^i forme de pyramide, ayant queilquefoiis deux ou trois mètres de diamètre à la base, et trois d'élévation, à quatre mètres élevé par les t^jinites dans les champs. b., (L), tas d'épis de mil déposé avamt de les serrer dans le grenier. Syn. Lef h. (K), dâg b. (S). car assister. moi- moitié ivre. marchandise) on suppose mo^nde n'est comsa ; l'au'tre PANGÀ, nân hè danagay, boire jusqu'à être d'os monde posé que d'osisementis. citer à êli^e mapoha.nd le (Prov. cha.t. Syn. Mus. Ivre, danév, /// n'ira jamais dans l'autre dang^â velu i^e. tié — dans un laquelle? leqiieil? O7 assisté gâladi bindâ, a^lilé m'a me sunm non, tërè parce bi nu que faire lire la lettre ma j'étais qu'on écrite. pANGAT, V. t. raconter, rap- . DAN G8 déclamer, exFaramfatc. DANGATAL, v. t. développer pour, expliquer pour. porter, répol-er, pliquer. SyiD. DANGÀTU, ler n. délirer, par- V. et tort à — travers. à b., DANGÊR femme troisième !)., DANGI, n. V. ou étudier, lire conseil) pÂNU, p. être b., champs. les Dangu oratoire. Eglise katolik, catholi- que. DANGUNÉ b., b., école. DANH jeune !)., bonne amie. SHl y rapports charnels, ni al é, ndav. DANHARFËT DANHAY d., DAjVKA amante, eu des a on dé- dit: Baron. omoplate. toiture de grev. b., nier, de cuisine, dans les V. ou de hutte d., gros scor- ee n. voir face à face, être à ropposite, se trou- ver vis-à-vis, face-à-face. Bô dânô'k Yalla sunu Borom ha, kéro mpént'âîn, bôbà nga dagdagi ak ragal, quand tu te rencontreras face-à-face avec Dieu, notre Seigneuir, au jour de son jugement, c'est trembleras de DANTÀ bi soleil est danta mô le b., i soleil. nîtu, Le des flambeaux. fènké, au lever roi ba tu crainte. DÈxNTÀ di bûr b., que îtilors tenir, serrer, attra- R6[K>nse: Dapu-ma ko. Prête-moi ton sabre. Réponse: Je ne l'ai pas. Dâpâ gémén, dapâ lamén, ne rien dire, garder le silence, le secret, être I?apa discret. Dapâ concevoir. bîr, sa bopâ, observer la tem- pérance, la continence, se respecter et ee faire respecter dans v. n. être pris, sa oonduite. en parlant de soudure, de colv. n. être occupé. lage, etc. — — lëgi, loho ou lohô'm dapâ nâ occupé en ce mosumâ y^iy, bayi ma, nu, il ment, . V. prendre, iil Dapâ chiamps. DANKÀLÂR pion pA.NÔ, pers-onne, maîtresse, demoiselle, t. siaisir, pagne. Nd^:h dapu lën pris lëgi? n'a\ez-vous pas en ce moment de tabac en feuille.»^ Abal ma sa dâsi. DANGUKAY V. per, s'emparer, posséder, avoir. Dapjl tank\i bi, empoigne cette jambe. Dapâ nâ ma ta sunnn jiialàn, m'a attrapé par mon à funambule. (société ou ou clvapelde tûti, Dangu dans échevelé. «au stagnante aller bâtiment), temple, école. Dantâ V. empaigner, religieux. office DANGOKÀT Bu soleil. coucher l'école, à al'Ier DAJVGU.b., Eglise bu Bu danta bi ^ôé, au du soleil. DaiM ba féntâ nâj il y a un halo autour du soleil (le soleil tient du DAPÀ, d'un polygame. un DAP DAP, iNDAP. délire. aller — est déjà laisse-moi occupé. — dapâ, mon tranquille, s'attacher amd, je suis à, être mettre sa confiance en quelqu'un, s'adonner à. Dapâl môm du vola kénâ, ti Yalla, attache- toi à Dieu qui n'abandonne personne. Munga dapâ mm, il s'adonne à la boisti en parlant s 'emploi* son. Dantâ bâ dapâ nâ d'éclipsé. ver vi ti gudi gi, il y a eu éclip.se de iune cette nuit (m.à-m. le soleil a attrapé la lune). fidèle à, — . — \)\V — ni., mi'îp^^i h., pris<>, 60 — lUH DAR retenu» cain«'M(le, I)., d'ôtre poivre du pays. DÂjR d., espèce lysie. qui vit sous terre. aclk/ii ou premlre, (le état pris. Dap'u Yalîa, paraDap'ii daniâ bâ, éclipse de soleil. Dap'ii vêr va, éclipse de lune. DAPÀNDI, n. V. dans ni constanit pas ni bien changeant. n'être le dans le mal, être p\P\\DîKT;, DAP.\J\DU, v.p. être cramponné à, être appuyé des mains contre quelque chose, «'accrocher à quelqu 'appui pour «e polype trans- b., parent DAP BAHOi^; en cyme. I à fleurs blanches poignée, manche b., d'un anse instrument, DAPU d'un vase. passer par V n. sumà ker'bây, je vais passer maison de mon père. Dénmntu-lën bu bâh tëré hiié, sôg â dâr ta bènèn bà, apprenez bien ce livre, ensuite vous à la l'autre. à — un chemin. sur sage b., pas- Dâr u nœud — de la gorge. guerre de religion. Sérin y à dâr nânu, \m maraibouts ont fait la guerre b., guerre d« de relligion. religion fait^ par les musul- put bâ, n. faire la — mans. DAPUKAY b., anse, crampon, piège pour Dapuanim.nux. trappe, attraipoir, prendre kay i dii\ah, des ratière, souri- ^ «ière. PAR, V. Ti. coûter, valoir, se vendre. Lilé lu mu dar? combien ceci vaut-il.î* Fuk'i derem là dar, cela vaut, cela a coûté dix gourdes. Dugup dar na bu bâh lëgi la Bër, le mil se vend bien à préient à Corée. Denkà hà ma la doh on, su daré, nga ypné ma ndèg la, tu m'enverras 'le prix du coton filé que je t'ai remis, s'il se vend. être valable, bon. Nèndâ nânu ma, van dé hèndâ g a darul, on m'a vacciné, mais Je vaccin n'était pas bon. Ku baptisé nit, ban ko nangu, batisê'm da- — mu rul, im enun autre sujet, à autre chose. Dâr ma filé sanh&^ il a passé ioi tantôt. Mangé (Mr v. solanée d'écureuil droit, passer h pa'vserez pas tonnber. DAPANTÂN pAR. espère de si on contre sa ibaptise volonté, n'est pas valable. un le homme baptême PAR, V. t. mélanger deux li- sang ara si ak ndoh, mélange le sangara avec de l'eau. PARÀ b., tak'ub darâ (le) carpe, articulation entre l'avant bras et la main. Anneau de perautour du poignet. le DARÀ, DÂR A, V. c. qui sert locutions suivantes. les dans Darâ kèu (lau sing.), darâ ngën Daral quides. kèu (au tin kèndu kèndu tèk, plur.), jusqu'à 10 salut du maheures. Dar^à darâ ngën (au sing.) (au plur.), salut du be- depuis lo heures jusqu'à heures. Darâ gonal (au sing.) darâ ngën gonal (au plur.), salut du soir, depuis h heures jusqu'à la nuit. On répond toujours: Vav. vers k PARA PEF ou PÀRÀ DEF, DÉRÀ PEF (au sing.) DÀRÀ INGËxN DE F, (au plu), meroi . ~ !)AR pour un don, un récompense, uine — — bravo! expression pour encourager quelqu'un au 'travail, pour le louer ou le remercier à cause d'une action ou d'un service. Quand côté de quelqu'un on 'pa&>e qui travaille ou qui revient du travail, on le s-alue par cette service. , , ;» k)cution. DARAB DARAF perle. d., chef de villiage de province, première dignité après le roi dans les and., ou du Cayor ciens royaumes Sailoum. Daraf et du voé, coryphée, i rak gler da- men quoique très 'mal, Lu malade. b., boné-bon, niu, nâ malade le vak<a soit peut toujours étran- il un mort. DARÂMÀ (Prov. Vol). applaudisse- d., V. applaudir, t. V. étriller, t. pei gner. DARATU DÀRBÂT rapport à sœur, enfant de sœur par rapport au Dôm frère. u dârbât, petit-neveu, pedans tite-nièce, DARGÀ le môme sens. propriétaire d'un b., P ARGON ba araignée. b., tarentule. réy, Dar- Am- moins grosplus ou ses, très douloureuses, couvrant poules une partie du pARKOPÉ chef de village DARLO, V. t. faire PAHARFÊT V., v., 1" loir. pARU, réf. Y. se chauffer au feu. V. crin. V., PÂS y., couper, défricher. vents alisés. PAS, t. — ancêtres. PASÂN de espèce scie, b., PÀSÉR b., PÂSI épie. caïman. d., g., de tortue Hom. sabre, d., PÀSIK PASIR esipèce Syn. — animal stérile. en parlant des ani- PAT charmes, y., enchan- tement. PÂT brancard, pour pormorts selon l'usage du g., ter les pays. PATÀ kon d., culotte, caleçon. Su duli «y, sans la culotte la prière (des marabouts) serait indécente. (Prov. Vol.) data, — b., mettre des d'un cheentrave d'un che- PATI b., terre PAT.ANG, val. aux V. t. pieds val. dépendant d'un autre. rendre cher. PARON entraves corps. b., Dâro'talalà^ doigt. dorade, espèce de poisson. PARTÀ, V. t. peigner, démêler les cheveux avec un peigne. PARTU, V. réf. se peigner, se démêle les cheveux. P-ARATU b., peigne, démê- d'dl grand troupeau. gon du neau chaînon, anneau d'une oh aime. maux. DÉRBÂT b., neveu, nièce, enfant du frère par la b., anneau, bague,, Dâro' nopâ. pendant d'oreilles. Daro' bârâm, an- g., stérilité, peigne. b., b., la PÂRO boucle. am-phibie. rendre giji.c. PARAT, DÂT gros poisson. ment, mérite. DARÂMAL. — PARVÈN chef du chant. DARAK 70 valoir, être cultivée. laissée sans — DAT pArOR mestible. b., charnpi«xnon Syn. Sambalih. DATU, pATU, s'ap- .^es pAYAriJ, DATUR, V. V. c. PAYATUAN, PAYATUKAT Dâv-lën. R. dâv-lën sën vala. DAV A LÉ, V. t. dit: Dâv sa valâ, une personne ou une chose pour lime autre, confondre. Dà nga ma dâvalê'k Nohor, c'est que tu nie prends pour Gnokhor. PAVANU, (L) prendre V. Y. n. Da-, d., DAVDIN "b., morfil. ivoire, DAVRIN gouverneur, reur, économe. tendant, V. t. vendre, procu^iliéner, Dây ak dèndâ, dây di dendUf commercer, exercer le métier de revendeur. Dây sa hakctn, vendre la vie, ri&quer, hasarder la vie. Lilé lô kô dâé? combien vends-tu cela.^ Dây nâ ko, je l'ai vendu. PAYAHU, V. pr. s'assoupir, sommeiller, de manière à lais- ser tomlx>r la tête tantôt d'un côté tantôt de l'autre. Syn. Ge- mèntu. DAYALÉ, y. même t. vendre une temps qu'une vaciller, — PAYDAYLU, V. sem- faire t. blant de vendre. pAYKAT b., vendeur, commerçant, marchand, boutiquier, pAYL£, V. aider quelqu'un t. à vendre. PAYLÔ, DAYLU, pour V. vendre vendre faire t. V. faire t. soi. V. parlant cadence dandiner. par e-n PAYUKAY marché, bouti- b., DÉ b., vend. Lu front. b., hol fén ti ee affectation, que, endroit où l'on PE mémâ être ballolier, n. balancer, irouîer en d'un navire; marcher ballotté, in- b., n. V. d'ivresse. D\M\ PWAR autre. vendeur et Bayil sa mandi gi asté di daétidaéti ti mhèâà yi, abandonne ton ivrochancelier gnerie, au lieu de d'ivresse dans les irues. m., chancelle ment d'ivresse. ohainceler hanu. chose en altev colporter, b., PAYPAYI, pour saluer ou pour exprimer seis oondoléanaprès un quelqu'un à malheur ou une perte. Dâv sa dôm, après la mort d'um enfant. Dâv sa gâl, après la perte Au pluriel on d'un navire. pAY, s'en n. V. revendre, partout brocanter. Dètur. ees débiter. profes- faire n. v. de revendre, commercer, par échange, faire la profession de traitant. Syn. Dulâlii. revendeur. Yol.) pAV, pÉB sion n. V. — co- poings sur les bnnDnful mMal a vah $oches. ièl, inutile de dire à la sautede se mettre les poimgs rel'lo ou pattes sur les hanches (Prov. f)ii><?r 71 de, ti les sen- timents du cœur se manifesinvolontairement sur le tent visage. nâ, DÉ c'est b., PÉBAL, Dêh, de abr. T-)Ë, Dë v. n. épuisé. foire, marché. livrer, rendre, redonner, offrir, présentear. Débal bop'âm, débat sa bopà, s'offrir V. soi-même. rendre offrir, t. Débat ses térangâ, hommages. . — DÈB DÉBALANTÉ, livrer réc. v. réd.y>roqije nient. DÉBALU, v. vouer; être DÉBAR DÉBÉR chargée et réf. rendre, vrer, se être livré, se p. s'offrir, se li- dé- offert. Dabar b. première esclave V. b., d., de cuisine, la b., guérisseur, empirique. DÉBÏ, V. n. repousser, en parlant de^ branches d'un arsorcier bre qu'on émondo. a PÉBÔT dér. d., ou mère de qui celle a DÊG de Bot, père celui charge du la du cœur. DEDÀ, DEDÂRAL ou mé- né nèma 71 DÉDAMBAL, èmâral. v. n. étie Dë gu dédambal, mort bit. susu- bite. DÉDI, V. causer des nau- t. action, d., œuvre, ou- du bâh, banne œuDef du bon, mauvaise acDef du dombu, action in- vrage. Def digne, bassesse. DÈFANDU b., DEGÀ outiil, b., NDÈFANDUKAY instrument pour servir lef de. ti v. tra- employer à, Defèndovu ma t. kâit, je employé une seule DÉGEN DÉGÀN, GÀ\ temps le famine. la NT)É- b., bosse. b., DÉGAR, V. DÉGÂT b., n. V. Dagar. pÀGAT b. (S), PÉGÉ, PÉGÉ?Î, V. n. n'ai pas feuille de être proche, être près. avoi&iner, approcher, accoster adhérer, aller près de. Bu dégén (loc. adv.), de pro p.."::cl:c. Lu d'gé, lu dégén, environ. Yomha nâ dégén, il est d'un abo^rd facile, il est très abordable. Dé, être hol, miissement. de che-toi prompt, sus- vif, au vo- Dégén ko, approDégén nâ ma lui. est bien près de moi. approche, action de s'approcher. PÉGÉMAR b., jeune personne bonne à marier. lôl, — iil b., v. t. faire s'approcher. approcher, Dégénal ko ta nêg bâ, approche -le de la case. PÉGÉNÂLÉ, V. t. s'approcher même papier. en DEG, V. t. louer, prendre à bail. Deg nû ker gilé, j'ai loué ou que cette maison. par aclion d'ailler iche- PÉGÉNAL, PÉGÉNLÔ, DÉFÈNDO, bénà b., du mil pendant de vailler. se te promener. fe^nme /nariée ceptible, irascible; porté DEF tion. b., terme employé pour appeler un singe. géix sées. vre. avant, et DÈG DÈG, (né) loc. v. debout complètement immobile. Syn. Né sepâ séparai, dëg, sôg fais-le soleil tenir se Dèf. ko mariée. paiS nausée, soulèvement d., fini. dohâni, puis tu iras nage. DÉD dèm ter famille, a déjà l'ai oppotsition à hi'k coî e qui n'est DÉBARA^iKÀÏ b., PÈG, v. t. corrompre, gagner ou séduire par des présents. DËG, adv. déjà, avant, auparavant. Sotal nâ ko dey je cuisi- nière, servante. DÉBÉR DËG 7: b., temps que l'on se fait autre chose. voisin, fait — proche. DÉGÉNAJVTË, V. réc. s'appro- . — DÉG 73 — DÉK DTK A, ^ v)ch<^ uns Ie> j)fi:;i^?;Ay ra;);)r-vchG.n€:it, h., IMox imité. DÉGÉ^O, roc. V. iiiêir.e que DÉGËNSI, venir île PP^GI, V. n. s'approcher, plus en plus près. V. n. franchir, enjam- Ku her. sângô nâ votu der, dégi safara, celui qui est couvert de coton égrainé doit prendre garde d'enjanriber le feu (Prov. Vol.) h., dégô b., pas d'enaction pour enjamber, enj a bée j aimber — m , DEGI, V. t. ailler acheter du mil pendant la famime. ])ËH. DË, V. n. être épuisé, comsoimmé, achevé, fini, tari, usé; s'épuiser, Lu se tarir, e'^jser. qui est inépuisable, intarissable, perpétue], éterdul dêh, Dêh né nel. ment fini d'tre fini, iak, c'est ou épuisé — entièreg., état y. t. épuiser, user, finir, taco'nsonnner, achever étudier ou connaître à rir Dêhal fond; ruiner la santé. hè né tak, achever complètement. Dêhal nga ma nak, enfin tu me connais à fond, il n'y a plus rien en moi qui soit caché pour toi. ; DÊHAY épuisement, b., fin, perte de force. DEHEM d., homime poilu, velu. le V. n. se coucher dos. DÊIILIT objet qui hrga coin cri chés. ku i (ic!:.n celui qui, doit r tout do ses r'^jM'iilir JSU nga. tûb, hn'ùar /" .s-.,- veut se d'abord îe ];a, pé^» pre- Mit na dekâ f^'i^^ premiers hommes, les liommes des premiers tem^ps. Bu dekà, 'bu dekâ bâ, ta bu dekû. bà, dans le premier temps, pre-» mier hoiimue. les mièrement, d'abord, jadis, au^ anciennement, au com« trefois, Bu mencement. dekâ, dàu-fhu- iwnu, autrefois, dans, premiers temps, on ne fai- von dèj les pas sait ains-i. DÈKÂ, V. q. être beau, joli, bien fait, charmiant, élégant, gracieux, bien proportionné, Lu dèkâ, ce qui, convenable. est bien, raisonnable, poli, convenaible, honnête. Bu dèkâ (loc. ad V ) co n ve n ab lemen t p01i^ . , , comme ment, faut. il DÈKADI, DÈKARI, in convenant, — — nête. , êire g., , v. laid, n. être désthon^i inconvenance, v. t. mettre DEKÀL, DEKÀLO, en premier DËKALl, nable, tre la lieu, faire précéder, V. t. rendre convemet- achever, parfaire, dernière main. PÈKALIKU, n. V. terme, pour dire que quel-, qu'un a rendu île dernier souv pir. Mundôr dèkaliku nâ, Mun-. dôr a rendu le dernier soupir, adouci (est achevé). V. n. aller au devant, prévenir, chercher à être, le b., ce a qui reste d'un été épuisé, comme tige d'un régime de banane ou de noix de palmiers, etc. l<a ri'lu premier, (Mre 11. Ku DEKANTU, DÉIIÉNU, sur de'oà épuisé, DÊHAL, V. l)récétîer. aiiti^'CS. (!<^s premier. Syn. Dekanté. DÉKÀRl, pÉKÀlii V. n. être remuant, turbulent léger, dis^ sipé. Halèl bilê gen \â dékâri^ cet enfant est extrêmement tur«. - DEK huilent. -- turhul'ence, g., dis- PEKER DEKAR (K, Deker mari, d., mag, frère aîné du mari, deker du ndav, frère cadet du imari beauxépoux. du ; frères par rapport à la fornnie. pÉKI, rer, V. n. demeu- rester, rester tranquille, s'asseoir, s'arrêter, se placier dans un en- droit. là-bas. Dô Dékil fâlé, reste déki tûti filé? ne t'arrê- teras-tu pas kil ti sûf, déki di un instant iciP Déreste en bas. Dâ nâ tono'Yésu-Kristà, à pebser je reste quelquefois aux souffrances de Jésus-Ghnst, ou je m'occupe que^lquefois de la méditation des souffrances do Jésus-Christ. Bu sa loho dékê, ma voh la suniâ i sohla, lors halât que ton occupation aura 'ossé, de mes affai- je t'eint retiendrai passé Dckil rèkâ, dékil dâl, teste 'feulement. Dékil ak dam^, dékilën ak dama, reste en paix, >e3tez en paix, salut de départ. DÉKILÔ, V. t. faire rester. pEL, DËL, V. t. prendre, acdonne, enropter ce -^îever. Del ak dôlé, prendre de l'on — conquérir. prendre, prise, force, de b., objet action pris. PÈL. une petite quantité. Da ma nân dël i dugup, je demande un petit peu de mil. PÈLÀ (L) b., harpon à fer aigu ayant une dent ou une côté seuleéchancrure d'un ment, qui sert pour la pêche. pf:LÀ NPÈLÀ, V. n. être louthe, être PÊLÀ, bigle, V. t. action b., baobab, s'accroche à sa fleur, doit faire durer sa chute, car à terre cfu'il va. c'est (Prov. Vo.l.) pBLALÉ, omettre, laisser de côté, pajsser sous silence, à dessein et sans le manifester. ipasser un V. DÈLANDO, objet t. V. ensemou par des- jeter t. ble de haut on bas un sus obstacle. DELÀNDO, V. prendre en- t. sembl-ç. DELARBI, V. retourner, autre sens. t. tourner dans un DELATJ, V. reprendre une t. chose. DËLÉM b., requin DÈiLÈM d., DÀLEM d., fer à égrainer île coton. Sô de qampat dèlèm, mbôl nga amul, si tu es ronger à le que tu ner. c'est de fer à égrai- n'as pas d'épi'> miilllet. DÈLÈM U SAFARA, me flan de feu. DÈLËMBÂ^. V. Dalamhùn. n. DÉLÉMU, DÉRÉMBU, crier, hôr. pour appeler — — b., cri b., Do- Syn. pour ap- pe^er. DELËN b., DÉLÉNDU prise de tabac b. Du- Y. (L). landé. pËLI. y. t. PÉLKÂT bigler. quelqu'un en f ranch iss an. un en bas. obstacle ou de haut Dèlâ na !co terê'm je lui ai à — livre. tomber d'un endroit élevé, ou par dessus un obstacle quelconque, chute. Ku dânu ta guy, dapantiku ta mbortân nui nga yâgal sa dèlâ, ndagé sûf nga dèm, celui qui tombe d'un res. que sc'U de légèreté. «•ipation, ~ -b., DÉLSl, V. DÈLU, DÈM, V. dre V. vers, aller prendre. celui qui prend. prendre. n. V. Ndèlu. t. vernir n. ailler pencher, vers, se ten- diriger — mw N<»rs, vov s'adresser. dèm, là inu /./ ce vaii, qu'il — <}ui apT)rend, |)ËMAR d., hlvMBA, V. F6 (irm? où le ? s 'emploie comme adTorbe, depuis, de puis tel endroit, depuis tel tem[ns. Dèm fâlé bè filé, de- ter, puis action h *i'adre?i.-e toi. — tliriger>tu , — jusqu'ioi. 'là-bas conj. lakà nâ, menu-la ma ko niay? s'il est brûlé, ne peuxtu pas me le donner.^ DÊM, V/ t. essayer, -expéri- RAT, menter, s'efforcer, tacher, faire nu um tenter commen- essai, Bô dëmé topa vôn u yalla bu ôr, di nga ham né tahu ko cer. dafé tiquer loi, tu si de pra- essaies sérieusement la reli- gion, tu verras quelle n'est pas — difficile. expérience, DEMÀ relle g., eint reprise, essai, effort. importance natuou par les d., par ndëm g., la tai'l'le DÈMÀ Dèm'u attribut. Dieu, nature, essence, g., Yalla, inature estsence divine, divi- nité. DËMANTAL, v. instruire, t. enseigner, apprendre, montrer, professer une science. Begu-la ma yùn u YalWm? ne veux- tu pas que je l'apprenne la Teligioin.î^ R. Vav nâm, démontai man oui it ma certes, la démantal et moi pourrai t'ençeigner DËMANTALKÀT teur, professeur, DËMANTU, V. la volof, auss* le b.. je volof. Institu- qui enseigne, n. étudier, ap- prendre, s'instruire. Mangé démantu dangé, j'apprends à lire ou bien à faire mes prières, Var on ngâ démantu masong, tu aurais dû apprendre le métier de maçon. étudie. V. nrmiilr. Drunbù. V. t. niMRAT, pOMr trainsplanler, replan-, t. plamter, de — inaroolter. b., transplanter. DEMBATKÀT p'anteur, b., marcotteur. DEIMBATUKAY plantoir» b., endroit où Ton transplante DÈMLO, pTCMË, induire, Dèmé ser. de ce V. diriger, t. aller vers, faire ko nalé. adres- dirige-le. côté-I*à. DËMÉ em^ diiiger i&ollicitation, g., traînement, de action vers. DËMËKAT donne b., qui dirige, qui l'imipylsioin. DËMKàT qui essaie, qu\ b., entreprend. DËMLO, habits. de V. apprenti, b., qui DKMBAT, Dèm si. KAT !.)ËMANTt tj ilil, nr:N DEMÔM autrefois grands V. t. faire essayer. réservée salutation aux princes ! personnages et aux dans lea anciens royaumes du Cayor du Sailoum. DËMSl-YALLA feu, et défunt, d., mort. DËMTU, DÉMÂT, ner, provoquer, rixe, à une V. t. exciter querel'le. chica. à — u'ne. b.» chicane. DËMTUKAT ib., DÉMÂTKÂT qui cherche à chicaner. DÊJV NDËN, adv. super. TedH dën, coucher sur ^e dos. Dânu dën ou ndën, tomber à la ren- b., verse. DËN poisson en général. Dapu-la dèn vu nêh. ma dèndU ko? n'as-tu point un bon ooisson, je l'achèterai.^ Dèn u hO' rom, poisson salé. Nèn i dèT\, V., . ^ /ov, ^yii Yah DÉN arête. de poisson. espèc-e i)è^, œufs de poisson. Dèn u gé- frais, dèn, II piN b., Y. Din. DÊ^Î, V. l. accuser, inculper, "dénoncer, reprocher. teb Kii ttk i sabâr, dal ak i gub, gampatu-la ko dëg it, yov la flu h., ko dêû, celui qui saute avec des épis pleins, et tomiibe avec des épis égrainés, quand- même il n'en aurait pas goûté auparavant, en sera accusé. (Pro-v, Vol.) 6., ndêné 5., accusation, imputation, inculpation, dénonciation, délation, grief. — DÈN, mpah trou. de V. pousser, contraLn- t. presser, 'dre, mi, — Dèn ko forcer. ti dans ce impulsion, action pousse-le b., pousser. DÈN bonine et adj. de Dâ, di, pron. du, un, DËNAH, PINAH, v. num. une. pous- t. repousser, rembarrer, précipiter dans. Dénah nà ko ta safarâ, il l'a précipité dans le ser, feu. DÉNDA, v. t. acheter, Déndâ nâ ker, "quérir. acheté une maison. Déndul n'a pas acheté de cheval. nânô dénda aldanâ'k def i il faut acheter 'le ciel par œ>u V res de p én i te nce il pÉNDÀ, acj'ai fas, Var tûb, des caqueter, se poule avant caquetage, de pondre. g., action de caqueter. dît du V. n. de cri la — DÉNDAL, acheter pour. t. gobâr, il a acheté "un poignard pour moi. péndal nà PÉNDÉ, avec quelqu'un, faire affaire de vente et d'achat avec quelqu'un échanger. Nag a bûr bâ déndé nâ ko /«s, ou bien, déndé nâ nag n bûr bâ fas, j'ai acheté un cheval avec le bœuf du roi, j'ai vendu le bœuf du roi pour acheter un cheval. Déndé nâ kô'k mbâm-sef, je l'ai acheté avec un âne. Déndé nd'/c Samba^ j'ai fait marché avec Samba. Kilé du maé mukâ, déjà déndé, ne celui-ci Ndèy crédit fait il maé dé u déndé jamais ck>nine tuitement, ndèy (Prov. mort, est payeurs gral'échange. nâ, dès rèk'a , les u Vol.) mauvais tué. l'ont DÉNDI 1., NDÉJNDI I., ville, grand village bien peuplé. Bûr hu nmiil gây, déndi du ko i herbe noueuse, pour leis bœufs. g., DÈNÀ, dér. 7« V. ma V. t. faire marché dàr, un sans roi hommes ne pas fuir une grande ville bien [euplée. pÈ^DIS g., plante reconfera n'aissable à ses feuilles châtres en dessous; elle d'excellentes fibres. Syn. blan- donne Pun- dé ri. PÈNDU, v. p. subir l'achat, vendre, dans un sens absolu. Ijéndu nâ, j'ai vendu, j'ai fini le marché. Dây ak dénda, venprix dre et revendre. g., m., provision ached'achat. — — tée. pÊi>iËR, avoir une PËXGÀ, V. n. sembler voir, vision. V. t. enchaîner, metb., enchaîneaux fei^T ment, action d'enchaîner. Denmorloho y., menottes, g'i ceau de métal que des mères, ayc'nt perdu des enfants en bas âge. se suspendent au dos pour tre éviter de — nouvelles pertes — DÉNGÉKU, DÉNGIKU, 77 — PÉRÉMBU, V. n. V. f^élému, DÉRÉT, a<lv. super. TaM nà, réf. v. déchaîner. se DENGT, V. déchaîner, ôter t. chaînes. les DÉNGUKAY cachot, b., lieu dérèt, c'est bien allumé, ceH flambe parfaitement. DÉRI, V. n. brûler l'amo^rce, enchaîne des hommes. DÉNTÀ b., V. Dantà h. rater. pÈNTAL, contraindre, exiger, obliger, pousinduire, réduire, ser, exciter, conlraimte, b., violenter. continent, campa* gne, Ja terre par opposition à me,r. Ndah Tugal déri M, la âm ti gêt là nèkâ? l'Europe, violence. est-ce où l'on V. forcer, l. — DÈNU une ser une embarSuku, ûôsu. piro<gue, Syn. cation. DÉPÂ, tier; perche pour pous- b., de DÉPI, V. mépriser, t. gner, déprécier. je méprise. le Du. Di, D'à, Dépi Bu dédaiko, dépi (loc. dédaigneusement. DÉPIKÀT b., contempteur, adv.), DÉPIKU, être V. méprisé, être p. DÉR, malade, être n. V. in- Dér on nâ bu méti, nia sètsivu-la malade visiter. sah, venu maladie, b., té bien j'étais et tu n'es pas — me infir- mité. DÉR, dér, ad^'. super. très c'est Tangà nà chaud, brûlant. DÉRÀ DEF même que Darà adv. DÉRBÂT b., Y. Darbât super. J)érdéri hè né dérah, bien flamber. loc. mer subitement. DÉRDÊRI, V. v. b. s'enflam- pÉRDÉRLU, malade, malade. V. t. vanner, nettoyer grain au vent. DÉRIKÂT faire V. vanneur b., n faire seinl)lant le d'être au vent. DÉRIN, tageux, n. être utile, avan* V. profitable, servir, Bu porter, produire. rap^. dérifi (loc. avantageusement, avantageuse. manière d'un«, — b., avantage, uiU propriété, intérêt, rapport, m., lité, Garap fruit. cette rin, L, amul bènâ gi plante dé^ aucu n'a le. idilité. DÉRINADI, tile. Bu tage. — être n. V. dérhnadi (loc. inutilement sans aucun DÉRINAL, v. DÉRINANTÉ, l'un V. réc. V. t. rendre utile, employer, faire servir, Dérinlô Icf chose, cil ose — de, ti lu bon, DÉRMÉL g., abuser, une chose au mal. user, profiter, .utile être l'autre. à DÉRINLO, servir avan^ avantager. t. utiliser, faire servir inu. adv.), inutilité. b., DÉRINLU, DÉRmU, flamboyer, être allumé, trémousser. n. pays, DËRI, utile DÉRAH, DE'RDER, plaine, plat. ndérifi, odieux. firme. un continent ou bien est. île dans la mer? Déri adv.), méprise. celui qui b. d., du mâsé, grande le nâ Dëdi V. (L). b., une ce en- tout, indéf. adj. dér. DÉRI DÉRI v. t. se, d'une se rendre une. jouir à soi. d., stérilité. femme stérile. - DÉT pÉTAY pagnie, port, sa voir en ne Ham être vivre, m'est détay, sa- honnête poli, observer sDciété, rap- àm nêhu ooinipu/gnie ag^réable. com- , entretien, Détay séjour. ma, pas NDÉTAY b., société, oon les .e- nances. pÉTAYÉ, y n. être en compagnie être en rapport, se tenir ensemble. DÈTÛR d., DÀTÛR b., veuve en deuil de son époux. DEY, V. t. parler de quelqu'un en son absence en bonne ou mauvaise part, mais plutôt médire, calomen mauvaise, nier, détraoter, diffamer. — 78 santâ Duf, dib a di qui s'appelle Diouf a la dib pour ennemii de famille. Maladie de la peau qui fait changer de couleur à l'épi- mban, derme. PIB, V. n. sonner, résonn^^r, rendre un« son. Nâr i dololi, ou nâr i vahtu dibangul, leu.v heures ne sont pas encore sr n- Dégu nées. résonne. son, PIBA trine dololi détracteur, mé- calomniateur disant, DE Y, pÉY n. V. m., blanc qui bouges. a même que Doy d'oiseau -espèce quelques p-lumes PI, adj. déf. y. Da, Di, Pl, V. t. enseTnencer, semer. Diangu-Jiu bàsi bà, on n'a pa*> semé le gros mil (sorgho). Sd su nu di, temips des semaii'i<^s. b., ndi m., action de semer. '^r.oore — pl, i, I, après suffixe idi après une une consonne. qui, ajouté à 'donne l'idée d'aller par tion exprimée ^angu, se baigner voyelle, C'est im un verbe faire le l'ac- verbe. sangwdi, aller se baigner. Dèl, prendre, ^èli, aller prendre. pIAT, V. t. resemer, semer une seconde fois. PIB V., tragélaphe, toute petite biche à raies blanches et ; dib, di — b., lîruit. gènes. b., kânung pas le canon qjî Ndin nvà dib nâ, le son d'alarme est sonné. b., DEVKÂT la n'entend)S-tu ndev m., médisance, calomnie, détraction, dénigrement, diffanfiiation. Ku rouges. an b., dans DTBÂL, poche sur V. t. sonneir. sonne bà, la boubous les la poiindi- Dibalàl cloche. vernonia PÏBIDÈiMBÀ g., dont la iracine amère est vermifuge. PIBRI d., avant Uii, prolongement du toit devant une toit maison ou case carrée, d'un '^erron. pIBRIL, n. pr. Gabriel. piG, V. n. être bon, convenable, profitable, propice pour bonheur. porter quelqu'un, Garap gi dig nà ma, ce remède est bon pour moi. Lu digul, insalubrité. PIGA secte. d., Syn (an), chique, in- Dilsu. piGAlil, DTGARl, v.«. n'être convenable, être nuisible, être funeste, porter malheur, défavorable. Diu digari nâ ma, un tel me porte malheur, sa présence ou sa rencontre m'esi ^as funeste. PIGAL, PIGLÔ, V. t. Tendre non, convenable, favorable, propice. — du; plGÈN, d., femme, fille, fe- féminin; sœur par rapport au frère. Kilé sumà digèn iâ, celle-ci est ma sœur. melle, mu mag Swmà gèn, m.a digèn, raku mu di- Sumà s(rur aînée. ma sœur pu i née, cadette. Sdèhà-digèn, belle-sœur, soeur <lu mari. Bûr bu digèn, reine qui gouverne. Ndav lu digèn, jeune fille. Ndav su digèn, petite fille. Digèn du nën, veuve, femme sans appui. Hat bu digèn, chienne. Nag vu digèn, vache. Lebâlep bu digèn, basilic femelle, espèce de plante. PIGLÉ, V. t. avoir des choses favorables, convenables. PIGU. V. n. manger ou boire quelque chose de bon matin ou entre les repas. b., ndbgu m., ce que l'on mange entre — 79 Von diko du bâh, don bon exemple, édifier. Diko du sohor, méct ant caractère Diko du varôdiku, sauvagerie Dikô du ru su, bassesise, caractère bas. Diko d'i bon, mauvaises mœurs, maufiante. ner meur t. chercher, fu- PIHI, V. t. retirer terre la main en creusant un la trou. PIHKÀT b., chercheuT. DÎKÀT b., semeur. PIKO d., caractère, conduite, humeur, mœurs, d'une relle instinct, propriétés, chose, manières, qualités habitude ou acquise. Vâ natnj- dilé nà diko, cet individu a beau caractère. Diko du rafèt un mM conduite édifiante, édification. 4 diko du mat à roy, avoir une conduite édi « roy, m défauts, il inégaile, est il vices. d'une hu» est bizarre, plusieurs qualités. Ham nga diko i ndoh milé ? connais-ti^ les propriétés de cette eau.»* PILË, adj. et pron. dém. dér, de Dâ, Di, Du. Dân dilé ngagis, serpent que tu vois. ce PILÔ, V. t. semer. faire PIMBÀÏ, V. t. V. Demibât. DTMBI d., tresses de cheveux frisés. PIMÉ d., canard PIMÈT {né), à l sauvage. l'instant, t 'improviste. piN V. V. (An) pliN, V. Din V. eau de genièvre, appeler au son des. b., t. instruments, du cor, du tam-, ta m. partout. j^eler a^ec \ d/i/fo, emporté, violent. Garap gilé baré nà diko, cette plante a jet PIHATU, conduite, vaise repas. pIH, V. t. chercher un obperdu dans la terre, le sa ble ou les balayures. Dâ ma dih sumà pursà ti mbûbit yi, je suis à chercher mon aiguille dans les balayures. le Baré nà — les pLN piN piN V., pieu, pilier, Din i nêg, pilier qui^ soutient le haut d'une case, ei V., coilonne. auquel est attaché l'entourage, Din lal, chalit, pied de lit PIJNAH d., rat, souris. Di^ nah du iût, .petite «ou ris. Fi-, rukay u dinah, fîr u din ah, napukay u dinah, ratière, sour ricière. Fu dinah yato, mâs a là nèkul, où les souris circui lent librement il n'y a pas dô- chat. PINAH, de Dèri. V. t. V. Dénah dér, — 80 — piN pINÉ d., génie bon ou maudémon, monstre. Dôm u démoniaque, possédé, en- vais, diné, sorcelé. • pllés siMu'o (]., ou du horii'r'i "et et, pi-hi: avec laite !:(^< donner adv. PIP, p.'îir. iin cuaud. brûlant. Laka na dip, il bru le très fort. PÎR 1)., même que Gir h. pîRTM b., orplieli]! ile DÎT b., scorpioji. i)ÎT b., NDÎT 1., guide, père. pré- chef, supérieur. sident, comme S'emploie aussi surtout, en adverbe PÎÏÉ. V. gu'i^ler, t. teur, à ou v e Cfui i 5 a elle 31 Y. précède. Dôm belle-fille, fils, ou de celle mère. la, fils, le c'est DÎTU, u f/z/Zc, de erd'.-^'ii celui dont on, a épousé u diUc du dôin, n'est pas une guerre : un intestine. précéder, être le preniier, aller ou agir le pre-' prémier, devancer, exceller, sider. Dnv dltii du may nkéiifà, être V. le n. premier à la fuite et adj. de Du, Di, dér. dém. Débôt. Y. POPULÉ, adj. de Da, dér. pr. Du. Di, et Du. maison. la Se dit particuliè- rement des troupeaux qui renà bergerie. la PÔF, d\pOF, couper trer iles V. V. t. écourter, t. oreilles, les la queue. aller faire ren- troupeaux dans la ber- gerie. POG, PUG, beau- Dôm l)eau-fils PÔPU, POFALI, ensemquelqu'un qui ma,iT]ier a\'oir fi-1 av t. d,, PÔÉ, rv. n. même que Dôj. P-OÉKÀT, dér. de Dqy. POF, POFSI, v. n. rentrer avo est PÎTLÉ, ble en pre- du démon. PÔPÀ, trent 1-0 11 te. DÎTtL/VMU SOîi-W SI! salut une femme de n;a'~about. R. Vav, la conduc- sur- t. PÔPÂLÉ, conduii^e, guide, b., d'abord, dilu. POBÔT pr. à PÎTÉKAT V. dém. d'a})ord. diriger. lieu, pousser vers le fond, enfoncer, insérer, cogner, exciter, provoquer. Dô ti bakar, pousser au péché, être l'occasion du péché. Pô ta hèrèm, attacher au canari, vouer à la malfaisance du génie, de PO, f)re]7^ier : adv.) floc. p:e!ui(U' fourrer, l'idole, lieu. ////n semer. pîTA b., laps de temps, trois mois, entre le divorce et un nouAeaU mariage. PÎTAL, V. t. faire précéder, mettre ou compter ea ijremier en Bu fondement dilu, Lu mièrement. PIU Y., semence, graine pour à six et mii édifice. tout. T/ingiî 'Suj'O]-. d'un singe, île très fait il lieu le d'abord, eHseiul)'e souveraineté. la Dîtu ti lu bâh, bon exemple, édifier. Vol.) grillés pour eoitrer dans la roiuposiii hi d'une espèce de là]} ou l)v)ijillie. déj.Mvés iip, donne pas ne (Prov. TabaJi pr\Ë[)OB des POG surgir, V. n. déplacer, se lever, se déran- se se relever. Ta nu dag, c'est de bon matin qne nous nous leêtre ger, leleg tel prêt, la vons. Lôlu je ne puis Dog cela. menu ma tah a dog, me déranger pour tôg, s'asseoir ensuite. levée, sert à se — leAer b., pour départ, hausse, monceau, ce qui hausser. . — 1)00 hOOLu, 1H)1.\I„ venir pour. Yov l\M\Y que que tvoi me je 1}0GK, V. suis n. V. la <*('Hler, partir Oa\ river, émaner, do g al, me je faire t. déranger, <?urglr, faire lever, c'est suis levé, dérangé. venir de, sortir de, [)r;senir, prodédes- cendre, tirer son crigine. A'ii sépa fa Adamû adun'd si i là nu dogé, tous les homanes de la terre tirent leur origine d'Adam. S'emploie comme adve rbe à p a r tir de de p u is : POGI, montagne). — b., montée. man- goûter, I)OGv)\AT. g ger de quatre heures. , DOGONU, poil DO- n. goûter, man quatre heures. petit paquet de mil V. POH, V. donner, t. donner de dôlé, fortifier. s'emploie offrir, et Doh et la may autre, — que d'ajouter, oe ajoute. l'on POKÀKAT amplificateur, b., ajouteuT. POKÂTÉ, V. am- faufiler, t. plifier. POL, - — tomber d'en haut. se cabrer en n. V. bondir, n. V. — parlant d'un cheval. ' b., chute, d'en haut, vol en haut. POLAL, V. t. faire t^omher d'en haut, faire voler en haut, faire bondir. Dolal sa nâvaly fais voiler ton cerf-volant. POLI, may pour donner gratuidoh ipour donner ce POHARBI, y. t. mettre l'insur la figure de quelqu'un, par moquerie. POIÎATI, V. t. redonner, donner de nouveau. POHÉ, V. t. fournir, donner, livrer ou donner ce qui dû. ^ pOllÉKÀT pOIION, V. 'h.; POl!0?ÎU, doigt. POHONUKAY, être célèbre, Borom , il- tur V. .rendre rendre t. célè^ illustre. pOLOF, nom d'un ancien royaume de la Sénégambie. POLOlî b., genii^ de moineaux. POLÔL insecte qui ronge b., pain de singe, le pOiLÔLI Tegangu horloge. on hà, n'a cloche. la le nga mil. cloche - i nu heure, dolôli sonné Bu encore nanèt i nev, quand quatre pas dolôli heures sonneront, tu viendras. indiquer, mondoigt, désigner, t. avec le tracer avec le trer q., POLILÔ, bre, dibc, fournisseur. V. renomimé. vu doli, homme célèbre, fameux. Tur vu doli, célébrité, renommée. dex: Bâram. t. action fication, force, : qui est dû. -est V. une à lustre, • présenter, transmettre. Doh ma tëré hilé, donne-moi ce livre. îement ajouter un« amplifier ses pjiroles, exagérer, ajouter au récit, outrer. b., ampli- chose lo/i b., épis. Doh POKA, crier n. V. : POGONIKU, GOMJKU. ger vers (une I)OL POIIOR, pOVOH, pour appeler. , monter n. V. en — 81 u A'èf/ bu tûi, dolôli, PQLÔNKBR, V. clocher. Dolôli clochette. POLUNKER 1., milan, espèce d'aigle et de vautour. . — POL DOLU, gnmhà bouteille ou d'un sans verre. POLUNKER, pOM lation, il est sur le V. Dolônker. amour-propre, émuhonneur. Baré nâ dom, colère, emporté, délicat point d'honneur. d., pOM, êttre A'é dom, super. Né nà dom ak adv. attentif. nop'am, i est tout attentif avec il se ? oreilles. POMAL, miration, ment, V. domal, exciter t. jeter étonner, l'ad- dans l'étonnesurprendre, stupéfieir. émèrvei'lleir, Lu di qui est prodigieux, merveilleux, étonnant. ce pOMALÉ, n. V. exciter l'ad- miration. POMBÀ, V. être n. indigne, répugner, être honteux, être incompatible. Mândi dorrvbà nâ ko, s'enivrer est indigne de lui. Nga nev fi man, dombà né ma, je ne suis pas digne que tu viennes chez moi. Ligéy u bâdolo dombâ nà ma, un travail de ipaysain est indigne de moi. POM'BAL, V. t. réputer une chose comme indigne. pOMBAiLU, V. n. avoir honte, rougir, se iregarder oomime au dessus de la condition d'ume personne ou d'une chose. Kèn varul é dombalu va dur âm, personne ne doit rougir des auteurs de ses jours. V. Dembàt. POMBÀT, V. POMBÉ, V. n. même que Dombâ avec la différence que Dombâ s'applique aux cas part. ticuliers, au POMBOR POMBOS boire d'un seul n. V. d'une Irait DON 8: ilieu que Don^bé ou s'étend généralité à la l'un i versa lité des cho ses Ndomhôr. Y. 1. pastèque ou melon d'eau. Dombos u kâni d., piment vert avant qu'il Boii mûr et rouge. Kumpâ dapâ nâ ndav (}., dombos u ti kâni, l'igno- rance attrape un enfant quand mange un piment non mûr. il (Prov. Vol.) POMI, étonné, l'admiration, dans la stupéfaction. b., ndomi g., admiration, éto'Unement, stupéfaction, merveille. être da>ns POMLÔ, Nâ V. ceux — dédaigner de. t. domlô di être n. V. émerveillé, sèn sûfèl dédaignent qui bop<â, s'humi- lier. 'POMPÀ, V. n. être entièrement plein, être remipli. Sa tabakër dompâ nâ, ta tabatière est bien pleine. POMPAL, V. t. PON, NPON, leLS V. mains derrière PONAL remplir. t. attacher le dos. espèce de large s'adapte sur grisgris qui le front ou autour de la tête. g., PONPÀ, V. t. frotter forte- ment. POJVGÀ, V. n. faire rémonies qui .précèdent concision, V lt;érémonies P0J\GÉ, V. t. faire faire les qiui précèdent H n. — fin. brouililon, cir- circoncire. circoncision, espièglerie, cé- la être circoncis. PONGAL, piègle, les être d., rusé, es- ndongé ruse, finesse. — g., - d., rusé, coquin. PONGOMÀ faite, par^ d-., beauté beauté personnifiée. Don- gomM du 'fiàkâ lago, il n'y a pas de beauté san-S tâche. PONHOP b., PONGOP b.. . . — DOlNKOP PONKAN. pOrSKON, l^pir, yomba nà pOP, PÔPÂ, de îndéf. dér. yôn, POR atteindre. à pron. /t f>àîé, — Ih-bas. nombre de dra. in- ces pierie^ amas, un en las de tas petit oignon fines comme dentelle, (montrant au se commencement de l'hivernage. Tondut, linong u ibiiki. couvrir arriver, en Lu ment. que t'est-M dot angiil, ta lef, la v. Sumâ vahtu mon heuTe n'est pas arrivé? — v. moment, le n, avoir le loisir. le ma Dotu pas — vé n parlant d'événedot? qu 'as-tu ? oliosti. eac'ore arrivée. temps, la si Dot Vol.) bne vahtân lëgi, je n'ai temps de causer à pré- le — sent. V. racheteir t. une un es- YésuKristà nu dot ta ndàm u séy tâné, c'est Jésus-Christ qui îioub a rachetés de l'esolavage de Satan. atteinte, g., ndot g., chose vOilée. — d'atteindre, rédemiption çon, ra;nçon, du rachat, prix ; rande la riichat. POTALI, buse, oiseau transmettre, t. passer h, dispenser, procurei administrer, conférer. Y. t. penser, imagiconjecturer, soupçonner Monsénor dàl a men à dotali Sakarmang u Lordâr bâ, il n'y a que l'évêque qui puisse con- les cases. POROKUNDÀ V., de proie. PORTU, ner, mensonge, (Prov. action pORMOT b. Y. Dumat. DOROH >g., graminée servant le obtenir clave, g., J^yn. naj Uéyéhéy, bn de(ja ga go nenté dot ko, quelque matinai s >it fleurs blanches, la i: La se lève le soir, elle l'attein- pienes. pOR M BOT Vol.) ri té hêr, i (Prov. que h., monceiu. Dôr dîfu, préc('<ler, nit campagne i.-'els avant de / doT, hèr yi attra- H nia nga rejoindre. Du, Dô\, nue, déserte, sans arbre. aller faire ses gros besoins (terme honnête). POR, V. t. entasser, anvonDorai tasser. eeler, amasser, Dcm juger, trouver, gem lôlu, dAl, ne dà PORU, que v. «un tu n. Bul inventer. nga pas crois bonnement jniéraire ko dortu cela, c'est jugement té- tomber POS, PAS, pron. Dos âm, le sien. POSAL g., le Sacrement de l'Ordre. Dotali ko tëi'ê'm, donne-lui son férer livre POTALIKÂT à «la m i n i s t sien. monument funé- per les uns POTATI, traper, L., dispensiateur^ d'un S ac reme nt re POTANTË, pos., pierre sépulcrale. v. faire fais. renverse tout de son long. raire, atteindre, faut facile culte, M t. dof, fc:is. plaine, g., V. nga Di, P<â, un grand DOT, dnnèl, celui, n'ji. plusieurs iôpa, ! (L.) per, personnes Id*» kandà sau- g. Ku qui est accroupi p-t faire tomber. (Pr-v. à POSPOS se n. v. blottir, s'accroupir. se' {jonkon lias |.)0T vape. terre. i — de crabe gros b., 83 V. réc. les V. t. recouvrer, POTAY b., se rattra- autres, regagner, rat- ratteindre. loisir, temps. . . — IX)T DOTÉ, n. avoir affaii'e av€c V. 84 — pUB PUB, V. être q., droit, avoir un démêlé, avoir rapport. Yov la dotél, c'est avec toi que j'ai affaire. Vâ di lu ma dotê'k yov? mon qu'ai-je à démêler avec stmi, toi. b., irixe, dispute, ail ter- bon, correct, d'aplomb, perpendicu,laire. nà hod, c'est très droit, direct. Lu dub, droit, Cad ion droite<ment, quelqu'un, — POTIN V. POTKÀT veuve. racheteur, b., justice. ré- échanger par iréc. V. rachat. pOTO d., POTU, v. espèce de poisson. être n. atteint, fi- n. V. — ramer. POYKÀT rameur. POVOR, v. t. Y. Dohôr. POY, PEY, v. n. se pencher en parlant d'une case. b., verser V. n. pleurer, larmes, gémir, se lamendu parlant ter; grouiller en de crier en parlant ventre PÔY, des droiture. g., crête, b., vage. V. ajuster, rendre diriger, t. rendre régler^ juste, dresser, PUBANTI, ron, rame, pagaie. avec huppe, mèche de cheveux sur ila tête. Dub*i buki, plante ressemblant extérieurement à l'asperge sau- droit, avi- b., très jus- adv.) droite (loc. directeiment, — droit. toi Dub Tahanàl bu dub, tiens- PUBAL, nir par se mettre d' accord. pou, V. pr. s'insinuer. PÔV, duib, PUBÀ demipteur. POTO, Bu tice. di- raisonnable^ équitable, être sage, juste, rect, V. justifier. redresser, cor- t. riger, rendre former l'esprit, droit, égaliser, instruire, éle- admonester, amender, lever ce qui est penché. Halèl bilé mat nà dubanti, cet enfant a besoin d'être corrigé. PUBANTIKÀT b., celui qui ad m o nés te qui re d resse ver, civiliser, , ; certains comme animaux, le PUBANTIKU, V. et réf. p. se qui est redresser, s'amender, se détrom- Ku sa mban dë, lamentable. dô ko dôy, on ne pleure pas per, se corriger; se civiliser; être corrigé, être mort d'un ennemi. Bu mat â dôy (loc. adv.), lamentablement. Bîr hu dôy, grouillement de ventre. muhâ, bal a chat. à Lu ?nM à dôy, ce la PÔYPOYLU, v. n. l'aire sem- blant de pleurer. pôYiLO, Bul dôylô v. gûné silé, pleurer. ne fais pas pleurer ce petit enfant. POYTAL, nga PUBÀRI, PUBÀDI, n. être V. — injuste, n'être pas droit. b., JNPUBAY rectitude, ture, g., tortuosité. injustice, PUBAY faire t. Dô bâhi dubantikô^ tu ne vaudrais jamais rien, si tu ne te corriges pas. redressé. g., justice, droi- aligne- ment. PUBLÔ, V. t. rendre droit, rendre juste, justifier. nourrir les comme petits par le bec, oiseaux. Syn. Holtal, Hontâ (S). être rel. ime direction déterminée. S'em- pu, V. m, adj. Di, V. t. déf. Du. et pron. les dresser, PUBLU, ploie V. vis-à-vis, aussi n. en face, droit dans être aller comme proposition. — 85 — PU3 Dublu rvâ ligèy ti «ni, il est PUBLULO, V. PUBO, opposer, t. l'opposite. à vis-à-vis, se convenir en- V. (réc. semble, en parlant de caractère, Nâr s'accorder. s'arranger, en parcourant i nônélé diibôvu-'nii darâ, ces se conviennent nullement. ^ PUBODI, V. réc. ne pas s'ac- corder. PUDU, naître, venir n. V. au naître avec n. V. même chose, en quelque temps qu'une autre chose se nànu Duduâlé passe. nous sommes nés Duduâlé nâ ché. est hakar, avec le pésilmahàj il PULANDÉ <g., PULANDO g., PÉ^ENDU (L) b., midi, sud. PU'LÂTU, PUiLÉNT (L) que Gilintâ. PUGAL, Y. Dog. PURGAT b., b., PUGÔTU, PURGATU, v. réf. se curer les oreilles. — n. faillir, se — en cadence en parlant de deux pern. piler sonnes. faire, d'une PULÀ V., V. se tirer d'af- réf. société, se séparer. giros frelon rouge, guêpei. pULÀ, endroit où l'on dulikay b.y. b., Ës' le échasses. b., — marcher a\ec des échasses. liomme dévot, PULIT b., n. hom<me. PULITADI, être n. v. imipie. impiété. b., PULÂTU, PULOT. PULÔTU, — PUKIKU, ngiiri. le pieux; religieux, vertueux, sage^ u Y alla, homme de Dieu,, PUHI, PUKI, tirer d'un trou, Urer d'un mauvais pas, séparer. V. salam. plus Du lit V. PUKÀ, V. n. pleuvoir à verse plusieurs jours de suite. le frelon b., PULIMASÀ V. reur. PUKANTÉ, faire n. V. que petit saint tromper. g., erreur, égarement. pÛH.\iL, V. t., induire en erV. Même tison. salam, tprière des Sa dul kôn tu- POLIKATÀ es- pèce de cure -oreille. PÛH, — Vol.) passer à côté v.in. (]., salam. menstrues. d'un endroit sans s'y arrêter. PUGÔT i commer- b., héy, duli ây, sans la culotte sailam serait indécent. (Prov. le fait Dogal. PUGMOYU, d., m.ahométans. côtés. colporteur. trafiquant, PULIKAY V. n. V. tous PULÂTUKÀT çant, trafiquer, n. V. commercer de né aveugle. PUG, b., trai- pUiLÀKÀT b., colporteur, brocanteur, commerçant. PULI monde. PUDU.^LÉ, ou tant noir qui voyage. nit deux hommes-là ne — pays. le marchand colporteur tout occupé de son travail. mettre |)CA! culbute, toiniljer de haut, dégringoler. b.^ b., cuiîuite, chute d'un lieu n. faire la — élevé. pUiLÔTULÔ, V. faire t. dé- gringoler. PUM b., POM, V. mettre faute. est brandon. n. se troim.per, une erreur, Ku menul infaillible. — faire à comune dûm, qui g., erreur, f<iute. V. n. colporter marchandises, faire le des commerce PUMÀ d., mosquée, temple mahométan. 4 — pmi PIMAT, PUMUT qui, si elle h., pustule éco reliée, peut est de^^Mlir dangereuse. l.)UMAT, avoir soin s'occuper de, n. Y. de. PUMBUH b-., nombril. t. tromper, — cord. V. t. PUMTLKAY -in- être en désac- bouton blanc dans t. sceller. — pL_\pUiNÔ tambour. gros d., tamtam, gueil. DUR .richesse, denrées, nâ dur, il est riche en denrées ou marchandises. Dur u séy, dot. Baré marchandise. DUR PUD (S., V. t. engendrer, enfanter, mettre bas, produire, fructifier, rapporter, occasionner. Vâ i dur, les parents, père et .mère. b., Ttdur /., action d'engendrer, génération, enfantement, production. — PURÂLÉ, noncer, V. faire n. se battre, se PI.RKF (i., XDURËF, matrice. PURGÔT, PURGOTU, Y. Dugôt, Durjotii. PURIT Y., •PUROM, num. cinq. n. PUROMÈL, fois, num. T., n. num. u y on, cinquièmement. refaire constituer ]Hlê ko du- fois, cinq. celui-ci c'est cinquième. le et pron. faire cinq, nombre le pron. et adj. Duromèl cinquième. cinquième — arrière- i)Iicenta, KèU Svn. faix. Bul qui ko fait du- pas une cincfu.ième fois, entends-tu. Duromèl riGnu ko, en i'a fait cinq kâl, roTiièl g., Y. (10, romèl, n. être bouffi d'or- s'accu- réc. Y. mutuellement. une cinquième mille. b., déla- b., dénonciarapporteur. délateur, PURÉ mille. millième. Dunèl u valâ, la millième parY. -t. tie. porter à mille, n. et pron. Y. dénonciation, du- brouiller. Svn. Hâh. DÂpe- — plainte. teur, ser îa figure. pC\ b., sceau. — v. pUNË d., NPUNÉ d., PUNKI, Dà nga ma oui. m'as dénoncé. tu tion, PUNTUKÂY !b., PUMÔT b.,pôRMÔT b., MOT b., pustule, bubon, faire chef, PURALÊNTË, employer. instrument, outil, ustensile, Diimtukay ameublemenit. u fas, harnais. Diuiitukay n gâl, agrès de navire. PU_\ÈL, ton accus'alion, b., tit snvantageux, brouiller. Tèy ma dnrâlé hVk sa kélifâ, di, aujourd'hui, je te dénoncerai à conflit. g., pmîTO, J.)UY DURÂLItKAT réc. V. — râlr, p(j)MLÔ, V. duire en erreur. PCMÔ, 86 .ne 'le fais on l'a répété cinq fois, on en a mis cinq fois, on l'a porté au nombre de cinq. fois, pUTLI fait aumône que b., pCTU, rière v. ''T. in. l'on mariage montrer le der- avant et après le grossier). Y. t. éviter de renconquelqu'un, s'esquiver pour PUY. trer ne pas ma t. accuser, dé- di des rapports dé- tes-tu. le voir. diiy? Lu iah bè nga pourquoi m 'évi- E On e, qui mais n'est jamais muet à k fin des mots; 2^ ë, qui a le son de Vc aigu ou fermé, mais prolongé, comme s'il y lavait é é; é, è, ê, comme en fronçais. Presque tous Jes mots comimençant par c, é, è, ê, prennent E, 'cinquième lettre de l'aliphabet volof. se prononce y aussi comme en initial, me, français dans ce, notamment à Saint-Louis. ÈBI É É suffixe qui, ajouté au ra- ou remiplaçant dical, l'a final dans quelques verbes neutres, les rend (actifs. Génâ, aller dehors, géné, mettre dehors. Oin entend souvent, dans la convertée même é ajou- au radical des verbes actifs sation, la finale ou neutres pour exprimer une de généralité, d'univensade l'action par opposition idée lité aux cas individueilis, ou pour laisser quelque chose de vague ou d'indéterminé dians le régime. Santa, ordonner pour un cas en particulier, santé, ordonner en générait. May, don ner quelque chose en présent à quelqu'un, mayé, sans préciser l'un ou l'vautre régime. contr. dés. Ë, i p. é â é, é, dans me tu ma ê, si ma chambre bul nélav, di tres tu enet trouves endormi, ne réveiMe pas. — b., éveil, que me ac- d'éveiller quelqu'un. tion YÈB, v. t. charger un embarquer des choses; garnir une madle d'effets. Lâdal matlot yâ ndah èb nànu gât gà bè sotal, demande aux maÈB, navire, telots, le j'ai garni gaison, vire, ont s'ils navire. Èb ma lia fini de charger sumà vahandé, malle. chargement — b., car- d'un nade marcontenu d'une malle embarquement ch an dises, garnie. ÈBAL, YËBAL, v. t. ordoncommander, enjoindre, décréter, donner un ordre, autocliarger d'une riser, expédier, ner, commission. é. Ê distingue: le, Ëbal a'.i ntèycjul,. par contrainte. Ëbal ndav, envoyer un député. exclamation pour appeler; elle se place avant ou commander après (le «nom, et quelquefois avant et après. Ê Samhal Samba EBÀLI, v. n. bâiller. Même que Belbelî, Bebàli et Bobàii. ÈBI, YÈBI, V. t. décharger un navire, débarquer des marchandises, des produit:-!. Èhi nàfiu ndur dopa, on a débarqué beaucoup de marchandises. ê! Ê Samba Ê, YÊ, Ê ler. ê, interj. ! ne rafé ti V. ko, le ê! t. éveiller, réveille-le. réveille sumà nêg, réveil- Bul ko pas. *Sô ha- nga fèhà ma — yftBIKÂÏ r:BlKÀT, 88 dé- b., cl largeur. lËBKAT ËBKxXÏ, char- b., embarqiieiii'. g-eiir, ËBLË, YÉBLl", V. t. ordonner, coînmindei", (I('v:t<' 1er, einjoindre, donn-er un ordre (général. commandemen-t, ordre, '])., ordonnance, cepte. Aiin décret, nà hà, èblé'Yalla, Dan.gu dix oonmiandeimeaits y a il pré- édit, fitk'i ak diirom ^nâr èbJé i ou réfléchie, ou par on avec un verbe actif. Men, pouvoir; meni'f na ko, on i commande- Dieu et sept meints de l'Eglise! de ËFAR tention, envie, R\(y]T Èbu nâ dèm avoiir n. V. déterminé, être in- désirer, avoir résolu. ou èhu nà B'ér résolu d'aller à Corée cbô, mieux, su la nêhé, s'il Bcr, 4SÔ te j'ai 'plaît, Y alla ;si cbô, bon semble. Su Dieu, plaît à te s'il — b., mieux, su nêhé Y alla. de s se in, résolution, dé te rm i 1 a - tion, projet. disposition, ÈBUTÉ, YÈBUTÉ ter, ib., V. bon plai- yëg nà — b., admo- iremoiutrance. V. p. monesté, être blâmé. ÈF, ËL, suff. qui, ver]:)e, en fait êti^e ad- ajouté un noim à aibis- trait. Sopâ, aimer; sopèl, tion. Dur, enfantër, durèl, du- rèf, affec- postérité. saison la et français pouvant sèche. — pluie b., se rendre en par une forme passive sèche. siaison la ËGÂ, ÈGALI, ËGSI Agali, Ag'â, ÉGALI, V. même que Agsi. 'ëGAL, YÉGAL, monter, monter. t. V. faire t. un désarmer fusil. ËGË, YËGÉ, V. t. même sique Ë^jal. ËGLÉ, YÉGLË, v. t. aider à m'Ointer ou à faire monter. ËGLÔ, YÉGLO, V. t. faire monter, donner ordre de mongnification ter. d'ar])ie b., reste d'un tronc coupé. ËKATI, YËKATT, v. t. lever, faire monter en haut, élever, exhausser, au physique et au moral. Ku yékat'i bop'ém, di nàùu ko sûfél, celui qui s'exalte sera humilié. Kn sûfél bop'ani, di JiMu ko yékcti, celui qui b., s'humilie sera exalté. — — b., ver, ÈF, ÈS, suff. constituant une sorte de verbe passif impeirsonnel, asaman, Jésus-Christ la monté au ciel. EGA, V. n. pleuvoir pendant remontrer, repi-endre, goiir- ÈDU, YËDU, un admones- t. mander, iblâmer. nition, b., est EKA YÈDÀ, ÉYFÀR IFAR, I)., c'est sait, le liom;ne impie, irréligieux, incrédule. Syn. Yaur. ËG, YÊG, V. n. monter, aller en liaut, s'é'ever. Yésu-Krista sir. l^DA, on qui tombe quelquefois pendant ÈBLÉKÀT, YÉBLËKAT b., commande, qui ordonne. Y'ÉBU, ko, le peut, cela connaître, ha- juif, qui Î']BU, Ham, peut. 711 es na connu. dé b., barcadèro. — ÉKA se YËBÎKW ÈB[KAY, — élévation, assoîiiption. riâina, action assomption de Marie. ÉKATIKU, YÉKATIKU, et réf.* d'éle- YékatVb Ma- s'élever, se v. lever, p. se hausser, se monter, être élevé, — - EL et au moral. Sami Boroni yékatikii nâ ta asaman, notre Seigneur s'est élevé au au physique — ciel. action élévation, b., . 80 - flMA Pape qui gouverne F Eglise ÉLVÂN, YÉLVA^, dier, — mendicité. ÉL, YÊL la jambe. être EL (L), V. n. V. dis- Syn. Soré. éloigné. ÉLÀ, être n. V. devoir, falloir, être de nécessité, d'utilité. n\â ngâ topa yôn u dois pratiquer Yalla, Teligion. la Ëlà tu ËV ônté népâ mèl ni yen, plût à Dieu que tous fussent comme vous. Èlâ n\ânô dèm, ils doivent partir. ÈLALÉ, V. t. attribuer ou imiputer quelqu'un à avec doute, soupçonner, douter. Syn. Dortu. . YÉLÂTÉ, ÉLÂTÉ, v. a. ad- joindre. ELEK penser au HaMt s., eleg lendemain, jour de ak subir, à l'ave- Génav eleg, après -de ma in. Génav-ati eleg, après deux jours. Syn. Sibîr. Elek ta leleg, demain matin. Elek ta leleg tel, demain de très bon matin. adv. demain. Di nga tuki eleg, tu te mettras en voyage demain. Elek c'est demiain que je V. c. dèm, dèm, partirai. Bu im,p. défect. dès lâ di elegé, demain nous nu ÉLIF, YÉLIF, V. èni, ajustez-vous là, dépassez pas là^. Lu autant. nâ kép, c'est très juste, Èm tout- à-fait élif si L comman- comme yëm ndégé ndémantal u Yésu Krista, homimes admiraient les doctrine lia ËMA[)L pas n'être n. n'être ipas égal, de niveau, être dis- être remuant. èmadi nà, cet enfant remuant. b., dispropor- Halèl est de Jésus-Christ. V. inégal, bi — tion, inégalité. RMALË, YÈMALË, ter, v. t. ajus- mettre de niveau, égaliser, aligner, aplanir, adapter, as- comparer, regarder coimme. Èmalé nàfiu kô'k dof, similer, comme on l'a b. ordre, arrangement, iregardé îou. — aligne- ment, action de mettre de niveau, d'ajuster. ËMALÉÂT, V. t. b., rajuster. ajusteur. ÈMANDO, ËMÔ, V. réc. être égal ensemible, en même temps, s a j u s te r réc ip ro q ue me n t ' chef. Dangu^katolik sépâ, égail. ÎM, YËM, YÎM, v. n. être étonné, surpris, être dans l'admiration. iVif ma don nunu ËM. parti- administrer, être fàlé, ÈMALÉKÂT der, gouverner, diriger, dominer égal, ne c.-à-d. rons. Pàp bà mô ba ii adunâ aligné, être Èm-lën nir. — — de niveau, être convenable, uni, sobre, médiocre, moyen. Sêtâl ndah sapô bi èm nâ ti yov, regarde si ce chapeau t'est juste. parate, ELEiG s., demain. men- V. n. convenir, équivalent, être à juste, propos, incendier. t. d.. ÈM, YÈM, gras de mollet, ÉLÀ, YÉLÀ,» tant, d., n. v. Syn. Sarahtu. action de mendier, quebeir. d'être élevé, de s'élever. EL, ÈF, suff. Y. Èf, Èl. h., ca- tholique sur toute la terre. c'est lie ËMAY justesse, b., niveau, équilibre. égalité, — EMBÀ, V. t. envelopper, empaqueter, emballer, contenir, emmailloter. b., ballot, paquet. ÊMBÀ, V. n. être préparé, — être le Rêr bà êmhâ disposé. souper ÊN ÊMBAL, V. t. préparer, Êmbal nânu tëré la vie ont 'préparé to-us V. V. rilllon che les blahles. — action b., de dé- baller. BMBIKU, V. et réf. se dé- p. s'ouvrir, se défaire, en pard'un pa- être déballé, être défait lant 'd'un quet. ou ballot EMBU, V. EMBUIL\Y ÈMLÉ, IV. être enveloppé. p. i. avoir égal avoir ce qui convient. Ë.MO, V. Emando. ËMSÂN YÊMSÂN b., don. ÊMSA.?^U, YÊMSÂNU, à, V. n. tân, c'est Mat nâ yëmou je suis être surpris. ou admirable. ÈN, YÈN, fardeau sur il est charger un de quelqu'un, iîe lui mettre sur la tête. Èn ma ndâ lilé, mets cette cruche d'eau sur ma tête.' Ën hc epâ, surcharger par un farb,, charge, deau sur la tête. que l'on porte sur la l'a r de au V. t. la tête — tête. ib., oor, du- de va- pis b., animaux eem- ipoële à frire. ko, je !'ai gardé journée avec moi. Même passer à la ÈN'DU, YÈNDU, v. n. passer milieu de la journée, (oe que l'on appelle betèk, de dix heures du matin à quatre heule res du soir). Fô èndu tèy? où d'aula journée passé jourd'hui.^ Ëndu-l'én ak dama, passez la journée en paix (por- au bien, salut du YÊNÉ, jour). miilieu Ë'NÉ, t. s'ébahir, s'éton- ner, b., qwe Ândâ. Syn. Hanêr. ÈNDÔ, YÈ^NDÔ, V. t. faire passer le milieu du jour. Ëndô nà V. départ de souhaiter, t. en parlant du ic rieur public, promulguer. Ëné nâ la lu bâh lu tièkâ, je annoncer désirer, v. dem^ander pardon. Ëmsânii nâ la, je te denrande pardon. ËMTÂ.N, IMTÂ^N, YÊMTM, YIMTÂN, autres et tez-vous par- b., YÈNAD vête- as-tu enveloppe. b., relever, un au pied. yà déballer, dépal'enveloppe, dé- trousser, t. ÈNAT, YÈNAT dis- faire emballer. t. t. queter, ôter marlUoter. paqueter, V. retrousser un habit, ment. Syn. Ogos. ET>J.DÀ EMBÀLO, sourcil. b., principe vital de animale. EN, livres. EMBI, YÊN YÈN V., b., ÈN, ÈNAR^b., emballeur. b., poser. ils — est préparé. EMBAKÀT yépa, na, CjO souhaite toute sorte de biens. di lèkâ Pâk diWk yën, bàlâ ma sonâ, j'ai vivement désiré de manger cette Pâque avec vous avant de soufte Yëné nâ yëné frir. — désir, souhait, ^cpu, b., promulgation, annonce, publi- cation. ËNÉKAT, YÊNÉKAï b., orieur public. ËNÉLÔ, YË-XÉLÔ, v. t. faire annoncer. ËJNCA, bet. PJîiga pendre à un git. bop'àm, se pendre. v. — 91 — ÈNG r^ôU, et réf. V. être Ine, ^SGU, YÈiNGU _ourde pen- se p. pe-ndii. à quelle on trait espèce de b., les dans lavaches dans du pays. Kii bâram dur ti sa toi, tahti-lâ èbà èngu, si une biche fait ses petits dans ton chamip, cela ne te feira pas fabriquer une gourde pour' la l'intérieur traire ne qu'elle (iparce reste (Prov. Vol.) pas). ËNGUDI, se pendre. potence, gibet. ÈM, YÈJNfl, Y. t. décharger, enlever à quelqu'un le fardeau qu'il porte sur la tête. ËMDÉK b., arbuste dont les allier ËXGUKAY ib., racines raclées et bouillies dans l'eau forment une tisane bonne le rhume. contre ÈMKU, YÈNIKU, p. et réf. v. décharger d'un fardeau que se l'on parte sur chargé. ÈNKÀT, la tête, YËNKÀT mettre ou tête, porter sut la li! comme tu charger cela sur È?îU, V. réf. ne la se — EPÀ, EPU, EPUKAY, même que Upâ, Upu, Upukay. EPAL, V. t. excéder, surpasser, exagérer, abuser. Lôlu epal nà md, cela me surpasse. Epnl nâ sumâ ntohor ak sumâ nharah, loin ma — mon ingratitude. abus. g., excès, exagération, EPÀLÉ, V. n. avoir plus, posséder plus, avoir trop, regorger, Samhâ la epâlé ker, Samha qui a plus de mai- surabonder. c'est sons c{ue toi. EPALKÀT exagérateuT. b., EPANTÉ, ER réc. V. , s'entresur- mu fourmi ailée qui volpendant la saison des pluies ER, retrousser ses vêtements. Syn. Ogosu. b., qui porte sur la tête. EPÀ, v. n. excéder, avoir le dessus, être au-dessus, être de trop, surpasser, répugner par horreur. Epâ ngën Ëli, vous surpassez Élie. Yâ ma epâ dôlé, v.n. EiR b., tige se dit tête! — avoir la lèpre. lef retrousser, dartres lépreu- lèpre, b., Borom-er, lépreux. ses. puissant peut pas ÈNUKÂT, YÈNUKÂÏ poussé trop j'ai malice et être tête, fort et l'es il trop. se p. la tête, sur la tête. Ponkal ni yov menul a ènu un homime at, i pasiser. ch:i rgé day en S'urpasse Epâ nà nâr Bu epâ (loc. adv.), plus, davantage, de plus, surtout, trop, excessivement. g., excès, le char- prendre sut sa le me qui toi y a plus de deux ans. Epa na hasté yôyu, je suis -uj-dessus de ces injures; Lu ta epâ, le surplus. être dé- b., geur sur la tête. ÈNU, YÈNU, V. réf. charger un fardeau sut le c'est force. coupé col ERB même n. V. de que Her, la mer quand g., pêcherie, il y n calme plat et que l'eau est si claire qu'on peut voir le 'ond Gêt gâ er nâ, la mer est calme et claire. ÈR l'on (iL) ËRAVTÉ, EIRBIS rouges, y., V. t. où allant autres. achalander. petites groupe compacte les lieu pêche. chenilles par unes sur toujours les — 93 — ÈRS ÈRSÀ, YÈRSÀ, V. t. respecavoir des égards, avoir de t-er, la les menstrues. YÊS, ËS, être n. V. moin- dre, être pire. V. Yës et ses dérivés entend qui sont plus usités. ÈS, suff. V. Èf, V. Fêh. ET cour de devant d'une b., miaison ETÀ, — seau. V. avec filer X. action de b., ÈTÀ, YÈTÀ, V. "équarrir, ter, fu- le filer. chairpen- t. ciseler tailler, (du bois, de la pierre ou autre matière), Ëta natal, sculpter des statues. ETÀKÀT YÉTÀKÂT b., b., charpentier, déooupeur, équarisseur. Ëtâkât i hêr, tailleur de Ëtâkât pierres. i natal, sculp- n. parler teur. ÉTAL, YÊT AL, ès. ÊSAL, YÊSAL, v. t. nouveau, rendre neuf, voix d'une femme son bâton Ët i Baha. Ët i dema. V, la prépairer doit buki. politesse. ÊS, YÊS, V. n. être distant, éloigné, surpasser en distance. poisson ÈS, YÈS b., sole, d'eau douce. ÊS, BÊS, HÊS, YÊS, v. n. être neuf, nouveau, récent, moderne. ÊS pul, être tout-à-fai't neuf. Déndàl nêg bilé, ês nâ pul, achète cette case, elle est tout-à-fait neuve. ÊS, YÊS, V. n. avoir les règles, ÊV rendre renou- v. veler. doucement, poser doucement un objet pour qu'on ne s'en aperçoive pas. ÊSÀN, ÊSÈN, YÊSÊN, v. n. démanger, picoter, fourmilller. équarissage. loho dèf ma êsèîi, hamuko dot, 3 'éprouve une démange a isom au bras, je ne sais b., picoted'où cela vient. ment, démangeaison, fourmiilement. ÊSÉNU, V. n. se frotter contre quelque chose pour faire Suma ma lu — démangeaisons. ESKIN interj. de surprise, d'atd'admiration, de pitié, tendris se meut. Oh! Ah! Èskin Yalla! Ah! Dieu! Grand Dieu! Èskin Yalla ! Est-il possiiible Tuhâb a mus, vàlây! Dieu! que disiparaître des ! ! le blanc est bile fin, qu'il est ha- ÊSU, YÊSU, V. p. être renou- ÈTAY, YÈTAY lETElNTÀ b., charpente, genre de pois- b., sons. ÈTIT, YÈTIT V., copeau, de bois ou de pierre. ÈTU, YÈTU, être ETU, ciselé. être pr. V. filé. ETUKAY, YÈTUKAY lier où b., ate- où l'on taiileir ou l'on charpente, pour outil taille, écliat v.q. être équarri, être taillé, équairrir. ÊU, se ÊVU, YÈVU, être réveiller, ma pas V. réf. réveillé. p. Bia lorsque je me suis 'réÊiivu \ma, je ne me suis èvo, veillé. iré veillé. ÊV, YÊV, amarreir. velé. ÈT, faire — b., réveil, action de se réveiller. ! YÊT V., canne, bâton, Ët i bûr, sceptre. Ku dégâ bât u digèn g or sa èt, qui badine. doucement, 5« bè êv voleur et lën i - V. t. lieir, attacher, Dapâ nanu satâk>ât ko, on a attrapé le on l'a attaché. Êv- tank'âm ak i lohô'm, té - 93 - EV lui lendem ta sni)i i .mains et 'le« dans jetez-1^ ga, biîi liez- pieds, les et ténèbres exté- les rieures. ÀV, V. t. travailler le faire des maroquin, EV, cuir, le ou des coMiers EV lav (eo), Y. méti lu im vent bracelets. souffler. Ngédéké déki né eu, n. violent se imit à souif- ÊVÂT, ÊVATI, YÊVATI, de nouveau, nouveau. lier ÊVI, se YÊVI, v. attacher t. v.t. de détacher, démarrer. P.VIKU, YÊVIKU, V. réf. p. détacher, se délier, être dé- t^iché, délié. ËVUKAY, YËVUKAY b., at- a m;» no, Heu ÊVUTI':, YPAUTË moment où l'on se où l'on ÈY', inlerj. b., réveil, réveille. d'appel ou .de souffrance, hé! èh! ÈY, V. n. avoir raison, avoir gain de cause, gagner un procès. son. Yâ — èy, V. c'est t. toi qui as rai- avoir raison oon- donner toirt, gagner la cause sur un autre. Èy nànu ko, on lui a donné tort, on l'a condamné. Èy nga ma, tu as raison contre moi, tu m'as donné tort. Èy nâ la j'ai raison contre toi, je t'ai donné tort. fcre fler. délier, tache, attache. q uelqu'un, condamner, ÈYADI, V. n. avoir tort. ÈYIN V., manière d'avoir son sur son adversaire. rai- , F F, sixième lettre de l'alphabet volof, se prononce exactement comme ^n français, par expiraticn, et aspiration FÀ Égal fa môm, aborde-le, va-t'en auprès de ilui. Fâ Yalla môs! par Dieu vraiment (serment)! Dikà nâ fi man, il ecA venu lohez moi. ad/, Vâli. — — — , là, où, y. Fi, , ici; fâ, adv.), (loc. mu m en don que part que â nèk, viens noble), va-t'en fâlê, çà et fâlé, là-bas, de dans un . Dè- ici. Filê'k là-bas. là. FÔFÀ, FÔFÂLÉ, adv. dém. là, de là-bas, alors, endroit ou un temps là, éloigné. Fôfâ lâ, là-bas. c'est FÔFU, F6FULÉ, dém. adv. par là, par là-bas, dans un endroit inconnu ou déter- par ici, vaguement quant miné à la distance. FAN.*^ en adv. quel où? d'où.»^ de quel lieu ? interr. ilieu ? Fan lâ? où est-ce.!^ FÈN, adv. nulle part, avec un verhe négatif. Bal dèm fèn, ne va nulle part. Dèmul. fèn, il 'n'est Dèm pairt. nulle part. allé FÈNÈN, adv. autre lailleurs, nâ fènèn, il est allié ailleurs. FÉP, FÔP, adv. entièrement, certainemen t oom pilote men t , sans contredit. FAB, ter, adv.) quel- ma ce soit. Môs bè toujours et partout. FÀLÉ, FILÉ, FULÉ, adv. dèm. ici. là, là-bas, où, çà. Kay filé (langage familier), nevâl filé fu mal Fu partout. (loc. (langage , là; fii, par ici ou par là (distance inconnue). Dèf ko fâ, mets-le là. Mas nâ fâ dèm, j'y suis allé. Dô ko dab fâ mu nèkâ lëgi, tu ne pourras point île joindre où id est .maintenant. Fâ lâ bayako, c'est de là que je &uis parti. Fi ma nèkâ lëgi, menât ii ma darâ ngir yov, où j'en suis préfientement, je ne puis plus rien pour toi. Hamu ma fu mu nèkâ, je ne sais où il est. Fu nèk af. FAB FÀ, FI, FIT, prép. à, en, dans, pour, chez, vers, en présence de, auprès de. Fâ hâr ha, devant le père (absent); fi hây bi, devant le père (présent); fu bây bu, devant île père (proche ou étoiginé, la distance étant inconnue). Dèmâl fâ Vâli, va-t-en chez ici, fa, : V. t. enlever. prendre, Fâlâl lu emporlâ dès, ko may, prends le reste, c'est moi qui te le donne. FABI, V. t. surpasser, l'empoiier sur son adversaire, Fabi nâ la, je t'ai gagné. FABKÀT b., qui emporte. la ~ 95 - FAB FARU, à une ?» cntrc'pris'e. FAp, V. t. trailer un madonner des remèdes à, soi- lade, vir Loin nâ fad di rien. n'est oela rien, à Nakhà sot, ser- t. quelque ceila ne darâ, fadiil g-uérir a. être bon, utile à à, chf)se. sert — désaltérer. soif, la Fad mar, panser. gner, trans- la FADLUPI, FADUPI, prêt tout oire réf. V. vovajie, lin FAG se aller dicamenter. Varan (}, va Fddudi Varan^'. Ndèm morceaux. par petits pre FADAHIT débris, celle, par- miette, b., Fadahit tesson. i mbiskit, miettes de biscuit. Fadahit i butèl, tesson de bouteille. Fadahit ii Kriia bii sèla bâ, parcelle de la sainte Croix. FADÂN, decine, la mé- profession de exercer n. V. fa lire donner des remèdes. Bala ngâ fadân, deka rér, avant de faire le métier de guérir faut il (Prov. soi-même, guéri être autres, les Vol.) FADAR aurore, d., Bârâm du laube ne sert à vauirien, b., rien, qui n'est qui bon à rien. FApAY lité, b., pansement, uti- usage. FADKÀT faire servir, V. t. faire faire soigner, utiliser, faire médicamenter. FADLU, FADU, v. soigner, faire faire menter. g en, kô doigt l'amipu- ce il vaut mieux une bonne ifois. Génâv bâ mu topâtopMu yôn u Yalla bè nuu yâgâ, mu faf ko topâ bu or nak, après avoir fait semblant ter de pratiquer la .religion penil dant longtemps, se décide donc enfin à la pratiquer séné IS'âkâ rieusement. la fôg lôlu l\â mu beg'on â vah, ma faf a voûâku, véy sumâ yôn, quand soupçonnais je que c'était là ce qu'il voulait dire, me mis aussitôt à me retirer pour filer mon chemin. Faful é dèm, il n'est donc pas je parti. ou arbuste laiteux plante v., à grandes .'"euilLej dont le fruit donne une espèce de soie végétale. On dit que les éléphants aiment beaucoiiip à mianger les feuilileii, ainsi que les chèvres les m'jutans, tandis qu'en l'emploie >pour empoisonner les et médecin, celui de guérir une b., qui entreprend plaie ou une maladie. FADLÔ, a FAFTON, FAFTÂN FADARI, FADADI, v. n. ne sen rr à rien, otre nuisible. FADARIKAT bi yahii nâ, faf dog bènâ y on du jour. jour, pointe nâ, faf kô dèf accepte, fais-le nangii est gâté, rom- émietteir, est allé se i] mbôk, puisqu'il tuer d'un coup. t. nu, FAF, v. c. servant pour exprimer l'adverbe français donc. donc. A', réf. soigner. faii'e piration sert contre le rhume. FADÂ, V. t. assassiner ou FADAH, v. soigner ou méta Dcj-}ial fadludi te faire soigner à faire se réf. se médioa- chieas. met, à fant, h Par supersiiiion, on en naissance d'un ende la maison, pour éloigner les sorciers o^u mauvais génies qu'on appelilte II II po,rte demâ. FÂGAL, V. t. qu'un de tous dépouiller quelses biens. - 96 - FAH *n. adj. et pron. num. Syn. Fanvêr, nètà-fukâ. mesure de trente bou- FAHÂ, trente. — (]., teilles v. n. V. en filer parlant Bidèv fahà nà, filé. Syn. Habàku. étoiles. étoile a FAHAD, FOHOP, uine entorse, Syn. Rehâ. une — n. v. entorse, V. t. d'onneir fouler un une entorse, une luxation. FAHAS, V. épousiseter, t. FAHU, FAKHU, v. q. être arraché de, dériver de, émaner de, descendre de, tirer son importance d., donne par les La taille qu'on ou par habits. FAIRLU, V. l'im partance réf. par se la donner de taille ou les habits, être vaniteux. F/iKÀ, v. t. oublier le nom d'une personne, perdre de vue quelqu'un, reconnaître avec hésitation, avec doute. Fâka nâ la a g en rtiasu-ma la gis, j'ai oublié ton nom vaut mieux que je ne t'ai jamais vu. Fakâ 7iâ bop^àm, se dit de quelqu'un qui oublie son origine humbde pair ou basse et s'enorgueillit jusqu'à mépriser tout le monde même ses parents et ses su- périeurs. FAKÀÏAL, y. t. faire heurter, choquer contre un obstacle, faire tomber, Sfcandaliser. Bantà bi fahàtài nâ ma bè ma dânii, v. subir scandalisé, être du scandale. FÀKU, V. éviter, se t. gairde Ku mân a dô ko mettre Yalla de. fûku, sani celui c|ui Dieu lance un trait ne peut l'éviter (Prov. Vol.) à FAKÀÏU, FAKU, heurteir le FAT., vêtir de. FAÏR se choper, en PAKÀTÀLU, se heurter le pied, butter,, fità, brosser. ori<j:i:ne FAKÂTÀLU, réf. l'effet FAHADLÔ, ti de scanidale. avoir luxation. nieiiiibre, mo- fakatal Def du fakatal morom, action luxation. b., rom àm des branches d'un airbre sans se servir d'un instruiment. cher des — Ku tomibé. suis je une arra- t. heurté contre ce bâton et j'ai y on u Yalla, takaî ko hêr ti bât am, sani ko ta gêt a g en, celui qui scandalise son prochain, vaut mieux il qu'on lui attaclie une pierre au cou et le jette à la metr. St-Louis). (à FAHÀ, FAKHÀ, FÂL V. v. réf. se pied. t. établir d'une dignité chef, re- religieuse ou civile, constituer en dignité ou charge que ko nque.FaZ nanm ko bûr, on l'a établi roi. J5iâ ko falé bûr, bôbâ am ân nâ fuk'i at, qu;ind on l'a proclamé roi, j'avais 10 ans. 7~iiîi FÀLANTËR (F), b., FLANTÊR b., fenêtre. FALARÉ (]., hanche chez l'homme, croupe, arrière-train chez les animaux. FÂLÉ, adv. dôr. de Fa, Fi, Fu. FALÉ, v. n. être attentif, écouler attentivement, faire attention, prêter l'oireille, se so'Ucier de, prendre à cœur. Halèl bê bon, 'du fâlé kèn, cet enil n't^coute fant est mauvais, personne. Ku ma sâgâ, du-ma la fâlé, celui qui me dit des attensottises, je ne fais pas tion à lui. . — FAL FALË, FALÉY 1 FÂLÊDI, V. n. être inatteninsouciant, distrait, n'écou- — ter personne. ina 1 en tion 1 FÂLÊDIiLÔ, V. rendre t. dis- cau- l'attention, distraire trait, ser de-s distractions. FALÉKÀT qui est b., en parlant de FALU, cire V. revêtu d'une ou civile, ligieuse tué en Bà èûr'Sin Jiik'i roi at, de y Sine FÂLU, coups falô il a être re- consti- j'y des en pilant le in ter r. dé r. de travaillé ai deux Gudà na fan, il a vécu de nombreux jours. Y alla nâ bûr gudà fan! que le roi vive longs jours! Fê fiik'i fan bûr bà di nà dika, d'ici à dix jours le roi arrivera. de FÂ.N, V. n. i-e de-isécher, dé- FENAII, MPE,K\H g., arbuste très curieux à cause de son écorce tantôt rouge, tantôt verte, et se détachant par plaques. Ses fleurs en boules jaunes ont une odeur agréable. g., Syn. Suriir. FANAHFANAHI, l'aventure. FANANO, lavec V. V. n. aller à n. quelqu'un dernière ? ce vin a passé passer la nuit ou quelque Ku ehose. digé gânâ, rekanté, nâ nga gep, fanânô, qui a af- faire manchot pour ,un à se de poingts doit tenir le poingt fermé toute la nuit. (Prov. VoJ.) Dér. de Fan. à oouip FANDÉ, V. n. se passer de souper, se ooiicher sans souper, n'avoir pas de quoi so^uper. Su cr nuvc, inbotâ du fandé, sd la fo-iiinni ailée^ voile, le crapaud ne passe pas de souper. FANGAY b., PANGAY (L) m., branche de palmier. FANIIA, FANKHÀ, v. t. supprimer, abolir, annuler, dirimer, rendre nul ou invalide. FANHAV g., branche de ron- di'or. FANHOY, périr. FANÂH nuit la nuit. la battre établi. FAN b., jour, journée, espace de 24 heures. On dit aussi, pan au singulier. Ligév nâ ta nâr i fan, jours. passé do mil. mil. FA^^^ ad v. Fa, Fi, Fu. passer la nuit. n. V. l'épi claquer n. V. doubles FANÂN, tu dignité com- Fandnâl ak danvâ, bonne nuit, passe la nuit en paix. Damâ nga fanân? as-tu ipassé la nuit en paix.^ Fô fanân bîg? où as- Sengâ mi fanân nâ, de palme est d'hieir, été a détruire t. n. fleu- ou en charge. hè lëgi, am ma lo ans que le dignité V. attentif. être établi chef, q. FÂjNAL, v. FALFAL, PALPAL, rir FAN plèteiment. Daniel fànal nâ Bel, Daniel a détruit ccuiplolement Bel. distraction, g., insouci anoe , — coton peu d., u\lu pour la navctt-e. lif, 97 peu re u X . V. Sy n . n. FA.NKALANK.À furieux parte être timide, Roda (Do/ u) fou ou dangereux, qui bât ;:.î ou des annes pour battre ce-.îx qu'il rencon- tre. FANKHUKAY I)., enipêchemeni. Fankhnkay u séy, empêchement de mariage. — - FAN FAiN'TAR poisson V., 98 — âm, qu'il en iiiokal fûr tellement bailii eôbes Dur côtelette. côte, g., il î'a a les brisées. FAR V., homme, l'âge jeune adolescent, paj^entu à adulte puberté. Far vu Ixvh de un bon jeune c'est là, — Syn. Vahamhâné. li quesition discernoment, bega, la faray c'esL que je c'.o FABA^, onvue. épaisjeiir, b., la \eiix. turer. biffer, V., ser — FAR, m., FOR, FERLU, FORLU, \. n. courti- se d'une ma- e. du coq. Sjn. crête ., V. bausser. t. FAR\STF FROSTU g., g., bouteille. FARAA, g., s €n al cr, qu'irn qni FAR \Y ra- A. ee n. dégager, en parlant de a que'l- élé tenu à la gêne. g., épaisseur, consis- ta r.re. FARBÀ FÀRLU, brouter, b., autrefois, d'ig]vitaire, après aacieDN .(uiiie ^ p-remieir dans les du Cayor, du le roi, Salouju. b., autrefois, FARFARLl^., inteîi- grand foncti jnîiaire dans cinevques royaumes. Fara'bimVii a>ec chaleur riz. b., variété de mil. protéger, FARAI., veit du nord f, \. répondant fréquemsoinenl, V., «à : prendre de quelsentison enooiiTaiger, ne l'enmettant de son parti, partage de pu ti }).^ sentiment, attachement de sentiment et d'opinion, attachequ'il ne doit pas faire, hardis p . FARATlAiX t. parti enhanlir. Bô gisé ku dèf lu mu varul à dèf, bul ko farfarlé, si tu vois quelqu'un qui fait ce 1 FARAFARA v. le défendre qu'un, ment, chef porlier ou intendant des portes de la inaison royale. rhei" gardien du Varnblr'ker, vestibule. Fara'màlo, intendant ker, l'adverbe \ FÂRAS, danl, du une s'amoura- n. V. mrtuellement FARAR paître. F ARA courtiser t. Hér. rature. FER, deman- t. muti:c;lement, nière dis'sah consi viande effacer, v. grossie)-). FARVM'E, cber d'une bonp.e bouiilie. FAR n. (T. fcMiiuio J)oui!- — affaire. explication, FARAMFATÉLU, de ton ennemi. FAR, V. n. être épais en par/>// Lnh lant d'une bouililie. épaisse ou une une b., parti lie l'ai der compte. FAR, V. i. être du parti de quelqu'un, prendre son parti, se mettre de son côté. Bul vôlu va dâlé, ndégé déjà far ak sa jnban, ne te fie pas à cet indu dividu, attendu qu'il est far je d.i:<Mî5sioin. ajii;!nl: v., dèf, souvent. Fiârâlu-ma fâ dè^m, je n'y suirs pas souvent allé. FAR\I,É b., 'partisaji, qui est du parti de quelqu'un, qui l'aide ou l'encourage. FARAMFATË, v. t. expliquer, débrouiller, discerner, résoudre fait mottre trente. FÂR FAR ment. Fàràl nâ ko plat. FANVÊR, n. adj. el pron. nu m. card. trente. FANVRRÈL, n. ot pron. num. v. ord. trentième. num. nà ko bè — ment — à. is en te — FAR FARGA, V. t. arranger. FART (bûr), se dit d'im land roi, qui e&i (gélovar) du ni(x royal par la mère et par 10 père. Dada fari la, satisfaire -<vi besoins naturels est un roi jtuissant. FARKAT FARLÉKÀT b., b., 99 — V. nais. kât /ar- oheval de race, court de jambes. FAS, FOS, V. t. nouer, f^dro un inœud. FÂS y., touffe de barbe. FARLU, V. ètse actif, zélé, q. s'aplaborieux, exact, d'a'rdeur. p^ein liquer, otr-e sidii, I f J!;ilèl loi tivité, tude, V. FARLÔDÎ, u :o peu rendre t. être n. V. ou as- .'i négli- peu appliqué une occupa tion. v. pie-re, jeune V. faire n. le homme. FARO champs de riz, ries't mandingue. mais il est fréquemment emI)loyé en vol vf dains la Gam- zière; y., ce mot bie. FÀROS, FROS (L), v. t. ba- l.iyer. FROSKAT b., balayeur. FARUL, 11 à mort, et (for FASÂLÉKÀÏ FASÉ, néanmoins Friga, néanmoins conj. fjarap FÀS ] 'arbre. Fas u gôr, fas vu gôr, étalon Fas u digèn, fas vu digèn, jument. Var fas, aller clieval. Tahà mettre les lia mais à un fas, clieval. V., ?i ces fasalé, se batteint personne a qui b., sépare, séparer de, répudier sa femme. Fasê'k dikô'm, n. V. 'avec, n'^-parer se divorcer, caractère, .son sur- le monter. Su ma dabar fasé nâ'k fe:n:ne — paration, divorce. divorce fait a avec moi. mpasé m., b., — sé- gris- g., giris, corde remplie de nœudis qu'on attache à quelque partie du corps. FASÉLO, v. t. FASÉRË, V. n. faire divorcer. avoir les pre- miè:e3 règles, menstrues. rè gle ? me n tr wt-. à FA'*^Ô, V. (jre ]:i — b., ï FASLANTË, p:!,s^î:i.ijt n'a pas coupé F.\S, il n'y séparer. les , FÀR03KÀT, t. dë, té amul ku Un deux hommes là-bas mnn, ma f^ra veille. rai séparer, désudédoubler, diviser des gens qui se batten'. Nâr i nit nàlé'ngé hêh bè bega v. disjoindre, viainore FARfsAN. FARNËN, FARÔ, FARI', griscris, g., nœuds qu'on qui désunit. exact, ch;::e FASALÉ, nir, pour exact. zélé, iz-eit, exacti- SvoMicitude, zèle, — assiduité, ac- ferveur. FARLULO, sidu, dang'â, ti très studieux. empressement, :., à nà farUi hi enfant e-t <'t MPAS g., corde remplie de attache siurtout aux pieds. mais moiins expressif. fnrlé, i far, FAS même que t. Dunlu.kay u fas, harSad'u fas, houssine. Dày/a>s, niriquignoii'. Fas u cheval. partisan, défenseur. FARLË, FAS n. ^:. reprisais. prendétermi- ('lie résoilu, r-.'i>-.v{H io:,i ner, ;e prop nouer en n. v. j)-]ii!sieurs ri", , se ferme faire le propos. Ku bega konfésé bu bah, nga de,^a rëlii sa i bakar^ fas 6 nial ban Ihi a dèfati ak u yîv Yalhi, pour une bonne ooinfeosion, il ndifaiire faut . . ! — FAS d'abord se de ses po- repenitiir former îoo résolution de ne plus les ooimmettre avec le secours de la grâce de Dieu. chés, et Nu nga la moytu fasô lu bon — FAT de s'efforcer n. V. étouf- étioler. fer, FATALI, té par passer une étroite ouverture. FATAL, V. t. boucher, FATÉLI, v. rap- t. bâh, prends la résolution d'éviter le mal et de faire le bien. b., mpasô m., réso-. lution, détermination, disposi- et réf. se souvenir, se rappeler, tion se dèf lu — . FASTÉ, V. nouer. t. m'a stoleiil FAT (né) bruit en tombanit. Mu né fat ti sûf, il est toimbé avec bruit. Interj. Patatras, pouf. FATÂ, rasiseir, boucher, ombarresserretr, encomibrer, v. FATALIKU, FATÉLIKU, Témémorer, t. oppresser, suffoquer, esS'Oiiffler, mettre hors d'haleine. Va dilé lèhâ fatà nà ko, ce que là cet individu a mangé le suffoque. Fatâ pah mi, bouche ce Fatà oreilles. — v. fatu, n. boiuché, être réf. boucher nopà, v. les p. et ce trou est FATA, v. aAougler avec la jeter la pous'S'ière ou le p o uss i ère a ii x ye u x L broyer avec F AT AH, mains. V. saJ)Ie, FATAH, FATIH, •s'emploie tesse, la mémoire d'une FATÉLIKULÔ, re^siou venir. faire t. FATALO, v. t. F\TARNl, V. rl , V. débarraisirer, débarrasser. se ma rav, ne m'échappe- dô tu ne pas, réf. déboucher, Bul fatariiiku, l'agile et p. se pour s'agiter débarrasser, ésen com b re r FATARNlKU, se boucher. faire t. pas, t:îs FATAY bou- d'être état b., ché, obstruction, oppres'sion. FATÉ, V. t. souvenir, se Ku dë ûu oublier, ne plus mettre en oubli. faté la, yeux loin du cœur. — loin b., ^des mpaté m., oubli. FOTÈNTAL FATENTAL, (L), user d'une choise avec ménageimemt afin de la conserver V. t. plus longtemps. bouclié. l. un oom- i&ouvenir, FATVLIKULÔ, V. embarrassé, encombré, engoa-gé, se bovrcher. s'embanrasiser. Pah mi fatà na, p. reooninaîtane b., mém oraison, mu trou. — v. clioee. du faire v. faire res- à, souvenir. d ob'O uche r f-ati'gué. loc. penser faire bienfait. F.\T (L), V. n. mentir avec maMce. FÂT, V. t. barattcir, battre la crème pour faire du beurre. FAT, V. n. fatiguer, éreimter. Nâd vi fât n\â ma, la chaleur du peler, adv. railler super, nà né fat ah, un tel s'est enfui bien prompienient. (L), V. houspiller, t de côté et d'autre FATFATLU, les pour exprimer ]a vipromptitiîde. Diu dàv FATAHLU, FOTANHALU FÂTFÂTÉ, li v. n. remuer l.i du Fatfatlu fasâlé mhâm-sef ak i nop'àm, secouer la tête ne sépare pas !secouer. tôle, la l'Ane d'avec ses oreiKes. (Prov. Vol.) FATU. gler avec v. du réf. et sable, que chose dans p. s'aveuavoir quel- l'œil. . — FAT VK\[\ V. être p. fali^ïué. — FA^r. V. n. V. bou- Fntn, •clier. FATUKAY h ou baratte laquelle on agite la crtMiie pouir faire le beurre. FÀV, adv. complèteFAV, , courge (la'iiis ment, enti (^renient. c'e»t nu Siiti comiplètement quoiqu'un ou quelque chose se Fècjàl lèkèt gi, mets une calle cette oallebasse. Fèy nà nag y\â, il a empêché les FAY, V. n. se iséparei de 6on '^,, sémari pour un temps. — paration !i lia de d'avec son ^mari. FATiV b., (M), très grande tem'pora;ire femme cherchée V. par FAYAR la poussière, houssiner, frapper à une porte, frapper à Bul fegâ sa malàn yi ti nèkâ, ne secoue pas ton pagne ici à cause des puces qui y sont. Hail est entré râf nâ té f&giil, ndégé sans ifrajpper. DA donne u faydâ tance. Nit h 0 niime la impor- un c'est la, V. Ffî, V. liKvppé fièvre. p. cipitation. rechercher sa aéré. a fi Da nia i (a étant fan, d'ici mer. FÉG, disposé lessive FÎH, fi'h, fait il — frais. fraîcheur, bel g., n. la de être terminé, fini, Mpot (le ma linge minée. FÈG, FÈGAR, fcg lavé) nâ, est la ter- t. guer, metitne obstacle caller, di^ ce que H couvre se avant mên^e d'avoir Syn. Ët i demâ, fleurs feuilles. bâton de sorcier. FËHA, n. v. — lune. la FÉHÀ, se (S) V. ou hâter une FÉfîA, v. m., fleurs à arb)re lant de la lune. v. mpëh m., air frais. j'ai des frais, nêh nâ déki, bon restcT ici, caim.pianuIécG roses. fêbar, pré- être n. V. bi la FlvG, FÉR, Y. n. être rejeté ou abandonné sur le rivage p.nr la courir a^ec avorr fièvre. b., dcfâ c'ei^t être pous- la être réduit à rien. n. Z^éré FÊH n. rejeter t. rivage en le chas.:or fig. V. de lorsqu'elle s'est séparée. oontr. — au sière; donner pour ak). Fê nnr à deux jour.5. FP.BAR (F), V. fièvje. poijr FËII, t. v. FÉGAR. V. t. y. Fèg. FEGU, FOGU, V. p. et réf. l'importance. FAYL!, t. abandonmeir sut parlanft de la mer. FEII, t. mettre au bord aux limites. V. objet, FÉGAL, FÉRAL, resipe c ta b 1 e FAYDAL, fèl oiu une eotiane, g., d'un jaune. teintuire femme poitrine. la filé après dont p'iante g., re- teniporaiire. traçante bonne FA'i mari le .«réparation être p. l>e(rgerie la nit ni, j'ai FËGÀ, FAYALÏKu, quitter emipêché ces ho'mimeis de quitter la réunion. FEGÀ, FOGA, V. t. frapper SUT ime chose pour en faire pirog'Ue. racime de boeufs Fèg nâ sortir fini. .FAT, V. t. faine sigr.e de venir, appeler par signt^ une vm . dérange. éveiniv. Jav, loi V. lever en par- — b., b., petit V. n. pilon. arracher, corde. t. n. oouleT ment en parlant de (L), lever de suppureri tirer rapide- l'eau. — — FËir FËH \L, V. aérer, t. pendre chir, rafraî- exposer frais, à Tair. FEHÉ, FÈKËY, en faire v. tâcher n. trouver moyen, &arle, FEL I02 prendre des arrangemen'ts, des pour. N'à nga fèhé bè nev, tâclie de venir. Fèhéyal nâkâ nga mené, fais tout ton poissdhie. de son Hèlô. FÉL, V. t. pousser, repousquelque chose à terre, renvoyer la balle au jeu. b., ser FÊIfLU, réf. V. le fëhlu H fdl prendre te se rafraîchiT, Dn nui hegâ frais. gardp gi, je veux an pied de cet II IVals arbre. FEKÂ, FORA, v. t. rober su])tilernent et vite. FËKA, v. t. rencontrer, ver. Fèkà nd ko niu di nibi, l'ai rencontré s'en allant chez lui. Bd bûr'Sin dëé, féku-nia Doâlia, cjuand le roi de Sine e;t inci.t, je n'ci^ùs plus à Joial. V. n. arriAor, avoir lieu. F('!:'on nd niik dd ma (nnnl o/? la ma ko agalé — bu dèka, or il que arriva quoi <[e [)a'S FËKÉ, rievé, roi e^t pa> ise Aenii, trouvé. dévcji a lA'o je )ie m'y Baré dugiip, gen, avoir Ku satd jet, lej, borom dm qur.nd on veJe c'est V. réc. place. FEiLEIRLAY négal. totuffu, nes, tirer fleurs à grappes. Il l'une était chacun en via- jaublanches. handar, mbaylo. à Solây, fleure un aussi de felerlay se a'rbuste termi- nant par une belle panicule de fleurs roses. FELiFEL FULFUL, FULANI. moyenne q.ui V., vient de chez dèf ko ob- violettes fleurs à renc-onit/re Sé- arbre en existe deux 'l'autre nom du lilas g., un grand C'est fè.ké absent. FÈKHO, à sa bœuf de un aux fouler t. FELEiNGU, V. n. être foulé aux pieds. Traîner, n'être pas beau- que son maître V. suis coup de mil est bon, mais se trouver en vie l'ainnce prochaine vaut beaucoup mieux. fèkéul, FELÉNG, du être avarié, pieds, dans de sens de iriépriser. Syn. a.Sisiister, être n. V. percé de plusieurs petits trous en parlant du gros mil. On trouver à. Bû bûr fckcu-nin ko, quand le présent, bé n. V. FEL^T, êtire riétés, e-canicieuir. j).. t. je recevoir iIc convenablcnjen L FEKÀN v. n. être ébréché. éb ré cher. FELA., FULÀ, V. t. percer de part en part, transpercer, traverser. Dam nâ kô'k dasô' nt bè mu feld, il l'a transpercé avec son épée. FE'LAH ])., paiKe légère brou- je n'avaiis FÈLA. v. escamoter, escroque]-, enlever^ g/ripper, dé- — de repousse/r. FÈL, V., puce. action dispo-sitions preml'-e une corde. 'Syn. côté FÉLIT FELU, l'espèce V. les .picot Ib., n. Feuls. de bois. fuir, s'esquiver, sauver poair se garantir d'un danger, d'une oom-tagion s'échapper sans que l'on s'en, v. n. terme famiaperçoive. lier pour exprimer que quelqu'un est mort. Bado bâ felu nà, le pauvre homme es^t mort.. se — . — . — KflMÀ fête g., inahonié- (les — io3 tnns. du mettent ils sécher mil à l'air. de Fa, FÈJV, adv. dér. FRN, FKNÈN, Fi, Fii. Du nga meintir. n. V. adv. de Fa, Fî, dér. Fu. FMÈNTAL, mens, tu es un mengen â fèn, vâlây ! oh quo tu es menteur! Syn. Nar. V., mensonge, faux rapports, tention de l'esprit, détournor la conversation. Fénèntal nhèl, diistractions des volonavoir ini{)osliire. taires. lu Jdi}, teur, l'a 1 — FP>N, V. manifeste, être trouvé en parlant de choses perdues, être découvert, dévoilé, décelé, être tre, Ku amul mbiihâ, sa qui n'a pas de chemise, son ventre paraît. Rërlé von nâ siimâ tabi, vandé jèn nu nak, j'avais ma clef perdue, enfin elle est ret-rouvée. Ka dôn satà fi sunu piikus fên na, celui qui avicpit .volé dans notre magasin est découvert. h., fêù, déx?ou verte, état d'être dé- couvert FENAII, FÂ.\ÀH, V. n. être vermoulu, se vermouLer. Maf\a mu fenàh, bois vermoulu. Bopà hii fenâh, tête éoarvelée, ba- g., FÈNFËNLU, FElXAîJAT b., FElNÀÎII.O, V. V. g. vermoulure. t. rendre ver- moulu. FP:NAL, v. réc. — deux choses. FÈNKÀ, du lant ké, lorsque au lever du ko n. se lever V. soleil. fènlèvera, se soleil le du en par- Bu daniâ bà soleiil. Dar dantâ tèrc fènka, couvrir le so- leil avec leis mains ne l'empêchera pas de se lever. b; leFcnlî'a dantà, ver. lever du — soleil]. FÈNKA PÉNKÀ, , v. t. don- ner un croc en jambe. menteur impos- b; qui fait de FÈiNKU, V. q. teur, liaux rapports. être en l-evé, parlant du soleil. FÉNKU, penku, v. p. un croc en jambe. ïrece- voir mentir, FÈNLô, FËNLU, pour Va di, bul ma fènal, mon-s-ieur, ne me calomnie pas. conseiil. V. faire t. nier. FÊNLÔ, v. L fatre FÉNTÂ, soleil, halo. a un il tient divulguer. Fr.NATI, V. n. repairaîti-e. FENDAL, V. t. mettre sécher l'air. Da nu fendal dugup, mentir. faire m^intir il est entouré du Daniâ bâ fénfà nà, il y cercle autour du soleil; conseil. FÈNTÀ, V. t. inciser le mier pour avoir du vin palme. du se dit aussi in. quand éta- ler, t. n. délibérer, ternir V. 'V. ma- déceler, fai're t. V. — paraître, révéler, découvrir, dévoiler, v. soi. nifester, •à sem- faire n. FËNHO, FÈNIIUANTÉ, attribuer à quelqu'un quelque chose qu'il n'a pas dite, oaloim- FÊNAL, V. s'entrechoquer, se heu;rter mu^b; heurt, choc de tuel le ment. FÈNKÀT MPENAH dis- être p. blant de mentiir. daud, stupide. FFlNAH Fmi ah v. l'at- trait. divuilgué. blr divertir >t. FÉNÉNTALU, apparaî- paraître, n. V. — b; incision pal- dans de le — FÈN' loZ, palmier pour en extraire le vin FJ^NTA h tahavay, improviser. FË^TO, n. V. quel- s'éta>blir de manière à avoir utn lieu destiné aux réunions publiques. FÊNU, V. réf. se produire, se montrer, ise faire voir. FÉP, adiv. dér. de Fi, Fa. Fu. que part • FER, FUR, adv.isuper. prompte ment. Nav nà fer, il s'est envoilé prom'pîeimen.t. avoir le ventre vents pour avoir ballonnetrop mangé. b., ment de Aeintre. v. FER V., coton cardé. n. carder le coton. (Peru b., FEiR, n. V. ballormé de — — carde). FÉR perles FÉR n. et n. V. cLa:r, pCet, di fér claire, FER, FER, FÉR, gi parla:ît na, celle 'pai'ole € >l complète. V. Y. V. la-n.t de la parlant de gêt de n. b.rouier. marée. nga topa fèr, FERANGAY Fer i les rochers. Syn. b., ce •néy. FÉRAiNHAL qui sert à porte fermée. FÉRAYLÉ b., Y. Férévélé. FÉRÉ b., FÉRÔ b., enfant un peu grand avant l'âge de puberté. Féré yà yépà dèm nànu alà bà, tous les enfaniis sont a.Hlés aux champs. tenir ;lia FÉRANG \LU. par terre en se tenant les jambes croisées a^ec mains, à la manière des les FÉRÉNGLÂYlî, n. v. s'asseoir Hâml téfès bè ga. pa>i?cc nient sTir ê lue sevré. Mangé débal sa dôm, fèr na, je te rendis toai enfant, il est sevré FÉR, V. n. heurter, choquer. b., heurt, clioc. FÉRAL, V. t. sevrer un en- — fa mt. écliaircir ou re- t. in tru- Syn. Fotôsu. IranGli.int. ; pulmonie. Ferferi, pr., v. s'agiter, se donner du mouvement. Syn. Kerkeri. FER I FBRLU, NÉY V. FÉRNBNTÀ, Y. Ferangay. g. n. , V., brouter, paî- MÉRNÉJVTÀ ilaminèche. FÉRÔ b. Y. Féré. F'ÉRU V. pr. s'appuyer, être appuyé contre quelque chose, avoir un aibri, im lieu de reétincelle, pos FÉS, V. n. ôlre poussif, êt^e ne pouvoir ni panier ni boiuger en parlantt d'im miaaffaissé compléter une pardle. Di nga v. main un la FÉRÉYÉLÉ b panaris. FERFER v; poumon. Méiit u V., la flueurs. b., FÉRÉSTU, FIRÀSU, marée bas'e. FÉR, V. n. t. Mane grosse g., qui coiurt sur tie. V. nga ma gan- là il attends que la mer soit basée, tu suivras le rivage. Gel gu fèr, FÉRAL, tèy féràl dêru von kéro, tu me diras aujourd'hui complètement ce que tu ine m'ais dit qu'incomplètement 'autre jouir. FÉRANGALU, Y. Férénglâyu ferfer, appuyer contre. n. descendre en parmer, être basse, en t. la ma FÉRÉRÉ com- net, ce conversation. e:i\ FÈS tailleurs. Y. Fég. t. être fini, ou discours ceinture de y., femmes. y. FÉR, Vah FÉR g., dets — lade. à . — FÉS io5 n. être ouvert, déapparent, vouloir paraître, faire parade. FÉS, V. couvert, FÉS, F es fourré. pli, être n. V. hé né mût, être bien plein, bien (rempli. Bè mu dompa, fês dcl, /es pleinement, Fês bè tûru, -adv. loc. tr^s pleinement, èire plein à déverser. Dèfà fês ak hêr, c'est rempli de pieirres. V. n. monter en parlamt de la marée qui monte on qui e^t FËTA. V. FÉTÀ, V. Su yôn av gêt gà Jêsé, Mw, qu^and i la ter FÉTAHLO, FÉTAllU. nga mont main, J>è animal éeo relier, enlever V. t. peau. Bèy nànu n<ig vil, fês ko rèk'a dès, le hoiuf est tué, ne cher. reste plans — d'ooo relier. action FËS AL, V. paraître. faire 1. l'écor- qu';i montiTer par vanité. FÊSAL, V. It. .remplir, com- FÊSLÔ, FËT, a v. v. t. écorcher. (faire frotter t. le limge par une première b., action de frottei'. passé lessive. — • FETÀ V., es-pèce de poissom. Syn. Dota. canon fusil. tir. nâ, refuser, — — (ie v. tuer fu.siller, t. à 'i-iisiil. fu'sil. FËTATJ, v.t. compléter, achever de remplir. Sangarâ si me^ nul à fêsal butêl bi, fètali kô'k ndoh^ 'cette eau-de-yie ne suifr lit pas pour remplir la bou- d -n. âg fètal^ LeA ab jetai, tout le fètal, Ndcii u fètal, du fu'siî. v. n. tirer du fusil. un cDup (le fiisiil, décharger un de bourgeons. V. Sût Kur crosre teille, rejeter, ne pas consenNân nâ ko ko, vandé fétà je le lui ai demiandé, mais votuiloiir, fusil. BanVu bois achève ' uin remplir v. t. faire danser, être p V. armé f usi'l FÈTAY FÊTÉ, dekà fan esi-il la de l'eau. FÉTALÔ, FËTALU, is /pas de \nà doigts. les gâchette. batterie. avec FÉTÀ, Mèr fâché jus- s'esit il la, une brû- la looilère. secouer fètal, i FËTÂ, V n. éc/liaiter, crever, se rompre en parlant de cbo'épases gonflées ou g-rillées, nouir en parlant de fleurs ou ne ou dans doigts, .les dans FËTALAiA'TÉ, v, réc. se tirer réciproquement des oouips de FËSAY b., remplissage. FÊSKÀT -v., éocircheur. qui comme oou;p pléter. secouer forte- corps, le re- re- vibrer. ifaire t. n. FÉTAKÀT b., danseuT. FËTAL, FÈTÈL b., fusil. FÊS, il Y. v. di fètahu, qil'à étouffé. îa fê- v. FËTAII, FITAH, n. bondir en tombant, réagir, vibrer. jaililir en tombant, lure chairoigne, fètâ b., é( lalé. min de V., — fente de ce qui a éclat, h., sera pleine, tu prendras le ohe- FËS, danser. mais plus expressif. mer l'intérieur. Fila. n. FËTÂFËTÀ, môme que — pleine. n'a point il re !"!:sé. bé fês FËT refuse net. Fétjil, il rem- plein, dèl, — Ib., V. dér. n. de être Fèlli. situé. là fêté, iton village siitué? Ta ^vèt u Ndar -Sa où l(\ — FÉT du io6 Je StJ.oiiis Etre :\ssi(lu. FÉTÉFÉTÉ, V. t. enlever une tâche on frottant l'étoffe contre c'est -fëfé. qu'il côté est 'situé. 'el'le-même. FÉTÉFÉTÈK, précisé- adv. V. mûr. FËTËLÉ, V. de l'épi avoir des cho- t. Y. travailler t. pour entourer FÉÏÈT, sup. adT. ak ndoh, les la oasei. Ala ha né champs sont les d'eau. remiplis FÉTËT, Y. ter avec un écla pétiller, ,n. petit bruit. FÉTI, FtTI, T. dénouer. t. FÉTIKU, iFITIKU, FÊÏÔ FÈTÈTÔ ! pour dire s'es-t tromipé v. p. et réf. qui va ta laraf, g en tût à en Purga- expie jusqu'au plus pepéché même. Sô dèfé lu toire, bah, y alla fèy la, si tu fais bien, Dieu te payera, te récDmpenisera Baalâl sa morom ton yi la ton, té Y alla di à ! 'c'esit : qui interj. quelqu'un qui l)ie>n faiit ! mieux! c'est bien mérité! Dâ nga gânu, feto! yâ ko dèf, atsi fi bien mu ! iait! tu est b^e3lSlé, qu'est-ce venu chercher i^i trompé, suis t'a f.iits. Dieu te récompensera. Mangi neyu, té fèyu-la nia, voici que je te salue, et tu ne me ? que — rends tu es ndv. je e'ost-à-dire, Bèy nâ veux-je ri ire mhilâ, jêtô! iiàr i nihânialà j'ai tué deux biches, deux sangliers, veux-je dire. Kayor Cayor eit f ËTÔ, V. n. être voisin. uk Dolof, nô fëtô, Diolof sont chent. le pr. \e voisins, ise pas tou- débander, ee disperser. FÈY. v. t. payer, s'acquitter d'une dette, rembourser, réparer un tort ou une injure, ex4)ier, rendre le salut. Fèy tna, *nb?7 ma vakà la, paye-moi- ou éteindre, lilé, sôg efface ceci, et tu — à feu. bindâ lènèn, écriras autre être éteint, être n. V. effacer. ce éteiind si, Fèyâl Safam si fèy nà kamal, entièrement éteint. Mbindâ milé fèy nà cette écri- eff icé. feu eut ture est effacée. FËY, FOY (L), V. Menu-mâ fëy, je ne nager. puis pas n. naiger. FÈYAKU, FÈYKU, payer ce qui se faire dû, faire rentier ses dettes, recevoir un paye/ment. Manga fèyâkudi, je vais me esit ipayer. faire, FÈYAKUpi, faire Y. aller n. se payer. FËYAKUSI, v. n venir se faire payer. FÈYAL, v. t. payer pour, dé- v. t. expier, réparer, frayer. FÈYAT, se salut. 'le FÈY, V. t. Fèy al safcrâ i Y. pro- loin qu'il torts 'les la c'est dis-je, FÉVÉ, pardonaie à la fey, clîain ce tanit nâr bu celui chose. dénoué, se dénouer. sort me sa}% bakdr et à. FÈTÈN, lô nga fèy uà ses isituéeis paille au griller t. égrainé mil] le être Ku dèm t'étrangle. je le FÉTÉHAL, -fétèt FÈY tit ment. îeu — satisfaire, s'acquitter de nou- veau. Fèyat bakar, faire pénitence de ses péchés, les expier. b., mpèyat m., réparatio^n, — expiation. FÈYKÀT FÈYLÔ, b., v. t. payeur. faire payer. ^ . — FÈY être payé. p. et réf. rf'.YU, V. payer, se venger, par <]es injures. r(SpocTi(l:e s<^ ma dit maîi, lui si on .te sày'ti lui la ton, couverte d'épines. Syn^ Sarcrc. être jaloux en,, FÎR, V. n. parlant des feTnnie:^ ou du mari -1 f^Munc. à l'égard FIRAKIJ, V. le FLRÀSU, le n. V. deman- paiement d'une dette. vengeur, hom- FËYUKÂT b., me vindicatif. FËYUKAY ib., nage, aller effa- FÈYSUSI, n. V. venir deman- der à être payé. FI, prôp. et adv. FIDAL, Fidal nga v. V. Fâ, Fi, beaucoup. FI DALI, agacer, ennuyer. t. ma lôl, tu m'enn'uies avoir t. co'nsolider, for- Syn. Ba- soi'n de. franc, il)., pièce d'un FlH, v. n. et ses dérivés. Y. Fëh, et ses dérivés. FlL, (L) V., homme circon- jeune homme. Syn. Far. FILÉ, .adv. dér. de Fâ, Fi, Fu. cis, FINDAKU, V. n. être précoce. FINDI, FINI b., tout petit mil très précoce et estimé. ' FINTÂ, V. FIP (né), t. V. avoir de v. dé. détoirtiller, t. ; effiler fiJ-à^ expliquer, ana- commenter. Di nà firi dangai lëgi, je vais vous expliquer en détail ce que je viens de lire à présent. lën — de défaire des tres^ ses 'OU des tissus, de dôployeri coan mena n a ly se e X [>1 ica liera b., action , taiio. FIRÎKÀÏ FIRIKT, nc'ui, commentateur, b., qui explique. d'piloie, V. p. et être détortil'lé, FIRIKUTÉ FIRITÉ b., être épa^ expliqué^ épanouissO'- b., ment, explication s'ôpar ,réf. détortiller, se freçue. expliic'atioin don^ née, •développement. FiRKÀT FÎRKÀT b., qui b., qui tend des mpitâ, oiseleur, pièges. Fîrkàt FIRKI b., i est jaloux, poule aux plumes FÎRNDÉ b., d., preuve, té. moignage, signification, indice, t. tendre un piège à, éprouver. g., piège, attrapoir, dacet, rets. Fîr u belis, tentation, piège du démon. Fîr u buki, espèce d'asperge FÎR, V. détresser, hérissées. V. Fènttt. loc. l'embonpoint. tenter, ma Syn. noirs. fruits de rouler lyser, nouir, Syn. Pisterin. aldan\l!i fjeriiay. FlRl, qv\ FIFTIN hiti, petit arbuste k g., à , v. dali. franc. dur, ployer, li Fu. tifier, FIRFIRON bois fil, çoir. paradis ter. (A) b., sùf. endroit où i'om .natation, Y. Férèstu. t. Syn. Aldanâ S usai, de lieu Firikii. V. FIRDAUS resire. FÈYUpi, i FIS sauva;.,e hul fèyu, pas deir — ne t'en venge tort, faiit nii m'a moi répondu sur ai Ka ton. Môm fèyu, grossières, injures des aussi je même ma it 107 — signe convention. de FÎRUKAY b., attrapoir, piège, trébuichet. v. t. bornoyer, fer., œil pour regarder. FÎS, Pis, mer un — FIS — io8 FO, v. n. jouer, s'amuser, badiner, s'ébattre, folâtrer, se FISU, V. p. être regardé par quelqu'u'n ayant un œil fermé. FIT V., âme, esprit, principe de la vie chez les bèteis. Syn. V., nerf, fibre nerveuse Ën. du corps de l'homme et des v., fermeté, éneranimaux. gie, assurance d'esprit. nà est brave, il a de l'éne^rfit, récréer, — manquer de cœur, être buriner, graver, — V. FITÀ faire t. FÉTÀ g., ne peut pas être pendant V. Fi, une FITAH. Y. Kuri. Fôg, Fôk grand et bel arbre ressem'blant beaucoup au caïcédrat flèche. y. FITNÀ, am, travail! . — avec soin. fais (]., V. être n. a'ppliqué ligéy v. t. présumer, conjecturer, soupçonner, se douter de. il v. esit t. labo- zélé, FOGÀ, Fitnà nà ta zélé dans son à. faire avec zèle, Na nga fitna sa zèle, application, FIV, fô n. ému- vas-tu bayakô? d'où viens-tu? .î^ Fegâ. Y. n. faire des con- conjecture. soupçon, FOGÈT, nanga le\er être dèm? où t. V. FOGATU g., FÔGÈL g., gonflé de vent, en pa'rlan.t du ventre. FLANTER, V. Falantêr. Fô, oontr. de fu nga. Fô di V. V. FOGATU, jectures. li- tom travail avec soin. lation. "dèm? FOGARÉ, FÔG, FOGÀ, penser, rieux, — hol, {hay). Fé- Féti, tiku. géy, Fu. nétrables. ou Y. Fétah. FITIKU. FITI, V. FÔG, FÔK g., brésillet (?) arbuste formant des haies impé- par un dard lancé nuit par un génie. lancer, décocher un trait, danse indécente. n. danser le /o- b., b., morceau de cuir. FÔFU, FÔFULÉ, dér. de Fâ, la it. amu- b., FOFARÉ Voil.) casionnée folâtrer, — ôter le son. évité. .4m fitâ, avoir à une jambe une douleur ou enflure que l'on prétend être oc- (Prov. récréer FOF, V. n. ôter le poil d'une peau ou la barbe d'un épi. FÔF, V. t. vanner le mil pour dard, trait. Fit'u Yalla menêsu kô moytu, le trait lancé par Dieu quel- hin. flèche, g., amuser t. se FOBIN, crever des ou des boutons sur Éïmpoules la peau. * V. FOBIN FITÂ, — fais je sement. riné. ' que pour plaisanou que je dis plaisanter, jouer. gravé ou bu- d'ornemenitation ter divertir, dessin b., c'est qu'un. FOÂtN, V. m. exercer le métier de joueur. FOAiNTU, V. n. s'amuser, se iil orner de dessins. plaisanter. divertir, nid fo, FOAL. Am timide. FIT, V. t. se Dâ cela. — gie. i^akâ fit, FOH — loc. doute v. en- complètement. FOGORLU, V. pr. s 'encoura- ger soi-même. FOH, FOHÀ, Fô loqué, . busqué. séparé, V. n. être démanché, dis dé- . — FOH FOHÀTAL, FOHA, 109 FOHLÔ. FOHI, FOKIII, V. t. disloquer, démancher, dé/bander un bandeau, décoiffer un .mouchoir, un bonnet, se découvrir, ôter bonnet ou le chapeau. le FOHARNI, V. t. remboîter, mettre un membre démiis. FOHARNIKU, V. pr. faire re- des ipour se dégager. efforts FOHAÏÀLU, FOHU, FOKHU, réf. se disloquer un mem- V. un bre, se faire entorse, se dé- mancher. FOHOP. Fahad. V. FOHU même que Fohàtalu. FOKHALI, FO.\KAFONKHAÎJ, v. t. rendre FOKALI. LT, am'bitieux. FOK\LIKU FOKHALIKU FÔNKHALIKU , FONKALIKU, V. FOANTUKAT FOKÀT, joueur, en b., badin. bouffir, se n. être s'enfler, gon- se bouffi, leveir — de Va pâte. b., bouffissure, gonflement, action de lever en parlant de la pâte. parlant FOLÔ, V. t. faire jouer, faire FOMA, V. n. chômer. FOMPÀ, V. t. essuyer, appro- qui b., essuie, suyetr, être se V. iréf. frotter, s'es- p. eft être essuyé, b., essuie-mains, torchon. FOJ\, tir, V. t. baiser, flairer, sen- porter à son nez. priser, de réc, v. s 'emib rasise r FÔNAY b., FÔNDONÔ, baiser. adv. Vatw supeir. bè né fondong, être bien Syn. Kôndong. FÔNFÔN, baisotter. FONKAT b., rivés. 'rasé, priseur. et leurs dé« V. Foki et ses dérivés. FÔNKILÔ, fler, V. faire de pâte. parlant la prendre du — v. tabac n. en gon- enfler, t. bouffir, en lever FOP. V. Fép, dér. de Fâ, Fi, Fu. V. perdue, ramasser graisser. trouver une chose t. faire ume trouvaille,, chose uine tombée. For yaram, né For, s'en-t ndok, déba^~ quiconque trome un ot tant mieux, ne le ren-- jet, dit dra ja-ïîais. FORATI. frotté. FOMPUKAY FONATÉ, FONALNTÉ, s 'en treb aiser , létil, qui frotie. FOMPU, baiser, action b., de priser du tabac. FO.\A, V. t. épisser, joindre deux boTits de cordes enseinble. e:) entrelaçant les torons qui les composent. -Sym. Fulanté. FÔ^AI., V. t. donner à baiser» donner une prise de tabac. bâb bî, fônal ma, bhmc, donne-, moi une prise de tabac. FOJVALU, V. iréf. se faire donner une prise de tabac. Dà ma fônalusi fi yov, je viens me faire donner une prise de ta-, bac pair toi. ras<îeimbler. nettoyer. iFOMPAKAT — poudre flairer, FOR, e'amuser. prier, FOR FONKI, FÔNKHI, FOKHI, FÔNKI, FÔN- FOKI, KHI, V. fler, , ambitieux. oire p. . — (Prov. Vol.) V. t. retrouver. FORATU, FORTU, v. t. cher partout, fureter, ramasser çà et là. FORHAN FORLU, b., v. le cher-, glaner, coran. n. V. Far, paître FOR FOROFORO, înoroeaux de FOF V. frotter t. bois pour avoir du l'autre FOROH, n. V. fermenter, grir, "t)or rompre, V. aigrir, t. FOROH AY aci- aigreur, ib., FOROHSI, devenir n. V. FOROHU, n. V. V. Fa- monter épier, n. lessiveuse, b., blan- V. t. V. ;t. faine laver. étouffer, suffo- quer. FOTOSU (iS). V. Férèstu. FÔTUKAY b., lavoir, buanderie. FOY. Y. Fëy. V. Foratu. FORTUKÀT fler FORY de science docteur dans d., nuisuil- ;religion la la V n. voltiger, souflégèremeint. FROS (L) FROSTU glaneur, cher- b., cheur. FU, Fu. V. t. lessiver, laver, blan- linge. le n. isuffoquer, s'étouf- v. par une arête avoii' avalé quelque trop volumineux. FOT A, V. isoit ch')ee de disloqué, en parlant du goulot d'une gargoulette, de la queue d'une caMeibas^e ou autres choêtre cassé — semblait les. \. t. dis-loquer, casser dans ]e sens in diqué. Fotà hàvâm, se tirer les ses FÔTAL, V. faiie les t. faire pour quelqu'un. kii ma lessive ma di- cherche moi me une femime pour craquer la JJtal fôtal, laver mon linge. FOTÀLÔ, '^ienibre. t. à alloin- susceptible d'être donner un coup repasser au linge pour V t. FUDFN arbuste dont les g., servent aux indigènes à teindre leurs ongles en rouge Ils en teignent aussi parfois la queue de leurs chevaux. Syn. Henné, lémêlémé. FUDU, fouler un V. réf. et p. s'allonger en FCF, v. n. souffler, ou pousser de la bouche, insuffler. fle, bouffée s'étendre, baillant. vent de — faire l'air vent, du par b., souf- insuffla- tion. FUF, adv. super. Dèf ko fuf, V. — dresser, l'étendre. • pour t. quelqu'un ou quel- choce, tendu. de fer Farostii adv. Y. Fà, Fi, feuilles être n. pour que Y. Fàros. et V. ger, étendre V. Fas. t. t. Y. V. g. T3rép. FUDÀ, V. fer soit gèn t. FOYFOYf, FORTU, doirrts V. FOTLÔ, FOTLÔ, ment. FOT, v. Sunâ épi. FôTKÀT ai- devenir aigre, îort, acide, s'aigrir. Bin bi déjà forohii, ce vin devient aigre. FOROKTOK, adv. super. Dog nà foraktok, il se leva brusque- chir (L), chisseuse. gre. mane. FOS, FÛT, V. fotangul, le petit mil n'est pas enco-re épié. FÔTIT y., lavure de lessive. aci- âpwté. dité, FOTI, en fermenter. faille n. v. tènfal. se s'aigrir, être emipprté, vif. FORÔHAiL, "duler, FOTÈNTAL ai- (Y), FataJilu. feu. aigre, -être FOTANIIALU deux contre l'un il FÛF le sût surpasse de beaucoup. g., cines sont plante dont les ra- médiciniales et donl - LUI >e sort pour chasser les serpents h cause de leur odeur très FU.LANTÉ, on forte. FUFATA b., espèce d'encens. FUFU b., mets aknu fait avec farine de manioc. la FCG digue b., contre les V. épisser, join». t. dre deux bouts de corde ensem--. les torons, ble en entrelaçant qui lies composent. Syn. Foniô. iFULÉ (F), V. n. monter oon^ tre le couramt, fouler le cou-», rant. eaux. dér. adv. FUiLË, FUHÀ, V. t. défoncer. FUHALÉ, FUKHALÉ. v. n. être gourmand pour le man- Fu. ger et pour le boire, goinfrer. Syn. TIT. b., gourmandise, envie passionnée du boire, du manger et de l'argenit. ^b., trôner, destituer, gracier, révoquer. — — glouiom gou rm and , destitution FUNKAL, ignorer. Syn. n. FUKÈL, Ft}R, nà pron. l'écuime, bènâ, onze. lever. FURT, pron. dixième diiroin-nanènt nâ, ana fukel bà n. et j'ai ? est le dixième.^ vu — les v. t. ou mettre dix. Diiroin-nèt' angi, vandé var nga ko fukèl, en voioi huit, mais il faut en mettre dix. Fukèl nâ ko, j'en ai mis dix. FULÀ, V. FULÀ Felâ. nii u jula, conspect. considéré. homme Név nâ prudent, fulâ, Lu amul il cir- est in- jula, ce qui n'a pas d'importance. FULAL, v. t. estimer, attade l'importance. Sérèr yi fulal nafiu nag loi, les Sérères attachent beaucoup d'importance aux troupeaux. ]cher b., b,. éléme/nt. V. bâcler. t. Vêh nà fur, Nav nâ fur, il n. écumer, faire de. mousser, fermenter, V. n. être déteint, terni, V. en parlant d'éDoffe, être lipide. FURIKU, se ternir, V. se FURILÔ, V. réf. se déteindre^ décolorer. déteindre, faire. t. perdre la couleur. Dara menul â furUô matân mi, rien ne peut faire perdre la coulleur de oe, pagne. FURITÉ circonspection, prudence, importance. Nit àk fulâ, d., — adv. super. décoloré neuf, où faire dis- être détrôné^ q., très-blanc. et adj. déposer, vole à tire d'aile. V. Fer. Hamadi. nurn. dix. Fuk'ak Nâr-fukâ, vingt. Gis FUR, c'est n. V. Fi, dégradation , FUNKÀ FUKÀ, I V. glouton, inle boire et le FUHÀRl, i FULIKU, FUKHALÉKÀT Fâku, Fa, destitué, déposé, dégradé. gourmand, tempérant dams manger, goinfre. de FULFUL, FULANI, V. FelfeU FULI (dériv. de fal), v. t. dé. FUHALÉKÀT, b.. ^ . . b., décoloration, lu vidité. FCRLO. v. t. faire écumer, fermenter. FURTAK, v. t. désirer quel^ immodérément. — b., désir immodéré. FIJRUHLU, y. t. suce;. FOS, v. n. être en abonque chose dance, surabonder. Baré nâ bè il y en a en très grande- fus, abond.mce. FCS FCTS, se n. V. dos dit fruits qu'on ne peut manger qu'après les avoir fait fermenter, oomine îa sapotille ou la nèfle. h., FÛSLÉ, V. t. avoir en v. m. abonder. — FUT fut, (né), iil est mu né futâ, dépouiller entièrement, mettre à nu. FUTA, FUTARAL, v. t. metire à TIU. FUTAKU, FÛSAY 'dance. FUY 3 abondance. loic. v. abon- ladie oamplètemen't nu. fut, né fut génâ, siaillainit. FUTA, v. avoir, à l'en- droit d'où l'on a tiré uine chitjue, des ou aux amtpoiuiles aux pieds Swmà tankà ''de fa futâ, j'ai une ampoule au -Ipied. b,, ampoule. miains. — FUTA, deis adv. super. Havi bè ampoiuiles. FUTÊF b., FUTÈNTAN lo'.ireuse in. mettre, — Mungé né FUT, ,gé?m 'être se pr., V. mis complètement nu. FUTÉ, V. n. avoir la maladie des laimpouiles. g., maêtre a tiré nudité. b., doud'où l'on enflure l'endroit à une chique. FUTURLU, V. n., — mettre à nu. être nu, se g., nudité. FUT[, Y. Foti. FUYAKU, paraître / V. n. revenir, gom âm re- fuyaku nanu, ses plaies sont revenues. G septième G. de lettre toutes devniit l'alipliabet voyelles des ne prend jamaiis dov.nit e et gi sont iprononcôs gue gui. G i a<i>iirati'on ga, : valof, comme en prooionce se devant finançais la valeur du se prononce toujours français. y u et o, a, Ainsi ge^ p^xv expiratio-n et par cmj. G, Teprésenite une artioulation nasale et gutturale qui est complètement étrangère à la laufgue française, mais que nous trouen anvons exprimiée en anglais et en aMemand pair le g (apporte), hring yoimg glais, 'à lia fîin des mots comme dans (jeune), et en allemand, au milieu et (à la fin des mots, comime dans bringen (apporter), bring (laporte), hang {pemchant). En volof ce son est usi'té au com'mencement, au milieu et à Ta fin : mots. GÈP G G, l'une des consonnes initia- de l'adjectif les défini le, le-là, sernible affectiomier primitifs commençant par consonne gutturale et quelet 'nasales, les plantes tandis que prend fruits GÂ, Gàl nomis des nom des consonne la GU GI, le adj. déf. b. le, k. le ; — — — , , , , , pron. , rel. lequel, laquelle. GU, pron. poss. avec un nom. celle de Pierre. de GALÉ, GILÉ, GULÉ, et rel. ce, la 3® pers. Gii'Pêr, cellui cette. adj. que qui, , GÔGA, GÔGU, dém, et celui-là, lequel, rel. cel- 'laqueflile. dém. (forme plus expressive que lia précédente) — — , cette. ce, pron, , adj. dém. GÔGÂLÉ, GÔGULÉ, celui-là, ou dém. adj. dém. encore (forme plus expressiive que la précédente), ce, cette. -— pron. dém. celui-là, — , , ce!lile-l'à. G AN quel, et adj. ? quelle, GÉNÂ, vois. — — — pron.- , celle-ci, celle-là. navire (éloigné) ; gàl gi, le navire (présent) gCil gii, le navire (dont la distance est indéterminée). adj. ,rel. qui, que. Gâl ga ma gis, le navire que je ga, , les Elle ques , oelui-ci, noms rrie — — — la, pron. lequel, Gèrhà n'ai qu'un gâl rèka P num. un, adj. et pron. une. inter. laquelle lâ am, Gènanalà gènuvadâ {gèn*u navire. (gêna valàs), valâ, une des parties), moitié. GÈNÈN, adj. et pron. indéf. un autre, GÈP , une adj autre. et pro'n. indéf. GAS loui, toute, enitier, entière. Gu- di gà gépà nétavu-ma, toute la nuit je .n'ai pas dormi. GOS, GÂS, mâ gos, pron. poss. Suimien sa gos, le le ; sunu gos àm, le sien gos, lo nôtre ; sën gos, le vôtre ; sèn gos, le leur. G in., GAY (plur. de vâ d., indi^'iipereonnes, vav) geins, messieurs. Gd hoinmerî, dus, s'emiploie avec l'adjectif défind démoinstratâf et et gây avec r adjectif possessif. Gâ ni, nevlën filé, messieurs, venez ici. Sama i gây, mes amis. tien ; ; réclamer une dette. V. n. ouvrir la bouche, avoiir la bouche bénmte. Yéru >hé ga, regartravers un trou ayant la der GA, GÀ, V. t. GANG, GAPI, li bouche béante. Syn. /1/. GAB, adv, isupeir. Borom' lèh y II né gab, homme joufflu. GÀBà", GEB, V. t. tenir le poing fermé, empoigner, attraper lavec les miains, prendre par poignées. Gcùbâl tëré bi, prends ce li'vre. Ku digê gânà, mt iixga geb, fanànô, qui bl aflaire à un manchot (pour se baittre à coup de poings doit icoucher avec son Yol.) poing fermé. (Pr. poignée, autant que le h., creux de la maiai peut contenir. GÂBÀB b., mâchoire. rekanté, celui — — GABARÉ GAB AS, (F), V. V. n. n. godiller. sensible être la tête au toucher. On dit qu'on se sert de ce terme, à S. Louis seulement, pour désigner un homme atteint de mauTaises e-t sales maladies. GABÂS, un adv. V. avec objet et le né, tirer à né gabâs tëre bà, il prit et tira le iliwe à lui. GÂBU, v. êtire q. s'ennorgueillir, être orgueilleux, hautain être — Rév. gâbuté g., arrogance, Syn. vain. ngâbu g., Siuffis,ance, 5., orgueil,, enflure, vanité. iGABU morceau de bois forme de noyau ou d'amande, dont on faisait g., d'ébène de la autrefois des colliers. GABULO, V. enorgueillir, t. rendre hautain.^ GÂBUTÉ g., GADÀ g., Gâbu V. b. camipement des- maures. GADA, V. t. charger un fardeau sur iles épaules de quelqu'un, faire porter sur les épaules. GADÀ, V. fendre, t. inciser un arbre ; appliquer les ventouses. Gada ndoh^ sa denâ fâ mèti, ndè du une les chairs, plaie, ko tah -a dog, fendre l'eau, la poitrine en souffre, mais cela ne la fait pas fendre. (Prov. Vol.) dans — ngada , incision g., ventouse. chair, la GÀDÀ, V. t. couper près racine des arbustes ou jeunes arbres pour préparer terrain à la culture. Garap la ta goùdà, mô un arbre lememt, tâ^débi, si de de le lô on coupe jusiqu'à la (racine seu- repoussera toujours. il (Prov. Vol.) GADAF même que à sprendre Ma soi. GÂDAM la g., rate, Gidah. maladie de rate. GADARNI ou bouillie que comme Dadarni. b., très le espèce de lâh épaisse, pres- couscous. Syn. , — GAI) VDAY, . V. voyager ou hateimporaiironioni en pays l»ilor comme éirainger 1 pour cane taire Mi VDAYl.O, . le^ {lii- fini Cl émi- faire l A DÉ hommes les met- comme ou GADEiN Gadon g., tige qui H:ule, collier se du cou, par supersornement. tent autour tition de espèce g., que <en cuir pédon- g., fruit tient le ou GAËNDÉ g., homme fort et GAÉT GAF V. ^.ÀDO g., digène. , GADU, deau siuir dos, se sur les tendre. iKindeir, t. espèce de danse inV. V. danser le g ado. porter un fairépaules ou sur le charger ou être chargé épaules. Lu tèré rvga hanta bi asté di ko émi ? pourquoi ne 'portes- tu pas ce morceau de bois sur les épaules, lau lieu de le porter sur la Gada porte sur les épaules. h., action de porter sur les épaules ou sur ko, <nà — il le le dos. GADUKÀT fardeau qui b., sur GADUKAY les b., porte un épaules. ngadu 1., co- lUJo b., bandoulière, ou tout ce qui sert à porter quellque chose sur les sur le diot épaules. GADULÉ, ter les cho,>e sur celui sert oai qui s'en appro- une superstition du gâf arn bâh nû ti Diu, man, vandé gâf u âm nialân d'un tel ime porte bonheur, mais il a un pagne qui lui est funeste. A m gCv.j, porter bonheuT ou malheur. Ây gâf, porter mal- bûhiil iû m.ôjn, Bociété la heur. picotin, g., qu'on suspend à la cheval pour lui donner sac petit tête à du majn- GAGANDÉ, accident, g., mail- d 'autrui arrivé entre vos mvains, sans que vous en S'Oyez la cause ni que cela vous soit imputé. G AU, g.,é]iornie sac fait avec une peau de bœuf entière. heiur GAM, m dégén té qui ne croasser, ijrai'ie, v.ii. hurler. A nâ ker, Ijuki y a il bu gâhuly des hyènes et qui sont ce/pendant -près de la maison. (Prov. Vol.) ngd]} b., braiment, c roiasise ont, h u i^le ne n t hiirîeîit i)as m GAK i (S), A. t. forcer recevoir à quel- l'hospitalité. Syn. Fèg. GADUKAY ou voûte. la bonne ou p;ir une per- o\o i-c'o 'C'est pays. qu'un gnée. bretelles, ; n. <fudii iête. lion influence^ g., is'<Mî che. i. les au fig. vigoureux. chevirons de case g., ma'U><'î^e qui porter l'aire sur lesquels on tresse GAFKÀ \DI, . L N. épaules. les soimo ou n., V. GADU 1.0, politique. èLe surpris pluies quand on n'a de préparer son champ. VDBAT, pas vo- K (i \ sur exil, «(t exiler, expatrier. r, i V. — exilé. émigration, n<jadny g., bannisseimoni temporaire — s'ex- ('niii^iTer, iii. s'exiler, ior, I ii5 . Y. t. épaules. aider à por- CAK, tendre v.l. le CAKÂ, maigre. bè gaka, maigre. un d'un fusil, fusil. honume ou animal ^adv. sup. yoy nâ il est extrêmement b., très- armer chien — . GAK GAKÀ, sali, lé, taches. v.a. 6 être ttaché, souil- — crasseux, d€i a'voir tache, souillure gako, imimaculé./fëfe gakû, la Vierge iim- ib., Lu amul hà amul macuiliée. GAKAL, v.t isouiUler, GAKÂLO. v.t. faire lacheir. tacher, navi,re, nière embarcation en général. tubûb, navire, embarca- Gâl i tion à l'euiropéein ne. GdZ i voloif, piroigue indigène. Bop'u gâl, proue, «vajnt de (navire. Tât i boue poupe, airrière de naviire. Gât u Nûn, arche de Noé. Eb i gâl, charge d'un naviire, tuarugâl, ou varugar, de^^oir. Gâl dôr h., carcasse osseuse d'un i poisson, rerjetée par meir. la Syn. Hâh i gët. des meilire v.t. usé, se dit de n. V. fant qui rejette le GALÀ, GALAN, ou amu- ceinture de gros- g., perles autour des reins. tûti galah, tûti ngala peu GALAHNDÀ- GALAIINDIKU, se (bouche. v.n. GALAK, b., but, — t., gargairismiei. payer contributioin, oouituime, v.t. (forcer rincer gargariser, v.t. GALAKU, pôt, à les iimpôte. im\pôt, iri- droit. demander payer l'im- ooniri- bution. tout dé- g., GALON, son, qui ce g., frappe l'ouïe. &ôjy i GALAN baguette de ibam- g., tam. G ALAN g., aloooil. GALANDÉ, GALAN, v. t. mettre en forme de croix. Krua hâ mô di fiâr i bantà ya nu galané, la croix morceiaux de bois c'est deux mis au travers l'un de l'autre. croiser, GAL.ANDU, GALANDU, GALANG, b., v.p. en être se g., b., sud. GALANGÀ, GApelle en bois, l'extrémité fer à de pour la culture du riz. t. GALAP, GELAP, NGALAP, v. bâiltonneir, mettre un bâil- aux jeunes animaux pou** b., empêcher de téter. bâililon, morceau de bois que l'on met danis la boiuche des jeunes animaux pour les emlon v. n., être découdécouvrir d'une ma- — les pêcher de GÀLAR, GALBÀ, téter. V. Gélar. bracelet en grains de bois noir garni d'argent. GALÈ, g., espèce de pente b., ou de verroterie. dôm. pron. adj. et de Ga,Gi, Gu. GALÈR, g., GÉiLA, g., marsouin, mammifère, marin. GÀLÉ, dér. GALAKU, vert, entièrement garnie GALAH, — ou dé pour glaise bât di nà Génâ galan un ton monotone, ennuie. en général. GALAH, Ja haillon LA^'KÀ, baver. grisgris g., l'en- lait. géla, V. GALAD, KU, terre travers. GALÀ, très (t.vulgaii'e) poutre ou bâton et placé sur pilotis, bruit, tra- verees. ses g., soutenir les greniers. GAL AL, b., sillon. G AL ALI, b., vêtement gâl, lette indécente, G.ALAL, enduit de bateiau, ipiroigue, (g., GALÀ, GAL chiré. faire souilller. GÂL, — v — GAL r.ALFAT (F), V. (^ALFATKAT h., 117 c:ilfaleir. ti. (.«Ifat, calfa- — <le Vkihomet qui ce 'mois. GAMO teiir. CiAUîXL, V. croc en janilie. GALGALI, s'aibâtardir, v.n. dégé- nérer, être dég^énéré, êbre abject. Kènd: du gali dë, personne n'est in<îigne de la mort. (Prov. Vol.) GALILÔ, v.t. faire aibaitadir, dégénérer. GALO, GANGLO, ÔAPILÔ, t. faire tenir la faire ouvrir la v. bouche béante, ÔAMPA, /. ronger, gruger tout autour, mordre, entamer. Sô dê dëm à gampat délèm, mbôt nga amul, si tu essayes de ironger le fer à égrainer le coton, c'est que tu n'as pas d'épis de mil à ron- GAMAiNKÀT, b., circonciseur. Or sa gâmânkàt a gen or sa lètâkàt il vaui mieux , tromper son que circonciseur Vol.) (Prov. coiffeur. GÀiMRÂ, b., gourde à mettre du liquide. Déndal ma nâr gamh i diu, achète pour moi i deux gourdes de beurre. GAVIBÀ, (L), couscous Tay. à le GAMBAMU, faire cuire v.t. la de v.n. (L), Syn. gam- bader, sauter, .s'amuser, courir. Halèl yi, ndah rnànu-lën à fo ta ker gâ, té ban à gam- bantu ti mbèda mi ? enfants, ne pouvez-voiis pas vous amuser à ilia maison, au lieu de gamJ>ader dans la rue ? GÂMO, nom d'une lune ou du troisième mois chez les hométains. fête C'est l'anniversaire de la la made naissance mettre sur ses n., V. du beurre mêlé avec cheveux la terre G AN ? noire. ei adj. proin. in ter de Gâ, Gi, Gu. dér. GAN hôte, étranger, voya- g., geur. begalul baré y II Gain, ndégé du-fiu mbâmsef, ko yapâ, beaucoup d'hôtes n'importent pas ne (Prov. Vol.) Da- parce l'âne, à qu'ilis dévOireront le ma pas. baré gan, tant bè dotu ma darà lëgi, j'ai de gens à logeir chez moi que puis vaquer à rien à Kii màn gan, hospiGan su dikê, silmahâ talier. la ; su dê nubi, gévèl là, quand un hôte arri'-e, c'est uci aveu- ne je vapeur. î\ ger. GÂMU, b., mordu. l'a G^AMPAT, dibule. son V. t. mordre en paranimaux, prendre avec dents, Had ha gamba nà ko, chien le bouche. GALON, g., V. Gailan. manCAM, g., mâchoire, GAMÂN, fa- lant des les jainhe. GATJ, les minés. donner en crocs des niiiliiellenicnl dont caste g., célèbre dîins ont certains santâ déter- milles se roc. V. im donner îi. f^e présent. gle grioit ; quand GAN, GAN, G AN, trir. Ku V. n., V. t., GANA un Vol.) {né) saumâtre. être meurbârâm bi ? blesser, gân qui est-ce qui doigt ? abondance. (Prov. Ceilà. V. la c'est pairt, il (mendiant.) ti t'a loc. blessé au être en V. . GIN GÂJN manchot, g., — i8 .oomplet, peirsoinme s'écarter, s'éloigner. privée de doigts par suite de la lèpre. Kii begul gânâf ha kô'k vèn am, qui ne veut pas d'un Vak nga ma nàkâ diii mèl, vandé dâ nga \ma ko gandêr, tu im'as bien dit comnient un mamohot, mouchas. na hanté, tout dit. ses avec redigê gânâ, nga gep, fanânô, celui qui a affaire à un miamchot pour se battre à coups de poings doit coucher avec soin poing fermé. (Prov. Yoil.) GANALÉ, v. t. loger, donneir laisse le — rhospitalité. hospitalité g., donnée. GANALËKÀT h., GANÉDl, se blesser ché GANAR, y. Génar. GANARU, sab ganaru, GÂNÀT, V. de nouveau. GANAY c'est GANG loger taré aller Dà ma ma ganédi la beaucoup d'ouce qui m'a emipê- jiusqu'à temps chez Bot toi. loiger ficus. g. Ùa. n'être pas pas- n. longtemps rester un endroit. •GANGAGÉ, venir n. Y. g., d'à Mer présent V, GANG, V. GANGÂ, v. sager, meurtrir n. V. g., j'ai GANÉSI, pa>r- point du jour. .au tèy, passer quelque GA'NÂR, pays des maures. GiVganâr, vent du inord-ouest. tiir n. V. chez quelqu'un. Ugéy, mô tèré bel muttueillleiment. (L) pas geant. donne rec, V. m'as GANDIK, GANDIN vrage, GANANTÉ ne tu Gèndèî. 'GANÉ, V. n. loger chez quelqu'un, ifaire visite en y lo- qui l'hospitalité. mais e3it, tell Ku v. dans porter avec t., arme offensive en général. Ganây gu nô sôh, arme à feu. Ruti ganây, dé- Bô dê gang âgé yaram vu amul laf vilé, 'pendant que tu portes gainer. ce imisôrable corps. g.,® GANÂYU, vêtir ses V. réf. armeis. Ku dèm di u t il t é G AND À, V. t., couper la gandâ piration. Safarà si ma, lie feu m'a coupé la d ' a u c u ne GANGÊRU, et s i bûche, g., GAiNDÊR g., femme celle ganijirlu, îent-c laisser imparfait, V. )urir çà fenriiie ml-r îi., é\)i-:)\i\cr une bè vio- coJore. mariée, qui ne v. t., inachevé, in- Y. GANGUNI^, tronc si eue. de trônf^ GÀMvA, entre GANDÊRU, uieur- res- pas. GANDÊR. va. ma ri. trône, à c J'iire res- poutre. par oppoLsiticn l'est un 3 n. V. en parlant là GANGlRLU, nâ l'on blessure, b., GANGLÔ, GANDÀ où savoir trissure. piration. d'arbre, sans GANG AN s'armer, re- hàré, nga ganâyu, mba. dô ta lad sohla, qui va à la guerre, revêt ses armes, sans cela il n 'est peine t. les g., Daoda, Gdiigiiîié David. \. t. dents, tenir avec happer. — ou v. raccommoder une chauou une ca'.obasse cassée. fnire dicve Galô. NGANGUNË — GA_^ (.ANTAII (|u;nul Wç^e h., coinni'en^e il ?» <le Umt<\ C VNTf:^, G\^TON cr., corps animal. lut's du fiANTU, V. veiiè- désapprouver. ver, GANU, Y. et p. être blessé, réf]., être s'être nieiirtri, upe, se ble3i=er, se coiipeir, meurtrisb., meurtrir. ' — blessure. ,;-(\ ~ ('i\Sr. \, .1. froiv.'er les sour- cils. GENCF., GÂ^US, aÀ^LF, ou sable iiriouvLanit poussière v. dans lequel on s'enfoince, — n. être mouvant en heur. Çué) loc. gran- être V. <3emeni ouvert. Nâ buntà bi uhàkii bè né gap, que la porte crrandement ouverte. «oit GAP b,, mesure de capacité pour les solides, à dimensions localités. suivant 'es variées DàyUl ma nâr i gap'i sunâ, po'UT Ten/ds de petit moi deux mesures mil. — v. t. priser, évaluer. GAPA, v. t. couper le chemin à quelqu'un qui se sauve et devancer pour l'attraper. GAPÂ, GÉPI, V. rén., se déle couvrir indécemment- (t. vul- gaire). sur l'ime quand ils GAPILO, adv. isup., grandement ouvert. GAPI V. Ga, Gapil sa gémifi, ouvre ta bouche toute grande. GAPARU, GEPÀRU, HEPARU, HÉPÉRU, V. n. s'asseoir par en mettant les jambes mahométans !<'s l'ont salani. le V. Y. t. même du l'aulro oomiii(» (Ulâ. mélanine de bouillie avec du poisson ou de (lûh) \. f. la viande. mélanger de imm- du poisson ou la boui!li<^ de la \iande. GAR (YAR U) b., devoir. Même que Var u gùl. Y. Gar b., — el a (IL GAR, v. raccoimmoder, ret. coudre ce qui a été décousu. Gâr dalâ, raiocommoder les souliers. Gâr sa bnktm, tenir mordicus. Ti lilé la gâr bahàn àm, mordicus. il y tient GARANYALË, GARAP Dôm Garuvâlé. Y. arbre, plainte garap, fruit de l'arbre.^ garap, Tât u pied d'arbre, Bant'u garap, tige d'une plante. — II médioament, g., Dâ ma drogue. viens je — remède, nânsi garap, la demander um te re- mède. grisgris, petit g., morceau de bois ou de racine auquel la superstition fait attribuer la vertu ou de guérir, ou de préserver d'un malheur, ou de procurer un bonheur. GARBO b., catin, femime de mauvaise vie, prosiiituée. GARË, GARÉY bien el retord b., avec coton filé lequel om ourdit. riAR(; AMBOSÉ c.iv'his ÔAPAGAPARAL, terre (.\R côté, parlaint d'une ipoussière ou de sable. GAMGAXU, adv., par bon- Gap — GAR refuser, rejeter dénier, réprou- t. une dernand-e, . mil sortir de 119 giiieir de cactier, i'Inde, fi- gros homme sac peut de à portei'. GARKA qui g., c[ii'u]i peine de Barj)arie. (iARIÎALA cuir ' g., figii'i-er r ] ) , . raccomim odeur, ]e<' )iid. OARMI g., noble ou prince . . — GAR du sang royal dans îoyaumes du Kayor — hoiïiTiie b., — bien élevé. dans lieu le du Baol. l>eau et bon, partie b., ^ anciens les et du mi- du saufflet — 120 GARSÊTU GARSÊT, gullile m- d'Europe. 'e n ( Te r me djésigner quelqu'un dams GAT que j'ai dit. b., tabatière en bambou (S. Louis et Yalo). GAS, GÀS, GES. V. t. creu- gratter fouiller, ser, une fai're terre, la gèrté y a, on n'a pas encore rcooMé (creusé) les arachides. ÔAS, V. n. avoir la rougeole. — g.. GÀS AH. V. Gesah. GÂSA!SGGÀSANG, V. t. secouer un arbre pour en faire tomber les fruits ou itoute autre chose pareidlle, comme un hc^m/me pour le faire tomiber. fsèy mânul darà dollar, ti hana gasangâsang, hayi, cGMitre eer. . l'éléphant ne peut rien le tamarinier, sinon peut-êtire le secouer et — (Prov. Vol.) bloter arbre. comme — secousse les t le n. v. feuilles lais- trem- d'un action de secouer, g., , remb lotemen t GASDUGÀ, de parole. GASI, V. GASKÀT niî t., b., u aller — homime creuser. celui qui creuse. GASLÔ, V. t. faire creuser. GASU, GASUKAY b., instrument poiîr crei:-er. GAS'U 1., loMgue cuil. être exas-péré. n., q. être court, petit, ku gala, hcrmime. V. V. Getâ. t. V. charger un âne t. égailememt des deux côtés. Syn. — charge d'uin âne. Gétah g., tige, chauime ou éleule de mil après Sef. g., GÀTAH g., la moisis'oai. GATAL, GATÀLÔ, rendre rac- t. écourter, co-urt. GATANDU, la v. diminuer, courcir, n. V. ou rencontre mettre se au à de de^vant quelqu'un. GATANDUPI, V. n. filler à la rencontre ou -liii devant de quelqu'un. Gatandiidi nànn ko r>ugeo.le. GASÂMGÀSAM le d éstio n nète ) GATA, GATÀ, Gasangu-'nii fc^Si;e. derrière, le g., fait ca,ses raccourci. Nit bref, v. GAS des CAT, v. GATÂ, V. un reproche sans le noniinier. Garuvâléu-ma kèn ti samà vah, je n'ai désigné personne dans ce tou ra ge petit iGARUVÂLÉ, GARANVÂLÉ, t. en chaume dont on l forge- g., GAT paille ron. . et grosse fil soré, on est contre fort allé à isa ren- loin. GATANDUSl, v. (n. venir à la ren contre de q-uelqu'un. Gatandusi nâ la, je suis venu à ta rencontre. GATAY état GÂTÉ g., confusion, amul raocouTcisiseiment, b., brièveté, d'être court. pudeur, opprobre. homte, \à di individu n'a point de honte. Ga(é gii réy, ignominie, infamie, grand sujet de honte ou de coinfusion. Dôm 11 gâté, enfant illéimpugitime. Naka-^gaté g., dence. Dèf gâté, donner du scandale. Baré gâté, avoir de la cet gaité, pudeur, être sensible, se pecter. GATÉLU, V. réf. s'avilir. res- ' GAT liATËN'LU, — n. V. ngatëfilii g., être abrégé. abrégé, abré- viation. GATÊm.UKÀT abrcTia- h., t€ur. GATëNLTJ'LO, GATI g., GATI, V. V. vililage n. abréger. de cuilturo. nir, -mbâté déterrer. t. qui joue de la guitare du pays, chante et fait l'office de griot, quoiqu'iil ne soit pas de famiWe de griot et qu'il ne batte pas le tam-tam. GÂV SI, V. n. se hâter de vevenir vite. Gâvsil kM, dô ma dah, viens bien V. GÀV, V. n. se hâter, se dépê- joindras pas. être prompt, accéléré, faou agir ou aller bandeau, olier, cile exaspérer. t. Gavai, vây, vite. vite, faire à, mon hâte-toi, ami. Gâv nâ mèr, ou, je suis prompt, ou très enclin à la G awil -à- g dv co 1 ère i rascible gâv-lën-<a-gâv, dépêche-toi vite, dépêchez- vous vite. Bu gâv, hii gâv-â-gâv, loc. adv. vite, très est, il . , , vite. GAV, V. pà bander t. joues, les un baindeau. Sumà no- me-ttre ma mèti, déjà l'oreille me mal fait gav ko, je Tai ban- GAVU, V. bloquer. b, samedi. t., GAO ment, de mettre que j'ai diligenter. GAV.ANTULÔ, GÂVTULÔ, faire ser, hâter, se faire v. t. s'emipres- donner de l'enupres'sement. GAVAR cheval. cavalier, b., — GAVARU soldat à V. n., aller à che- découvrir se GAY, — bè Syn. Teh. avec né. L'hiku nà n. sauter. v. adv. , V. né gay, largement ou- c'est vert. GÂY, V. Gd. GEB, V. Gaha. GËB, V. n. fermer la bouche, GEBARNI, V. ouvrir t., le quelqu'un. à GED, GÉD, V. y c. avoir longtemps .Ged nâ lâ gis, il y a longtemps que je t'ai vu. Ged nâ ko gis nâr i ai angi, il y a deu\ ans que je l'ai vu. Kan nga ged à dèm ta dangu bâ ? combien y a-t-il de temps que dèm, ? Gedu-ma fâ n'y a pas longtemps que il j'y suis allé. val. GAVÉ hâter de eecourir, s'emploie comme verbe transitif. Gâvé mâ'k ndoh, hâte toi de me «doiner de l'eau. G AVI V. t., débloquer. v. GÂVLÔ, ir^iiter, pr., V. indécemment. tu es ailé à l'églse cavalerie. g., un bandeau. GAVU, se l'emipresse- se hâter, se Suma me Syn. n. v. ban- joues les ma 7n,ô poinig GAVANTU, GAVTU, un s'attacher réf. avoir se taire. Asèr, plus usité. P'.esser, v. re- i beiï dèfâ mèti, tah à gavu, les dents font mal, c'est pour ceila dées. dée. GAV, GAV, me autrement tu ne CATLÔ, t., v. t. presiser, GAVLO g., GÉD, GÉDÂN se aocôlérer, faire dili- hâter. espèce de bouffon mun au gros, bois g., arbre comSénégal, rarement très dur, lon.gues branches. GÈDÀ II V., poisson horom, poisson faire du poisson barê'ngi, lu tèré sec. Gàd'- salé. — sec. Dèn vu nga v. t. gè<bâ lèn? . , — GED de iK'aiicoiip \ok'\ pourquoi ne sécher .poissoins faites-vous pas les ? GKDÀ p:ourmander, gronder, assaillir de paroles dures, bru'squer, réprimander. Sumâ bây gedâ \nâ ma, mon père ngedà g., b., m'a grondé. brusquerie, gronderie. GKDA, V. n. bouder, se monn. V. — trer faire iïiché, gèda, sa ndèv boiuler (pour fait manger qu'on que ta mère a cuisine la cherie, miaisom). Ja (à — Vol.) (Prov. Kii tu oses si morceau de bois dont je me pour oreiller. Di nâ gé- sers génâyô'k malân, je me servid'un rai pagne en guise d'oreililer. GÉGÉNÂYU, sur un bouderie, b., fâ- GP:])A\TI^, récifjPGcpH , réc. V. bouder se bouderie. Gerem. coque de GFJJ^-M V. Gl"I)C-R b., pista- che CiV.F, ni': F. V. enlever, t. es- une faire \ile, r:i\ir caiii'Oler. des céréiiioniei du mariage qui faire enlever ou à consiste seniblani d'e ilever aux parents fia/ic-'e i)Our la conduire à b., mai-on du mari. b., enlèvement prompt, rapt simulé. r a V isise u r G F FKAT GF.Ci, terme pour appeler ,1e la — — la 1 ) , . conte^ler. n., V. b., ou de teigne. avoir la teigne ou esipèce de dartre — — , une . V. n. de dartre. ei3'pèce GÉH, GÉK, adv. avec v. né. Sô né géh, ma diima la, si tu difs quelque chose, je te frappe. GE,HÀ, GEHAT, v. t. V. Gohi. hennir. n. V. GÉHANTÉ g., GÉK, étançoniner. v^. t. eau saumâtre. — b., étançon, échelle pour chercher miel dans les arbres. b., perruche. Toy ii gel perruche verdàtre. GEL b., cendre chaude. GEL {dàn u) espèce de serpent tout vert qui ise tient dans les feuillles de certains arle })res très y oomime le TO>ndier venimeux. ; il est GÊL (L), V. t. dérober. GEiLÀ, V. n. ruminer et baaïiimaux. ver en parlant dciâ Syn. Duni. GÉLADU, maces avec Ùénahu. n. V. touite GELAKAT singe. GltGXMI^. poser GEL !.iient. GKDAV se appui, soutien. b,. GËHAL, . réf. GËGËR, GÉGIR, NGÉGËR ni'Oi:e. G!"DAGr;i)ALU, V. n. faire seuiblaiiL de bouder. grondeur. A K AT b G V. oreililer. GËGÉNU le c'est t'offre), moue. la toga, ci GÉL 122 h., des gri- faire la figure. Syn. baveur. GÉLAP, NGALAP, GALAP. v. baîLlonner mett:e uin haillon aux jeunes animaux pour les empocher de téter. l. (il\(;r:\. élanc r 'G I': ( î \ ,a{)puyer contre, t. !'. f. oreiFei". N \ V cnr-nn. G^A'jf.^ \\ d'une chose Banfa la di ! ) C'. eii . . \. A (j é (j é nay 1 . traversin. i. -^e servir guise d 'oreiller. y('<i('iiàyô, c'est im GÉLAR. GALAR, NGÉLAR I)., marsouin. GÉLAV, venter. V. n. faire du vent, — GEL GELEM, ôLre désorienié, n. V. ùire égaré dans la rou'te. GÉLEM g., cliaineau, droma- Gélém dairo. pard ou u rab, i chameau à une bosse, dromadaire. Gélèm buhlâ, chameau i plusieurs 'bosses. à GELEMAL, GELEMLÔ, y. t. désorieniter faire égarer. GELEMBAM bani palam- V. g. g. GEMÊTU, com-mencer 1er un peu. V. s'assoupir, n. somimell- à 'dormir, GEMÀNTULÔ, GÉMBÀ, V. t. V. t. assoupir. la nuquelqu'un. Dô gémba sa dôm âm ? ne couvres-tu pas la nudité de ton enfant ? b., <couvj-ir dité à — ngémbà ceinture avec la quelle on couvre sa nudité. GEMBETU, v. n., cligner de 1., l'œil. GÉLÈMBU, V. GKLI, suppurer. n., V. GËMBU, être de cou- g. leur fauve. GELIT U SAFAKÀ. Y. revêtir sert de cuiloitte. GÉMÉN couvrir ,1a ceinture qui se réf, v. nudité, Gilin- tà b, la bouche, g., sang dans royal royaumes prince du les anciens b., g. du Sine et du avoir le mal du Sa- louni. GÉLU, pays, n. V. désirer revoir ses amis, être peiné d'en proches, être éloigné. Gélu nâ sumâ dekà loi, je pense continuellenieni à mon pays. g., mal JU pHVses — GEM, V, Gem croire, t, nâ ajouter foi nga vah ou fusil à ipistoilet gueule, gémén, deux coups. groin, bec, orifice. iVar GÉLOVAR à. GBN TU, caméïéo- alâ, Gélèm girafe. — 123 i GÉMÈN, V. t., attirer des malheurs sur quelqu'un en lui donnant des louanges exagérées. GEMÈT, GEMÈNT g., outarde, oie sauvage. GEMÊTU, V. t., ne pas s'en croire. GEMKÂT b., croyant, créduile, fidèle. GEMLÔ, V. t. persuader, faire croire. tout ce que tu dis. Gem Yalta, avoir foi et co-nfiance en lYieu.Lu kèn mânul a gem, ce OEIN, V. t. valoir mieux, l'emporter sur, être mieux, meilleur, préférable, supérieur. Alal yu baré, yaram vu vér à ko Lu mMul à ne mérite pas d'ê- g en, la santé vaut mieux que beauiooup de richesses. Mô g en li lépà, je crois qui est incroyable. gem, ce qui Vâ tre cru. les, les GEMÀ, Gema du mer qu'on i gem ya, les fidè- croyants. les te fermer les yeux, nu >gis la, feryeux n'empêche pas V. n. téré voie. GEMADI, GEMARI, v. n. être bâh, esit mieux, c'est lui ou c'est cela Mô g en, c'est miïeux. al èl bê meilileur. H vaut il bon, cet enfa'nt est très mauvais. Mô ta gen, cola vaut bien 'mieux. Dèm safam ak sa yaram vépâ, dèm aîdana ak bènà tank à, du ko gen a ? ne va ut- il pas mieux aller au ciel aAec une jambe qu'aller en en!er avec son corps entk'r ? g en à m incrédule. r.KMADIKÀT à qui b., incrédule, in- GEMANTU, GEMÎ^NTU, GEMA- . — GEJ\ Mo ko g en fuf kan, œla vaut OËN d'ume lin qiie-ue, g., pédoncule de certains gên, te du ko yengal ? Kudu. Qui est-ce qui a une queue et ne la remue pas ? Une cuillère. (Énig. Voil.) Gên u mbâm, ou kumbadar cho¥e, Lu am fruits. g and al, herbe que mangent clievaux et les ânes. CiF.N, V. jurer, t. faire les moirtiier g., piiler à le grand mortier. Lu di às, ié du nèn ? Gêna. Qui esi-ce qui niche et ne pond pris ? Un mortier. (Ënig. Vol ) g., pipe, calumet. Gen'u tuh, gen'u iuhu, pipe à fumer. Gen'u e'ic. r'mta, — GË\A, V. sorti. de vient sortir, îi. eîre ho^rs, êbre Gêné nâ sortir Géna aduna, à delëgi, l'instant. sortir de ce mourir. Génâ nêg, de, mon- faire ses Génâ tankâ, ailler à (Terme honnête). \. n. être enragé. H ad bu gétvà amul boroni, un chien enre!<n ailles. la — .!jiirde-rol)e. . n'a pas de maître. Gt^NÂ, n. adj. et pron. num. dér. de Gâ, Gi, Gu. GE^iÀ, GÀN, GIN, V. n. grimacer, oomime qui veut pleiurer. Halèl b'angê genâ, lë mu dôy, cet enfant commence à grimacer, il ne tardera pas à ra^\' pleurer. GË\AH . g., flot, Blr G{-:\M{Ë lantc. n., V. V. n. mace aAec toute G e lad II. > GËSAKAT j i 1 n a ce s , vague, houile, génah i GENAHU, g — g ri ])., faire ^es gri- figure. Syn. qui m a c ie i' fait des mieux être n. Y. pour. préférable être Dèm dohântu a ma genal, il est préférable pour moi de me promener, j'aime mieux me promener. Tanal lu là genal, choisis ce qui t'est préférailjle. GENALÉ, y. GENANTÉ, V. Genâilé: surpas- se réc. mutueMement. ser GANAR poule. g., génar, gu ta nèkâ fèy dûsu ak nâr i kopâr ak Day ma nâr bu tût, les, (je i vends -moi donine t'en deux pou- ohacue dix sous et deux giros sous et un Génar gu Génar u alà ten- petit gâ, (o fr. 76). poulette. g.j poule sauvage. GENÂTLÉ, GENÂLÉ, avoir voriser, des v. t. fa- préférences, une prédilection pour, le témoipréférence, bomne grâce, faveur, inclination particulière, prédilection gner. — — g., GÉNAV g., g., derrière, arrière, génav, sur mon dos, derrière moi. Ta gènav g^â, par après, dans lia suite. Dohé itou nier le dos à..., génav, dos. T'â prép. sumà après, depuis, dèm ? au-delà, derrière, excepté, hoirmis, sauf la. yôn vè après ce village là-bas, Génav dekâ bâlé, fan où se dirige la route ? Di nénu dày lu nèkâ génav s an g ara toiU^t excepté vendons nous l'eau de vie. Génav lôlâ, lôlu, outre cela, après cela, ensuite, Génav ièy, do rén avant, désormais. Génav ker gë, derrière la maison, latrines. Génav eleg, après dem'ain. Génav ait génav sibir, dans trois eleg, jours. Génav sibirat, en quatre jours. Génav aiî, après dipuis. ressac. être houleux. la GÉN GENAL, ma GENA il Il GÉNAR, ser- me.'il. mil, ] pour, certes. inii-eux, initirii'in«ent , . , GÉN 125 Gcnav dig'u betèk, après lier. — loc. midi. g., quo, (lopuis que. (line des partieis). l'aZ'ii génuv'nlâ, moitié GElXAY de coin V. l'œil. songe V. , t. (Prov. — Vol.) rêver, songer. être désert, n. V. en parlant d'un endroit habité autrefois. endroit désert b, — autrefois habité. GËNTÀKÀT rêveur, b., son- geur. GÉNTÉ iit. GE[NÉ, V. n. se porter mieux, se remettre d'une maladie. Gêné nia, il va mieux. GÉiNÉ, V. t. faire sortir, mettre dehors, oonigédier, chasser, renvoyer. Géné ko tu biti. faisle sortir, imebs-*le dehors. Géné ma ne g, — — GËNTÀ, GÉ.\DÉL g., GÉNDÉN, GAjNDIK, GANDIN, g., cilaie de branches de palmier pour servir de rèv rêve, g., qu'un la regarder du n. GKNTÉ g., de g., supériorité. b., GËNBETU, GÉNT Génii- quart. moitié, GER songe. Sunii dimd'u bakàn gënta ddl la, notre vie n'est qu'un songe. Sa ndogal u morom gënla la, mal d' autrui n'est après conj. GUNÀVALÀ, GÊNU VA/LÀ 1110 iti^^ — faire g., expatrier. exiiler, relevai îles. faire ses bannissement, GÉNÉKU, V. réf. Géné objet. bonifier, rendre meileur, perfectionner, améliov. t. rer. GEAiLU, V. réf. se GÉiNUKAY GÉPÀ, adj. Gi, rendre meiîlleur. GÉ^O oo<rde autour des g., ceinturon. Ce terme sert de jurement. Sunm génô'ihây gai ma fas, par la oorde de b., issue, soHie. dér. de Ga, indiéf. Gu. GEPARU, GÉPARU V. Gaparu. GÉPÈN porte dans petite b., d'un l'entourage exiil. sortir de son propre ichef, ^bre sorti, être mort, se jusitifier. GENG y. Gang. GBNLÉ, V. t. avoir meilleur, être mieux partagé pour un GENLÔ, b., fête des relevailqui se fait le huitième jour. GÊlVU, v. n., gouverner un bateau, tenir le gouvernail. GENUF g. V. Ganuf. les champ, d'um jardin. GËR g., honfïme qui n'est pas griot. GËR GÉR b., V. V. Gir. t. corrompre, séduire une femme par des présents. b., prix du libertinage. GÊR, V. n. bouillir jusqu'à — s'épuiser, ^ s'évaporer, en parlant des liquides. Nèh ma menatul à sim dèré dâ, gêr nâ, ce bouillon n'esit suffisant plus pour liemper le oouscou:?, il reins, s'€>t mon remercier, rendre grâce, savoir gré à, être reconnaissant envers. père qui me ceini, ou Sumâ génô bây, par la oeimcture de mon père. GÉNO b., NÉ 5ïa b., caste inférieure de griots donit les mem- simjKement : bres sont forgerons, bijoutiers. par é\a.poré GEREM, GEDËM Diu bâh na ko loi, un ii tel l'ébullition. (S), v. t. man, gerem nâ est bien bon à mon égard, je lui suis très reconnaissant. Ku màn on à dog sa bopà, su dogé sa bârâm rèka. , . — GER na nga fab sa bârtâm, dàv té gère Y alla, si quelqu'un ayant pu le couper la tête ne te coupe que le doigt, preinds ton doigt, et sauve- loi en rendant grâce à m Dieu. Gerem Yalla, romercior Dieu, se diit dans une maladie pour exprimer qu'on v^i mieux. Nékâ sa opâ di ? R. Mangé gerém Yalla, comment va ta maladie R. Grâce à Dieu, ça va ? N\âhâ miieux. oomiment lâ geremé la remercierai-je te GER'EMKÂT qui b., ? ? est re- connaissant. GERE^Î, GE(RNU, v. t., ron- ger. GERMATI, V. entrevoir. t. Syn. Hèlmati. "^GERNAY g., V. Firfirong. arachide, pistache G as gèrté, récolter les GERTÉ de terre. g. Gèrté arachides. sette, Tugal, noi- amande. GÉRU, V. — yement. livrer se réf. prostitulion, moyennant un b., à V. d'un arbre ou une autre pknte en coupant ou cassant les branches. GËTÀ t. V. Gàs, creuser. V. la GËT regarder de côté, tête pour regarder de n. ronger. mer, océan. troupeau de bœufs et de GÉTÀ, GEÏÀ être n. V. être tari, desséché, en parlant de marais, puits ou fontaine. Sunu tên gétâ nà, notre puits est desséché. Syn. Ùis. GETAH g. V. Gàtah. GËTAT, GÉTÂTU, v. t. puiser de l'eau jusqu'à épuisement dans un marais, un puits, etc. GÉTÈlN, v. t. tourmenter, faire souffrir, tracasser, gêner, imiportuner, incomimoder, vexer, déranger, a Lt rai ter, persécuter. GÉTÈJVKÀT b., qui tourmente, qui ennuie, tracassier, importun, persécuteur. m GÉTÈ.NLÔ. V. t. faire tour- menter. GÉTÈNU, Gl^TÈNLU, v. réf. tourmenter, se tracasser, se faire du mauvais sang, se fati- GËTI, g., anse, petit V. t. surpasser, être au- V. n. dessus de GÉTI GÉTl à la proémineice. g. (L), n. V. pêcher, aller pêche. Gi^TlLÔ, V. V. t. faire surpasser. t. examiner avec soin, esipioinner. t., Ruh u golfe. Gêt gu fèr, basse marée. Gêt g 11 fês, haute marée. GU gêt, brise de la mer, vent d'ouest. GETÀ g., espèce de parfum, musc, l g., GETLU, gêt baie, va- se réu- guer. côté. V. où vaches. cheiiille, g., charançon. h., espèce de bouf- GÉSÉRË Gêt, bercail, nissent les bœufs et les vaches. — fon. tourner étable, g., cherie, parc, endroit prostitution, ver, GÊSU, GÊV se GËS \. Gis. GESAH, GÀSAH insecte, — 36 la pa- prostituée. GBS, I cueillir les fruits CÈU 1., Idh ou bouillie composée simplemeent de fairine de mil et de sel. Syn. Nahèt. GÈV, m., miaulement. adv. V. avec né. Né nà gèv, il miaula. GÉV. V. t. réunir en assemblée pour une discussion pu- — — GËV bli(}ue — GÎH GIL GÉYÉKU, V. GÉVÈL gévél tis- .tais-toi, mon ami, les affaires me vont pas. de griot ne GÈVGÈVI, OÉVLÈT GL adj. Gi, farceur, Gà, gluamt, en par- qu'on mis dans a comime du liquide, croûte de Gadaf. tremipé, être n. V. lant de chase Même etc. paiin. riz, une que tient le GIDT V. Giri. GIDO. V. pr., s'enfoncer dams la boue s'ennuyer. GÎF g., iioyau ou graine de baobab dans le pain de singe. Lu guy réy-réy, gîf a di.ndèy âm, quelque grand soit le baobab, ime simiple gr:iine est sa ; mère. (Prov. Vo'l.) être n. V. parlant de me) ne pour braise. — v. , apaisé, la flam- que laisser lia être amorti, parlant d'un n. en homme en colère Mer ém gîf nà, être éteint, étouflé (en être ou en sa ivresse. colère est ap.-ii-ée (;[FAL, GIFLÔ, V. t. faire ces- ser la flam'me, amortir le feu, apaiser ou calmer l'ardeur de la colère. GÏFIR GÎH, renvois V. V. s'élablir, fair<>, ise ia bris^ S\n. reiiouveîor. t. tison. Gi- g., lint'u safarà gâ, brandon, tison aïKlumé. Syn. Dulènt (L). g., — fig. mauvais garnement, âme dam niée GIN Y. G&fm. GINÉ g., cotonnier . à soie rou- geâtre. GÎR, GËR g., loupe, protubé- rance, excroissance charnue. Mê- GtDÉLA b., fil qui métier du tisserand. GÎF, GlLl, au mou ou n. V. GILINTÀ, GILIT griot. et pron. déf. Y. GIDAH, du GILI, Tolcnfi. Gii. tendre, Gil'gêt, mer, vent d'ouest. en parlant de n. miauler. v. g., noixl-ouest. la rel. di, safu-ma, i vent.Gi7'f;an//r, GILÉ, adv. et pron. déni, et V. Gâ, Gi, Gu. bouffon, griot, g., brise, de de brise d 'es tombac. jxînvoi 1)., g., ventt être ébouilé. n., farceur, batteur de tamlam, serand d'origine. Nopil, va yef GIR lieu des jeux pu- rassemblée eil'le-meme. blics, — ou pouT de^ joux publics. stade, b., 137 g., n., filet tout petit. avoir des roter, d'estomac. me que seau de trait les — vaches. — Dîr. bois ilequel ou on ngîrté g., pot g., dans , du côté extraction, race, 'lignée du père. Ti samâ gîr u bây ak sumâ hêt u ndèy mâsul â am kii dèf ndèhâr lu ni mèl, dans mon père et dans mère, n'y a jamais eu personne qui ait commis un semiblabile forfait. g., jour. Ne s'emploie que dans Ses la race celle de de ma ill — loccutions suivantes Gîr gu nèk, gîr-ô-gîr, chaque jour, journeililement, tous les jours, : souvent. .Syn. Bet-ô-bet, bès-ôbès, her bu sèt. GIRI, GTDT (S) g., petit cercle ou dessin qu'on laisse autour de la tête des enfants qui sont rasés. GIRO, V. n. se jeter ensem- ble avec avidité sur une chose pour l'avoir, manger à qui plus vite, piller à l'envi. ndankâ malo mi, bu Lèkâ-lën Un girô. — GIS mangez y girô may ndap, si part pour que tu Ku Za, dê ngën hoka quelqu'un enilève ta te donner, la partie fais (ProY. plat. ne doucem-eint ce riz, pas à l'envi. jetez voiiis Vol.) GËS, Gis, V. parlant de l'eau Syn. Céia. GIS, poisson. tëré ta ta gisu-ma ko, hà, ne je lettre, me tu domit filé GISÀNÈLU, V. réf., se (la bonne aventure. le pailles GISÉ, point l'ai nu à gis, épou- affreux, vantable à voir. Gis nga kô'm ? ? l 'as-tu vu ? Nâr i bet gen di gis as hèné, deux yeux voient plus qu'un seul. Ndah gisu-la bûr hâ ? n'as-tu pas vu le roi ? Dët, gisu-ma ko, non, je ne l'ai pas vu. b., le vois-tu a — ngisté g., regard, vue, vision, asipect. GISÂjNÉ, V. t. deviner, faire bonne aventure. Sérin bilé gisâné nâ dâru, ce marabout a tiré la bonne aventure pour une bague. g., divination, bomne aveniture. le devin, dire la — GISÀNÉKÀÏ devin, divinateur. Les noms diaboliques prononcés par gisanékàt le sont rakisà, lëanëkis, sambara, dabarkis. : b., gisêti adu- ti — voir. GISU b., miroir. GITAH, g. V. Gàtah g. Gô, première syllabe de la deuxième et troisième forme de J'adjecJtif et proinom démonsGôgâ, tratifs, ner, imiperceptiible. may nu que Dieu nous fasse la grâce de nous revoir encore en ce mionde! ib., entrevue. GISLÔ, V. t. rendre ila vue, chose Lu doyul une entrevue. Yal nà ! gôgulé. invisible, voir ensein- se réc. V. Yalta n-a Lu nu nrmn à gis, chose visiMe. Lu nu mânul à gis, reçu. faire tirer faire DIS, V. t. voir, découvrir, apercevoir, trouver une chose perdue, receivoir une chose envoyée. Denha dâ nga ma vah ture. ble, a^oir GIS, coton dans GOB GIS.\J\ÈL, V. t. dire la bonne aventure à que'lfju'un. Sériiï bà gisujièl nà ma, le marabout m'a dit la bonne aven- s'en- avis diminuer en dans un puits. mulet, V., ceux s'évaporer, in. tarir, — du même c.-à.-d. qui sont du même tendent entre eux. s'épuiser, c'est 128 GÔB, moisson- récoliter, v.t. couper lie gôgu, gôgâlé, miil, le riz, fau- herbes. Hârâl bè nu gôb bâsi, attends que l'on moissonne le sorgho. b., ngôbté oher les — moisson. Ngôbté gà baré nà, vandé gôbkM yâ név, la moisson est abondante, mais g., récolte, les mioissonneu'rs sotnt peu nombreux. GOBÂR bunt' génà, était n'en i poignard. b., Su ne g don gobàr kèii du si um porte la ipoignard, des cases personne sortirait. GOBÀRU, v.p. être .armé d'un poiignard. GÔBÂÏ, GÔBÂTU, V. t. gla- ner. GOBI, champ de V. n., préparer un Tiz. GOBI, V. n. grimacer, payer en m'onnaie de sifuge. , . — (lOBKAT, M< GOLLÏ, moissonneur. 1)., aidor v.t. (JON 11^9 nioisson- ;i (îOBLÔ, v.t. (ÎÔ'BLU, v.t. pour moissonner. faire moissonner faire soi. GOBRA, GOBRË, ho>se de la GOP, de God b. une tên, i puiser pouir bœuf v., cor- dans un l'eiam COP, temps engourdi com- être v.n. lorsqu'on dxinh la long- resté est même posture de mianière à fatiguer les nerfs. Syn. Nagam. h., engourdis- — sement des nerfs, imalladies aux en (né) mourir, crever, des parilamt GOKHI, GOHI, V. CÔKÔK GEHÀ, rejeter t. b., GE. du gœier. genre de petits bois bocage, bouquet de touffus ou de buissons. GOiL g., b., GoZo kom/i, viers. GOM ha ulcère, plaie, b., apostème. Gom pallétu- Les singei noir. bu abcès, nampu, di di har, chancre. Y. Go- nal. V. renouve>îer, I., revenir une faire GÔMAiLJKU, plaie. être n., V. re- venu, en parlant d'une plaie. GÔN b., gi soréy NGÙN nh, i]e g., soir. Gôn soir est loin V. n on Got^ Âti., d'arachide. pailîe GOZVAKÉ g., gomimier, produisant une gomme rougeâtre. Son ibois est fin et dur. OONAL, NGO.\AL, v. n. pas- depuis Jieures jusqu'au coucher du soleil. gomal, salut du soir (au sing.); gonal-lën (au plur.), bon soir. Dara g on al (au On dit aussi eit dur à ngën g on al (au sing.) ser soirée, lia Ix — : ; plur.) R. ]uw. poissons. GOL couleur cendrée et à longue à GOMALl, res- du queue (la queue vivant dans animaux. godagadaral, accroupi sans rien faire, ter par paresse. GOG b., corde de la bride d'un cheval. GOG b., craie blanche dont les feimimes, qui filent du coton, se frottent le pouce et l'index pour mieux tourner le fuseau. Syn. DÔM. GÔGÀ, GÔGALÉ, adj. et pron. dém. dér. de Gà, Gi, Gii. GOGU, GÔGULË, adj. et pron. dém. dér. de Gâ, Gi, Gu. H AT,, âo, GOMAL, GOMAL-LËN, v.n. CODA, singe. Golo singe est longue, mais si l'on y touche, son m>aître \e sent. (Prov. Vol.) Golo rnangli, singe articuilations. GODA, g., digén, guenon. Golo'nâr, singe rougeâtre. Golo'^ndirikà, grand singe de Bakeil. Gên u golo gudà nâ, vandc lô ta IM gii •borom yég grosrse espèce. {mit s. me crouler, s'ébou- n.. GOLO, GOLOJl r. ;» V. ler. animal maigre (bœuf ou cheval). •GOLÉ g., quelqu'un qui commis un raillerie a fait méfait. une contre sottise, •GONALÎ, V. t. aller pascer la soirée. GONALSI, la V. n. veilr passer soirée. GONAT, GONKNT, GONÈT, GONTÀ, GOJ\TU, V. n. partir le se mettre en marche ou en voyage le soir à k heures ou soir, . , — • GON rungâ, Ku dogé Ndalîâru, dèm Barni, ngn celui qui apros. part giidê, pour arrivera aller à dans tard — V. la nuit. sac g., GONG g. fait GORË Gonàt. V. GONTÀ b., grappe. GOP h., septentrion, Syn. Lodo GOPA (à S. ment de décence, coupe ches NGOR palitesse, g., puurba- Yâr a di yef i dama ti ngor ak ndulit, deux choseis doinnent la p-iix «n ce monde rhonnêteté el la pi/-ii. (Pr. Vol.) Kii sa begé baré, sa ngor név, qui désire trop a peu v. n. d'honneur (Pr. Volof.) être frugal on général, fidèle, poli, prol^e, h on ne le. GOR. V. t. abattre, couper un arbre ou ses branches. Goral banhas bilé. dèjù hatal yôn vi, coupe cette branohe, eïîe encombre le chemin. nité. adumi : — GOR H ad J)u Dôm du chien. gôr, honrme vieiililard, , du mâle, garçon, g., m-îscu'I'in. — gôr, g., respectable, maître de la maison. Gôr gi nmi nà téra.l, cet lioinme uMk'rite d'ehe vénéré. g., bra\e, a ie au r eu x c o u r a ge u x Vâ dilé, gôr la loi, cet hoinme est très- valeureux. Vav gôr ! — , , loc. adv. GÔR bravo, b., faire le un b., bûcheron, qui arbres ou leurs bran- les . GORO mère beau père (père du b., très -bien ballot, paquet. ! — ( la femme), bellemère du mari ou de la (mari beau-fils feimime), de la (femme du mari (k^ la sœur de la fils), J'einnie feniune, du frère du bevic-fiile fiilile), " mari. GORÔ, : sexe montrer ji. la vadeur, fanfaron. GORI, V. t. ailler abattre arbre ou des branches. d'instru- honinèteté, fidélité, foi, deur, V. mari ou de GORÉ, g., gros- GORKÀT nord. culture. GOR impoli, mailiho-nnête, brave, le « Louis). manche h., g. sier. GÔRGÔRLU, (m.), gros singe cy- GONTÀ, GONTU, V. Gor g. GORÊDl. V. n. être infidèle, manquer de fidélité, être délo- du courage, de nocéphale. m emballer^ mettre en ballot. t. yal, une avec peau entièi"e de chèvre. GONÈ?sT. Y. Gonât. CiO^fDI fils. CÔT em])aqueiter. Da- de pied à kar, damis la soirée, Barg.iii, gojitu, i3o V. cajoler les t. fem- n:e-. GOROM'r espècce de tam- b., tam imoyen. GORÏAL, V. t., couper de jeubranches d'arbres pour le nes bétail. GOS, GÂS, pron. poss. dér, Ga, Gi, Gu. (le GOSl graine de coton qui de la vian- g., mange cuite avec de. On s'en sert se teindre aussi pour étoffes. les GOT V., épi de petit mil après qu'il est égrainé. Ku teb ak s(d)àr, dal ak i gôt sô ko . delulé qui petit épis les rait if, saute yov mil et la nu ko défi, gerbes de retombe avec des avec des lors même pas pris, qu'il ne ne laisse pourtant pas d'en être acvides, aurait cusé. (Prov. Vol.) — GOT pou dos poules, Mèscs. GOVÉ g., carex dont les tube rcuiles odoraints soni portés r.OTOT, en b., Syn. riron. par coilliers GO Y LU, — peur. GU, et de épis V., gudi sorcier, vampire, JSgéu gudi, crispation, maJalav u naiit, être lard. iil rel. beauté, me couper de l'herbe, t. faucher. GUBUKAY de a y trument nà il ins- voyage ou dont et de longs GUDALÔ, GUDAL, v. t. al- GUDALAY alUongement, b., prolongement. GUDA Y némèfi, tahul ne taille la courageux. (Prov. GUDÊ mettre à GUDÊLO, rhomime Vo^l.) nuit, la ou après tarfl, pas s 'an nui ter, n. V, longueur de ilia fait Guday venir trop l'heiire indiquée. V. t. mettre en re- tard, mettre à la nuit, aittarder, annuiter. GUDI b., nuit. Dig'u gudi, gudi, miinuit. Oudê'k bètèk, nuit et jour. Gudi, mô di hûr um nkèr, la nuit est la reine de l'ombrage (Pirov. Vol.) })àd Yef II i gudi, choses mystérieu- merle b., V. t. GULAAHKU, v GULËT, la métal- convaincre con- se réfl., tèy lêt adv. pour fois, sumâ sol là la première la première fois je me 1k •vA'C'a GUM (né) que tenir coi. sa ne g. sapo, c'est ehnpenii. blottir, se gum Yângi né voiia te première lois. Gu- aujourd'hui pr., V. se dans no pi, blotti Miinqê né gum en siilen^e. ti ta il se tienl coi, GUMBA me aveugle. b., Gemël vah gumbà, il est inu de dire à un aveugle fer'les yeux. (Prov. Voil.) Syn. matul ti'le se dans du porc. Cv-^uvC. longueur. ,b., — joues, les choise vaincie. rendre plus long, pro- longer, longer. quelque GULA.MI, la ! gonfler t. lique. les .vivre puisvses-tu vie, jours encrier. g., v. GULAGUL beau- miarche démarches sont suspectes. Y al na nga gudâ fan ! Yal nà nga gud'ii fan L que Dieu t'accorde une longue coup sd gu- fi bouche. g., gorgée. Gûh u ndoh, gorgée d'eau. CUHU, V. n., grogner, en parliant un coureur, est ri fait il belle. été a trarder Gudà être long. n. V. tanha, qui faucher, à faucher. Il GUDÀ, où endiroit b., herbe il' faire na, sou <''joog('e en à pour dire qu'une fem- GÛII, V. in p. ToJk est ta^rd. GUPUM mil ou v. , Gu(^.: arriver di, de maïs. GUB, — nerveuse. die pr. petit Nit diableries. isorceilerie^, ses, nuit,' et rel., déf. GCN tor- torpeuT. g., — en V. Gà, Gi, Gu. poisis. GUB être n. V. «adj. fenimies. les i3i à SllnidJin. : — , g., aveugilertent, cécité. GUMBÀLÔ, GUMBÂL, v. t. aveugler, rendre a\eugle. GiUNpA GUXDAL g., sèciie, (Lj, V. t. poisson. souffler le feu. GCNË g., enfant déjà un peu grand, ju^qirà l'âge de l ans environ. G Ciné gu gôr, jeune i . — GUN garçon fi)lle. — l32 gûné gu digèn, jeune ; petit enfant. s., GUNGÉ, V. t. conduire, inereconduire, es^oorter, a»ccorapagnor. b., ngumjé m., coniduite, action de conduifre, d'e^orter. GUl\GÉKAT b.,. conducteur. ne-r, — GUNGUN (L) basilic, g., GUNIGUNl g., esipèoe de guêrem-ue toujours l'arrière train quand eUle se repose. Syn. Nguri. q!.i CUNIGUNI, Syn. V. n., chuchoter. Dëy. GUNUiNGÂNÀ GUNÛR b., guligânà b., hanneton, scara- de cette forme. secte <tUPÀ GCR, na, g., toute autre espèce d'in- eit il fail chaud. Gûr trop chaud. n. GURGURI, grouiller en faire V. n. roucouler, parlant de l'estoroucouilement, mac. g., grouillement. GURMÈT b., .courtier. Autrefois on apipeMit ainsi (les noirs de la colonie qui faisaieri't iles entremetteurs entre îles négociants blancs et 'les indigènes, et qui portaient pantalon — GURMI, les. V. couper t. les oreil- Syn. Dôf. GURU colaiier g., sterculia- appelé guru. Cette noix de colla cée iproduisanit aussi le collia, est astringente, excitante et for- On en tifiante. vin me ilileu.r excel- valant le q uin q u i n a V. n. Y. Ngiiru. GURU, GURUP terner, un fait fortifiant (né) v., (îoc. aux jeter se -se pros- pieds de quelqu'un. GÛS, V. dit se n. du gonfle- des paupières. GUT g., gargoulette, cruche Bât u guta, goulot de gargoulette. GUTÛT gros oiseau g., à col rouge. indrconciis. b., V. avec lia boubou. On appelle encore ainsi un homane baptisé. ment hermaphrodite. bée GUV lent plante aromatique. pe — GUY néral. grand arbre en gébaobab. HanVu g., — g., gur, ocorce intérieure du baol):iib lAcc laquelle on fait des cordes. V. Buy, lâlo, tégu, nda- buy ou kata, ngenguytân, hiituh. ba, gîj, hot u lef, GUY, dà giiy, adv., un piquant, vif. Sé- froid vif. GUYTOLOR g., culbute. GUYUMBÀ b., vin de palme mêlé avec de rine de mil. il a lavure de fa- . H huitième II, cil de l'alphabet volof, consonne gutturale, n'a lettre d'équivalent en français. jM)int allemand après a o, par expiration et par aspiration comme nonce valeur du kh arabe, ou du a la Il ou encore du : espagnol. ; ha, HAD HA, HANÀ, HÉTNÂ,e HÉYTNÀ, adv peut-être, appareimprobablefmen't, Tiient, ce n'est, si Hal^a vau, H ami dët, sauf, soit, si- excepté. apparemment apparemimemt oui. non. mukâ ha ta séy yôn Yalla dâl, ne contracte pas mariage, excepté dan's Ix religion Bul séy seulement. HAB, V. ment avec né. t. bè né hab, Baré rvâ y en a extrême- il beau'oouip. HABÂBAL, HABÂBALKÀT b., iMpace, avide de gain. HABÂKU, lant V. n. - t. HABANKÀT opère en parFanhà. b., châtrer, — HÀBAR b., histoire, H Ad (L) b.. g., nouvelle. figuier sauvage. incircon'cis. ensuite. (Prov. Vol.) Had barbet, chien à lajisser bu sembà, longs Had u points. ]gêt. loutre. HAD U MBOYO, demoiselle ou insecte à quatre aiiles qui vole dans le temps du vent d'est. Had u tankâ, autre espèsemblable, miails d'insecte ce plus petit ayant six ailes et voà ilant ^u genou hauteur lia hommes. HÂD, V. n. joint, divisé. être — u minuit. gudi, siéparé, artiicle, b., vision, séparation, portion. Hâd i at, disdi- Hâd les saisons de l'année. HAD, V. Ad et ses V. Ani nà i hâbâr, il a des nouvelles. Baré na hoùbàr, il a beaucoup de n ou velles HABI Ku ker àm, nga bayi \ko, celui qui poursuit un ohien jus-que chez lui doit le ohâtreur, qui castration. la chien. b., ta des couper, en parlant du taureau. V., bœuf, taureau coupé. V. HAT HAD, dahâ had bel filer Syn. d'étoiles. HABAN, se pro- il h aspiré français dans héros. HA ii;>:i, prononce se Il Quelquefois ah. HADÀ t. b., avec ses paille en avec laquelle on couvre chaume, dérivés. dérivés. général les ca- blanche et plate. V. t. couvrir une case avec de )la paille. Bélë navet a dot, nu hada sunu nêg yâ jéque la saison des pà, avant ses, — , paille . — HAD piuies tourtes i3/, — HADIKU, nous couvrirons arrive, nos cases. HADÀKTJ, HADÉKU. réf. et v. se di'viser, se débander, se disperser, être divisé, débandé, dispersé, romipre les ran^gs. HÂDALÉ, HADÂTLÉ, parer, v. sé- t. distinguer, diviser, distribuer, dis- disperser, diviser par article, chapit*^, efcc séparation, divisioin, ac- — b., séparé, iHAÈT sépa- se réf. V. rer, se diviser, se distinguer. b., opérée, état d'être séparé. division diivisé, HADALIKUANTÉ, v. — d'être réc. se séparer réciproquement HADAM homme b., chargé de grigris et haibillé d'une manère HÂGÂiN HAHA ou du :\'ir\s, faire le HADÀNË, V. t. tirer fa- vanirlé d'un o:jjet., Samba luidÙTié nâr u (jôr am, Sa!i»ba a na tiré vanité de son cheval arabe. HADÂNKÀT — b., niteux. g., terie, jactance, rhabir.erneint, la HADÂTLÉ, vanteur, vanité, démarche, pituite l'on expectore. de fruit b., travail. Du ma peine la lèka hah'i dâmibûr, ndégé lôlu bâhul, je ne profite pas du fruit des peines d 'autrui, parc^ que cela est mauvais. Amé nga haha'm, tu du jouis fruit de ton peines ses quel est ? le travail?. m., qui oiseau emporter censé est de hahâ sa di ies cha- meaux. HAHAM, petit b., chardon qui s'attache aux habits quand on marche dans /les champs et qu'il est pas -Se d'enlever. difficile confondre avec ndé- géfit. va- coqueit- affectation flegme, V., que épaiisise précieux. i«circoncis. b., HAHADÀR, quin, être vaniteux dans sa démiarche et scg habits. dérivés. ses HÂF b., bélier. HAFTAN b., habit fruit Hédèm fanfaron: 1er, n. V. donner des se V. n. V. thon, poisson. avec ees dérivés, n. nue, nuée, nuage. Hamu-ma ndah haèt yê ma tah à der, je ne sais si ce sont ces nuages qiii me rendent malade. Lu bizarre. HADAM, HApÂN, se fen- V., HÂH, diviseur. HADALIKU, p. rayé. g., HADU, V. V. Adu eit distrihutour, b., être HADU tion de séparer, de diviser. HÂDALÉKÂT réf. et V. dre, être fendu, se séparer, être p. joinidre, HAH dians etc. V. Hâdalé. HADI, V. t. séparer, fendire, rayer, marquer la séparation par une raie b., raie, fente, — séparaition. HAHATÂY, éclats, jaser rire v.:n. bruyamment — aux avec action de de rire. HAHATAYKAT, b., qui jase bruyamment avec des éclats de des éclats de rire. rire a^ux éclats, ^b., éclat rire. HAHU, HAHiNHxU, HAHNDIv.n. faire des efforts pour expectorer ce qui gêne dans le KU, HADIHAR m., coiffure propre aux femmes devenues mè fait res. ne dans effoirt que î'on ,b., pour expectorer ce qui gê- gosier. le gosier. — — HAII IIAHIJ, i I — craquer. n. V. aqiiemeiît. IlAL,v., braise, charbon b., ailllu- iné. )IAL, être V. G. sur poimit le avoir presque, falDlir. Hal nâ mil rèv, il était sur le point lie, de (me tuer, Syn. H av. il m'a presque tué. des flèches, à hala, rîdi un lancer arc .pour sous-garde g., arme tahd feu., hnla, d'une h(da, takà bander [lodi, arc. IIALÀyV.t. frayer, débarrasser. Hala v'3/i, frayer HAiLA,b., spirituelile — HAL HALANGT, HALANGU, HALAMIU, IIALANKU, v. réf. se vautrer comme un porc, se roiuler par terre en par*Ian<t du cheval. Mbâm m\à nu sangâ hè mu angê halangôli tâ pourceau lavé se viaude nouveau dans la boue. sèt binit, tre vèt le HALAP, HÂL, b., pastèque, melon du pays. Lô dog mu dânu génav 'l'on coupe hâl, itoui ce que tombe à terre excepté le m^dlon Hal u buki, petit melon sauvage, melon de l'hyène. Hâl ii mhôt, melon du crapaud, peque l'on donne à tite espèce manger aux chevaux, aux chameaux. HAI.A., i35 que chemin. le de retraite font certains sorte avorter. v.n. jeter, Halap nga du sable. rejeter, ma — sûf, tu v.t. faiire m'a jeté tomber les fruits d'uin arbre en jetant des bâtons. ib., avor- — jeter des tement, action de bâtons pour faire tomber des fruits. H AL AS, — rognon. V., ^adv. enfin, soit. HALAT, v.t. penser, réfléchir, méditer, con templier, soingeir à. Halât Y alla, penser à Dieu, méditer, ffaire oraison Halât eleg ak penser siljîr, au lendemain. pensce, réflexion, médita1)., tion, contemplation, jugemenit. Halât-Y alla b., oraison, méditation. HAjLATLO, v.t. penser, faire donner ni.ihométans. IIALA, b, maladie du charboin. HAIAHAL, b., oiseau roii- faire geàtre, à longue queue, chien tout jeune. HALËL, b., enfant en général, vallet. domestique, serviteur, esalave, (terme honnête dont se puant. IIALAM, m., les dernières côtes du corps humaiin. HALAM, HALAiMBÀ, m., guitare du ipays. f\'.'n. jouer de — la guitare. v.t. à ré- fléchir. HALÔK, HALAV, servent îles Cette ves). jouer de h guitare pour quelqu'un. Halan}(d ma, joue-moi de la gui- HAL\MAL, réfléchir, b., petit, possesseurs d'e.-ola- expression -^épond parfaitement au mot latin Puer. Di' n à la yoné su m a halèl, nga HALAM- t'enverrai mon petit domestique, tu le lui donneras. Lu halèl vah, ta ker àm BALAG-ANÀ!, expression pour proposer une énigme. R. Hailèt. HALAMKÂT, b., joueur de guitare ou d'instrument à corde. ko dégé ce qi!e l'enifant dit, chez lui qu'il 'a entendu dire. (Prov. A^ol.) Halèl bu gôr, garçon. Halèl bu digèn, fille. tare. HAL AMALAGÂNÀ ! , doh ko ko, je la c'est il — — HAL Bôm un lassassinor halt^i, i36 en- fant, com,Tiettre \vn infan'tiicide. HALl^T, réponse plume ou lo seau pour écrire HÂjLIS b., substance métailliqiie, b., toute mcïinaie f-:briquée avec ce métad par opposition aux monnaies d'or et de cuivre D creva n Jiâlîs, pièce de iciriq francs en argent par cpposition à derem u vnriis, pi^ce de cent franets en or. Hâlis bu — en argent. nirméraire, monnaie en sèv, (b.. pièce petite général, (argent HÂLIS, u or et cuivre) de espèce gêt, poisson. HALÔK, HAGVf, V. Halav. avoir \.n. des tnches par suite de dans la ligure iv., maladie. taches dans la — figure. HAM s'entendre à instruit J?af ham, facile Ham savoir, IV. t. iil .oonnaîtr^?, une chsse, ètrj degh yômhô nâ parole de la vérité est à ooinnaître. (Prov. Vol.) ma ni \mèl, iu sais bien vail mes *HAM. -^mblable est Ham foiTx:es. ligéy qu'un bu tra- au dessus do admia, avoir de l'expérienre, savoir à ham, — à connaître ! c'est interj. le avec ses déri- t. et ses dérivés. HAMADI, HAMAÏVr, v.n. être ne rien savoir, être bête, rustre, brut au moral. — ignorance. g., HÉMHËM \L, HÀMÀHÂMAL, HÀPÀHÂiPAL, HAPHAPAL.v.n. — ,hèmhèmlé, — clignoter. b., clignotement. iHAMALT, HAMAiLÊ, un peu. naître HAMÂR, v t . con- nuage chargé de Ib., pluie. HAMAl'f, v.l. savoir encore, connaître encore. Hanmtul, ne phis savoir me plus 'coîiiinîtro Bè ihamatul, bè kèn hamatuly loc.adv. prodigieusemenl, énormément. Réy nà bè kèn hamatul, il énonnément est HAMBÀ, b., HAMBA, v.t. gr.uid assemblée de jeunes gens et de jeunes filles. g.,Kajnbà g., espèce de crabje ix)uge quii porte une pince en haut plus grosse que l'autre. m., ministre des idofes. — brûler, tisonner, — faire brûler, bien enflammé, bien allumé. H AME AL (attieer. V. , t. ^A .n. briller, être en- flammer, meitire du bois dans feu. co--- venances. Ham sa bopà se connaître soi-même. Ham sa bopâ mô gen ku la ko vah, se connaître soi-même vaut mieux que de l'apprendre d'un autre. (Prov. Vol.) Ham hèl, connaître bien, à fond. Lu fïépa ham oe qui est publique, notoire. Yôm>bul ne je : ignorant, le les v.n et Am V. vés. la nga né antanu pour dire oais-je, sais pas. au ,mol.Halainalagânû. HALTMÀ. HAM que par termfi interj. on accepte une énigme en lequeil — difficile à savoir, HAMÊ, recomnaîire, v.t. — dé- démêler, reconb., maissiance, personne de connaiscouvrir, sance. HAMÉKÀT, savant, b., homme HAMÉKU, v.p. se reconnaître. HAiMÊKULO, conn^iîlre, connaisseur, éclairé. v.t. faire marque pour faire se re- ou mettre une reconnaître. — - i37 - HAM H\MK:L0, \vi\ lai IV v.l. IIAMUKAY, marque, IIAMÉUKAY, caractère, note, sert à imliœ, signe, preinlc. faire h., eni- qui ce reconnaît-re. IIAMHA'M, con- s^nencc, b., instruction. naiissance, hamham, i<vo)iii:n- noior, roaiarqîUM*. si.1:^:1 a'-fM', Borom- docteur, s-avant, docte. savant, qui 1)., HAiMKAT, HA'MLÔ.v.l. faire savoir, faire connaître, montrer. HAMÔT, v.n. sonrmeiHer nonclialamment sur son travail — dit ont HAMPA, animaux ma- des aussi lades tqui arec de dormir. l'air manger un v.t. fruit dents sans se ser\ir d'un couteau. HAAfUKAY, V. Ha.mekikay. IIÂN, V. t. battre, donner un imauvais coup sur la tête. les H AN, v.t. priver Xnkalô. IIANA, adv. V. lia. HAXDA, v.n. de. Syn. HANDAHÉR têt, HA.M)OR, v.n. s'en aller HANDAXDËR g., faire v.t. faire vibrer conmie qui tourne. HANDALU, v.n. pivoter une conle être suspen- du en Tair en s'acorocbanl à quelque chose de manière ne . ;i pas 'toucher terre HANDAR, HANDAR, HANDAR, ronfler, rôler, Volày, 'Vd di, yâ rnen a /la/idôrvraimfent. mon cher, tu es un grand ronfleur. ^\., ronfle» — ment. Handôr u dë, râle de mort. HANDOiR. en^oore eerv ilèr b., la. qui n'a pas i. HAINÈR, V., pot à Enda, And-i frire, poêle Syn. HENCA, être bossu, dos ou à // odog 0 n é la — HANwA, !b . jDosse , (iné), iën né hangà, ayant la, haut en en re!2ardi'r v.n. une bosse au. 'pouLrine Syn lavoiir bouicb.e béante. HANGAR HARANG, b., b., brinohe de palmier, de rônier Syn. H2rang harang. HANHA, HAINKHÀ, chauve. chauve. — HANHA, homime. plianche, b., être v,n. calvitie, h., mor« planche. Syn. Dénh"i. rie IIAMIA, aller, débris de poterie. HANDAL, laiton. IIA1> ceau quelque part. Syn. Dèm. iHANDA, g., ol'oison, séparation en paille dans u-ne case. HAlVDA, v.n. bourdonner. b., bourdonnement. g., . HANGA, connaît. se . peut qui v.n. être, défriché. HANHKL, V., crm a rd. HANTA, b., écoixe intérieure, du baobab et de certains arbres avec laquelle on fait des cordes, de< attaches, des liens quel^ conques! v.t. écorcer, tirer l'éccrce intérieure de certaine, arb res — HANU, HAPA, HAPA, !v.n., v.n. v.t. être orné, fermer ionidre, paré yeux couper les, ies cheveux. HAPAHAPAL, HAPHAPAL, V, Hàmuham<d. b., g. V., habit précieux Y. b., Felerlay. cuivre jaune, HAPA-Tt, v.it. entamer, ébré" rompre, kan a hapati mburii mi? qui est-ce qui a, cher, entamé ce pain.^^ — HAP ilAPATIKU, — 'ébréché. IIÀPU, pas s V. et être réf. HAR. HARAFLOTI, moyenne caillebasse b., Marât vasser. mile, cette tmuraiillle se cre- te har, sert se ngé Har cre'vasse. bien feindu. Gôm di har, chancre. Suma bir pat, c'eisit déjà har, fendre, t. — v. des collique'S. ifaire fendre. Haràl j'ai <mi, bois ce ifends apporte •l'on ou tvache c{ue aiaiis&ant. «eni HÀR, -v.t. un lieu où en qu'une qu'une attendre, rester l'on comipto personne viendra ou chose bera apportée. Har ma falé HARALÀ, HAiRALÉ HARÂM, même que Arâm. HARÂiN, pour avoiir HARÂIN, — que. d'un HARABKÂT H ARA F, V. bienfait. aller Haraf lën ti nêg dans cette case, cet- dedans. bi, enitrez te chambre, tion, HÂRÀF, Bâ cis. fangul, introducd 'entrer. circon- êtro n. V. loin b., action ipas bob a hâràeut lieu, encore circon- attendant. — b. V. Han- HARÂLNKÀT ib., écornifleur, HARÉ, m., V. Hargét. se battre en guercombattre à b., armiée, guerre, l'armée. combat, entreprise de guerre, re, V. n. faire la guerre, — expédition. nànu, sont haré hêhanNâr deux armées se i les battues. cela HÂRÉ, V. it. abhorrer. Syn. Dépi. cis. HÂRÀFAL, 'circoncire, sion. har), prévoir. attendre par ît. en de parasite. té amé, lorsque- n'était il — entrée, coli- délai. HARDÉT n. entrer, rentrer, V. la gar. rie. HARAF, V. HARANGHARANG carac- lettre, ou d'imprime- d'écriture (dérivé 'attendre, espérer, répit, g., avoir n. colique. V., initerruiption, ingrat. b., n. t. »diner. là V. HARANDI, être ingrat, être ou tour- ner autour de gens qui mangent pour être invité. Dâ ma harânsi an, je viens écornifler attente, expectative. méconnaissant tère n. écornifler, être V. HÀRANDAKU V. n. indus- habileté, g., trie. V. HARAB, habile, être n. V. gi la hâr, hâte-toi, je t'atteirds. qui entrer. faire afctènds-moi dà bas. Gàvûl, mian- ^b., entrée, por- b., parasite, se tenir près im., enviie rentre-r. instrument d'entrée, à en- faire it. faire indusitrieux, adroit. Syn. Hérén. à brûler. HÂR, v. HARAFUKAY se (fendre, v.n. introduc-l b., nouveau, trer de bois noirci, s-ébiUle. HAR, faire entrer. t. teur. "tondu, se tondre. mata dedans. V. HAàAFLOKÀT mure. nâ bu introduire, en t. ailler HARAFLÔ, onta- o:ilain€, b., V. faire trer, IIAPATIT, *en IIAR HARAFÉ, entame, otre v.n. i38 — b., HÂiRFAL, faire la v. t. circonci- circoncision. HARÉKÂT b., guerrier, corn| battant, bataillleur. HARFALKÀT b., circonciseur. - HAR HARFU KARFU 1)., p., t»., couchant, occident, ouest. Dalé ta pénkii bè là karfu, depuis l'Orient jusqu'il rOccideni. HARGAFUFÀ g., espèce de grisgris sâle. Tilim nà bè né sordide, har^àfufâ, c'est comime un {harg\àfufà). HARGÉT, HORGÉT m., dét g., crevasse, fente, V., — n. v. agoniser, 'agonie, être agonisant. agonie. HAR-KANAM g., figure fran,l g., visage ouvert. g., ami. Bi che, HARIT mon celui-ci est là, harit ami. Harit Yalla, HARLO, V. HARTÀ (]., faire attendre. t. espèce de l)louse de l'enfant qui de colère se vautre à V. se .1. dit core de HAS IlARU, tuer. Kii V, réf. men L-e suicider, u fëy d se hiru ii nager ne i qui sait dans 'l'eau. b., suicide, action de se suicider. HARU, V. t. attendre de, esceilui — n., ise HÀS, injures — ib., suicide, celui metsurer sab yôn, à, t. it., en'lever l'écorce. arriver à, réussir à, v. déf, dire des insulter, outrager, ré- coudée. —, v. t, coudée. Ku di ha^ amul ser, qui mesure, b., chemin le à b., avant-bras. Syn, — b., hasavay b., n fec'ti o n e x h a l'a is o jx, désagréable, odeur mauvaise. (Prov. Vol.) , li , KASAVAN m., arbirsîe un, plante arO'_ maitique. Svn. Lcbàlep. HASÉY g., espèce de poi.5SO'ns._ HASÉVAiN tissure, g. basilic, moreille g., HASIT, HOSIT b., noire. raclure, rav copeaux. HÀSKÂT qui insulte, quir b., injurie. se injurier en face, b., rixe, que-^ dispute, injure dite en fa V. L. — querellller. reil'lte, injure, répri- ]n êtres mande. HAS, V. t. affirmer par serment. Moins expressif que vM. Le bois — paa, (Prov. Ydl), n. sentir mauvais, puer, infecter, exhaler une mau« vaise odeur. Hasav nà hun, ceLa, pue très fortement. Nit ku nèk'angô hasav niv, tout hom^ me est imortel ( sent îe cadavre), ce. affront, coudée n'a l'a Lah u laho. HASAV, V. primander, gourmandor. Hcvs Yalla, blasphémer. b., insuilite, outrage, a réussi à le. il à la HÀSTÉ, injurier, caché, s'est n. se dit V. , d'étoffe à mesurer. suicide. V. et , toutj, faire. prévoir. HARUKÀT qui V. Has mi ko — se suicide pas père-, g., — village est enchèvre galeuse. écorce extérieure des, la arbres le bèpà h as ml, fui a n. V. peu touffu, terre. ndoh, >bà village le V. As, pu a n te u r très -ample. HARU, Dehà .pillé, HASABU sumâ ami de Dieu, saint. HARITU, V. t. prendre pour ami. Haritôl nit ku dub, prends pour ami wm hoimme juste. u buissons quant HASAB HARHARLÉ, être à fuir et se cacher sou^. n. V. , déchirure. — IIAS les sâlle harchat-huant. ctiouetite, HARHAR i3o HASTOY sont du g., dont arbre de iles mangés par resseimb'le peup'lier. fruits les 7 à 8. rouges, perruches un p^u à ceilui, — HAT HAT % grosse ib., qui sert paill-e faire l'en-tourage HAT, V. i/io des cases. Yôn om hat, chemin étroit, sentier, dé- fillé. Au Hat nà est fig. Jiol, il susceptible. ÂT HÂT, HÂT, * jeune b., IIÂV un mardi é, défaire se séparer renoncer, rompre a\cc. Haîê'k bakar, quitter le péché. Haté nâ'k yôn, il a renoncé à sa reiligion. Haté ak Dangu bâ, être séparé de l'Eglise. b., rétractation, renonciation, dédit, rupture, difvi- quitter, de, être ébroit, serré, n. nencom^bré, embarrassé. — — homme qui se prépare à la circoncision, qui est à i'àge d'être sion. circonicis. retire sa parole, etc. Haitékât HAT, HÂT hat, y., de à dans le temps dos anciens, b.. dans Tantiquiité, jadis. adv. qui Même que Ât, Hât. indique l'idée d'une chose faite — — , déjà depuis queil- accoimiplie na qiue temps, déjà. Ag^à hât, iil déjà arrivé depuis (longtemps. m., ilime. Syn. Hus (L). »— V. t. limer Taper, polir avec 'est HATI, HATIM nu re de — les miil g., certains ou d'autres HATAL, HATLÔ, v. t. embar- encombrer, faire obstaNânàl Y alla \ndah mii ran- dal lu la men hatal \à Dieu qu'il prie ti écar^te yôn am, HATIN HATIT qui ipeuvent t'embarrasser dans il' observation de sa loi. b., embarras, encombrement, ta<3les limaille. V. n. avoir des choembarrassantes. HÀ7;0, V. Hetô. HÂTU, — n. V. éclat b., de crier à tue-tête. la voix, excla- mation. HAUL — V. , lant b., hurlement du chien. hurler en par- crier, n. du chien. pour HAU-MA, liamu ma, nég. de Hani. ^ HAV, V. c. avoir presque, être presque, être sur le point obstacle HATALAINTÉ traver, , pigeon ramier. m., V., étroites, ses obs- les l'on srire. rasser, cle. que — céréa- fruits. trait avec la plume sous des mots ou à l'entour, signature. v. t. écrire, parapher, signer, sous- Hx\TLÉ, duvet qui vient sur mettre fait liime. van- se t. lever le bras pour lancer un trait. V., toute écriture, pa- raphe ou ligne, , HÀTÀ b., V. H et h. HÀTAH g., menu-paille, pr. v. V. menacer, HATA la u renégait. l'étroit. temps, anciens. Ta hât l'anicien qui se dédit, qui h., HATHATLU h omîmes aïeux, y>â, ou yôn, amer. très c'es-t Vêh na adv. superl. HATÉKÂT se gêner HATARAYU, réc. v. )l'un s'en- l'autre. v. n., crier, pous- HATÉ, b., V. encombrement. n. se rendre sa parole, dédire, se je l'ai HAV, ser des gémissemenits. HATAY de, s'en falloir peu, faillir. Hav nà ko dot, j'ai failllli l'atteindre, re- rétracter, presque atteint. V. t. aimer, s'attacher à quelqu'un par affection. Hâv nà y alla, il aime Dieu, il s'est attaché à Dieu. HAV HAVAKU, haut ; IIFJ) tomber d'en n., V. mettre «€ dépoui'ller se tout nu. HAVÉ, HÈBËT vert. Les nent à toujoun^ arbuste g., fleurs, petites, des remiplacées l'aisselle vien-. feuilles, ua d'en Billes sont haut Havé n,â ti garap, dë, il s'e&t tué en tombant d'un ar- fruit rond dont on miange \\ tonibrer n., V. HAVI, V. dépouMJer, dénu- t. der. HAVLU, mau- avoir de n. V. chances, si dit de quelqu'un à qui tout réussit mal. vaise? HAY b., caïcédra. HAYAY b., espèce HAYLIT de poisson. m., bile. Borom-hay- hoimme lit, HAYMÀ, — priser. V. t. d., estimateur, b., HÊB, V. t. mépriser, dédaigner, mésestimer, refuser, rejenâ hêb, c'est méprisater. ble, digne de mépris, de refus. Ku hêh lâh i ndéki, bu ko dèf ti nopahn, si quelqu'un refuse MM du déjeûner il ne faut -pas la lui mettre dans b., reille. (Prov. Vol.) mé- — l'o- dédain, refus. hi n., savonné. être hèb né, la lessive es>t HEBAL, HEBLÉ, peur à un enfant. HÊBANTË ré€., V. v. se t. faire mépri- mutuellement. HÊBÂT, priser de HÊBÂTÉ V. t. censurer, — mé- nouveau. V. t. m âm, ku ta femelle chérie comme ceWe seront gasul^ de la qu'ellle ne grattent pas la maigres. (Prov, Vol). n. V. pouvoir entrer Hèdii la fi, nit oïi epà nanu d'ég, tu ne peux entrer ici, les hommes sont déjà trop nombreux. Sov milé mépâ hèd nâ ti butêl bi, tout ce lait peut entrer dains cette bouteiillle. HEDÀ, V. t. aimer d'un amour charneil. HE>DÀ câprier à fruits coSyn. Sonaré. g., mestibles. HEDÂ, n. se dit de la trojJ^ V. riz. — b., re- que font les mahométans de très bon matin aux jours de pas jeûne. HED EMU, V. n. pousser un profond soupir, gémir dou loupe u sèment tousser avant de ; avoir habituel- lement du mépris pour les au- g., im épris habituel. Hêbntê'm epà nh, son habitude de mépriser est trop grande. tres s grande cuisson du savonnée. ser halilev HED, HEDÀ d., femme ou en. faut chéri de préférence par le mari ou les parents. Hed u nto- HED, N. pique, dans, pouvoir être contenu dians, b., fiente. bouillie lance, b., méiprise. faire mépriser, t. barde. terre, HAYT Sumhâ V. Hibon. HÊD hait, si ellles HAYMÀKÀT HÈB, HÉBON, évaluation, expertiseur. pris, V. évaluer, estimer, esti- qui b., IIËBLÔ, kèr ak yoy. la perdrix bilieux. mation. la pulpe. HÊBKAT bre. par parler gorge. pour — b., débarrasser la gémisse- soupir, ment. HEDËN dier. d., branche de ron- . — HED HEIDÈTÂN — Yuhôl. hoquet. b., avoir n. V. le Syn. ho- quet. IIÈF b., HÈF V., Un baisiser rayon de miel. cill. Hèf ak hipi, en d'œrl. cilin — v. cilller, îi., HÊH g., inan'ïlier ou palétuSon fruit pointu s'a>llonge, 'lomibe dans la vase et forme de nouveaux pieds. Syn. ManglU mnar. vier. HËH, HÊH, Dô ^te-r. guerre, la dispunit nàlé se fasalédi ^nâr i di hêh ? ne sépare ras -tu pas ces deux hommes là qui se battent. bataille, guerre, ib., Hêh dèm kon bi ûakâ comibat. ma: eleg, sutiirâ tah hè vandé nu hêh la bataillile aurait été tèy, ajournée à demain, mais un manque de "convenance est cause qu'on se bat aujourd'hui. Mbmn-sef mu, bu vèhé, mata, dèf nâ hêh u bây am, l'âne qui mord après Une ruade fait îe iuétier de sjn (Prov. père. HEHÀ, v. laisser un arriè- re-goût rum ressemble beaucoup au premier, mais a des feuilles pli us petites. Le hel u buki est une p^lamte noires HÈHÈiM réc. s'entre-bat- réciproquement. d^attre g., ricin, pallima-chris- Syn. Padàhàpoli. ^ti. HËHÈR gne }}êk HËK7V HEL 9irbre b., ha, la b., g., à ou pa- en générad. HÊK, HËK ma HÈL, Ham adv. super. nâ ko HEL, HÉL V., course. *HÈLÀ, V. n. avec ses Y. vés. vierge. Mana- vierge Marie. ficus. C'est Èla et HELAHiEIL b., pie. HÉLÉ,NTÀ b., albugo, l*œil, déri- dérivés. ses taie à oataracte. HÊLÉT, adv. v. avec né. S'ajoute ordinairement à tûru, se répandre. / rongon âm né hèlêt tûru, ses ilarmes coulère'nt. HÈLÉY, adv. v. avec né. Ndoh mu né hèlêv, eau •HELHELI, très claire. flamber, n. V. flamboyer. HÉLI, t. verser lentement décanter. Halât bè hèli^ réfléchir à fond, méditer avec attenition, ruminer. Héli V, v. n., larmoyer." HËLINT b. Y. HÉLMATl, V. un peu. HÈLO faire, tion HéJéniâ. entrevoir, Syai. Gérmati. V. — projeter, t. ou dessein avoir de. t. g., dessein, penser intenyjrojet, HÊLU, v. regarder de t. tra- vers, guigner. dogue. larges appelle résolution. b., habillllement iieuif, On co mes ti ble puil'pe voir maître. se le imer, à fruits ronds, miaturité. à de tre, la encore hel ou lengé un hel arbre à fruits ronds couvert d'une rongon, V. pousisant i&ur graisise, HËHA, V. n., être méoliant, Hàd bu héhïi am,ul morom, un chien enragé n'a pas renragé. HÊHANÏÉ, ; transvaser, YoJ.) n. Ofn l'iaippelle quelquefois dab femelle. Le hel bo- hèl, je le sais très-bien. n. loonibatitre, se bat- V. faire tre, Hîh, Y. petits /fruits bord de yeux. iles HEM i/i un grand feuilles, mais à HELU, V. in., courir. HElM ,HOM v.n être brûlé en paillant d'ialiment cuit. HEM, V. n. s'évanouir, tomber en défaillance, en catalep, . — HEM i/i3 — II1<J> on apopîoxio, avoir le mal évanouissement, g. lé failli a nce, pâmoison, épilepsie, rende rmé. ipoplexie. mer, ie, — :3^4uc. HEM AL, y V. l'aire t, trop cuire HÉ*>A, faire revenir à t. HÈlMÈ potasse qu'on d., mé- ange avec l'indigo ipour ila ieind., espèce de potasse ure. ue il'on mélange avec de t'abac pour lui donner plus de 'iilé iquant. Hèmè dâ bâhul, déjà lOylô hakén, le hèmè est nlauproduiit ^riinfammation il ais, u nez. — HÈMÉM, rer avoir — h., V. convoiter, t. dé- ou posséder, envier. envie convoiitise, d'^a- HÉMHÈMAL, V. IS. v. n. HÉiMHÈM- Hàmànud. HEMHEMË, !;nt HÈ?sTÉ, vais V. n. en défaillance, tomber soudu mail ca- HEMI, HIMI, V. n. revenir après un évanouissement. à i HEMKÀT <b., épileptique, su- sentir bon, Atre exhaler un bonne iur. Yef yu hên, parfum, bon5 odeurs. g., bonne odeur. ilËN V., graisse de l'iguane leu le -tapée) dont on se sert nme remède. v., moelle de V. n. orilérant, — — rbre. jlÉN jère. regarder de mau* t. HÊNTU, V. Dà mâ hêùtii t. sentir, la trachée- suis, à iftairer cette fleur. iHEP V., cire HÉP, HIP, brute. adv. super. Toy rua mouillé. Sam^ nihahanâ toy nâ hip ndègé tav bi, mon l>onnet est tout trempé hip, est il par la très ipluie. HEPÀ, V. t. verser. Yésu di nia yov yiv ^àm, Jésus-Glirisit versera sur toi sa grâce. Syn. Tûr. g., action de verser, de ti — couler. Ilep'ii hémorra^ dèrèt, gie. v. n. être n., être accroupi. HEPÀKU, HEPU versé, V. couler. n. V, Gàpëru. HËPT, V. n. Y. Hipi. HËI^ÔT, adv. V. lavec né. Né. v. hépôt, être humide, pourri, détrempé comime de lia boue, être, un igaohis. Faté von nâ né nèn angi ti sumâ mbûs, ma dô i hêr bè mu né hépôt lëgi, j'avais oublié que j'avais des œufs ma valise, j'y ai fourré des pierres, tellement qu'à présent c'est un gâchis. dans canal de Syn. Hêtâr. V., flairer, tôrtôr bi je HEPARU,HÉPËRU, à s'évanouir. HËlV, y. Hîn. HÊN, bourgeon. b., V. HÉPA, HËPKRAL, ic. HIXÀKU, œil. hepà )ir. agréa» regarder en arrière. n. V. HBNKÀ hanneton. nsecte, l HIMKU, HËNIKU, b., oxlialarson })., odeur. HEAGA V. Hanlja llKNHËN g., aromate. oi. hérénân parfu, t. une odeur 'bonne bile, après un évanouissement. HEMAjLIKU V. n., revenir à ,b., V. 1« agréable. oi HEMBANAN ni;)i^ir, .senlir exhaler ifaire HÊNAY V. n., HÊNAL, HËNLÔ, es ailiments. HEMALI, V. HER EU HÊS n. 8€ dit de la y a cailme plat et 'que l'eau est dlaire et transparente. V. in. mettre 3e feu tlarîs un trou où est entré un IIElR, tner quand — V. 11 , ônimal. IIER (né) lier hâlis HÉR — bois, foret. ib., v., il crê- de coq. te HÈR, être avide, avare, n. V. tupide, rapace. — , nhéré g., ava- rice, avidité, cupidité. HËlR pieu d'entourage de V., ministre HE'REiM Né des loc. (^é), herem HËRËN, té être n. V. — térité. , \ HÉRÉNADI, V. droit, manquer être mala- n. ladresse, (L) V., pierre, écueil, ro- hêr rd, aller à garde-robe (terme honnêie). la HËR, HÎR, V. t. attirer doucement, pouiSiser à, porter à, engager à, exciter à. BMis haré nâ mpèhé ndah mu hër nu ta bakar, 'le démon est fécond en expédie'nts pour nous attirer doux^ement au péché. b., excitation, entraînement, action d'attirer doucement à quelque — — , HÉRÈR, HERET, des b., habileté, saga- v.'n., être rougeâtre. réunir n., V. pilu- pour prendre poisisO'nis.. HËRLÔ, HÎRLÔ, attirer ?i, V. t. engager f-iire faire à. HBRNTÂN g., carex qu'on rencontre fréquemiment dans les endroits humides. Syn. Nakalakâit. g., bè V. Hariv^l iitole. lation de riidole : — b., liabi- endroit, petite oase, arbre, bâton, pierre objet d'habileté. hanneton. HEIRSÈT, adv, super. Hif •HERDEDI tre ma- b., g., blâmerons s leurs — adresse. art, cité, chose. HËRËM manque HÉRÉNÂN HÉRÉNÂY de d'habileté, HÈR, V. n. déverser l'eau pour conserver ce qui est solide. Dèm habile, ingénieux, indusitrieux, savoir bien faire. Tubab hérén mi loi, le blanc est très habile. Syn. Haralà. nhéréfi g., adresse, habileté industrie, dexadroit, dextérité, d'industrie. HÊR, se taire v., déglu lën solo, taisez-vous et écoutez la nouvelOe (prélude d'un bandakat.) lën oases. cher. de idoles, du génie. l'habitation Mu verser. V., loc. bâ tïi dangu Miy jeta 'l'argent dans le temple. né rèm, qui est censé ou aula de- hersèt, S'arrêter subitement, en parKant la pluie, du vent. Tav bi né de nà hersèt la pluie s'est arrêtée suljitement. HÊRU, V. n., HËRU, HIRU V. n. penché à, se meure d'un génie, auquel on voue un débiteur qui ne veut -pas payer ou une personne dont cliné on veut quelque chose. ise venger, en y faisant des libations et quelques imprécations. Do ta hérejn, vouer ûu génie, au diable c'est ce qu'on appelle dans la colonie, attacher au Canari. Borom' hé; rvâ très- affamé. est il à, nu4ête. être être in- porter à couleur dèf hamu ma ko, vandé vâ du hès la, celui qui l'a fait je ne ie connais pas, mais c'est un indi- HËS, V. n. être noire-claire, cuivrée. de Kâ ko , . — \'n]u d'un noir Otro rouji€atr€. IIÊS, > <' I n. IIKS inlerj, patatras ! HfiSÉ pouf ! ! bubon p^l'us bubon ordinaire sorte de g., mauvais que le HÉSÉO, IIASAO genre de b., V. pr., V. t. en- s'engager, trer. HEiT, avec frapper le main. IIÈT g., odeur bonne ou m-auex hall ai son quelconque, vaise, «en leur. Am hèt, avoir de l'oplat à la rancir. Néh hèt, être deur, agréable à T odorat, sentir bon. HÈTÀ, HÈÏ, du riz qu'on ébullition, avec l'eau. fait cuire HÊT du bouillir, n. Y. en panlaint ou autre chose semblable en être race, ilignée, v., parenté mère, Hêt u bûr, dynastie royale du côté de la mère Hêt u nit, nation, peuple. côté de — V., HÊT, racler, HET îjlanc, 'la espèce, sorbe, genre. V. t. décrotter décrasser, , ratisser, de cheval gris- pommeiîé. V. V. n. Hèt. en pardu trou d'urne aiguille. n. briser une tapade et y n. se briser — lant V. - HÉTAÀ, V. Haim. HETO, v. réc. tirer HETÀ, HÉTÀ, g., — HRTU, ment. Lu hèv t\à Bër ? qu 'est-il arrivé à Corée ? qu'y a-t-il de v. n. être de nouveau ? mode. Malân i Bissao a hèv lëgi tu Bandul, ce sont les pagnes de Bissao qui sont maintenant de mode à Ste Marie de Gambie. — HËV , fête des jeux. 1., HÉVAL, — Providence. de la l'ordre HÈVAT, HÈVATI, — mais ; -les noyaux maux qui en mangent. HÈVLÔ, V. t. faire pigeon ramier. hâleur, qui at- tuent, à HÈVTÉ se mbilée dit-on, ^al du poumon. Syn. hïciï. arri- les ani- arriver, mode. g., fête, solennité, as- solen nelle V. n. se lever jour ou de très-bon mapartir de grand matin. La avant tin, eft les la HÈY, HÈÏHÈY, trachée-artère, ca- n. v. b., mode, de nouveau. nouveauté, occasion. Vû dilé déjà topato hèvat rèka, cet individu ne s'occupe que de modes. HÉVÈR g., cerisier du Cayor. Le fruit ress-emble à la cerise, a une saveur douce assez agréa- paille, van- b., arriver faire n. v, heureusement, faire venir le poisson à la pêche en jeiiant des appâts. g., évènemen't heureux ménagé par la Providence, faveur ou bienfait de Dieu dans menue b., grat- endroit où l'on racle. HÉV, V. n. advenir, arriver, survenir en parlant d'événetoir, mettre V., décrotter. râcloir, b., feuilles iire. HËTAR se rrf. \. attirer, hâ- nu re. HETAHEL HETÀKAT soi cha- t. V. tirer à soi. HETAH à cun de son côt'\ concourir \K)Ut une place, pour un ol)jet. b., blé passer. 1er, ra- cle ur. ver gratter. b., esipèce HÈTÂ, HETÀ, V. ra tissure. dérrotteur, b., HÊTUKAY poissons. HET, ràcluie, v., conçu rreiire. tahar. appelle HKrrr HÊTKAT V. Es, ôlre nou- n. V. Hês pM, clair. Ill'V le , HÔB IIÈY nor ÎH'yhèy, bu deg'à ga gonàté, dot ko, quelque matinal que mensonge, soit le met en route le Y('rilé la si elle soir, geux, ta nibi, être ner chez moi. llfP, Y. Hép. HIPT, HÉPI, V. HÈYÉMU, trop n., V. brûlé, cuit. HËYLO, V. HEYU, qu'un par t. le cri de quel- IJIBON, HËBON b., liomme par la maladie — — , n. être délicat, faible, chétif, malingre. HÎF, V. n. avoir faim, être affamé, être dans la famine. Dégà nâ né diigup amul rên ta Baol, di rmna fû hîf, j'ai ouï dire qu'il n'y a point de mil cette année dans le Baoïl, il y aura famine. Hif 71 âiïu bè hersèt, sont très affamés. ils faim, lamine, disette Dâni y lié yépà, ani on ta Sahun lèn. tous ces hif a ; — g., appétit. gu réy gà tah nu dây captifs, c'est la grande lamine qui a eu lieu dans le Saloum qui les a fait vendre. Yég u hîf, sentiment de faim, appétit. v. t. affamer. n. soupirer, respirer à peine, être essoufflé, être hors d'haileine. b., soupir, essoufflement, exténuation. HÎHLO, v. t. faire soupirer, la HÎFLÔ, HÎH, V. — Y. HEMI HÎN, HÊN, geux. Àsaman mu tav, ses dérivés. V. n. ombrager, vrir le V. si ciel dér. de II cm. être n. hên est na, bien nualëgi nua- faire parasol, cou- soleil. le HIRU, Y. p. être oml)ragé, couvert comme le soleil par un nuage. HIS g., lien de feuilles de rondier pour tresser la paille des cases et des entourages et pour les attacher au piquet. HIS, V. n. être méchant, ma- être lin. HIY, V. délayer". t. que à hîv, ce — HÎY de im., (né) loc. V. mungé mandi ivre Lu nu men l'on peut délayer^ Syn. Hôyal dér. délayement." délayable. Hêy. Né nâ né hîv, ou, hîv, iil est. mort. HIYÂRA'L i^re-mort. d'arbre, de plante, de tabac, cosse, gousse, certaines écorces de plantes ou d'arbre Hob i lonông, poireau. HOB adv., feuille V., IIOB, v. t. dorer, argenter, garnir avec des métaux. llOB, v. HÔBI, essouffler. HIMI t. et HIR, lut retour-^ ouvrir les n. ombre comme un lie. affaibli V. V. Hér Y. appeler ma qu'à ligne à pêcher. avec ses dérivés. g., IIlR, Hana. Y. v. n'aspire je yeux. II ÎR jour. le HÈI OÂ. ou lever faire t. avant partir v., pJuie. ardemment, Hintéu rer men nga ngôn, si tu pars de bon matin de Sali, tu pourras arriver le soir à Joal la HINÀKU, Hi'nTKU, y. Héniku. HINTÉ, V. n., aspirer, dési- ee l'at- teindra. (Prov. Vol.) Sô hèyé Sali agâ Doâla — pleuvra bientôt. il nuages annonçant Y. n., t. être contrefait. dégarnir, dédorer, désargenter. HÔBÀKU, lïOBIKU, V. dégarnir, être dégarni. d é g r a d a t o n d é g a r n i t u re i . p, — se b., IIOL Hi^j), V. «kHreinpor, infuser. l. mettre dans un liquide. Ymigê'k sa inbiskit ma vôv kandoni], lu tèré nga hôd ko li"€m[>er, ma ndofi, ti nôy Te ? voilà avec ton biscuit (iur comme une pierre, potirquoi ne le mets tu clctremiper dams pas œuifo — pour l'eau Nèn yu hôd, qui contiennent un petit. qu'il s'amollisse ? sûr nû ndadan, sivement tif, genre d'hé- beaucoup à non, IIODÀ l'héliotrope d'Europe. Les feuil- Hod' aigrette. g., u HOR- HUPO'NG, Tah Syn. escargot. b., val i cœur lioDÉKU, V. nettoyer au- ,t., tour des champs, maisons des des incendies de brousise. Syn. Adi. HOPOGONÉ, V. n. être bossu, avoir une boss« au dos ou à la (préserver les — Syn.' Hàngà. poitrine. b., bossu. HOPOK, HOPOH m., écureuil coque du pain de singe pour île manger. i)erce la HOpOK, y. n. avoir de petits boutons au menton. HODÔS, la b., v. voix enroué, nho- être n. — rauque. enrouement. HODOSLÔ, V. IIODOSU HOF, V. s'enrouer. honnir. IIÔH b., V. t. t., enrouer. pr. noyau, amende de fruit. HÔH, reculer au )lieu d'avancer en parlant d'un cheval et d'autres bêtes de cetle nature qui refusent d'avancer quand on veut les y forcer, n. être rétif èlre essoufflé. ; Su mu nâr u gôr cœur. Hol bu voyèfy Hol bu sèt, cœur b., faible. cœur tendre. cœur attendri, Hol bu dal, cœur yahu bu ému, touché. bu Dégen Hol calme. paisible, cœur obligeant. tali, hoZ, emporté, irasporté au vomisse- être vif, pronupt, être cible, ment. Hat hol, être susceptible, emporté. Summ hol dog na, mon cœur est brisé. Sum^à hol déjà nampà, j'ai mal au cœur, envie de vomir. b., moelle d'un ar- — bre. HOC, V. t. abeoquer, donner la becquée à un oiseau en parlant d'un homme qui en élève. g., becquée. HÔiL, HOlLI, HULI, v. t. regarder avec cufiosité, ouvrir de grands yeux sur, admirer, con- — attentivement. sidérer HO.L, variété v. rendre un che- t. pur. Hol bu \nôy, Hol idugal. v. rétif. HOL HODÂNG, dôs sont rugueuses d'où son aunom de ôm i gélêm, genou HOHLÔ, V. Hôt. superl. adv. dàn, héron. avoir I de chameau. liquide. qui PAMBÀ g., tre ; V. t. intimider, effaroucher. peur, HOH les bosse cheval ré- liotrope ressemblant un pour b., HOHATAL, tremi>er quelque chose dams DONG — rétif. récalcitrant. faire dé- *' mon cheval arabe est en très-bon état, mais il est exces- de action infusion, 1)., vandé dèfâ hôh ni loi, fruits HOLI g. sont HOLAHOL DIÏAH U NÊY, du amère dit ah, ses vénéneux. b., roMier, genre d'oiseaux passereaux, vulgairement appelés geais bleus. HOLl^MÀ IIOLllOLf, 1). v. y. Héléntâ b. n., gargouiller. . . — HOL i/,8 — IIOMPAY HOLI, Y. t. ècorœr, enlever récorce, peler, écosser, éplucher. HOLIKÀT b., écosseiir. HOLIN b., coup d'œiil. IIOLIT HOLTAL, V. nourrir t. datura g., bu Syn. Homiiham buki. HON v., HONDOR cos.^e Jes pe- venin. métèî. gôr, sébèr poison, g., HOMPAY pelure, épluoluire, V., HOR arc-en-ciel. de instrument b., culture. tits par le bec comme les oiabeoquer, donner par seaux, terdit, agité, étonné^ bouchée aux animaux. étourdi, par les coups du mal- *HOM HONG )b., tortue am/phibie. HOM, V. n. Y. suiperl. cuit. espèce de Hem. —, Nor na hoiu, Satàkét HOMÂK, être rouili^é Syn. H UT. stupidité. HO'NÈTLO, en parlant du fer. b., rouiilile, oxyde HONHÀ, *HONG, — geâtre, de rouiiHure tre ge. fer. HOrMÂKLÔ, V. HOMAL V. for. le brûler, t., V. q. couleur approchant du rouHônhà toy, être très rouge. serpent long, min- b., HÔNHÀLÔ, HONHAL, HÔMBÀ, HOMHOM Mexiqu'.?. du ver V n. Y. b., g., 'C'est corps. Humbà. Argémone du une -plante res- sembilant beaucoup au chardonMarie. Syn. Hompay bu digèn Le homihom u dêh, ou. lugut um Valo est une sorte de liseron. 'Homhom bu gôr Y. Hompay. HÔMPÀ, V. t. emipoisonner, av'oir la propriété d 'emipoison- — empoisonnement. b., empoisonneur HÔM'PÀLÉ, V. t. aider à emb., HÔMPÀKÀT HÔMPÀLÔ, V. t. faire empoi- sonner. HÔMPÀLU, ro u g r i à V. poisonner pour réf. soi. faire em- v. t. ren d re ro u ge , HONHÂLÉ, tre, être rougeâ- n. v. un peu rouge, commencer devenir rouge. HONHA Y rougeur, b., cou- leur rouge. HONHONOR sez fourmi asb., grande et puante, demeurant sous terre et faisant de grandestraînées. HONON, vif dépit, éprouver un* n., v. enrager. HONONLÔ, Y. t., faire HO^NTI, t. HOP, Vâ poisonner. être rouge, rou- être de toute au- vent dans la toiture des cases. rôtir. 'HOMÂÏ abasourdir^ vénimeux, qu'on trouve sou- ce, trop hébéter, dé- t. Hom. Y. vio<let, HONHÀ faire rouiller, t. oxyder enrouililer, V. troubler, concerter, intimider. b., v., ment, fi- rouiller, se — très hom, fieffé. n.. HOMÂKAY déconcerté^ être fig. agitation de l'esprit, étourdisse- fer. ner. Au heur. adv. c'est fior hii V. n. être hébété, in- v. confus, être trouhlé, se trombler. lou, voileur, rusé de b., HONÈT, V. V. enrager. effiler. n., être contrefait sah nâ hôp, cet grandi contrefait. éilé me a HOP b., raie, poisson. hom Syn Tumbulân. HOR V.. coquille, caquillage. HOR ÎIOKDONG nOnPL iio Hodung. g., grand V. b., HURIT g., ronds, jaunâtres. dernières lueurs (l'une l'ampe qui s'éteint d'alrmont, scintilder. faut-e îirbr^e fruits à HORHORI b., HORMBÊT, HQ^OMBÊT, mm Ndoh être saumâtre. y. n. horm- eau sauiuâtre. bêt, IIOROM Fèp ou pèp ii Yaphi horoni, salaison. Dèn ii horam, gèd'u horom, poisson soilé. Dëg horom, tên ii horom, saline, Il — saune rie. du rer, V., iseil, grain de horoTi}, Au sel. mettre outrer, exagé- v. , seil. saler, t. ,fig. mentir, en faire accroire. HORQMAL, V. sur la tête et par derrière, qui recherche ,1e sucre. HOS, V. t. haïr, détester par superstition certains ainmaux ou certaines substances, parce que on èn mangeait cela porterait malheur. Du-ma lèkà ntokèr, môm hl hos, je ne mange pas de perdrix, c'est ranimai que je si hais. HOS, ibrutal, b.. brutalité, iHOS, V. racler, graiter, ra- t. décrasser en raclant, râ- tisser, Hôs toi, râteler un champ. •HOS, V. Os et Bos. t., lieux meaux petit fruit rond. chemins ne. dans HOROMÉ, HOROMIT de ala est à salant. salure. V. t. IIOROMPOLÉ clou champs. être n. V. V., ÏTOROMLO, les g., saler. giroflier, horompolé un arbuste très épineux girofile. feui'Lles et -Le surtout à graines très odorantes avec lesqueliles les négresses se font des colliers. Syn. Nof, nden, ndénégidek. HOROMRAD <g., connaissable à ses xibles, arbrisseau re- rameaux iflle- quadrangulaires et can- HOROMiSAP g., arbuste des les ra- ; un par Son écorce don- ne une matière tinctoriale jau- HOSËT, de HÔSI, V. V. les égratigner. t. ratissure. râc'ilure, faire râcler. t. HOSUKÂY U HOT, effeuiller t.,' riz. HÔSIT V., HÔSLO, V. TOL, râteau, creux, profond, au moral et au physique. Mpah V. être n. kambâ hôt, TTiiU précipice, gouffre. loi, ce puits Hot nopu, V. est être mulé, rusé, HÔT, nelés. terminés sont tiges faire moyen arbre g., un peu humides espèce de grande fourmi noire, qui «lenieine sous terre et qui fait de grandes t rai née s dans les et — sauvage. cruauté, sauvage- incivil, rie. HOS quelqu'un. HOROMDQM, HORONDOM, être crueil, barba- n. V. re, teler. pour saler t. r Tên gni hot, bi hoi rvâ très profond. fourbe, dissi- fin. n., tremper dans un liquide. à de coudrier, nombreux fruits preissés à iVaisselile des feuiilile;. Syn. Vilèn u mhet. feuiilles HOT, HOP, KOT, Duh nà hof, adv. super. c'est tout-à-fait ' HOROMUKAY b., salière. HOROR V., grande fourmi blanchâtre avec un point noir droit, iperpendiculaire. HOTÀ b., coque vase vide, vide. Hot'i sakii, sac (vide). Hol'i butêl, bouteille (vide). Jloi'u hopa, tête de mort. HoVi ndu6 . ou c;u\ipaœ ryiàr, écaillo Il Cl F, <k' IIOTAKU, Y. HOTIKU, clér. de iIlCFAL, HOïAL, IIOTLO, V. appro- t. quelqu'u rendre profond. fondir, HÔTAY Hotœy rot, l'infini Ilûflô JIOTI, V. du prochain. de déchij^r. tation HOTIKU, HOTÀKU, Hotiku — déchiré, êire réf. être taré, se b., déchiré. très chure. iHOTIT V., lambeaux déchirés, morceaux déchirés. (HOY, HÛY, Syn. Sêy. HOY, jeter des étincel- n. V. n. être délayé. V. , HUHUM, adv. super. huhum, bè HÛHCT ton et de HOYA'L, V. délayer, détrejn- t. — Syn. Hiv. per. b., délayure, fossette b., joue. Syn. HÔYMTÂJV b., ver feu-follet, V. n. parler tout geuil, des gestes oomime si on était en cdlère contre quelqu'un, disputer, déolanici, crier con- liUiL, HOYI, V. être q. pâle hâve, liULË, V. HUB, I n. /gercer. V. — b., ger- réprimander, adTuo censuîer, uroiide'-. n'esler, censiJ JIiiraJM. l. e. — -em HLLFKAr décharné. i'nir*^ b . ^les re réprimande^» ui--.^ grondeur, qui b., réprimande. IIOLÏ (L) Y. Hôl. çure. HUBÉKU, HUBÏKU, réf. ÎIUiLALAT, V. mon! r nue^. 'luisant. v. ^t p. ilLILO, di'sputer être gercé. se gercer, V. V. dépouiller, n. *tei' peau. être se suiperl. Magct quereller, se une altercation, en dissension. pute, HUBIDAS, aJv disputer, se r^'r. a\ec. brouiller, avoir HUBI, laltercal'on, — b., dis- discorde, est très 'vieux. querelle, désunion au moral. Kn la ru', 'ruga né ko, hulô (fur il nev, SI quelqu'un le HUDONG parle, et na bè il du (menNôhnôh. faire gourin:iii(]er, ,sauce. la Magèt na est très-âgé. Il la , tre. les. iM 5e h., l.ernie tesliculaire, — déchirer. déchirure, accroc, écor- b., tondr-e, F BET, os des pomiiLeù- HUlllN et p. ise r lie veux. rupture. Sejmdalén du dindi huhân, la culbute n'ôte pa-s Ijl hernie (Prov. \'ol.) v. n. avoir une hernie, une rupture. action v. vM, V. i"r,> *HLG tondre. faire t. faire mortifier. htiiièh, tes. mettre en pièce, écorclier. Hoti dèr u dâmhûr, idéohirer la répu- — ^tondeur. v. llCFF, déchirer, lacérer, t. pour abnégation. couper profondeur. to-ndre t. b., IICFLO, chenal, bas-fond, b., V. KÂT JïCl majesté de Dieu, personne ne pourra i'iapproifondir. HOÏÉ bop'â, se ij IlCFi^L b., (profondeur. kèn du ko Yalla, tondre, couipor les t. mortifier. Iloti. u v. obeveux. Hûf banch u grande tortue. hiihidas, V. ou, bè huhurn, liODONC broulFerie, que 'u ripostes, la dis . — ÏIUL lOI — HUP, pute arrivera vite (Prov. Vol ) Yobanté, bu ta hulô (vmé, déjà vient une dispute dar, quand pour une conci mission, c'est achet'îe. esit HU'LOKÀT relle u r , o., (Prov. Vol.) d.sputeur, que- loh ica ne u r V. t., sommer. HUR m., petite HÛiR, 'V. 'vallée, m., couleuvre, serpent non venimeux. HUiLÔLO, v. t. brouiller, mettre en dispute, faire se querel- rance, se rouiller, s'oxyder, ranmoisir. Hûr n\â bè bidâv, couvert de moisissures. Bât hûr, voix enrouée. Syn. c'est b^i Homâk. HORAL, HÛRLÔ, faire 1er, v. enrouil- t. rouiller, faire moisir HURALÂT, HULALÂT ler. HULOLOKÀT canal. n. être rouillé, moisi, cir, HULOL, HULCL, HULÛR, (Dân u) soiuimation. b., HUPÉ, changer de peau n. V. HUPÀ iil qu'elle nus b., brouililon, se- meur de discorde et de HULTU, y. n., parler querelle. seul :ivec gris v., que l'on atti che aux cheveux pour se parer HCtRAY b., HURHUR v., rouil tout objet gris, lure, moisissure. colère. HUMBÀ, HOMBÀ, n. v. HURËT, être bruyant, retentissant, po^mipeux, en parlant de fête ou d'homimes qui font beaucoup de bruit. Bès hii humbvi, jour so- solennel, lennel. rendre solensolennellement, v. t. nel, célébrer avec pomipe. HUMBÀiL V. t. allumer et fumer une pipe dans laquelle il coqueluche. d., — HURFÂN v. n., b., rhume enrhumé du cerveau. HURHURI, V. n. se vanter, être de avoir HUMBAL, avoir la coque n. V. — luche. fanfaron. la — jactance, g., faire jactance, le van fanfaronnade. terie, HURHORLU, v. réf. faire blant de se vanter. fanfaronnade. ron — b., semfanfa- ; n'y a rien. HUMBAY b., pomipe, HURIT solen- nité. HUN, hun, cela adv. super. sent cela très nà Hasav — les déjà hasav hè né huîi, cette chose est une infection. HUiNÂB, V. HUNDÈL g., t. et n. bel arbre très épi- neux qui se couvre d'épis raux d'un beau rouge. On filo- ap- pelle ses graines bel u ,dân. Les Noirs qui oûi Nday comme nom de ffamil'l© n'y toutohent pas par superstition. HU^NGHUNUR. Y. Bolul. HUJVÏI m., tunnel. HâM. , V. t. épMer, arracher cheveux, dépllumer. Syn Vèf. HOS, passer tricher. Horèl. HUS, mauvais, pue excessivement. Lef H V. iHUS, (L) b., lime. Syn. V. t. limer. v.n. marcher dans une rivière ku ko hùs, che dans (Prov. toy, la Vol.) gué. à l'eau, Gêt, quiconque mar- «mer sera mouillé. Ku dogé Ndakâru, dèm Doâhâ, rungà, var nâ hûs S Oman ak Fa^nà, celui qui part à pied de Dakar pour aller à doit marcher dans l'eau aux rivières Sômane et de Fasna. Haré bu ibépà hûs né dèh gia, JoaJ, dœv, toute l'armée a passé la — HUS rivière (pour se sauver. tion de passer passer dans HUSÂiBÀ très — g., ac- une rivère ou de l'eau. b., vêtement long et ample. ser la — HCY HUSU, V. réf. fee déplumer. UITT, adv. suiper. Lendem nà huit, c'est très ténébreux, tout excessivement fait obscur, à sombre. HCiSUKAY b., gué, HtSU endroit guéable d'une rivière, d'un mirigot. A.na hùsu bà ? où est d'endroit 162 où rivière à l'on gué i^eul ? pas- HUTA <b., nombril, ombilic. HUTUH V., fruit du baobab après que HCY la fileur est détachée. (L) V. HÔy 1 1 I, neuvième î, çais, brève ou ordinaire, voix la volof, a la valeur de l'alphabet lettre représente î la î de Vi fran- même voix prolongée. IND I voyelle finale de radjectif I, défini indiquant que l'objet est présent, ou que l'action s'accomplit au moment où Fm vi, le oheival l'on parle. présent). (ici Vah bi, la paroile (qui moment. se dit en ce Dû V. I, sufï. I, iRNi, suff. qui, ajouté à verbe, un donne souvent une lui contraire siignitfieation gnification sa si- Dâdy ipriimitive Fatâ, dédlouer. dâdiy clouer, à boucher un trou, jatarni, déboucher un trou. du plur. dans signe part, I, noms indéterminés, des / nit. des hommes. I ker, des maisons, s'ajoute à l'adj. poss. et num. les l'î comme suTYva signe du piluriel. Fèy nà hor yépâ, j'ai payé tou- i mes tes dettes. Am nâ éurom — adj. bèn'i nêg, j'ai six cases conj. au pilur. et quelquefois au sing. des, du, de la. Vah i maig de paroles , Mbâh vieillard. i mag yà, coutume, usage des anciens. Fas i bûr bâ, les chevaux du Fas roi. des rois dèf, — c'est M an i ? i bûr yà, ? adtv. toi qui du man les chevaux Yâ ko interr. l'as di, R. fait. dés. contr. p. ipX, 1 i V. n. épeler. IFÀR, môme sanhâ, kôn nga gis ko, vandé îh nga, si tu étaiis venu tout-à l'heure, tu l'aurais -vu, m'iis tu arrives trop tard. IHAL, YIHAL, IHLO YIHLO. V. retarder, railentir, t. faire traîner en ilonigu<iur. ÎHAY, YIHAY b., lenteur, dé- longueur, ralentissement, relard, retardement. lai, ÎHKAT, YIHKAT lambin. IKÀT, YÏKÀT, qui est b., lent, — b., IL, sanigflot, adj. conj. ILÊR, ELÊiR V. n- sangloter- soupir. V. ÂL instrument de culture, consistant en un morceau de fer aplati de 12 centimètre de diamètre avec une oreille qui is'enfourche à un b., manche. Syn. Lhahay. IM, avec ses dérrvés. V. ses Ëm et dérivés. IMISÂJV et IMSÂJNU, sân et Ëmsânii. IN, suff, qui, Ëm- Y. ajouté à un b., épel- quant le mode d'action. Doh, marcher, dohin, manière de marcher. INDÉ, même que Yindé. INDÊTI, v. t. ramener, rap- a lion. Yaur. ; verbe donne un substantif indi- ? i. — lambiner, tard se ralentir, traîner en longueur. Sô nev on oe moi n'est pas moi. I, Ig, conj. V. A g. IH, YIH, V. n. être lent, difarriver férer, retarder, tarder que Ëfâr, Yéfàr, porter, apporter enct)re. ITÉ INDI, V. t. apporter, amener. Bayil sa vah di, lëgi mu vndi hulô, tais-toi, bientôt tes paro- vont amener une querei^le. Indi nâ ko, je l'ai apporté. les ISA, INSA (A), nom que les mahométans donnent à JésusChrist. ISI, V. apporter, i. amener. INDIÂLÉ, INiDIVÂiLÉ, v. t. apune olvose en même temps qu'une autre, amener, ISILO, perter ISKIN apporter avec 5oi. Indivâlévu-ma darû >ti yân vile, je n'ai rien apporté avec moi dans ce voyage-ci. Sô dê nev, war ngâ mdi- IT, suff. qui, ajouté h vâlé sa jetai, INSA V. plaît )IR Isa. Dieu }_^, donne un faire même ! apporter. que Ëskin un I ver- donne un substantif exprimant le résultat matériel de l'action. Dama, briser, damit, be, brisure, IT, morceau ITÀ, V. t. brisé. .frapper, don- INSALarabe, s'il IT, ITAM, adv. aussi, même. Man ! acacia très t. ner des coups, maltraiter. expression ! à toi ALLÂHU, INSA, LÂHU tu viens, il faut ton fusil. si apporter avec V. dont le bois itam hegà nâ dèm aldanà, moi aussi, je veux aller au ciel bon icharbon. Les ITÀ b., mâle de l'oie. fruits (Sont noirs, arrondis et re courbés un peu dans IRMANDE, Y. le bout. Yermandé^ YIS g., espèce de panier cônique pour prendre du poisIS, son. ITÉ de d., (plaisir sensation, sentinTient ou de peine, appli- cation, égard, attention, affection pour quelqu'un. lté' timent d'amour. iitofèl, sen- K dixième K. comme lettre en français, l'alphabet de voiof, prononce exactement se avant soit aprè^ une voyelle soit consonne K, le qu'avec la. initiale de Tadj. kii ko homme, l'a fait. singulier, dans au K, NK, préf. qui, ajouté à cer- KIL, quellquefois quand a Baal rna sumâ baalé kàl ma commander, nkélif, commandement. Parfois cepen- laquelle. tantifs. envie. Elif, dant ce k n'est qu'une lettre «uiphonique employée pour évi ter la rencontre de deux voyelles. Kîm, këm pour yim, y'ém, rm, pour doliii nà, il augmenté. 'K, pour àk, adj. indéf. et conj. KÀ, KI,KU, adj. déf. le, la. ^fe s'emploie qu'avec les mots nif, kef, kefin et quelques pronoms. Nit ikà, rhom.me (là), nii Dolikii s'es^l l'homme (ici), nit ku, l'hom(dont lia distance est indéterminée). adj. rel, qui ,que. Nit kà ma gis, l'hom- ki, me — — — — — — , iTie que je vois. , , , , , pron. KUL, employés pour kâ, ki, ku sont sujets et qu'il y la phrase. ils moi mes donne à voyelle, KU, dit ? ce pas qui sais amphibologie dans comimençant par en fait des subsAnân, envier, kmmn, verbes tains une ne je dèf. KÂL, \locutions no- .les minales et le nom indéfini. Kef. NU kà ngën gis on dènibii ti sumia ker, l'homme que vous avez vu hier dans ma maison. Hamu-ma laquelle. lequel, rel. Elle -ne s'emploie mot le ka. KÀL K défini ak, : ton. offenses comme Ku Ku ko vah ha. KO, KÀ du verbe, la 3® à la, ko ko, donne-le le ilui. Dèf nâ ko, KUS, pron. latin) cujus à elle. lui, remets- je l'ai fait. Kus (en ? à ? KÀLÉ, KILÉ, KULÉ, adj. —— — , ? gilé ker qui est cette maison et rel. ce, cette. rég. j^ers. lui, interr, à qui P pe^s- roi. pron. (L), île, l'a qu'est- ? P de celui du ipron. poss. Ku'bûr qui ? di Yésu-Kristâ que Jésus-Christ dém. je paroffensé. m'a celui qui <pron. interr. qui, lequel, KU, Doh nâkà ma pardonne- tôn. i , , dém. pron. et rel. celui-ci, celle-ci, ce- lui-là, celle-là, qui, laquelle. que, lequel, , — KOK KÔKA, KÔKU, me dém. que la oéden-te), ce, ceitte. — — , prc- pron. , dém. celui-là, celle-<là. D. Kôku kan la ?qui est-ce ? (qui est celui-là ?) B. Man a, c'est moi. D. Yov a kan ? qui es-tu ? R. Man Biram Sèn, moi Biram Sène. KÔKALÉ, KÔKULÉ, que dém. .pron. KA5V ? qui a, pron et qui ham Kan l'a ikmi a ko dèf, ? Lëgi hega yôl, falL là interr. laquelle? -lequel, ? bientôt vous saurez celui que je veux récompenser. Kan ak kan? Kan kan a lesquels ? 5G — les- ? KAG KABAN NDOMBO dont fruit le acide KABAR grande KABAR, V. t. Molli. KABIADA, V. n. avoir l.i gne, ctre teigneux sur la b., teigne sur la tèle. je — , 'î> sonne KABKABOR KÈNÈN, adj. et pron. indéf. un autre, une autre, quelqu 'autre. Vah ko kènèn, dis- le à un m., Stni N'dag(tJ)(rr, KÉPÀ, adj. et pron. indéf. tout toute, entier, entière. KÀS, KOS, pron. poss. Sumâ sa kos, le tien kos, le mien sunu kos. le kos âm, le sie i ; ; ; nôrtre kos, ; le sën /e s, le vôtre ; sèn leur. KÀBAB, blague, hâblerie. Ba- ré kdbah, blagueur, hâbleur. for- KADA Syn. pélican, lu. acacia épineux dont g., feuiMes tom'l)ent avant l'hivernage pour ne repousser qu'après les pluies. les KADA pelé noyau du g., S\)i. !\'pii. fruit ap- SiiJ. KADA g., liarjiDîi ou gros japour pêcher, foène. Stini k adà I , l a rp o u ne KADOKADO KADU. \ oiseau jaune tonner n. . 7' b., ; v. t. en pari/mf de D'.eu. YaJIa katu nâ, Die Dieu parle. 1.1 K \l)l KAf^F parole. Dér. de g., couraîit de g., Adu. la mer qui va au nord (Dakar). KAÉT, KAIT papier, g., lettre, écrit, ca- missive. Kctèt u séré. certificat. Tabah u kâèt, rouleau de {)apier. KAÉTtKAl': d'ivresse. a.utre. de b., tenaille geron. hier, I;i lo:- IClo. — du genre moineau. ^gis, brebis, troupeau. maudire. Syn. n'y ai vu qu'une personne Yolla kèna dâl là, il y avec un vera un seul Dieu. be négatif exprimé ou sous-en tendu, aucun, aucune, personne, nul, nulle. Gisu \ma ta kènâ, fje n'y ai vu personne. Ndah n'y a-t-il perkènâ Jièku fâ ta la forme du velot ? arbre la grande V., ciicvre par individu. KÈiNÀ, adj. et pron. num. un, une, quelqu'un. Kènâ nit rèkâ quelles g., a d'une poiie. KABOHÀ celle-là. celui-là, es't-ce ? qui est-ce ngën — adj. queHe quel, Kan dém. adj. plus expressive la précédente) ce, cette. encore (forme I (for- adj. plus expressive . dér. de KAF KAF ne. 11, V. M. Môme que chanceler Daétidaéti, Dayn. grosse chauve-souris. g., plaisoniorie bouffon- g., Dér. de KAFKAT KAFÔNG .4/. b., g., bouffon. courant de la sud (à Dakar). mer cîui porte KAGU'G TËRË, étagère de livre >. . KAil KAII musc, g:., porte-nuisc KÀTT, V. KAr/r. KAKATÂ'U KÀKOY ruûr et 4liovr-)lin ol raiiK'léon. 1., coco b., roiulier, (lu s-ec. KAKRIKAG crabe de pierre h., ou de roc lie. KAKU rire KÂLA KÂjL, «'^^^ éclats. de querelle ib., plaisanterie, raillerie innocente. KALA b, nom a des personne dont le rapports avec cellui d'un autre, ce c^ui leur donne beaucoup de liberté entre eux. KAL b., espèce de poisson un dard portant KALÂK un m a ga à n. V. KALAMBA KALANû g., le commis. être grande cueillère manger. calebasse. peLi'te b., KALAMÉ, V. réc. s'entre-que- par plaisanterie. reller KALAP, Y. KÀLÉ, adj. b., adv. KALÈRBET g., qui porte à KALNGAD, pa'lmier non huile. I superl. avec né. m., la hirondellle. genre de pois- sons qu'on lrouv<i dans les mai ve r n a ge rigots a p rès 1 KAM IN A g., esipèc-e de pourpier légèrement salé qui croît sur :1e bord des marigots. ' KAMIR 1 i premier jour où b., circulaire confidentielle des b., KAMPA ; ma- gros isoulier de solgros pain rond. K^AuMUL BOPA (kâ, arnul) Y. dat. — Sohmat KAN I., b., ii gêt, dame-jeanne, potiche. KAN, adj. et pron. int. dér. de b.. K-\N, l'est v. (à la mer Dakar). n.~ boiter. g., trou. régime ses et inter. quand ? quel temps ? à quelle époque depuis quand ? Kaû nga ilev à ? ? quand es-tu venu ? Kah ma kan nga géd à dangi Mes ta dibér ? dis^moi combien y a-t-il de se le as Dimanche entendu la MesVav kan, oui certes. Syn. mollet. NUL b., Y. n., temps que tu courant de huile avec (mûres, tendres, à b., il. des griots. KAN, adv. fait S oh a. KÂM KAMBON m bois Ton Mhélar. KALÔR préci- en rrv.o callebasse se renversa. KALÈS gouffre, Kamb'i Um, ga,leau de KAMBA, Y. Hamhà. chanter les louanges de quelqu'un à la manière Lèkèt gà né nà kàlep depu, Syn. abîme, )hôt, dér. rentrée d'un puits. KALEP, gu dém. voùte et divers maîériai;x à KO.'VjAH. . super. Fèy n-a kamat, c'est dieirit ioul d'un coup, en pariant du feu. KAMBA g., caverne, croux, cavité, citerne dessécji6e. Kajnba KÀ, Kl, KU. KAN, NKAN Kilip. et pron. de Kâ, Ki, Ku. KALÉNG \ rabouts. si il. pour servir adv. l'on aperçoit la nouveiiLe lune cpieue. la commis dans b, (an.) RALAKU, L KAMAT, pice. n., V. KAMAll du noix sans KAN A H b., porcelaine ou coquillage univalve très poili. 'KANAM g.,, face, figure, visage, physionomie, devant, avenir, présence. Kanam ëm déjà supaliku, sa figure change. Kanam u haré, le front d'une armé^e Ti — KAN kanam (loc. prép.), devant, en en présence, par devant. Nàhà mu ? Di inga néméiï a fac^e, lôlu dèf oonriment en ma H suma kanam àm ? tu oseras faire cela ? iprésence Ta kanam, en ? avant, avant, au devant, dans la suite, à Nà dèm l'avenir. ku- nam, souhait à quelqu'un qui éprouve ou croit éprouver du mieux dans sa maladie. D. Nékâ nga dèf ak fêbar <hi ? R. Lôlu haré nâ. bu hâh. R. Ndok ! rva m ^èm kanam D. comment vas-tu avec ta fièvre ? R. Cela va beaucoup mieux. R. Tant mieux! que cella continue d'aller toujours de mieux en mieux Dén ta kanam, faire avancer, pousser en ! i5? — coup sec sur un objet dur ou tendu et sonore. v. n. frapper en mesure des coups sonores avec le pilon du mortier. — Dèm kanam, progresser, continuer, avancer toujours, persévérer. g., devamt, parties sexueilles (terme honnête). KANÂiN g., envie, jalousie Dér. — KAiNG la déf, lexpression pour dire que quelq'Ue chose est à point, est à l'état où elle doit être. ^ KANGAM b., prince, noble, puissant d'un royaum;> KANGKÂRANG b., kakrlaque. cancrelat. KÂNI — g., graminée très coupante. g., amitié. Dér. de Anéâ. KANDÀ g., vénérienne, KA^^DA espèce de maladie siphilis. Syn. Siti. gomibo, hiibiscus , dont le fruit se mange cuit, mûr ou avant maturité. Le kanda Oila oukanda sauvage donne des fibres. KAJVDÂB, KAIN.DÂMÀ d., cein- ture ou grosse courroie en branches de ipalmiers à l'aide de laquelle on monte au sommet des palmiers LI piment. b., danse sossée. b., danseur, KANSOLÎ, KANSO'LT, KANTOg., KANKURANG g,, gros rat. KANTAN, KATAN, g., pouvoir, puissance, capacité. Dér. de An- tan, A tan. Kkm (F) g., canon. Ndur M kânu, canon ade. KANU de A<fiân. 'fe\NANÀ KA.NDÀ , KAiNDO g., amitié mutuelle, accord imutuel. Dér. de Anda. ! avant. KÂR ' pour en " cueillir le vin. KANDÀKÀT b., qui a une espèce de maladie vénérienne, KAJVDA'NG, adv. onom^atopée qui imite le bruit que fait un v. pr. s'applaudir, chanpropres louanges. KAP, KAPÈT (né), bruit que fait une iporte en se fermant. ter ses adv., RAPAS, hermétiquement. Tedu nà kapas, c'est her- métiquement fermé. KAR g., sorte de sabi« ou épée. KÂR, KAR KÂR, adv. superl. exprimant le superlatif d.ms l'abondance et la beauté, en même te mips que le souhait de la continuité dans le bonlîeur et la préservation du malheur. Baré abondant. Rafèt beau. Sa malân rafèt nâ loi kâr, ton "pagne est magnifique, Tubéb yâ sop^on kâr, être très kâr, être très nànu sumâ dôm lôl, ndégé hô'm kârkâr, les blancs maient beaucoup mon fils, loai- à KAR de a use 39 main belle sa — KARUGÈN (ik)ur Dugup baré nâ rên îôl kâr, il y a du mil en abondance cette année. Ce mot est KAS, écrire. souvent employé tion pour malheur à n'arrive pas chose en question. KARABANÉv discorde, — sous dabaler, n. v. semer la parler ou agir en des- comploter, intriguer, intrigue, oomiplot, g., cabale, Nit complo- cabaleur, détracteur. d'intrigue, teur, KARÂM, par — de engourdissement ib., le être engourdi n. V. transi froid, le par homme karabâné, ii KAS KAS pron. dér. poss. petite floche. g., couscous trempé avec g., un peu d'eau. KAjS g., destin pers.onniifié, sort, aveugle hasard, Kas dapu ko, km >dapu la. le destin ne l'a pas possé<^lé, ne t'a pas possédé (pour agir aveuglément, tu savais pourquoi tu 'as agi). KASA, KASAMANSA (Casamance) dérivé de Casa (portumaison, gais), froid. mansa causé chef. habitation, (manding) et grand roi, KASAK, ohant froid. iKARASKARASI, v. n.,' écrire. KARAV g., farine de mil granulée à gros grains, avec laquelle on fait la bouillie appelée Buy. g., cheveux, poil (à S. Louis). KARBAT b, sorte de saibot indigène. — des nouveau» éniigmes qu'on leur pose ipendant leur séquestration. circoncis, KASAR malheur, g., perte, infortune, accident très-fâcheux. KASKAS, KASO KASU V. t. tirer au sort. cachot. (F) b., g., endroit d'un canot réunit pour être KARÉGÊN g., perce-orei'We. KARFU b., Y. J/ar/u. où KARAtË KÂT, adv. pour bien exciter Tattention sur ce que l'on dit, beurre végétal, ou beurre de Galam, il provient d'une sapotacée du Soug., iKARKANDAL fant, girouette, tant, \oIage. KARKARi, b., puisée. l'impor- n'oublie pas ce que je te dis entends-tu ? au reste si tu l'ou- ce ! V. n., faire tu blies, KARMÈL g., sépulcre, mauso- (F) KARNGAL, seau. — b., b., tion cadenas. tourner le fuaction de tourner v. t. fuseau. KAROS (F) g., carrosse, char- tout espèce véhicule avec des roues. rette, peux être sûr que rosserai te persévérance, tombeau. KAR\ÂT se jouet d'enincons- homme tant. lée, l'eau que l'on demande ou ce dont on menace, etc. Bul jaic li ma la vah kàt ; ko faté, di nâ la duina kat ; na nga ti tahav, kiât! dan. le KARr.GÈN. V. KOvS, de Kà, Ki, Ku. par supersti- qu'il la KAT chariot, de ; je occupe-t-en avec fais-y bien atten- ! KÀT suff. qui, ajouté à un verbe donne un substantif désignant 'l'iagent. Ligéy, travailler, ligéykât, travaiîleur. KATA b., mâchoire supérieu- re de l'espadon. — KATA h., coqu-e du fruit du baobab brulce et pulvérisée pour être mélangée avec le tabac afin de lui donner du piquant et un arôme plus ou moins agréable; tabac en poudre ainsi préparé. V. n. préparer le tabac au — , kàtà. nm lu ma kâtâ, inay pris, lu ma kâtà Amu~ma hob i quoi je n'ai pas de bac, afin donne-m'en une que j'aie de quoi rèk'â, du faire ta- feuille, faire un peu de tabac seulement. KATÀ, à V. tirer les t. oreilles — bien V. KATOR. KATORO Syn. KÀV expri- nclv. inant le bruil: qi'e l'on fait sus. bkàtab rèkà la di dohé. Yali toujours du 'bruit avec les pieds en marchant. fait KÀTABKÀTABÏ, avec marcher empressement. bruit et KATAN, v. n. Kanfan. y. KATAPLANG h., cataplasme, et des poil, certaines g., KÀYÉ, n. v. KÀVÉL, KAVÉLÔ, haut, exhausser, KÀVÉLÉ, ses V. mentir. KATIKÀT KATKATl rendre avoir des cho- KÂVTÈF prodig., miracle, merveille, événement surprenant, extraordinaire. — I exclamation de surprise d'admiration, et gieux prodi- c'est î v. déf. viens hây-lën, ; venez. chanceler, de h., serge. KAYKAYÉ, ne pouvoir s-e v. n. tenir faiblesse. KAYOR, ancien royaume de Sénégambie. Sotèt u Kayor, absence de menstrues. Dér. de la h., g., -menteur. horripila tion. Tah à kalkati, iiorripiler. KATOL, KATOLI, KATUN b., ceinture de paMîe tressée. Syn. Bosi. t. ge, KAYKAY, , t. v. élever. placées haut. KAYKÀ — éléva- tion. le , être haut, élevé, émineht, sublime. KÂVÉAY b., hauteur, bras balancement du corps et des pendant la marche. KATARKATAR! v. n. marcher en balançant le corps et les bras. 'KATI v., mensonge. v. n., cheveu, vhevelure, Haine. KÂY, adv. indiquant localités). KAV AS b., ibas à chausser. KAVDÈR h., chaudière. emplâtre. KATARKATAR, oa^ hau- cime, superficie, (dans interj. balancement du corps b., Ta kâv^gêt, en haute mer. M en ngâ làalgu ta kâv rôn gilé ? peux-tu grimper au sommet de ce rondier ? Vahâl ta kav, ndah népâ dégâ li ngâ vah, parle à haute voix afin que tous entendent ce que tu dis. avec en marchant-Fa/i kâta- (L) ifemme débauchée. haut, dessus, sommet, Ta kâVi en haut, sur, desKàv Yalta, firmament teur. lait KÀTABKÂTAB. les /pieds ig., surface, Satâ. de beurre. V., espèce de pierre rouigeâtre, ferrugineuse et volcan iqiie. m., garce, KAVAR voler, prendre le t. d'autrui. KATÀ KATA KÈB tin, quelqu'un. KATÀ, lé i6o .4}'or, Aidor. KËBÀ V. Y. Kobo. KÉBÉRÉ b., variété de riz. KÉBET b., espèce de fruft du pays. — KKD KFHA manchot. Syn. Gàrendre manchot g., — fjfi n. V. «stropier. KÈÉ Ton endroit où ce que l'on a de trésor,' vb., c-onsei've précieux. k., chose, en pard'une personne dont on ne KEF, KEFIsN lant rappelle pas le nom. KEF, GEF, V, t. gober, attraper avec la bouche ou le bec ou les griffes. Dolonker di nâ kef se yobu, di lèhàj l'éperla viande et la mange en d'emportant. yapà, vier di gobe KEF, V. gnement. KEFIN KÊG n., plaisanter V. Kef. (né) loc. mali- complè- (né) loc. adv. lâkà yâ, arohanige. Kélifâ dot la, la lâlé nga sô ko lâlé g^anu, gafm,, le chef est un rocher, si tu le touches, tu seras blessé, blessera. id te s'il te touche, m Mbôlay gu amul kélifâ mô di yaram vu amul bopâ, la société sans un chef est un corps sans KBLKÀLIT V., chicot, reste d'arbre, (morceau de bois, gros tison KEH b., bosse, KÈHÉ b., (minime KÈKA la terre 1., ou terrain dur et sec. KÉKÈNTU, V. n-, plaisanter avec quelqu'un à qui on doit du respect. KËL arbrisseau à baies et durs, à te ui lies de g., à noy.jux très bouleau. iL'écorce donne une fibre très iforte qui sert à faire des liens. KËL (L) g., V. Kil g. KELÀ b., sébile, petit vase en bois, |>etite Kel' a mbonât KeVa bopà KELÀ, ca'Uebasse, g., adv. b., bassin. carapace. Sûr kela, être très -rassasié, très-plein. KÈLÈ g., KÈLÉLÉ d'osier. perruche. Syn. Toy. b., rharmite. Syn. Honit. KEM AH, espèce de saule Bérèb u kèlélé, saus- et V. s. coup poing, donner des coups poing. iSyn. Kurpén. de de KEMAHANTÉ, v. réc, se donner mutuellement des coiij)s de poing. KÈMBA' b DAHÂR b., Kemb'u dahâr, \h., cheval brun ou bai. KËMTAN, KÎMTAN g., étonnement, admiration, surprise, prodige, merveille dér. de Ëm. KËMTANU, r admiration, KÉMUiR KEMÛS crâne. super. éteint. KÉM g., phalange des doigts KÉMÂDO g., .grattin, lond de somjne d'argent. saie. KELEP tement. Ndafaleii ârn iruu kelep suh, sa petite pirogue a complètement chaviré. KÉLIF g. (dér. de Élif), chef, commandant, supérieur, président, maître, magistrat. Kélif'u pàrêtâr yâ, pontife. Kélifu gâl, capitaine de navire. Kélifu ma- aux rire éclats. ou — tête. kefin. V., i6i cur. Nêg b., n., être dans l'étonnement. espèce de figue. V. (né), loc. v., être obs- bi né nâ kemûs, cette case est dbscure. KÈiNÂ, adj. et pron. num. dér, de Kâ, Ki, Ku. KÈNDANDO, réunion d'homAdunà kènâando la ; m mes. 63 gudé, yépà mâsé, le monde est une réunion d'hommes quand ; fait il ombre. g. KÈNDÈNG, KÈNG du du igenre tiges arbuste g. Kèl, à bois mais flexibles, — V. bien différents. dur <i KÊNÉ b., »umâ këné Dà dêh, le désire autant qu'il est en moi. KKiNÈN, adj. et pron. indéf. de Kâ, Ki, Ku. KÉ>jG, KÉNDÉNG, adv. super. Deher kéndéng, lêtre très-dur. KÉNGKfiNGl, V. n. sonner, je tinter. arbuste dcjnne une excellente tisane diurétique. Syn. Séhéo. KÉO g. tubercule petit, !ong, amère, d'une chair un peu mais qui devient douce par la cuisson. iSyn. Nambi alâ (manioc sauvage,) ngolgol. KÉP, adv. su p. parfaitement, exactement. kép, tout à fait égal, exactement semblable, la g. (m.), infusée feuille Èm pareil, KÉP KEPKEP, KËR g., KÈR, V. y. précis, juste. b., couteau dans petit le genre du Satu, KÉPÂ, adj. et pron. indéf. dér. lépas, loc. la la KÉRÀ, KÉRO, KÉROG, l'autre jour, n dôlé rèk la nu ham, ils ne naguère, ad^. dernièjour où, rement, récemment, le jour que. Kérâ rèka lâ ko féku ta ker gâ mu di tavat vèt â\m gu dô-n mèti, c'est l'autre jour seulement que je l'ai trouvé à la maison se plaignant d'un mal de côté. Kérâ bâ nga agsé, mu dal di fêbâr, le jour où^ tu es le 'la «fièvre d'à Kérâ du ju- pris. Yalla, le jour gement dernier. KEREMDOM KÈPATALU, V. KEPÉL g., supériorité. Kepèl Sampâ ker, se Borom ker, maî- maison. Vâ ker, personmaison. Lâ ab ker, enceinte des cases d'une famille. Dèm génav ker \gâ, aller faire ses besoins. ( t. honnête). KÈR V. lNKÈR. de ne de tre mpénl'um trébuchet. n. trébucher. la prép. chez. arrivé, (b., de ; KÈPÂ, KÉPÉ, V. t. pincer, becqueter. Dnngôp di nâ kèpé, 'le KÈPATAL coquille. n. crête 1er, cri poule après avoir pondu. KEiR g., maison, demeure, hagroupe bitation, ilogis, domicile de cases..4na sa ndèy ? iR. mungH ta ker gâ, où est ta mère ? R. elle est h la maison. Tm nà ta alà bâ, vandé tavul ti ker gri, il est tombé de la pluie dans le3 champs, mais il n'en est pas tombé ici à la maison. Ta ker, de Kâ, Ki, Ku. crabe pince. voltiger. n., V. Fofâ. fixer, s'établir. KÈNKÉLIBÀ dont supériorité bijuges et coriaces, ses capsules à graines rouges. KÈPLÈP souhait. désir, ko ëné bè la feuillles Kèng. KÈNDU (au sing.), kèndu yen (au rplur.), salut du milieu du jour, de ce qu'on appelle belék. dér. de È\ndii. Y. aussi Darâ. ma connaissent que de la force. fruits à KËR KEP I NÉY, liane remarquable par ses tiges anguleuses, ses nuit, tout se nivelle. KKNDAR — m., gros boyau. câprier dont le fruit est regardé comme un poison et cependant 'les oiseaux en sont friands. KÉRÈN g., . R Ki KKRI^ (iu <h.»rljon l., nm Dcudal i03 kcrin, de le o\[)riiiit^ .-hIn. un (ia^,^^ KERKE'RI. ])nit.s. n. se V. pour rebelle b., donner du roccupalion, être alerte, aotif, ne pas rester sans rien faire. Kerkeri-lcn hadèl yi, bu lën déki nônu loho nën, don nez- vous du jeunes gens, b., mouvement, soyez actifs, ac ti V é e n i p re s se ne n t — • i'i j'éprouve KETU i , KERKlKERTfi b., nouille, ai>itation, KÈU, (('('--. g., (dér. KËVÈL a deux tien, l'on chrékértèn, religion chré- i b., KERCS, KURÛS, KRUS, super. Lendeni nà soimbre. kerù.'i, adv. il fait très KERUS chasser V. g. terme KËS, KURUS. employé pour poules. le? KÈS, y. n., gratter la terre la manière des poules. KËS à (F) g., caisse, bière, cer- l'autre noire le long de chaque Kévèl g à ia g et dan a menu ko dnm, la biche qui est à la mer, un bon ohasseur ne peut l'atteindre de son coup: (Prov. Kl, adj. déf. et rel. pron. rel. Kip, KIT, V. t. coup de pied en l'homime. — — , , donner un parlant b., de coup de pied. série de poissons ou animaux ou objets enfilés à une ficelle ou osier. KILÉ, adj. et pron. dém. V. g., autres Ka, Ki, Ku. Kîséy (L). KILIP, KÀLÀP, adv. super, avec né. Mokal bè né kilip, amollir complètement. KLMTÂN, Y. Kënutân. KTNDINDOLO g., liane grimdont les branches sont couvertes d'une foule de petites fleurs rouges en cymes très bel- pante cueil. KÉSÈNKÉSr.NC g. plante dont gousses sèches remplies de petites graines servent aux males mans pour amuser KESIB ïie. leurs bébés. il., te aussi côté. RIL tienne, chrislianiisine. que- de biche qui l'une blanche et V. Ku, Ki, Ku. KËRTM, KËRTIEN Kta) (!o g.,. espèce raies, Vol.) révérentielle. picotle- bon jour. V. lo heures, Dara. KÉiRO, Kl^.ROG, V. Kcra. KËRS g., ((dér. de Ërm,j déférence, honneur, pudeur, lioncrainte des de Ë), au plur. du Tnatin jusqu'à empre^seinenT. nêteté, vépUtngê fuseau. kèii yen, salut de niouveinent, dé- picotter, yararr^ ments dans tout imon corps. nioiivomieiit. KÉRKËRÂN n. V. manger, Suma kèlkèli, <ch.'irlK)n. KiERKER, descendre K!T KÈTKP/n, bois. arh(M<3-inoi — KEISTA'L v. n., èlre enthousiasde toute nouveauté. KÈT g., KET, V. KÉTÂR placénta. t. V., ronger, voler. tamier, taminier. les. KIPANGA que de h., attaque brus- nuit. KlRNDt b., iourniqïiet. KIS KÎS, terme employé pour exciter les chiens. KITIKANG bl«u foncé. b., étoffe d'un KON KIT — KITIMBA éléphantia&is. g., avoir réléphantiasis. KO, (pron. pers. dér. de Kà, n., V. Ku. Kô, contr. ip. ku nga. Ko gis, loc. pron. (quiconque tu vois) Ki, chacun, quiconque, tous. Kô gis à gis dèfa gadu nâr i fêtai, cha- KOBI de — ou instrument de cul- b., un champ cultiver V. n. , grincer des n. V. Rakakaki, Syn. grincement des dents. dents. KOBO, KEBÀ son KOLDÀ b., mauvaise maladie de poitrine qui se communique. KOLÉRI b. KOLINKOK — labre, V., nageoires à Y. (kola). toucan, genre d'oiseaux grimpeurs à bec énorb., me. espèce de v., mou- che ou moucheron qui fait du bon miel. Kolkolâi yégul né yembà hâh nà, le kolkolât ne que pas s'ajperçoit bonne riz. KOBKOBI, koléri bedaine, gros b. KOLKOLAT cun porte deux fusils. KOBÀ b., hyppotrague grande antilope. ture. KOiLÀ ventre. l'abeille est (qu'elle aussi fait du bon miel). (Prov. Vol.) KOLKOLI b., b., glouglou d'une bouteille. KOLMÀ, pois- dorsales épi- V. en-jambe. t. Syn. donner Lahu, le — crocg., croc-en-j ambe. neuses. KOBOS (né) loc. v., tirer ra- KOLÔR b., espèce d'anguille longue. Syn. Sîg. ' pidement KOD à soi. (né) tendu. Bûm yangè né kod, corde est très tendue. très la KOP, v. t. KOLOT, être raide, v., iloc couper îes liquiTeau, met ire de des avec de l'eau dans certains liquides, comme dans de l'eau-de-vie, du Sangarâ si kodangu-ilu eau - de-vie n'est pas encore fraudée. b., action de couper un liquide avec de l'eau. sur la — KOKÀ b. noyau du rondier , ou d'autres Hêh. gros fruits. adj. et dér. de Kà, Ki, KOKÀLI, V. n. pron. Ku. faire un pied de nez. KOKO 1., coco. KÔKU, KÔKULÉ, dém. dér de Kà, KOL v.. afin de lui faire mal. étoffe adj. et pron. Ki, de Ku. soie. g., coup de poing. KOiMBAFAiRA b., variété de gros mil. KO-MP b (F.), KOMUNÉ b., munion. la la — , V. boussole. sainte la t. et n. Communion, Communion. KON, KONTÉ, part. sainte Com- donner recevoir sainte du conditionnel, KOKÀ, KÔKÀLÈ, dém. Syn. t. KOMAH, KÀMAH lait, etc. ko, icette (l'œil lutte, presser du doigt de son adversaire dans V. et v. signe pouvant «e par quelque fois dans ce cas. Di nà ko kon dèf, su nia ragalul kon, je l'aurais bien fait, si je n'avais pas eu peur. Agu-la ta dek^u nangam, ndégé kon ûu dapà la, tu n'es pas parvenu dm« tel village, autrement on t'aurait pris. Sô dohé bu bâh, ko72 nga traduire alors, : l\0\{ men à agà ygaparii bàhV (judé tu marches bien, tu pourras arriver à Ngaparu avant que la nuit arrive. KO?sDIRÀ (L) 1)., chaudicie. 4ot, si *KOSdÔNG, V. Kong. KOXDORO'N, espèce de KOxNFÈSÉ v. , 'n. — pécJiés. tendre (F) se confesser, V. , les génie. confession. b., dire ses confesser, en- t. péchés. KONFËSÉKÀT qui entend les confesseur, h., confessions. KONFÈSÉ'LÔ V. faire t. confesser. l'endroit b. confession- l'on se confesse, nal. — lo centimes, ploce de les — .. navi. décime, isros sou, Kopar bu rëy, ou simplement bu rëy, et (à S.Louis) derem kopar ; kopar bu dit aussi : tût et (à S. Louis) su tût, cinq centimes, Pâhà sou. petit bilé dar na durom i kopar ak bu tût^ ce couteau coûte 55 centimes (cinq gros sous et navire en V. un petit. doubler t. un cuivre. doubler en t cuivre pour quelqu'un. KOPIN b., dinde, dindon. Ko^ tbu gôr, dindon. Kopin bu digèn, dinde. Ntut n kopin, din« pin KONFIRMÉ sacrement (F) b., de confirmation. V. t. confirmer, administrer le sacrement de confirma- — , tion. — rouge. cuivre. Ko. i KOPARÉL,/v. KONFÈSÊUKAY où Kopar perem, bu vôh, zinc res. KOPARÉ, se cuivre b., matière à doubler par On Svn. Tin.. — KOPAR b., V. n. recevoir le sacrement de confirmation, être confirmé. , KONFIRMÉKÀT administre la celui qui b., confirmation. KONFIRMÉLÔ, v. faire t. re-^ cevoir la confirmation. KONG b., espèce de poisson portant un dard à la queue. Kông-kâré, autre espèce de mauKONG, KÔNDONG, kông, c'est adv. super. tout-à-fait sec. jeûne, carême, géme. l'année musulmane, Mâm. i kôr, (grand-mère àii kôr), 6éme mois. Ndèy i kôr^ (mère du kôr), véme mois. KORAY 1., graine, semence de cotonnier. g., de KORBÀ me à feu. arme b., — , amorce d'iune ar* v. t. amorcer une. à feu. KORDONDONG, KOROM. V. BAL. fruit sert yeux, et les g., arbuste dont île remède pour les feuilles pour la pur^ de galion. KOM b., fruit du rondier avant qu'il soit mûr, contenant une espèce de gelée tendre et sucrée. KONONÔNG, b., KORI, mois de Tannée musulmane, qui suit celui du, jeûne. KCRITÉ V., poisson. KÔNTË, V. Kôn. KOPÀ, 1., rat tout KOPJL, KOR mois KORDO vais poissons. Vôv nà donneau. tasse. g., qui suit fête mois du jeûne chez les le musuil- uians. petit. KORKOR pour ! interj. faire arrêter expression, les chevaux, , • KGB KUP l«s An«5, les bœufs, etc. rt les faire boire. pour KORNDÈ b., bourrelet. KOROP g., corail. KOROL g., bouole de veux — V. t. boucler quelqu'un. à V. réf. ranger ou boucler KOROMBAL bouse sèche. iSyn. KORONG, ti fëy KOROTI, '^^ n. KOS KÛS b., V., sec, Kordôndôngf —, nager enbri- le ami intime. espèce de taon, gros moucheron. .KOSOMLU, KUSUMLU, v. moue, être morose. n. KOSTÀN b., mer l'a espèce de morue. b., KOT, adv. super, ou fixité pour expri- l'inébranilabilité d'une chose. KOT, V. qu'un de KOT, t. retrancher à quel- V., V. espèce de poisson. t. couper le chemin quelqu'un pour le |)rendre. KOTÀBAR/MÀ, rusé compère, subtil, raisonneur, qui a toujours des répliques et qu'on ne à peut jamais convaincre d'avoir bè froid. être être tordu n. V. décrépit. — au dé- b., KOTOMAL, KOTOMLÔ, v. t. tordre en parlant de l'effet du soleil sur les peaux. KOY b., bourse des testicules. KRËNKRÈNG jute. g., KROTÉ, KOROTË, v. n., donner des coups de poing sous le nez ou le menton. KBUA (F) b., ha, G.igne KRr'>î de croix. ila Rcd'ii croix. !:i.,pelotte, peloton de fil. KRf.S, V. Kerûs. KSI NSI N b., espèce de biche rouge avec des cornes ilisses et pointues. KU, ndj déf. et rel. pron. reL Y. Ka, Ki, Ku. qui, suffixe ajouté à un grand nombre de verbes se terminant par une voyelle autre que â, leur donne une signification passive ou réfléchie. IJhi^ ouvrir, iihiku, s'ouvrir, être ouvert. Sumi, déshabiller, sumiku^ se déshabiller, KUBÀL être droit, g., déshabillé. coutume, tribut. Syn. Bâh. tort. KOTAHTÉ, KOTANTÉ, v. caresser, cajoler les femines. b., liv crépitude. Kll, V. Hot. KOTÀ, — KOTOM, soleil, sa solde. KÔTÀ de vre, frisson. éperon de coq ou d'autres oiseaux. KOT Dà ma fièvre. kotkoti, je tremble knui humeur morose. «moue, — — faire la g., ou de claquer des trembler, de dlaquement de dents, b., tremblement 'de froid ou de fiè- cheveux. battre n. V. grelotter, che- Syn. Bëy. quet. KOTKOTI, di deux eaux. tre une longue coquille en spirale. froid crottin b., b., écrevisse vivant dans che- se faire arles mer de dents, les , KOROLU, cajoleur. b., KOTI, KOTIKOTI KORMARI, terme générique pour désigner les européens. Kormnri digén, une européenne. veux. KÀT cajolerie, KOTAHTÉKÀT, t. • — KtjD, V. KUDALI caresse. KOTANTE KUBËR - sons. V. UBÊR. t., b., esquiver. genre de pois- - KUI) KUDAN, V. la maun trou clans préalablement surchauffé. KUDU am kudii g., - Kènà du cuillère. personne ne se brûle les doigts en se servant de cuillère. (Prov. Vol.) Su dul kon bâràm uh déy, loho di kudu, sans le pouce la main serait une la — di laka, Lu am gên du i/co yengal ? Kudu. Qui a une queue et ne la remue pas? La cuillère. (Énig. Vol). cuillère. (Prov. Vol.) sordide, KUMBÀ-SUBÂN, KUiMBUDU ib., nkuk, KULANDANG de navette Ki, Ku. vénimeux. KULÈNTÂN son. C'est un arbre à poigrand arbre res- g., gousses bivalves renfermant beaucoup de graines pendantes. Syn. Tctli fruits sont des Ndom. (m.), KULFËTÉNC, KULI g., ma- ladie vénérienne, suite de la si- philis. KULUKULU vert g., arbre des terres fortes et très humi- Il a de grosses graines renfermées dans un fruit arrondi. KUMA b., chef des nouveaux circoncis, chargé de les défendre contre les sorciers, les mau- des. vais génies. peiii fusil de Umpâ), g. (dér. mystère, ce que l'on ne connaît ni ne comprend. Lôlu cela est là, pour moi, Dèifikumpâ b., je un se- n'en sais rien icuriosité. Dhfi- kurnpa, <^\plorer, scruter, chercher à savoir ce qui se passe, ce dont il Baré s'agit. mystérieux, kumpà, curieux. il semblant un peu au ditah, mais ses g., KUMPÀ cret de espèce héron qui b., vit gros oiseau ou de lièvres, de por^sons, etc. KULBAHAV m., petit serpent et poulaip léger. sumâ kumpâ KUL, V. Kâ, petit vient de nattre. qui et couscous de secret, tisserand. vfert g., oiseau vpetit noir et brillant. KUMBOKAL m., son KUMÉ, KUMI très -s a le. KUK Syn. Kurnali. KUMÂRl, (L) <g., tamarinier. b., tamarin. KUMBA b., cotillon, jup«. fois. liane. Syn. Sôantu. ^KUK, adv. super. Nûl nà kuk, c'est très noir. Tilim kuk, être pour sarcler n., V. troisième KUMB PAR, herbe que mangent volontiers les chevaux et les ânes. Syn. Gên u mbàm. KUMBÀ NUL, une vernonia en té KUFÀ b., porte-«monnaie. KUH (L) m., canal. KUHAS (L) V. t. coudoyer. Km KlJMADl, cuire à t., Maures ïîièro (les 167 est niâ kumpâ, Dènkàt « KUlNDÀ g., chèvre sauvage. Ndav-kundâ b., noble au Valo. KU NEKÀ, loc. pron. chacun. Ku ti nékâ, un chacun. Derem angôgu mA lën ko may, nâ ti ku nékâ deL fiflin, voici une gourde, c'est moi qui vous la donne, que chacun y prenne un franc. KUNÈKËNP:N, pron. tous ensemble, plusieurs ensemble. Ce mot semble formé de ku nèkâ et kènèn, chaque autre. noyau du KUNGAM b., KUNGU b., ser de l'eau ul. pour puidans un puits. seau KUNKUNÔ, V. des revers 'l* buntâ yalal t., kunkun- frappe ba, à l'a KUNTU b, sorte de jeu où cequi a imanqué à une (convention doit céder ce qu'iil tient lui ou un objet déterminé, à son partenaire, dès que celui-ci iprononce le mot kiintu. la iinaiii, KUPÉ b., pelotte, balle. KUR g., pilon. Ta kur gâ dekà 4ip ,(« indèl nu dog, au premier coup de pilon du matin nous partirons. Lu di yôtu Yalla ta ieleg Ihè ta ngàn té du ko dot ? Kur. Qui s'élève du matin au pour atteindre Dieu et n'y soir parvient pas ? Un pilon. (EiUig. Kur ag fètàl, crosse de fu- Vol.) sil. KURI V. g. KURKUR couvert KÛR Fôg duvet ferrugineux. KCR, terme employé de :pour a p pelle r les KURKURI reille. inerme arbre g., — , poules. g., tintement d'o- n. tinter dans l'o- V. reil'le. KURPËN b, coup de Lëgi ma dôr la kurpèîl, te b, je vais pugilat, se donner mutuellement des coups de poings. KURTUTUM g., KUTUÏUM g., cartilage. KURUP, •en v. jparhmt du n., riz. être alentours. les environs, les b., Kurukâra bilé, bu défends de rester dans les environs. KURUS^., chapelet des mahométans. yo>nâ kurus, réciter ce fi tahav, je te chapeilet. KURUS arbre de g, Casa- la mance dont les graines servent aux mahométans à faire leurs le nom de l'arbre. KUS, pron interr. dér. de Kâ, Ki, Ku. KUS V., anus ( t. trivial). KCS V., génie nain doué d'une force extraordinaire. KUSKUSÂN V., fourmi lion. Syn. Ndombôr. KUSKUSr, V. n., chercher partout comme une poule cherche où pondre. KUSUMLU, V. Kosomlu. KUTÀ, adv. avec né Lêkà bè kurus, d'où manger bîr né kutâ, avec gloù- tonnerie. KUTATI dans le b. dos. coup de — v. n., un coup de poing dans KUTÈMBI, V. t., poing donner le dos. rainer, évi. der. poing. donner un coup de poing. KURPËNANTÉ KUY KURUKÂRA frapper avec doigts, porte. à — 63 KUIN sableux, KUÏI nom b., qu'on donne aux tout petits chiens et aux petits de certains oiseaux. Kuti u bahoû, petit d'un corbeau. KUTUTUM g., V. Kurtutum. KUY (L) b., hyène. Mpahàmkuy, (tanière de l'hyène), nom d'un village petit près Ndangol au Gap rouge. KUY b., taureau. de , , L L, Onzième lettre de l'alphabet volof, conserve toujours le son naturel qu'il a en français, et ne prend jamais le son mouillé. la, al. L. se prononce par expiration et par aspiration : LÔL L ? Lu tah ? pourquoi ? qui est cause ? Lu tèré ? pourquoi pas? qui empêche ? Lu tèré nga fiev ? L final, dans la conjugaison négative est ordinairement remplacé, au Saloum, ipar t. Bâ-, hut pour bâhal, il n'est pas bon Nêhut pour nêhul, il n'est pas agréable. L, consonne initiale de l'adjectif , commençant par Ndam nd, nt. dôr la, gauche. pour là, âl, mesure ou — conj. LÀ, LI, LU, adj. déf. le, la. Ndap la, le vase (éloigné). Ndap tif relatif la, li, vase (présent). Ndap lu, le (dont la distance est indéterminée). adj. — — — , que. qui, dây on, la , Ndâ et rel. ce, cette. jarre dém. , nga la un mensonge. lequel, rel. — , —, ? — , dém. pron. et rel. celui-ci, celle-ci, ce- que, lequel, — — , laquelle. interr. Lu mu don? Lu mu vah ? que dit- , (LÔLÀ, LOLU, adj. dém. (forplus expressive que la précédente) ce, cette. pron. dém. celui-là, celle-là, cola. Lôlâ rèkà lâ begâ, je ne veux que me LL, pron qu'os-ce , laquelle. Lilê'k làlé, ceci et cela. que tu m'as vendue. Lef li nga ma <vah, fèn la chose que tu m'as dite pron. adj. — — — lui-là, celle-l;j, qui, ma la, est di- lu. LÀLÉ, LILË, LULÈ, vase rel. la dul, hor- , le li, Lu mis, sauf, excepté, si ce n'est. pron. poss. de la 3® pers. avec un nom. Lu Pêr, celui ou celle de Pierre en parlant d'un objet dont le nom volof a pour adjec- la indéf. ul, adj. îl, la mension), environ. AL V. L, suff. 'L, Ntamon la droite. montrant rvd, Ndèy- gloire. la, la — mu usiElle est peu accompagne un cernombre de mots primitifs dérivés ? pron. indéf. ce qui, ce que. Lu bâh, ce qui est bien, le bien. Lu bon, ce qui est mal, le mal. men â don, quoi que ce Lu soit, quoique cela puisse être. Lu day ni, autant que cela( en Elle tain et pourquoi ne viens tu pas la. le, tée. ou il . cela. , , LOL 70 LÔLÀLÉ, LOLULÉ, dém. adj. encore (forme plus expreisive que la précédente), ce, cette. '^, pron. dém. celui-^Ih, celle- 1^. LAN 'Lan interr. Ti lan ? ? ? on chose, c'est la, mô- la un. tout c'est num. pron. et De.gâ vandé lèn'angâ ta, c'est vrai, 'inais il y a une chose à observer. là, LÈNÈ.N, un une autre, autre tre, LÉPÀ, autre, quelqu'au- adj. et pron. indéf tout, am, tre le mien le "los entière. ; sien le sën ; los, ; Swmâ poss. sa los, sunu tien le los, le le vôtre sèn ; ; nôlos, LA, pron. pers. rég. te, a* toi. ^fay nâ .a 'ru, o '-i jO cjtnite. nâ pe-rs. la, Gisu lu. la LËN, pron. Du-ma Vous. — pron dans la voix nég. ko, tu ne l'as pas vu. je te prie. , suj. V. pers. lën rég. vous, à niay darà, je ne vous donnerai rren. — , pron. pers. v. suj. à l'im- dans la voix nég. Dèfu-lën darâ, vous n'a- pératif et vous. vez rien tên fait. Rôtal-lën ma ndoh puisez-moi de l'eau dans ce puits. Bu lën ko ko rotai, ne lui en pas. puisez Bâhii lën, vous n'êtes pas bons. LÎ^N, pron. ipers. rég. les, leur, à eux, à elles. Di nâ lèn fi dahâ bi, nom népcL, je Doh nâ lèn des chasse- ku ti nèkâ 'derem, je leur ai donné à cha ^cun une gourde, ô lèn, appelrai tous. le-les. impers, et déf. c'est. moi. Tivbâh la, v. la, c'est un nous. / c'est arbres. — 'le mode sing. et du du la, c'est sont des sert à con- ce la, aux. v. , pers. la Nun blanc, garap juguer objectif pour p\, et pour la 3® plur. Yalla là so- pà, c'est Dieu qu'il aime. Yalla la nu sopâ, c'est Dieu que nous aimons. Yalla là nu sopâ, Dieu qu'ils aiment. LÂ, pron. pers. v. de servant pers. mode à objectif. c'est la i® conjuguer le Yalla sopâ, lâ Dieu que j'aime. Tëré lâ bindul, c'est une lettre que Je n'ai pas écrite. Bûr lâ, c'est roi que je suis, je suis LÂ, contr. pour roi. la â, lâ a, lâ di. LA g., langue. leiîp. "^ân LÀ, c'est LÀS, LOS, pron. los, indôf. chose. entier, toute, pron. et adj. LAB Man du ? LÈNÀ, adj. un, une. Lènâ me pron. lequel, laquelle ? qu'est-ce ta, quoi — et adj. ? quel, quelle — LAKÀ g., de la u dmi\' filet de la filet Kènâ du dog la personne ne coupe le langue à un serpent. L tb., chevrons sur lesquels on tresse la voûte d'une case, liane de bois ou bourrelet de même dimension fait avec de la contre lequeil on tresse l'entourage des cases. Sd dugé H nêg, yûh ; génâ, yûh ; dô ham nâta i lâ a ta nèkâ, si tu pleures en entrant dans une case et im sortant, tu ne sauras pas combien il y a de chevrons. pai'lle, (Prov. Vol.) — b., lâ iib ker, enclos, enceinte des cases d'u-ne famille. L ses sol g., arbre toujours Aert ; branches retombent vers le à la manière des saules pieu reurs. LAB, v'. n. se noyer, être s'embourber, s'enfoncer, aller au fond. Gâvâl à musai hanoyé, . /(/ /•(>/' toi d<3 noie dans ia hh (// hi, ta d('h la L.\B, V. LAB, V. bu der, pur, être lâb-â-ldb, V. LApLÔ, cœur pur. vierge très pure. V. V. iLApSl, v. veni- denia-ider. , LABÉ v. abbé (F) b., t. ecclésias- ; dégà ta priL- \ )ules les et je possibles, pu appr^ncire rien n'ai j'ai lef, là de~- Hamul ây nâ, vandé lâdtéul ko rav, ne pas savoir est m au-, vais, mais ne pas demander est sus. tique. ILA-BIR bonté de cœur douceur, huma- g., mansuétude, a (Prov. Vol.) interrogation. pire. nité. tion, LA-^BlR, n. être V. bon, man- humain, sensible, compatissant, avoir bon cœur. Là nà bîr, il a le ca^ur suet, clément, candide, Mô tendre. oh c'est bon cœur ! LABU, ndèysàn lâ-bîr, ou lui elle qui a ! un V. se purifier, tfai- ko indi, la honle <-t l'ignorance sont le partage le celui qui ne demande point (Prov. Vol) (b., demande, in'ierrogation, réclamation. — LApAH?NiDAKU, V. t. v. aller n. ('oulei lemander, b., demandeur, in- terrogateur. iLADLApLU, de — pro-. b., LAÉKÀT b., défen^ avocat, V. LAÉTÈN LAÉTÀN, basse t. demander, faire f,em d'interr cale., b., moyenne. LAF homme g., puissant, fort. Syn. Borom-Dôlé. LAF m., aile de volatile, nageoire de poisson. iLAF, V. empêcher. hibition, t. défendre, prohiber, b., défense, pro-^ — — empêchement. champ pour > piéparer un interroger. LADKÀT (Prov. Vol.) ipiaidoyer. seur. •LAD, V. t. demander, interroger, réclamer. Gaiê'k hantadi, LApi, m., espèce de lézard, LAÉ, V. t. plaider, parler en faveur de, défendre une cause. Dekâ laé tahtil à èy, plaider le. premier ne fait pas gajgner le ces, pr., queS'. b., Syn. procès. Hasavân. V. ses ablutions. a LAÉ (L) Y al. — ! LABSÈNT g€r. demander ^oi. s'informer. Lâdtél, prends des informations. Lâdté, nn lâdté bè tayi, te t'ih>il ma informations blant laiie t. t., dessein de l'épouser. aller demander, iire l LADTÉ, v. t. questionne^ coiisuller, demander axec iasLnico s'enquérir, lâdul t. ou interroger poar noyer, enfoncer, pousser vers le fond. LABAT, V. t. courtiser une persone, aller la voir dans île LABAL, LABLO, r'3 (ieni/ji. ;i interroger. LApLU, teindre, anlev t. interroger. à faire soleil. purifier. t., n. clément. Hal bu lâb, Hêk XApLÉ, hate- oot coucher du le (jn, enfant qui se rivière. Lab ii dén- samer ture du riz avec appelé g (dan g. LAFAN, v. n. être , v, /la t. cul-, l'instrument: infirme des. jamibes, être paralytique, paralysie des jambes. — b., . — 72 LAG LAHAL, V. i. être dans malaise après une ivresse. cheveux sur du front pour at- tresse de V., deux les côtés LAHANTI ou des ob- tacher des grigris, de parure. V. courir. Là<jà 'II. LAHARNI, ét anche r LÀGÀSI, V. n, accourir, venir se réfugier, avoir recours à. ôter V. LAGI, clus, n. être estropié, per- V. membres aToir des LAHARTI, V. LAHARNIKU, morts. estropier, t. LAHAS, paralyser. im- défaut, vice, g., perfection, défectuosité. LAH, n. se faner, se flétrir, V. être fané. Ntôrtôr yilé lah nailu, sont fleurs ces LÂH — LAHÀ cheveux derrière Y., grande que Vôn les LAHÀ. l'ai entortillé. de passer frein, V. dans la lie. mors, bride, pour un cheval. mors bouche d'un cheval. brider, mettre le LÂHAL, servir à V. Dô ma feras-tu t. faire quelqu'un de lôhal àm mensonge, b., intrigue, chicane. homme menteur, fourbe,, Nit lahas, i in- trio:ant. LAHA8AY b., iien, cordon, courroie autour des reins. LAHASAYU, ceint, iLAHASU, tillé, v. être p. V. entor- être p. s'entortiller. LAHATAKU, s'en pr., v. pour ne s'esquiver ler, et réf. reiindre. se LÂHIRÀ Ijaiililon t. — fourbe, d'intrigues, plein chicaneur. ^ — ba'n- al- pas voir quelqu'un. oreilles. d., iien, b.; être n. V. menteur, V. Lakhà. LAHÂB — entortilleînent, dage. tresse fait da'ns lier Lahas nâ ko, je sens. LAHAS, de farine de mil. Lâh bu ruyu, bouillie très liquide. Lâh bu èm a may, lâh ub digâ-lomu, bouillie tenant le milieu entre le ruy et v. t. faire la le gadarni. bouillie avec la farine de mil. Ku lâhul lèku, lâhtil dây, ce lui qui ne fait prss de la bouillie pour manger, n'en fait pas pour vendre. (Proiv. Vo'L). bander, entor- t. les bande, dé- se réf. V. enlacer, tous flétries. bouiltlie b., déche- se l'ivresse. V. plier, tiller, LAGO LAHARTIKU. veler. saltérer après iLAGILÔ, t. enve- détortiller. détordre, se v. une bandage, détordre, réf. désaltérer, I. après l'ivresse. LAHARNIKU, V. te. un loppe, lut- l'i V. soif la LAHARNI, ,marcher grave- t. l'arène avant re- mettre. ivà ta génar kcr y à i>aii]ia, il a couru derrière da maison tantôt. LAGAT, ment dans que boisison b., le prend un ivrogne pour se jets LÀGA, LA II ou cuire la bouil-' ? me ne pas de la bouillie ? ie future. adjinii, Ku mô on Idhirâ, plus terre, la dans (Prov. YoL). LAHU v. di est t. Irdr ta grand roi plus on sera Kolmii. es- monde. donner un Syn. croc-en -jambe. ti dàni di l'autre clave en-jambe. :]''n g eu sur monde, :nitre {]., croc- — b.y LAL l.VH LAKA LAKA U LOHO b., avant-bras. g., V. La g. idiome, V., langage, langue, Van «dialecte. di a {ak'u Kayor } quello e«t la langue du Cayor. R. l 0/0/, le voDéga lakâ, connaître, salof. voir une langue. Bât bu amiil lakà, mot qui n 'appartient pas une langue, qui à est parle. LAKA, brûlé. V. être brûler, lakâ nâ, n. Sumn malân mon pagne est brûlé. brûler, embraser, — v. — i»on; LAKÀKAT Labrûleur. charbonnier. kérin, II kàkât Lakâkât u mbûra, boulanger. LAKAKÂT b., tout étranger qui in'est pas du pays, et qui parle une autre langue. LAKAL, v. t. parler une langue pour. Lakal ko Sérër, parle en Sérère pour lui. LAKALAKA b., brûlure, lub., mignon. LAKALAKA, V. Lakèniân. LAKALÔ, faire brûler. LAKALU, V. t. faire brûler pour soi. apparaître en sortant de derrière un obstacle. Gâl angâlé di lakarniku, voilà un bateau qui apparaît à la pointe. V. t. v. pr., attaciier .gne derrière le cou. — le b., pa- ma- Vol.). LAKAYU, LÀKU, tacher cou. réf. v. pagne le s'at- derrière LAKALAKA LAKÈNTÂN, galère, molllusque rouge et le b., lé- ger qui flotte sur la mer et brûle quand on l'écrase ou qu'on le touche. LAKHA, LAHÂ, LAKHU, v. et p. réfugier, se ter, v. t. abriter, cacher. protéger, réf. se s'abri- mettre en sûreté, être abrité. LAKHUKAY de lieu abri, b., refuge, Lakhuhay retraite. u rab, tanière. LAKHULÔ, V. porter à se t. réfugier. iLAKHUSI, n. V. venir se ré fugier, venir s'abriter. LAKIT b., reste de ce qui est brûlé. LAL b., bûr di i lit, couche. Sûf la loi, terre est mô la reine des 'lits. (Prov. Vol.) Lai i dégèt, natte faite de jonc. Lal um ntèg, housse de selle. — V. lit, LÂL, port étendre t. faire à, vandé LAKARNïKU, LAKAY, terre. (Prov. t. Lakâ griller. brûlé siimâ matân, j'ai brûlure, b., pagne. combustion- Lak'âh bîr, lak'u marque nduduâlé, envie ou que il'on apporte en naissant. nâ j commun — v. t. langues. parler une langue. Volof lâ di je volof que le c'est lakâ, plusieui^ à nière de s'attacher le pagne derrière le cou. Lâkây 11 Y ail a halangu du^ <ko dindi, l'attache faite par Dieu ne peut être déquand on se vautre à faite un en forme t. toucher, avoir rapconcerner. SétaZ bu bâh, bul lâl darâ, regarde V. bien, mais ne touche à rien. b., de lit. action chement, de toucher, toucher. — attou- iLALAL, V. t, préparer une couche à quelqu'un, étendre quelque chose comme un matelas ou une natte pour quel- LAM L\L se puisse qu'il afin •qu'un, 'ooucher dessus. Lalalal haièl bi, ndah ma teral ko, prépare un lit à cet enfant, afin quo je l'y mette coucher. LALAN V., LAMÂN LAMARÀ rée LAMBÀ semble et ne peuvent se toupieds d'un cher ? Les trois chaudron. (Énig. Vol.). LÂLANTU, V. toucher t. en (LALAY TÂY b., imaillot, mbâmsef, àl LALTÂY b., LAY- 1., lange. Lallay LÀ:LÉ, adj. et pron. dém. Y. La, Li, Lu. LÀMBÀ, jeunes feuilles d., baobab que l'on fait sécher piler, pour (les mêler avec couscous. — toucher être g., baobab. selle V. droit où dànu, Lamba, té cm fà, qui tombe doit dire ne rien ajouter. reste, kii rèkâ nà né : ahan, dans la lutte, celui V. n'avoir ipas LAMBÀTIJ, V. comme : oui, et t, avoir de tout vendu. t. tâtonner, un aveugle, mettre 'l'épreuve, à Omatàl silmaliâ aveugle qui et côté. le Syn. LAMBAY tour de la si di LAMÉN, d'un lam deux petit ib., ilinge au- tête. b. (F.), ambre. LAMIN langue. Doipà lamén, être discret, savoir taire un secret. grand métal jam- conduis cet tâtonne de tout .L.\MBO, V. Limbo. Lcsnaén vu i palper, tâter, t. la l'on lutte. ta de LAtLU, V. pouvoir être n. touché, abordable, en parlant des bras ou des bes, Satà nâfiu sumâ ûâr hâlis, on m'a volé mes i bracelets d'argent. reste, lambâtu fu nèku, pour che- homme accueillant. ÎAM b., braceilet en do main. Lanubn dadul, mô gen à noy div, palper et ne rien prendre est plus tendre que l'huile. (Prov. Vol.) LAMBÀ d., grande lutte, en- scruter. val. autour n. armée. g., épuisé. V. Lembà. avec LAMBIRI b., V. LÀMBÀ, LAMBÀ, éprouver, Guy. ILALTÈG — pas n'être et relatif, LALO bas. Syn. Haré. tâter bât. tamtam gros le LÀMBÀLÉ, jouant, frôler. bigar- Lemes. b., fermé par i ndèy, yu bokâ, té lâlantêti-nu? Trois enfants de i tin. sont enia même mère, qui anguille 1., électrique. et iLÀMÂS, V. i f^èVi bas de les Nônes. espèce de poisson. LÂiLANTÉ, Y. réc. se toucher mutuellement, réciproquement, Yâr être contigu. yef yu andà ta leleg hè ta rvgôn, té dabédin i nag, fiu lâlanté ? Yâr deux choses qui vont ensemble du matin au soir sans se toucher ? Les deux cornes du bœuf (Énig. Vol.). NèVi dâm i autrefois, chef b., ou de région chez village ndav, Baré V., luette. lamén, être parleur, parler beaulamén, dire tout, Rat ah ne savoir conserver un secret. Nêh lamén, avoir bonne lancoup. gue, être flatteur.iVéfi laméfi ti ndây, nêh ndèg â ko gen, bon LAM LAP marché vaut iiii^^ux que belles paroles en fait de vente. (Prov. Vol.)- ftév laméfiy té név hêh, faire brave par le Yà di mayé alal, darâ &ahn ta kavaî' : taslàii', lohvi, ak lamén, \es choses qui p roc tifortune ne poussent rent la Vol.). de poil talon, le : la main et la langue. (Prov. Vol.). Nâ gôr ây bîr, vandé bu mu 1* homme lamén, peut mauvais sentiments avoir de dans son intérieur, mais il ne doit (pas les montrer dans ses ây (Prov. paroles. laméfi, il Vol.). ibonne a A^m imâ langue, il bavard. Laméfi mi dis, langue pâteuse. v., ipronon- est — ciation, Laméfi prononciation LA'MISO, V. une personne LAMPÀ àm 'n'est t., du sètul, sa point pure. s'amuser avec sexe. — lampe. b., huile de requin dont se servent ordinairement îles indigènes pour la lampe. LAMPIN (F) b., b., écheHe pour des- cendre dans un puits. LAN ? adj. et pron. interr. dér. de La, Li, Lu. LAÎ^k v., ipetit chemin, sentier. Syn. iVoZâ. .LANAR, V. LANDANG prosterner, loc. tomber la se v., face con- tre terre. v. n., être suspendu en l'air, être retenu par quelque chose, s'arrêter en chemin, au milieu d'une occupation. LANGÀ femmes placé en, c6té de. à LANGAL, LÀNGÀLO, v. sus« t. dre ide front, aligner, arranger l'un à côté de l'autre. de arrangement, ordre, b., rang tfront. LANGÂMU, dre se suspen- pr., Y. cramponner se à, tLANGÔ, à. se tenir bras- pr., V. dessus, bras-dessous. ILANKÀ, jambes, de bas Ban. V. aloi) LANKÀR écarquiiler t. — t. b., ancre de nu^ v. (F) les (terme refuser. Syn, écarter. les vire. tLANTÀ, V. n., ger entre le dîner et goûter, le man-. sou- per. iLAOKÂR cicatrice. '1., LAOTÂN convolvulacée. couyerte d'épines sur toute la tige les graines sont employées en Casamance, en guise de café, et comme laxatif. Syn, Lémélémé. Toute plante rampante en général. g., ; V. t. assommer à coup de bâton. (né), LANG, LANCÀ, être n. pendre de ma'nière à ne pas. toucher terre. iLANGAL, LANGÀLÔ, v. t. placer en ordre de front. LANGALÉ, v. t. ranger en or» LAPÀ, Lifii. a. l'autre. parole, et la être ipoltron à la guerre. (Prov. point lANGÀ, ordre de front, l'un b., grisgris s'attachent au LAPÀ, V. n. être maigre, décharné, exténué, dépérir, amai-. grir. Fas vu lapa, mô gen fas. vu rër, cheval maigre vaut mieux que cheval perdu. (Prov, Lapa Vol.). nànu, LAPAL, LAPALO, que côté. les ils sont maires. grir, Lèkâ faire fiah v. devenir mu t. amai. maigi<j. vov, asté tè.'.u- - LAP ngon ak dugupy di uà manger de 'l'herbe LAPÀTO, t. interpréter, interprétation, LAPÀTOKÀT matelot laptot, b., navires de guerre îles da<ns la colonie. LÂR b., espèce de gris gris ou amulette longue, bourrée de poils d'animaux. LÂR, V. Bahà. petite qui laissa LAULAU, purgatoire. d., b., charençon ou la viande mange in- LÂV, LAV, V. n. V. n. LARAHKÀT b., qui se nour- aux dépens d'autrui. LARÉ, v. t. tirer d'un coup deux oiseaux, attraper deux poissons d'un môme coup de ligne. LARÈT (né) iloc. en se laissant quelqu'un qui v., s'étendre comme aller manque de force. LÂiROLÂRO b ^ e u ve geai re passereaux d'Afrique à plumage très recherché. (LAS V., chassie. LAS b., gouvernail de piroV. t. gue. tenir le gouvernail, conduire une pirogue. . , une une place, LÂVAL, g., guimauve du chassieux. pilote d'une pirogue. T^SÔ (F) b., b., dignité. LÂVLO, A. faire t. filet. LAVAL, LAVLÔ, v. t. étendra de tout côté, propager en tout sens, faire ramper des plantes. LAVAY b., LAVTÈF pro- g., pagation, extension. LAOBÉ b., Laobé, d'une caste occupée spécialement à confectionner des vases en bois (mortiers, séLAVBÉ, homme callebases, billes, pilons, etc.) et à Hes colporter partout à dos d'ânes. pour pays. — b., sont appelés dans quelques loca LAVLÉ, lavhé. V. étendus jets avoir t. ou dés propagés ob ou rampant en tout sens. LAY. V. t. vanner. chaux. (LAT, v. t. donner des coups de pieds de tout côté en nageant, donner un coup de queue en parlant de poissons. Ces ânes cela mbâm u îités — LAS h , d'oiseaux LÂSKÀT épaisse belles. — pêcher au rit très pêcher au Met. s'étendre de tout côté, se propager en tout sens^ pousser de longs jets en parlant des plantes rampantes. b., extension, propagation, pousse rampante des plantes. LAV AH b., concurrent pour sè- che. liane g. fleurs ibleues LAPTO secte se b., interprète. LARÂF LARAH Mu né lat ti sûf; tomber par terre. LATANTÉ, V. réc. se donner réciproquement des coups de pieds en nageant. LATÉ, V. tq. être abondant. il de pistamaigrir un traduction. noir sur v. avec né. Expride se laisser tom- adv. l'action ber par terre. b., LAiPATO, LAT, me fait V. — LAY paille cheval. (Prov. Vol.)traduire. - Inpàlô sèche, fas, au lieu de la che et du mil, 176 a.AYDUR b., séné. LAYI, n. faire du Sô serein. irhdèlô, lèves te v. — ib., layi de lâj. là, de grand matin, mouillera. la rosée, ros serei si tu la ros — LAY L.\YIL0, v.t. tomber faire la rosée. LAYO, plaider l'un conprocès avoir un v.n. l'autre, tre van. Laltay b., LAYTAY, de dér. V. V. Lëgi. LÉ, syllabe finale de de 3® la forme de homme val ci. Fas là. 2® et la l'adjectif et pronom démonstratif. cet Nit kctlé, vile, ce, che- aux suff. verbes actifs et à quelques neuexprime l'idée d'aider tres, gratuitement, par complaisanLigèy, ce, pour faire plaisir. travailler, ligèylé, aider à travailler. Ajouté à un verbe qualificatif, ce suffixe lé fait entendre que le sujet a, non en lui-même, mais dans les objets auxquels qualité Bâh, ont allusion, fait exprimée par ïa le radical. bon, bâhlé avoir quelque chose de bon. Bâhlé nâ i dôm, il a des enfants bons. Ajouté aux verbes neutres, il signifie que le sujet possède ou subit dans un autre objet le fait exprime par le radical. Rër périr, être perdu. Rërlé nâ pakâ, il a son couteau perdu, il a perdu son couteau. LÊB, v.n. devoir ce que l'on être emprunté, a — avoir des dettes. emprunt dette, dû. LËB, d., fable, conte, fiction. ,v.t. raconter une fable. ib., — LÊBAL, ble V. t. raconter une fa- pour quelqu'un. LÈBAL, LÈBLÉ, v.t. donner à pour crédit. Lèbal ploie choses ou à plusieurs personnes ma Lèbal les dix juk'i derem, prêtegourdes (5o francs). Lèblé nâ ju de tout côté. cas prêter, s'em- particuliers nèke, prêté j'ai Y. Hasavân. parabole, pro. g. b., verbe, sentence, figure, comparaison. Lôlii lëbâtu' volof hà,. un proverbe volof. une parabole, par- cela est —v.n. ler Vôvalé, celui là. ajouté qui, LÉ, de. que lèblé se dit tandis quelqu'un qui a prêté plusieurs, LEBALEP, LËBÂTU, Lal. /LË, — moi ensemble. LAYU, 177 dire proverbe. par iLÊBATUKÀT, b., qui parle par proverbe. LÊBËR, d, hippopotame. LÈBKÂT,''b., débiteur. LÊBKÀT, b., conteur de fa^ bles. LÈBLÉKÀT, b., LËBLÔ, LËBLÔ, rendre débiteur, une v. t. v. t. V. t. prêteur. faire raconter faire raconte^ fable. LËBLU, une fable pour soi. LËB-ON, LËB-SM, exprès., pour proposer une fable, On répond pour accepter Lep^ on. Le fabuliste poursuit Am, on nà fi. R. Dân nâ am. La fable se termine toujours en ces Fi là lëb dohé tabi itH termes gêt, c'est ici que la faible a passé pour aller tomber à (la mer. On ajoute, bakân bu ko dekâ^ sion : : : fôn aldanà, tabi flairera le celui premier ira qui la au ciel. LEBU, Lébou, indigène volof habitant l'extrémité du CapYert et le littoral jusqu'au Ca/p de Naze. b., langage des Lébous. LËD, V. n. badiner, faire le, badin, être dissipé, léger, es». — — LED étourdi. piègle, — LED, V. dissipa- ou de ficelle. Au être impliqué dans des af- parlant de lig. fil faires désagréables <M difficiles. LÊDAL, t. LÊDANTI, V. LÉDÉMLÉDÈM, avec \. n. marcher LEDLÉ, — LEF V. dans l'inquiéinquiétude. chose, objet, affaire. cette chose, cet objet. Lej li, anga badin, espiègle. avoir de quoi t. être g., 1., tu, il là-dessous, il y a quelque chose s'y trouve quelque difficulté. LEFIN V., petite chose, que un nom que objet, expression titue h pas rappelle — petit l'on subsl'on ne se moment mê- au mot chose ver- balisé, expression provisoire dont me. n. V. , le en attendant le véritable terme du verbe qui n'est pas présent à la mémoire. LEF (K) b., lieu où (l'on dépose le mil avant de le mettre en grenier. Syn. Dâg (S) b., on se sert Dandâ (iL) LÉFOK, b. être léger, étourdi. Syn. Sifok. LBG 1., digèn, i lapin, lièvre. Leg lu hase. LEGÈT Tèg b., legèt, cicatrice, balafre. LÊ, adv. maintenant, à présent, actuellement, il n'y qu'un instant tôt, y a il ; incessamment. dèf lëgi, c'est ce bientôt, Môm que un je vais instant. m'en à re- la même, à l'instant, tout de suite. LËGLÉG, adv. souvent, moment, il maison. adv. sur-le-champ LËGILÊGI, présent lëgi, fiïê tout à fréquemment, de temps en temps. LÈH, b., né gab. joue. Borom-lèh homme n. V. yu joufflu! moite. être LËHAL, LTHAL, LËHLO, LÎHLô, V. t. humecter un peu, ren- dre moite. LËHAY, LIHAY b., moiteur: LÈKÀ, V. t. manger. Kây lèkà, viens manger. Hif nâ loi, may ma ma lèkâ, j'ai grand faim, donne-moi à manger. Lèkâ hèk, violer une vierge. Leka ngén, se parjurer. Lèkâ hé manger à satiété. Lèkâ bu bonne chère. Kay Si lèkâ, viens manger. on ne veut pas accepter, on répond sûr, nêh, faire toujours sûr nâ, je n'ai faim, je suis rassasié. — manger, manducation. iLÈKADI, LËKARI, v. n. pas b.,. man- ger peu, ne pas njianger. Sahlê- bu mu am, am, n'avoir rien; qui germe, ne pas manger, n'être pas guéri, ne donne pas de mil au ohamp que l'on a. véradi, tôl di, lèkâdi, dugup du ta jours amis. (Prov. Vol) Lel âh LÈKÀKAT b., mangeur. Lèngén, homme parkàkâst &b jure. balafrer. .LËGI, a ici LËH, LlH, b.. s'inquiéter, Lef déchiffrer. t., fierté. LËDKAT tude. passé Dar nâ Lëgi ma fïubi, tourner bientôt à rendre badin, léger, dissiper, s'entortiller, s'empêtrer, faire tomlier dans un guêpier. V. tuellement. a en être entortillé, «n. LËK I h., légèreté. tion, — 178 tanlâ di tu fais ac- LÈKÂLÉ, v. t. aider à marî- compagnie à table. b., loonvi-ve, commensal. LËKÂLÉ, V. L manger une chose avec une autre, manger ea ger, — tenir \ ' . — Lf:K iLF:KALÛ:K.\.LU, faire n. v. LF.KÀLÔ, V. Lf:K\NTÉ, minger. [.F:Kf:T t. (LËKHI, manger. réc. s'entre- grand-^ callebasse. ib., mon, i faire V. i)oiir travailler rest^ V., J.ËKUKAY de salle b., manger. à man- ger, endroit où l'on mange. iLEL 'b., bicoque, cabane, mauvaise case dans les champs de mil pour s'y reposer et s'y met- — Ire à l'abri. ib , case des cir- concis où ils habitent jusqu'.-i leur guérison. f\'à bakà lel, dèf nu di andâ bè môs, ceux qui ont habité la même guérite après leur circoncision sont toujours amis. (Prov. Vol) Lel âb chien du jetai, interj- ! ! V. dévaster, tion, capturer, dépréder une invasion, t. faire s'emparer bœufs, etc. razzia, troupeau "b., de des soldats butin, du capture, boire. à LËM, V, plier, t. mettre en fouler le mil en mettant au grenier. Syn. Sarouler, le da, degâ dugup. LËM, V. un enclos. entourer, t. faire IjEMÀ, adj. adv. entier, enS'emploie entièrement. tière, comme suit il Mbûru um : mâ, pain entier. Nag bœuf um le- lemâj entiei tout LÈM AL, V. plier t. pour quel- qu'un. LËMAL, clos V. t. faire un en- pour quelqu'un. LÊMAR b., lamentin, cravache de peau de lamentin, ou de la verge du bœuf desséchée LEMBA, LAMBA, v. être n. LELI, des V. LEMBÀLO, LEMBAL, courber, plier, d'un LEMBAY à LËMDÉRÎ, pays. ila — dépréda b., V. v. t. rendre courbe. courbure. n. être insou- étourdi. - b., insouciance, indifférence, étourciant, indifférent, derie. razzia. 'LBLEG s., matin Eleg demain matin. faire — courbé. moi. LEL, façon je : g., fusil. exclamation vous en supLêl, baal je t'en conjure je t'en prie, pardonne- fcËL ^U'pplicatoire une miel. Ku begâ lèm^ yemiba, qui veut du miel ne doit pas craindre les abeilles. (Prov Vol.) Lèm u goV. Tên télémân. m., caîo. vité dans certains arbres, où l'on conserve de l'eau de pluie plis, rr.KlT de trou- pillard b., némén bonne cent. rognure, V., peau. convales- être n. V. mœvii, ag lèkèt .grande callebasse le couscous. plie, LPir II LÈM •semblant de manger. Lèkèt LEM LELKÀT passe. so ma, — temps qu'uiio autre cho- inêiiie .-se 1 ia leleg, LEMES, aller capturer t. t. la rogner au g. Y. LAMAS, Lautân. v. t. atta- ou envelopper, empaqueteiT plusieurs choses ensemble. des- 'LEM ES U. V. n. être complètement couvert de manière querien ne paraisse plus. Natal bâ razzias. LÈLÏ, V. sus, enlever pant. LÉMÈLÉMÈ surface en cou- cher, , ~ LÈM "lemesa nâ, la statue «est oom'plètement couverte. LËMI, V. t dépMer, dérouler, déployer développer se* faire LËNÈN, LËNGÉ LËNGÉ déployer. marcher n., V. V. che un faire lou LEP, striden te. pent Li. LËMU, V. enchanter, charfaçon des ma- t. à la Bât iLÊN, pron. EEPÂLEPÀ Lu. Li, de Là, dér. pers. Lu. n. être LÈNÂ, adj. et LEND pron. num. dér. être g., toile d'araignée. bourbeuse, en iSyn. Nah. v. parlant — lumineux, luire, resplendir. clair, Lêr nà mélah, c'est très bril- LËRAL, LËRLÔ. illuminer, LËRALAY v. éclai- t. éclaircir. illuminatioH, b., LËRAN g., pose dans iLËRÂNU qui se saleté dé- pipe. la V. effleu- friser, t. rer. LEMDEM g., obscurité, ténèbres. Tâv u lendem, premier jour après la pleine lune. Vêr vi tâvu nâ lendem, la lune a le brillant, éclairage. LENDÂ, LENDË, LËNDÉ, n. b., h., — V. rer,, de Là, Li Lu. de l'eau. de Là, dér. lant. LÈN, pron. Li, une voix papillon Lepàphalène. LEP-ÔN, Y. Léh Sèn. LËPi g., lumière, clarté. gudi éclairé, de La, dér. pers. ind. adj. strident. a il Lu. lep'u rabouts. Lëmul sumâ tôl, rvdah baré dugup, bénis mon produise être n., déjà lep, LÉPÂ, mu afin champ, qu'il beaucoup de mil b., V. àm LËMLO, V. t. faire plier. LËMU, V, p. être plié, se plier. Dân di lèmu nà, le serplié. Syn. Log. maladie vénérien- le ibec. ne. €ncloiS. mer, bénir mystérieux. iLENTÀ faire t. Bondé. inconnu, être n. V. iLËNTÀ b., bouchée, becquée, ce que peut contenir la bou- norïohalanimont. s'est y. Hel. (M.) Y. incertain, déplier, faire t. >v. de Ld, ind. dér. adj. Lu. Li. déplier, se déployer. LRMLÊMI, LËMLÔ LËY LENTÀ, être p. Y. LÈMILÔ, — dép'ié, ILÉMIKU, déroulé, i8o premier jour de l'obsturité. V. n. être obscur, ténè'breux, sombre. Lendem nà ke- LËRAY lamentin, b., Syn. Gàlàr. LÊRAY darté. b., SÊDÉ iLÊRÉ, ILÊRLU, (S) b., réf. V. marteau. s'illuminer, s'éclairer. , TÛs, lendem nà nâ hul, c'est LENDEMAL, très v. taras, lendem obscurcir, assomljrir. LËTU, les LÈNDIM fine, fluet, b., homme Q svelte et bien taille ifait. t. V, tresser des — g., , mèches tresse de réf. se faire tresser n., appartenir cheveux. LËY, être côtoyer. n., V. V. de cheveux. cheveux. sombre. t. LÈRU. LËTÂ, à. V. Le/ li lèv nâ à., ma dom. celU' in"a[)[)irUt'nt <'.h(>s€ Mal du lemont. LftV, — paisible, tranquille. lèvay b., douceur, aménité, suavité. LF.^^ V. n. être pointu, aigu. , LÉVARI, LÈVADI, n. v. LPGÈYADÏ, LIGÈYA'RI, IravaiWer LIGÈYAL, ficus que Ton homme être ; V. porter dans t. adj. V. La, déf. et L/, Lu. LIBET, LIBOT, fièvre. Syn. v. pour V. Fêbar, — — , , LIDÀKU, n. ifiler tances liquides être gluant. LIGKY ouvrage, occupation, labeur, tâche, besogne, manœuvre excessive. Bokâ ligèy, avoir 1« même ouvrage, être collaborateur. Baré //cfèry, ^ivoir beau-coup d'ouvraêtre manquer dans 'l'inaction, vailler. Naka très-occupé. gèy, Ligèy gèy bc dë, pouvoir plus. cupé. tra- faîrë travail- v. t. faire travail- Lëh h., laboratoire, endroit où pour il'on travailler. et se« dérivés. •LÎHAY Y. Lëhay. IJHLÔ Y. Lëhal. LILÉ, adj. et pron. dém. dér. de Là, Li, Lu. Syn. Lîséy (L). LIM, v,t. additionner, comp ter, Cc^culer. LIMBÀ travail, b., aider à t. t. outil travaille, d., gluantes, et travaiPleur artisan. V. LipÈYUKAY la LIDÉKU, LIDIKU, en parlant de subs- manière façon, soi. /LlH, Y. avoir n. fièvre. ge, LIGÈYLU, les pron. reJ., tra- manœuvre, b., h., atelier, ouvroir, LI, V. LIGÈYLÔ, ler bras. et n. ler, hom- me. t. vailler. être n. n'être pas salé paisible, en parlant d'un mé- coopérer. laborieux, vLIGÈYLÉ, Evangile. insipide, rel. V., de travailler. bord des eaux. le le journalier. ren- LÈVANSIL (F) b.. f.ËVAT, LÈVËT, V. faire v. iLIGÈYÂNKÀT ouvrier, t. V. travailler t. ensemble, LIGÈYKÀÏ trouve sur LËVL', V. LIGÈYANDO, vailler dre pointu. g., n. v. travail- de travailler, avoir l'habitude de travailler. ILIGÈYIN LÊVLO, LÉ^ÂX pas tier calmer. LRVAL, ne peu, pour qu'elqu'un. LIGÈYÂiN, V. n. a- manières brusques, être inhumain. Lf^VAL, V. t. rendre doux, des voir TJM ler. calme, affable, siiel, qui man- être doux, n. V. — Si panfai- lèvnl, bien de maître. pas n'a — f \ I d'ouvra:ge, — , v. n. biller, être gance. tra- menatuJ, Utravailler à n'en , V. n. LIMBO, LAMBO, v. n,, avec une certaine li- bè — g. fougère qu'on rencontre parfois sous les palmiers à huile, dans ll'eau bourbeuse, au-dessus de laquelle elle forme un tapis de verdure très curieux, être oc- s'haélé- iLlMBO, V. t., mettre quelchose dans une calebasse remplie d'eau, qu'on porte sur que la tête, pour empêcher l'eau d« verser, 7 , — LIM LIMCXNC, citron, .LINÀKU, LINIKU, découvert, citronnier. v. être (p. Cayor titre à dans régnant, roi — LENKAY LO cire h., Syn. Ndab. LINONG g., oignon, te. Syn. Sohlé. Lin on g I)etit oignon à fines comme de fleurs blanches ia dentelle. On regarde comme vénéneux. Syn. Tandut, dor mibôtâ, LÎR g., piéton, qui marche ou court à la suite d'un cavalier, guerrier qui va à la guerre sans cheval. le LÎR BU TOY, enfant nouvellir bu toy, lement né. Dôy u vagissement. LIROY LIRU, rir ?i canard b., n. V. pied à sauvage. marcfier ou coula suite d'un ca- LÎSÈY (L), (1., Syn. , LIT À g., — tloto g. petite piro- gue. LITL\ ]., oiseau de proie, buou e-père d'épervier. Syn. JJoIonker, LÎTKAT lô, joueur de cha- LIV, V. Liv n. nâ travailler. Ajouté aux ou neutres, il les rend actifs et exprime l'idée de produire la qualité ou qualificatifs signifiées par le radiBâh, être bon, bdhlô, rendre bon. Mèr, être en colère, mèrlô, mettre en colère, l'action cal. LOB, LOBÉ, V. t. rouler une ou autre chose sembla- corde ble, la ramasser, l'arranger. (LÔBAL, LÔBËL, v. t. rouler une chose pour queïqu'im. partie nord de faire tèy, St.- Louîs. les nées loro g., ficus dont branches sont donmnnger aux bestiaux. g., jeunes h en existe plusieurs vjjriétés à feuilles plus ou moins grandes. LOG b., bouchée, ce que l'on met ou cache dans In' bouche^ becquée qu'un oiseau donne à v. ses petits. Syn. Lunipa. Il , froid, .ivoir mettre, cacher quelqix> chose dans la bouche. Sâtu ki: ho log, yabi, dampa, quiconque cache fait froid un lumeau. froid. faire verbes — Téli. h., rendre froid. qui donne aux ver- suff. LODO chalumeau, pipeau, g espèce de flageolet à anche. V. n. jouer du challumeau. t. bes actifs le sens de faire faire 'l'action. Ligèy, travailler, Ugèy- Lilé. LIT V. bœuf-porteur. LODO, chose. sem- ifaire geux. être fantassin. valier, V., ILO, échalo- n. Lô, contr. p. lu nga. Lô vah? que dis-tu ? Hamu-ma lô begâ, je ne sais pas ce que tu veux. Lô gudâ-gudà, tahtil nga fvèmén, quelque long que tu sois, tu n'es pas pour cela coura- brute. u buki, V. blant d'avoir froid. LIVLO, LINI, LA.NAR, V. t. déplier, décharger un pannier pour voir ce qu'il y a au fond. froid. j'ai froid. b., le LINDIL d., Evangile, nom employé par les mahométans. LINKAN, aujourd'hui. Liv nâ, la Saloum. et le LOG ILIYLIVLU, LI(NGÈR b., donnait autrefois qu'on — découvrir. se LLNDÈR, mère du 182 il t. rasoir dans sa bauch-e, l-e . — LOG et u liora, fora se <Prov. \ol.) LÔ(ÎÀ, (LOGU, ÇJULÉ, LÔGÂLÉ, même (L) masser. — i83 iLOKAT, V. t. détruire poux et les punaises. iLO- qiio Lôlâ, Lô- (LOH. sonner. trembler, n. V. — fris- tremblement. LOHA, bât bu - parole à doub., sens. ble LOHARBI, ramasser avec !a langue ce qui est dans la bouche, ou avec le doigt soit dans la bouche soit dans un V. n. les V. n. courir au plus en pai'lant d'un cavalier. LOL, adv. beaucoup, considé- -LOKI, fort, Lôlalé. Lôlule. lu, LOK ardemment, rablement, certainement, sans doute, très, c'est très-bien, LObÀ, LÔLALÉ, adj. et pron. dem. dér. de La, Li, Lu. LOLI b., automne. LÔLÔ b., jeu. LÔLÔ, contr. lôlu p. Lôlô a. trou. tah, c'est pourquoi, c'est ce qui •LOIIBANDU, V. t. se dit de imère qui prend l'enfint sur le bras pour le faire têter. fait la LOH piB I se dit des (person- nes qui ont des taches blanches sur Iles mains et qui, réputée? malheureuses en ce mo'nde, seront heureuses dans l'autre, LOflKÀT b., trembleur. LOHLÔ, V. t. faire trembL^r. LOHLOHI, V. n. grelotter. — tremblement frisson, h., de b., bras, main. Lah loho, articulation entre et Tavant-bras Loho lu la nu al g&b, Boram-bhna sans rien loho^ manchot. Bu sa loho dé- faire. nga dèfaral ma nangam, quand tu n'auras pas d'occu- (F) Sumâ me . b., gaffe, croc, crochet. ILONKÀLÔ, \L0NKARNI, V. LONKARNIKU, v. réc. t., v. décrocher. être dé- n., croché. IV. t. V. p. attacher avec. être accroché, ' enlacé. LONKUKÂY, LONKU b., cro- LONÔNG (F) b., oignon. Hob lonông, poireau. chet, croc. i LOR grande antilope. accro- par chaînons. tacher autres doigts c'est b. faire t. LONKANTÉ, LONKÔ, m LOKÀ V. être enlacé réciproquement, s'at- LONEU, (Prov. Vol.) accrocher pour t. cher, faire enlacer. (LONKÉ, pour tenmain (pour demander). V. cjuelqu'un. loho dapâ nà, je suis oc- la longue-vue, LONKÀ, LONKU, LO.NKUKAY feras telle chose. cupé. Dohon, bèné bârœn iâ ; la ta dès, tàlal loho la, pour îndiq.uer il ne faut qu'un doigt; . b., lunette d'approche. LONKÀ, V, t. accrocher enlacer kê, pation, tu Li, lo77i5tt. LONGÀRI main Loho'nën, inaction, oiDéki loho'nën, rester poing. siveté. les Syn. ses. LONKAL, LOHO pron. adj. et Lu. LOiM b., gourde encore verte avec laquelle on fait les calebas- f roi^l dre que. LÔLU, LOLULÉ, dém. dér. de La, èinul V., i salive, lor crachat. du-nu i?it méhando *;j. LOR LUG sanguf oeux dont la salive n'est pas égale ne mettront pas dans la boiiche la même quantité de farine (de -mil) LOR, V, (Prov. Lov.). domma- causer du t. porter perte, préjudice. LORU, V. p. subir une perte, ge, un — v. n. mourir nuque. Los vu bidan- ipréjudice. ILÔS V., , torticolis. tiy LÔT appelé fruit d., A'èu, mais avant qu'il soit mûr. On en fait une espèce de glue de même nom dont on enduit Ses lignes d'une santé être n., V. délicate. W — cablé, las, affaissé. bourber. lasser, LOTAY v. t. épuise- vfatigue, chat-huant V. n., (LUGÀKÀT donn^' cire sens ]<> de pleurer, faire , con mu Ixfti di nâ ko qui fait V. t. cérémo- faire ces . à faire LUGàLO, v. faire ces faire t. cérémonies. LUGÂLU, faire réf. V. cérémonies pour ces LUGÀLUGÀLU, semblant de n. V. faire faire soi. ces faire cérémo' Ll fiÀN, j. . bon homme b-, nle^. bien que, quoique, e:\ .l('pit, loin de, malgré, avoir heiu, o\r. Lu ko Iwl am ban bail, qiK'lle que soit sa répu:.'iii:iri' f Lu nji ko éda éda, en ;i\crtissenients. Lu dépit Lf l'ef- mor- ces cérémonies. s^em- dôydôylu, senihlani de pleurer. ï:i\ip, 'la pour quelqu'un iLUGÀLÉ, V. t. aider foihle. pour soi. un verbe redoublé, il Doy, })l;int. cérémonies les cérémonies. LUG AL, Vuji'vlu, faire travailler ,-1 em- t. pour arrêter nies LU, siiff. qui, ajouté à un verbe lui donne le sons de faire faire pour soi. Ligèy, travailler, Ajouta faire v. du venin reçu par fet Syn. lUïfgéd. Î.OYOn, s'embour- n. V. s'empêtrer. LUGÀ, ces m., rendre têtu. mettre le doigt sure d'un serpent. celle. LOY n. LUFLô, LUTUFLO, pirogue, na- petite g., t. des marabouts ment, lassitude. fl^OTO V. LUF, LllTUF, fati- affaisser. b., effronterie. g., dans la bouche pour provoquer le vomissement. ber, LOTAL, LOTÀLÔ, — , iLUBUTÈ LCBULÔ, LUPU, V. LÔÏÀ, V. t. enduire ou cirer une ligne à pécher avec du lot. LOTÂ, V. n. être fatigué, ac- guer, il'ai- merai toujours. LU, adj. déf. et rel. interr. V. Là, Li. Lu. h., muet. Lafnén u lû a gen lamén u fènkât, la langue d'un muet vaut mieux que celle d'un menteur. b., mutisme. V. n. être muet. iLUBÀ V., espèce de poisson. iLÛBU, V. n. être brusque, emporté, effronté, impertinent. pêcher. à LÔT, bien qu'il soit méchant, je sopâ môs, de V. t. faire profession ' pratiquer ces cérémonies. LUGANDO, rémonies V. l. faire ces o cé- eri semble. LUGANKÀT ,43., fession monies. de qui fait propratiquer ce? céré^ . — LlXiAT, V. t., chercher une chose tombée dans l'eau. LUliUT g., vernonia dont les une peuvent servir à faire tisane .fébrifuge. Le hvgut um Valo est feuille-s apf)eHe aussi ou mihali. LUHA LUHÀTJ, ver fumier. le v. v. LUHUS, latan. lAIMOIJJM g., casi;.e indigène donnant uiie lige de deux mctres environ .nec une belle grappe de fknus jaun<'^. LUMP b., bouchée, ce que l'on peut mettre ou cacher dans la bouche, Syn. Log. v. t. mettre ou cacher dans la bou- — , che. V. n. être courbe, sinueux, iortu. anguileiix, LUNKAL, LUINKÀLO, rendre courber, tortu, v. t. angu- leux. dités. faires — LU'NKÀ, arracher, tirer. t. arracher les yeux. n., couvrir ses nu- bel, LUHU, qu'on gros b., trouve dans Luhàti un ilaiteron qu'on Jiamhom ii dêh i85 v. a. et n. escamoter, des farces, — g., LUHUSKÀT farceur, LUKAT, char- n. aller pour iLUNKÂTÉ, bes, ensemfaire cour- pilusieurs cho- ses. iL UN K A Y b .. , co u r b u re gigot, b., cuis«e, b. nombril. jam- bon. LUTÀ , Syn. Hu- >Ia tà. chasse. LUTI LUL, contr. pour LUMBA être n. v. en iparlant de LUPA sorcier. forêt V. 'la 'le escamotage, farce. escamoteur, b., baladin, ble dans faire V., lu duL grumeau de TUf^, faire (LUÏUF, sang. LUY (L) V. la moue. LUE. m., V. Lâlo. ' , M M, douzièmo lettre de l'alphabet volof, garde toujours le son naturel qu'il a en français et no devient jamais nasal après les voyelles. Devant 5 et P au commencement des mots, est un simple signe orthographique pour indiquer la nasalité de ces deux consonnes. se prononce par expiration et par aspiration M M : ma, am. MAL M, consonne de l'ads'emploie avec initiale jeetif défini. Elle noms personnels, avec la plupart des noms primitifs comles j (ici ou là. 'la dist^«.nce étant indéterminée). adj. rel. qui que. Mihindâ ma nga ma yoné, récrit que tu m'as en- — — — Ndoh ma nô que nous buvons. mençant par m, mb, mp. Elle accompagne aussi Ijeaucoup de voyé. noms usuels commençant par d'autres lettres, et beaucoup de noms propres, Man milé moi (qui suis ici), Pol milé, Paul pron. malu mi, le riz. ici), mbiirtu mi, l'agneau, mput mi, la gorge, ndoh mi, l'eau, at mi, (qui est nah l'année, mi, mi, l'herbe, iiin lèvre. la M, préfixe qui, ajouté à un commençant par b, donne un substantif. Dâî, verbe donner, jouer. ter, f, : \mpô, Pès, jeu. im, Ndoh ma, Teau (ici) adj. Fô, l'eau (là) ; Ndoh ; me, à m'aime^ de la 'MA, s'emploie dans quelques temps du passé pour ma, je. iMÂ, souffle- pour ma di, dans queltemps du présent et du poss. adv. futur. um, de subjonctif déf. il nég. adj. ; MÂ. pour ma MI MU, rég. en général, et de quelques modes de la voix affir. Dèfu-mia ko, je ne l'ai point fait. Bày ha ma sopâ, le père que y l'une. voix indéf. et conj. 'MA, laquelle. pers. MÂ, ipour ma pour àm, Tenu , . May jna, ido'nne-moi. MA, pron. pers. suj. interr., conj. 'M, 'pron. riân, — — — Sopâ nâ ma, moi. ques mpès, soufflet. pour am, pron. 'M, lequel, rel. MA, , • pardon. \mhâl, p, par- , , I le, la Ndoh mi, mu, l'eau a, a, du (momoi qui. sujet c'est ma a, ma â. MAI., MIL, MUL, pour ma, mi, nm quand ils sont sujet et qu'il! y a ampliibologie. - i87 Ml", 'proîi. poss, de In 3® pers, \ec iii un nom. Mu'bûr âu roi. 6a, ce- MÀLË, MILÉ,MULË, adj.dém, , dém. v(m. œtle. — — — ot rel. œlui-ci, œl- ce, re\. i'i , , forme ceiui-là, , , MÔMALÉ, MÔMULÉ, (forme plus que j)récéclente) MAN iMË'NÀ, un, une. je MÈNÉN, et pron. adj. un autre, une MËPÀ, iMÀjS, 7nos,,le MA, indéf. ; sien le sunii ; sën tmos, ; le mos, vôtre ; ileur. 'le (pron. de lère pers. V. la caoutchouc à fleurs les l>ar))e. et les retire les ; fleurs caoutchouc de quallité est MADLÔ, V. faire t. faire la parade ou l'exercice aux soldats. MAË, May. Y. MAËMA (L) h., fruit indi^ gène. MAF b., espèce de vautour.. MÀFAR m., léopard ou pan- tout, ; am, à inférieure. très entière. MOS, pron. poss. Sumâ mien sa mos, le tien le nôtre sèn mos, M an indcf. autre. pron. entier, toute, qu'on en envoyé un oiseau. t'ai des ont beaucoup d'analogie avec ceux du toi. I>e fruit cependant est plus gros, a une écorce plus épaisse, rugueuse, la pulpe intérieure est agréa- laquelle.^ quel ? liane g. port, le rafraichissante Le sentent bon. interr. moyen ? num. adj. et pron. Yoné nâ la mànâ mpi- ^fan \mpèhé 'MADA dont ble, cette. ce, lequel, ? encore pron. et adj. ? dém. adj. expressive quel, quelle m., petit mil Saho. Sau la pron. celle-là, cela. la hymne b., fruits lém. celui-là, cela. dém. pron. —— que — cette. ce, dém. adj. expressive plus récédente) 7nos MADÀ, MEDA m ah o m élans. MADÀ MOMU, iMÔMÂ, ta, ISîABO 1)., griot ou [)ouffon qwi chante en s 'accompagnant de lia guitare du pays. 'MAp, V. n. faire l'exercice militaire, parade des soldats. laqiiell«. equ€il, MAa -, c^lui-là, oelle-la, qni^ que, >-ci, - — thère. m., espèce de paille. MAFNÉNDU, cheval sans MAG V. n. aller à selle. aîné. SumZi mag, ou cousin aîné, ma sœur ou cousine aînée. Bây bu rr n/ aîné du père. Ndèy ]n(f<], du /)///.</, vriir aînée de ta mère Dekar hii mag, frère aîné du mari par rapport à la femme. Dabar du riudg, sœur aînée de mon I)., frère I . MABÀ, is'écrouler, n. V. bouler, crouler, p?irlant de sons. — s'é- en de maiéboule ment, écrous'affaisser terrain b., et MABAHÀ g., MABAHAR, navet sauvage. b., pie. MABAL, MAbÀLO, écrouler. iMABIT g., éboulis. v. t. faire femme par rapport au mari. imiy ak sa rakâ ? où est ton frère aîné et ton cadet ? la lement, affaissement. .inxi sa — b., adulte, vieillard, anpuissant dans un royaume, homme grave et important. Bât II mag déjà gudê cien, grand, ^ . — MAG ta nandé du ala, parole aux champs, pas MAG A, grand, vieillir, être ko mag, àm? N'es-tu pas plus ygé que lui.^ Dët, magu ma fco, îYiô 'ma magà, non, je ne suis pas pus âgé que lui, c*est lui qui est pus âgé que moi. Votuî nah mu bon mi ii sa tôl, lëgi ttdu magà, prends garde là ces mauvaises herbe* qui sont dans ton champ, bienyâ tôt seront grande». être ambitieux. elles bopà, MAGADÂ, Dieu le que p\r îes em- maliométomtjer en n., v. dent de sagesse. h., — — — g'iorification. , v. t. i^n- une femme enceinte. MAGAjLÉ, v m., être vieillot. (MAG AY b-, grandeur. dre MAGÈT, — n. V. b., MAGÈTAY vieililir, être vieillard. V. (MAiLAKA maïs, de blé Mbohà. fronder, t. fronde. la — b., lan- fronde. m., ange. Malâkâ ange. MaJâ'kà mu bon, mauvais ange, démon. Ké- mu b(V), l)on malàkà y à, lif'u archange. — m., monstre. , n. V. MANA-N m., m., n. \. pa- édenté. être édenté. Syn. maù MALASTIKU, MALATAR an- (F) b., pays, faisant les Mé- Y. Mélas- LOLU, MAH, v. MAH V., maçonner. grande fourmi blan- bien plus. n., châtre qui élève des tas de re et qui dévore le bois. n. 'd'objets être ter- usé en par- trancliants ou mulâtre. du mortiers à pi- en MALÉKUM SALAM bois. (pour alékuni salam, avec vous la paix), réponse au sa'lut des marabauts Salam alékum ^la paix (A), : avec vous), iMALO m., Syn. pilau. IMALU, — riz. Têb Mâlo'nâr i /in, (K). être graVe, V. n. b., gravité d'une per- sé- sonne. MAM MAGUM b., menuisier ler et divers vases rieux. vieillesse, b., cienneté. V. m., «MALAN m., homme v. t. agranrendre grand, exa'lior, gloriffier. b., agrandissement, pointus. MAKIlA, cer — IMAGAL, MAGÂLO, lant MAKANDÉ Turquie. -Syn iMALAO antique. bouché. être n. V. tiku. MAGADA Y, MAG AD AY porte-feuille M\KA, la Mecque. iMAKA m., chapeau. puis- fort, enfance. MÂH, MÂKÀ, ,MA[,/\N gne. lans érudits. dir, MAHTUMÉ m., rempli de grigris. Magà sant. Cette expression n'est ployée MAM Syn. Sakà, Fatà. devenir grand, âgé que. Du grandir, être p^lus — passera Vol.) croître, n. V. fan oui, la s'anuiterd n'y iTnais (Prov. nuit. la la anciens des i88 m., aïeul, aïeule, grandgrand-mère. y., ancêtres de temps immémorial. MÂM U KÔR, mois de l'année mahométane. — père, MAMA MAM A, (F) maman. prendre le mors aux dents en parlant des chevaux, un navire qui ne veut pas V. n. — M AM ^oinerner, laiï<s€r < di (jii MAM A, diriger. navire qui Gouvernail. Jiiaîua, au pas n'obéit mêni€ n. V. que ' Bmnbu. MAMARNI, maniamarMiât, mamarnèl, mamarfièlmainuné, ancêtres tout 77uima/â, naldt, à fait reculés. MAMÂT m., bisaïeul, ancêtre. Marnât i hây, ancêtres paterMarnât i ndèy, ancêtres neils. maternels. MAMÔ par 189 lies m., petit sentier tracé grand et bel arbre très rameux donnant des Iruits ronds dont la chair a une saveur douce et agréable. M AN m., moi. an a, mmi la, c'est moi. Man là ko may, c'est à moi qu'il l'a donné. Man ndè, loc inlerj. pour moi, qu.mt à moi. g., M MAN, adj. et pron. interr. MÀN, V. dér Mu. de Ma, Mi, t. d'une fa- MANÉ V., fourmi moyenne grandeur qui ne sort que la nuit, mord les hommes, attaque queilquefois en masse les animaux domesnoire de les fait mourir. iMANÂN, MALÂ'N, Ml^A^ MANDA, V. le iMANDAHÀ, év;iluer. n., être troubatroubadour. V. t. estimer, Syn. Apâ, MANDAHÀKÀÏ MANDAL, tMAiNDI, nivrer, v. enfilées donner t. y. être t. ivre, être désaltéré, U'Ue s'e- avoir h\i jusqu'à satiété même de l'eau. Nân bè mandi, boire à s'eninân, mandi fêni, vrer. Nebu boire en caohett<3 sera dévoilé par l'ivresse. g., enivrement, ivresse, excès dans le boire. — soûlard, b., ivro- gne. ÏMANDILO, dre ivre, V. enivrer, ren- t. griser. MANDIMANDI ivrognerie. g., iMANDIMANDïLU, semblant d'être MA'NDIJ^Ô m., n. v. faire ivre. pays désert, inhabité. MANDTTÉ ivresse. faire enivrement, mandité, désoû- g., Rêslô passer l'ivresse. V. n. être retenu, convenable, bien rangé, se bien conduire, se posséder, se gouverner. Mându nâ yaram, il est chaste, pudique. g., retenue, caractère calme, Mându'g — yaram, chasteté, iMÀNÉ, MENÉ, cord, pudicité. V. t. être d'ac- sympathiser, s'accorder, vivre en honne inBokà ndèy du tah màné, avoir la même mère n'est pas une raison que les entelligence. fants estima- être troubadour toujours soient entre eux. (Prov. d'accord Vol.) MÀNÊRI, v. n. en désaccord. MÀNÉLÔ, b., cheveux. chiquenaude. Syn. Fétah, Muna. (MANDARGÀ m., signe, marque, signal!, présage, témoin. MÀNÊDI, b., teur. MANDAKÀT perles aux s'arranger, m., pagne. dour, faire m., iMÂNDU, mille. tiques et MANDA L suspendues ler, Men, Kan V. MAN g. V. MANA g., souche kMAM, M AN MANDIKÀT animaux. iMAMPATA — tre d'accord, V. t. accorder, met^ réconcilier. . — MANGA, MANGÉ, mangi man,gi a, 'MAiNGÀ, — MARLÉ KÀT errer, vaguer, MANGÂKÀT nomade. rant, cher, \MANGALÉ MANGILÉ, M AN GÔGU (L), me voici. MANGÂLÉ, MA'NGO g., manarbre guier, mangue, fruit. MANGI, pour ^man me angi, — fruitier. angi, mangli g., g., man- \MANHÀ, V. .MANKÔ, rêc. V. — affaire. IMANORÉ ploit, haut m., aventure, ex- fait. (MÂR, V. t. 'MAR, V. n. avoir soif, être al Mar lécher. Mar nâ ndoh, téré. d'eau, (je j'ai soif désire boire de l'eau. mpôn. j'ai besoin d'une de tabac. m., soif. 'MAR, V. n. être réconcilié, raccommodé, s'accommoder, se réconcilier, rentrer en paix avec quelqu'un, se calmer, s'apaiser,\nâ — prise se — ifléchir. b., accommode- ment, réconciliation. réconcilier, s 'entre- mettre, — — — , acco , , fléchir, b., m m o deme n t faire lécher. donner soif, t. t. MARNENT, V. MÀRU, V. réf. pacifier, apaiser. réconciliation, al- Mènnèrvt. se lécher. V. c. s'emploie pour constater qu'un fait a eu lieu au moins une fois, ou n'a pas eu lieu du tout dans une époque indéterminée du temps passé. Mas nâ ko dèf, je l'ai fait (au moins une fois). Mâsu ma ko dèf, je ne l'ai jamais fait. MÂiS g., compagnon d'âge, du même fige, condiciple. Nit di nâ and'ak morom âm, té du mâs am, on se choisit un camarade parmi ses semblables, quoiqu'il ne pas soit même du âge. Vol.) (Prov. MASÂ, MAiSAYO interj. pour exprimer ,1a compassion pour fait du qui, s'est quelqu'un mal et même pour soi. Masâ man que je suis à p^laindre j'ai pitié de toi Ma^û yov ! I ! iMARAH d., crépuscule. MARALÉ, MARALÉ, MARLÉ, MARLÔ, V. t. accorder, mettre d'accord, V. V. MÀS, MES, d'une chose entre iplusieurs personnes. b., convention entre plusieurs personne» pour une sèlâ bà, la sain- térer. v. convenir muraiille, Vierge Marie. MÀRLÔ, MARLÔ, boire a^€C un t. m., (F) Hêk bu riànià te glier. chalumeau. iMANIN V., V. Menin lécher réciproquement. IMARATU V. t., lécher. MARIÂMÂ, n. pr. Marie. Ma- Angu. MANGLÉ colibri. s'entrelé- mur. b., mu se, MÀRÂT Y. Anga, Angi, voici. conciliateur, médiateur. iMARAMLUSLUS m. MÀRANTÉ, V. réc. vagabond, er- b., MARALÉKÀT, b., pacificateur, nomade, errant, vagabond. être MAS iMARAiLÉKÂT pour conlr. di. n. V. 190 I ! M AS AL A à b., parole qui port© réfléchir. MASALÉ, MASALÉ, liser, v. t. éga- niveler, aplanir, unir, po- lir. MASAR g., chamelle. , — MAS MASÉ contemporain. b., être n. V. égalisé, apla'ni, 191 comme, adv. plus forte niasé man mi aussi, Yangé raison. à sot, le ! ! MUSIDApÂR MASII>APÂR, m., antechrist. Messie. m., point-voyelle dans MASLA'N m., comique, MASLÂlNÉ, plaisanterie, pa- reni'anteiiK'iii;. MATA, MATV MASLÂNÉKÂT plaisanter, t. MA su farceur, qui fail rire. iMÀT, MET, V. n. être paraccompli, fini, aehevé, complet, être digne rie. \alla mat na topa, Dieu m;' file qa'on le serve. Bakar mât ml sîb, le péché est digne de haine. Ycdla di Nhèl mu mat a mat. Dieu est un esprit infiniment parfait. Mâtul, mâtu ko, cela n'en vaut pas la ipeine. Lôlu mâtul â vah, cella n'a pas l^esoin d'être Y. Met. 'MÂT, suçant, MOT, V. comme du t. mâcher en j ) a r ta (Mre n. v. p le t inco , accom- perlectionner, terminer. MÀTALI, uMOTALI b., accom- plissement,^ achèvement, naison. termi- num. mordre. b. exécuteur, qui achève, qui per- MATATJKU. MOTALIKU, être qua- r^chevé, fini, v. p. ]:e.''fectionné, accompli. MATALu, v. MATA-^ÎATÀ qû . faire t. g., mordre morsure, pi- e. MATANKOY v.^ espèce de perSyn. Dog'u dalon. ce-oreille. :MATATU MÂTAY iMATU Matu. V. perfection. îj., pr. v. se doigts de dépit, MAY (néj, ia mordre de loc. gé né m(u\ les coilère. adv. Gêt g(Vn- mer s'étend in- défini nienl. tortue b., dont la Syn. l)0;in'C à iii.inger.. Hong. MAY, ment, der, n. rante. Syn. Nanèt-Fukâ. t. t MÀTAL, MÀTAL], MOTALI, MATLO, \ i. finir, achever, MAYA nes. V, i chair e-\ m., bois à brû'ler. m., punaise. Borom lal â ham niaVâm, chacun connaît ses pei- MATÀ, m — MATÀ (K), -ac servaail de nie- ru., MÂTADl. MÀTART, i pain de singe ou du tamarin. MÀTÀ, TA ve. fectionne. homme b., fait, dit. douleur de h., reHfajileMiôiii MATALIKAT, MOTALIKÂT farce. v. dire des paroles comiques. plaisant, l'enfui te ment. Sumâ (jahar déjà mata, ma femme est dans les douleurs de plir, l'écriture arabe. role n., être d.ins v. <le parfaire, MASIU m.. MASK douleurs les ! vais . MAY di fàràl à sot, tu <i. m MATA, MATU rhume, à plus forte' raison moi qui y suis sujet. MASÉMA interj., malheur Mitséma yen, nit nu bon malheur à vous, hommes mauas — — uni, ni\eK\ MASÉ, . dôlé, V. faire donner gratuiteun présent, accor- t. permettre, y^'v animer, donner de l'acti- gratilier, conforter. Dono du gerem kèn, gâv â dë a ko may, l'héri- vité, — MBA 19 ne remercie personne, c'est une mort prompte qui le grati- MBAHAL lier fie. (Prov. May Vol.) m., MAYAL, V. donner t. pour quelqu'un. g., don, présent, olïr.^nde, gratification. MAYÎJ^ MAILO, V. t., V. t. MAYMAYDO aider h donner. faire don'ner. ni., caïman. 8yn. Dasik. MAYMA\LU, V. faire trem- t. blant de donner. MBATË, MBIT, 'MBÀ, ^ÎBAT, ou, ou îubâié, sinon, conj. Ml^ V bien, relâchement prisonnier. 'MBAAL, Dér. de Ba. MBÂL m., rémission, grâce, amnistie. Dér. io Y. MBAHAR d'un MBAHAY MBAHl^L A:.jr> V. îi., MBADAT g. MBAÈL m., congé '!)., r.ilebasse pour puiser de !'e;iu ou .-enn un puits. MBAGÀ fas, ni., épaule, Mbarfi garrot. MBAHA maux g antre^ , panse qiie les — ^ des ani- volatiles. vertu, bonté lézard. b., , filet. MBALÀ (L) m., ipetit filet 5 pêcher. avec ge, d.tns que Bâ- mollusque du genre des porcelaines. iMBAL m., drôle, vaurien. MBAL, mêm-d que Mbaal. IMBAL m., grand filet, seine. v. t. pêcher avec le grand le v. grand MBâLKA Dér. de Ba. V. D<irngu. •MBAFNGU même g., MBÂLI, Hel. g., MBAK (L) m., MBAKALAKA poissons relâche, poltron- de Bâh. Dér. ji,)- (îcenir inutile. V. b., de Bâh. hay, «les — nerie. i. - bonnet ne son maître. poltron. Dér. de g., Bahad, de Bûh. MBÂBAL.v.l.jîiéme que Bdbal. MBÂBUKÀ, MBÂMBUIil, même que Bàbaki. MBADA m., fil qui termine la trame du tisserand. MBADA m., couverture de laine ou de coton. MBAG le Vol) Su mbahané dôn nân yôr, kèn du ko sol, si le bonnet buvait la cervelle, personne ne s'en coifferait. (Prov. Vol.) Gavar gu di dâval fas âm, nibahane'm vodâ té dotu ko for? Dujig'um mpità mu di nav. Quel cavalier courant au galop laisse tomber son bonnet sans avoir le temips de le ramasser ? L'oiseau qui en volant laisse tomber une plume (Enig. vol.) d;']i^ r.ince, s sr-j -i rym'»s^.r--" vacance. m., fèké (Prov. échoués. MBABA, MBAHANÉ borom âm, ây'ii pardon, [)A:-h(M^ 1. sons pre.sqiw^ Hiers, Lui soil. ce n eîl. si licence, ipermission, in., délivrance, iMBAB, bonnet. voit pas la crise de MAYÉ. MAÉ cadeau, Dér. bouilli. Mbahanâ du MBAHANÀ, bopâ, sa s'arroger. m., de Bah. aller t. pêcher filet. m., abreuvoir, au- crèche. MBAM m., porc, cochon, âne. digèn, truie. Mbâm'ala, porc sauvage, sanglier. Mbâm u Lavbé, âne, baudet. Mbâm ma, su vèhé, mata, dèf nâ hêh u bây àm, l'âne, qui donne des coups de pieds et Mbâm mu — MBA mord, métier le fait (Prov. Vol.) re. — brancard. mu Mbâm-sef 11 ala, onaSu nopâ don rata lâh, nu dav, ànon. gre. mbiîm-sef, 6 oreilles que dut étendre bords du faudrait appeler l'âne l'on sur bouillie la vase, il avec les c'était si les MBAMBÀ, même que Bamha. MBAMBUL m., Mbambulàn abîme sans fond. creux, MBAN résistance, de Ban. MbmVrëtu, impénitence. Dér refus. tùb, — m., ennemi, adver- m., bac, pont de ba Mbâr a m., balasse, jarre ou grande cruche en terre cuite. MBA^EL inimitié, g., tu vas voyager ma nga paix MBANGIR, MBAMK V. Bangir. m., lait non écrémé. xMBANIT m., ' aigre est-ce ? te ? est-ce est-ce ? M^bâr da- que tu as portes-tu bien ? pr. faire V. se tresser les cheveux. MBÂR-DAM interj. bah terme d'impatience, de surpri1 ! se. et iMBARAGÀ m., eau M<benkanà. g., mangent MBAP, les MBAPARAL MBAPBAP g. en fruits. b., (né), loc. foule. exprimant colère. naissable à ses gousses ressemblant à des feuilles très sèches. Syn. Samba téné. MBATU petite b., Sô mbatû'ndâ dek'on dêhtil, par paresse. chaloupe, canot. rester accroupi MBAR indigènes la descendre colline. interj., ! légère- MBAS, MBOS m., épidémie. MBAT, MBATÉ, conj. V. Mbà MB AT A R g., arbust-e recon- petit buisson tou- Les vert. «n. penchant d'une le des en- mal soigné. (L), Mbanké, V. mou- cheval b., ment saumâtre. iMBÀRTALU, V. l'impatience, i.ûl. MBANKAN MBANÔ le cheté. la été 'le MBARHANTÉ mamelle, consistant ©n douleurs dans le nombril à m., MBÀRTUL m., long d'un côteau ou penchant d'une colline. sentier MBAS petit iMBANKA m., maladie V., am ? MBARAMU, éloi- gnement, aversion. Dér. de Ban. jours interr. nga tuki di que la — champignon. étui. conj. } Mbâr hanpaupière bet, m-bola, MBÂR MBANDÀ a u le fir- des roi le fourreau, m., sur teau.v. qui est MBÀRÉ M BANA fants bûf u mbâr, di Mbâr gars. saire. . que m., hangar, tente, abri vent ou le soleil. Astb- l-e man mô mament m., haine, inimitié, animosité, aversion, antipathie, mbœi u contre que. (Prov. Vol.) m., Même glissant. MBAR baudet. âne, mbâm-sef, mhâm-sef 11 être ser, Bar. u kanu, affût. MBA.M-SEF m., MBA »MBÂR g., hyène. Syn. Bnki. MBÀR, MBARATU, v. n. glis- son pè- t)rou<3tie, 111., voiture, chariot, I^lbdni Dôm (΀ — on dès le s'était servi lebasse il si ne Vol.) callebasse. ta sakhâj commencement de ila petite cal- pour puiser au grenier, serait jamais épuisé. (Prov. — MBA MBÀV aboiement. g., Dér. d« Bâv. — V. Bâval. service, affranchis- .g., sement gratuit d'un esclave. MBAYLO g. V. Felerlay. M'BÈ comment interj. ! MBÈB, NGÊB, garder MBÊB b., v. n., IMBEKAiNTÉ, iMBÉLÂR ! Kalêrbet. V. les pois- ter mettre un ap- t. di, Da nga belir, mon cher. tu brodes, MBOMBÀ iMB'EMBÀ, V. Mbéréhtu. MBÈD m., rue. Mbèd'âm quai sur le bord de la mer. MBÉF, V. n. japper, aboyer comme les MBÉG, m., épi égrainer doigts un épi de gros- avec les , v. t. mil. MBEMBAN espèce m., MBEMBU, n. être content, jo- V. va d'an- guille à long hec. chiens. petits — de gros mil. gêt, corne MBELïR, V. n., broder, ajouà un récit des circonstan- pâts. MBÉBÉTU, s'entre- tête, m., hirondelle. Syn. ces inventées. MBÊBAL, réc. v. contre corne, se cosser. Du-fiu. tèkhalé nâr i nag yu mbekanté^ on ne sépare pas deux bœufs, qui se cossent. (Prov. Vol.) ne rien sons. de serviteur, de Bekânëg. heurter tête contre silence. le appâts pour MBEKÂNÊGAY b., état Dér. ministère. MBAY g., renonciation, abandon, délaissement. Dér. de Ba. MBÀY m., V. Bbéy. MBA-YALLA MBE MDEKÀNÊG b., ^IBÂYAL, dire, 19^4 — yeux. Même que Bég. con., tentement, jo-ie. F^akâmbég, être mécontent. MBÈG m., boucle de cheAeux tréssés derrière l'oreille signe de la maternité. V. égrainer réf. un épi de gros mil pour soi. MPÉMPÊN, V. Bémpèn. MBÉMUR m., conception. Dér Bémur. de iMBÈN, V. t. donner un souf- ; vMBEGEL volonté, g., mer la 'MBÉH m., ment, plaisir, volupté, fantaisie, Baré sualité. mbéh, Begâ jnbéh, MBÊH, V. MBÊH MBÊH garré, être sen- être avide de MBÊHAL, MBÊHU- MBÈ[\DUM m., serpent court, bi- MBEKÀ, v. t. g., cosser, donner ;i tiges leine. MBEfNU m., débordement de mer ou d'une rivière. iMBER m., pus. MBER m., 'MBÉR m., des coups de tête, des coups de cornes. casse MBÀNKANÂ, MBENKANÀ, MBAKANTÀ, MBANKÈ b., ba- la vénimeux. main. m., débordement de ou d'une rivière. Dér. rigides et cassantes. Bêh. bêhal, bêhukay. m., eau de mer. revers de la de Ben a. sen- sensuels. plaisirs KAY. divertisse- du MBENÀ désir, envie. suel. flet MBEREH, ges de les épis. V. Ber. belette. V. t., abattre les ti- mil après avoir coupé Mm MBÉ MBÉRÉHTU, MBÉRÉHU, MBEînbéréhtukàt, Ml^TU, Béré- V. MBI^^YT m., danse bouffonne V. n., danser le mbéyt — , MBFREM m., rôt, rôti. MBERENGAL m., poulie. 'MB[p m., espèce de boisson. Dér. de Bereng. MBERES,BRES, dain, MBERFÉRÊN de dé- interj. d'horreur, (dânu), V. Ber- l'harmonium à Lit. — n. V. , et à l'orgue. Syn. jouer de la flûte, art)uste rameux, flûte. 'MBERMBOF cucurbitacée g., mbermbôf Le sauvage. donne un ge, on en mange i had petit fruit rond, rou- fruit mbermbôf i les feuilles vermifuge. est Le une autre golo est <MBILOR épineux, ses g., grandes, fleurs gous- linéaires. MBILOR m. V. Mbit. MBlN m., grimace de dédain. Dér. de Bîfi. MBINDÀ variété. MBERTU m., V. Mburtu. MBÈRU m., couve relie d« forme du layu MBÊRU g., la (van). urine. Dér. MBES MBES m., (L) de hippopotame. doux, premier lait que donne une vache qui vient de mettre bas. MBÈT, v. t. souffleter, donner un soufflet. Syn. Pès. m., soufflet. Dôr mbèt, appliquer un soufflet. Syn. pès. m., lait — M MBETÀ m., gueule-tapée grise, iguane blanchâtre. -MBÉTÈNTÂN m., c:.uchemar. iMBÉTO m., soleil bre et d'octobre, de septem- très pour les Européens. iMBKY, MBÀT m., agriculture, Béy. iMBÈY labour. mauvais culture, Dér. de fertile cet /à, homme ; est en expédients. MBIRIT du matin, Mèirit gâ fèhâ nn, fadar dà har nà, l'étoile du du point étoile g., jour. matin est mence à paraître. Hevée, l'aurore com- Dér. de Bîr MBISKIT (F) m., biscuit. MBIT m., V. Mita, )MBIT, avec Y. conj. Mbë. nervure des la rondier pour rages. mbèydilé g., verbénacée commune au Sénégall ses branches montent droit à tronc. borom mbir MBIT, MBIT AH m., d, du m., écriture, écrit, parlant de Dieu. Bbind'u adunâ, création de l'univers. Dér. de Bindâ. MBINDAFUN m., créature, être créé, genre humain. Dér. de Bindà. MBINDÈF m., créature. Dér. de Biindà. IMBIR m., expédient. Vâ dilé^ en création Bëru. partir nom ! jér'én. ]e iMBl'LÀ m., grosse biche rougeâtre et sans raie. MBILIP m., flûte. Les indi- gènes donnent aussi ce donc fi ! Béy t. \. interj. hu. et — iSyn. lien fait de entoum., gland feuilles les cases et His. — en franges. iMBITÀ m., mita m., riz cuit sans assaisonnement. M B T T I R Â, MBITAHTÂN, — MBI MBITAHÂiN m., frange d'un bordure d'une robe. 'MBOHÀ m., maïs. Syn. Ma- vêt-ement, 196 — MBU MBOS MBÔT MBOTÀ MBOHOS m., sac fait avec une peau entière de bœuf ou de veau. MBOK m., parent, pareU'te, Sumâ mhok*u bây. mon parent, ma parente par le père. Sumâ inbok^u ndèy, mon parent, ma parente par la mère. Bâdolà, bu bané ligèy, banê'k mbok'âm, le pauvre, qui ne veut pas travail/ler, se brouille avec «on parent (Prov. crapaud, gre gen a begà tunga boku ta, ndohj vandé mu crapaud aime beaucoup l'eau^ mais non pas l'eau chaude. Vol.) Mbat*u gnée de mer. Mbâr champignon. (Prov. (MBOL m., — maïs, v. t. égrainer un épi de mililet ou de maïs avec les doigts. V. BôL . iMBOLÂTÉ m., adjonction. mbôtay, Dér. de Bôt. MBOTÉ MBOTU MBOLO réunion m., assem- ^iggrégalion, société, pagnie com- congrégaagglomération. Mbôlô'nit, d'hommes. troupe Mbôlô'magèt, jnbôlô' dambûr. réunion de viciix ou notables. tion, association, alliance, MBOLOH b., scrofules, écrou Syn. Ngal. MBOi^U m., Mbôgu m., cheval tirant sur le bleu. ellles. MBÔLU, un v. t. égrainer pour épi de millet. MBOM MBOY, prépuce. Syn. MBUNIKÀ Mbër u yaram. MBORMBOR V. Mbalhàt. MBORTÂN m., fleur du bao- festin. biquet, chevreau. n. V. le à dos. errer dans champs sans berger, en les par- lant de troupeaux. rer les dans les V. t. laisser er- troupeaux sans berger champs. MBOYO m., vent d'est, Had m.boyo, demoiselle, insecte volant au temps du vent d'est. faire du vent d'est. u — , MBUBÀ m., blouse, robe, cachemise. m., four- misole, n — d'un instrument ou d'une ra rni rme . MBOBIT balayure, ordure. v., Dér. de Bûb. MBUDÂKÉ MBUFA^X', le supplice, Dér. m., V. Murâké. m. V. pr., se coucher ventre. MBUGAL m., un m. linge servant un enfant sur tenir sur m., assassinat. MBONIKÀ, faire s., MBOYAL, m., union, mélange, alliance. Dér. de Bôlé. arai- mbatà pagnie, société, sujets d'un roi. Dér. de Bôlé. MBÔLÉ u g., assemblée de faréunion, banquet, com- Dèf ou de épi de millet gêt, MBÔTAY mille, Vol.) bab. m., MboVa nouille. le confrèrb. soi Syn kangkârang. kandé. blcc, m., V. Mbas. cancrelat. m., m., arrêt, censure, malheur, accident de Bugal. MBUGAL m., importance, incomplaisance. Név bagal, être peu imtérêt, bienveillance^ Bngà d€ Dér. frivole. liant, ou MLU (îA.\ — glier. e^pvœ de ix., de fruit b., luanar- cet mélange avec bre que l'on le provisions les terre la un extérieur imipo* un sac de voyag^^ et Vol.) (Prov. MBUYMBUYÂN MBUL bel g., dans arbre qu'on m., copeau menu. MÊB, champs comme les do. des con- : naissances, sant, couscous. laisse font choses voyage sur Bf(]ii, n. pincer. N. Mêb tufl^ képà, kadà, parce qu'il ne gène après l'hiverpas (les cultures pincer nage on coupe une .nmorce pour attrapper le MÊB, ; ches pouj- MBCM mange n'en amaranthe dont on en épinards avec le couscous. bu gôr a des épines bu d^gèn, ou, bu lévèt, pas.' Le mbûm schet, téré ou tahat est une ; a mbûm liane. MBUMBANDÀ lard, m., colin-mail- bandeau pour jouer — n. V. , terrains salés. iMBURÂKÊ V. Murâké, MBURTU, MBERTU m., a- m., pain. Stl bidèv n&k'on mbûru, baré ku fanân bili, pains, étoiles étaient des beaucoup de monde pas- si les seraient la nuit dehors. (Prov Vol.) Dér u mbûru, croûte de u mbûru, boulanger. Lakukay u mbûru, boupain. Lakâstkat langerie. 'MBÛiS m., outre, sac de peau les noirs se servent en voyage. Adunct, \nèVa te yob'al : âb hamé, ab târ, ak mbûs, trois dont appât, b., le mettre \e amorce, poisson. iMÊB, V. t. porter un maladesur les bras. (MEB, V. t., menacer knsara gi don meb deka bâ, le malheur qui menaçait le village, MÈBÈT, pérance, en vue. n. V. avoir — iMÉD avoir une e«. quelque cho«e m., espérance. V. g., Màdà ç,. iMÉDÀ, V. n. mourir, périr,, crever, en parlant d'animaux, — m., bête morte, charogne, iMEDÀ flNIËH, chameau mâle. g., V. mettre t. dans la bouche des choses réduites en poudre, comme tabac, couscous^ m., ibouchée de tabac ou de couscous. iMÊHAL V. n. hennir. %ic. gneau. 'MBCRU — iSyn. amorcer, t. pour attraper à ce jouer à colinmaillard, mettre un bandeau. -MBUNDU g., arbuste blanchâtre, ressemblant un peu à un petit saule pleureur et que l'on rencontre souvent autour des jeu. V. poisson. feuilles les ou® cuites Mbûm mbûm jeunes bran- bestiaux. les g., ses lèvres. les — MÈK, MIK, Né mèk, adv. se taire. v. avec né. Syn. Né Ntè< là. iMÊL iMÈL, bler, (F) b., pierre à aiguiser, V. être n. ressembler, sem^ analo* à, semblable comme. Mèl ,nô nàka d^né i dâsi di dam hol âm, c'est comme si en lui perçait le cœur de mille glaives. Mèl ni, imèl nàkâ, comme, semblablement. Songâ nà ma mèl nâka ku mèr bu mèti, il s'esi gue, pareil, être — 198 — MËN jeté sur moi coimiie quelqu'un en colère. Mâsu-mâ ^is nit ku ni mèl, je n'ai jamais vu un homme semblab'le. Bu ni mèl, bu mèl nilé, Im mèl îiônu, semblablement, ain- naître qui langue, s'entendre à une chose, prévaloir, avoir le dessus, l'emporter sur. Adunâ nèt'a te gen: si. su «ist ifort lMÈLAH luire, éclairer, briller, reluire, dir, —, éclair. b., des fairie MÈLAHLÔ, V. n. v. MÈLLO, iMÈLAL, v. ssi- t. lKi;, v. lécher les lèvres avec la langue après avoii mangé qu^ltyue chose dé bon. MÉLfcrsT, MÉLÈ?sTA_\ v., petite fourmi noire qui mord. MÊLÈNTÂN U SAFARA, étin- celle. MÉLÈS (né) iMÈLHÈT des faire MÈLIN tre, loc. \.. soudainement. disparaî- — éclair. b, v. n. mode, manière sembler à. V. d'ê- res- fence. 'MÊM, V. n. bêler. iMÉMAN, v. n. — g., bê- h 'avoir être pas de dents. Syn. Ma- IMÉMUNÀ citron, MËN MÊN *MiEN, g., citronnier. ilimon. femmes. lait m, sève, suc, jus. MÀN des pouvoir, de, savoir ou conV. 1. puis. Men nâ Men ? conniis-ta Du-mâ ? men la ne suis-je pas plus fort P parler à n'en pouvoir plus. menai à am, l'impossible. menul à gis, l'inrvisifc^le. Lu Lu Lu kèn menul à gem, Tincroyable. Dér. num. Mu. croître, n. V. pron. et adj. de Ma, Mi, MÉNÀ, pous- en parlant des plantes — et v. t. fructifier, des arbres. produire des fruits. Garap gu hâh, di nà niénâ dôm vu bâh, , un bon arbre produira de bons — fruit. b., MENARI, MKSADI, être impuissant, — g., v. n. incapable. -^, impuissance, incapacité MÉ5ÎÀLÔ, (!es m., capabW — le que toi ? Yalla men nâ lu nèkà, Dieu peut tout. Men nâ am, c'est possible. Lôlu men nâ am, cela peut-être. Vah hè menatul, édenté, laiï. *êtr« âm fruits. lement. ? ton catéchisme ser, AIËLÔ V., teint, couleur, forme, image, ressemblance, appa- dèf lôlu ? Vav, men cela nga sa katésismâ vuj'us, faire l'or. à lô voloj, je sais parller volof. MÈrsA, fairfe t. Mèlmèlô ressemibler b., peu Y- tu faire nâ ko, oui, je forme, apparence. iMËLMÈLÔ Ban Vol.) Men ngâ (Prov. Vol.j ilu éclairs. V., avoir, pouvoir et : (Prov. èm, refuser ce que tu ne peux empêcher, pour l'effet c'est autant que de consentir. se tre terre la éclairs. rendre semblable. MÉLASTIKI., MALASl n. 2' a g en, ham a choses l'emportent men geîi, trois savoir. une art, nimiil a vani darâ, mô'k begâ rendre brillant, luisant. tniler, a (jen, un science, resplen- faire briller t. ani une V. t. faire produire fruits. MÉNÉT, V. bourgeonner, n. en parlant du fruit mence de à sortir la qui comfleur. — m., jeune pousse, jeune fruit. — cileiiient, pomoir cher par vieillesse. MB-\IN m., profession, à j^eino 100 rendre capable. MEN'MiEÎN g., pouvoir, capaci- moyen, savoir-faire. menmen, fertile se mêler de en expédients. MRNMEINLU, sem- MÈNTMG loc. v., dis- paraître complètement. de Ma, Mi, MÈPÀ, V. V. n. couvrir MËRMÈRLU, colère soit cal- , vile, être irascible. MÈRANTÉ, V. n. V. être réc. un peu être fâ- ché l'un contre l'autre, se fâ cher réciproquement. (MÈRÉ, V. t. être fâché contre quelqu'un. Bul ma mèré ndègé lôlâ,, ne sois pas fâché contre moi à cause de cela (MEREG, V. n. être rond, sphé V. t. sem. faire mettre en oolèr^, se MARNÈNT b., MÈRSO m., plomb de chass^, MES, V. Mas. MÉSÀ, (né) loc. V. disparaît soudainement. MÉSARA, MXSRA, MÊSÈS, m., pou Syn. Egypte. des poule*, Gotot. MÉSIT, m. V. Mév. MP.SÔ, pas. y., les restes d'un re* desserte. iMET, MAT, v.n., ce venb^ prend plusieurs acceptions difn férentes les unes des autres. Met inâ fuk'i fan, il y a en\U ron dix jours. Met nà sèy, il est en âge de se marier. Met nà derem, il vaut cinq francs. Meta ko, il ne le vaut pas, bagat^llç, Lef lu metul, une V. Mât. METÀ m., fourmilier ou ta? manoir. MiETÀ g., IMÉTÊL g., anus. couronne. Métêl couronne d'épine. Il dèk, rique. V. t. 'M/EREGAL, MERGÈL, v. t. rendre rond, arrondir, faire un faire niai cercle. indir gTain de sable, grain de pouss. la mée, z— V. n. être en colère, se mettre en colère, se fAcher, s'indigner, se courroucer, être irrité. Gâv à mer, se fâcher 'MÈRA.LÉ, en colère. mettre en coi t. courroucer, faire fâcher. blant de tre 'se sa V. irriter, gner, avec Jtc. OéboucJie qui Jigure avec les deux mains. MËR m., colère, fâcherie, courroux. Sîhal mèr, calmer la colère. Nêgal bè jiièr àm siJi, que empor,; sière. n'a plus de dents. attends MÈRLÔ, '1ère, pron. ind. Dér. mén gu né mèpâ, MEPÀ, homme colère. té, Mu. adv. cercle. b., MÉRNÈNT, (né), adj. et b., d'être fâché. blant de pouvoir. MÈPÀ. MERGÈL MËRKÀT tout, être n. faire v. Baré 1^ imite ce son. cri métier, eiuploi. condition. faire pouvoir, t. V. MÉT MRRECÎW b., rondeur. MÉRÈT m., oiseau dont iiiar- état, J^lEtNLO, té, — —, couronner. IvStÊNDI (méti, andi) v. n,, encore, être encore douloureux, pénible. Tangay — MËT biVngè métêndi, encore 'MÉÏI, mal, faire faire n. V. être douloureux, souffrir, ble, chaleur est la p/éiiible. dangereux, coûbopà dèf ma méti, Swmâ teux. mal à douloureuses. souffrances méti, Ntâno yu tête. la N^è\g lu méti, prix élevé, cher. V., douleur, mal, souffrance, peine. Métit vu réy, vive — douleur. qu'on ver gros trouve ^iur les chiens. V., MÉÏU, ^n la v. n. faire du bruit bouche quand on est colère. MÉSIT m., lait doux Samàkât san nâ may IMÉV, et frais. may vandé sanul à Vnéi', selu, un berger peut bien donner du lait doux, mais il no peut (Prov. veau. pas donner un déshabitué, n'être pas peu être habitué, désha- habitué, se bituer. MÎNAL, MINLÔ, v. habi- t. apprivoiser. tuer, 'MîNÂN (L), V. Manàn. iMÎNANTÉ, V. réc. sympathiensemble, réciproque«ment. sympathie mutuelle. ser — b., MÎNÉ, V. ce, familia- être pr. avec. risé g., pratique, usage, expérienhabitude. MINGI, MLNGILÉ, se dit souvent pour Mungi, mungilé, le voici. Dér. de Mu, pron. pers. et de Angi. IMÎNLO, V. Mînal. MiNLU, v. p. accoutumer pour isoi, acdlimater pour soi. •MÎNMINLU, V. n. faire sem; blant de s'habituer, d'être habitué. Vol.) iMI, adj. et déf. Y. rel. Ma, MÎKÀR, V. — MIKÀRKÀT dissimula- b., désavouer, renier, nier, se défendre en justice, •nier ce qui est imputé. Syn. Védi. désaveu, ^renieg., ment, négation. V. t. — MÎMKÀT MÎN, V. privoisé, b., renieur. n. être habitué, aips'habituer, connaître quelqu'un, lui. •^oclimaté Min dans ta le familier être . rëv ma, être pays. ^MrNADI, MINARI, v. être b., a- étour- vertige. V. t., apprivoiser. iMISKIN m., pauvre, malheu reux, nécessiteux. MISLOiNC m., tirer, plomb petit à grenaille. MISRA, Y. Mésara. MITA, MBIT m., mets sans assaisonnement. Malu mita, riz blanc. iMITAL m., image, représenportrait, tation, gure, n. étourdi, — iMlRLÔ, V. t. étourdir, donner des vertiges. MÎS, V. n., être apprivoisé. Mhilà milé mis nâ, cette biche est apprivoisée. Syn. Min. 'MÎSAL, hypocrite. iMlM, être n. V. dissement, être hypocrite, n. sournois, taciturne, sombre, dissimulé. m., hypocris'ie, dissimulation. teur, MÎR, voir des vertiges. Mu. MIK, V. Mèk. Mi, bien avec MIT MÎNÈL MÉTO avec — péni- difficile, j'ai 200 dessin, tableau. Syn. symbole, gravure, Natal. — fi- statue, , v. t. — Mî\ représenler, figuier, dessiner, peimlre, sculpter. JVllV m., boa. Syn. mu pour Mû, qui ma santà pas ce lui le le dire Mô l'a fait. Mô \ko dè\f, Du mô ma Mô c'est-à-dire. di, .pourquoi, c'est MÛ piler, interj. MODA, V. MOU, iMOTOH, des choses à cher. IMÔH, senifler, V. n. être -MÔHAL, .sen<fler, désenfler, MOKALKAT MOKAY faire MOL MOL soit poulain. bon pêcheur, V., m., se dé t. dé- MOLA MOLU, V. peu variété pro- ductive de cotonnier. MOHON, V. t. froisser entre mains pour briser ou duire en poudre. ses MOKA, mou, V. n. ré- souple, être moulu, dooile, souvaincu, attendri. moka, sable mouvant, pilé, mis, dompté, Sûf su terre mouvante. être bien Moka kilip, MÔM, v. t. as- souplir, attendrir, amollir, broyer, piler, moudre, dompter, assujetir, soumettre, maudire, t. faire — réprimer. n. V. faire im- triste fi- faire des imiprécations. n. pers., lui, elle. môm a, ma c'est là, darà lui. môm, ti Môm rien de lui. Môm Yakâru- n'espère sopâ, c'est je lâ que j'aime. iMÔM, V. t. posséder, avoir en propre. Tëré bi, mâ ko lui môm, ce livre, c'est moi qui moi le possède, c'est partient. Lu népà môm, ce qui commun, ce qui ap- à qu'il ajp- est public, monde. Môm bop'âm, être émancipé, maître de sa personne. être partient à tout le MOMA, pron. assoupli. IMOKAL, MOKÀLÔ, fleurs à gure pour cause de souffrance. .MOLULO, V. t. faire maudi- ; g., herbe g., blanches dont on se sert pour purger les chevaux. re, ifaire ! MOÏTARNI, V. t.e tordre la main à quelqu'un, tordre et fouler avec les mains les peaux dans la préparation du cuir loixlre le cou à un animal. MOHO pê- prorfession. b., des imprécations. précation, malédiction. désenfler. adv., ! broiement, sousoumission, b., tendreté, iMOLUL, v. broyeur, b., docilité. désenflé. MO'HLO, MOHAM avaler sans mâ- n. V. manger Mokal très-fin. dompteur. Syn. avaler. t. Vona. rendre fané ripetal, le« bè moudre cheur de se. se Mokal ap- bè né kilip, ou kalap, bien assouplir, écraser, triturer. ! ! ce art, plesse, interr. ah çà ?t comiment Se place au coniniencement de la phra! eh bien a scien- miliers. aussi, conséquemment. l'on une un ce, lui vahal la ko ? n'ostqui m'a chargé de P tah, Yêv. c'est que posséder bien savoir bien pris, a, qui, c'est elle qui. c'est lui MOM ao MÔMALÉ, dém. dér. de adj. Mâ, et Mi, Mu. MÔMAL, V. t. posséder pour que^lqu'un. MÔMANDO, V. t. posséder — MOM plusieurs ensemble chose. d'une mê- me MÔM ATI, nouveau. MÔMÈF session, d'un mèî tie domaine, pos- proprié- domaine, posses- mômèl ta Da- u Kayor fait pardes possessions du Damel. bokâ, là MOMKÀT tre le possesseur, maî- ib., d'une chose. flViOMLO, V. IMÔMSI, entrer en V. pron. faire posséder. t. t. venir posséder, possession. MOMULÉ, (MOMU, déni. et adj. Ma, de dér. Mi, Mu. MON, V. t. granuler le cous- cous. pourtant, adv. ce- pendant. MONOII, — V. t. triturer, pour réduire niofwhay b., écra- en poudre. b., tritura- tion. MONOHLÉ, V. t. aider à tri- turer. condisci'plè. V. t. faire tritu- V. t. faire tritu- rer. mo- sa dèf (Prov. Vol.) iMOS, pron. pers. dér. de Ma, Mi, Mu. 'MOS, V. t. goûter, tâter, essayer, expérimenter. Mos ko^ Mos ko, \nâ je l'ai goûté. iMOS, adv. toujours, constamment, perpétuellement, continuellement, sûrement, certainement, en vérité, vraiment,. Degà la mos, c'est très-vrai, je vous assure. Mos hè mos, môs- IMOSLÔ, faire \MONOHLU, pour MONU* darls Bul hegul nu dèf la ko, ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'oo te fît. Lui amul morom, ce qui est incomparable, sans pareil. Bu a~ jnul morom, incomparablejment. Digèn doywl à volu, ndégé lu mu la vah, vah ko sa morom, la femme r^e mérite pas de confiance, car ce qu'elle te dit, elle le dit à ton semblable. lô â-môs, éternellement. iMONOHLÔ, rer sang cor- le m., semblable, paprochain, autrui,, égal, goûte-ile. MONÀ, ser MO ROM rom nature, g., être, pus et le reil, g., Kayor sion. posséder de t. niasse rompu. propriété. IMOMÈL té V. MOT 20: soi. t. goûter faire iMOSMOSLU, V. n. sem- faire blant de goûter, d'essayer. {lèkèt calîebasse II) on laquelle granule le couscous. MOT, mot, V. avec vite. Mu adv. partir né. iné Né mot \ j véy, (MOR, V. t. châtrer, couper en paillant de porc, de bélier, de bouc et de chien. b., castration en parlant de porc, de bélier, de bouc et de chien. — MORÉ V. essayer. m., animal MORiKÀÏ b., iMORLÉ m., châtré. châtreur. abcès où il MOT, partit vite et disparut. iMOTÀ, V. t. faire main sur des passes chair de quelqu'un qui s'est foulé ou blessé un membre, masser. avec la MOT ALI, V. t. la retordre du MOTALl, A ^| ;| ^ % fil. s'a- j i V. Mat. V. Mâtali, dér. de ^ . — MOT no3 li ruya vah, achève achève ce que tu as 'Mat. }fotalil plirase, ta dire. coiïimencé MOTO m., hanche, aîne. Syn. i\ Pot. — uni rab, terrier, lanière. Mpah Lim bakïm, narine. Dér. de Vahi. 8\n. Kan. MPAKÀ, PAKÀ MPOKÀ b., iMOTOHAL, MPA tronc petit amollir en orange. lequel tacle, pierre IMOY, V. t. dévier, manquer son coup, son but, transgres- Bakar u V. t. coiume pressant, enfreindre, ser, désobéir, fail- détourner, se dérouter,. dévier du chemin se lir, Moy une y on, violer ; commettre religion, la un péché. Moy la bâh, dévier du bien. Moy lu bon, éviter le Moy Hial. désobéir. déviation, écart, manquer au kélifâ, supérieur, MOYLO, V. — m., violation. manquer. faire MOYO, de u Yalla, déjà begâ mosopèl ndiina II le que les MPAKATALU kcts) m. circoncis se de /aMpakatalu. (dérivé scandale. pierre de MPAL scandale. m., dignité, grade, dé- honneur. Han mpal, emploi, d'une dignité, d'un grade. Dér. de Fal. nm gii priver d'un MPÂL nête, terrestre. éviter, t. décli- ner, éluder, esquiver, se garantir d'un danger. Nit ka bon m., attention, estime. Baré dération, fection v. V. — mettent devant la figure pour n'être pas vus et pour regarder pendant leur séparation. être . — Fakatal. m., m., petit van comlayu avec un trou au milieu, men à don, l'amour de Dieu veut être étranger à toule afMOYTU, obs- coration, étranger à, rapport avec, n., être pas •n'avoir Niojèl yô'k V. pied, le d'achoppement. mpakâ, péché de bouclier. hay, dévier, faire t. on heurte scandale. me m., contre d'arbre plein mpal, d'attention. être inattentif, consi- mpâl, ®iV<i/câ nuilhon- impoli, ne point faire ataux bienséances. Ak mpàl, avec attention, attenti- tention diko mat nâ moy tu, un homme de mauvaise conduite doit vement. Dèf mpâl ti lef, mettre son attention dans une chose, Dér. de y être attentif. être Fâlé. évité. MOYTULÔ, v. t. faire éviter, faire esquiver. MPAD d'ime m., pansement, cure maladie. .Dér. de Fad- MPADANKÂT (fadân) h. qui métier de soigner les materme est presque toujours pris en mauvaise part. fait lades. Ce MPADU m., AÎPAH m., temipe. trou, creux, fos- abîme, antre, cavité, fourmilière dans la terre. Mpaih ^e. iossé, AIPALAH b., nuque. Mata ngâ sa mpalah, tu as mordu la nuque. (Prov. Vol.) MPA^À m., PANA b., cous- trempé la veille et conservé pour le lendemain. Ku rêré mpanâ, bo opé, fandé, qui soupe avec du couscous de H veille, s'il tombe malade, ne cous soupera de Fan pas MPAN\H (Prov. g. V. Vol.) F en ah. Dér. , — MPA : — MPE I MPANGAY, M PAR ni., tion. Pangay. V. défense, protec- la protection de Marie. Dér. de Far. MPOHde Far, Fer, For. de| Dér. Fèhé. î m MPÈNAL Ta mpnr u Mariàma, par MPÂBLU, MPEBLU, LU g., pâturage. Dér. en expédients. fertile ifèil), MiPÈNDAL m., apparition. | paj gne de dessous. cotillon, KiMmhàr\ Syn. Ditlay. MPÉNTÀ, PÉNT m., réu-f nion ou conseil public des no- i IMPÀRU Dér. m., de Fôs. — — Dér. de Fas. corde remplie de attache à nœud. m., grisgris, g., publique du Yalta, du partie dissolu- séparation. de mariage, Dér. de Fasé et de Fâs. MPASÔ m., résolution, détion termination, disposition. Dér. de Faso. IMiPÂT m., babeurre. Dér. de Fât. MPATÀLIKU, MPATÉLIKU m. souvenance, mémoire Dér. de Faté. (faculté). village. MpénVum jugement dernier. MPÈR, PÈR MPÈRÉ diTorce, place conseil, Dér. m., entourage de case. corps. iMPASÉ m., du de Fénià. nœuds qu'on quelque lieu tables, grisgris, g., PASPAS MPAS, panier. petit m., basse-marée, ju- sant, retflux de la mer. Dér. de Fèr. MiPÈRTÉ enfant b., sevré. Dér. de Fèr. — m., ablactation. MlPÈS m., soufflet, coup de la main. Dôr mpès, tal mpès^ tay mpès, souffleter, appliquer un soufflet. Dér. de Pès. S^n. Mbèt. moire, document. Dér. de Faté. MPEDA m., pedé b., jaune MPÈS m., état d'être rempli, plénitude. Dér. de Fês. MPÊSË m., flux de la mer, marée montante, marée haute, d'œuif. Dér. MPATÀLIKURAY MPÉGÀ, mé- b., PÉGÀ m., limites, confins, pourtoiir, bord, extrémité d'une surface ou ce qui la termine. Dér. de Fègà. MPÈGAL, MPÈGÉ g., cele, support, obstacle qui empêche quelqu'un ou quelque chose do se déranger. Dér. d© F&g. MPÊH, MPIH m., air frais, fraîcheur. Dér. de Fëh. iMPÊHALUKAY b., épouvan- tail. MPÈHÉ, MPÈHÉY m., expé- moyen, effort. Nit ki nâ mpèhé, cet homme dient, 5a- ré est de Fês. MPËT loc. (fâ), côté, à l'écart, à ment. Dental conserve cette coin à lef prép. à part, particulièreli chose tà mpèt,. dans un dér. de part. iMiPÉTÀ m., danse Fêta. iMPÉTAH tah un pigeon. Mpéson pigeon est génie. (Prov. Vol) Mpétah u àm rab m., là, Mariâmâ, colombe, tourterelTank'u mpétah, espèce de le. pourpier. MPEY acquit, m., payement, salaire, remboursement, ap- . — MPK 2o5 dtxlomniagcment, récompense. Sa li- — MPOMLÀ poîntoiiit'iil, «vpiation, métêy gèy sêtal est travail le yeux sur Fév la mpèy pénible, nui, jette si MPË^ m., natation, nVn-e, de Fëy. MPÈYAT tisfaction, m., réparation, pénitence. Dér. prise de les nition, de MPORAT jalousie oxplicationf, dévelop[>e'ment. Fîr. défi- î)ér. de commentaire. m., Dér. a la de fermenté. MPÔT m., lessive, linge blanchissage, lavage Dér. de Fôt. laver, linge. son esprit dans le mil. (Prov. Vol.) Mpita, su bafié dèh, sûh là nèl, si l'oiseau ne boit pas au ruisseau, c'est qu'il connaît réservoir d'eau. (Prov. Vol.) nàn^nân, -nàrJil n(%n quelque quantité que puisse boire l'oiseau, il ne boira jamais ce que boit un éléphant. (Prov. Vol.) Lu mpita baré barc du téré di dugup, n'abandonne pas ton entreprise sous prétexte de difficultés. MPO m., amuseiment, badiîïipitn /lé}', nage, divertissement, jeu. Dér. de Fo. MPOHÀTAN, MPOHOTAN m., Mpahctan am tcinka, du toire m., nata- vessie m., lavure de Fôt. Dér. MPOTU, de les- MPÔTUKAY b., buanderie. Dér. l>lanchisserie, de à du poisson. 'MP'ÔTlï sive. •MPITÀ m., oiseau. MpiV angm ta bénténgi, vandé nhèl àm anga ta diigup, quoique l'oiseau ^it [)erché sur le fromager, il ne laisse pas que d'avoir m., pain Mbûrû'mporohal, levain. MPOTAH MPIRITÉ Firi.. jarret. m., ramas, tas de ramassées. Dér. de Fode For. MPOROHAL, POROHAL femmes. Dér. de MPIRIT, 4lisselle. tabac. choses Firi. lyse, Mpaïkà. Dér. deFôn. m., bûchettes, menu bt)is pour allumer le feu. Dér. de Pon. V. MPIRI m., u Y. rât, MPËH, m. MPIR, MPÎRTÉ m., MPI H, un Lu MPOKA, d'une ca- ifaile MPOiN m., tabac en poudre, sa- Fèy, «ntre Pud. MPONIT <ie Dér. m., Syn. se. les Dér. récoiîipense. MUj.) Fôt. .MPUFTAN m., Dér. vessie, de Fuf. MPULl charge. ni., Dér. MPULITË destitution d*une de Fali, de FaL déposition, déplacement d'un grade, d'une place Dér. de Fuli, de FaL 111., MPCR, MPCRAY m., MPOfermentation. MPURIT m., écume, mousse d'un Toni mpurit^ liquide. écumer, ôter l'écume. Dér. de Fur. MPUT m., larynx. iMU, adj. déf. et rel. V. Mâ, Mi, Mu. 'MU, pron. pers. il, elle. ROHTÉ iMÛD choses MUP g. (S.), V. réduites g., expiration, t., en manger des poudre. bout, terme. Ta fin, arrière» mud ^ô, — MDD Mud enfin. — nue. le expirer, être à finir, finir être n. v dernier^ l'arrière, Lu nam haré-baré, dê.h, ndèm nebu-la ko, par. mud à queilqu 'abondant manger, épuisé, à caché. que (Prov. le par maux der- le di mettre en derau dernier rang. t. v. t. en faire >) de MUFLÂN. de jeter n., faire soutirer, ob- Jco (liai e. Miiholu nnon lui a àm yt'pu, jamais. adv. ko dèf muk, je ne mais. Lu di nav MCN, MUiNÀ sarde. vole (Enig. V., chiquenaude, b., , v. impatient. MULË (F) être impa- avec im- patienter avec p a tien dé. v. quelqu'un, V., que soules t. tolérer, supporter^ graAier, mutuellement, se donnerréciproquement des chiquenauder des. ' pays. Fufatâ. MONGÀ, MUNGÂLÉ, im- pron. dém. et Mu. IMUNAS m., encens du .Syn. (à adj. et n. MUNAL, v. t. d^^nner une chiquenaude pour quelqu'un, nasarder pour queilqu'un. 'MUNANTÉ, V. réc. se nasar- .b., Y. Ma, Mi, v. g., souffrir. primer. MULË, , ja- Yol.) a. — — îag iMUKÏÉ V. nasarder. Ak munadi, tience. naune- du imprimerie Bind'ak mul, imprimer. (F) donner t. ferai chaussure MUiL rel.. — ié autre sandales ordinaires. lier, g.^ le Hgélav. Oui est-ce qui sans jamais se reposer ? MUKÉ — sourire. n. v. pa- sourire. MUNAL, Du ma ? Le vent. Ak mun, tiemment. soutiré tout ce qu'il avait. MUKA, toléran- patience, g., 'MUNADL MUNARI, t., par adres tenir muk — résignation. chiquenaude, V. se- Yallœ Yol.) (Prov. tout. ment. tricher. n.. V. MUHOLU, n\u dé la accroi- - iMIIHA, résigner, se durée du temps dé- la souris, A. patience,, la patient avec les pêcheurs, mais il ne patientera pas éternelle- niet- se fi'i. poudre aux yeux, re. sem- n. faire V. blant de s'arrêter, tr-e de avoir ma mwnal bakarkàt y à, vandu mwn bè môs, Dieu est ce, dernier lieu. MUDMUDLU, pa- être patient, n. V. tienter, truit venir en dernier lieu. Ti hi, en dernier lieu, en ces derniers temps. MUDÈNTAL, inno- les yâ, posséder. Mun a g en, yâgâ bayivul daTàj il vaut mieux pa- bu mudé nier lieu, sans- . être n. V. ani-^ encore sont résigné, être redevenir, parler.. petits cents. M'UN, n. des Mûmin crainte, nier, MUDÈL., qui tienter, Yol.) aussi dit se Il être ATI, V. finir encore par. V. ne sachant pas encore ique tu ne l'aies MUP iMUDÉ, soit finira il moins MdiMlN m., innocent, enfant, J'hom- fins de nit. i V. , MIN 2oG le voilà? distance). MUNGI, MINGILÉ, MINGI, le voici MUNGILË,., (présent). MLNGU, MUNGULÉ, ou voil?i le voici le gèn, p.itient. bile, malin, faire patienter. cace. Mus na MCS, iulu/e). MUNKAï V. MONLÔ, V. t. sourire. faire t. tMlNMUl^LU, V. n. sem- faire patiente^. de 'MCR liomnie l)., Ml NLO, blant honlioiir, m., félicité, mûr, lieureusefortune. Ak nient ^akâ mûr, n'avoir pas de la chance. Baré mûr, être heureux, fortuné, avoir de la chance. Ëy ! ra idi, baré nga mûr, bè mut nàn^u ta gâl gii depâ. mon ami, tu as eu bien de chance, en te sauvant ainsi -du naufrage. éh iMUR, V. t. couvrir, cacher avec un voile. couvrir, de diction de Mur ;ges. voiler, — Mur u dan ta, Mur u ver, l)., voil^^'î". natal yà, couvrir les -soleil. — finesse, MIS, être n. A. sec. Sumà mnlân mus nu, mon [)agne sec. Mdlo n}i mus na, ce riz est est sec. <MGSA, Moyse. MUSAL, Y. Muflô. >MUSALKAT b. sauveur. ,MOS\NTU, MCSÂTU. v. faire de MtjSf], du per. éclipse de g. précations ndumibuf. MURÂKÉ, MUDAKÉ, MBURÂKÈ, M'BUDAKÉ m., couscous iaux pistaches et ensemble. 'MURI, V. t. au sucre pilé découvrir, dévoi- ler. MURIKU, 'être MURU, être MURÀKU, découvert, v. voilé, voiler. MURUKAY p. se se p. couvert, couvrir, se être • h., v. déoouvir. voile. ruse, par le finesse, ruse tromstrata- gème, astuce. MI SIBA m., suite de malheurs ou désastres multipliés dans ime maison ou une familM'UsilxVk hola. un déluge le. de maux. kiu, agir n. V. quelqu'un pour — n. ruse. Ja très 1 avec ruse. écli{)î>e même nom, du arbus-te 1 Bu mûs, habileté. artificieusement, touffus et épineux, à fleurs ressemblant à des roses d'églantier, à fruits ronds. Syn. Pal- I astuce, ruse, finesse, g., perspicacité, av^c MUR g., myrthe, arbuste touépineux, 'à fleurs jours vert, blanches odorantes. Un autre , astucieux, perspibè di vov(di garap, il est rusé jusqu';» fair© dessécher un arbre (Prov. Vol.) inî.i- lune. i rusé, ha- n. être fin, v. di- î la ! iMO^ m., chat. Mûs mu chatte. Syn. Dânâh. indéter- distance ( .MUSIRM.. V. imquelqu'un:. Y. Màsidadâr. t., MUSIDADAR, 'MUSLU MCSU, avec les fnire des contie délivrance. b., v. sucer, aspirer absorber. t. lèvies, MU8UKAY b., MÛT, V. adv. éponge. avec né. Fês bè né mût, être très-plein. \MUT, V. n. être sauvé, délivré, garanti d'un danger, se sauver, d'un lut, s'échapper, mauvais pas. se — tirer g., sa- délivrance. MUÏADAL b., MUTALOKAT prostituée. b.,, sauveur. — MUT MUTÀMUTÀ mous- petit V., presqu 'imperceptible. tique MUTLO, MUSAL, v. t. 208 | sauveur, | avec j b. Irbéraleur. Mre du bruif pour faire fai besoins aux enfants. \MUTU, sauver, , MUT MUTLÔKÀT, MUSALKÂT I délivrer, libérer, préserver d'un danger. — re les n. v. lèvres les N N, treizième lettre de l'alphabet volof, garde toujours le son naturel et prop^^e qu'il a en français au commencement, au milieu il devient un peu nasal au milieu la (fin des mots, excepté et des mots devant les gutturales g, g, k, h; 2° au commencement des devant B et P, N devient signe orthographique de mots, comme i. N se prod, d, g, g, h, h. la nasalité des consonnes suivantes nonce pas expiration et par aspiration Na, an. : M : : NAB N' pour na, N' pron. pers. il m'en NÀ, KÀN, ,NÀiN, que. S'emploie à ÂN, conj. l'impératif in- NÂ, l'aime. NÀKA, NIKT. NÀ, NI, NU, NÉKÉ, adv. ain*l, comme, autant. Lu nièl, ni niôni, ce qui na, ressemble. NÀLÉ, NULÉ, dém. ainsi, comme. NÔNÀ, Nôu^^U, adv. dém. NILÉ, comme si, sive que doit s'en il al précédente.) comme plus expressive adv. (forme que la l'ai NÀ, pron. il est pers. tfait Dèf je, Sopà mâ pers. parti. il. ko, nt j< elle. Dèn, nà, c'esl Bàh bon. NAB, NAP g., goutte, douleur intérieure des jambes quj ernpeche de marcher. • ain- (forme plus expresla NÔNÀLÉ, NÔNULÉ, ainsi, adv. pron. ko, je direct. lui ou aller 1er. elle. NABADO b., canif. NABAHLU, NADALU, \ v. t. W ou presser une chose pour' en examiner la qualité, comme on fait avec un fruit pour savoir s'il est mûr ou poyl ter dém. encore précé- dente). l'amollir. pour NA ÎMA. Nâ dèm, que je m'en aille. NA, contr. ipour nâ a, nu à. je dois Var nâ dèm, signifie transmettre par tradition, de \U ve voix de père en fils. j NA, : NÀBÉ g., JVABINÀ, tradition. — j . marabout qui v. s'al . — NÂD tribue le don âe prédire beaucoup de choses inconnues, prétendu prophète. NÂD, chaleur du soleil. Nâd vi >méti inâ, la chaleur du so- — est pénible. leil , n. v. faire chaud, être chaud en parlant de la chaleur du soleil. Nàd nà loi tèy, le sc'ilell chaud aujourd'hui. bien est courge, cigiraumont, Syn. Ban- trouille, b., gâ. NÂF b., tas de paille ou d'é- pines. en bourse d., cuir, cahas fait avec des portefeuille, joncs. — NÂFÈH imposture. g., imposteur. Yanènt bu nafèhâ, faux prophète, qui enseigne l'imposture. iNAG V., bœuf. Nag u digèn, b., Nag u n.dégèn, bœuf à Nag u alâ, bœuf sauvage. Fu nag nèkà, buki dé /a,, où sont les bœufs, là meurt l'hyèvache. bosse. ( NAH Prov. INAGÉ, — NAGAM b., — dissemeat. craniipe, être longue et NAGAMLÔ, la crampe, engourv avoir t la engourdi par une pose. V. adv t. pour- quoi. NAGATIN (L), v. sécurité, b., soi^ a de besoin [^w^rn suffi, JVAG UiM DËR, grande hélio, NÀH, beux. NtEH, t. donner bour être n. V. en troublé, parlant de re;uj. JVAH, grand nombre. V., 'JNAH, V. abuser, messes, tricher, suborner, — do faire fausses mettre frustrer, qu'un dans surpren- troiiTper, t. dre, séduire, pror quel l'erreur. tromperie, dol, stratagème, séduction, mystification, è., enfilade de poissons, b., de gibier. iNAKÀ tlNAHÂ, (NAHADI (S.) bas-ventre. h., 'NAHÀ, NAKÀ, quelqu'un plongé V. t. tenir dans l'eau, V. Y. t. NÀHAL, 'NBHAL, bler v. Naihari. trou- t. l'eau. NAHÂLÉ, .NAHASÂLË, trom« maître au dans per son travail, tron^perie b., sens, — même le supercherie. NAHAR, v. caresser. t., NAHAD NAKHAR, chagrin, tristesse, affliction, déplaisir, peine. Dahà na-^ iîar, chasser Ile chagrin. V., NAHARAL, ser de engourdir. c'est , suffire se sance. (S) vieillesse. même JVAGATl, perdu avoir sobri-^ . Nak. maintenant. adv.,' NAGU, V. n. même, n'avoir sonne. b (L) Y. conj. NAGÈN ^NAHANTAL, Vol.) NÂG, V. n. mémoire par — un sobriquet. quet. iNÂH NAFÀ ne. — trope. jVAD, V. t. peser sur, presser. JVADAT.U, V. Nabahhi. NÀDAY d., V. Nidaj. NÂ]>É, V. n. se mettre en voyage ou au travai' après le léver du soleil, se mettre en retard le matin. NADÉ, NApô 209 la JVAHARI, v. t. peiner, cau- peine. NAHADI (S), v. t. affliger, chagriner, peiner; contrarier, tourmenter l'esprit. Nahari attrister, dèrèf, être de , NAH itiauvaise NAM humeur, être acariâ- NAHARILÔ, faire ter, y. faire t. être réf. attris- v. p. chagriné, affligé, et pei- né, se chagriner, s'attrister, s'affliger. NAHÂT, NAHÂTU, arner, der, chez iNAHATIT dans b., du brodeur. trouble b., t. NEHIT sédiment, v., dépôt. iNAHKÀT trompeur, b., gé- ducteur. NAHLÉ, V. t. aider V. t. faire trom- à meiS'M". NAK ATI, /NAHNAHLU, blant de n. v. sem- NÀKnA,Y. Nahâ. extraire 'NAHSAY, (parlant n. v. se dissiper, ou nuages de de paroles. NAK, conj. or,quant à, donc. Mari nak, or moi, quant à moi. Môm nak dèfiil tus, quant à n'a rien fait. Lëgi nak, maintenant donc. Vandé nak, lui, înais ou V. Nâ, Ni, Nu. conj. comme, com- ment. Nàkâ demande la désinence du gérondif quand il est entVc deux verbes dépendant l'un de l'autre. Var nga ko dèf etc. qui ce pressuré. a pressureur. b., en- pressoir, b., pressure. l'on j\AM, adv. certes, vraiment. Vav nàm, oui, certes. Dët nâm, adv. réponse non, certes. faite par les enfants à un appel de la part des personnes — v. Èbu dési- ta, ku la si tu vonê, nga gâv à dèm, ta liTido es dr ii, qu'on tu t'y que plus NAMA, ler, dans un en- aller à >i désires, le envoie, tu vite. (Prov. V. un repasser tranchant. b.> iras Vol.) aiguiser, trument lors- n'y émoudre, t. un personne, nâmâ ta, ? regretter, t. une revoir rer , comment quoi, 'NAMA, iNAMÀKÀT cependant. adv. qu'on ce NALKÀT droit l'huile, tourteau, V., iNALUKAY il NÀKÂ, ^ÀKÀ, suc, le de reste pays. tromper. et NAKllAR, V. Nahar. NAL, v. t. presser, pressurer, tromper. faire pour nâkà adv. ati. âgées, per. NAIILÔ, dèm, la allait. en NÂLIT tromper quelqu'un avec un objet, amuser les enfants pour les tromper, tromper en johant. INÂHIT, Nàkà ? A'^â- comment dèf. s'en il dit. , limaille. iNEHAY V. a faut le il l'ai b., mil pilé et prépagâteau ou eh boisson. Nakn véy nà idiu, le mil pilé et prr'p;n-o ne peut plus être se- l'eau. NAHÉ, te INAKA ré enfants. petits 1., NAHÂTUKÀT IxNAHAY, bro- t. — — mollesse b., les je nien lil comme décoration. NAIÏATAL crâne y. enjoliver. broderie, b., ka ko vahé, la couime pourr;tis-je faire affliger. INAHARLU, JVAHARU, 'en nlïka nia f;iirc tre.' effi- ins- remouleur, aiguiseur. NAMALÔ, NAMÈL v. t. faire aiguiser. désir g., de revoir personne, un pays. NAMO b.f tonnage, patente. une iNAMPA, v. t. téter. Ku amui ndt'v (Prov. ^AMPAL, b., Gom Vol.) chancre najnpâ, di de grosses fraises (\'u\ go ni assez agréable. Syn. Dun, de pas grand'mère. gii me luàm àin, œhii mère téte sa iiainpii n'a qui V. \ANCA, NGAKÂ, - allaiter. t. daké. allaitement. nourrice. faire ber le liait dans la enfant quand on trait ne b., b., ventouse. pierre à ^ÂjJS, ai- v. tcllç ce?.i, Miki chose. telle chose. Na, conj. NANGARA d., espèce de graine qu'on ramasse dans la ter- s'abreu\er. boire, t. v. mandi, s'enivrer. Lu nântil nân u mpitâ nânnân, fiéy, quelque quantité que boive un oiseau, ne boira jamais autant qu'un éléphant. hè JVdn et ceci /ais sénèn diu vah la nangnrn, ainsi par exem* pie. un individu vous dit telle, cous. V. le iKingani, et lNÂN, nâ en. telle chose dont on ou dont on ne veut pas nom. Dèfal ncmsgam ak sait dire \a- les ches. INAMUKAY adv.,/i^n toujours XANGAM, tombouche d'un guiser, regarde haut. .NAMPALKÀT h., NAMPATAL, v. t. NAMPAÏAL V îigaka, rju'on et re du pour pile dans couscous, fair^. <'n temps les famine de ill (Prov. — Yol.) breuvage, iNAN, avec V. gôri — b., rude. être rigidité, peu. rlVARAH. briller, /\ANAR1, ne V. point être t. reluire, n purger, ter, rayon- faire — t. aljreuver, le fer. — , v. purgatif. NANDOK g., h., par un fruit abreuvoir. dont les terminent arrondi en for- voler t. de t. recevoir, adniettre. 77itm, con^^ adopter. supporter, résigné. la an» endu« Nangu correspondre à — accep« approuver, yiv. grâce, . dre, — liane tiges très foliacées se v. aii, v. saisir, prent. s'emparer de force, déva. liser, voler avec violénce, usur per. Nangu nà fogèt su ma gétu, il a complètement volé mon, v. t. être favora. troupeau. divine. b., uNANDALUKAY V. être Yalla, prendre un pur- pour nk rer, t. gatif. mangii nouveau, aquiescer, sentir, ar- purgation, purGarap u nandal, remède gatif. de NANGU, brillant, ga iNANDAL, V. tremper de. nouveau. nant. roser, dér. , NANGÔTI, l>oire. être , NANGORI, NANGOTI, v. être. rigueur. recevoir tNANADI, n, v. fâcheux, malveillance, g., , Nangu. n. me.it. boire ari), rigide, — — être beugler, mugir. mugissement, beuglev. nangii ( glaire. nangii adi), nan^ ( maiHeillant, Né né. nan, briller, être brillant, rayonnant. Lêr nà nafi, éclatant de lumière. NANÀ, iNANGÔDI boisson, g., de boire action adv. JVANGEÎNTÂN m., hie ! parlant des à . produire, j être chajiips. fertile er;. NAN NANGUÊN 2 acceptation, ap- b., NANGUKÂT accepteur, reravisseur, u- b., preneur, HUrpateur. 'ccveur, .NANGULÉ, ou à aider t. à ac- faire n. v. ra- NANITOY, vu NAPATKÀT (iL) b., teintu^ n., être boueux. V. NAPATUKAY iNAPI, (L) b., où lien teinturerie. teint, V. aller pêcher. t. 'NAPUKAY sans n. être dépour- iNÂR agir comme un sapajou. V. d'esprit, 'fou raison. NÂ'NKÀT NA'NKU de lieu .b., pê- la buveur, ivrogne. b., dont on étoffe mouchoir petit g., iVÂNLÔ, V. s'enveloppe boire. faire t. NANNANLU, n. V. faire sem- et sug. blant de boire. NAiNU, nous pens. nanu, nous avons faim. pron. pers, suj. ils, Rèy nàfha ko, ils l'ont tué. Nag ya rër rhCBftii, les bœufs sont perdus. Dégâ nâilu ntov ta alâ, on a <;n tendu du tapage dans la forêt. on. N.\NU NANU, V. g.. Bahâ. /langue des b., iNAR, A. n. Maures). — les Mau- mentir (comme v., mensonge. ]\AR U GÔR, cheval de race, de la (grande espèce. iNARI d., enfer. INARKÂT menteur (com- b., maure). NÂRLO, v. mentir. (faire t. NARNARLU v. — b., pi- Genâ. NANUKAY faire n., sem- lieu où NANVAR, v. la mer. V. à iNASAH, NAT caba- IN AT, n de suinter, sourdre. n., — enfilaile 4)., de gibier ou de poisson. l'on boit, misérable. misère. b., pintade. V. V. n., être g., n. prendre subite- ment. jouer à la NATÂ, V, n., couler de, suinprocéder. Dérèt ^nutâ nâ, le sang eoule. ter, NAPA (né) être bien ajusté. 'NATA, NÀTÀ, NAP, V. Nab. NAPA, v. t. enfiler à une aiune corde ou a un bâton, du gibier, du poisson, guille, pour pe lotte. NAP, NAS, NÀS, ustensile guinguette. infernal. g., iflux iNASAHTÉ b., cantine, NARULAY, iNAS et^., enlacer. ver- callebasse, petite gobelet, calumet. pe S^n. 't)oire, Maure. Golo'g nâr, blant de mentir. NAI^U, elles, — me un pron. Hîf b., res. tête. ret, teinilre. t. che, pêcherie. vir. re, V. rier. l'on ravir. JVANGUNAINGULU, la (L), INAPATO, V. semblant de recevoir ou de "OU NAPAT, Syn. Sû'b. probation. "Cepter 12 v. t. pêcher. — b., pêche. CS'APAKAT NAPALO, b., pêcheur. faire pêcher. t. t. mesurer, NATAKAT, NÂTÂKAT sureur, v. V. peser. b., me- peseur. NATAL, V. t. figurer, représenter, dessiner, peindre, sculp- — i3 Syn. 1er. — Mitai. re, image, gravu- h., dessin, portrait, (figure, sym- tableau, buste, statue, •NATÂLÉ, lNÀTÂLÉ, mesurer, à .WTALKÀT V. t. -ai- à peser. des- peintre, b., NATÂLO, V. NATÀLÔ, NATÀLO, v. mesurer, v. faire t. pour soi. NÂTÂ^ATÂ- semblant do me- n. faire surer ou de peser. NATAPINSOR iNATARI a'vec de espèce d., des sauce pistaclios XATATAL, NATAYAL ra- g., ' NATOIIUNA, perdre n. commen- tête, h devenir v. la des actes de folies. NATU, NATU b., mesure en b., ment servant 'NAV balance, g., pitation, à tout instru- imesurer et boisseau, sternum. respiration. — — à etc. g., g., pal- au Nav stupéfaction, surprise, peur. am dog nâ, sa respiration est suspendue par surprise ou fig. peur. NAV, ter, V. t. louer, -vanter, exal- estimer. Nàv sa louer, se flatter soi- aidmirer, bopà, même. se — iav hn bu ko ûc- hal, i des saison des pluies ar- la si pleuve des charbons allumés, ne les brave pas. qu'il et Vol.) NAVÈTAL, V. faire de n., Di nà navètal ti ngôn, y aura de l'orage ce soir. NAVKAT b., louangeur, van- il teur. INAVLË b., louange, ^admiration, estime. éloge, camarade, sembla- b., même condition. Mbahana niô natà sa hopa té dékn ta, bu ko natà ii sa bop'n navlé, si le bonnet que tu essaies de ble, la à ne te le pas convenable, n'est mesure le sur ipas tête la de ton semblable. (Prov. Vol.) Détay u navlé, société de gens de même :général. NATUKAY saison Navèt, été, b., hivernage. di mén, rive du et bouillie. peser, vo- l'orage. de singe pilés ensamtble pour entrer dans Ha composition d'une espèce de lâh ou faire diké, oiseau. b., pain fou, NAVET (Prov. (L) Syn. Ndintar. cer à il — NAVAL^b., cerf- volant. NAVAN U OÊT g., poisson I)luies, peser faire NATÀiNATÀLU, tière. dal beau voler, revient toujours à terre. (Prov.. Vol.) g., vol d'oiseau, essor. faire t. peser. faire NATALU, NÂTÂLU, faite Tnarcher lant. mesurer, V. ; Lu mpità nav~nm, l'oiseau a suf, ti couler, faire t. suinter. n. voler en l'air Nnv fer ou fur, vo- ler vite, à tire d'ailes sinateur, sculpteur. LU, v. très- vite. bole. der NAV, s'envoler. condition. NAVLO f. NAVLO, faire t. v. voltiger. louer, faire t. faire exalter. NAViNAVLU, blant de iNAVNAVLU, faire n. V. louer, sem- faire de vanter. V. n., voleter, semblant de voler. iNAVTAL, V. t., abêtir. Lë.gi nga iruavtal ^halèl bi. tu vas bientôt abêtir l'enfant. 'NAY plein b.. Il jour. une apparaissant en — , w. t. dévorer, manger avidement. Syn. Fui/c- halé. 8 , , NAY h NAYf, V. n., r-ester en Triche en (parlant d'une terre qu'on a cultivée jusqu'à NDA 1., l'épuiser. balasse, jarre du pays, grande cruche en terre cuite. Défarkât u ndâ, potier. NDAB du résine 1., bao- bab. NDABALI aux sauce g., eé- dèm. NDADA m., écart. NDADALÉ g., accumulation, rassemblement. Dér. de Dad. NPADÂ'N 1., danger, péril. NDADÉ m., réunion, jonccongrégation, assemblée, tion, concours rassemblement, d'hommes, conférence, conseil. Ndadé ii dèh, confluent. Bérêb u ndadé, rendez-vous, lieu du — Dér. de Dad. de chant^ qui fait rendez-vous. chœur m., refrain. le NDADÈNT m., assoupisse- ment. Dér de Dadèntâ. DAËL NDAÈL, m. animal sauvage. NDAFAL^NG 1). petite piro- gue. NDAFËL g., (NDÂFUR g. action de raconter forcément ses actes. iNDAG, pour ndagé. NDAGABÂR m., pélican. [NiDAGALAR grand d, prière, supplication, tation, Dér. m., de sollici- demande. Dagân. NDAGË. NDÉGÉ, NDIGI prép. cause, par amour de. à Ndagé Yalla, par amour de pour, Dieu. Ndagé yov, toi. V. — — Ndah à et Ngir, cause prép. de — ndégété, conj. car, pnrce que, puisque. Buî bakar, ndéyc , , Yalla di na dân bnkarkât ti m>ne fais point de péché, car Dieu punit le pêcheur dans le feu. V, Ndah, conj. fara, NDAH adv. ? interr. que ? Ndah di nga ce que tu partiras ? est-ce dèm — .^^ est- ndahté prép. pour, à cause de, par amour de. Ndah Yalta, ndahté Yalla, par aimour de Dieu. V. Ndagê conj. nâ la , — — et Ngir, prép. que, ipour que. aifin , ko ndah dô dum, V ali je te que tu he te trompes ipas. Ndah sptal, pour finir, bref, enfin. Ndah du, de peur l'ai dit afin que, afin de ne. Y. Ndagé, oonj. NDÂH résine b., du figuier sauvage. NDAH, NDAHTÉ b., abondande poissons qui mordent l'hameçon. (NDÂH m., perplexité. Dér. de Dâh. NDAHÀ m., action de chasser, de renvoyer, poursuite, victoire. Dér. de Dahâ. ce iNDAHA petit pot. b., m., espèce de porc sauvage à grande queue, ayant des griffes et creusant des tanières appelées- pah i ndahat. NDAHNAT scor- pion. NDAGÂN i I NDA NDAHAT arrestation. rage, | I — 1., gros mil rou- geâtre. NDAHTÉ prép. V. Ndah. NDÀkÂR V. Ndékàr. NDAL b., daî b., campement. NDAL m., homme qui n'a plus de dents de devant. NDALAH attache au NDALAL ib., grisgris que somment de la m., action de l'on tête. cal- mer. NDALRËN, NDÂLO m., V. Ndehalbën. crime de l'a-- — NDA Dôm du Itère. NDALORË toire, ii Dér. adultérin. d., ndâlô, enfant de Dâlô. chronique, his- et gestes faits homme. gestes d'un NDÂ'M esclavage, ig., captivi- asservissement, assujettisement. Dér. de Dâm. Borom-ndam, victoire. rieux, glo- Ak ndam, victorieux. glorieusement. NDÂiMÀ de la m., vérole. Ndèndâ ndain- — Naku. vérole, , v. être iNDAMBALÂN m., jardin ou entretenu et entouré toute Tannée. NDAMBÂR intrépidité, g., courage, prouesse, hardiesse. Dér. de Pambâr. NDAMBÂÏ renom, bruit qui court. Dér. de Dambat. NDAMBÀTU b., b., plainte. Dér. de Dambat. NDAMBOL gros g., bâton, massifie. NDÂMBtjR chissement de de Dâmbûr. g., la NDAMBURÂN liberté, affranservitude. Dér. femme b., prostituée. Dér. pude Dnmbùr. .^DAMBUTÉ b., ]., perruche qui n'apprend pas à parler, perroquet du pays qui est jaune sous le de ventre. NDAMTÔLI couscous mê- b., de son. lé ND'ÂMU g., d'esclave. tion, adoration, serDér. de Dâmu. insurrection, 'Changement de maître en par- châtiment, g., puni- correction, 'NDAN peine. chasse d'un métier 1., de tisserand, ndan u se de fusil. NDAN, V. n. contre per sur un un ter champs blique, NDAMNDAM, NDAMDAM sorte d'adoration. variole. bravoure, héroïsme, li- — Syn., petite la la girafe. ndamhal, tacheté de bal, vacciner. Syn. tirer, poisson -mord. de tirer la ligne. action b., n. V. le NDAMUEL, NDAMUÊN, NDA MUIN g., manière d'adorer, petite 1., la petite vérole. avoir NDAMLU, gne quand NDÂN NDAMBAL Ti. Dér. 4e bosse alà. Tipèntikii Dambu. rivalité. m., sans bœuf espèce. NDAuMALÀ yélèm u Dér. de iNDAMÉ Dam. vice g., petite lant d'esclave. honneur, gloire, 1., NDA esipèce té, servitude, NDAM — d'un per- Nétàlikât i ndaloré, sonnage. chroniqueur, narrateur. Ndaloré ak manoré u nit, les faits •et 2l5 'NDAN fétal, cros- choquer, heurgrim- obstacle, arbre. m. (dafi),., action de caracoler. 'NDAN, DAN m., grande che- velure. 'NDANAH NDÀNAV, NDANAU m., muscle du bras. V. g., Ndénav. clématite iiéris- sée. NDANDÀ m., ce qui n'a pas fermenté, azyme. Tèré'ndandâ, couscous fade que Ton n'a pas laissé fermenter. Mbûrû'ndandà, pain azyme. " iNDANDAHÊR b. blan-c d'œuf. iNDANDAM g., petit buisson toujours A'ert. NDÂNËL, m., action de renverser par terre, de faire tomber. NDANÉV d., autre monde. — Teradi n^néVy agul mal être couché n'a pas lieu en l'autre monde (Prov. Vol.) NDÂNGÀ Syn. portefeuille. d., Nafâ. v. une fair« t. razzia ide tout ce que l'on i>eut rencontrer, piller, dévaster, envahir à force armée. I., incursion, pillage, dérazzia, vastation, déprédation. — NDANGAL collier de g., peti- perles. NDANGALKAT, iNDANGAM g., pilleur. b. ble icacina du SéLe fruit mûr ressemun peu à celui du vorat, ]es feuilles négal. de celles à ner ensuite, ne ferait-il pas mieux de la laisser dans le plat où vous mangez ensemble (Prov. ? né Am Vol.) ma : la disent èn la bega gis, tiens, : ger sur la ; il et tête, iNDAP nâ ku hôbà y en vais je voir ton pannier. te c'est (Prov. ià &a qui a char- pour Volo.) cuir brute. L., NDAPÀ m., prise, retenue, confiscation. Dér. de Dapà. NDAR, île et ville de 'S. Louis. fleuA^e du Sénégal. iNDAH b., passage sur un chemin. Dâr u pût, nœud de la gorge. — , iNDÂR brasier. 1., NDARGO l'oran- variété hativo de g., cotonnier. ger. NDANGÂN NDANGAT m., ex- lecture, Der. instruction. plication, NDARING marché. 1., NDANKÂ, doucement. le singe. Volof). NDANTU exaction. NDANU m., chûte, tomber par NDANU action de état d'être déche- V. Dan. velé. NDAP ou contenant quelconque pour consei^er ou porter 1., bagages, dos bassin, ses, gamelle ; vase plat, callebas- pannier, pot, bagage, (provision. Lu vây girô'k yov, di la itiay, mu ko ba ndap là ngën jaj bokà îa ? si un ta homme s'emp«are nourriture pour t'en dotfi- scie, NDATARI g., poisson. être court et cheveux flot- tants. NDATU, V. t., monter sur un grimpant. iNDATU d., chevelure arran gée en longues tresses sur tou- arbre te la en tête. uNDATUKANÉ terre. b., b., NDATA, V. n., gros, membru. Ndanka-ndanka, cement qu'on attrape enchérissement L, de Dar. NDÂSAN doucement, adv. très-doucement. Ndanka ndankà dapà golo, c'est en allant dou(Prov. JVDARTÉ Dér. lentement, à basse voix, pacifiquement. Vahal ndankà, par- de l'antre b., l'yène. de Dangà. (Je NDA ndap harpe. 11., NDANGAL, le — la JSDÀNGAL tes -210 NDATUR g. g., vernonia. V. ^détur. ;NDAV, jeune, petit. G or bu ndav, jeune garçon. Digèn du ndav, jeune fille. Halèl }>u î\dav Bây là, c'est un jeune enfant. bu ndav, jeune père (frère cadet du père). Ndèy dm ndav, jeune mère (sœur cadette de la mère. Deker bu ndav, jeune mari ( frère cadet du mari). Dabar du ndav, jeune épouse — NDA de (sœur cadette Vêr vu ndav, femme). premier la tout 217 le quartier de la lune. I)oh ma pâkà bu mlav, donne-moi le pondavèl g., lit couteau. i^., jeunesse. .4/ i ndav, temps de la — — jeune>?e. M)AV s., jeune messager du iNDÂV iiSPËBAL salut esclaves à leurs maîtres. des On NDÉBALU soi-même. : de offrande g., NdéJyalu'Yalla, pro- de Dé- Dér. religieuse. fession bal. médecine empiDér. de g., charlatanisme. rique, Débar, Da.har. iNDÉBARGË buisson à à gousses plusieiurs graines g., blanchâtres, feuilles • rougeâtres. NDÉBÔT, NDOBÔT ré- Vav avec le nom, et si pondait on ne connaissait pas le nom, Vav gôr ! on disait NDAV AL b,, A'iande, poisson ou autre mets qu'on mange avec le couscous ou Je riz ou les légumes. offrande. Dér. de g., Débal. renfermant roi. autrefois ! .\DE NDËBAR iille. député, Èbal ndav, yékaii messa^vr. ndav, envoyer un messager, députer un envoyé. Ndav u bûr, eii\oyo, ]., ] — g., ména- ge de famil'le, charge d'entretien de subordonnés. Dér. de Bot. : NDAVDIN, NDAYRIN nomie, procure, d., éco- administra- tion, intendance. Dér deDavdin, Davrin. b., intendant. NDAVËL, V. Ndav, g. — . NDAV'KUiNDÀ, noble dans royaume du Yalo. NDAVRAN, Y. n., tirer la le bon- ne aventure. NDAY g., seau servant pour traire les vaches. iNDAY marché, action de vendre. Dér. de Dây. m., marhandises à vendre. NDAYÂN g., hamac. NDAYFËR V., espèce de réservoir pour conserver certains objets dans une case. g., vente, — NDÈ, conj. NDËAT talité, Y. Ndégèm. m., NDÊTÉ peste épidémie, morDér. de 1., Dë. NpÉBÀ marques b., cheval ayant de? blanches aux pieds. NDËF fumier bouse, 1-, de vache. NDËFANDUKAY, NDÉFO de instrument travail, b., outil, contenant, récipient. Utàl ndèfanduikay fô soie sôv milé, cherche un contenant dans lequel verseras tu ce NDÈFAR lait. m., construction, préparation, arrangement, ordre, rétablissement. Dér. de Dèfar, de Dèf. NDÉFARË bouse b., de va- che. NDËFË m., préjugé, opinion. Dér. de Dcfé. NDËFËN cher sur NDÈG Lu di (teda), prix, 1., âm ndèg cela coûte prix. v. n. se cou Y. Défënu. coût, valeur. qu'est-ce que lu nêh, bon le ventre. ? Ndèg ? Ndèg lu méti, prix élevé. Méti ndèg, être cher, d'un prix élevé. NDÈGÀ m., caravane. (NDÉGÀN, DÈGÀN b., bosse pour les animaux. Nag u ndégân, bœuf à bosse. NDEGDOR h, terre tenant 1« — NDÉ milieu entre la terre g^laise et NDÉGÉ à interj. ! indifférent. iYdésré ! de surprise événement sotal nga dëg? d'un l'occasion liens tu as déjà fini ? NDÉGÈM, NDÉM, NDÈ, cas puisque, que, conj. au si, que. NDEGERLU Dér. effort. g., de Dêher, Deger. NDËGÉT ou paille 1., ro- avec lesquels on fait des ndégèt. nattes appelées lâl i Syn. Ndés. \\DÉGÉTÉ V. Ndagé, seau NDÈGÈTIT ndégèt g., g., plante à odeur pénétrante produisant des graines couvertes de qui piquants et sentiers. On fois la envahit confond les par- haham. avec le NDEGMU, V. n. tenir la main menton en appuyant le coude sur le genou. NDÉGU, V. n., prendre quel- sous NDE NDËKIT m., reste du déjeu- le que chose le matin, casser la croûte. NDEHALBÊN, lNDALBËN principe, NDÉKÀ g., commencement. bienfait, 1., heure où femmes commencent à piler le mil. Di nânii dugâ pi ndèl, nous nous embarquerons >ApÈL, 'avant-jour, les avant lNDÉGÉ, y. Ndagé. pourvu — ner. sable. le 218 ^)résent. Dér. de Dèkâ. le jour. NDÉLÀ, gle, iNDÉLÀ une V. Dèlâ. grisgris b., dont 1., mé- double pend sur partie la poitrine et l'autre sur le dos. lNDÉLENDU (L) V. Ngélémbu. NDBLENG. être Çné) dénué de tout, être dans la misère. NDÈLÔ m., restitution. Dér. de Dèlu. NDÈLU, V. n. partir de grand matin.' NDÈLUSI m., retour. Dér. de Dèlu. NDÈM, Y. Ndégèm. (?sPËM g., effort, essai, entreprise, épreuve, expérience. Dér. de Démantal. ,NDEMA g., sorcellerie. Dér. de Deiiiâ. NDÉMANTAL m., instruction, apprentissage, enseignement, doctrine, leçon qu'on donne. N démantal 11 y ôn' Y alla, enseignement de la relignion. Dér. de Démantal. iNDÉMANTU NDÉKAR, NDÀKÂR louche, bi- n. être V. bigler. instruction, b., enseignement, action d'apprendre, leçon que Ton reçoit. Dér. action mauvaise, inconvenante. Ndèkâr am nâ tèy ! cephrase la va mal aujourd'hui de Démanlu. dont on se sert quand on surprend quelqu'un qui a fait quelque chose d'inconvenant. Dér. de dèkari, de de transplanter. Dér. de Demi) Ut. >»PËX, adv, V. en arrière, à renverse. Dânii ndën, tomla I)èkâ. ])er à fait, ! exclamative (NDÈKI 1., déjeuner. — , v. déjeuner. NDÉKILO, n. NDEMBÀT la ^DEX baTKfuet, faire déjeuner. marcotte, g., ac- tion XDE\ renverse. 1., den festin. g., 1., Y. repns, régal, Den. arbuste très épi- — NDÈ 2 IVPÈNA, mettre n., V. gue rampante, liane quente sur par la mer. sable le lon- très fré- NDEPÀ abandonné NDEPÀ semblables. ses Dénda. — » NpÉPI m., marché, emplet- Npf'NDA .V. NDF.XDA m., t. V. vacciner. NDÊR appelé mépris mêlé d'a- m., d., souchet comestible quelquefois amande de terre. NDEREHÎT ner. mpitâ, plante NDÉRÈR NPÉRÈR nonia. NPË>DT, XGEADI L, \pË_NDU, XPËNÉ putation, inculpation. Dên. INDÉCNER viille, peuplé. p. être vacciné. accusation, im- V. b., Dér. de terrain sans herarbre, comme ceux ]., sédiment Syn V., Ripât al. res- semblant beaucoup à une ver- très-grand village bien V. Dèndi. un version, de colère. Dér. de Dépi, NDËR d., V. Babak, tamtam. Tega ndenda, battre le tamtam. iNpf:NDALO, V. t. faire vacci- NDENDEM garder pour t. autre. objet acheté. te, V. NDEPAL de Dér. acquisition. .'achat, roi soi. action d'acheter, d., le couscous sans lalo. t. garder pour b., iNDBPÀ, les sommet le de la tête et autrefois pour son élection. ÎSDÉNAV, uNDAISAV L, homou animal qui l'emporte NDÊNDÀ être déchevelé. p.' bandeau dont 1., femmes s'entourent me ëur tous NDE de la chair. i\pÈNU, V. les de — tJSPÈNTÈF g,, passion, mouvement de l'âme. Ndèntèf yu bon, des mouvements déréglés graines odorantes. et à Syn. Horompolc alû, not, ndenedidèk. neux clïeveuv en désordre. NpF.NÀf 1., espèce 19 • poisson. criquet voya- sole, b., g., geur, sauterelles qui voyagent par nuées et dévorent tout ce qu'elles trouvent de verdure dans les champs. NDBRGO ge, variété g., de cotonnier. NPÉRIN m., propriété, hative avantausage, utilité, intérêt, be et sans qui sont inondés par des bras de mer, Syn. Tau. uVDÉNÊr"^ (dal), loc. V. atta- rapport, fruit. Garap gi amul mena ndérin, cette plante n'a aucune u,tilité. Dér. de Dérin. quer dre quelqu'un publiquement par des reproches. NDÈNGÉ on mange graminée g., les dont graines en temps de famine. NDÉNTÀ nir, de ,NPÉR1NAL b., action de rend'avantager. NpÉ'RTT y., vannures. utile, NDF]RMELU, NDÉS m., recéler, action de de reteconser>er. Dér. de Dénia. i^pÈNTÉ g., passion, mouvement de l'âme. v. pr., se pros- terner. Syn. m., espèce Ndégèt. XDf'SÉ 111.. de natte. -tupidité, bêtise, Dér. do Dèsf'. NDËSGt:M b., ricin. NpETAY g., compagnie, so- NDÊ 30 vivXé, entretien, rapport, séjour. Ndétay ii nâvlé, société de gens EVér. de de même condition. NDÉY m., espèce de gros oiseau blanc ayant quelques plumes rouges. 'NDÈYDOR Détay. " NDKTÉ Ndëat. Ndëté'l ver, lin de la lune. Dér. de Dë. NDËTUR, JVDÀTUR b., deuil d'une veuve. 'NDEV m., dénigrement, déV, 1., d'une traction, action de pariler [>ersonne qui -n'est pas présente, fût-ce même de choses in- Dér. différentes. INDÉVÉNAL NDËY cret, confidence, 1., ndëy, Ti à V. Ndèy. belle-mère par rapport aux enfants que le maa ri secret. se- sa ma NDE Y mère d., tante, ; (sœur de la mère). Ndèy du mag, tante, sœur aînée de la Ndèy du ndav, tante, sœur NDIG 1., NDIGAjL NDTGALÉ ciété, ligue, — proAient principe, origine d'où autre chose. a gif La gay grand que soit un pour pépin réy-réy, âm, ndèy di le quelcjue baobab, il a mère. (Prov. Yo.) JVDÈY de pitié, hélas ! ! NDf:Y8AN de c )rrip ! i>5ion, interj. eh ! rein. ' conseil, b., ; avis, promesse. ar Dér, association, g., liaison, noyaux des naire de ^J'année musulmane. Ndèy dagup (mère du mil) vid., gne sauvage du Sénégal dissimula- so- compagnie, congrégation, de tous les enfants nés des sœurs de la mère. Lô nakanakà nhèl, ham nga né dâbar u bây ndèy la, quelque dépourvu d'esprit que tu sois, tu sais que la femme du père est la mère. (Prov. Vol.) Ndèy kôr, (mère du jeûne) vènie mois lu- ; semer. bécasse. b., feinte, vertissement de Dig. Dig, dit femme. de de Dîdii. Dér. cadette de la mère. Bokâ ndèy, avoir la même mère se première JNDîpU 1., dérision, censure maligne, ironie. Dér. de Dîdu. Dér. de Dëy. ndëy, dis -'lui mon secret. d., d'une NDIBERLË NDlp ]., tion. en secrètenuuît, interj. ! iNDI m., action Dér. de Di. roreilile. Vah ko mère. NDr:YSAN NDËTTEII anniversaire, de Dévèn. main droite, 1., Topai sa ndèydôr, suis droite. à de Dev. g., Dér étrennes. droite. NDIGATON, Dér. de casser les amitié. v. fruits. t. Syn. Sàl. NDÏGË m., promesse mutuelconvention réciproque, contrat. Dér. de Dig. NDIGJ, conj. V. Ndagé. INDIGU ]., un [)eu de manger qi;e l'on prend <le très bonne heure le matin ou entre les repas. Dér. de Digu. NDIKA b., arrivée, venue. Sa ndika nêh nh nia lôl, ta venue uie fait bien plaisir. Dér. de Dika, ;NDIKTAN b. porte-bonheur. NDIMAL 1. m., secours, aide, soulagement, défcTise, protection. Dér. de Dininli. NDIMBA m., choval blanc. Syn. Harè. le, NDIMRA g. Dimbâ, poirier — NDÎ du Ciyor. I^s noirs jjrék^iuknt foudre. NDIMBAHLOR 1., bécassine. qu'il attire la INDIMONC M)IMO, toile 1., Ndimonij la nu/, guinée. lu vèh, guiguin^'^o bleue blanche, calicot. n('>e NpiN m., appel au son d'instrument, de tanitani, son d'alarme. Dér. de Dîn. de ; NDINDAR — p-iiigonibre. g., 'NDINTAR' m., Nâtapinsor \nrR NDÎRAN NDIRU, de de millet épi sec. m., foule. enfant posthume. V. égrainer l'épi t. b., niiillet. NDIT, DIT supérieur, préguide. \. Dît. JVpiTLAY g., pagne de dessous. Dér. de Dît. Syn. Péndal. NDIV m., onction, action de oindre. Dér. de Dir, \D0 suff. Y. Ando. sident, 1., chef, NDOBAY 1., alouette. 1., L>r.'!nd Syn. ISdoh. JVDOBIN dindon sauvage avec un long bec. Fu sindah di yabé ndobin, garap a Jà ^égên, où le lézard se moque du dindon sauvage, il y a un arbre tout près. (Prov. Vol.) NDOBO (L) 1., Syn. lièvre. Ndomhor. "iSpôBÔT, V. Ndéhôt. N.DÔBU 1., chef\al qui raie blanche sur la tête. NpOF, chien, un \. — ^D0 NDOG action de se lever, b., Sa ndog bi gâv nu 161, ton départ est bien pressé. Dér. départ. de Dog. NDOOAL malheur, ]., aventure, dent, acci- calamité, ad- u Yalla, fléau. Ak ndogal, malheureusement. NdogaVaté, arrêt, jugement. Dér. de Dog. NDOGONAL L, goûter. Y. Do~ versité. Ndog.al gonal. NDOGOT (L). V., J\piRIT Syn. oiseau. : t., a une écourter un cheval. NDOFAY m., folie, aliénamentale, chose absurde. Dér. de Dof. ^^DOFIN V., genre de folie, tion manie particulière Dér. de Dof. ii un fou. g., arbuste de 3 mèreconnaîssaable h ses pe- tres, tits ronds et coriaces fruits NDOGTAL magasin, Dog. cabinet, 1., réservoir. NPOGTÉ, NPUGTÉ volte Y. Dog, :NDOGU NPOH ré- I., collation, i]., m., de diig. au coucher du réfection petit Dér. alouette. petite soleil. Syn. de Ndobay. NDOH m., l'eau. Ndah uni nën, eau pure, naturelle. Ndoh mil nûl, eau sans mélange. Ndoh mu têy, eau claire et limpide. Ndoh mu nahari, eau désagréable. Ndoh mu ganâ, ndoh mji horombêt, eau saumâtre. Ndoh tâ, eau dormante, croupissante. Yôn u ndoh, conduit d'eau, aqueduc. Mar nâ ndoh j'ai besoin de boire de l'eau. May ma ndoh ma nân, donne-moi de l'eau à boire. m., jus des fruits. NDOUAN m., promenade. Dér. de Dcfi. NDOHÉ b., enfilade de mu — champs cultivés. iNDOH-SCF 1., serpent, quand on en parle la nuit. NDOHUM feuilles, à g., plante sans fleurs roses, pou s- NDO sant en mil. NDOK interj. ! c'est bien fait ! dans serrés épis champs de mieux tant pis bien c'est ! ! lier Syn. donc. conj. Mbôk. LNDOKÀ SA BAKÀN salut ! à : iNDOKÀLÉ, V. t. quelqu'un à d'un danger auquel saluer, citer féli- l'occasion échap- a il à l' avant-bras. NDOKÀSÉ, NDOKOSÉ L, coc bas de l'échiné de l'hom- cyx, me. NDOKËL, V. t. féliciter une femme après ses cc>uches. NDOGVÉ NDÔL du rien arbuste petit g., dont on fume parfois les en guise de tabac. les feuil- xApOMBOi\ Ndojnbôr lu NDÔL m., homme grande drin. Ku long, fluet, grand flansut nga né ko taille, la : ndôl mi, à celui qui est plus long que toi, dis lui tu es (Prov. Vol.) un homme long : ! NDÔLAY b., misère. NDOLENÏ, NDOLI g., augmentation, surcroît, redoublement, gain, accroissement, surplus. Dér. de Doli. NDOLIKU m., état d'être augmenté, action de s'accroître. Dér. de Doli. NDOLÔR 1., milieu du jour, midi. NDOM. lapin. hase, la- NDOMl^ g., meneille. Dér. de Do ni. iNDOMl m., surprise, étonnement. Df'r de Doni. corde ou lien feuililets de rondier pour cases et tapades. Syn. His. JNDOXÈF ge. de 1.. NDON Y. ^DO^DO les Don. poisson. petit V., hérédité, hérita- g., de Donà. b., biens de la sucde l'héritage, Dér. de Dér. NDOXÉ'L Donà. NDONG Y ah heureux. travail- lièvre, 1., digcn, pine. Syii. Leg. cession, qui n'a tout, nécessiteux, malinsolvable, 1., des cdl- artistiquement; NDQX pé. s'a- Ndombo'rèf: en cuir petit collier g., lé quelqu'un qui a échappé à un danger. On répond ndokâ sa mlà, merci. gris- g., en cuir qui dapte au cou et autour reins. Ndojnbo'mpereg g., collier gris, tant NOMBO INDOMBO, les ! NDÔK, de NDO 222 occiput, 1., ndong, os II NDONG fête L, concision chez danse et festin. les NDONGÉ m., Dér. de Dongé. 'A^DONGO b., chignon. occipital. de cir- la noirs, avec ruse, astuce. élève, écolier, disciple. NDONG OPUÂN b. variété de riz. NDONGOP NDONKON b., crabe de terre. accroupisse- g., ment. Dér de Donkon. NDÔNKÔR, ib., crinière. H an ndono, déshéritier. Dér. de DoNDONO b., héritage. nà. y. Kidèninn. NDOMAL alarme, surprise, phénomène extraordinaire. Dér de Doîn. g., NDOR action commencement, m., de commencer. Dér. de Dôr. NDOR b., fusillade, canon- , — \pô iiaiie, M)n grande et longue explod'armes à feu. NDOR b., NDORO ]., N DORTÈ pagne très-blanc. . com mencemen , t Dér. de Dôr. .\P0RTU g., pensée, imagination, opinion. Dér. de Dortu. début, origine. JNDOT atteinte, action, ra- g., rançon, rédemption. Dér. de Dot. NDOTÉ b., personne qui a de petits yeux. .\P0TÔ g., prix de la rançon, du rachat, de la rédemption. Dér. de Dot. NDOïOM g. V. Dotom. NDOTU, V. n., se tatouer sur les seins. g., tatouage sur chat, — NPOYNDOY résine, sève, 1., larmes qui suintent d'un arbre incisé. NDUBAB b., variété nier dont longue. la soie, do coton- est la NDUBALAY, xXDUBÉL NDUBALÉ plus g., jus- de Dub. tification. Dér. NDUBA.NTl action de diriDér. de Dub. m., correction, di- g., droiture, équité, vité, g., b., origine. ^ . DuhaluY. naissance, nati- Dek'n ndudu, Ndudû'sunu pays natal, patrie. Borom, nativité de notre Seigneur. Noël. Dér. de Dur. NPUDU, avec apposition du nom du pays, habitant de. Ndudu'Bër, habitant de Corée. NDUDUÂLÉ b., ce qui ac- compagne u d'entrer action NDUGAN b., passager à bord d'un navire, Dér. de Du<jh. NPUGÏÉ volte, ndogté, 1., ré- 1., sédition. 'NPUGUB chauve-souris. 1., NDOH m., NDUKÂN 1.; chez dante travailler jaune. loriot inten- qui faisait roi, le femmes les . autrefois esclaves. Syn. Debér. NDUL m., mil sauvage qu'on mange en temps de Ndul dêh, surga yôy, si disette. le épuisé le serviteur maigre. (Prov. Vol.) est sera Ngélém- V. (L), ndul bu. NPULI b., nouveau circoncis non encore guéri. Nduli déjà hasav néu bu norul, le nduli pue comme le fruit du néu non mûr. INPU'LIT g., esprit dévotion, piété, religieux. Ak nduli t pieusement, dévotement. NpBM, tirer à viser à n. V. — cible. ]a un b., but, but, NpUM malheur, d., acci- dent. justice. \PUBËL XPUDU . JNDUGÀ m.„ point de mire. . NDUBAY' Ldk'u ndudaâlé, marque qu'on apporle en naissant, religion, g., ger, d'ajuster. rection NDU xNpULANDO seins. les — Dér. de Du<ja. houssine. 1 223 la nduduâléf naissance. péché Bakar originel. 'JN'pOMÀ prodige, spectre, g., fantôme, monstre. NDUMÀ ter. NDUMÂR Hot'i action 1., de fouet- Duma. Dér. de tortue 1., de mer. ndumâr, carapace de cette espèce de tortue. >NPUMAT, V. 'JVPUMBAL t., lapider. coiffe des 1., fem- mes. JVPUMBALU, s'entourer la V. réf. se coiffer, tête d'un mou- en parlant des fem- choir, etc. mes. tn vékà yn, cjâl gâ depà, vent s'engouffra subitement dans les voiles et le navire cha- né bi[) le NDUMBURHA.T gneuse de planfe g., mètres 3 li- haut de vira. environ. NÉ, NDUMBUT buisson très touffu et épineux. I^s fleurs ressemblent à une belle rose d'églantier. Les sont fruits ronds comme une petite oranles noirs en font parfois ge des tabatières appelées ronibet. ADUrs V., thon. g., ; NDUR Ndur b., u sémin, manche d'outil. manche de ha- che. NDUR action de procréer, 1., enf an- génération, Dur. g., NDURÉL g , matrice. progéniture, pos- térité. d'hui." NKn, NEP, -NpURKFX, NDUT m., buse, éper- danse de charlatan. 1., Dér. de Dut. i\DUTA NEH\, guiser, variété de hari- V. lan ? NË caclier, t. dé céler, Nebâ nâ éclipser. NERÀLO, NKBXM'L' V. ko, il t. cacher. faire cachotter. putréfaction, b., cor- ruption. NEBlX), V. t. ifaire se corrompre. a dit, il avait dit. il quoi dit ? Mwné qu'est-ce dit. avec certaines particules qu'on ne peut pas traduire forme une locution verbale qui prend la valeur d'un verbe pro- prement silence. dit. Mu NEBNEiî NËBNP.B pourrir, me né Né rel, ntèlà, il faire se brisa. Fésa/ ko bè né mût, bè né dèl, romplis-Ie à déborder. Ngélnv là acacia g., h gom- dont îles fruits sont comme ceux du gonaké tannage des cuirs. riMige, pour cous pourriture. b., le NËBNËBAN NË, V. n. dire. S'emploie habituellement dans les formes suivantes pour annoncer qu'on veut parler. Ma né, je dis. Mu né, il dit, elle dit. Né ko, vah ko né, vah ko né ko, disdui. JVé nâ, j'ai dit. Non (p. né on) qu'il pourrir, se caché. utilisés b., cots indigènes. il n. V. corrompre. faire vier. nâ, une qu'il y a guerre dans le Sine et le Baol. NË, ;il)r. pour Nèkâ. Fu tnn nr tèy, où il en est aujour- NEBX'^ NDURF.F ta entendu dire j'ai l'a d'enfanter, que. Déga nâ né Sin ak ta Baol, conj. nungà héh pain ou cousSyn. Mporohal graisse. Syn. Né- g.', fermenté. NÈBON b., kâ. NEBU, cacher, V. se NEBUKAY NËF (L), être p. caché, se dérober. -b., V. t. cachette. pêcher le pois- son presque à sec avec des panniers. Syn. Mbab, NEF, V. t. être enceinte pendant rallaitomenl d'un enfant. NÊFRË b., fumier de cheval. NËG, V. t. traiter inhumai ne nient. NËG, b., case, chambre, ap- partement. Dèmâl ta sumà nêg, va-t-en dans ma case ou dan» NÉG 3i ma chambre. Nêg ^'êg rio. ii u Nêg u ganâr, vres. yâg Nêg u vanok, cabinet secret. NÉG, V. ma Ncg attendre. t. attends-moi l?i-bas. Nf]GAL, V. t. attendre quelqu'un. jàlé, NËGANDI, V. pour en attendre, t. INP:GANDIKU, v. attendre t. NÊGÀR (L) NÊGÂRI, NÊGÂDI, — à avare, NÀGÂNI, NËGKÉDÈM v. g., adv. à temporal. os faire t. NÊHAY attendre, n. V. faire sem- blant d'attendre. NKlî, Y. Nâh. V. n. plais nà être agré.iil)ie, sua- délicat, succulent loi, tu ; me beaucoup. Dangi'ièy jirh l'office d'aujourd'hui est !jeau. .S:* nêh nà la, cela plaît. te si nêhé, ndèm semble, si Dèfàl lu la nêh, la bon te qui le fera plaisir. Bu nêh, agréablement. Nêh nâ hèt, c'est d'une agréable odeur. Sumà yaram nêhul, je suis malafais ce de, indisposé. méconten- b., adu- flatteur, agrément, b., état suave, NËHADI, NËHA.RI, v. n. dé- ca- joleur. NËHLATE NËHLÉ, V. V. agréables. ses pour moi, t. t. j'ai M cajoler. avoir des choan, nêhlé nâ, des choses agréa- bles. g., arbre fruits à mucilagineux. NÈKA, NÈK, NÈ, v. n. un lieu. S'emploie loi, très t. dans Nêh nga ma plaire. b., bon, délicat. NEHIT V. V. Nâhit v. NËHLANKÀT b., maniéré, d'être NËHNÊH NËGNÈLU, bon, V. NÊHALKÂT ajourner. NËH, — ter. ladre. époque. Nëgârni démc'est hier à cette heure-ci que je suis arrivé. Nëgârni dâv, Tannée dernière à cotte époque. ve, est lateur. b., agsi, NKGLO, flatter ce- encore adurécompense, encouragete NÊHALADI, être pareirie lâ qui corrige mieux. (Prov. Vol.) pareille heure, à pareil jour, à bà natter, plaisir, mais bataille est bon, avarice. b., NfliGÂRIKÀT NËGERNI, n. économiser chicho, l'excès. v. t. faire V. plaire, ment. natte. g., déplaît, contenter, récompenser, encourager, caresser, gagner par des présents. N&hal ku la fasâlé, nêhal ku la dân a ko gen, flatter celui qui te sépare dans une lation, un peu. me M"11\I., {nêhlé), cherclier à nêhadi Lôlu choquer. nid, cela lui attendant. avare, NÈK plaire, nà poulailler. clocher. dololi, II écu- fas, mbéy, étable de chh- — comme verbe quelque chose. mu il nèkà, est. j'étais je Su ma roi. Bu siuibslantif être aussi être : Hamu-ma ne sais nèk'on nèkà, nèkà, pas bûr, ju où si du nêkà, nèkà, ku etc., loc. pron. chaque, chacun, chacune. Gir gu nèk, chaque jour. Vahtu vu nèk, toute heure. Sâ su nèk, chaque instant Fu nèk, loc, adv. partout. Môs hè fu nèkà, on tout temps et en tôut lieu. Nèkà ti sûf u, être sous Quel- gu qu'un, dépendre de, être infé- — NÉK rieur à. Bàlâ nga oyu, nèkâ fâ, avant d '('coûter, il faut être pré(Prov. Vol.) sent. S'emploie aussi pour dire que deux pervivent sonnes ensemble en union illégitime. NÉKÀ Ku graisse. b., sol tu- u nékà, du dâru, f)orte une culotte de héy qui ne se chauffe se feu. vieux ou l'enfermé. le Tèré di nekâ nâ, ce couscoius moisi. Syn. Henâ. le NÈKAL, V. meurer avec. NÈKALÉ qui l'on me être n. de- devenir. V. faire t. moisir, chancissure, b., moi sissure. NËKIN manière V., d'être, situation. état, NEKOS, NOKOS, v. t. presser, dans un contenant, fourrer, bourrer dans un trou. enfoncer NÈL, V. n., nâ fondang. être chauve. est il Nèl complète- ment chauve. NÉLAV b., sommeil. —, v. n. dormir. NÉLAVADI, avoir des V. n. dormir peu, insomnies, ne pas dormir. — di., Syn. v. t. qu'un au point frapper quel- qu'il n'en peut plus. V. chercher le creux des ar- aller t. miel dans le le NÈN b., œuf œuf. iVèn i dèn yu de poisson, frai. V. n. pondre /g., ponte. NÊN, vide, inutile. Ne s'emploie jamais seul. HoV u nën^ contenant vide. Loho i nën. mains loho — — inutiles, oisiveté. Déki nën, rester sans rien faire. Yaram u .nën, corps nu, nudité. AVum nën, pays désert loc. adv. inutileet inahabité ment, vainement, peine perdue. Digèn i nën, femme qui ne demeure avec personne. Nën u nën du rèy buki, l'hyène ne se fait tuer pour rien. (Prov. i ; Vol.) NÉLAVÂN, ladie quelqu'un. contre Sika. hod, faire chancir. mode, s'oc- bres. NEKÀLÔ, NEKAY t. affaire,, une chose. Syn. Topato. ^^ÈMÀKU, NÈMIKU, v. n. être NÈMI, faire être, fai- t. v. suivre . V. né) se te- cuper d'un objet, d'une NÈMALI, ou celle avec en union illégiti- vit ( complètement immobile. fâché avec, b. celui NÈKÀLÔ, re NÉM A NÉMARAL nir NÈMAKU, NËMIKU, sentir sent NEP .NÉM, adv. avec né. Noyai bè né ném, bien assouplir, rendre très mou. Garder le silence, se calmer. Ngélav dal, g et g à né ném, le vent tomba et la mer devint calme. NÈMÀ, Y. t. chercher le miel dans le creux des arbres. Nèhon, moisir, chancir, n. V. — grais- au pas (Prov. Vol.) Syn. NEKÂ, celui 226 n. avoir la V. s'endormir partout. sommeil presque conti- de nuel et maladif. NÉLAYKÀT ÎNÉLAVLÔ, endormir. b., V. t. NÉNKATI ma- b., pommeîte, pommettes. NÈP, adv. Noy nâ nèp, très tendre, c'est très dormeur. faire dormir, os des c'est mou. NEPÀ V. n. conserver le couscous qui n'a pas encore le lâlo^ ])., couscous sans lâlo. — — NEP 537 — NGA ment. Néii ma ngéd lui gisati je ne désire rien tant que de NEPÀ m., tabac a priser fabriqué à Saint-Louis. NEPI, V. t. tirer le ta'bac en poudi^ du vase où on l'a tenu la, revoir. te NÉV, être n. v. être quantité. i:»etit, feruienter. peu, NER,, V. n. balbutier, bégaSyn. Der. L\ÊR, V. n. avoir le mal de mer. b., mal de mer. Név na a gen, nâ niu ko bayij avoir peu vaut mieux que de le laisser, peu vaut mieux qiue rien. (Prov. Vol.) Név nâ nvbugal, c'est peu important. Név nâ dôlé, il est très faible. Név- yer. — tNÊRLO, V. mal de mer. NËRAH, avoir faire t. le , \flamboyer, être bril- dôlé affaiblisse- faiblesse, g., ment. NÈRAM, V. n. — lumière. ment causé par la NÉRAiM'LÔ, NERBM terner. NÊRLÔ, V. se v., ti (NÉ VAL, V. n. être insensible, à une chose agréa- indifférent avoir le v. bouffi, v. t. faire dé- voir gringoler. narrer, exposer. — — , , NÊY, NEYU, h., faire (m.) V. Ul b., g. ra- tière. g., pommier du Cayor, que son fnuit ainsi appelé parce rond et jaunâtre à l'extérieur ressemble un peu à la pomme. V. Ngandal, Tahoy, Sal, Lôt. NÉUL, NGÉD, désirer ardem- v. t. faire NIVÔ (b., abcès, tu- v. n., v. t. être graisseux. saluer, compli- nerô b., salut, salutation, compliment. Neyô'malâka, sa, lutation g. NÈTUKAY U PINAH NÉU — ' raconter. NÉTÉ, NËRÉ a- en- nenter. ' t. b., gonfler. faire NÉVÔ, narrateur, raconteur. NétalikM u ndaloré, chroniqueur. v. , meur. narration. NÉTALILÔ, NITALILÔ, — — boursouflure. enfler, b., enflé, s'enfler, lNÉVILÔ, NIVILÔ, relation, action de racon- NÉTALIKÀT, NITALIKÀT gonfler, se une fluxion. flure, (NÈTÀ, adv. V. avec né. Né nè~ ta, prendre subitement. WÉTALI, NITALI, v. t. raconrécit, bonne, à la ou mauvaise fortune. NÉVI, NIVI, V. n. être n. dégringoler. S\n. Dulôt, iNERMÊLU'LÔ, ou désagréable bile mal de mer. NERMËLU, ? négliger. se terre. faire t., pros- sûf, ça va-t-il Ça ne va pas bien. NÉ VAL, V. t. diminuer en quantité, rendre petit, atténuer, lumière. loc. Dama R. ? R. éblouir. t. nerem Né éblouisse- b., la V. (né) être ébloui par prosterner jusqu'à ter, petite Damâ ng'am du néfv. Comment lant. ter, en être NGA angélique. tu. Di nga hè sotal ? as-tu fini d'ensemencer ? Yalla nga sopâ, c'est Dieu que tu aimes. (NGA, pour NGA A, NGA DI, dans lie présent de quelques mo- des. pron. pers. suj. . NGÀ, dans ques modes. le passé de quel- NGA NCABU orgueil, g., que mes, attaque hom- les en quelquefois animaux domestiques masse les et fait les mord nuit, la mourir. Syn. Moifià. Bidi bè mu né ngad, serrer très fortement. NGÀDÀ g. incision dans la chair, \entouse. Dér. de Goda. NGAD adv. (né) iNGADAY émigration, exil, bannissement temporaire et volontaire pour causes politiques. Dér. de Gaday. NOADU g., cognée, hache de bûcheron. Dér. d© Gadâ. JVGÂGÀ 1., espèce de grand }ioi5son, peut-être le souffleur. NGÂGÀ g., chaloupe. 1., NGAGAN espèce de sauce hévêr secs détrampés et délayés avec dû tamarin, ou du pain de singe faite 1., avec ou du des pour lait NGAH faire braiment, ment, hurlement. g., 'NGAKA le lûh. croasse- Tën adv. (né), né •NGA'LIR NGAKAN attache hor g., i assoupissement;. Syn. Ngementii. NGAN m., eau salée. NGANDÀ g., indigo, indigofère. Mgand'àl nag, absinthe,, plante. JVGANDÀ .1, tionc gros morceau de bois. aux ngakan, reins. NGANDAL, NGARNDAL, ngk- NDAL 1., trouve ncn. se ÎNGALÀ malheur à malheur à moi Ngalâ yov ! malheur à loi JS^alà Pêr ! malheur à Pierre JVGALAH, NGALA, adv. Tûti ngalâf très-petit, menu, exigu. Mûs mi akâ tûti ngala ! que ce î^.galà ! man interj. ! I ! ! ! chat est petit ! Syn. Kâlé. amadou ou duvet qui dans le noyau du NGANDAL PEL I Y. L. Bâ- té nt or. NGANDÊR ^GANGOR m., écart. multituconcours, affluence d'hommes, rassemblement, splendeur, maignificence. de, foule, 1., troupe, ibande, GANGUNÉ NGANGUNÉ, trône, tribunal, g., siège. NCANKÀ, v. t., attraper, saiavec la ibouche. gankâ, coudre, raccommoder une cale- — sir , basse. "SGAR Ngar monceau meule, m., gerté, meuile d'arachi- NGARNDALL, V. N^gandal NGAS g., couscous trempé avec occasionnée par la présence d'un ver de même nom, ver gros, court, qui entre sous la peau. plaie 1., d'aii)rç, des. gros coquillage qu'on iNGAL clarinette. b., NGAMOT, i ngakà, se tenir debout raide. grisgris, Gélap V. et Galap. blanchâtre de moyenne grandeur qui ne sort NGALAP, NCËLAP, suffisan- arrogance. NGAD, V, ifourmi ce, (le l'eau. NGAS g., ^GASÀ 1., Syn. Toyoïn. rougeole. g., g as fossé, fosse, terre amoncelé* pour indiquer les limites des royaumes. Dér. de G as. NGASAN b., scorbut. NGASU 1., chaume, paille vrir dont on se les NGAT, NGAT âne. sert grosse pour cou- cases. V. n., être en fureur. m., ânée, charge d'un Dér. de Gat. — NGA NGATA MÎATAN v^prrv 1., pe\]\ 1.. NGATK^Ll' ialion. NGATLÔ V. i\v p.)iss.)n. sauterelle raïKipr. laire. ;«l)ré- Ciata, Rebuter, t., dé- NGAVAR cava- cavalcade, g., erie. la quelque tenir noigner, lans poignée, poing, iNGEB, eni- chose NGEDÀ Dér. de Gedn. NGÉDÀ i vres, ivre3, brusquerie, gron- g., troupeau g., de chè- bergerie de chèenclos où l'on garde les i>ercail, chèvres. ^GÉDÈM ! jgros mil. NGÉpÉMU, ' du sucrée lige 1., du lige sucrée NGÉGÏÎNAY manger n. V. iâ. avorton, mort- 1., né. NGELANlî! ouragan. NGÉLAV té da est-ce (L), Lu di tag mivha ? N.gétav. (fui 1., nav Qui vole sans jamais — se malareposer ? ]je vent. 1., Dànu ngélik^ die hystérique. (L), avoir des crises hystériques. 'NGÉLAV U nerveuse GU'DI, maladie rhumatisme et des membres. serge, cadis. v. n., faire b., Ngelané (L), NGÉLÉN-D'U, V. Ngélémbn, NGÉLÉVAL — nima'l. vent vesse, b., l'a» vesse r, rendre NGEMNGEM, NGE. n. v. , des vents. iNGEM, MËL de g., de croire, d'a- Nigem u Apôtàr y à, foi. symbole profession croyance, , action foi, jouter Dér. Apôtres. des de Gem. iNGÉMBA ceinture pour Dér. de 1., nudité. la Gémbà. caution, arrhes, g., Vah vah ngemu, parler vrai. Dér de. i Gem. NGÊN, pron. pers. suj, vous, garantie. assurances, An avez-vous diné ^ topa lën ta, la ngën savar, ^bayi lën ko, ce qui vous ennuie, attachez-vous-y, ce que vous faites avec plaisir, laissez\ng'én } tayi, (Prov. le. NGÉ?Î Voll.) il., jurement, serment, Dér. de Gén. NGBNDAL V. Ngandal 1., Y. Ndèndi. NGÉNTÉ 1., fête des relevaib NGËDI les qui se fait le huitième jour, NGÈP, des presser NGÈR grimaces. rieure du NGÉLËMU Dér. de Génâ. NGÈLDI I., NGÉLÉDU, NGELEE b., cheval alézan. NGÉLÊN, V. ngën NGÉLËN vent. 1., (L), sud, midi. NGEMU traversin, cous- sin, oreiller, chevet. Y. Gégér. NGELÀ m., bave. I)ér. de Ge- >NGÉLABO(N triangu*. tôle NGÉLÉMBU, NDÉLËÎSDU MDULANDO, NGËLÉNDlj couvrir la mil. 1. à du corps de l'homme ou de main fermée. iNGËD m., marabout, oiseau. àerin. \erte JVGÉLÉMBU, rendre furieux. onc^rt^T, - lit. abrôjço, de Dér. 220 h., poussière exté- pain de singe. espèce de NGÉLÈM U YALLA, GÈP, avec g., la Y. t., serrer, main. arbuste à petites feuilles blanchâtres. NGÊR m., grand chemin. (NGERBM, NGEDEM (S) g., rev — NGÈ 'îilercienientji^connaissance, gra- né mayél sa : ^îa begâ^, ton "de de Dér. titude. qu'on Gerem. Kii alal, sa celui qui te dit bien, c'est la ngerem donne : qu'il veut remercie. (Prov. Vol.) NGÈSGÈNT g. V. Héhèm. XGÊT, part, super. Yalla te Dieu incomparable. NGÊTÀ g., état d'être incomplètement rempli, en parlant ngëti 'd'tin tre. contenant, même Dér. de Gètâ. du ven- NGU 23o NGOP, NGODÀ des crispations, g., tourment, gêne, dérangeimportunité, tracas, ment, trouble d'esprit, châtiment, persécution. Dér. de Géièn, NGÊV 1., bouillie ou lâh comt>osé seulement de farine de mil. Syn. Nahat. NGISGIS g., arbre assez élevé Il feuilles coriaces et à gousses jaunâtres et dures. TS'GINÂN V., espèce de poisson long et ayant beaucoup d'ares tes. NGIR, prép. pour, par amour, à cause de. Dèfàt ma nangam ngir Yalla, rends-moi tel service pour l'amour de Dieu. Sarah ngir Yalla ! charité pour Dieu Syn. Ndagé, Ndah. >'GIRÀ g., lisse du métier de avoi v. n. , des engourdis n. causer de sements. (NGODALÔ, v., crispations. NGOPOT 1., NGOLAMAR floral vieil entourage. liane g., NGOLGOL g. NGOLON g., plante à fleui fruit le res- une prune mirabelle. à NGOMAL, Gôn. V. NGOMÂR NGÔN Ti ngôn, le vaVu ngôn^^ Gôn, ISgôn so- Ti soir. sur le soir. Y. rèy nâ. Y. Non. NGON fête. soir. g., au vigile, veille, g., jour qui précède une ou de ép V. Kéo, adorante et dont soir, à foliacé. très semble NGËTÉ'N crispation b., — engourdissement. m., paille de pistache haricot. NGONAL, Y. INGONKÀ, V. couplé, NGÔR Gôn, être bien dé- n., trapu. g., Y. Gôr g. NGORI 1., espèce de petits ha- ricots. NGORO g., aliliance affinité, de deux familles. NGORTÂN 1., pivert, assommoir. NGOT oiseau. 1., ! tisserand. NGÎRTÉ g., race, descendance, lignée du côté du père. XGISÈ 1., espèce de sac po\ur y mettre les grisgris. TsGïSTÉ 1., vue, regard, vitien, aspect. Dér. de Gis. NGÔBAN (b. sorte de couteau B^rvant à récolter le mil et le de Gôh. V. t., faire faire g., moisson. Dér. la NGUKÀ 1., lie, sédiment d'une boisson, et surtout du vin de palme, sagou. NGÛKA vais 1., espèce de mau- poisson. NGUL, NGULDÉ, riz. NGOBTÉ NGUFAN, culbute à quelqu'un en le prenant par les jambes. NGUHU, V. n., grogner, en parlant du porc. casse -tête, Ndambol. massue, 1., rondin, Syn. tricot. — NGU NGULT, mimaïux. NGULÏ-CiNA hermaphro- «.., iite. conduite, action NCil'NCiV: d'accompagner conduire, j© [quelqu'un. Dér. de Gm^gé. NGIXGUNÉ NGILXGUN, m., plante. basilic, iNGUJNU cage à poulailler, 1., poules. NGCR règne, empire, goudomination. Èt u \n.gûr, sceptre. Bûr hu amul uv g., ivernement, âm ngûr gây, |nement d'un Isignifie ôrul, roi sans sujets guêpe de espèce 1., no Vol.) (Prov. rien. -\GURI gouver- le — I jqui fait son nid avec de la ter- NID NHËK NHÊK, des sexuelles parties 23l mélange. Rôtpuiser dans l'esprit, inventer, imaginer, Borom-nhèî esprit sans e:.prit, H nhèl, homme spirituel et intelligent, Sumà inhèl angi ti t&ré §i, mon, esprit GÛRU, NGCRU, V. gner, gouTerner, exercer mination. NGURU g., GURU la do- le coila, j'ai couiscous, le grande envie, MpiV ang^ t&. d'en manger. hénténgl, vandé ;nhèi âm angïï ta diigup, quoique l'oiseau soit perché sur le fromager, son esprit ne laisse pas d'être dans le, mil (Prov. Vol.) avarice, rapacité, g., cupidité. Dér. de Hér. NHÉRÉN té, g., colatier, produisant sterculiacée ré- n. dans est c'est-à-dire, NHÉRÉ Ire. ^i^ginité',_ g., Dér. de Hêk. NHÈL m., esprit, intelligen» ce, entendement, créature spi rituelle. Nhèl mu Sèlâ mû, le, Saint-Esprit. Nhèl âm nën, pur adresse, g., habile, dextérité. Dér. de Hérèft, iNHÊRTÉ, NHÎRTÉ tion attrac, g,, excitation, à, passion, de Guy. NHÂF m., bélier. Nhërté vu bon, concupiscence! mauvais penchants de la natuv re. Dér. de Hër. NHÔB g., action de garnir, de dorer, d'argenter. Dér. de, NHALÂT Hôh. cola lui-même. le NGUYTÂ.N commençant ipetit b., sortir à baobab de terre. Dér. xion, g., méditation. réflepensée, Dér. de Ha- NHALÈL g., nhalèl, dans enfance. Ti sumà enfance. Dér. mon NHAN m., privation, action priver. Dér. de Han. NHAR m. u nhar, NHOLI g., laine. mouton. Kavar Nhar mm gôr, nhàf, bélier. NHARAB g., ingratitude. Dér de Harab, d\HARIT droit V. décortication. g., V. adv. NI, sens enrouement, b., de Hodos. Nîp, de Halèl. de NHODOS Dér. lât. N'â, plier t. différents Ni, Nu. un bâton pour en, le rendre d., onde» u nifille du . NÀDÂY NIDÂY, mère. frère de day, cousin, la frère de la fils mère. Dôm ou — d., appel- lation respectueuse à l'égard d^. g., amitié. Harit. NIIATI m., pigeon. Dér. de personnes qui ne sont pas parentes, ou çui ne le sont qu'à, un degré fort éloigné, ou paA — NIG — 332 MSTKY, musulmanes en parlant de les maris. î«urs ,NIGÀ, être tiède, V. n. en par- (L) poussin, b., Syn. NIMSÉ, — V. n. douter, hésiter. doute, hésitation. h., NÎMSÉLO, V. faire douter, t. hésiter. "faire comme ai NIT lionnne en généra quelqu'un. Nit les hommes, le genre humain la population d'un pays. Nda, nit angà fà ? Y a-t-il quel k., m personne, Syn. Niigà. NIGA'L, faire tiédir de l'eau, réchauffer. NIKI, adv. V. iVâ, Ni, Nu. NILÉ, adv. Y. Ni, iVâ, Nu. ' adv., jourd'hui. lant de l'eau. NIMP MV NÎN, V. n. être gras en parlant des objets enduits de grais- qu'un là nèku Nit ? /a, il n* personne. Nit u gudi, sorcier Nit ku nèkà hasao nà niv, tou homme sent le cadavre, tou homme est mortel. (Prov. Vol. Nii ku, lô déntâ, mu dèf t lohô'm, doyul à dekal, l'hom me, qui met l:i main sur ce qu< tu as de serré, ne mérite pas que tu demeures avec lui a se. NiNAL, V. rendre graisser, t. (Pro. iNÎNKOM che, lanterne. lé, adv. loc. u siu- Toy nu complètement mouilcomplètement ivre. compllètement. perîl.. ni'p, (né), est il il est NlR V., nuage, Hambâr. nuée, nue. Syn. NiR, v. t. regarder, examiner attentivement l'espè.ce, la quav. t. con- rendre semblable, pa- à, reil. NIRÂLÉ pareil, v. comparaison, pa- n. êt^re conforme, Nirô n'ak U b., figure. NIRO, — lui môm • lôl, semblable, ressembler. nirô nâ ko réassemble beaucoup. b., ressemblance, conformité. vMRODI, (niro adi), 'dissemblable. NIROLË, 5«s est mô le di bûi roi de^ MTÀ, vingt. et pron. num. Sàr-Jukâ. éclairer avec un t. adj. n. Syn. NITAL, V. riambeau ou une lampe. NITALT, Y. Nétali. NITÈF g., nature humaine, humanité. tième. — pron. et n. , V. t. faire vingvijigt, mettre vingt. Nitèl ko, mets-en vingt. rabole lôl, Dantâ sdleil le iM.TËL, NIRALÉ, NIRALÉ, former îiitu, flambeaux. d'une chose. lité b., lumière poui lampe, flambeau, tor fruitier. Syn. Sôh. .NIP,.NAP NÎTU éclairer, arbre b., Vol.) NIT, gras. v. semblables. t. v. parité, n. être avoir des cho- NITU, V. flambeau. réf. NiV NIU t., s'éclairer d'un mort, défiunt, Tedàl doyul digal nîv, il est inutile de (i conseiller à un mort de se coucher. (Prov. Yol.) La darak ani di yûh, su ko niv am an dt'l, cadavre. trépassé, ce que le malade refus© \ ferait au mort. (Prov. Vol.) NIV g., crème. plaisir NIVI. V. Névi. ^ m , _ MV V. pivf. — M)H >IKl'Y abcès. 1)., NK. a conh'. \C), NKAN marc remplie 111., [>en- dant une grande partie de l'anantre. Nkan u yembâ, n<«e. — , alvéole. NKANDA chaii L., \KAT NKÉLIF JVfop g., nkélif, II commandement. dans Dér. jeter obéissance. KEPÈL KEPÈL g., supédôlé rèk là ùu limn, ils ne connaissent que la supériorité du plus fort, de la g., rb)rité. JSkepèl u n-ei NKËR ombre, g., ombrage, Y on amiil nkèr, min ne cbe- le pas d'ombre. (Prov. fait Yol.) Sùl nkèr du ko térê sôr, couvrir l'om'bro ne Tem pêche pas de paraître. (Prov. Vol.) Gudi mô di bûr u nkèr, la nuit est la reine de l'ombre. V. aimer une t. de l'intention un fille l'épouser, une jeune fille aimé, aimer char- sort à !emerit. >0B, NOBÉ g., NOBÈL, NOB^0B, NOBNOBÂTË b., amour désordonné, impudiluxurieux. Séy u nobé, concubinage. NOI) 1)., goutte, raideur des jambes. :N01)À V., lecture publique du coran dans la mosquée. V. i. gHgner la partie au jeu, cbarnell, — l'emiporter d.ais 'NOF, Vol.) NK'ER NOF, fourmi 1., qui ailée paraît après les pluies, et perd peu de temps ailles après. Syn. Her. NKID re faite meau. P^KOK 1., pince des crabes ou couvertuavec des poils de cha1., tissu s. toute petite cale- NKOTI AKUS g., g., g., abondance. cra'be de mer. extrémité inférieu- re l'épine dorsale. t. XOFLÂY lité, jeu. oIj- endroit réservé. semer avant qu'il commencé à pleuvoir. repos, b., Kii loisir. ntiid tèr di tranquil- ham noflay, on qui connaît bien le commencement, ia fin ne l'inquiétera pas. (Prov. Vol.) NÔGU trou (t. adv, (L), \01L\, v. pour Nômi. pousser dans un t. vulgaire). XOllAL, basse ser\'ant de goblet. \KOM V. le c;/H5crNei' i^cs t. 1113 ndallyën, NKIS, adv, V. avec né, bienlot, tout de ^uite. Su né nkîs, îantôt, dans peu de temps. XKÏS ait \. (Inis jets n>rov. les , que, force. abri. entre à , (l'on être atiîi Ëlif. ,<]e nii poi:j- — vons. iXOB, Syn. Kondira, Tin. m., babeurre. <lière. du deux vcrl)cs. Vnni-fiô dèm, nous ne devons p;Ks partir. contr. pour nu a. f'eM nous qui. A'ô ko dèf, cest nous C|ui l'avons contr. pour nu di. Du fait. nô hindà, c'est que nous écri- — intimité. ib. NKAYDIR .\KASÉ., laurcau gr.iud 1)., tr()ui;e-m. K. V. t. accabler, haras- ser. NOHALU, XOlîI.U, V. Dà ma nohalu accablé. p. être bè medarà, je suis accablé à nain ma n'en pouvoir cablement. plus. — b., ac- t — NOH NÔHNÔH dans plaisir du men- fossette b., ton et do la joue. NOIINOIII, V. n. le et plus noki, ne je g., NOHI, NOKI respiration. NOHOR sorcier NOKOS, V. Nekes. NOLÀRTI, V. t. sevrer un NOMBO le b., NOPÀLÉ pos un nu, c'est un repos. en- V. Ndombo. tra"vail NOPALIKU, NOPÀLU, on. dém. soudainement. NONGO b., Y. Ndongo. NÔNU, NÔNULÉ, adv dém. Dér. de Nâ, Ni, Nu. NOPÀ b., oreille. Mu né dom ak i nop'âm, il fut étonné et pour NOPI, cesser, n. V. pi, silence. — b., cessation, silence, ac- tion de garder le silence. NÔR b., hiver ; Hôt ifourbe. NOPAL, NOPALI, v. t. faire donner du repos, tran- pal sèn hây ti y à di nàjiu nosèn ligéy, les en- donnent du repos à leur père par leur travail, ou bien, fants partie de l'an- commençant au milieu do décembre et finissant au. milieu de mars. Tôt u nôr, champ ou entretenu jardin pendant l'hi- ver.' NOR, v. NOS, V. pr., s'amollir. du n. nasiller, parler nez. NOSAL, NOSLÔ, v. t. faire nasiller. ^^OSKAï b., NOSNOSLU, nasillard. V. paie souffler des discordes. taire, se Béy nânu bè nonous avons achevé de culti- faire chent aux habits et qui poussent souvent sur les termitières. Sol i nopâ, yéy nopà, débaucher quoiqu'un de son tra- Dôm être dire, travail. blant de nasiller. quilliser. p. se v. — — dressa les oreil les. lYop'i sindah, plante dont les graines s'atta- cesser^ c'est mort. Nopaliku nà, il a fini de souffrir, il est mort. b., repos, halte, interruption du à-oouip, être facile, née, Dér. de A'â, Ni, Nu. Nônâ'k nônâ, sur le champ, aussitôt, tout- nopâ, re- reposer, se délasser, se récréer, temps nécessaire. NÔN, nom de tribu. NON, contr. pour né NÔNÀ, NÔNÀLË, adv vail, du avoir n. ,v. Nopàlé nâ lëgi, j'ai du remaintenant. Loin nopàlë pos. ver, . fant avant font cesser par leur travail celui du père. , (dema) dont le père est demà et dont la mëre ne l'est pas, qui peut voir les entraillles de son prochain, ne peut pas les enlever. b., NÔY euphémisme respirer. NOHO, NOI b., dehors. puis repousser le Menatu-mâ — du avoir cœur. Syn. Ba- nèku. NOI, JNOHI, :N0KI, V. n. respirer, attirer l'air dans sa poitrine 23 NOT, v. avec t. de n. pétrir, la faire faire farine sem- de et la de l'eau. NOT, V. n. être cagneux, qui genoux et les jambes tournés, cambrés en dedans. NOTI, V. t. désenfilor. a les NOTOHAL, lir en V. pressant faire mol- comme un© t. orange. NÔY, V. n. être mou, doux^ tendre, sablonneux. Lal bu nôy^ lit mollet. Nôy nà nèp, c'est très . — NOY bu nôy, cœur tendre. Hol ten- 335 — NTÉ une femme qui dre u dabar, NÔYAL, NOY'LO, v. t. amolrendre mou, tendre. lir, amollissement, NOY AY b. la femme. , NOYLÉ, avoir pour partage des choses tendres. NROS m., mue. NSOS m., SOS b., calomnie. V. t. NTABAH maçonnerie. m., Dér. de Tabah. NTABANG feuillage touffu, très langes k gousses remplies d'u- à feuilles, grand arbre à g., ne pulpe sucrée. XTAD a\ec de claie recouvre la esipèce g., on mahométans. laque'lle tombe des NTAÉL paresse, g., NTAFAY de Dér. fainéantise. iNTAFÉL oisiveté, Taèl. saveur des de Saf. igoût, 1., Dér. aliments. des- découverte, b. in- vention. NTAGA 1., corbeille. NTAGAN b., anémie, * die de ];ui XTÀll jticrres d'import.'ince, homme bâtie en \ (H il le. peu chose chose de Nit n.fàhan, i insigni- de peu d'imporoccupé de chicane et de brou il 1er ie. X TAHTÉ b b o u rgeo n NTAK q., rive d'un Ifeuve, d'une rivière. tance, vain, homme , . NTALAVËR b., tourbillon. NTALBÉT, NTOLBÈT b., ber- igeron nette. XTAMBAR ATAMÉ]^ 1., V., b, nid du dula. frère quand c'est la gaucher. , ntamputé b., NTAN, I., choix. b., NUn. V. NTANO mésentère. habillement, de Sanga. turban. 1., NTA'NGAY 1., costume. Dér. NTAlî^LAY 1., NTANTÀ louange, (santà), g. honneur. (tanià) b., injure, insulte. NTAPÀ 1., massue taillée. N guidé. — g., linge battu. NTASTÉ b. ruine. NTAT 1., bout, extrémité. NTÂT m., cadet, dernier des Syn. d'une enfants NTAT Dé r. de familile. g., larcin, rapine, vol- Satâ. NTATU g., applaudissements. NTAYAN m. V. Ntaban. NTAYLÉ g., nantissement, engagement d'un objet. Dér. de Tay. NTAYARTË on en briques. g., NTAMU otage, maison jîi., NTAIIW fiante, mala- jrneur. do monument. NTANTA du ?s'TABAN m., bout sous de l'oreille. NtaméH frèro main gauche, b., — ; NTAMPAY tendreté. mollesse, NTAMON gauche parle. beau-frère, g. (savar), .. zèle, soin. NTAYTAY 1., libertinage, polissonnerie, règleiueiît, débri- gand âge, dépravât ion des mœurs, débauche. NTÊBl^ Dér. g. de Sâysây. (sèbé), persiflage. NTËBO, NTÊBU m., première pluie qui commence l' hivernage. NTÉG m., selle de cheval. Y ah u ntèg, arçon. Lal u ntèg, housse. Kanam u ntèg, ben u ntèg, pommeau d'une selle. Ntèg u varah, bât. — NTÉ NTÉG écorce 1., m., ^ d'un reste re- iNTOBÀ NTÉKI de Dér. rémission. fication, fait réki. NTÉLÀ, adv. avec né. Né Né lën utè- v. ntèlâ, faire silence. faites silence. NTBLÀ b. (scia), bifurcalion deuxième b., bifur- NTEN, NTAN m., NTÉNDËNT iNTÉNDIT nou- enfant 1., (L) mer qui g., courant de porte à l'ouest. NTËNÉ 1., léopard. NTÉNHÀ m., paume de la main. NTÉRIN rabouts. la 1., jour mamelon. Ntès b., u tétin. NTÊSALI éternû- {tësali), b. ment. NTÉT 1., pic. NTETÀ g., action NTOFÈL NTÔFÉL NTÊTAjN de broyer, palme. sêtân), n, ( iNTÔNKOR NTOPAN à dessein, sance de cause. près, à dessein. specta- faite ex- avec Ak connaisn/tèyèf, ex- Sumâ ntèyèf là, mon fait, bon ou mau-vais. NTÉYÉFUL b., action faite NTOR chacal. NTINAL tin, g. mé- crinière. de bout de état quelforce.; b. {sopi)^ que Voxh NTORO 1., amante. NTOROHTÉ 1., honte, con- grisgris méchanceté. NTORTOR i fleur, èouquet. Ï., yarap yépâ du nu dèf i dôm, toutes les fleurs des arbres ne donnent pas des fruits. (Prov. Vol.) Dér. de Tôrtôr. NTOiS gencives. insistance. engrais. Y. Tosén. g., NTOV b., est à 1., sans dessein. 1., b., NTOPIKU, JVTOPITË NTO.SÂN NTl^ g., cliangement. c'est OTJLÀ ricin. m., qu'un qui Ntôrtoî' action V., b., chanceté, malice, inhumanité. Dér. de Sohor. NTOKÈR b., perdrix. NTOKOLAN b., crabe de mer. JNTOL g., mise, habillement NTOLÀ, V. Ntiilâ. NTOLBET, V. Ntalhèt. NTONKOM m., vin de pal- fusion, cle. NTÉYÉF fadeur. (so/), 1. attache au bras. broiement. près, semence du mil. amour, charité, g., affection. Dér. de Sopa. la mier nain. premier lune. Dér. de Ter. NTÉS ven. mara- piété des de Sérifi. g., Dér. NTÉRUTÉ fleurs. qu'on pour y jeter terre la NTOHOR, NTOHORTÉ foule. veau-né. de dans NTÔGAN cation. la Niësali. bouquet de iNTOG m., espèce de vin de d'un chemin. NTELIT V. b., peine NTOBARÊ V. Tobaré. NTOBO b.. petit trou explication, signi- ni., grande (dis), g. morale. (NTISALt pas. l^, NTU NTlS intérieure d'une plante. NTÈGIT 236 NTOSKÀ, 1., g. encre. TOY NTOY, b., perroquet du pays. IS'TUB 1., Syn. Dâ. bruit. couleur. perruche, — NTU IVTdL iiivulnorahililé. 111., NTILLA, XTOLÀ m., cormoran, plongeon. Ntulâ du nûr ti génav 11 Tnorom mn du ômié, le plonjîeon ne fait pas bonne pêolie en plongeant derrière son camarade. (Priv. Vol.) NTUN m., lèvu-. 1NTOTI, V. Tûf. NTUTÀ b, croupion. ^T^, pron. pers. rég. Ton nga nii, du tu nous as fait tort. May donne-nous. NU, pron. pers. suj. de la voix nég. en général et quelques modes <le la voix affir. Dcfu-nu ko, nous ne l'avons pas fait. Bây bâ nu^ sopa, le père que nous aimons. Da nu h'mdu tëré, c'est que n on? tvons écrit une lettre. Y alla la nu sopà, c'est Dieu que nous aiT}u, — — re. v. , sangler, t. Nô, contr. p. nu nu a, 7iu di. Tëré là nô hindà, c'est uae lettre que nous écrivons. Dâ nô bindà tëré, c'est que nous écrivons une lettre. Varu-*fiô dèm, nous ne devons pas partir. 'NUiGÀ, V. n. rtre tiède au physique et au moral. Syn. NUHURU, V. NUKÈT, adv. na mikèt, être sanglé. n. avec v. MKiAL, MGÀLÔ, v. ren- t. dra tiède. ^UGALI^. V. t. tage des objets NUGAY b., MJGLU, ;>voir en par- NUKl, tiédeur. siir V. l'eau. NON, pr. Noé. n. V. se réf. réchauf- Gâl u iVuin, arche de Noé. NUN, nun may, nous. Niin a, nous. Nun là ko pers. n. c'est la, nous qu'il c'est à don- l'a né. NUNGILÉ. Y. Angâ. bout du nez. NUNGI, NUR g., NUR, n., V. se moisir, chancir. Syn. corrompre, Hûr, iVeb, Neka, Henâ. NOR, enfon- plonger, n., v. cer dans l'eau. plonger, enfoncer NORALI, V. t., v. faire t. dans l'eau. retirer de l'eau ce qui y avait été plongé ou enfoncé. 'NORAN sion V. n. profes- ifaire de plonger. NCTRANKAT sion b., profes- faire de plongeur. b., immersion, action de plomger. NURAY b., NCRKAT b., faire fer. Né revenir sur l'eau. faire revenir t. n. V. INUKILÔ, NURLÔ, tiè;ies. né. revint subitement il sur l'eau. iNCRAY Niqâ. attacher sangle. la. NURAL, NURLÔ, mons. NCH, 537 moisissure. plongeur. V. t. faire moisir, chancir. NUS, V. n. être humide, moiSûf su mis, terrain humide. NUS, V. n., fermenter. NOSLO, v. t., rendre humide. te. V. n. être gras. Syn. Dûf. NUHNUIII, V. un contentement NUHIRA d., n., éprouver intérieur. sangle, ventriè- NUSLÔ, v. t. faire fermenter. NUTA (L) b., fourche. NUTUT b., étui, aiguillier. , N quatorzième lettre de l'alphabet volof, se prononce comme en espagnol, ou comme gn, dans les mots français épargne, épargner, règne, régner. N se prononce par aspiration na, an. : NÈN NÀ, NU, NI, adj, déf. les. INc s'emploie qu'avec les noms ou pronoms qui prennent kâ au Nit sing. sents) (ici nit ; sents) i7ii, nit ; ou née.) ifia, hommes (ables hommes (prénUf les hommes les — — — , , que. Nit fiâ qu'on pron. a , irïu adj. d, appelés. Tél. indétermi- distance là, les qui, rel. hommes — — — , lesquels, , lesquelles. NÀL, NIL, employés NUL, quelquefois pour nà, i/ii, nu, quand il y a amphibologie dans la phrase. Baâl nu sunu i ton, les, NALÉ, NILÉ, NULÉ. la voix affir. Sopu-ûu ne l'aiment pas. Nu né, ils disent, on dit.You la nu sêtsi, c'est toi qu'ils viennent visiter. Lôlu là ûu begul, c'est ce qu'on ne veut pas. ko, ils NU comme s'emploie quelquefois régime, quand il fau- qui se là-bas battent. Nit nilé lâ dotél, à ces faire. rel. hommes-ci que — — — , , ceux-ci, c'est j'ai af- pron. dém. et , celles-ci, ceux-là,, que, lesquels, celles-là, qui, les- quelles. NONÀ, NÔNU, me adj. dém. (for- plus expres<sive que la précédente), ces. pron. dém. —— , ceux-là, , celles-lià. NONÀLÉ,NôNULÉ, route. modes de hommes vois ces NU, pron. V. suj. guer la Yoix nég. plusieurs dém. adj. et rel. ces. Sêtâl nit noté di hêh, que et fois lèn (eux, leurs). nâkâ \nô hualé nâil nu tôn^ pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés. sert à conju- deux drait mettre (forme la dém. adj. encore plus expressive précédente), ces Nit non fi- hamu-nu yôn va, ces hommes là ne connaissent pas la lé là, — — , , pron. dém. ceux- celles-là. NAN quels, quelles ? adj. ? Nan Nan nga di verras-tu ? pron. et quelles lâ yoni interr. lesquels, ? nu qui ? les- sont-ils lesquels en- NÈNÂ, adj. et pron. quelques, quelques-uns,^ ques-unes. indéf. quel- . — NÈN ;"on. indéf. proia. indéf. V' aJj. NP:>f':>, d'autres, autrui. NÉPÂ, et adj. nâ, dika nànii toutes. Nit tous, nom hommes sont arrivés tous. Lu népà ham, chose connue publiquement, de no- Hépâ, les toriété publique. La népa môm, commune, propriété com- chose NOS, NAS, pron. miens, les .^ \H-AM-TOY, espèce de poisson mauvais à manger. NAH, V. t. reprocher ce qu'on a NADÀ, NAHÀ, NAKHÀ, rèt, n. V. marcher précipitamment, à pas allomgés. NADU, V. p. être haché, en parlant de ou du la paille (L), V. êt^e foin. coudre, Syn. t. NAGAS, NIS, n. V. rude au NAGASAL, NÂSAL v. être ra- toucher. t.. dépo- rendre rude. NAGASAY, NASAY état — g., transpiration. manger v. à tout instant. NAHAMTOY genre b., de NAHAN sébestier g., gran- à des feuilles. NAHASTIKU, Y. NAHÉ, v. n. Nésahtiku. être rempili h., bouillie NAHÉT, NAHAT h., rudes- âpreté. NAGASU rendu n. V. de farine de mil granulée sans autre assaisonnement. Syn. Ngév. NAK, v. t. enclore avec une faite haie, sa rabo- rude. une faire àm tôl Nak haie. une — haie. entourage d'une ou d'un champ. haie, NÂK \nga entouré ton as-tu ? champ par b., maison igrande poignée. b., NAKA, do ce qui est rude au ioucher, teux, t. dè- poissons. NADAMNADAMI, même que :NÉDABNÉDABI, se, v. d'herbes. bestiaux. lir, n. du sang. sué a qu'il Nahâ nâ transpirer. il V. ce NAHAMTÀK, NAHAMTIKU, NADÀ, Y. t. hacher la paille ou le (foin pour le donner aux boteux, il suer, mince, être n., être V. mu ma may li m'a reproché m'avait donné. n., n'avoir pas de ventre. NADÀ, adv. sup. Tali nàdâ, raidir fortement. na donné. on, suma. poss. etc. fluet, NAÈT NAK sueur, mune. îios, — 289 n. manquer, être dénué de, n'avoir pas, perdre. Nakâ nà ker, il n'a point de maison. Ma nakâ sumâ hây ! (jurement) par la perte de mon père Ma nakâ sumâ ndèy l v. ! NAGNAGAL, V. t., bâcler un Gravai] . NAÏI m., herbe, mu petite toy paille, plante, foin, fêtu. ma, l'herbe verte Mèlin u fiah mu toy, verdure, couleur verte. La mu votu défâ mèl ni rlah mu toy, il vomit tout vert. tn a ri nés. Nâh u g et, algues la perte de nia Ma nakâ sumâ dôm, par la perte de mon enfant. Ma nakâ sumâ bakân ou simplement sumâ bakân par la perte de mère lierbage, Nah (jurement) par ! ! ! ma vie Nakâ bopâ, être acéphale, n'avoir point de tête, au , physique pas le d'une ! et bon au moral sens en affaire. Nakâ ; n'avoir parlant dôlé, man- — qiier de force, ^akà fit manquer de courage, être énepé. Nakâ yiv, naka kèrsà, luanquer de politesse, de convenance, être grossier. Nakâ yâkdr, manquer Nakà mpatah., man- yar, être effronté. — ingrat. être liku, i^aka désespérer, d'espérance, que, perle, faute. Nak'nh taku, manque de fidélité. NAKALAKÀT g., V. UerniCm. NAKÀLÔ, V. t. dénuer, frus- 2/10 — J^ÂN angi, kôÏÏa que tu nATV, \. un arbre. NALOM e-prce g., grim- n. de biche. NALÔR NALUM. il Nam (}ui exk'nué. te m.e 11 1 liini, <up.;Tl. ;id\. quelqu'ii;! (le a e-t H if nà .>o dit complè/>c j'ni- extrêmement faim. nourriture, aliment, plat garni. Sani ru nch nucfi, voici une excellente nourriture. Satà ncun, voler de la mangeail\. {. goûter, tâle, ipicorer. ter, essayer. ;rii pliysique comos. me au moral. Syn. NÂM ()., rat {)almi5te. Syn. Dâr. NAM U GËT, espèce de poisson V., — . M . NAMAL, ter, à v. V. tâter, t. à donner essayer. à goû- Tatik'u GÔR, Hoh Y. genre i implorer, prier, t. demander. Lô supplier, bà ? Batisé bà. mandes-tu ù l'Eglise Baptême. Nân nâ ko demandé di fiân Que de- R. Le ? Yalla, — je Dieu. g., prière, demande, supplication, oraison. San u sunu Borom^ oraison dominicale. NÂ)N-TALLA, V. t. souhaiter l'ai demander et sa malédictioii Dieu vieux lion. gros sau- manioc nu. fii, NAIN, Sfin-Yalla g., nanibi, alâ, damba: et pron. interr. dér adj. pande ou B ado ni. \. Âb NAMDOK BU d'héliotrope. Dangu I^ALGU, . vage. dre la grâce de Dieu. ;^ÀL, adj. et pron. rel. Y. ni, ûu. '^AL (ne), év ùal, attacher fortement. NÀLÉ, adj. et pron. dém. et Te]. rl(^r. de /V-t, fti. nu. ^ ALËM j:., seuience, dicton. per sur *} goûter ? corrompre, dé- t., manioc. Nambi NAN, c'est le V. moyen. nioc de Nà, Bakar ti shonorer une femme. NAMBI b., manioc. Si iiambif [>etit manioc. Âs fiarn\bi, ma- fai- manquer, iperdre. re la d'antilope, veui^ je t'en fasse NAMAR, Nakàlô fit, énerver. a nô nakalô yiv'Yalla, péché qui nous fait per- trer, priver, faire namal nia un gigot voici m au sur \ aise à Dieu qu'il à ré- bénédiction ou sa sur quelqu'im. nâ ko, lui, j'ai {)art, invoqué bonne eii c.-à-d. ou pour soit béni ou pour qu'il maudit, selon le contexte. g., bénédiction ou malédic- qu'il soit — tion pour d'après le sens le indiqué! verJ)e. , NAN et b., poitrail des chevauxj d'autres animaux. NANAL, V. t. intercéder pour,' pour quelqu'im, demann der quelcjue chose pour quel-i qu'un. Nânal nit Yalla, prier Dieu qu'il répande sa bénédiction sur quelqu'un. Nânal nâ ka Yalla, il a prié Dieu pour lui.; ifdnaZ 7710 Yalla, ndah mu ye-\ rem ma, prie Dieu pour moiî prier NAS moi. Var nànal la tu dois prier Marie, afin intercède pour toi au!e deux. //xi une 1. (ie paii'e. SWDAHIT, NAM)OS 1)., tous l'autre, les. i î^. coups. NAR Dieu. et vu èm, deux égaux, Râr gémén, fusil iVffr deux ehamp b. cultivé après une longue interruption. \NDÀ, V. Sèndu. NARA, bonjour, V. ^éndahil. crabe de rivière. espèce de sa^ dj. qu'on adresse dans la colonie à une ifemme d'un cer-. on y ajoute ordinai-. tain ranig re. rement lut, Nanf:t, NANPAT, YANÈT, n. et t)ron. nuiu. card., qua- ^'Srd. ; NARARA ki. quatrième partie, v. num. mettre compléter le quatrième, MRÈL, YÂRÈL, n. et pron. v. num. ord., deuxième. num. mettre un deuxième, dou-. lè.l u et n. tér, — (uartier. quatre. Nà ko nanètèl, en mette quatre. NANGÂ, V. n. être brusque, 'ho vil', cire emporté, être mé- seconde (L) Im ko fïârèl kàt, lu m'as inmais ne le fais pas uneseconde fois. Ku yèkê'k loho, bayi kudu, dô ko nârèl, celui qui au lieu de cuiller se sert de la main pour retirer le man-. ger de la marmite ne le fera, NAXCiOR m., serpent noir et I venimeux. très NWKAR l-ins ' noir qui qu'on man- crabe b., terre et la NARÈT ant, V. demandeur. faire t. prier, N.\NLU, soi, V. t. NANNA'NLU, V. n. NAPI nier b., V. n. monter NAS, NAS, et nu, V. l. faire aller aller deux deux. n. V. il y en a beau^ et ses dérivés. V. Nagna. Y. b, NASAHTIKU, pron. nôm être t. tatouer, balafrer. tatouage, incision le. long des joues ou ailleurs. — cheval avec une «elle sans sangle, NAR, YAR, V. ad.j. nmn. rard., deux. 'VWr chiffonné, deux, quand coup. bouillies à ou autre chose à dans l'eau. NAPU, à NARNÂRÔ, espèce de danse feuilles de tamariet être entortillé, fil NARNABLÔ, deux senir b., concassée-s quel-, iforce. gneux. blant de prier, de demander. NAPATU comme en parlant de linge ou d'é-_ diko, ^être hartoffe. Nargu soi. faire Vol.) s'étendre, n. être pareille, pour faire j)rier demander pour 'faire . ridé fai- demander. re V. en parlant de suppli- solliciteur, prétendant, NANLO, se laissant aller NARGU, tomac, colique. NANKAT, (Prox fois. (né) loc. v., qu'un qui manque de douleurs d'es- b., deux pas en SWKARBI fois. sulté, Syn. larme. s-, , ime chose pour la Has nga ma, vay faire bler, il. WGAN bu- i , il n V. Fîr, fîr g. — — , ,t>re qij nom. le pron. num. quatrième. Nanètèl u valà, M NANf-TÈL, [ l'un fuir, qu'il ail pitié nân ^fa^i^huu i NASÀNTAN v., NésaJilirri. espèce de pms, , NAS 5e couverte de longs qui cause une chenille poils blancs, grande 2^2 démangeaison à l'en- où elle touche la peau. NASAHTIKU, V. NésGhtiku. droit NÂ^SU, faire V. tatoué, être p. NÂTÀ se combien inter. adj. ? .^ Nâtâ yôn ? combien de fois ? Nâtâ derem nga ta hegâ ? combien de gourdes en veux-tu ? NATAR b. cataracte de l'œil. NATU, V. Nalgu. NâV, V. être vilain, p. mal difforme, fait, laid, hideux. Def nâv, bassesse, chose vilaine, mauvaise action en tous sens. ïîu Név un avoir diko, caractère. diko, i?du ko gen, un préférable à mauvais rafèt nit, dikô bon caractère est un mauvais. (Prov. NÂV, V. couture, NÀV, — coudre. à coudre. b., être effilé, bien id. chose n. V. nâv défigu effiler, t. fai couper. NÀVLÔ, NÀVLU, pour V. faire coudre. t. V. coud faire t. soi. NAVNAV NÂVTÈF tranchant. b. forfait, grand ci g., me, très-mauvaise NÀVUKAY action. part pointe, b., Nâvukay u purs la pointe d'une aiguille. NAY" b., brasse ( mesure c aiguë, effilée. longueur). NAY NË, V. de palmiers forêt b., l'on fait — b jalousie. b. NÉBÉ c du vin de palme. t. envier, ambitionne désirer le bien d'autrui. nëaté Vol.) nâ di vérole petite la un homme. NÀVLÔ, V. bien tatouer. Dambal figurer. haricot. d., Bâsénéb couscous aux haricots. Syn.' Se NEBERNÈT, V. p. se lever le couper en parlant d'un instru- tement. ment tranchant. NÂVAL, V. t. l'index ce qui reste au fond d NÉDÀ, se moquer de quelqu'un, le rendre ridicule, mépriser, regarder quelque chose comme mauvais. Mat nâ ûâval, c'est méprisable. NÂVÀLÉ, V. t. se moquer de quelqu'un à cause de quelque défectuosité. Bet i mûs âm yi là ko ifbâvàlé, il se moque de lui à cause de ses yeux de chat. NâVAY laideur, b., difformi- ramasser t. avi< plat. NÉDABNÉDABI, V. nâdamm dami. NÈF, V. t. frapper quelqu'un donner des coups, (terme dé honnête.) NÉFÂT, veau V. t. frapper de »01 gros.) (t. NÈFKÀT NÈFÔ V. qui frappa frapper mu b., celui rec. se tuellement. té. NÀVAY b., taillant, tranchant. NÀVKÀT b., tailleur, qui coud les NÂVLÉ, b., V. habits. V. t. moquerie, NAVLËKÂT NàVJ.O, V. se b., t. moquer. — dérision. moqueur. rendre laid, NÈFUL, NÉG b., (t. gros.) duodénum, portio du canal intestinal immédiat* ment au dessous do l'estomac NÉG, V. n. être humilié, êtr honteux, dé- va-t-en NÊH confus. Syn. Véof. m., bouillon quelconqu vec lequel on trempe le cousou dans lequel on fait uire le riz. Baré nêh, haré térê craindre, avoir le courage de, oser, braver, affronter, se t^x 0 gen, beaucoup de couscous aut mieux que beaucoup de ouillon. (Prov. Vol.) Kii dèl rage, ous, ongon sîm tèrê'm bu ko nân ne demande pas du bouilcelui qui trempe son ouscous avec des ilarmes. (Prov. Nêh mu far, bouillon 'cl.) èh, NÉHAL, KDrter brave, le t. envie à, ambitionner, V. s'attacher à, de na, Sumà 'alla, est ui Térangà iîéhal nâ ambitionne l'honneur s'attache à Dieu comme NÈKÀ, V. — Syn. vacciner. t. vaccin. b., , KÈL, v. t. connaître un lieu, n endroit. Nèl nâ béréh san•am, je connais tel endroit. fpitâ su bané dèh, âg sûh la lèl, si l'oiseau ne veut pas boila rivière, c'est qu'il con!e à tait un creux d'arbre (rempfli I 'eau). (Prov. Vol.) NÈL, conj. marquant le souque. Térangâ nèl nâ Bây >à, Dôm dâ, Nhèl mu Séla ma, :loire soit au Père, au Fils, au NÈLNÈLI, NÈLAJÎÈLI, narcher comme (ui veut courir. t. un v. n. vieillard une faire envier 'hose. NÉLONC b., soupe, ou sauce l'oseille. j !NÊLU, v. t. apprécier. Syn. Ipô. NEM b., avoir de v. n. la peine, mon bol néfià nâ, cœur, rempli de peines. NÈNDÀ, NANDÀ, V. t. mou. pince, pincette, te- siailles. NÉMÊN, NÉMÉ, NANDAHIT NÈNDAHIT, morve, roupie, glaii^. NÈNDl], NANDU, v. moucher. NÈNÈN, adj. dér. de nâ, \ni, p. v., se. et pron. ind, nu. NÈNGO g., charlatanisme. NÉNÔ b,, caste inférieure de. griots comprenant NÉPÀ, ûu. NÉPNÉP b., n.. les forge-, n. être iourageux, brave, hardi, ne pas pron. ind. dér, pluie fine. — v, bruiner. subitement, soubresaut.SauuZ né fier né berbit. Saùl fit un sou* bresaut et se leva brusquement, faire (né), loc. v., un NÉRAL, T. t., distiller. NÉSAHTIKU, :PÏÉSTÈNiDIKU, NASAHTIKU, NAHASTIKU, rîASTANTIKU, NISAH.NDIKU, v. n, en aspirant un. peu fort, l'humeur ou l'air qu^ gène dans les narines. reniffler, retirer, ?lf>TÀ, V, adj. et ni, de nâ, ^ER iaint-Esprit. V. nu. rons. lait, NÊLÔ, pron. ind. dér, adj. et ni, cher. étant dû. dèndà. v. n. faire s'agaillardir. NÉNà, ourir après. !)ieu, j NÉMÉNLU, NÉNÀ, pais (sauce). ^ NÉMÉN à jDH 1 — mettre de sa peur g., couhardiesse, bravoure. Né^ mèn'Yalla gâ, effronterie, aUf, dace, présomption. NÉMËNLO, v. t. rendre courar. geux, encourager, enhardir. nu m. la dur YÈTÀ, rard. : n. trois. hûni fi adj. et pron, Dégadi, nèî&, bât ; hêd fi koj_ mu NÈT lu : Ki diu ma rentêtement engenchoses une corde an lance dans le ventre; et ak gis kn né ; àm von dre ? trois : cou; line s'entendre dire : individu Cet d'autrefois celui est-il ? (Prov. ko dapâ sahlé <ik ub sahà hi, ak sahami, trois choses sont nécessaires sur la terre un champ qui produit, un grenier, et mâcher. (Prov. Vol.) Nètà i lonkà bènâ Innk'u digèn, du ta fakhà îunk'ii bûr fari, ak lunk*u dîAdiinâ, Vol.) net' a : : : né, y a trois attaches il diffici- l'attaclie d'une rompre femme, l'attache d'un grand à les : l'attache et roi, d'un génie. (Prov. Vol.) NÈTÈL, et retomber. lever et ^EV, vàl, m n. , Se n. venir, arriver. Ne- V. Nev-lën, viens. di fiev, le i^EVLÔ, NËY NlMANTU, NÎRÀMTU, v. t. manger lentement par gourmandise, se montrer peu généreux à sacrifier sont bien. Dieu dit Abraham à venez. Vêr mois prochain. V. faire venir. t. V., NÈYÈN, NDÈYÈN, Coucher sur V. se n., dos. le me autour des grisgris, NIROMTU, V. Noromtu. NïSAlINDlKU, V. Nésahtiku. NO, conj. pour nu à, fin a ùn di. Ëlu-nô dèni, ils ne doiAeni p;is partir. Geniu-ma II nô ne je qui l'ont V. NOFORLl^X, a gravé cette petite calebasse sait graver vraiment Fit, NiGÀ, ! Nahât. v. n. gagner, faire un haler une corde. t. NÔF ! être émoussé, (L), V. t. en gainer. V. n., être en- combré. Bérèb t)i noforhln nà, b., l'endroit est encombré. — encombrement. Non, s-er. V. — incendier, embra- t. incendie, ])., embrase- ment. NOH b., NOIIËT \ieu\ en qu'ils ce exprès. J'ail NODI, pas crois ko lèy, ce sont eux ,^0 lii-eiit. bénéfice, tirer, NlBLU, V. t., ménager quelqu'un, ne pas l'accabler. NlGÀ, V. t. buriner, graver, marquer avec un poinçon ou la pointe d'un couteau. Kâ fiig'oin nkôk si, men nâ 'fiigà vâlây reins de l'enfant. NïBl, V. Nuhi. •Syn. la NÎH b., ciu'Nenv d'un enfant de 8 jour^, imprégnés du lait maternel et qu'on attache, com- Ni, adj. déf. V. na, ni, nu. qui Nimantuvu sa cnifi. éléphant. Ben u néy, défense d'éléphant, ivoire. celui : bèna badô bi, tu n'as pas mangé lentement de ton fils imique, c-à-d. tu t'es montré très généreux à immoler... NIPU, V. n., être mécontent,; montrer son mécoirtentementen faisant du bruit avec les lèIl vres. pron. nuni. ord,. troisième. Nèlèl ii bès, le surlendemain, le troisième jour. V. faire un troisième, t. mettre un troisième. NËTNËÏ, V. n., s'éfforcer de — parlant d'un instrument tranchant. Siimà dâsi bâhatul, nigâ nâ, mon sabre ne vaut plus rien, il est émoussé. Syn. Day. NILË, adj. et pron. dém. et rel. dér. de nà, ni, Hu. trompe d'éléphant. ^., sMvate, pantoufle, soulier. NOHl, V. n. être bien habillé. — NOH NOHI, V. n., de mettre bas. être sur le point NOHKAT b., NOHORFÔP tube pour — , V. t. — incendiaire. chalumeau, g., humer une avec boire boisson. rèy Tva, le ne le Sar, s'il suit (né) NCNU, NONULÉ, de dér. NOPÉT tout (né) adj. et pron. loc v, Nam ce sont eux. Nôm fiépâ dikâ nanu, tous ils sont la, NOR, mûr, être n. v. NOMÉ, hardi, V. n. être courageux, être résolu, montrer du courage. Fô ragal, yané fâ sa alal ; bô démé namé fâ, crainslu un lieu, envoies-y tes biens; lorsque tu t'y seras rendu, tu auras le courage d'y rester. (Prov. g., courage, Nomé résolution forte. dé, di, courage de dânu nà, tu Nà sa nomé as fermeté, u gaén- Sa nomé perdu courage. lion. reprends cou- évii, rage. NOMÉLO, V. t. donner du encourager, enhardir. Ti hêh bà, gévél yê nomélô hùrékàt yâ, dans la bataille, ce sont les griots qui excitent le courage des combattants. NOMINKÀ b., habitant du royaume de Bar. Non g., sorte de navet saucourage, astucieux. perspicace, bu dey, norul vi NÔR, Yapâ viande Dugup nor tirer n., V. cette mûr. ensemble plusieurs coups de fusils. — g., fusillade. v.n. n'être pas cuit, n'être pas rusé, fin, sans malice, avoir peu d'esprit comme les personnes simples. NORAL, re, faire NORAY v. t. cuire, faire cui- mûrir. b., cuisson, maturité, perspicacité. NORBONTOY Yol.) NOMÉ être cuit, être décidé, fin, rusé, har- NORADI, arrivés. lover se coup. ,\ nà, le mil est n. pers. eux, elles. in- nu. ni, /k1, n'est pas assez cuite. nôm être v. loc. près de Ste Marie de Gambie. NÔM, pron adj. et marche solennellerivage, ment (mbanda). NOM, NOMI, royaume de Bar le a, manges tu si tact. NOLAHNDIKU, v. n., marcher lentement, gravement, se dit (proprement do la marche du chameau. Gélèm Samba Sâr su topé téfès, déjà nolahndiku, le chameau Samba pas dér. de nà, ni, nu. NONÛ, (né), s'élever lestement. soir est loin (c.-à-d. tu verras NÔNÀ.NONULÉ, dém. Y. s'appelle de ce navet.) un chalu- NOKÈT, NUKÈT, NOKIT Une variété, ngôn so- vage. Syn. Yanhos. vénéneuse, meau. loc. 245 haricots g. à gousses recourbées. NORHÀT, V. Noromtân. NORI, V. t. enlever à quelqu'un tous ses vêtements, le dépouiller de tout ce qu'il a sur lui b., dépouillement, dénu- — dation. NORIKU, NORÀKU, v. réf. se dépouiller do ses vêtements. NOROMTÂN, NORHAT, v. Syn. Tehtehan. chatouillement. chatouiller. b., NOROMTÂKÀT b., t. — châtouil- leur. NOROMTU, NIROMTU, NU9 _ NOS RUMTU, RUMUNTU, y. n. mur- murer. NOS b., bâton pour pousser une embarcation. NOT b., NOTÔT fourche. V., arbuste très singulier dont le tronc est couvert de petites ifleurs suivies de baies rouges, à feuilles trifoliées. Nu, V. nâ, ni, nu. NU, NUN pour NU, NUN, nous, NUB, V. n., semer avant la première pluie. NUBf, NlBl, V. n. s'en aller chez soi, retourner à la maison, dans son village, dans son pays. Bûr' Sin iiiihi nâ pëg àm, le roi de Sine est retourné dans sa capitale. Lu gan sonal-sonaî, di nà \nubi, quelqu'ennuyeux que soit un hôte, il finira par retourner chez lui. (Prov. Vol.) NURISI, NIBTSI, revenir à Bûr ha d'où l'on fiibisi' nà, est partie. roi est re- le venu. Dn ma fi jîubisi muk, je ne reviendrai plus jamais ici. NUII, Y. Ruh, enfoncer. NCL g., fruit ou noix du pal- mier me huile. Kâm nûl, régide noix de palmier. à — NUN NUL m., NOL, V. n. i casse-tête. être noir, être bleu foncé, être de couleur foncée ti- enfumé. yit kii nûl, un noir, un nègre Ado/î mu nûl, eau pure et sim pie. Nûl nâ kuk, il est tout rant sur NO SU, V n. faire avancer un bateau à la perche. NOSUKAY b, perche pour faire avancer un bateau. l'endroit 2^6 noir, le être noir. à-fait NÛLAL, V. enfu noircir, t. mer, charbonner. NCLALÉ, dre V. t. V. t. noircir, ren noir. NCLÂLË, rendre une même temps qu'une autre, ou bien en même temps qu'on fait autre chose. Sô di nûlaM-s:i i dala, Hûlâ chose lèl ma sumà cireras tes même en en noire i temps NtjLAY vos, souliers, b., les lorsque tu tu cireras miens. noirceur, noircis- sure. NULÉ, ve\. adj. et dér de /nâ, NCLLÉ, V. t. avoir des objets Sumâ gètâ amul har dâ ma Un nûllé yépâ, noirs. vêh, pron. dem. et nu. ni, yii mabergerie n'a pas de brebis blanches, je n'en ai que de noires. NULUK, dans la Nr\ V. t. mettre de l'eau chaudière. p. NUNGA, voilà.. NUN. hnngu,. flungàJé, les o ô 6 quinzième ô, de l'alphabet volof, lettre a valeur de To la français, soit bref o, soit long ô, ma<is il a toujours un son ouvert. représente le son d'un o fermé qui tient le milieu entre l'o or- 0 dinaire et l'u O met après ou après nom d'une personne que Ton qui se interj. ô, une phrase le ÔÉ appellative Halèl appelle. yi, nev-îën ô jeunes gens, arrivez. Samba — ! interj. , Samba pour I ô ! ré- pondre familièrement à un appel, mais ne s'emploie pas envers une personne que l'on doit part. respecter. Pêr ô ! ô. — conj. Gîr-ô-gÎTj bîr-ô-bîr, , bet-ô- journellement, chaque jour. Volof d, Sérér d, bès-ô-bès, bet, Tubûb népà ô, nu su jara, di bonne nânu dèm topa yôn sa- u Y alla, les Volofs, les 6érérs, les Blancs iront tous en enfer, s'ils ne veulent pas pratiquer la religion. désinence contr. — pour €0, io. qui paraît dans cerverbes dérivés et indique ordinairement un sens/ actif. Dêlu, s'en retourner, dêlô, retourner, restituer, renvoyer. O, suff. exprimant une idée <îe pluralité et de participation simultanée, quelquefois mutuelle, dans !e sujet du verbe. 6old, cire réuni ensemble. Foan0, tains suff. avec. ô, Vô, V. t. appeler, conivoquer, convier, ôàl halèl bâlé, appelle cet enfant là-bas. b., appel, action d'appeler. — ÔAL, V. au qu'un, ma ùal appeler pour quel- t. nom de quelqu'un. halèl bàlé^ appelle-moi cet enfant là-bas. CÂT, ÔATI, V. t. rappeler, ap- peler de nouveau. OBO (L) b., poisson. labre, Syn. Kobos. ODÀ, V. t. fournir quel- à qu'un de quoi s'habiller (à la manière des indigènes), habiller , 00, oà, ôé, uâ, ué, uè, éo, s'amuser, foantô, s'amuser tu, quelqu'un. ODU, V, réf. couvrir la se ceinture d'un vêtement qui descend jusqu'à la cheville du pied en parlant de femme en général, se vêtir en parlant des ; femmes. Sa digèn amul odô, ta sœur n'a pas lu de mu quoi s'habiller. V. t. appeler quelqu'un quelque chose ou pour quelque chose'. Bindà là ko OÉ, avec dé, je l'ai appelé pour ccriro^ J — OGO ôé na kô'k buflâ, je ayec une trompette. l'ai 2/»8 vêtements. les OKÀ, V. lui égratigner, t. ter, griffer. Ku nga OLU, olu 'égratigner, gratter se moment. OLAT, v. t. rogner de v portions les du instrument pour rogner des chevaux, rogne-pied. leur n., OLO. v. OLÔDI, se n. fiance t. méfier, la — v. langue. ou n., être en but volof. n. Olof Olof mologiquement pied. Om Om i bu loyoh, genou là je suis nu, ce duire gôr, intérieure hah i dambâ. un cheval ou une a^- par la bride ou la corr de. Omat ganar, gadu kô ko gen, il vaut mieux porter une poule que de la conduire avec tre bête une incorrect. cheville fai- gélèm, héliotrope. V. OMÂT, b., ascaride. OMAT, V. t. conduire quelqu'un comme un aveugle, con- de peuple lâ, l'hyène, soit être abondant. genou. Takèr i nûl i cheval rouge à genoux ficelle. (Prov. f V., con- n. Nandok bu des olofs ou volofs. Les étrangers ont adopté le mot yolof pour désigner ce peuple et le langage, et ces mots ont passé en usage,- mais il est éty- du V. b., ble. sont OLOF OM, OM ôm, con- méfiance. de olof \OLOm, n'avoir pas OLOF, VOLOF, et siffler noirs. V. j'ai peut lutter avec une chèvre. (Prov. Vol.) Syn. Yoy, Lapa. e-o. OLODIKU à que maigre que faire appeler. (ôlu adi), que toi elle n., V. l'orphelin. être frugal. sifflement. b.. ak n4irim. Dieu défense de la veuve et la OM, V. n. être maigre, décharné, exténué. Lu buki om-a om, men nâ herê'k bèy. quel- Voleri. VOLI, v. OLL^, VELIS, (")LT. défense. Yalla di na la cheval cou- v., isaljelle. OLERT, Y. roi fiance. b., OLDU, YOLDU ap- fit car c'est en sabot des chevaux. OLATU con- V. t. venir protéger quelqu'un, accourir, venir au secours, Nenal volusi ma, ndégé yov lâ ôlu, viens à mon secours, et retran- inutiles b., OLUSI, à tout cher — dotin prend égratignure. b., —, appeler Daniel VOLU, V. t. protéger, prendre b., égrati- OKÀTU, OKÀTÀKU, OKTU s se effrayé se Vol.) OKÀ-OKÀ nga vèr, ceconfie en Dieu, réus- OLU, VOLU, V. t. se faire BÛT tu ôlu Daniel, le pneiir. réf. qui confiance. j'ai di peler. : OKÀKÀT, OKÉKÀT mettre sa t. fiance. du la oka jii la nêh, celui auquel tu dis gratte-moi, ne te grattera pas où tu voudras. (Prov. que toi Y alla, ôlu sira. (Prov. Vol.) grat- okn ma, né, en c'est Ku retrousser se réf. V. V. confiance en, avoir confiance en se fier à, se confier à. Y ou lâ dZu, V. t. trousser, retrousrelever les habits. Syn. En. OGOSU, OMA OLU, VOLU, appelé OGOS, ser, — j t action Vol.) — 1., de conduire un aveugle ou un cheval. 0M\ OMA'^ amaigrissement, mai^ieur. h., , dépérissement, OMBÀ, V. t., ourlet, border OMLÉ, V. ORB ourler, — b., l'aire un ourlet. avoir des objets t. maigres. 'OMLÉ, V. n. avoir en a)>ondance, posséder beaucoup. Mbâr ômlé ngën ti scn nnpa bi ? avez- vous pris beaucoup de poissons dans A'otre pêche ? Ku savar di ligèy, ômlé, celui qui travaille avec ardeur sera dans possession rabondance. g., abondante, bonne capture en fait de péclie, de chasse, etc. — OMLO, OMLO, v. t. V. t. rendre abondant. décharner, ren- dre maigre. ON, VON, part. v. du temps quelquefois S'emploie passé. la sans verbe exprimé dans Bukl la fi on, il y phrase. avait ici autrefois une hyène. Nàkà von, conr.rie uuUeîoh. Nûn g c ne. Il nipitnJi ma iwn. Ncé même sortir la V. frapper sur la des doigts t., avec le revers repliés. 0!\GKÀ géeko, genre de reptiles sauriens d'un blanc «aie et dégoûtant et qui sont b., vénimeux. ONI, V. t., dénicher, prendre des œufs dans les nids. ONIKÀT B., dénicheur. ONILO, v. t. ONKÀ, V. n., gémir en — B., dénicher. plaindre, faire se maladie. plainte, gémissemeent en maladie. ONTÉ, ônté ma optative. part, ! puissé-je (utinanjl) plût V. ;i P Dieu. Men ÈVônté! malade, être II., — d., maladie. Opà du méti bokul ak de, ou bien du tah à dë, grande maladie ne cause pas pour cela la mort. (Proiv. Vol.) Op'um mbâm, crampe. Syn. Sidit v. ruiner de, buki. i OPÀLO, OPÀLÉY OPÀLÀV, mala- rendre t., santé. la ! interj. hyperbolique. OPÀOPÀLU, faire n., V. semblant d'être malade. OR, VOR, V. t., trahir. Ku vor ku la dul or, Yalla vor la, celui qui trahit quelqu'un qui ne le trahit pas. Dieu le tra(Prov. hira. trahir à digéy manquer parole. sa — trahison, b., OR, Or, OR, v. n., jeûner. VOR, na, perfidie. obser\er, épier. n., V. sûr, tain, Or Or Vol.). promesse, sa n., V. vrai, c'est j'en suis c'est très être être assuré, cerfvé- indubitable. sincère, ritable, colombe?. ONG, tête nouveau de fit OPÀ tomber malade. Or na ma, Or na péng, sûr. sûr. certain, évident. ku vor, homme de Degâ gu or, vérité NU confiance. incontes- axiome. Bu vor, loc. adv. certainement, réellement, induibitablement sûrement. table, — g., certitude, ORADI, tÔRADI, incertain, — g., évidence. V. n., être douteux. doute, incertitude. ORADI, V. t., ne trahir pas. ORAL, VÔRAL, V, t., œti\fier, prouver, A^érilîer, démontrer, attester, affirmer, confir- mer, assurer. ORBIS, b., insecte que l'on — ORB pendant surtout voit ou: 7 5( rhi\er- — ORBIS maladie donnant g-, démajigeaisons aux pieds et aux jambes. des •ORKÀT ÔRKÀT b., perfide. traître, b., jeûneur. ÔRLÉ, VÔRLÉ, avoir V. t., choses sûres. ^Ti mi nehâ sèn alal népâ, mû gen à ôrlé, de tous ceux qui ont caché des biens, leurs je sont biens les Samba reté. Samba di vandé sanélii, se fait en sû- plus le nà faral à du gi- muk. ôrlé souvent dire aventure, mais mais rien de sûr. ÔRLÔ, VORLO, V, n'a la ja- ORLO, V. t., ÔRLÔ, V. ORMÀ d., déférence. t., faire gi nèk on du s'écria Sinaï. avec respect. Syn. Kèrsâ. hameçon. pierre que Ton met sous une marmite au feu pour remplacer un trépied, chenet. Begetê ma làh, hè sumâ hopâ g., lâh. si je ma ne voudrais pas de tête, devait servir de prendre t., bopà, sa Otiil prends garde- à toi. b., surconservateur, gardien, défenseur. veillant, OTULÔ, VOTULÔ, OYEF, VOYOF, poids, V. faire t., confier. interj. V. être n., faible, aïe ! V OY E OYOF, tendre, F, au léger délicat. OYÉFAL, OYÉFLÔ, OYOFLÔ, V. alléger, rendre léger, t., tendre. fai- Oyofal sa hol, dé- charger son cœur. OYÈFAY, OYOFAY reté de b., poids, faiblesse, V. écouter légè- ten- dresse. OYU, t., quel- qu'un qui appelle, répondre à l'appel. Bâlà ngâ oyu nèka fà, avant de répondre à l'appel, chenet. OT, VOT, v. t., pratiquer de vaines observances dans l'intention d'exercer une influenquelqu'un, faire des ce sur charmes pour faire venir quel- qu'un V. observer, ménager, surveiller, conserver. Otul, prends garde. Otu lën, prenez garde. ble, V., os, OTU, VOTU, garde, ÔY, VÔY, respect, tank u Sinai, hâtu ak ormâ né : le peuple qui se trouvait OS OS — jeûner. urbanité, Mbôtay pieds ÔTÉ, VÔTÉ, v,o t., convoquer, appeler pour un conseil, une assemblée. b., conseil, assemblée. garder, ti aux OTA.RNI, v. t., torturer avec main, froisser, fracturer avec la main. Syn. Mohon. la faire trahir, ex- trahison. la un d'exercer action b., OTUKÀT, VOTUKÀT rendre t., certain. citer à un découvrir faire etc. chaime sur quelqu'un. dont celui suis bonne dèj pour est, voleur, nage. dans l'endroit où l'on faut être OYUPI, celui qui OTUSI, celui qui présent. V. t., (Prov. aller il Vol.) écouter appelle. V. t., venir auprès de ajif-elle. p p, s<>izièm€ lettre de l'alphab français, soit avant soit après um : volof, pa, ap. : pahé, on PAD, b. maléfice. PAD A b., endroit vulnérable du corp-. T3ér. de Fada. palma Syn. PÂK Héhém, PÂK ne Pah i l'en lît, fait pas lieu, tent b., b., mèche de cheveux, deux côtés du les tête. la incirconcis. Syn. ^Had. PAHÉ, v. n. avoir beaucouip trous (criblé de trous). Ndum dà sur ,/îii ko damai hè mu nouveaux circon- les séquestrés) figure la se met- devant h., couteau. 1\\KÀ, Y. Mpâkà. , PAKAPAKA, crible, b., les V. t. cribler — passoir. PAKOFAKO b., petit escargot qui ne se trouve que dans l'eau salée et I^AL PAHÉ a, que PÂK A du mil. sur sommet de dér. de Fa- {).'i";sanls. nâm PAH A mpaka, (vixrint cis i laissée Pâques. d., V. PAKA, MPAKA b., bouclier. PAKA, MPAKA, espèce de layu nvec un petit trou au mi- Pah dinah, trous de souris. Paih i dèfa felâ, le trou des rats palmistes est percé de part ©n part. Pah milé la ko yérô, c'est par ce trou que je l'ai vu. PÂH b., nom de la semaine où l'on commence la culture d'une espèce de ku. sortir. trous d'une flûte. (F) PAKA, courroie qui tient suspendu au métier des tisserands, la branche d'en bas. PAH, MPAH m., trou, caverne, fossé. Ngélfw U di fahal hoh fi pah, du ko t/i çféné, le vent qui pousse la feuille dans le trou nom b., paille belle et noueuse. la b., la de criblée est trous. Ndésgci}t. PAFTU souvent atteint a si qu'elle cible, ricin, (L) b., christi. ' PAL PAD PADÀLEPOLI comme en prononce se voyelle on fait que g., les mange. du yomha, dont l'on fruit gourdes à long col, portent le même nom de pâli. Pal bu fès, gourde pleine. PÂLANOi m., omoplate. PALKIU g. V. Ndumbut, qui mur g. PALPAL ial g., graminée V. Fal- PÂN P\N PARAPARI, cnb.iret. ])., PAN, Y. PAN PAT Pôl. côté et jour, journée. 9e dit h., au quelquefois PAN moule de h., PANA, rivière. PARÉ de de la veille. Ku rëré pana, àô opé fandé, qui 'soupe avec les restes du souper de la veille, ne soupera pas quand Vol.) — riz sera il V. , malade (Prov. laisser, remet- t. ati pour une autre lois. Var nâ lën à vah la baré, vandé dâ mâ ko panâ,^ j'ai beaucoup de choses re, mais je le remets à encore vous di- à une au- tre fois.) PANDA b., — restant b., niâlo, restant jaunisse ou espèce PÂNTA g., seau fendu poissons b., sole, de mer. de ro- genre de Ndérèr, Syn. tapnlé. PAPAYO papaye. bega ji payes, (F) sole, Dây ma papayo yilé, vends moi ces pa- ? combien en veux-tu b., (né) loc. v. brusquement dans une autre ? espèce de m.-à-m. papaye de PARÂH — papayer. b., PAPAYO U GÊT la mer. entrer case ou Suivi de vérah, il signifie entrer brusquement par un côté et sortir aussitôt par un <:6ié opposé. Satakàt bà dèfâ né par ah \né vérah, le voleur a passé lieu. rapidement en ce PÀRÀNG (L) PARAPABÉ 'b., b., prêt ? ? es-tu préparer, arranger, t., a nâfm les chevaux. PARÉN (F) b., Bây PARLU, PERLU, PORLU, PARALÉ PARPAR, par V. faire t. du fou frottement du bois. le PARPAR b., porte faite avec des lattes croisées. PARU b., V. Mparu m., PAS pour FAS, chevnl. PÂSÉ (F) V. t. rep^s^er du ge, un habit, elr. énigme iPASIN b., par signe. lin- pro|)3sée v. t. attacher les deux mains et les deux pieds ensemble. PASPAS b., PAS ])., nœiad. Paspas bu dldn, gros n<ru'.l. Pas- pas bu ga, \\(v\u\ lâche. Paspas bu dcher, nd'ud serré. Pa^ reU, nœud coulnnt. Fiiil ma paspas bi, dé^faites moi le nœud. Paspas bà Yulla fas, kèn menu ko jlti le nceud que Dieu a noué, personne ne peut le dénouer. Dér. de Fas. PAT b., maladie de gorge qui consiste ne pDuvoir Y\en avaler. Les indigènes craignent de prononcer ce mot par un motif .à superstitieux ment : en disent seule- ils ; vonàsu dapa nà sumà PAT b., garçon d'honneur, dér. de Far. V. Mparlu, dér. de Far, Fer, For. gorge table. Syn. parrain. Balisé. i bien lieu. on fas yà, préparé PASLAPA, PASËLEPEV, morceau . PAPÂLÉ V. , disposer. Paré de fièvre bilieuse. lô n. se préparer, (F)., V. Paré nga'm sé. du souper que l'on conserve pour le déjeuner du lendemain. Pan u téré restant de couscous. Pan u b., oi- les se disposer, être préparé, dispo- fan. tre voltiger de comme seaux. pour singulier n., v. d'autres me vahii fait (né) à di ina, méti, ou la mal. loc. silence. Syn. verb. né tel, se tenir né nèm. — PÂT PÂT Su sipu yabô, laiti€r. 1)., 353 — PEN PEDÀ bosse, b., surface d'un objet. Vol.) gerie celui si PAT, adv, superl. Hnr /la pfli/, bien fendu. c'est PATA, PATXPÀiRË moyenne' de noir, ,12 h., singe r^iïidoiir, poil roiiLie, sans poitri lo queue. PATA, V. rtre hirjîïie. F(is n.. vu pata, un cl km ni horfine. Digèn dilé di na ixiti, c-ette femme sera brjr<jn-i'. D('j\ de Vata. Syn. Boroni rurn^^i riJ^H ci Borom bènà bel. PATAH gà ta ment. îié (né) adv. loc. pat ah, il Mun- y est entière- PATAHPATAHJ, barboter dans l'eau bourbeuse. PATALO, rendre borgne. '\'. v. n., . PATAMTAKÎT, x. n., \ . Faijal- lu. PATAPAiRÉ, \. Pata. PATARNI, V. L tresser les cheveux pour la pieiiiicre et la seconde fois en parlant de personnes nubiles. PATÂS, PATÂTÉ tate b., (F) pa- douce. PATÉNDUGU m., cardinal, espèce d'oiseau. Syn. ad u gol. PATPATI, V. pr., se débattre pour se débarrasser de liens. H PÂTU g., calebasse ou gourde dans laquelle on bat le. l^eurre. Dér. de Fût. (L) jaune d'œuî. troupeau, b., bœuf, de l)er- vacherie, pi- quets où l'on attache les bcrufs. PÉGA m., Y. Mpéka, dér, de Féga. PÉGËT m., tourterelle. PÊHUKAY j)., épom antail. PÉKA V., servoir. mpehalukay petit magasin, b., ré- Syn. Ndogtal, PEKAPEKA, V. t., frapper avec lé revers de la main. Syn. Pèkpèk. PÈL V. PÈLAH repousser, renvoyer. haricot vert. PELEiM b., homme édenté. Pelein là, c'est un homme édenV. n. ère édenté. Magèi té. pelem, un vieillard édenté. Syn. Malan (L). \PEIjEMLO, y. t. arracher toutes les dents. — t. b., , mu PËLO pélo, b., c'est PEMEH, harmonie. harmonieux. V. pousser, t. Am 11a malme- pousser de côté et d'autre. Bu ma pemçhati, ne me pousse plus. Syn. Défiah. PENDÀ b., maladie qui semble se rattacher l'hydropisie. ner, PEND A b., poussière, poudre fine. PÉNDAL, V. Mpéndal. PÉNDÉCi, PÉNG, adv. superl. Vër nâ péng, il est parfaitement guéri. Or nà péng, c'est très ^ PENDEH, molécules terre. n. être réduit V. très petites, Mboyo mi en s'émiet- vovlô nà ko, bè vent d'est l'a desséché jusqu'à le réduire en ter. mu pas. PAYÈL b., tortue de PAYTÈF g., légume. b., PÈDE la certain. PÂV, exclam, (var) manière de répondre au salut d'un homme respectable que l'on ne connaît iPEDE à saillie qui achète le lait est content, à plus forte' raison celui qui le vend. (Prov. genié pât, pendeh, poudre. le 5/4 PBNDEH !).. — miettes et autre particules d'une substance quel- conque. PKRKl':, V. Pirkc. PËRLIT enfant qu'on de Fer. PERLU b., PERLUKAT b., pa lu rage, pacage. Déi-. de Fer, b., petit vient de sevrer. PENDEHAL, v. éniietler, t. en réduire molécules. PENDEHIT b.. molécules, ce qui vient de l'action d'émietier.PendeJiif i vurus, molécules d'or. Peudehil i sukar, molécules de sucre. PÉNGU (F) b., épingle. Tumay ma péngu, blanc, bab, donne-moi une épingle. PÈNKA, V. t. donner le croc en jambe. Pènkâ na ma, vandé dânu-vu 7na, il m'a donné le mais croc-^n -jambe, je ne suis PÈNKA PÈNKÀ partie b., charnue de PÉNKU croc-en- jambe. b., la plus cuisse. la Orient levant. Dér. h., PÈRONG PÉNTA m., V. Mpénfa. PÉPA b., g., grain de mil ou d'autres céréales, grain, graine en général grain d'ambre et PERU, pipi, — PERANHx\L , b., de bois servant porte fermée. PBRAPUS ib., tenir une PÉRU, PERAMPUS b., PÈSKAT PÈSU, arrière-bras entre b., 1> cuivre rouge. , airain, bronze, se faire tresser souffleteur. b., pr., V. sur coiffure mettre se la l'oreille. adv. su^. Dog nà coupé complètement. Dér. de Vèt. —, (ta), V. Mpèt. PÈT, adv. sup. Hès pèt, ron- pèt, (né), c'est gea tre. d'une Dér. PÉTERGO b., du mari. donner des parlant en du frère PÈTPÈTI, cœur, du épanouissement de Féta. belle - sœur, b., ifleur. femme du V. n,, ipouls. PÉTPÈTLU, V. sur aller n. bord du chemin, aller le l'en- à tour. PËY h., capitale. PIKINIM PIKIM, b., petite pièce d'argent. Pikini'viirus, petite pièce d'or. PIKRIK b., V. PIND'AB TÈN d'un puits. tôg ti Tibrip. b., Yésu mi pinda u margelle tari tên, ti y&n Jésus étant fatigué de la route, s'assit l'épaule et le coude. PEREM pr,, V. cheveux pour la lère fois, en parlant d'une jeune fille. PÈS, V. t. souffleter. va, vis. b., les barre ou pièce à — carder. t. élancements, dauphin, genre de mammifères marins. PER b., (F) perle, grain de verroterie. mollet, gras de la jambe, entourage d'une case. Pèr u bet,^ prunelle de l'œil. PER m., cheveux frisés. PERAH (né), loc. v. Né pérah, sortir ibrusquement. b., PEREK V. bal- carde. ; de corail. perron, (F) b., con. iPÈTALÉ re Férvka. Dér. Ferlu. PÈT pas tombé. PËPA PIR sur le bord du PINDAL TÊN puits. BA., v. t. metIre une margelle sur un puits. PI'PJ NGA.Si couscous avec du poisson frit haché. — PIR PIRIT en filaments qu'on obdu linge, charpie. Dér. de Fir i. ))., effilant tient 355 — POT de perles de différentes grandeurs et par ordre de grandeur. PONHA m., pâte. b., (L.) — Dog, dogat pirki, dépecer, déchiqueter pour pain, fricasser. ses PIRKI iPlS b., fricassé. pièce entière d'é- (F) b., PONI PONKA toffe. PISTERIN naie b., (A) franc, mon [française. PIT meur bouton ou petit b., tu- sous la peau, bouton ga- leux. PÈTPÈT, PITPTT, PÈTPÈTI. Y. PITPITI, avoir des élan- n.. en parlant du cœur, cements, PO.WTU (yef choses b., i) amusantes ou délassantes, PORA\ l-.aga- de Foaniii. Dér. telles. l^OD bouteille, petite 1)., 1) *. de serpent vivant sous e?f èce , \('né^eu\, bigarre, PODA — du pipe culottée. tramo la tisserand. POHËT verb. partir va teb ic aanne pohcl, le bo:iclion (né) subitemenL loc. S^in gara sa saula et l'eau- de-vie partit subitement. e POHOR, V. Poroh. POKA nœud })., dans une branche, un bâton, une plante quelconque. PÔL (F) b.. PAN, (A) poêle à frire. POLÉ b. PÔN b., Iv'r. proentre deux cases ou entourage de cases. PORKO b., (F) porcherie. PORLU b., V. Perlu. POROH (né), Syn. Parah, tabatière. tabac en poudre. de Fan. PON b., PONÀ, passage POROH, POHOR, PURUH le gosier. POROHAL Y. b., Peranhal n., faire un collier — V. faire t. passer quelqu'un ou quelque chose par une ouverture trop basse en partie fermée. POROHLU, PARAHLU, v. n. une ouverture trop passer par basse ou en partie fermée. «POROPORO pigeon h., ra- mier. PORT AL b., (L) chalumeau. Y. (néj Pehct. de bœuf, Syn. Purtul. POSÈT POSTA fouet, (né), b., nerf férule. POSTA, V. t. donner des coups de nerfs de bœuf. iPÔT b., petite porte derrière une maison. cabinet se- — — cret du , roi. POT 1., V. Mpôt. Dég pot, ham «m du ko nân, l'étang où i V. b., qui est fermenté. , articulation des tiges de mil. pointe, (F) b., POROHAL, vieille b., bois qui soulicTit , PONTA b., ce sable. le be. l)ur€tte. fiole, manche de cou b., d'autres instruments teau et semblables. Ponk'u dâsi, pom meau d'une épée. PONKAL, V. q. être gros, fort, robuste. PONPON b., pinces de cra- montoire, du pouls. strophantus à gousréunies quatre à g. allongées quatre. — POT 206 Ton a fait la lessive, ceux qui en ont connaissance n'en boivent pas. POT hanche. Hôl, bayi, gênav lôîa nga okâ sa pôt, qui regarde avec attention et laisse, b., en s'en va après grattant sa se comme un homme hanche qui ne peut avoir ce qu'il convoi(Prov. Yol.) tait. POTAH du cou. m., creux à — racine la adv. à peu près, ap- , proximativement, presque, quaenviron, plus ou moins. .4m nâ ifidr i at potah, il y a à peu si, — PRIS bac en poudre. Pr/s tabac en poudre. PUP tav ou de d'or un perles. de collier mettre — , POTIR Mbétèntûn. dame-jeanne en V. b., POTOPOTO, n V. eire dé- trempé par la pluie, être bou eux. Tav bi méti na bè y on yi potopofo. POTOPOTO b., boue, terrain langeu\ où l'on s'enionce. Da taha'k potopoto, je suis tout par doh il i^oue. la Kèn menul sèn couvert de boue. PÔTU PÔTUKÂY b., puits où Ton b., la- lave la les- sive. la case se bat avec pluie sans que le maître en ressente rien. (Prov. Vol.) PUFTÈN m., puftân, vessie. PÛH b., bière du pays fait3 a\ec du mil fermenté. PUHË b., Jjobiné, coton à fu- la seau. ta b., povâr, (F) tu poivre. ne l'as De'/u point poivré. à par extension menteur cause du proverbe. Di nà fèn et ni prètân, esclave du mû, riz, des peaux, etc., du ma- PUL, adv. sup. Ês pul, tout neuf, n'ayant pas encore servi. «Jes il ment comme un maures. bu bilé, ês pul n'achèteras-tu pas cette case, elle est toute neuve. la ? POLÉ® PULÉ, tabatière. b., Syn. Gas. PULITÉ dégra- b., destitution, fonction, dation d'une grade, etc. Dér. de Fuii. PULÔH b., première ger, h man- semblables racines autres d'un racine du jeune rondier ])onn€ de certaines plantes qu'on mange, comme ignames, carottes betteraves. PÛNÉ b., peau est albinos, nègre dont blanche et blafarde. PUNGA b., ignorant dans les choses de la magie. PtJP, PRÈNTAN m., caille. PRETAN b., esclave des maures, où Ton con- lieu b., serve toutes sortes de choses, la POVÀR la sommet, pinacle, nëg dé na hôh ak borom. nég yègu ko, le sommet de à dekà té potopoto tahu la, personne ne peut marcher dans votre village sans être voir, })u II Dô dèndà nég ^ terre cuite. sali il gasin. collier. POTENTAN ma té ; du tamoka, b., Piid faîte. /PUKUS espèce b., tabac en feuiîle b., aussi quelquefois dit se près deux ans. POTAL PCiP soins, V. en n. faire les des parlant déjà sevrés. Pap. bop' àm la rot, i on gros beenfants ndagub ti récolte co que l'on a semé. (m. à m. l'excrément de ]a chauve-souris retom}>e sur elle). PUT PUR PURSA aiguille. b., Bena'b pursa, clias, trou de Uaiguille. Naviikay'pursâ, lèvlèv i pursâ, pointe de l'aiguille. Piirsâ bu day, aiguille épointée. Pursà bu bu lèi\ aiguille sèv, aiguille sâ, enfiler PURTU, 'PUiRUH, PURUN ne rufi aux: mô une V. V. t. pointu. fine. Pursâ Nos pur- aiguille. opprimer. Poroh. b., nom qu'on donmaures, pur sang. Pudi nâr i gêt, un pu- run c'est un maure venu de mer. PURUR 6 b., homme circoncis, mois ou habité qu 'im qui n'a semaines dans la la hutte des circoncis. PUT adv., PUT, POT qu'on fait rien. (né) loc. adv. bruit entendre on se sou- l:i;2eant. PUT A b,, ampoule aux pied^i ou ou\ mains. Dér. de Futa. R comme en R, dix-septième lettre de l'alphabet volof, se prononce une français, soit avant soit après voyelle, ra, ar. R RAB (R, est remplacé par loum. Y. D. D au Sa- RAB V., animal, bête, brute, bête féroce. Rab i ala, animal sauvage. Rab i ker, animal domestique. Ràh vu min, ani- badô nâ lëgi, le Baol est tout en désordre aujourd'hui. RABÀHU, tout Te^rit à même ce qu'on vient tort et à travers, devrait taire dire jaser, n. V. qui ce à raconter ses faits loué. Syn. ; mal apprivoisé. Sumâ hûy mmlo nâ mhila, mon père a apprivoisé un cerf. Rab i déri, animal terrestre. Rab i gêt, animal et aquatique. nœuds, qui se suivent, la pa'lle ou le chaume dont on couvre les cases ou dont on les entoure. RAB V., lieu, à un gi , attaché esprit arbre, etc. Rab à un i ker jèn nâ'k malân i ndor, l'esde la maison a apparu vêtu prit de blanc. RABA, V. tisser, tresser, cor- t. der. Rabal ma une ligne. Vutén tissé du coton. dafé ivdég, précieuse. RABA là raba, moi il a g., déjà métier de tissu, af, tissure. cette tissure est lâche. RÀBADÉ b., embrouillement, RABAKAT RABAT, — au , fig. ime chose, mon rabat esprit se prend pour le sur méditer. Sumà hèî li ma Yalla dèfaîf considère ce que Dieu a fait pour moi. On peut tourner autrement la phrase, de manière que nhèl devienne régime. Rabat nâ ^umà hèl ti ma passer à V. réf. s'embrouildésordonner. Baol ra- par petits travail de l'esprit, réfléchir li se lier t. rabat sahèt tvu es, ils sont à tresser un entourage neuf. Ku menul â rabat birOf celui qui ne sait pas tresser la paille pour couvrir une case. gât. RABAPC, tisserand. b., V. Nu7%gê désordre, confusion, pillage, dé- ler, pour être Sabahu. dèfâ — gîlé faites Raba nâ ser bu tissé une étoffe b., tisserand, tisserand Raba j'ai hîr, gestes Dieu Yalla dèfal, mon a fait RABAT fait j*ai esprit, ce re- que pour moi. b., la paille ou le . — RAB pour couvrir tressé !iauin€ ou pour les Rabat RABATKÀT celui qui tres- b., pour couvrir les caou pour les entourer. Ra- se la paille ses qui tresse ie chaume pour le toit. Rabatkât i sahèt^ celui qui tresse la batkàt paille celui biro, i pour l'entourage. RABLU, V. tisser quelque chose pour soi. Ana sa sa ndèy ? Mungâ ta Duâla di rablu malân. Où est ta mère ? Elle est à Joal, ix)ur RADU, qu'on recouvrir jetée a RAF, n. V. en semence la terre. éprouver des mou- vements brusques, irréguliers, involontaires des yeux, des lèvres ou d'un autre membre. Sama i bet ange raf, mes paupières sont agitées par un mou- vement convulsif. RAF convulsion b., qu'on éprouve dans certains membres du corps que certaines et per- regardent par superstition, comme signe d'un malheur. Raf i bet, convulsion des paupières. Raf i tun, convul- sion des lèvres. iRÂiF, V. n. dépérir, déssécher, faire se pagnes. tisser des RAF sonnes faire se t. — les entourer. RABAÏI, <\. t. rempailler. Rabatil j)ud II ne g bilé, rempaille le sommet de cette case. Syn. a>e.s 359 mort, détruit, cesser d'exister, Hob yu Mbubâ mu iRABLUL, V. t. se faire tisser pour quelqu'un. Sumâ bây â se ma un pagne complètement Nêg bu râf, une case qui tombe en ruine. Gîr gi râf nâ, la race est éteinte. Nit ku dé té amul dôm, râf nâ, un homme mort sans enfant, est éteint, rablul sèr vilé, mon c'est père qui a fait tisser cette étofte pour moi. RABU b., alêne, poinçon. RA^UKAY on le lieu b., l'instrument tisse, où avec l'on lequel V. RADAHSI, V. venir écraser. t. Di na radahsi bês bop'u dân dâ, elle viendra un jour écraser la du serpent. RADÂTLÉ, parer, Yalla ceux peut V. diviser. RADO, disperser, sé- t. Nâ men nâ que les raf, usé. lè,n Dieu a séparer. v. Yalla à bolé, radâtlé, Dieu unis, Syn. Tasaré. n. se séparer, uns d'un côté, d'un autre. Gév bâ les les tas aller autres nâ, nii aduna terre même dans dul râf amul fi n'y a rien sur la n'existe plus Lu ses enfants. écraser. t., s'éteindre. mf, feuilles mortes. c.-à-d. tisse. RADAH, tête perdre, si, il qui ne RAFÈT, périsse. q. être beau, joli, bon, s'embellir, s'enjoliver. Nit V. un bel homme. Kanam un beau visage. Rafèt nâ tahavay, il a une belle taille. F 03 vu rafèt, un beau cheval. Asaman su rafèt, un beau temps. Rëv mu ràfèt, un roku gu rafèt, rafèt, yaume ble. heureux, Ndaha mu victoire. bandade. Rado ports entre les débandade bi méti na, est grande. la caractère. bûr yi paisibles. paisi- une belle Diko du rafèt, un beau ni di rado, l'assemblée est dissoute, les hommes se séparent. Syn. Févé. b., séparation, dé- — rithe, rafèt, Lëgi rafèt, dignuté'iïâr i bientôt les rap- deux Hol bu rois seront rafèt, un cœur UAF RAG bon, généreux, facile Def du rable, une une rafèt, à Dë gu fïlorieuse. joli, beau. Rafèt-à-ra- très Dènâ digèn i am on nâ Israèl dôm du daha rafèt, une me d'Israël avait un enfant m.-à-m. joli, qui la maintesplendidement. Bu rafèt, RAFÈTAL, V. nant. embellir, orner, garnir, améliorer, mettre en de bons termes, expliquer en bien. Mo rafètal sunu diganté, c'est lui qui nous a mis en de bons termes. Bûr bu béh di nà fètal li t. âm, un bon Yangê ma vahal, vous rëv rafètal améliore son mu état. en bien, contre moi. terprétez dit RAFfCTAL ce qu'il roi rain- a parure, orneiiîent, enjolivement. Rajètaî bu èm, une parure convenable. b., décorateur. Rafètalkàt bu hérén. habile décorateur. Haralu u rafètalkàt, l'art du décorateur. RAFÈTAY b., beauté, attraits, traits s'est fanée. RAFÈTLÉ, V. t. Suma choses. faire enjoliver v. t. faire le li. Lô rafètrafètlu, indu, tu a& beau faire le beau, tu es vi- lain. RÂFLÉ, V. avoir des choses t. usées, vieilles. Raflé nâ, je suis tout m.-à-m. déguenillé, que des guenilles pour couvrir. Garab gu râflé, un n'ai je me ar- bre dont les feuilles sont desséchées et tombent. RÂFTÉ b., le dépérissement, l'extinction, chute des feuilles en parlant des arbres. Bu no gôb la râflé garap di dôr, la chute des feuilles commence au temps de la moisson. RAGA, V. corps, en le mât Icpâ est décrasser, frotter t. se lavant. Lu tilim tout ce qui besoin d'être ragâ, rui malpropre a lavé. RAGA de frotter, l'action b., de décrasser. RÂGA, V. n. être malade d'une maladie qui traine en longueur, être languissant. Râgâ nâ bu yâgâ lôl, il est malade depuis très longtemps. RÂGA homme b., languissant, valétudinaire. RÂGAL, avoir de bel- yëré baré nânu, vandé rafètléu ma,j'ai beaucoup d'habits, mais je n'en ai pas de jolis. Yâ ma gen â rafètlé malân, vous avez un pagne plus joli que le mien. les t. RAFÈTRAFÈTLU b., charmes, splendeur, pompe. Rafètay bu epà, luxe. Rafètay i kanam âm fèy nâ, la beauté do v. beau, faire semblant d'être jo- bien RAFËTALKÀT ses RAFÈÏLU, dèfâ ra- s'embellit l'église fèt, très- surpasse dangu bâ beauté. Lëgi fem- rendre beau> t. par un autre une chose qui vous ajppartient. Mangé rafètludi sujnâ dâru, je m'en vais faire embellir mon anneau. être magnifique, splendide. fèt, V. joli. rafèt, bu rafèt ak niôm, ayez beaucop d'égards pour lui. Rafèt nâ kâr, belle mort. Dèf-lën bien RAFÈTLÔ, toucher. action hono- V. qu'un qui longtemps, à le soigner t. est le traiter, guérir. Râgal lemâ, j'ai une année RAGAL, quel- malade depuis soigné chercher nâ ko sa at um maladie, entière. V. t., craindre, appré- — RAG peur, a\oir h<'iid<'r, redouier, révérer, s'effrayer, respecter. RÂH 261 -- RAGALLU, V. sévère. dre, se faire crain^ t. ragallu Kélifa nà, ladie, la kcn menul â vah ak môm, k. sévère, personne ne chei' est gal, j)eut lui Bafjal dcr, craindre de, la ma- mort. Yalla mât nd raDieu doit être craint. Fas dèfà ragal ndoJi, ce cheval craint l'eau. Sohlaa-lâ ragal darâ ti man, vous n'avez rien à craindre de moi. Ragal nâ vah ak môm, ge crains de lui parler. Bu ragal, timidement. Ragal nâ mu nev, je crains qu'il vienne. Ragal mî né du fiev, je crains qu'il ne Tienne pas. Ku ragal Yalla, timoré. Ku ragal savor, bul di dugup, si tu crains les. moineaux, ne sème pas de mil. (Prov. RAGAL appréhension, g., peur, crainte, timidité, épouvante, consternation, lâcheté, couardise. Ragal gu méti, gran- gu de crainte. Ragal te fondée. Ragal te vaine. um nën, crain- homme b., Dav-lën, ragal j^eureux, ri, sau- hommes peureux. Tûk arrière lâclie. Syn. Ra- \ez-vous, ragal bi, RAG AL AL, craindre pour (quelqu'un. Ragalal nâ la, dôm man, je crains pour toi, mon v. t. fils. RÂGALKÂT b., celui qui soimaladies de langueur. RAGALKÀT (b., poltron. Syn. les Ragal. RAGALLÔ, V. t. faire peur, effrayer, é{x)uvanter, intimider. Denô'k mélah dé nô ragallô tonnerre et les éclairs épouvantent les hommes. Lu di ragallô, épouvantable, effrayant. Bu di ragallô, d'une manière épouvantable. nit fii, b., bouillie ou san^ aux pistaches ou aux pépins de melon. RAGIT gner, nâ raclure. b., RÂ'GLU, se se réf, V. faire faire Duâla, je soigner à Joal. aller se faire ti RÂGLUKAY se fait IRAGU, bu V. Râgludit guérir. l'endroit b., guérir, se réf. bah, frotter té bien, RAGUKAY l'on se le. ragu baigner et allez-vous frottez- vous où hôpital. Dèmal sangudi corps. soir Râglust suis venu me guérir. faire l'endroit b., baigne pour se frotter RAH, manière Bà ma rom, V. le n. se subite dôn où le., produire d'une mon inattendue, et ak %}ah fétal gi rah, je parlais à galkal. gne RAG AT glé corps. RAGAL timide. var, crain- endroit où b., l'on a ipeur, eoupe-gorge. l'on Vol.) parler. RAGALUKAY vilé sumâ mo- pendant que voisin, le fusil Sa lamèû vê langue a parlé in-* considérément. RAH, V. t. mélanger, allier, partit tout-à-ooup. rah, votre mêler, amalgamer, en parlant de métaux, de grains, etc. Rah. nâ malo ti dugup, j'ai mélan« gé du riz avec du miî. RAH h., l'action de mélanger^ mixtion, variété. Ala bi, rah, garap yu nèkâ la, la forêt est i un mélange de toutes sortes d'à rbres. RÂH, V. t. crépir, enduire/ une muraille de mortier ou de terre. Râh nâ sumâ nëg ak sû/. — RAH mn enduit -j'ai case de terre. crépi, crepissure, enduit. b., râh déjà nos, ratah, dèfâ — 26:13 — mois qui suit le mois ôe gamo puîné du gamo. Sa ton RAKAKAKI, •trépi est raboteux, est lisse. RAIIAS, Y. le îiettover, rincer. laver une gom, laver linge et Rahas callebasse. une iplaie. ^ — cadet lèkèt, Rahas b., de laver, lavement, Rahas lavement do pieds, bain de pieds. tankâ, RAHASIT lavure. b., RAHASKÀT laveur, b., la- hasu nâ V. — b., me RAMÀ, dilé déjà Halèi yi hêh nànu ti sèii rahasu hâ, les enfants se sont pendant se qu'ils gale. V. t. être mêlé ensemdeux ou plusieurs choses Dugup ak riébé a fi hokâ rahé, RAITË, mil et les 'entremêlés. — sont ici mélange, al- haricots b., amalgame. Rahé'ndoh ak bin dâl lâ di nân, je ne bois qu'un mélange de vin et d'eau. liage, RAKÀ d., cadet, puîné frère un garçon cadette, puînée sœur ou cousine, par rapport à une ou cousin, par rapport à ; Ki siima rakâ lâ, jnâ di dâ nu boka bây, van- mag àm, dé bokii-nu ndèy, celui-ci est tnon puîné, je suis son aîné, nous sommes frères de père mais non de mère. Suma raka ^fju digèn, ma jeune sœur. Su'ma rnkâ du gôr, mon jeune 'frère. GAMO b., nom du \ — V. r n., avoir la gale. i homme a la Rama bi dèf me démange, rama, cet b., gale. le galeux , fourmi grande et blanchâtre. Syn. Mah. RAMAKÀT b., personne galeuse. Râgalkàt i ramakat yombà nd rama, celui qui soigne les galeux gagne facilement la gale. Rama tahul nga di ramakat, avoir la gale ne suffit pas pour être un galeux. RÀMÀTU g., b., sénégalais, petit oiseau rougeâtre. RAMBA, trot. V. n. aller au bon Sa jas rambà nâ bu bâh, ton cheval a bien trotté. grand — b.. trot. RAMBAD, RAMBAL, , l t c / RAMAH, RIMAH lavoir. b., ble, RAK'I l'action se gratte. RAHASUKAY ïille. rampement, ma ésèn, la gale Ku rama nga okàtâku, la- vaient. le b., suis lavé ver. battus, gamo, de ramper. Ra- l'action de se la- nek, je fii partout. réf., se laver. nom du b., rak'i le du gamo. RÂiM Veuse. RAHASU, suit RÂ'M, V. n. ramper, se traîner sur le ventre, ne se dit pas des animaux. Râm, sata, su mage, dél i géta, l'enfant qui rampe encore et vole déjà, lorsqu'il sera grand, prendra des troupeaux. (Prov. Vol.) ac- ^tion Um grincer des de grincement RAKÂT U GAMO mois qui visage, le n. v. b., dents. un objet quelcon- que, sauf — dents. laver les mains, t. pieds ou les RAM V. Rembad. V. t. faire trotter son cheval. Rambalal sa jas. b., mets ton cheval au trot. course du cavalier qui fait trotter son cheval. RAMBET g., arbuste toujours vert, au port d'un petit oran- — 0 I: 1 n r( — RAB ' ressemblant à une Syn. Tembâ. RAMBO b., espèce de poisson ayant un dard à la queue. Syn. Renié, Bayéntân. RÂMU, V. pr. demander parger, fruit orange. don, s'abaisser et ramper devant une personne pour obtenir 260 — inter- protection. cession, RÂMUKÀT patron, b., inter- cesseur. ton esclave. du sala, dèfâ randal, bè té t., intercéder, prier Musa râmul nâ mbôtay âm fâ Borom bà, a intercédé jx)ur son peu- Moïse ple auprès du vole pas, discerner, v. différencier, pense plus, tinction, avancer RANÂTLÉ séparation, dis- b., sumà V. RANDI n. partir — ti fougère, buisson. ti je vers fais,, vous. grand bateau, g., vais*, RANDI inconnu. lieu g., iRANDU, réf. s'éloigner, v. rév trograder, rebrousser chemin, s'écarter. Vay, va di, randul filé, je t'en prie, mon ami, recule, Bandul loi d'ici. safora si, éloi.. gne toi du ifeu. Bandu lën ma^ yen rii alku, retirez-vous de îno^^ maudits. iRANDU b., retraite, action de. Bandu nnfiu randu bu reculer. retraite ils ont fait accompagnée de une., pilla^ discerne- j)endant la nuit, voyager pendant la nuit. Ku ifiéménul gudi, du ranân, celui qui a peur de la nuit, ne voyagera pas la nuit g., départ pendant la nuit, marche nocturne. .RANDA b., Y alla fèn ko hârit, mon ami RANDUSI, RlNÂN, approcher, t. seau. Syn. Bendi. ment. RAMN, V. andâ'k rabadé, distinctement. (RAJÎÂLÉ, nu fa-... marabout ne. met de côté, quand* le ; changer une chose de place en l'avançant. Bandalsil tôgu bi, approche la chaise. Mangi là dis- t. débrouiller. démêler, séparer, Ranâtlé hèt yâ, distinguer les odeurs. Ranâtlé hèrèh yâ, distinguer les lieux. Ranâlé lu hâh ak tu bon, discerner le bien du mal. Ti gudi kcn menul a ranâtlé darâ, la nuit, i>ersonne ne peut rien discerner. Bu ranâtlé, su Dieu bir'safara, dig'u randa, apparut dans la flamme qui sortait du milieu du buisson. RAN D AL, V. t. éloigner, écarter, changer une chose de place, lui il Serifîr il prend. Bandalal rab vilé suma vèt, éloignez cet animal de moi. Seigneur. RANALÉ, RANÂTLÉ, don taka del on n'y patrormer. tinguer, mu randalsi RÂMUL,v. pour, dâm^ sa éloigné RANDALSI, patronnage g., Bandai nd faire vr'Ciue.r. j'ai «es faveurs, solliciter. RÂMU RAN réf. V. se rappro. cher, venir près de quelqu'un, Bandusi sopà, mon yen na sumâ bây lën, approchez-vous, vous que, père aime. RANG, V. s'arrêter, n. cesser de se mouvoir. Gâl gà^ rang nà, le bateau s'est arrêté, a jeté l'ancre. Mpèré bi ran^^ nâ, la marée descendante a ces- d'aller, de descendre, c.-à-d. est arrivée à son dernier terme. Baskil bi rang nâ, la bascule cesse d^^, sé se mouvoir, RANGA en équilibre. branche de paK_ est b., - RAG 'Uiwr et 'Hangar siirtoiit i tir, que hors sibi, Dâyknl marchand du vieilleries. fair© bruit à tort et à travers. Halèl bi déjà rangrangi, cet enfant neoesse de faire du bruit. Sibi hilé dêfà topa di rangrangi, ce ron"dier lait un bruit continuel avec RAP (né) loc. V. bruit que une porte ou un couvercle "qui se ferme, ou que l'on fer- me, avec râpés. Nëg ba rapâ, case à moi- ruinée, Tëré bu rapâ, livre Usé. Gâl gu rapâ, bateau tout Vieux. RAPAL, V. t. user, râper, détériorer imperceptiblement les 'choses. Bal rapal sumà malén, n'u«oz pis mon pagne, de manière à le mettre hors d'usage. RAPÀLÉ, V. t. avoir des choses 'lié Usées, râpées. May on nànu ma sapo bu es, vandé rapâlé nâ ko 4è(h on m'a donné un chapeau neuf, mais je l'ai déjà usé. Ba- nga ré 'lèn, vandé rapâlé nga beaucoup de livres, as mais tu les as vieux, c.-à-d. ^en ne n., V. pas être pouvoir re- rester pl.K p. RAPAS ' (P) est lâche. il i sâku, ils cordons de leurs Ku di velis défâ ras i tmi celui qui siffle plisse ses ont serré sacs. âm, les lèvres. RAS, RASRAS rides. b., Syn. Râsu. {RÂSÀNTU, V. t. passer son temps à chercher ou à voler de Nân choses. petites sédèm, sédèm. i RÂSAY b., lën râsantu des chercher allons rétrécissement, ac- tion de rider. RASLÔ v. rides, faire t., resserrer, faire rétrécir, occasionner des (flétrir. iRAjSLU, v. t., se faire resser- rer quelque chose. RASMBI, RASGIN, il \ . n. vieux, Magèt nâ bè rasmbi, tout à fait vieux. Suma rasgin nà, mon père est vieux. est bây très domestique,, serviteur. Syn. Bekanég. RAPASU, V. n. servir en qualité ôe domestique. Syn. Bekanëgu. RAPIT b., ce qui reste d'un ^habit usé, d'un objet quelconb., resserrer plisser, t. nœud, car très vieux. RAPARAPI, muant, v. Ras nâfiu sèn gémin ils Bont vieux. ce des d'un rideau, d'un sac qui s« ferme par une corde enfilée dans l'ourlet, serrer. Randégé dèfâ af, sa/ paspas bi, tëré, tu que plis serre le fracas. RAF*À, V. n. s'user, être usé, vieux, râpé en parlant de vêtements. Yëré yu rapâ, habits donne ne vautour, cherche de quoi dé- le les fait friperie. dohé, là vorer. RAS, Y. Renka, service, rapit RÂS, V. t. chercher une chose quand on ne sait pas où la trouver. Tan dèfâ râs, lu mu yapa, ses feuilles. RÀNKA. de bile RÂNGRANGl, remuant, être n. RÂS de rondier. Syn. i RÀNGARANGI, V. — 264 RASGIN, V, Rasmbi. RÂSTU, V. t. chercher une chose avec une attention particulière, aller ou regarder de côté et d'autre pour la trouver ' chercher Bu lën là voler quelque chose diinu ti vâh bi, ndégé - RAS îah angi fé râstii, ne tombez pas du haut du pont, car 1« requin rôde par ici. Dëmbâ don nâ ?iûr ti igêt di râstu pisteriny hier j'ai plongé dans la mer, pour chercher une pièce d'un franc. H ad di bi nâ râstu H vèt rôde près de chien RASU, vail, i le cuisine. la V. réf. et p., être plissé, se plisser, se resserrer, être res- Suma serré, se rider. rasu nâ, s'est rasu, dèr laho i peau de mes mains la Hob ridée. lorsque su lahé, trie elle se ride. RASU b. Bènâ rasu amul ti de rides. magèt i n'y a pas une seule ride sur le front de ce vieillard. Syn. Barras, ras. RAT h., g., arbre à propriétés médicales, et qui donne du bon bois à brûler. RAT (né) V. Volbit. bilé. Il RATA RATÀ, grande couleuvre. b., V. traire, t. vider les entrailles d'une bête tuée. Rata béy yê'k nak yi, inbamsef, trais-moi d'anesse. Rata boyaux. Yâ nâv — b., rata, ma du PvATÂ, sur V. action de traire c'est t. toi qui trais étendre parois du le man- vase qui lèl contient, bilé di fëy, garçon qui bien faire le ce men nâ nage, rata sait mouvement loi, très de des bras. Su nopâ don rata lah nu ô mbâmsef, si l'on étendait le lah avec les l'extension V. glissant, q., poli, Yôn vu ratah, cheHêr vu ratah, glissant. lisse. min pierre polie. Ser vu ratah, étoffe Visse. Ratah nâ barêt, c'est très Ratah glissant, très-uni, etc. la- mifl ou gémin, indiscret, babillard. Ratah loho, gue. Yanhoba ratah on nâ rain, Jacob avait RATAII, V. peau la ya- lisse. châtier avec t. fouetter, fouet, libéral, prodi- flageller. un Ratah fouetter des chefas, i had, vaux, des chiens. Ku sopa dôm âm, du ko naka ratah, celui qui aime son enfant, ne manque pas ide timent, le — châtier. châ- b., de action flagellation, châtier. RATAHAL, RATAHLÔ, v. t. rendre glissant, polir, unir. Ratahal râh bi, rendre le crépi bien uni. RATAHLÉ, V. t. avoir des cho- poli. étendre ses bras h droite à gauche, ipar un mou\ement semblable **à' celui qu'on l'ait en étendant le manger. Hale RATAH, uni, ses lisses. -4/71 RATAIILO, faire châtier, v. t. v. réf. faire fouetter. RATAHiLU, rendre les âne. sov jun]. iior un lait butit, vider des i iipiHÙUn'^i'û nà nèt i èt, vandé venu dâl Id ratahlé, j'ai trois bâtons, mais je n'en ai qu'un de traire les chè- vres et les vaches. Ratai l on (Prov. Vol.) i flétrissure, , oreillo>, déjà feuille est flé- la — îG5 se polir, se Mùs mile déjà ratahlu, ce chat se rend lisse en lisse. se léchant. RATAHU, tier, se V. p. et réf. se fouetter, RATALË, v. t. être châ- fouetté. aplanir, abais- Râtâlé rnbèdâ yâ, niveler les rue-s. Ràtâlèl sûf silé, nivelez cette terre. Râtâlé tunda'k sûf, aplanir une montagne. Sumâ mag <di nâ top té man di ser, nâ nive-cr. râtélé, mon frère trous dans la terre fait les pour semer o — RAT mil et je le s'abaisser. sumà râtâlé bopa*k m'humilie jusqu'à RATAMBALÉ, bonne mets. Au fig. Mangé ferme. les s'humilier, su/, une n. l'aire v. je terre. cuisine, bien préparer les — mets bien préparé. b, RATATOY, V. Rétatoy. la ,RATLAN même que à tiges épineuses et grêles. RATRATI, un bruit sec V. et répété, qu'on a re des cordes avec des feuilles bi, tâl le sel RATU, réf. V. — feu, ratrati b., le pétil- troupe d'oiseaux, sont écartés, et je n'en faire ils ai blessé RAY, V. le t. dépasser, surpasser, dessus, dominer, être meilleur que, pire que, surpasen vitesse, par l'esprit s'é- ser cfeapper, ; se sauver, s'esquiver. Rav vah, ineffable, inénarrable. Rav nhèl, être au-dessus de ce que l'esprit peut saisir. Raval gudi, dépasse la nuit. Su Pôl dov ÔJi, raiv kon nâ, si Paul s'était enfui, il se serait échappé. ravul sa mban ti nâv lamin, personne ne surpasse ton ennemi en mauvaise langue. que v. fille. t. sumà faire' fas ti mon cheval s'est échappé de tes mains. sa loho, a fait il RAVANTÉ, rivaliser, réc. V. concourir avec d'autres pour savoir qui l'emporte à la coui"se, à la inage, dàv, Ravanté mbèy, Ravantê etc. culture. rivaliser à la rivaliser à la nage, à con- Ravanté nhèl, courir pour les ouvrages course. la prit. — b., d'es- émulation, concur- rence. RAVANTÉKAT b., concurrent, compétiteur, émule. rav nà ravantékàt Suma mag àm yà yé- se aucun. avoir une jeune déflorer fëy, s'écarter, virgi- la rav, nakalô rav, dèl échapper. Ravlo nà de la place. Sani nâ Jétèl ti nâh té damui mpità yilé, nu ratu ma mena, j'ai tiré au milieu de cette marque de g, Dindi comme dans pétille Syn. Reteteti lement. feu. nité. là RAVAL, RAVLO, le de ràvé bûm, c'est avec l'écorce intérieure du baobab qu'il a fait une corde. Hanta rondiers. certains ob- dans sâ'ngê jetés Horom pétiller. ii comme surtout (Prov. Vol.) RÀV, ROV, v. t. corder, faire des cordes. Rav bûm hk, fai- rav, tombent au commencement d'une pluie, jets rage. avec éclater n. grosses gouttes qui et a ko rav, ignorer est mauvais, ne pas interroger est pire. Dàv, rav, ii ngôr là boka, s'enfuir et s'échapper est le propre du cou- RAV calamus sorte do g., RÂT Haniul ây nà, lâdiéul des Volofs. celle les — i IRATIN b., manière de traire. Rotin i tubah bokéul ah bu volof, la manière de traire des Européens n'est pas 206 mon pà, tous ses RAVÉ frère l'a emporté sur concurrents. poisson b-, espèce de qui a un dard à R ay é n tdn, R amb RÀViRÀV l'on nà a lôl, la queue. Syn. . corde, b., ce que Sa rav rav deher ce que tu as cordé est cordé. solide. RAVU, v. nà bu bâh, Kèn RÂY, être cordé. t. Ravu bien cordé. effleurer, frôler main, passer doucemenii main, gratter légèrement, ca avec la V. p. c'est la ~ Bul 'je>.>t:j\ sur plaie. ta doucement ble. — Hây II rây di sans pas passe la sa cesse Rây sûf si, main sur mbarièlf sa- le caresses perfi- des. (RAYA ingâ dayii peau drapeau. Raya dâ' b., Ndakaru, fi RAYÉNTAN fourmi le b., noire, ailée, RÂYRÂY espèce de toute peti- l'impression laissée sur l'objet sur lequel on a passé la main, ou qu'on a frôlé. Rây rây bâ nga rây ti sûf, la marque que tu as faite sur le sable (en y passant la main.) b., RAYRAYI, RÉY.RÉYI, v. n. piquer, démanger, produire une sensation brûlante et irritante. Fa la partout dit mata, oij le mu est rf\ Mât nâ ridicule, Bu mât â Bûr bâ dânu mit di rê, le roi se Lô mâ ment. ris-tu rêlô, chose de moi tu si qui — ré, cela risible. ridiculement. rêé Bô ? ris, il fait te à rire subite? pourquoi rêé, lef a la y a quelque rire. (Prov. s'amuser, se moquelqu'un. de Dek'u Israël di rê yéglé'yonènt y a, kraël se moquait des pro- Yol.j quer, phéties. vous , se V. t. rire Bul moquez rê toskaré yâ, ne pas des misérables. g., rire, action de rire. Rê i nâvlé, rire moqueur. Rê bu nôradi, rire iforcé, sans en- — noradi, u rire Rebâ'k Had V. chasser. Rebâ'k i avec des chiens. chasser au fusil. t. chasser fétél, nâ rebâ bu bâh, ce chien chasse bien. b., chasse. Reb'um buki, chasse là l'hyène, bilé di REBÀ, — Y. t. maudire, faire Lu mât â re- qui est digne d'être maumâ rebé P pourquoi me b., malédiction, maudis-tu.^ bâ, ce Lô dit. action — de maudire. REBAH, (né) verb. loc. se qui ne vous regarde pas, ou de ce qu'on igno- mêler de ce re. Hamul né tâ que mu vmh, térétil ne sait pas oe li itîô rebahy il l'on dit, c«la ne l'empêche pas de s'en mêler. REBÀKAT b., chasseur. REBÀNTÉ, — maudire. s'entre- réc. Y. b., l'action de s'en- tre-maudire. RAYU, V. p. se passer la main doucement sur le corps. Râyu ftà ti samâ kavar, je passe la main sur mes cheveux. Y. n. rire. R'EBÂ, had, rayrayi, scorpion vous pi- que, cela vous démange. RÊ, Rc rire. des imprécations. allongée. te, de io niais. dra- Dakar. flotte ù \ passer frôlement. caresse, b., gom, ne ta main - .07 .RÉBÀ.\TU, te chasse, chasser v. t. passer près des RÉBÉDEKU, Y. faire la peti- son temps à habitations. n. au viYre gré de ses passions, faire ce qui plait, sans faire attention aux avis. b., conduite sans frein et sans règle. Bayi-lën kô'k ré- — bédekô'm, abandonnez- le merci de ses passions. à la iREBÈS b., limace, escargot. REBI, Y. n. s'en aller faire la chasse. Sumâ père est allé bây rebi nâ, à la mon chasse. REBREB b., fruit d'un arbre dont la racine est médicale. Percé et attaché au cou il sert d'ornement. REDÀ, v. t. rayer, régler, tra- marquer, graver, tirer une ligne. Redâ nâ de âm, il l'a cer, — RED marqué an grave V ovulé, lier ti Beddl front. — sur cette pierre. raie, empreinte, sa tur nom lo'ïi ligne, b., marque, caractère, signe. Red'u krua ha, signe de la croix. Borom-reda bâ ti l'homme qui lèh, marque sur la REDAL, Y. a une joue. tracer t. pour quelqu'un. Begà nâ dë ak ngor té redal ndav yi yôn vu ôr, je veux mourir courageusement et laisser un héroïque exemple aux jeunes gens. REDÀNTU, V. chaman^r, t. s'amwser à tracer toutes sortes de signes et de caractères. Halcl hâ'ngê redàntu ti kaét àm, l'enfant passe son temps à griffonb., chamarner son cahier. — rure. REDU, V. p. et réf. se mar- quer soi-même, être marqué. RÈDU, n. V. 'feindre, espion- magèt ne convient pas à un ner, épier, tenter. Tèdul di rèdu, il espion. / rèdukât ngën, vous êtes des espions RÈFAN g., scie. Ben i rèjan, b., dents d'une scie. REG g., (L) héron. ^Syn. Hoda. RÈGÀ, Y. n. manger tant qu'on peut, jusqu'à n'en pouvoir plus, se bourrer, avoir un^c indigestion. D. Lu iéré mja Irkà ? B. Dà Jim règâ. D. Pourquoi ne manges-tu pas ? R. C'est que je suis trop rassasié. les — tion. b., estomac plein, indiges- Sumâ repas dont je hier est digéré. le REGÀ dëmbà règ'i (né) me loc. — suis rês tifi, bourré se dresser effrontément devant quelqu'un. Mu né regà ti sumà kanam, il effrontément dressa devant moi. RfX^ADU, V. n. faire des grimaces en tordant la figure. Syn. Gélèdu, Génahu. b., grimace. — RÉGADUKÀT grimacier. RÈGALO, faire manger quelqu'un avec excès, bourrer, remb., Ndèy l'estomac. plir halèl i bi mère de bourre avec du dcf kô règalô'k téré, la enfant couscous. cet RÈGÈD le espèce de poisson qui se gonfle et qui a des dents épaisses et fortes. Syn. Konkâré, b., REGREGAL, v. REGREGI, n. V. trembler. s'agiter, remuer, agi- t. trembler. faire ter, remuer, se — RÈGU, V. qu'un à tremtremble- b., blement. BegregVsûf, ment de terre. provoquer quel- t. dispute par des parov., provocainjurieuses. le«; tion à la — dispute. la RÈGUKAT à b., celui qui provo- dispute. la REHÀ, membre, démettre un se le disloquer. Dèfa dânu lohô'm rehâ, il est tombé, sa main s'est disloquée. Syn, Fahad. b., dislocation d'un se n. V. — membre, luxation. du dislocation REHÀLÔ, là ma V. foulure, Reh'u tankà, pied. t. faire disloquer. nga ma dvnaqui m'a causé une rehâlô, ha hé, c'est toi en me poussant violem- ment. RÈKÀ, RÈK, Yov rèk a qui reste fi ici. adv. seulement. dès, c'est toi seul Fuk'i lô rèkâ la que dix bœufs porteurs. Li rèk-a-rèk ngâ dèf, c'est la seule chose que tu fais. REKÀ, Y. t. donner un coup am, v., REK se que vieillard de feindre. RÈDUKÀT 2C8 je n'ai — REK — 269 bile déjà remboutique regorge (de cette de poing sur le dos ou le côté, donner des gourmades. Bul ma rekâ ti vèt, ndégé dâ ma ti tâh, déborder. BaifiA: ne me frappez pas sur le côté, b., gourcar j'y ai un abcès. made, coup de poing. rembat, mes yeux me font envie (car ils sont pleins de toutes les belles cho- — REK au couscous b., foie bat, toutes choses désirables.) i dâ RÈN aime rieur, qui b., à gris b., en rire. racine. iRiEKES, REKOiS, ROKOS, v. t. bourrer, enfoncer. Rekesal fétèJ, am bourre un fusil. bourrer ou d'en- l'action de b., Syn. Nekes. — foncer. REL avec rel té ti (né) adv. loc. un bruit sumà éclater subit. Fétèl loho, le fusil l)à iiê écla- a dans mes mains. RÊLÔ, Y. fai 'e rire, t. Bât mystifier. hii di égayer, une rêlô, parole plaisante. HÊLÔKAT aime sant, qui homme b., plai- à faire rire. RËM, REMAL, RÎM, RiMAL, V. chanter n. — b., REM, bas, fredonner. REMBAD, RAMBAD, v. t. dé- semer la discorde, cabaler. Bul anda'k nâ di remhad, ne va pas avec ceux noncer, accuser, qui cabalent. REMBAD b., dénonciation, ac- cusation. brouiller quelqu'un avec un autre, semer la discorde entre eux. Bul ma ramle sumà pas avec bây, ne mon (RBM'BADKAT, teur, semeur de REMBAT, me brouil- père. b., dénoncia- discorde. déborder, regorger, abonder jusqu'à faire •envie. Ndap li fês nà bè di rembat, le vase V. p. est prendre* yâgâ bè rên, Samba nâ fi Samba demeurera di rên, prendre jusqu'ià racine, ici c.-à-d. jusqu'à se fixer ici. Gôgu demantalé sah on nâ bè am rên ti ihol i dulit va, cette doctrine a germé et s'est enracinée dans cœur des fidèles. RÈN,- adv. l'an présent. Dugup amu fi rèn, il n'y a pas de le mil cette ici présent. Rèn année-ci est REN (né) sur. Mu âm, il ôm dilé l'an d., nâ, cette très-bonne. loc. adv. se ruer kov mbanèl précipita sur son ad- né ren se — année, ti versaire. RENDI RÈNDI, ou viande, b., pois- plein ju^u'à g., V. Randi. couper décapiter, immoler, cou, le égorger. Rèndi nailu Maba, on a égorgé Maba. Tiflékât di nâ nak, le boucher tue des rèndi i bœufs. REMBADÉ, badê'k Sah son desséché. sarcler. t., racine, remède, gris- bois. REND fredonnement. V. >nô ses qu'ils voient.) de poissons. RÊKÂT bet Sumà — RIINDI, g., V. t. l'action d'égorger ou d'immoler et gée ou immolée, la chose égor- sacrifice, vic- time, hostie. Indil rèndi bâ, apporte la Yictime. RÈNDIANTÉ, v. t. s'entr'égorger. Don nânu fâ rèndianté, on s'y entr'égorgeait. b., l'action de s'entr'égorger. Bayi lën rèndianté bi, cessez de vous en- — tre-tuer. RÈNÈL, V. t. piler le mil en REN RËR — cadenœ. Syn. Kândâng. v. , mon rër nâ, mà père est mort. 8u- paka rër ma, mon couDigèn adirër, chanceler sur sa base. RENKA, V. t. bourrer, bouchonner. Benkal fêtèl hi bè mu deher, bourre bien le fusil. bourre, bouchon. Benk'i b., hanta, bouchon de bois. Renk'i butèl, bouchon de bouteille. Benkâ bà teh nà, le bouchon a iRËRAL, V. t. perdre un objet que l'on possède, en l'égarant. Rëral nâ paka, fas, mbahané^ hâJis, j'ai perdu couteau, che- sauté. val, n. — (RENKA, V. certains paille la me — nèfles. les que porte le à mûrir sur RENKÀ, mûrir sur fruits, com- faire t. le b., nom fruit tant qu'il est paille. la être bancal. n., V. teau femme rer, — mil. ce que mûr du petit nom que b., l'on mu saté, il REPÀ, être arrivé à sa n., \. Dèfà rep'on, heure. ma dak, dâ repul on, son heure était venue ne l'était pas. REPALU, Mher pied. le et la mienne n., fléchir, V. mu repahi, lâcher nâ, dânu lutteur habituellement vain- queur qui fléchit, est déj'à REPAY b. fléchissement, tor- souper. Maiigâ rêri, je m'en vais souper. May lu n. Y. ma donnez-moi de rêré, quoi souper. — gal rêr, attends le souper. JVésouper, ô rêr, inviter à souper. Na nu ko nég ti b., rêr bi attendons-le à souper. RËR, RËRANTÉ RËRI, V. réc. V. Bërô\. pas- disparaître, n. V. Yôn vilé dèfâ rëri ti alà bâ,. chemin va se perdre dans la» ce forêt. RËRLÉ, V. V, n. être perdu, égaré, dévoyé, se perdre, se dévoyer, périr. Bâla mgà rër, dog, avant de t'égarer, lève-toi. Sumâ bây avoir des t. cho- perdues. D. Dôm dilé rèk nga am ? B. Vav, vandé rërlé nâ .nèta. D. tu n'as que 'cet enfant ? R. Non, mais j'en ai troisde perdus. « Fi lâ dik'on » du ses térê rërlé, (P. je suis « venu d'avoir pas ici perdu. V..) RËRiLO, peur. ma contre b., dissimulateur. n'empêche vaincu. RËR, avoir après ser, dernière man rërantal, a fait disparaître ses tra- RËRANTALKAT porte tout cendre. souper. défigudéguiser, se n. v. contrefaire, se volé ainsi cuit sur la a faire t. prendre des chemins détournés pour faire perdre ses traces. Ba faiseur, gril- v. RËRANTAL, ces. séchées, action de b., bonnet, argent, RËRAL, viandes ler au feu répi de — s'égarer. REPÀ, V. t. cuire sur la cendre du poisson sec, des tranches ncL perdu. perdue. est causer nèl va la ti V. égarer, dévoyer,, alâ bâ, ennemis dans RËRÔ, t. perte-. Bërlô nâ mbail a égaré les la forêt. RËRANTÉ, v. récip. chacun de son côté. Ni rebi on- ti alâ bi^. rërô nânu, ceux qui sont allés chasser à la forêt, se sont perdus l'un l'autre. RËRÔ b., jeu qui consiste lu se poursuivre» dans l'eau.. s'égarer, se perdre — Rp!^. n. V. (ii^-Mer, è[re> dé- s-^^ désoûlé, senl'lé, dés-ennivré. Lu yomhà rês, ce qui est digestiMbâr sa règa bâ rês nn ? RËV 27 vél dôn nà voy té di fctà, fin di ko rêtàn, un griot chantait et dansait, on riait de lui. repas dont tu t'es l'estomac, est-il digéré le iRÈS V. Rêsa- digérer. y. Llal sa mandité, sog à dog rëri, ^digère ton ivresse, lève- toi et RESATI, RÊSAY ^ RÊSLO, la v. t., as-fu V. t., favoriser, aider digestion. Lu di rêslo, diges- tif. RET, vu, je RÈT di me g., ou ^ris Nakà dès que n. s'effrayer. dal gis 'ai ; V. ret, lâ je suis effrayé. Syn. ndombo rèt g., gris- en cuir por- petit collier par les femmes. R'ETÂ, V. t. échapper d'entre &s mains, sortir d'un lieu, se érober, se soustraire. Dèn va la saytu von retâ nâ, le poisque je tenais s'est échappé mes mains. Ku banèhu ti kasara morom, dô retâ loho' celui qui se réjouit du illa, alheur d'aiitrui, n'échappera aux mains de Dieu. Bât bi ls ta vah on retà nà ma, la pale que tu as dite rn'a échappé. é : I In in, fâ ngé, tu le nga ko dapé, sô ko mu laves re{â, là ,oii le poisson, tu l'as fa si pris, échappera. (Prov. Vo].) RETÀLÉ, ^ ynku, ; V. plus V. fUVrAN, V. -I) n. péter. Syn. Ba- t., L v. un faire t. coulant. Lit tah nga re- sumâ bûm ? pourquoi un nœud coulant fait à ma corde ? RÈTÈT b., nom d'un oiseau criard, nommé griot des oi- de échap- quelou de qiielqi/e cho^e. Gé- V. t., griller des de mil. RETETETI, V. Ratrati. RÈTI, V. Riti. JIËTU, Y. t. se repentir, regretter. Ban rëtu, être impénitent. Rëtu dugà nâ ti sumâ hol, j'ai conçu du repentir. Serin yà yombu nô rëtu, les marabouts ne se repentent pas facilement. Rëtu nâ sumâ diko du fiâv, je me mon repens de Nâ nga rëtu pens-toi de li inconduite. nga ko tôné, l'avoir repentir, g., regret, offensé. re- — pénitence. i bakar, contrition, componction. Rëtuliol, repentir intérieur du cœur. Rëtu'lamifij repentir extérieur des lèvres. Rëtu gu méti, remords, repen- Rëtu amer. tir REY b., espèce d'herbe, dont dans le Cayor à tis- ser des corbeilles. RÊV laisser rire RÈTÈTAL, épis l'écoroe sert décent. RKTALÉ ôter, bif- seaux. iRÈSU, V. Bisu. ko RETE^NTAL, tental humilier. b., digestion.. un bâton, doigt ou le fer. nœud liasse. r b., scorbut. RflTÉ, RIÏI, V. t. enlever la malpropreté d'un vêtement avec ? foie. V., RÊSAL, ^ rempli RATATOY RÈTATOY, ble. trée, m., royaume, pays, conVâ*rëv, les habi- région. tants du pays. Rëv mu tas, yaume détruit, désolé. Rëv ôîn, pays riche. Pë\' t?;l' ro- mu nanyu^ ' REY pays fertile et hospitalier. Géné rëv, exiler, s'exiler. Géné'm exil. Nidudu'rëv Ay u hîr rëv, guerre civile. gèt met nâ hayi rëv, indigène. un rëv, ti Ma- vieil- tût, gros un me est pays, (est laissé dans Dèm utile). dent, hautain, effronté. Bu rêv, lu naJui rêv, fièrement. Ku nèk, la mauvaise éducation fait tout perdre. RÊY b., dent incisive. RÊV AL, RÊVLÔ v. t. être que quelqu'un soit mal ranmal élevé, hautain. Bu lën rêvlô 'Sën i dôm, ne soyez pas cause que vos enfants soient mal gé, b., celui qui élève mal un enfant. b., mau- vaise éducation, effronterie, fier- Rêvangé bà du l'effronterie BËVLI, V. n'est t., d^rifi jamais aider à muk, utile. accou- iRKVLTKÀT h. accoucheuse. RÊVLÔ Y. BêvaL RÊY b., V. q. gros, grand, RÈY, important, consi- Bëv mu réy, un vaste royaume. Haré bu réy, ime armée considérable. Borom-hol bu réy, ^hornme au cœur généreux. Réy nà lamèn, il parle beaucoup. Réy bè^ harnatjxl, bè, dèm dayo, tante. de tou te expressiop. ,^,u réy (sQus-enlendu kopar) lo centimes. Bu réy ak bu , V. — Bôm. iSyn. der. mourir^ tuer, faire t. exterminer. Rèy ak dot, i lapi- tuerie,, b., extermination. RÉY, V. n. fondre, se liquéfier à la chaleur, se résoudre, fîètèh bâ rèy nâ ti safara, le plomba fondu dans le feu. V. t. fondre, liquérésoudre. Safarâ ko réyaly c'est le feu qui l'a fondu. Dhy gâ, sumâ \digèn, a ko réy al, ma sœur a fait fondre le beurre. fier, RÉYAL nâ loi, la chose- tangœ ce qu'on vient de fondre très Réyal bi chaud. RÉYALLU pour fonte, la b., lingot. soi. V. fondre faire t. Réyallu nâ sumâ dâ- ru nopâ, je me suis fait fondre mes pendants d'oreilles. RÈYANTÂN raie, b., Syn. genre de Tumbu- lân. RÉYANTÉ spacieux, dérable. Bopà bu rey, grosse tète. Nit ku réy, un homme gros. Bât bu réy, une parole impor- g^-and ,au-delà soit Bala gôr â bâhy avant qu'un homrobuste son ventre poissons de mer. cher. Syn. Tin. vaste, ne est RÊVAY, RÊVA.MGÉ réy, gros. (Prov. Vol.) fondue, élevés. RÊVALKÀT am bîr, RÉYAL, cau- se té. ventre. âm bîr nâ rëv mà, il est parti pour une conpour l'autre lointaine, trée monde. RÊV, V. q. mal élevé, impu- lard doit être Réy centimes. 10 nga lêkâ bâh nâ ta, avoir de quoi manger est bon pour le lu réc, V. s 'entre- tuer. RÉYAT, V. 1. grand nombre. — massacrer en b., massacre, carnage. RÉYAY b., grosseur, grandeur. Gènâ garap cmul ak guy réyay, nul arbre n'égale engrosseur le baobab. RÉYAY action sion. b., la fonte, la fusion, de fondre, Réyay bi point de fu- doy nâ, la fu- sion suffit (la chose est arrivéeà son point de fusion.) RÉYKÂT b., tueur. - RÉY RI^VLÉ, v. t. avoir des chograndes. Halèl yi napi von nànu, Sambâ ta gen a baréylé, Ngôr gen ta réylé, les enfants sont allés à la pêche, Samba a attrapé des poissons en plus ses , grand nombre, mais Ngor en pris de plus gros. RÉYLÔ, V. rendre t. a gros, - 2-3 RIS les marabouts se sont dans le Saloum plus quitter. RIMAH, V. RIMBAN, do, i croche. V. t. se Y. t. faire tuer pour RIP, RËYLUKAY b., RÉYRËYLU, V. broyé, fonderie. n. sem- faire — gueil, vanité, enflure, ambition, fatuité. Réyréylu'dof, un Réyréylu gu epâ, orgueil. excessif. Dohin i réy- réylu, marche orgueiUeuse, m.à-m. marche d'orgueil. Halât i réyréylu, pensée orgueilleuse. RÈYTAL, Rèytal sa i V. pr., se vaincre. lago, vaincre ses pas- sions. décharger simultanément plusieurs coups de fu,RIDI, V. n. eil. RIDI, V. serrer t. la serrer. Ridi nuhusangle du cheval. n. s'arrêter long- RÎGU, Y. temps en un lieu, être stable, fixe. Suma gan dèfà rîgu, du dèm fèn, (gen u grand mor-, -) mon hôte est stable, ne va nulle part. Serin yâ'ngê Taha sup. loc. rlp, être, Moka bè né rip^ c'est pilé jusqu'à être réduit très-sale. blant d'être grand, être orgueilleux, fier, vaniteux. Ku réyréyla gâv à rus, rorgueilleux est bien vite confondu. b., or- il RINTÀ tier. soi. TG, RINDI V. Rèndi. RINKA, Y. q. être cagneux des genoux et des pieds, ban» rendre grand, s'enorgueillir. un orgueil ! b., immensité, ma», grandeur suprême. RINM V. Ranân. du. fol Oh ! en, Y alla ba-^ Dieu unique, ! RIMBANA jesté, fierté, Ê m merise. V. .RËYLÔ, t. être cause qu'une chose fonde, se liquéfie. Ki tèg div ti nâd, mô ko réylô, celui qui a mis le beurre au soleil est cause qu'il est fon- RËYLU, Ramah. q. immense v. rimban fixés, ne veulent et perfection, infini. considérable. RËYLU, Salum ban né du Ûu. rigu /« dèm, en poudre. RIPET, V. n. trotter, se dit — cheval qui trotte. b., trot du du cheval. RTPETAL, v. faire t. cheval qu'on monte. course du cavalier dont le val marche au RIR, trotter — le b,, che^. trot. résonner, retentir, sonner, rendre un son, gronder» V. n. murmurer. Bu ment. Lu di Buftà bâ'ngê rîr, Avu bu di retentissant. Denu résonne. tOîihërre' bruyam* rîr, rîr, retentissant. la trompette, rîr ^ bi un écho di rîr, gronde. -~ qui le. b., bourdonnement du vent, roulement du tonnerre ou du tambour. Rîr i dûs, bruit de&: bruit, vagues, ressac. RÎRAL, Rîraral voix. t. bât, b., (F) faire fais retentir, éclater ta,, . RISÊ sée. V. sa bourrasque, ri^. . — RIS RISU, RÈSU, n. V. toucher en îriser, ou 274 eflieuror, mer ro- les Gâl gâ risu bateau a touché roches. Bal ba dèfâ risu su- ches ies dèr, ' le m'a balle la la frisé peau. RITI, RÉTI b., archet. RNI, suff. V. /. RO, esprit, ROB, V. t. — •ensevelir. ROBI, mer. — vie. enterrer, inhumer, enterrement. exhu- b., déterrer, V. t. b., exhumation. ROBU, V. p. être seveli. Rohu nâ, il est enseveli, sépulture, ensevelisse- — b., enterré, en- ment. Robô'm humb'on nà loi, "son enterrement s'est fait avec pompe. b., n cimetière. une enfoncer . déchirer la peau. Yohos a ma roda, les huîtres in'ont déchiré le pied. Bantà bê écharde, roda, Técharde. m'a fait une Syn. Nèka (M) Sékha. le bois RODÀRODÀ ma rodarodâ écharde me b., Su- écharde. méti mon na, V. p. avoir reçu une Rodii nâ ti tankà, je me suis enfoncé une écharde nu pied. Sjunâ tankà rodu îià, mon pied a reçu une écharde. RODU, SèkJiii. ROF m., vin de rondier. ROF, V. t., engaîner, fourrer, Insérer. Hôfal sa tëré ti sa laha«av, mets ton livre entre ta ceinture et ta poitrine. Rôf nà "^àrô'îii ti bâràm àm, il a mis son annexai à son doigt. ROFl. •qu'on tëré, sa dâru, retire ton ton anneau. RÔFROPI nom composé b., de rôl et de ropi, se dit des choses et des personnes qui sont instables, changent de lieu et de place facilement et souvent. Menu lâ déki fèn, rôf ropi nga, demeurer nulle tu ne peux part, tu es un vagabond. C'est le nom qu'on donne à un lambeau d'étoffe qui tient à peine à la ceinture. Rôfropi du féké ay u borom tàm, le rôfropi n'assiste pas à la guerre de son maître (parce que tenant à peine, il tombe au moindre mouvement.) (Prov. Yol.) ROGÂT, couler, fluer, n. v. répandre. Rongon dé nâfiu rogât, les larmes coulent. Ndoh mu nu hepà ti yov, dé nà rogât ti sa i lèh, l'eau qu'on a versée sur toi, coule le long de l'action de b., tes joues. fluer, de couler. ,N ROPI V. t. ,ROGOD, V. du mil, avant ROH, v. casser t. la tige qu'il mûrisse. t., manger. retirer ROHA, ROnO Syn. ce b., fourche. Takha. Syn. RQKA jabot, panse des oiseaux, b., gésier. ROKOS, ROKU, Y. Rekes. s'entre-niettre, n. v. s'employer pour le succès d'uneaffaire qui regarde d'autres i^ersonnes. ROKUKÂT RÔM, ROM case enfoncé, engaîné, fourl'opposé de rôf. Ro- té; clr. c'est — Lèkà. fait souffrir. 'écharde. Syn. livre, se ROBUKÂY RODÀ V. ma ROM pil sa sable. le nà hêr yà, mà — V. entremetteur. b., q. bleu-clair. b., pavé, plancher d'une ou d'un appartement quei-. conque. ROM son. b., petit mulet, pois- ' ROM (ROMBÀ, V. ROT passer t. côté à de quelqu'un ou de quelque chose. / dâykât romhâ près de, marchands passèrent Garap gô rombà^ l>rr> d'eux. mil sani la i mburu, su elegé ngn rombâti fà, si l'arbre auprès duquel tu passes te jett^ du pain, tu y repasseras dedes lèn, r j [ main. (Prov. Vol.) ROMBET [ b., semblable forme. V. fruit la iRambet. RON a mûr fruit Senga'm ron, vin sënat ron, Bâ ngâ de rondier. \ron dekâ sën, il t'a tu déjà |aperçu. (Prov. Vol.) D. Lu fira- la [aperçois le lorsque- rondier, ku né Yalla, létâ ma ? R. Ron. D. Quelle est la chose échevelée qui dit à Dieu, tresse-moi les ^cheveux ? R. Le rondier. (Enig. His, [V.) RÔN, à V. t. signer l'apparition tirant jfcn kakoy koni, rangâ, mbit. Toj, s de les enfants, l'arc-en-ciel, une ligne du front Kusqu'à la poitrine et en didans certaines contrées fcant, du continent, arc qui est derrière du Valo, le conti- Arc de la mer, ne me mange ''0\, prép. sous. Ti ron I /' griller, . mil égrené, fricasser. boyaux, de de. etc. RONGA, V. Runga. RONGON, V n. verser mes, — des larcouler ses pleurs. pleurs, larmes. Génai>. laisser h., rongon âm né hélèt turu mil hâtu né « Mâ di Yu^ puis il fondit en larmes suf, té : )) : « Je suis Joseph. (RONGOSUALÉ, v. » escamo- t. dérober adroitement. Dadi nà fanha rongosuâlé, regarder quelqu'un en face em^ pêche d'escamoter. b., esca-. motage. Sa rongosuàJé dotuli ton escamotage n'a pas réussi. RONU V. n., être en dessous. Beiî vêh nà, ndé dérèt à ka ter, karté — ronu, dents sont blanches,^ y a du. sang en dessous. RONU, V. réf. se transporteTi déloger, déménager, déguerpir, mais les iJ Vâ dekà ronu nénu, bi — ont délogé. la.frenis les b., vil-^ délox. déménagement. geinent, RONULO, V. ROT. n. t. faire déloger. tomber. Sum4; pursa rot nà, dih ko, mon aiguille est tombée, cherche la,, dans le sable. Rot U nhèl, tomber dans l'esprit, imaginer, in^ Y. venter. nent. ' V. grillade b-, : fHon déri, hon Valo, Hon gà ta génav déri, Hon u ndoh, lèkatil ma, Arc Arc RON, et s'écria rondior, g., rondier. ^du — a déplacé sor^, il Syn. Toha. riz. lôlu, pour l'orange Ron nà malô'm. gi, sous l'arbre. prendre par dessous. prends le par dessous. — u gav. Ron t., ko, RON, V. t.. déplacer, transpormr, voiturer, transférer. Ronal nëg, transporte Dèm vire. est allé YaUd, ma case. Au nà rôti ndoh, puiser de l'eau. nit gesse de mt wma ROT, V. t. puiser, tirer de l'eau d'un puits, faire sa provi^. sion d'eau en parlant d'un na- figuré ella Sago* menu ko rôt, la sa-» Dieu est inépuisable, : réfléchir sérieusev ment, examiner à fond. ROTAL, v. t. puiser pourv — ROT quelqu'un. Di nâ i rôtal itain sa gélèm, je puiserai aussi pour ROTAL, ROTLÔ, mon g, voilà rotlô abat qu'il tom- faire Mungâ abattre. ber, — RUH iRCpiT i des li- ci- V. quelque avoir t., chaume, ie qu'on les épi- d'un a enlevé l'essartant. RODKÀT b., cehii b., RCDtf qui es- t., ter- sarte. RCDRCP qu'on rain trons. 1R0TLÉ b., nes, etc. champ en chameaux. tes 276 essarté, a RCPUKAY essart. l'instrument b., chose de tombée. Rotlé nâ derem, j'ai laissé tomber cinq dont on francs. ments, les à un hom- me, un cheval son harnais, RÔTUKAY seau, calebasse b., qui sert à puiser de l'eau. Syn. Tah ab rôtu. iROV, V. Râv. ROY, V. l'exemple, suivre imiter, t. copier. contrefaire, Royal yef yu duh, imite — tions justes. b., Gêna ngem tation. les ac- copie, ûèl nà ti imiroy yà nu hindâ'k loho, la même due aux copies écrites à la main. foi est ROYANTÉ, V. t. s'imiter mu- tuellement. Royanté lën ti hâh, suivez mutuellement bons exemples les lu les uns des au- tres. ROYROY l'action b., d'imi- de copier. ter, ROYUKAY b., exemple, mo- Kà dèr, dèle. RU, v. 'dèfâ ru respirer. ndanka, le malade res- lentement. Li di ru lèpâ nâ fit, tout ce qui respire pire am a n. une âme. — b., respiration. Ru âm rotangul, sa respiration n'est pas encore tombée. RCp, RCT, fricher, pour i /0/, les V. t. essarter, dé- préparer les champs sem^ïWes. Rûdi-lën sën allez essarter vos h., l'.'iction ^err-iiu essarté. m V. champs. d'essarter, et Rudrud. le RUGÎ enlever V., à mu essarter. vête- les ornements dépouiller. Ki ko dap pour sert ss sumà dâm la, mA haré bâ, rugi ko bè ta mon sèt vèt, celui-ci est es- guerre et dépouillé complètement. b., dépouillement, enlèvement. RugVtarka, enlèvement de la bride, pourboire. RÛH, V. t. enfoncer, pousser dans un trou. Rûh nâ dinah ti mpah ak sumâ èt, j'ai poussé une souris dans son trou avec clave, je l'ai pris à la ma canne. RÛH b., Sa rûh èm d'enfoncer. l'action nà, — dam ngn ndégé dinah, ton action d'enfoncer est juste, car tu as attrapé la souris. — enfoncement. Ruh u gêt, rhumatisme, avoir dos rhumatismes. g., graminéo qu'on donne à manger aux anib. golfe. — — maux. RUHÀ b., RUHÂT coin, deux serré entre b., endroit res- objets. recoin, coin plus caché. RUHÈ, V. n. avoir beaucouj) de coins. Sa nêg ruhé nà loi, ta chambre a beaucoup de coins RCHU, v. réf. être enfonc<' dans un trou ou y entrer. Mpitn mà rûhu nà ti tag àm, l'oiseau est entré dans son nid. RUHU, v. p. être retiré, ré- — RUK M RUKÀ, du V. à Rukâ Rukà ICtlo. — piment. chose •et la RUKU, choses piler des t. piler. du piler l'action b., piler lâlo, kâni, de piler d'un bandeau en guise de bonnet b., bandeau dont les noirs et surtout coiffer — Dôm cendres. Syn. cuire sous t., b., —, tal. se négresses se coiffent. les RUM i n. Y. la cendre. (RUM (S.) b., éducation, lieu d'éducation. RUMA petit b., RUMUNTU, RUNOA, à — ni<^>ls. RTR, V. V. b., i. insérer, dans Rûr nâ nah ma, sable, la paille, etc. mà pakà mon •caché bîr ti bu lën dre la convertiront leur respect RUSIÏ pas, à cause de reste, dé- humain. miette, 1)., RUSLO, V. couvrir de con- t. RÛSTIL, n., V. ne jamais a- voir honte. iRUSTîT les j'ai fleurs couvrant de ses plant/e g. sal^tonneuses terres ro^os. RUT épi égrainé h., où il ne reste plus rien. b., dégâts causés par les les RUT, V. n., RUTAKUI ti, champs. nâ sumà bây, pour j'ai mon père une crainte respectueuse. jRus nâ swmâ mèr^ je suis honfeux de ma colère. Ku hega bakar, nà nga rus YésuKrista ; su nô téradi tur âm, bu si tu veux pécher, aie honte devant .Jésus-Christ si on déshonore son nom, ne rougis ; I>.i> — fusion, de honte. (!e lui. tirer se de, être très mince. V, s'en tirer, pr. quitter. Ruiaku ti tamèl J)n bon, se défaire d'une maiî v.ii^e Ii.ihitude. V. q. être confus, honhumilié, timide, penaud. rus, et honte l'un de l'autre. b., reshumain, honte mutuelle. Nit nônulé du ilu tûb, ndégc sèn rusante, ces hommes ne se RUS, Jco venez apprenn'ayez pas riisanié, religion pect le RÛRrU, V. réf. se fourrer, se cacher dans quelque chose, agir hypocritement. Rus les RUSANTÉ, V. réc. avoir liont^e l'un de l'autre. Nev lën dangési, couteau dans l'her- oiseaux dans teux, feuilles tombent des Kavar i fas yâ'ngê rûs, poils des chevaux tombent. rûs, su- be. RCR dé- arbres. voyage à pied! chose être bris. Noromtu. un voyage fourrer, cjuelque caclier chats. n. faire Y. muer, n. V. perdre ses feuilles. Garap yi rûs nânu, les arbres ont perdu leurs feuilles, Hob yâ'ngê qui insecte aux chiens, -s'attache iROS, les pilée. V. RUT feuillé, riihii, aisées — DeUâ caché dans un coin. un pays retiré. r»', ! bu 277 RUTl, ROTI, V. t., RUTIMGËR, nom désenfiler. d'iMi cIk- hors ligne. Fas di nn dov, vandé rutinigêr à ta ra:r,]r cheval court bien, mais Rutinigêr val le dépas.se. RUTUT b., RUTUTUTI, surgeon. V. n. se dit du bruit que font Kles pierres, des balles, des gouttes qui tombent avec rapidité et en grand nom10 ,, RUY bre. Tav pluie tombe avec bâ^ngê rwtututi, RUY, la nâ hè bruit. RUY b., sanglé peu épais ©t léger fait a-iec ce que l'on appelle karav. du n. faire \. sotal, j'ai fini RUYAL, V. Ruy ruy. apprêter pour sanglé appelé t. du quelqu'un ruy. le ruy. S dix-huitième S, lettre deux voyelles. Dans se trouve entre trouve un ch, ou un écrivons de même. où se g, les consonne mots introduits du français s, et nous les SÈN initiale jectif défini. Elle de l'ad- accompagne de préférence les noms primitifs commençant par s. Elle est peu fréquente. Employée avec un nom qui réclamme ordinairement une autre consonne, elle donne nom une ce à diminutive Ndoh ma, et acception avant. place se l'eau, sa ndoh, le peu 'S, adj. conj. de, du, de la Sédé's ngem, acte de foi. SA, adj. poss. ton, ta, tes. Sa dôrn, ton fils. Sa i dôm, tes fils. dim. qui ajoute au l'idée diminude tion. Gôr sa, le jeune hom:.ne. ^dnr sa, l;i jeune fille. SA, Sî, SU. ndj. déf. le, adj. substantif S'.ijara sa, ]e (ici feu feu le (ici) ou née). Sahâr sa nga que. mée que — — — , , ; sajnra si, safara su, le feu distance indétermipron. ret. nui, ; là, (là) , tu gis, la fu- vue. as SU, pron. poss. de la 3® pers. un nom. Sûf ak su hây àm, sa terre et ce-lle de son père SILÉ, SALÉ, SULÉ, adj. avec dém. — et rel. celui-l-à, celle-ci, ara — — cette. ce, pron. dém. et , que, d'eau. SÀ, quoiqu'elle 2, indigènes prononcent S S, comme en de l'alphabet volof, se prononce français, toujours sifflante, sans avoir jamais le son rel. , celui-ci, celle-là, qui, laquelle. SOSÀ, SÔSU, dente), ce, dém. (forme que la précé- adj. expressive plus cette. — — , , pron. dém. celui-là, celle-là, cela. SÔSÀLÉ, SÔSULÉ, adj. dém. (forme que — ];! plus expressive encore précédente, ce cette. pron. , — déni, celui-là, celle- cela. là, S\N quel, le ge ton ? P ndj. et pron. interr. ? quelle ? lequel, laquelSan sédé ? quel témoignaSa sagôr, san la ? quel est moineau ? — SÈN SÈNÂ, num. pron. et adj. — 370 mat nécessaire, c'est SOS, pron. poss. le mien. SÀS, ^os Snma c'est la, SÂ, V. Sây. SA instant, moment, miépoque, heure, temps, nékà, à chaque instant. Sa silé même. Ti sâ'k Sâ yâ tant. en sah, ce moment en un sâ, Bè sâ's Y alla téy, qu'au moment actuel. tes. SAB, Y. n. gazouiller, ! — ! 1 malheur mèr ma j'ai Smnà quelqu'un. à ma sabablô d'ê âm, c'est colère qui est cause que procuré sa mort. a SABAHU. SABAR tamtams SABAPi autres les tam- qu'accompagner font et qui est des le que ne tams Rabahu. premier V. g., long et effilé. gerbe ou javelle b., de petit mil. SABARU, crier, tu annouvelle. diable Sabab triste dianfre am n-i ! vày sabab ! c'est incroyable c'est à n'y rien comprendre. SABABLÔ, V. t., causer un ins- jus- i?ne interj. ma dèmé Mbûr, lorsque je suis allé à Mbour. Sâ yôyâ, en ce temps- là. Ti sunii i sâ, de notre temps. Ta sâ yôyâlé, alors, sur ces entrefai- Vah nga sabab, trophe. nonces s., nute,^ Sâ su dèm, serin yi — salut le de mon âme. SÈNÈN, adj. et pron. indéf. un autre, une autre. SÉPÀ, adj. et pron. ind., Adii nâ si sépà, le monde entier. Fu volte terrible. ré- sabab a fâ hêh, partout où se marabouts ils y rendent les portent la guerre. b., malheur, accident, calamité, catas- qu'une seule je n'ai fit, II gn AhsaUin sabab nà ndugté méli, Absalon excita une un, une. Sènâ sa rèka a dès, îl ne reste plus qu'un instant. Sumà sohla, sèna rèk la, mô di affaire SAB battre le se faire tamtam. Dèfà fanâ.n V. réf. en parlant des oiseaux. Sihà gâ sab nà, le cocf a chanté. Au fîg. gémir sous le faix. Sa rakâ'ngi dis hè di sah, ton frère affaibli est tellement sous son fardeau qu'il gémit. chant des oiseaux, gab., zouillement. Sah u savôr, guilleri. Lu mpitâ dégà, sahé, ce que l'oiseau entend, devient pour lui l'air de son chant. (P; V.) SABA s., homme probe, honnête. Sâha du ton kèn, l'homme probe ne fait du tort à personne. SABAB, V. t. causer un malheur, être cause d'un accident, semblable aux tourterelqui chante toujours avant de manger. On appelle ainsi bouffons, griots certains ou qui n'exercent leur métier que quand ils voient quelque chose d'un à clianter — événement malheureux. sabaru di fait nuit. c'est qui bè battre YA toi le ber sèt, tamtam di sabaru, qui bats le il s'est toute yâ di la tuli, tamtam et l'accompagnement. fais (Prov. Vol.) SABIN V., manière particu- de clianter des oiseaux. Di nâ ko hamé ti sabin am, je son chant. à le reconnaîtrai Syn. Sabsab et Sabté. SAB LÈKA. b., espèce d'oilif^re seau, les, manger. — SAB SABTÉ .SARSAB, dos SABSAB léger et SÂBU le sesbania g., bois à /creiix. savon. Div sâbu, du foi bop' b,, s., savon ne se lave pas soi- nnême. (Prov. Vol.) (SÂBU, V. t., savonner. Lu tèré vou n ga sâbia, su ma malân ? pourquoi n'as-tu pas sa- vonné mon pagne ? S\p ])., trame du SAD fas . variété g., SADA, des V. de donne la Syn. Dôr. verge, férule, fas, tisserand. de sesbania. donner Sadal cravache au cravaches. clieval. — \)., V. 1).. femme de n)au\aise \ie. qui ne sait plus rouiiir. pour ployer qt;i"]q;ru:i. Sadal ma banta bile, courbe ce bâton pour moi. S Al) AL, V. t., SAt)\LÔ, Y. t. faire ployer. Nnr yi dé nô sadâlô sèn i dâm, les maures forcent leurs esclaAes à marcher courbés. SADAXTÉ, V. t. se fouetter n. V. crampe. être Sumà pris, saisi tankâ dè- la crampe au fà saddj-, j'.'u crampe. Sadar dapied. 1).. — pà sai-i suma loho, mon bras. SADr b., la crampe a marteau de forge- ron indigène. serval. savoureux, bien assai- être q., agréable au goiit, sonné, avoir de la saveur, avoir le goût de quelque cho- Tin se. nà horom, sel. Tèré saf li nà saf sent^ couscous le Kâni on sent piment. nà loi ti téré di, piment très fort dans saf — cous. Au fi plaire, g. volof la langue volofe nà nâr, le res- nà saf me gi cous- le Lak'i saf la di le kâni, le plaît. cet indivi- du ressemble à un Maure. Vâ di, saf nga tûii, mon ami, tu es un peu ivre (tu sens quelque chose). SÂiF, V. torréfier griller, t. gu des grains. Gèrié pistaches grillées. SAF, V. Sef. SAFADI, SAFARI, v. fade au moral nu snf, insi- q. pide, comme au physique. Sa i yef snfadi nànu, vos affaires ne conviennent pas. SAF AL, SAFLÔ, v. t., sonner, donner du goût. assai- SÂFANDO, SÂFÂNDU, s., lynx, hyène, léopard. SAFARA miitiiellemeat. SADAR, chat-tigre, V., Y. ma, Vâ >dilé ployer, t. .^ADAHIXA la SAÈL SAF, Sad'u cravaclie. courbé. Aire pas. V. duit jusqu'à se ployer. sembler. courber, arquer. Sadu-la sa hala gi bu hâJi, tu n'as pas bien tendu ton arc. Snda dugup, presser, fouler aux pieds les épis de mil en les mettant au grenier. j)ar iSADU, Magèt nà bè sada, il est vieux et tout courbé. Garap gilé dur nà bè sadu, cet arbre a pro- fouet, houssine. SADÀ, SAF marmite sent flageller, t. coups vi, — Sâbu savonner. àm, ch:uit b., oiseaux. 280 fara' s., nfofèt, SÂFARA, res enfer. feu, de feu SÂFRA, superstitieuses Sa- l'amour. b., d'une lavuécri- ture faite sur des tablettes, où l'on a écrit quelques versets de l'alcoran. SAFIKATÀ ne amie (t. b., bon ami, bon- vulgaire). — SAIKAF celui 1).. qui 28l un est excellent montrer. te SAGO assai- sonnement. iSÂGA, SAH gi sagaré bè doyu-lâ gis, tu es chiffonné jusqu'à ne i)ouvoir grille. SA'FSAF h., iissaisonnement. Kâni safsaf })u hâh la, le pi- ment — raison, s., cience, esprit, V. t. il Du ma cernement, sagesse. ire des sottises, cons- sens, intelligence, dis- sumâ me sago, ce b., s., plus de sottises. Sâga grossières. paroles g., ndèy, injures ordurières contre la mère. Sâga bây, injures Naka sago, sago, lioinme sage, intelligent. ordurières contre le père. lande. SA(;A s., qui a celui SÂ(; \KAT b., riiabihide de dire des paroles sagô'm SAGÔR, SAVÔR, injurieuses. neau. Savôr begâ SAGAN, V. q. être négligent, Vây, yâ sagan ! noncbalant. mon cher, que tu es négligent! Bu sagiin, négligemment. Syn. Sdkii mpnl. g., incurie, né- vandé du 'bèy, le moineau veut du mil, mais il ne cultive pas. Bu ma insulter. ne sâgâti, — <lis gan a Sa sa- c'est ta inadvertance. qui négligence coup. baré, lu Jian la t'a \. négliger. t. 8AGANU, V. Ku <(ig(ir, toi, a (Prov. je lever, bar- V. pour n. moi-même. n. v. pousser, sortir de gis, Mont lui-même. c'est la, même, adv. sah a ko terre, germer, produire bourgeons. Sah i rên, prendre racine. Rèn lépà sah nà bu bâh, cette année tout a bien poussé. Béidin du deka sah bopà, les cornes ne poussent i odô, vêtue de guenilles. feuilles surgâ, liane à iormes. SAGARË, clia- des nu est haillons Man vu l'ai SAH, chif- la SAHSAH, sahsah liailloii, S(ig(U' chenille, ver, Y., SAH, mu- (Jekà Vol.) dugiip, Vol.) précisément. Ku dudu, epà la celui c{ui est né avant plus de haillon que toi 1(1 moi- s., nâ ti yapà' vi, les vers grouillent dans la Yiande. guiMiilles, 1)., lambeau, fon, des. Y., hayc'k Sah vu sembâ, chenille à poil. Sah lui ndn.v, vermisseau. Sah yâ'ngê bûnbûfn par inadvertance. élrc justes, ko rançon. sottises. p. ou négligence dire se t., des [iiellement SAGAR V. paroles ou bien ii sago'ni, en liberté. Sago sa iSAH sagané demaniu, du ham tus, celui qui néglige d'apprendre ne saura rien. SÂGANTÉ, Nà ngën ^Prov. \SAGAN, \. n., cire malade d'une maladie de langueur. SAGANÉ, sago, sensées. faute. Borom- soi. binduvul, sagesse incréée. beau- nuit être Nkadu'm laisse-le — gligence, pas n'est avoir vêtements. ©lie — / réni- pas — avant Au la têle. (Prov. Bât u Yalla sah nâ, la parole de Dieu est immuable. Nâ ngën sah ti lu bah, soyez fermes dans le bien. Yol.) SÂH, y. fig. t., harpon. iSAHA, SAKHA grange. harponner. — b., des Yan- m., grenier, — SAH SAHABÂNÉ court, 282 m., s-erpent gros, véninieux. l)igarré, ,SA!i\MI, Dro\<M- V. mâclK^r, t., mâclie. (heu v. les y., choses ne mâcher t., Sahanitvkii mâcher de kènà sûr, talî petites rassasie per- sonne. ISAHAN, V. ^ân. iSAHÂR, V. n., fumer, répandre de la fumée. Mata ma'ngê sahûr, le bois fume. Nêg ho'nla case fume. (jê sahâr, fSAHÂR s., fumée. Sahâr sa di dèf nîr, la fumée et forme des nuages. ëg té monte SAHÀR di g., Sahâr Sahâr Yaf)eur. vapeur. déri, chemin de fer. gêt, bateau iSÂHAR un arbre, repousse. à ficus g., i V. t., à à fruits de la m.) manger des récolter t., légumes. iSAHAY h., germination. /SAHAYAY b., ce qui pousse de soi, la seconde année, dans un champ de blé, de maïs, etc. 'SAHÉ, V. n., avoir des vers. Gèda vile sahé nâ, ce poisson sec est rempli de vers. SAHÈT, v. t., enclore, entourer d/une tapade. Sahèt nâ sumà nêg, j'ai enclos ma case. V., enclos, entourage, palissade en paille, tapade. Sahèt l'entourage est va dânu nu, — tombé. SAHÈTLO, vulé ker tu ne V. faire t., faire sahètlo- du ko sahèi muk, gi, si faire — autres et un entourage. Bô ko fumée. Sahâralal nêg bi, ndah yô ri dâv, fais de la fumée dans la case pour chasser les moustiques. SAHARÉ, V. n., être rempli de fumée. Nêg bi déjà sahâré, la ease est pleine de fumée. fSAHAT, SEHET, v. n., tousser, avoir la toux, le rhume de — — u donne aux chev.tux. ISAHAï, v. i rougeâtres et sucrés. SAHlRAL, (mbûm qu'on liane haricots choses. petites du i) molaires. iSAHAMTIKU, de lô tà gada mu saque vous émondez dans Garap, hât, ce SÀHÀT qui celui b., iSAHAMIKAY SAII ser. -iliments. î(;s 8ÀHAM[KÂT dents — lui pas fais faire entourage chez lui, il ne fera jamais de lui-même. /SAHËTLU, V. t., se faire un le fai- entourage. Kan ngâ sahèthi sa ker ? Quand est-ce que tu feras entourer ta maison ? SAIIËTLUL, V. t., s'occuper re Tin à faire faire quelqu'un. mà bây, je rage pour un entourage pour Mangé sahètlul safais faire un entou- mon rhume de poitrine. Sahat su bon, su méti, une toux mouvaise, forte, maladie de poitrine. Sahat i ganar, espèce de liane à iSAHÈTU, V. réf. se faire à soi-même un entourage, s'enSahétôngu-ma, je n'ai clore. propriétés moi. poitrine. SAHÂT, , , s. toux, médicales. Y. n., repousser, bourgeonner. Nah mi \nu dog on ange sahât, l'herbe qu'on a coupée recommence k pous- père. d'entourage sahètu ti nêg, j'entoure ma case. pas encore Mangé chez sumà SAHI, Y. Sèhi. vSAHIN V., manière dont choses poussent et les croisseent. — SAÎI garap gité nêh nà ma, i forme de cet arbre me plaît. Vâ dilé sah nâ hôp, sahin àm du dèk muk, cet individu a gramîi contrefait, sa taille ne Sahin la sera jamais belle. V., rejeton SAHIT, scion, d'un arbre. SAHKAT b., harponneur. flexible SAHLÉ, ses vii avoir des choqui ont poussé. Rèn sahléma darâ, cette année je V. qui rien n'ai t., pousse. SAHLÔ, V. t., faire pousser. Nâd vi di nâ sahlô lu nèk, le germer. soleil fait tout SAHMÂT, SÂHSÂH gué du autrefois, pour roi au SÂHSÂHÉ, V. au Cayor, répandre. Halél gèrté disperser, t. ri, saka lën vandé bu gilé, sâhsâhé, enfants, pistaches, mais ne lën ti ko prenez ces répandez les Nag yâ dèm nànu tà ngôn ma, sâhsâhé ko, les bœufs sont allés au tas de pas de tous côtés. de pistaches, paille pandu de tous et l'ont ré- — V. n., all^r ;i la pè- SÂKA V. t., SAUTUKÂT glaner. glaneur, gla- b., neuse. i — de la clef est bouché. boucher, empêcher par V. t., instituer, éta- blir, inventer, composer. Saka santâné, édicter im décret. Dé- rèt i nun, Dieu voléri gi Borom hi saka'k le sang de l'alliance que a faite avec , v. t. quel- que obstacle. Sâkâ nâ pah i dinah milé, j'ai bouché ce trou SAKAKÀT tuteur, nous. Yésu- b., auteur, insti créateur. SAKAL, V. pour établir t. quelqu'un, donner,' fournir, procurer. Sakalal gâl gi i vèka, navire. Sakal mpêhé, le donner le moyen. Hamu-nu lu daj Musa, sakal nu i yalla nâkâ yu vâ'Mésara, nous ne savons ce qui est arrivé à Moïse, donnenous des dieux, comme ceux des Egyptiens. voile SAKALU, V. me fais SAKAN, faire se t. Mangé une chose. sakalu faire toi, un champs. défricher n. être abondant, rapporter beaucoup, développer. Sumâ loi a V. profitaljle, bien se g en â sahan sa bas rèn, mon plus que le \ôlrr celle T'inée. Tav i rèn bi sakdii nâ, la pluie de cette an- née SAKA, thon. v., SÀKÀ, V. n., être bouché, empêché par quelque obstacle. Pah tâbi di saka nâ, le trou champ che au harpon. SAHTU, , taches. je côtés. SAliSI, V. n., coiiiinencer à pousser. Nah mfVngê sahsi, l'herbe commence à pousser. SÂHTU, sakarmang y à institué Jésus-Christ a yépâ. prentous les sacrements. dre dans, prendre de. S 6 saké ti suma i dèn, ma saka ti sa gèrté, mes si tu prends de poissons, je prends de tes pis- certain village ovi certaine pro- au Diéguèm, Saloum. nà sakn Krista délé- gouverner vince, SAK de souris. V. Sohmât. s., — 283 a rap]}'?rté ou bien, a Nnn, nu dèm ièy été aljoïîdante, a bieii .'i jjfofilé. gen a mieux sakan dèm eleg, il vaut nous partir aujourd'hui que demain. iSAKANAY b., abondance, bon rapport. f)o;i?- , — ,SAK -SAKANLO, V. sakanfn smn r,')l)oii(] iiKM^ Nâd lôl, i i\-\n> SAK \^'TA].. épartîîHM-, na lîiga di eux av.>ir di vi le soleil na met r\js ch.mips. V. hetjé en lèka, navèt, lô snkaiitnl inoltre ti nôr, si tu quoi jiianjjer })en(lant les pluies, écoiionnse pendant la bonne saison. Sakantalal A sa — ne ;Ie économiso ton argent. Être avare, chiche. Sakantal la tah a têhé, être chiche hililia, du le b., homme n., être plusieurs. V. Saha. "V'. SAKHA, . ,S'AKÏÏAR b., g., espèce de guier. Syn. Derr. SAKOBÉ bourrelier. b., fi- Lu niu am salah ce qu'il .SALAHAL, V. t un S A L \ i\ À T b 1 hoiHine kàt ha V. avoir été bouTi haré, yôn ri |):>ss. ché, empêclu'. yépa 'Saku von nàfiu, tous les chemins ont étn coupés, penla guerre. SAKU, V. pass. être établi. Bô- Danga ko, — dissij)e il b., dissipa- que gue le ce .dissiper ! Lu sakantal- salahki'f. défit/}, pour dis si p a te u r , . prodigue. bâ sani, l'.nare ramasse, le prodidiss3[)e. SALAHÔ n., v. être épars, en désordre. (A) salut des On répond marabouts. : Malé- salam. SÀLÀM, Y. Sêlem. SALAMIR sen'e à brume qui s., s'ob- distance par un temps près de l'horizon de la mer. SÂLAN SÂKU, a. dépense, prodigalité. tion, calme, Syn. IJd/'. dant vendre, aliéner à bas prix, [)rodiguer, engloutir la fortune. j)er, kum avare, chiclïe. Syn. Nëgari. 'SAKÈN, SAL SALÂM ALËKUM rendra pas heureux. SAKANTALKÀT — tout oc('^no!)ii--eï', !,, inén-i.^er, Sô n'serve. pronter, ifaire t. rondr^e .ihondant. 38/1 g., euphorbe du Ca. yor. SALAN cheval b., gris-pom- melé. SALAN (ne), Y. Saran. SALAYÉR, TALAYÈR 1., trombe, tourbillion. SALAYIT sakôngul, alors l'Eglise n'était pas encore dépôt de ier b., dnns le TU de forge, scorie de étaljlie. 1er. bà Jrkà na SAKU b. (F.) hi sac plein. Hôt i saku, sac vide. iSAKULË gros mil. d., SAL h., amande, graine mée dans le noyau. — SAL AH, des greniers. dépenser, dissi- f.iire h V. t. b., V., Y. Salir. s'évenler en parliquides, être éventé, V. n. des avoir perdu lant enfer- V., bnche SALÀ g., licou. de Laobés qui est" très tranchante. Sala lôÂul tènho, la hache de Laobés ne demande pas de jointure (dans l'objet pour le couper en deux.) SALAB g., arbrisseau, dont le bois sert 8ALÉR :SÂLÏ, la force cle son Sa mêb sali nâ, ton amorce a perdu sa force. SALIR, SALER b., v., grillon. SÂLIT, v. n. s'oublier, être agir en homme disdistrait, trait, se décourager. Yonèt ba goût. lotà, salit bè di ô dë, le pro- phète fatigué s'oublia jusqu'à appeler la mort. Bu la guday i yôn vi tah à salit, que la Ion- — SAiL ^uoiir du chemin ne te 285 — SAMBARAH, SAMRAII découra- s., vent du sud. ge pas. SAUTLÔ, Y. causer des t. SALLAHU fourmi interj. ! ,SAMBA-SURVAN dis- tractions, décourager. (A) par les che- à grosse b., morsure doulou- la reuse. veux assez longs pour être cou- .SAMBA-TÉNË, samha-jar, arbuste reconnaissable à ses gousses ressemblant à des feuill<'s pés. très sèches. Dieu ! SÂLON avoir n. V. SALTIGÉ SAMPA, dignité militaire dans les anciens royaumes un de Saloum et de Sine. se SALVAT SAM b., b., défaut des côtes. noix de Tacajou à g., pommes. SÂM, V. partager en petits tt des pistaches ou autres objets analogues. Syn. iSèr. tas — petit b., tas SÂM V. paître, t. mener paître le bétail, protéger, gouverner bien. Rûr i5u bâh di nà samà nit âni, un bon roi gouverne bien ses sujets. i — samakât b., b., berger, pasteur. V. Suinà. SAM ALT, V. envoyer quel- t., le troupeau. gros serpent noir crache pas son venin, SAMÂN ne s., comme le nangor. SAMANDAY, \. être, être SAMAR rbé SAMPÂT, fiâr i ké b., ti des s., musulmans, cime- être fixé, plan- diganté bakar nédiganté dâykàt ak déndahêr, nônu it ti là kàt, cornuie le pieu est fixé en- tre deux le S.) b., conserve les l'on veut planter. l'on SAMRA, passe péché vendeur. pierres, ainsi le entre l'acheteur et au n., V. le lieu piquets où que voir ce qui se en parlant des loin, iSAMRAKÀT b., sorcier qui coce de varirlé pr('- p/lturaLe. Syn. g., riz. iSAMUKAY b., Perhikay. nom SAMBA-NAAÏ;, d'une certaine plaie qui se forme aux jambes. b., champignon comestible. SAMBANANA. p., SAMSAHAM glaive re- tei're. SAMBALIH \. voit ce qui se passe au à. Dimbi. V. replanter, t., din sampô Nlki té. V. de nouveau. fixer sorciers. sembler n., semb]nl)]e SAMAR, SILÂMI çoit àm ti dig u mpéntâ ma dôr di vah, il piqua sa lance au milieu de l'assemblée et se mit à parler. SAMPAKÀT b., celui qui fixe ou plante un piquet. té uSAMPUKAY . qu'un paître qui fixer (Ecr. SAMÀ, planter Sampa ker, en un endroit. Sampa SAMPU, faux vérék. g., 'SAMA, fixer, t., asseoir. nà hêd de pistaches ou d'autres objets analogues. V. pieu, V. NARANARO SAN, V. i., doter, donnvr ({iie]que chose en surplus à la fiancée, en dehors du paieiuent. b., dot, ce que î'o]i donne à la fiancée en sus du prix con- — venu. — SAN SAN, pron. et adj. interr., dér. de Sa, Si, Su. SÂN ver du b., corps, asca- que Ton jette, ride. SAN l'objet b., pelote. 286 — SAN (SANDÀ g., b., mûrier. iSANDÀ b., île formée par d'une iSANDA, V. rivière. SANDAFU, V. l'eau V. SanaraL poisson, espadon, scie. Syn. Dasan. SAN, V. t., pouvoir, oser, être autorisé, avoir la permission, être audacieux. Menu-mâ dèf lôlu, ndé sanu-ma ko, antanuma ko sah, je ne puis pas faire cela, je n'ose pas, je n'en ai (né), b., pas même la force. tu es audacieux. SAN Yâ motte de b., que san, SANDAL espèce d'arbre à grandes épines blanches. SANDANTAL, v. t., suspendre, pendre. Sandantalal lampà b., bi, suspends suspendu, pendu. ter. que. bouchon, tampon. b., arbuste à fleurs blanches qui vient un peu partout, près des maniiliers. SÀNAH, V. Senah. g., iSANAH — V. crampe. b., avoir n., SANAH (né), la loc. s'enga- pénétrer dans. Né nà sahîr i rtah mi, il s'est engagé dans l'herbe. dans pité déré, ses actions, irréfléchi, — b., dération. inconsi- Sa sanahu la rester né san, pines. est SENÀ, loc. tenir a impassible. la Mu V. yobé t'a jeté Né immobile, Lëm ba'ngé haie est hérissée d'é- né sanà sanaral, resté impassible. sus- fumier, b., cercle g., tas de de barri- lën sanènté hêr, ne vous jetez pas des 'pierres les uns aux maître. b., Kèn me- nul a dâmu nâr i sanga, personne ne peut servir deux maîtres. SANGA, Sangal V. SÂNGA, v. baigner, t. baigne fas \h, t. /SÀNGA, laver. cheval. affubler, revêtir, Sânga ko couvre-îe de le son SENG maluîi. nm, pagne. m., tari, vin du haut palmier. uSANGAKÀT n. verb. se héris- raide, être SANDÈN s., espèce de poisson. SANÈNTË (sani, anté) v. réc, se jeter les uns aux autres. Bu couvrir. précipitation, SANÂRA-L, san né sen, se inconsi- étourdi. ây vile, ta précipitation dans ce malheur. ser, préci- être n., V. pass. étant SÂNDAY SANGA crampe. V., ti SANAHU, v. balancer autres. ger, nah lampe. la SANDANTALU, fumier. SAN A SÈNDÉNDÔR SANDANDÔR, g., iSANDÂRE lait. brai, résine, gou- s., dron. SAN, SAHAN, V. t., boucher, bondonner, tamponner, calfa- — importuner, t., obséder. SAN SAN • anathématiser. t. il b., baigneur, cequi baigne un autre. Sangakut u niv, celui qui lave les lui cadavres. SANGAL V. t., SANGAM, adj. gam, gam, constiper. Div sanBèrèb san- indéf. tel individu. tel lieu. . — SA!\ 287 — SANGAN, V. t., avoir une cermaladie, qui diminue le sentiment et affaiblit beaucoup le malade. b., nom de la dite maladie. SANGAR s., espèce de panier taine — SANIIALÉN SANHALÉN (baram SANGAY, TANGAY action b., SANHAMË être fications, des faire t. forti- dans retiré ^es fortifications. — b., pierres. Dèf san- barricader. SANGÈN, être n., V. clair. Bât bu sangèn, parole claire. SANGU, V. réf. se baigner. Sangudi, aller se baigner. b., bain, action de se baigner. — SÂNGU, V. réf. se revêtir, se Sângul, couvre-toi. sângô, je suis revêd'une couverture. Ku sân- couvrir. Mbadâ tu ou des traits. tisse- grand arbre très branchu dès la jeter, lancer, pré- une arme feu à Sani mbâl, jeter Sani fétèl, tirer un coup de fusil. Sani kada, harponner. Sani bantà, tirer au sort. Fità bô ko sanc, du délusi, le trait lancé ne revient plus. (Prov. Vol.) Bala ngâ sani, dir, avant de tirer, il faut viser. (Prov. Vol.) — SANIKAY (bârâm lâ V. de son pagne, en qu'on en couvre t. se couvrir même temps autre cliose. Doh ma sa dôm, ma sanguâlé ko sumà malân, donne-moi ton couvrir avec moi sous ma couverture. SANGUAY, V. n. Syn. Séhèn. b., latrines. Syn. Vanok. SANGUKÀT b., baigneur, celui qui se baigne. SANGUKAY b., baignoire. SANHA, adv., il y a peu de temps, il y a un instant. SANHAL s., mil granulé avec lequel on fait le lah. vais le V. i) dé- t., bi, débouindex, b., doigt. SÂNIKU, SAHARNIKU, (liguer, SANGUÂLÉ, action de jeter, jet. b., SANI, SAHARNI," boucher. Sâflil barik che la barrique. Vol.) — t., tirer se je V. cipiter, go der, na votii safara, celui qui est couvert de coton égrené doit se garder du feu. (Prov. fils, de outil le filet. barricade, fortifications en bois ou en gé, g., très SANI, V. b., base. baigner SANGÉ, i^e- rand. touffu, eau-de-vie. s., u) b., doigt. tit SANHAY SANGARA fourmi toute V., rougeatre. petite et du pays. de SAN v. réf. déboucher, être débouché. SANKÀ, V. t., dépenser, pro am, il Sankà nâ perdre. alal dissipé sa fortune. a SANKÀ, V. n. être resserré, constipé. — b., constipation. SANKAKÀÏ dé ; )e 1 1 s ie r , b., dissipateur, p ro d g 12 e V. consilper. t. i SANKAh, SANKÀT, SAHAf^KÀT lui b., ce- îiiousliquaire, ri- qui l)Ouche. SA_\KÉ h., deau. SANKU, V. pass. être dissipé, perdu. Gûl gà sanku na, teau est perdu. SANLÔ, V. t. donner ou donner le pouvoir. le ba- faire 3 SANO petit s., SANiSAN mil. b., SANSANLU, y. n. d'avoir le pouvoir. faire sein- SANTA, V. n.se nommer, en parlant du nom de famille. D. Nàkà nga santâ? R. Nduy là quel est ton D. sauta. nom famille R. Mon mille est Ndyây. .^^ — SANTA, ger, V. g:loririer. la, la V. même t. sens précédent s'emploie quand on sous-entend la personne à qui l'on s'adresse. Diu santâné nâ ligéy, un tel dele verb., être très loc. cellent. SAPA, Y. un champ champ de V. Ndèm goût. faire t. b., SAPALI, attends ses ordres. Sa SANTANÉ, que (né), SAPA di santa, bouchon. b., savoureux. Nèh mi né nâ sap, ou .bien nêh mi saj nà bè né sap, le bouillon a un goût ex- fa- de famille. t., louer, louanSyn. Nav. prier de faire t. se réf. v. V. Savo. s., de gâl ti SANU, SAHANU SAO SAP d© coton. mu yobu ma am, j'ai prié ton père de me donner passage sur son bateau. San'tà nà ko tôgu, je lui ai commandé une chaise. bây SAHANU, boucher. de SANTA, V. une chose, charger d'une affaire, recommander, imposer, ordonner. Dèfal li nu la santa, fais ce qu'on t'a dit. De hâr mu santa SAR nom nom b., V., — SA'NU, pouvoir, autorité, puissance, audace. Ak sansun, avec autorité. Ku baré sansafi, qui est puissant. blaïit 88 coton. donner plus de malo mi saful kât. na nga ko sapali, si le riz n'est pas assez pimenté, donne lui plus de goût. ni, SAPT, v. n. être désagréable, dégoûter, ennuyer. Tav bu baré di nà sapi, une pluie continuelle ennuie. b., ennui, dégoût. — SAPILO, v. t. rendre une chose insipide, lui ôter le goût. SAPO b., champ de coton. SAR v., (A) chapitre d'un livre. SAR m., moineau. (L) Syn. ; Savôr. SARA b., crabe de SAR AH, V. t. faire terre. l'aumône, mande qu'on travaille pour lui. là Dangu bà santâné, tais ce que l'Eglise commande. donner gratuitement. Sarahé, yelvâné, voualdumà, asèr loir paraître riche alors qu'on Ti sën gâl la di santânc, je prie qu'on me prenne à bord de votre bateau. n'a Matalil SANTÂNÉ b., b., celui qui qui. arbre à encens arbuste couvert baies noires et rondes. (le j)(Mi!;es g., aumône. Dohé l'aumône. loc. (né), v. entrer déterminer à nàkà la ko sa mayé, fais l'aumône se- général, sans en g-, charité, faire SARAH co/nmande. SANTA ^ G s., brusquement dans un endroit. SARAHÉ, V. t. faire l'aumône 'i"nne une commission, qui re- SAiXTl^R rien. sarah, commission, charge, décret, ordre. SANTANËKÀT — amam Sarahèl lon ton pouvoir. SARAHÉ b., aumône, charité. . — SAR Krr saraltc, i • de cha- :ii;ûson — 389 Au cuisant, abondant, à saMétit bu sâs, une douleur cuisante. SARAHKAT, SARAHÉKAT homme b.. charitable, qui fait l'au- mône. SARAHÏU, V. demander t. SÂSAL, V. lam i ihâlis SARAHTU b., — SARAHTUA.N, v. t. mendier inbituellement. diant par b., men- b., quêteur, iiendiant. SARANG V., du nord. vent SARAX, SALAN, SILAN, ridv. (né), SARDULI ma, expression lont on se sert parfois pour lemander pardon, pour s'extin SARBÈÏ b., SARGAL, V. (F) venu — saluer, t. Mangi retour félici- d'un sargalsi, la te féliciter je de ton heu- b., salut au retour d'un salut, bon retour ; au plur. Sarita ugën, Saritâ Bandnl, bon retour de S. Marie. On répond Vav, oui. SARTA b., faulx, couteau pour couper l'herbe. SARVÈT b., pique-bœuf, oi: SAS, V. t. imposer une tâche, déterminer, régler le travail à (1 b., en pointe, tailler t. èta,, ton taille la gi, plume. — on pointe, cheville. b., SÂT herbe avec laquelle b., fait entourages. les Syn. Sèlèn. Satâ V. voler, t. dérober. nànu borom-ker ganar yu baré, poules — bobine. b., on au b-., volé a beaucoup de chef. voleur. Syn. Satakât. b., voleur! Syn. Satâ. lâche, leçon à appren- re. SAiS, V. n. être chaud, chauffé au rouge en parlant de métaux. l'en vu sas, un fer chaud. — pot s., des mara- bouts, marmite. SATO, n. v. vivre en concu- binage. — b., SÂTOM ' concubinage. SATOÛAT, V. b., n. vivoter. moule, coquil- lage. S ATS AT b., pursà, pointe Syn. pointe. d'une Saisat i aiguille. Tat. SÂTU ïf: SAS I. rendre pointu. Bul sat sa ne mets pas de pointe à SATALA SARITA, i tâches. SATÀKÀT retour. voyage. l'a le champ par SATÀ, serviette. quelqu'un au voyage. reux nu (SÂT if:^er. en don- distribuons-nous bâton, Satal hqlima être vide. ou distribuer travail le toi, SAT, état. SARAHTUKÀT se t. nant à chacun sa tâche. Nâ 'sasô SARAHTUANKAT V. partager se cité. soude ce brace- soudure. b., SASÔ, mendi- quête, souder. Sâsalal t., bi, d'argent. let l'aumône. suis fîg. tiété. rité. ter SAV rasoir, couteau s., à Sâtu du vat bop'àm, le rasoir ne se rase pas soi-même. Sâtu'denà, sternum. SAV, V. n. uriner. Syn. B'cru, Sébèn. raser. — SAV — urine. b., — SA VAL, semer pour quelqu'un. Sâvalal ganar yi dugUp, répands du mil pour les V. t. démoniaque; être say, l'Eglise. — rage, fureur. SÂY, SA, parlant d'un vif, Y. q. être laborieux, assidu, pressé, vigilant, fervent, zélé. Bu em- roi. c'est ' SAYAR variété b., Saysây sup. part. nà bè sayâhèl, grand vaurien. savar, mourir en n. V. SAYÂHÈL, iSAVAR, démonia- convulsion b., que, poules. îictif, ku dans une grande colère, enragé. Nâri don nà say ti Dnngu hiy l'enfer étai en fureur contre rizière. la SAY Nit SAV, m., porc-épic. SAV, V. t. semer, disséminer. Siunà ndèy sâv nà malo ma ti dëg bà, ma mère a semé du riz dans 290 un très de gros- assidûment, avec ardeur. Savar nâ ti ligèy, il est ardent au tra- mil. vail. débauché. Nit ku saysây a ban ku ko gedà, l'homme méchant, hait celui qui le réprimande. b., polisson, coquin, vau- SAVARADI, V. q. manquer d'ardeur. Pas vilé savaradi nà ti dov, vandé savar nà ti ligéy, ce cheval ne court pas bien, mais il travaille bien. Syn. Taèl SAVARLÉ, V. t. avoir quelqu'un d'actif. Ti sumà nâr i d'activité, SAYSAY, Yef mauvais saysây, i SAYSAYAL, muer. Syn. SAYSAYI, chancelant, Èji V. t. rendre actif, Faral à ligéy di nà savarlô, travailler souvent rend laborieux. (SAV AT g., arbuste à rameaux un peu rampants, tout couvert de fleurs blanches ou violettes. etc. SAVKÀT b., celui qui sème, pisseur. SÂVO par les b., SAÔ, sentier tracé animaux. SAVOR, V. Sagor. SAVTA s., SAVUKAY V., Taka say, SAY, V. sion b., fagot, des urinoir. botte, paquet. fagoter. n. sujet, canaille. Syn. libertinage. àm saysay i si v. agiter, t. re- Gasamgasam. v. n. marcher en être secoué, agité. nà bè mu di ak môm, sa charge est bi dis lourde qu'elle le fait chan- celer. — b,, marche chancelante^ agitation. SAYSAYLO, V. t. pervertir, corrompre, dépraver. SAYTU, V. t. avoir quelquechose en main, soigner, gérer, gouverner, être tuteur. Lô say tu ti sa loho ? que tiens-tu en Saytu nga hâlis ? as-tu Sumà nidây a ma saytu, c'est mon oncle qui est main.î^ herminette Laobés. SAY être dépravé,, Tikar. d'actif. SAVARLÔ, q. — rien, dôm, kènà dâl lâ ti savarlé, de mes deux fils, je n'en ai qu'un vif, V. entrer en convul- comme un énergumène. de l'argent.^ mon tuteur. Yallâ saytu mbindèf yi yépà, c'est Dieu qui gou verne toutes les créatures. SAYTUKÀT b., tuteur, administrateur. Saytukàt u hâlis — SAY u hûr, trésorier du roi. Saytukât u bifi u bùr, échanson du 391 — SÉBÈTI SÉBÈTU, SAYU bambin, b., en- petit fant. SËÂN peu profond creusé dans un terrain humide. SEB b., haricot. Seb u nguri, espèce de pois. Nitokèr beg nâ seb, vandé du seb yâ nô bahal ta ntin là, la perdrix aime les haricots, mais non ceux que Ton cuit dans la marmite. (Prov. puits b., Sèb'i Vol.) dombor, palmiers kével, de sorte gousses à sèb'i haricot des rectangu- SÉBA b., champs pour SÉBÀ, SÉBO en s., très dans tas être les brûlé. fruit du pal- moule de b., petite. SÉBÀT, V. laver t. mil le le premier pilage. iSËBÀT, s., eau où Ton lavé le mil après le premier après a pi lage. SÉBÈ, V. t. persiffler, moquer se ^âval. — dérision. rire se grimaces. avec — b., s., défaut persifflage, qui re- bute. s., commencer à sécheresse.Su la première éperonner. n. V. des éperon. SÉBRÉ b., ampan, mesure de longueur, distance comprise endu pouce et du milieu, la main étant complètement étenl'extrémité du doigt tre celle SED — Au en parpluie de n., pleuvoir, V. de première la l'hivernage. railleur, b., mo- queur, grimacier. SÉBÈLÈH b., semblable à SÉBÉN, Sav, SÉBÈR SÉBÉT, t. être frais, froid. doux, tranLef li sèdâ nâ tèy, il froid aujourd'hui. Sèdà nâ paisible, fig. giiy, il sèda, cœur — Hol bu froid. très fait paisible. froid. b., SÉDÀ, V. t. donner à quelqu'un la part qui lui revient. Nân Un an, té sédâ Samba, dînons et Samba. — réservons portion, part, b., part la ration. Suma sédâ bi név nâ part est bien petite. SÈDAL, SÈRAL, adoucir, v. loi, entre mu te, ma refroi- t. apaiser. SÉDÂLÉ, SÉDATLÉ, tager de plusieurs. v. t. p^ir- Sédâlé, iâ begâ, celui lef la qui ne peut faire un partage, y est intéressé. légume sauvage uriner. Syn. distribution, b., i Homhom. tëré, partage. disribution de livres. SÉDÂLÉ, Sanguay. buki, V. V. Sébat. — Sédâlé la rave. v. V. *q. quille. ku SÉBÉKÀT espèce de poisson. s., SÈDA, dir, SËBÉ, BëT^u, SÈBRÉ, — fait mier nain. iSÉBAT, SÉBÉT lant chercher t. bet sèbê, lorsque la pluie sera tombée. SÉBO, Y. Sébâ. de d'herbes, tas broussailles mis Syn. V. moules. SEBÏ, V. n. pleuToir après due. laires. mer d'une cessation b., pluie. roi. de, SÉD v. t. donner une part en même temps qu'une autre. Sô di sédâ Dèmba, nâ — SËD ma nga Dèmba si tu donnes à donne-moi aussi sédâlé, sa part, mienne. la SÉDALÉKÀT SËDAY b., SÉDÉ, distributeur. b., douceur, SÉRÉ, V. t. paix. attester, témoigner, servir de témoin. ko sédé, je peux en être témoin. Sédé*s s., témoignage. ngem, témoignage ou acte de Men nâ — foi — — b., , SÉDIT, y. .SÉDÔ, V. Sidît. t. se partager entre nànu Sédô soi. tôl hâ, ils i SEFU, SÀFU, les — SEGA, b., inclination. — SÉGA SËGA V. prendre sa part Sédu nà té nevanréf. soi-mêrne. gu nu, il a pris sa part avant notre arrivée. SEF, SÂF, v. n. porter une charge, ne se dit que des bêtes de somme. Gélèm gi sef nà bè chameau dis, le très lourde. — a une charge t., charger un animal. ko mhâm ma, il le charAu fig. Yalla gea sur l'âne. Bây sef nà Yésu-Krista sunu i bakar, Dieu le iPère a mis nos péchés sur Jésus-Christ. V. — — charge, ânée. b., SÀF, y. t. mettre à l'enSef nà kavas àm, il a mis SE;F, vers. ses bas à l'envers. SÉF, V. t. verser un liquide dans un mets. SEFKAT b., chargeur. vSEFLÉ, V. bois t. écorcer. t. Syn. que métans mettent sur Ténév.. maho- les tombes. les pas près du cimetière. SÉGÀ, — V. aider à charger. filtrer, t. ségàsègà b., SEGAL, V. t. se tenir filé, ici clarifier.. fîltration. b., baisser, incliner. SEGASEGARAL (né), loc. verb. immobile. Mungé né segàsegàral, il droit et immobile. /SÉGAY SEGAY, SEGET, b., fîltration. b., action V. SÉGUKAY tahav se tient d 'incliner. Sega. b., filtre, passoir. prendre une grande poignée. Ne seh ti malo mi, prendre une grande poignée de riz. SÉH, Y. t. mettre dans la bouehe. Bul sèh pursà hi, ne mets pas l'aiguille dans ta bou'SEH (né), sef v. m., tigre. b., se baisser, se n. V. s'incliner. soi. SÉDU, être dans- n., V. douleurs de l'enfantement.. courber, se sont partagés le champ. b., distribution faite entre Mu mon cimetière des mahoy., métans. Su gudè, bul dar ti ségà yà, s'il fait nuit, ne passe de cet arbuste. fruit s., charger — pays. — ma sumà lô, aide-moi h bœuf. SEFÔ, V. t. prendre sur soi> Sunu Musalkàt bà sefô nà sunu mmtèf. Notre Sauveur a pris nos crimes sur soi. Seflé SEGA, SEGET, témoin. Sédé nafèha, faux témoin. SÉDÊM g., petit arbuste du . SÈD 392 loc. verb. che. ISE.HA, v. n. et t. prendre une grande poignée. Seha nà malo mi et ti malo mi, il a pris grande poignée de riz. grande poignée. b., — SÈHA, SEREH g., gu ndav, poulet. Mor coq. une , Sèha sèha, cha- — SÉH ponner. Serch, borom-kcr, xj, chef du poulailler. le ( >^I1À, V. t. cerner, tenir au ilieu de soi une personne ou 110 chose. Sèhâ nânu bûr bâ, iS ont entouré le roi. Sèhâ nâfia dekâ bà, ils ont cerné le 193 ai — SEL sKKilll, V. réf. s'enfoncer une. écharde. Syn. Rodu. 8ÉKI, SIKI, Sf:KAR?3i, v. t. Sèknrfïil retirer une écharde. ma dèk vilé, retire-moi cette épine. SÈKARNIKU, SP.KIKU, v. réf. soi-même. Dèk retirer de vi village. se iSEHÀ, V. n. être touffu, épais, bien garni. Garap gu sehà, ar- sèkiku nà, l'épine s'est retirée d'elle-même. bre touffu. Kavar gu sehâ, chevelure épaisse. SÈHÀ m., crinière. cliose SÉHAL, ger par V. SEHÀLU, à donner t. à ^nanabecquer. bouchées, V. SEHANTÉ commencer t. pousser laisser les aux cheveux. SEHÀTU, V. commencer t. a pousser les cheveux, en parlant des jeunes filles. SÉHÈV ' V. SËHI, SAHI, vrir v. un passage SELÀ, V. n. se séparer, se en parlant de chemin. SÉHI, V. diviser SÈLA avancer t. une SEHO, SEK sek, (né), sek, c'est loc v. très mu né parfait. sion, remblai. b., Sek'u dèh, cimetière. SÈKÈT s., tumeur des glandes parotides, oreillons. V. n. avoir des oreillons. — SÈKHA, écharde. — b., c'est v. pur, saint, sacré, les saints. Nit kii un t. saint Y. t. enfoncer Syn. Roda. écharde. homme. sanctifier, puri- pendant leur séques- tration. SELEM, SÀLÀM, tombeaux, par exten- S£KÊK, la, circoncis jetée. y., q. iîâ, SËLALAY g., sanctification. SËLALKÀT b., sanctificateur, 8ÈLAY b., sainteté. SÈLBÉ b., chef des nouveaux être parfait. ou bien, bê v. sèlâ fier. SEKÀ, V. t. remblayer, combler un vide, relever le terrain. — quai, — nu SÈLAL, Y. Sehanté. SEHSEHÔR, V. Sohsohor. Met nà collier 8f]LA, Vâ sèlà en avant. dent canine. naturel autour b., b., du cou de certains oiseaux. haie. jambe la partie, SËL, V. t. abriter quelqu'un Garap a nô sël, c'est un arbre, qui nous abrite. — déclore, ou- t. une — KènkéJlha. dajis a pris SÊL, V. t. couper de la viande, en tranches très minces. b., tranches de viande très Sahnt. V. g., ce qui reste d'une. de Saka.) (Dériv. laisser SEHET, b., dont on minces. cheveux. réc, se prendre V. SÈKiT une v. t. laver figure k quelqu'un. Selemaî sa dôm, lave la figure à ton la enfant. SÉLÈN on fait s., des herbe avec laquelle entourages. Syn, Sât. SELENTÀ b., sardine. SELGUF g-, graminée déco.. - — SEL dont on mange le« en temps de disette. Native ii€s SELMU. Y. lu mu don ? R. Pud âh nêg I). Il te voit le premier et ne peut te loger, qu'est-ce? R. Le faîte de la case. b., la — figure. SELOM semblable paille b., SELU SÊN veau, bouvillon, génisse. Nop'i selô mag bédin âm, l'oreille du veau est plus âgée que ses cornes. {Prov. Vol.) s'abriter, réf. V. se SËLU SEMBÀ, Velu, bois abri, b., asile, re- Syn. Sëlu. fuge. V. q. bu laineux. var, as les SEMBÀSUY SÉNAKLU, b., chauffer l'on jette iSÉNDÈN SÈN, adj. poss. leur, leurs. Sèn bây, leur père. Sèn i nag, leurs bœufs. Sèn vos, le leur. SËN, adj. poss. votre, vos. Sën bây, votre père. Sën fas, vos chevaux. Sën vos, le vôtre. i V. vrir avec 4D. Dêkâ t. les là apercevoir, yeux, sën, pr., se V. t. déceler un se- g., canéficier du Sé- — décou- remarquer. menti la té v. soleil. dans un silence complet. iSENEH, SÂNÂH, v. n., être mangé par les fourmis, les vers. Syn. Feneh. SËNÉN, dér. de Sâ, si, su. SENGA, Y. Sânga. SENGÊM, V. n., s'appuyer la tête entre les deux mains, incliner la tête en avant étant b., l'action assis ou appuyé. de s'appuyer la tête de la ma- mondices. SËN, ténaklu, SÊNDÈL g., panier. SÈNDÈNDÔR, V. Sandandôr. SÉNDÉO {né), loc. y., être im- les lais- négal. ramas de balayures, oii au SÉNAL, tortue. "cloaque Su. suinter, cret. de l'hyène, tubercule vénéneux, croit-on, à fleurs grandes, de couleur pourpre. SEMLAGDÉ b., espèce de b., Senâral. Si, percé. cheveux touffus. brouée.. SEMBÂTU, V. Sepâtu. SEMIN V, SÉMEN V., hache, cognée. Sémin u buki, hache SEN n., V. V. — pelu, serrvbà, Har mu sembâ, Sembâ nga ka- touffu. mouton tu laineux, Gol touffu. de Sa, échapper de l'eau, couler. Sa nêg sènâ nâ bîk, ta case a fait de l'eau cette nuit. Sot) mi sènâ nâ mép, tout le lait a coulé. Au fig. se dit d'un secret qui perce. Sunu vah i kéra gâ sènâ hât, notre entretien de l'autre jour a déjà Sëlukay. (Syn. SÊLUKAY (né), dér. ser refuge, abri, retrai- b., SEM, SEN iSÈNA, SÈNÀ, arbre. cet mari rogues. Tav bê tain nu sëlusi ti ron II garap gilé, la pluie a fait que nous nous sommes sous le iSEN b., espèce de bouffon, appartenant à la classe des fïéno, qui s'occupe aussi de charpenter, de creuser des pi- réfugier. abrités femme que b., hait. s., SÊLU, d'apercevoir. l'action au chanvre. te. — gan, g:rar- laver se réf. 294 { I nière susdite. SÉNTÀ, V. t., bâtir, fonder, SEP ARAL deka, her, Séfïtà établir. \<r, {né mbôlo, établir ou ionder une maison, un villaun royaume, ge, une église, se tenir droit une mets. rëv, <.ngUy — société. bâtisse, édi- b., SÊNTU, V. courir de différents tous côtés, pour SÊNU, V. voir. côtés t., chercher k aperregarder au loin, soups'atçonner d'avance, prévoir voir quelespérer tendre à, cevoir, ; qu'un Sënul gêt ti gi, ndém gâl gi nô sënu, regarsur la mer, pour voir si le bateau que nous attendons ne paraît pas encore. Ver vi nu sënu, le mois prochain. lilé, von na ndogal Sënu j'a\ais prévu ce malheur. b., action de découvrir au loin, prévision, soupçon. SÊNU, V. t., ronger un os. SÉP. Y. Séh, sébé, haricot. SÈP, SÉPÀ g., vétiver. gis dez — SBP (né), verb. loc. se tenir SEPÊLU, ou terre nu diganté, Nèl fixer. bi sèl l'échelle ici sepâ toute droite. SËPA, SEPÀ. nâ V. droit, suma pakâ mon tenir fait un droit dans pa, Su. planter, debout. Sepâ ti garap, j'ai couteau arbre. tout Syn Sam- né sep. SEPÀ GON, V. t., faire dalèfi, V, 5U-. ti quel-' îna ndankâ, sépiku me lorsqu'on dou* retirai ce mérii. SËPSËP m., oiseau petit de. mer. SKPSÈPI, goutte à pr, V. Syn., tipatépi, être fiché, sur être n., V. tomber n., V. goutte. fixé, uno. hauteur et regarder en bas. Gis nâ ko mu sepu- ti kov mara'd mâ, je l'ai vu regarder du, haut de la muraille. v. t., avoir quelque chose au-dessous de soi, dominer, protéger. Sepul sa i dôm., couvre tes en- — fants de SER protection. ta V., sortant étoffe toile, du métier. Bop'u ser, paire de^ pagnes. la SÈR, culbute. ont fait l'ancre. ils culbute. SÉPALI, prendre de, t., nànu kènâ on a retiré se disputait, je D AR- SEPA DALÈN, Sepà nânu la Si, ficher, t., tenir faire de Sa, dér. en qu'un de notre compagnie. SËPIKU, V. réf., se retirerd'une assemblée. Bà nô huZô^ fixée élève droit, fixé ailleurs. iSÉPT, SIPI, V. est planter, être n., V. ôter de. Sépi SEPU, jllé, n., SEPÈN b., enfant sevré, qui commence à se tenir debout, /SEPU, — v. en parlant d'un objet debout, être fiché. Sa né nâ sepà ti sûf, ta lance terre, un dans baigner par amusement, s'amuser dans le bain. ,SÉPÉLU, V. Tépélu. droit, en verser de. t., liquide se iièd di-oite v.^ loc. SEMBÂTU, SEPÂTU, de regarder t., V. (sèf), du nouveau établissement. fice, dô /SEPAÏI sepa), immobile. t., regarder atten- tivement, considérer. teau V. Gâl a jeté n., gi mouiller, sèr l'ancre. SÈRAL, Y. Sédal. SERÂT, V. Sirât. SÉRÉ, Y. Sédé. nâ, jeter le ba^. — SER SEREU \. g., SEREH, pour tousser ^voir mal avalé quelque chose. SEREH, n.,i Y. tin trou d'un Syn. Suruh. tomber é:ms pied seulement. SEREH (né), loc. verb., tomber do tout son long. Mu né éereh iti sûf, il tomba à terre de tout son long. Syn. Në Nerem. S'EREK b., crampe. y. n., avoir la crampe. SÉRÈR, nom de peuple et de langue. Lak'i sérèr, langue — ^érère. SÉRÉTI, V. n., faire crachat de la bouche. l'action de faire jaillir chat de la bouche. jaillir — le b., cra- le SERHAL, V. t., semer le mil champ où l'on a laissé dans un pourrir les les brûler. un champ herbes au lieu de s., mil semé dans dont les herbes on\ — pourri. SERIN dârà, Serin mara])out. b., maître musul- d'école man. couture. b., le mouillage. SÈRU, V. t. (K), regarder, considérer. Syn. Sêt. s., SÉRUÂN, se vanter, SÉRUÂrsU, faire parade. rxjâné parasol de ?on ostentation, âm, il parasol. V. n., Dèfâ sé- fait para- — — , , b., vanlerie. poisson avec un dard queue. SES, V. n., être arrêté, appuyé, contigu, accosté, solide, arriver à son terme, être en sûreté. Gâl gi ses nâ 'ti vâh bi, îe bateau est accosté au pont. Barik bi ses na, la barrique est Sf^S b., •H la / SÊT place. Had ba chien n'aboie du bm^ sesiil pas en sûreté. (Prov. Vol.) le n'esi s'il — , v. t. appuyer, caler, soutenir. Din yê ses nêg bi, ce sont les pieux qui soutiennent la case. Sesal buntà fixe bi, la cale, katolik vërukay ak là, — porte. appui, " b., Dangu soutien. ses i d&gâ l'Eglise catholique est la co- lonne et les ri v. ti Sesàl ils pierres contre le — appui, b., la vérité. mettre une cho- t. une autre, marad rui, se contre hêr soutien de le SESAL, nanu ont mis mur. support. .SESANTÉ, SESÔ, v. t. être rapproché réciproquement, ap- puyé l'un contre l'autre. Sunu i ker dé nô sesanté, ou bien' sesô, nos maisons se touchent. b., action d'appuyer, SBSAY de soutenir. SESLÔ, V. t. faire en sorte qu'une chose soit appuyée, faire mettre une cale. Seslôl ndap li, fais caler ou cale toi-même la calebasse. SESU, SËRO SÈRU de — en Si'lui. n., V. 39C pr. se soutenir, s'ap- V. puyer, être soutenu. Sesul, lëgi nga dânu, appuie-toi, tu vas tomber. — SET — protection. b., petit-fils, b., y., SÈT hampe SÈT, postérité, hampe. b., de petite-fille. descendant. Set u hêd, lance. la propre, net, pur, innocent. Sèt serein, correct, vét, être très pur. Sèt vèlès, très propre. Ber sètangul, le jour V. q. n'est c'est-à-dire encore serein, ne fait pas en- il , Ber bu core jour. i pas sèt, chaque ] • jour. SÊT, V. t. regarder, voir, con- J - SKI inspecter, ,5i<](Ver, Vf» il sKT, n. célébrer dos *noce«. V. pagne neul et blanc. .^ET, V., SET rent cnvb,iger, sur. 1er (né) loc. v., SETA 'SETÀ, V. Dèn vilé déjà • V. t., faire métier d'examiner pour les ires. Dèfâ doh di sêtalân ii Va 5i, il fait au village le mé; d'observateur et do rappor- w. SÊTALÂNKÀT le b., celui qui métier d'observer et de I I rapporter. \\- SËTALAY SÊTÂN, V. lutte, à un SETÂN arrière purification. b., assister t., à SPlTLUKAT une arrière SÈTAY pi'opreté. spectateur. b., pureté, b., Sètay u Jiol, netteté, pureté SÊTU, ."^ÊTI, V. v. — t. aller voir, aller vi- SÈV, rer, vérifier, Be.gâ nâ sêtlu examiner éprouver, samà ma explotenter. ker, je veux maison. Sêtlu nâ nit kilé bè harn dikô'm, J'ai observé cet homme, de manière faire re- glace. gousses k mince, délié, petit, peu important. Sèv nga ti loi, vous avez peu de poid^ Tt-dedans. Bu sh\ fineV. q. uien l. délié, \. t. ;»3Jiiiicir, rendre {letit. ténuité, b., petitesse. SÉYËT, V. n. cesser de pleuvoir. Su tav bi sévèté, si la pluie cesse. minces. v. Mà ak lui. j'ai môm, — Mat t. la avoir des choses g en a sèvlé ha- une plume plus mince lima, épier, se subtil, fin, que toi. SËY, V. scruter, voir, celles des pendantes comme strophantus et à fleurs blanches nombreuses. bu, je suis allé visiter le observer, se arbre g., siter quelqu'un. Sêti nâ darak malade. SÊTIN, b., regard, manière <i( regarder, coup d'œil. SÊTLU, V. t. faire regarder une chose pour soi, examiner, réf. miroir, b., SÉULU 8ËYLÉ cœur. <\e descendants. y., t. garder dans un miroir. iSËVAY potite-fille. SV2TANKÀT V. SÉYAL, potit-fils, observateur, b., venir voir, venir faire une visite. Yov lâ sêtsi von, c'est vous que je suis venu voir. 8ÊTvSI, spectacle. b., observation, épreuve, prudence, tentateur. voir, fait examen, b., SETSETÂT SÊTALÂN, ' — revue, tentation.. V. t., rendre propre. '^KïAL, V. t. regarder, voir, considérer pour quelqu'un. Sêma sumâ gétâ gi, veillez Ital pour moi sur mon troupeau. ! l'éprouver. vigilance, SÈTAL i' connaître sa conduite. Dâ ma ko denkà hâlis ndnh sêthi ko, je lui ai confié de l'argent pour poisson est fado. setà, ce Sr.Y à être sans saveur, q. fade. insipide, — ètr« indiffé- se soucier peu de. g., panier. II, :>(,7 Bul séy marie pas avec n. se marier. ne te â séy, nubile. mariage. Taka séy, se marier. Séy yôn'Yalla, mariage légitime. Séy u nobé, concubinage. Dur i séy, dot. b., iSÊY, un V. n. liquide, soudre. dissous dans fondre, se dissâ'ngê sêy U être se Horom - SÊY ndoh mi, le dissout dans sel se SÊYAL, V. t. fondre. Ndoh du dissoudre, faire sêyal hêr, l'eau ne dissout pas la pierre. Sêyal ko ti sa gémérl, fais-le fondre dans ta bouche. SÉYAL, V. lâ séyal, sœur de Samba que se n., Y. d'une dit qui s'en va dans un autre pays pour y trouver un mari. SÉYAT, V. n. se remarier. SÈYLÔ V. t., marier, faire se marier. SÉYT, SÊT b., épouse, fiancée, jeune mariée. Borom-séyt, époux. SÉYTÂiVÉ TÎiable. à démon, satan, s., Dôm i séytâné, canaille. séytâné, diablerie, ca:n:iil- Séytâné ! diable ! Séytâné une diablerie, c'est Maln'y rien comprendre. nà, c'est — heur, infortune. séytâné silé, qui Kn t'a la yoljé causé ce malheuK 6ï, adj. déf. et rel. V. Sa, Si, Su. SI, adv. (L) pour Ti. ajouté à un verbe, exprime l'idée de venir faire. Dèl, prendre, delsi, venir prendre. Il signifie aussi, surtout ajouté à un verbe qualificatif, devenir. Bah, être bon, hâhsi, devenir bon.. SI, adj. diminutif il se place avant le nom. Si ndoh, un peu d'eau, le peu d'eau. SIB, V. t. haïr, abhorrer, détester, exécrer. Mat à sib, détestable. Doy à sib, odieux. SI, vSIBÀT, SIBÈL aversion. et c'est la, ntibèl , SIBI suff. qui, ; boisso mil fermenté. V. t., abhorrer. b., homme qu'o dii exècre. Samâ mon ennemi. abliorre — je suis îivec s., -SIBIR, SÉYÀN, am haine, b., faite tion. femme lerie. — à. marié. i SIF c'est marié être . Digèn u Samba Yef — SIBAH m., hydromel, l'eau.. à la 398 ]., haine, sibt détesta rondier. Syn. Bon. adv. après-demain Sô votuvulé, eleg ak sibir, mi dapa la, si tu ne prends garde il te prendra un jour ou l'au tre. iSIBIRÂT, jours. après adv. Génav deu: sibirât, après troii jours. iSIBIRU, V. n. être intermit périodique. Syn. Bésu. d., intermittence, périodi tent, — cité. SIBIRULO, fièvre V. t. donner h i:o!er:j:î:il'f: rl'O. SIBLU, V. i. se faire haïr. Meà yerem, ndé mô di siblu bop'àni, il n'est pas digne de tul car pitié, il se fait haïr lui- même. SIBUTU b., sorte de migrairessent ne périodique qu'on surtout le malla et le soir. SIDIT, SÉDiT s., artère, veine. Sidit u buki, crampe. Syn. Op'um mbâm. SIDOR g., V. Ndumburhat. SiF, V. piter t., envahir, se préci- en foule sur un pays, un village. Syn. Ndangal. V. t. s'envahir SIFANÏÉ, mu- tuellement. Nâr i dekâ yilé sifanté nanu, ces deux villages se sont pillés l'un l'autre. renforceSIFÈT, terme de ment. Mariâma la Yalla sépi sifèt ti digèn yi, c'est Marie, oui,' — SÎF Marie que Dion c'est 39g choisie a femmes. SiFO, V. t. envahir h qui mieux mieux, se disputer au parmi les — SIM pu vous visiter. Lu mat a sikà^ digne de reproche. Syn. Némékii. — SiFSIF envahissement, h., brigandage. SIGÀ faute, tache, souillure. b., amul sènâ sikâ, on ne peut rien reprocher à cette Ndav pillage. silé fille. métier au poulie b., de tisserand. à SIKÈL b., celui qui reproche un autre de l'avoir offensé. SIGI, V. n. se redresser, Dér. de Sega. SIGIL, V. t. faire à quelqu'un compliments condodes de léance. Sigil sa bây, sa dôm, après la mort d'un père, d'un fils. Sigil sa gâl, après la perte d'un bateau. Au pl. Sigil lën, Baré'nga On répond gard l'y porte. Sunu i sikim lakando ncénu, nous sommes dans la même gêne, m. -à. -m. nos barbes ont été brûlées ensemble. (Prov. Vol.). SÏKÔR b., genette, mangouste. SIL V., (L) ami. Pièce d'or. lën, sën vala. Syn. Dâv. SÎGILÔ, F< r, sa vala, sigil sigil : V. t., faire se redre^relever la ête. faire S [H marabout b., SÎH, être n. V. jumeaux. (l^iix très versé pair, avoir coran. le (l;ins Dèmba femme Bik hier sîh, dèfâ çfahnr de ,Demba a soir eu SIKÉT SIKI, où SÎH, calmer. sîh, Bayi laisse-le sa colère " n. V. soit SÎHAL, î,er. V. Sihalal se t. sa la SLUMBAH, apai- apaise ta répugnance, antipathie. s., anguille, poisson. SIKÀ, être fâché contre, samauvais gré. Bul ma sika, dà ma la dotul on a sêtsi, ne veuille pas, je — de pois- n'ai pas v. q. aveugle. b., homme di aveugle. D. begâ? R. Nâr Qu'est-ce que l'aveude plus.^^ R. Deux yeux. (Enig. Vol.) Syn. Gumba. SILMAHALÔ, V. t. aveugler, rendre aveugle. SILMAHAY b., cécité, aveui D. bel. gle désire glement. SILO, SÎRO dèfà voir m'en SoUmbah. espèce Lu silmaha gen gnance. SiK être que ce défâcher, aversion, V. s., calebasse. SILMAHA, SILIMAHA, se mèr âm SIHLU, V. t. abhorrer, avoir en aversion, avoir de la répug., re- son. colère. — le — deux défâcher, mèr, dirige, se SILA b., espère de SIL AMI, V. Samar. i pair. ko bè jusqu'à calmée. Sèki. menton le SILINKA jumeau, b., bouc. b., y. SIKIM b., menton, barbe. Borom-sikim, homme barbu. Fu sikim dem, sënu a ko fâ yobu, jumeaux. — vous sikèl, plusieurs font des reproches. fiûl, iSÎM, v. sa t. s., couleur. Silô'm couleur est noire. tremper le cous- cous ou autre chose semblable. b., le couscous trempé. SÎMAL, V. t. tremper pour. — — SIM 3oo — SIS Nn SIP \e SIPÀKÀT b., acheteur de lait SIPAKU TI, v.n.,êire exempt iiga simal sa bây, irempe couscous pour ton père. SIMMJ, V. t., aller tremper. 8IMBAK g., arbre très vert ayant do grosses graines renfermées dans un fruit arrondi. SIMILÂ'K SÂLA, loc. adv. en un clin d'œil, aussitôt. Syn. Hcf ak hipi. SlAîPr, ver, V. arracher, t. enle- SlN, V. n. montrer les dents, les gencives. Au fig. (Mre espacé. .Sa sahèt vi sm nâ lôl, les bâtons de ton entourage sont trop espacés. Sa mhinda mi sln na, ton écriture est trop espacée. SIMKLU, V. Ténaklu. — dame du (L) s., dame. Sinâra pays, jeune su ndav, çfcgcn, lézard. b., yahé ndohin, où là le Fii çjarap lézard se du dindon sauvage, que^ un arbre à côté. SINDONÉ 1., sin- ja a il moy a (Prov. Yol.) sud partie de Saint-Louis (Sénégal.) SING g., bel arbre remarquable pas ses tjranches réunies j'î-e forme de en SINGAL (An) aissante. V. couvrir en aissantes. t. Singcdal l'èn ma sumâ ker, cou- — b., ma maison en vrez 8I\GS1NG b., aissantes. tamis vieux et biche rouge à cornes pointues et jolies. V., lisses, SlNl du allé acheter du b., homme du Kayor ou Baol. SINISINI g., vernonia à odeur SIPÂ, b., y. habitant du Sine. acheter du lait. t., ? lait.^ retirer, t. ôter, sé questrer. SIPONû b., espèce de poisson SIPTAHU, V. n. falsifier, frau der les au jeu. — tromper marchandises, tricherie, b., SfPTAIÏTKAT b., fraude. tricheur. SIPU, V. p. vendre du Sipu lia, j'ai vendu mon SIRABANKANA, grand (]., ' SIRALANKA pont sur s., mahométans les lait lait fusil. SERÂT iSIRÂT, lequel préten- que les lunimes devront passer pour aller au ciel. dent SÎRÔ, V. Silo. SIRÔ grimoire, V., sorcelleries des livre de marabouts. Syn Dabarân. SÎRU chat sauvage. s., V. rire t. misanthrope, uiaUeillant, i]isocial3i€, regar- der quelqu'iiii de mauvais œil. Dèf ma .si^, il ne peut pas me souffrir — avec lui. b., insociabilité, b., SÎ'SAL, tendon du V. t. antipathie. |)ied. agacer, exciter un chien contre quelqu'un. SISAÏÉ, V. t. ôtre égoïste l'égard de tout le monde. — à égoïsme. b., misanthrope. ,SISL0, V. t. rendre quelqu'un b., SISKÀT agréable. SINSIN v. sôu êtr n., acheter di n 'es-tu pa aller n. V. Slpin-la Sis gâté. — SIPI, lait. SÎS, parasol. cancre, crevett« b., SIPASIPARAL, v. complètement ivre. NA demoiselle. SINDAH dali SIPÂSIPA ^'enivrer. V., écrevisse SÏPJ, d<'p!;niter. SINÂRA (né) loc. mavleillant. — SÎT ^\\\ tombor n. V. suinter, >i\)nlto, 3bi — déiîout.t'er petit SÔbal jnalo nii li ntiti li, mets le riz dans la marmite. égoutter, faire et les se les mer. à fçoutle SÔBANTÉ, i>etit. . SITAL, V. t^ loinber «goutte à SITÂTU, de resle-s froiitte. chercher honte! Te pour V. l. boire. SITIKONG y- [nant des SIV, . ranga gu V. nànu S}al honneur t. célébrer blier, rltina tireur public. divulguer, pu- quelqu'un. Si- a Inn^ î/t/u ^-^' haré ba, on pieux con- public, publiquement. Té- siv, sivAL, : um — \'-a- qui a l)i(^ss' e Sô, contr. pour su nga. Sô ahé, niï dam la, si tu parles, n te blesserrt. SO, V. n. -0 ouclier en pari\n\ du solei!. Bu çlania ha soé, coucher du le SOB, très 'îrl^re g., élevé à corce feadilléc, { raniciux très 3ngs et port.iut des fruits jaules ressemblant à des prunes, lyn. Ninkon. Sob iig nat, plante i'à fruits nombreux, rougeâtres SOB, |rogant, 1 V. q. être remuant, désobéissant, ar- irrespec- Halèl bu sob kèn begu |./co, un enfant désol)éissant, per/•sonne ne le veut, r SÔB, V. n. ne s'emploie qu'a^^iueux. llée Y alla. •s'il plaît "^i Dieu SOB, wwo Ndèm s<V) à Dieu. S;; le V. cltos-T' na Y alla, Y alla, sôbé, veut. t. Jeter i.ins ou mettre un contenant. impudicîté, parole dés- ou action ciboule. SOBOR Syn. étrivière. s., Dèné. SOBTË me — b., dans ondée. se jeter soi-mê- réf. V. mer. la action de se jeter à la b., mer. SOP, V. — n. enrhumé. être m., rhume, catarrhe. Sod bakan, rhume de cerveau. Il SODLO, lav so!oi]. Nhèl — ion, célébration. près impureté, b., SOBU, divulga- immonde, être q., immondices, dépôt y., d'immondices. SOBLf] s., oignon, échalote hh lo c;']t'>hi-'' publication, 1)., V. impudique, vil. sobé, esprit impur. honnête. roi à la guerre. — b., jette ordiîTe, être q., siv, se jeter l'un t. impur, grisgris ronfeî-- b., poils. V. Bu hu. — SOBl^"!, SITI s., (]., espèce de maladie .vénérienne. V. dans la mer. jeu dans k'quel on mutuellement dnns la l'autre qui le ma t. insipide, c'est ce Y. Soroh, q. le fade, ]\gé- vent fastidieux, ennuyeux. Dcn vilê sôf poisson est fade. gcvèl bi sôf na du enrhumer. sodlô, m'a enrhumé. SODOH, 80 F, V. na, V. griot ma loi, m'ennuie Suma yaram dPja T'ov le i cliant beaucoup. sôf fcy, je indisposé aujourd'hui. 80F, V. t. joindre, unir, mor- suis taiser. SÔF AL, V. t. rendre ennuyeux. Dèfâ sôf al sunu mbôtay, il rend notre société ennuyeuse. SOFALÉ, faire V. souder. t. faire joindre, — SOF SOFAN, SOFANÉ, vailler v. tra- t., d'une paille la son 3o2 am, ton frère façon versation. répu- sil particulière. SÔ'FAY iSOHI, fadeur, b., gnance. en -soi quelque chose qui ennuie les autres, caqueter, être ennuyeux, V. ennui, caquet. Sa sôflé ma, ton caquet m'en- g., safa nuie. gi V. incommoder, t. sumà gêner. Sèdâ bi déjà sôflô froid le se Y. c. mencer m'incommode. mettre à., com- Lèkal dëg, sog à dèm., mange d'abord et ne pars qu'après. Mangi sog a nev, je chargé.^* — Soh — v. feu. charger une arme à charger un fusil. t. jétal, charge. Soh u dôm, coup de de poudre, fusil. Nâkà là soh hà dlp, nit nâ tas, dès que le coup de b., charge fut parti, hommes les se SÔH, Y. être boiteux, boi- q. b., action de boiter, clau- SOHA, Y. t. ôter le son, première battre piler le grain, le mil pour m'importe.^ l'intéresse. Sohal resse. nâ ko, je d'aller — Corée. à besoin, s., affaire, amnl Halèd faire. néces- homme Borom-sohla, sohla, d'af- un enfant n'a pas d'affaires. Sohla su amul bopâ, caprice. Lôlu du jad sohla, cela est peu de chose. 80HLË, je rà, \. avoir des affai- t. Sohléu-ma da- des besoins. res, besoin n'ai SÔBLÔ, de rien. rendre boîte r, faire boiteux. , SAHMAT SOMMAT, de cuisine. s., sel Horom. Syn. SOMMAT U GÊT, liane qui aux buissons en pro- s'enlace duisant des baies rouges à la maturité. Il est difficile d'en trouver la racine et le bout, d'où son autre nom de k'amul hopà (qui n'a pas de SOHNA tête, de femme de marasalam avec lui. SOHÔNU, v. réf. se coucher ou se courber, la tête appuyée sur s., fait le coude. le SOHOR, V. être q. méchant, dur, inhumain, brucruel, tyrannique, féroce, y. tal, rude, bènà Sohor sohor méchanceté vaut mé- t. avoir quelque chose qui intéSa rakâ sohlé na ti bât — sévère. très là, chanceté. Syn. Begal. SOHALÉ, SOHLÉ, soi . t. mauvais, fois. SOHAL, v. t., intéresser, importer. Lu ma {a sohal ? que en 1; boiteux. b., V. bout, qui clocher. dication. la ' fu bout.) dispersèrent. — ou en retirant avoir besoin. L( sohla? De quoi as-tu besoin! Sohla nâ dèm Bër, j'ai besoir à. viens d'arriver. (SOH, V. n. être chargé en parlant d'armes à feu. Mhar sa fusil est-il jetai soh nà? ton ter, iSOHLA, sité. SÔFiLÔ, fusil un <léch.irger t. SOHKÀT avoir l. insipide. yaram, SOG, V. tirant, cl large. SÔFLË, — en par sa con })laji b., Vol.) (Prov. homme SOHORË, V. avec quelqu'un. méchant, cruel. t. être Lu méchant nga di tah 1 I 1 1 — SOH im 111 pourquoi es-tu solwré? mo a v ec ce h a n t SOHSOH i manche à :ourt. 60H,S0H0R b., châtaigne de mer. SOHSOHORTU, [les v. cueillir t. châtaignes dé nier. verser dnns un conouverture étroite, se revêtir, porter, mettre sur soi. Solal nah ti sâka bi, mets de la paille dans 1© sac. Sol bifi, met- 80L, V. tenant tre t. à du en vin — mouclieron est entré dans Syn. Duga. Soi bouteille»^. SOMONDAY, SAMANDAY, v. sembler être. Dâ nga ma samanday bûr Brahna, tu me n. i semblés être iSOMP i i nopâ, remplir ^OLAL, monde. SOMPÂÏ quelqu'un d'un habit, ou remplir quelque chose pour quelqu'un. V. 'SOLÀM t. chaume, au ressemblant paille . , n. V. s., jouer de charge, (L) la flûte. fonction, nouvelle, objet. Darc'solo, qui se môle de tout. Borom solo, aventurier. Ka fi indi solo silé ? qui a apporté ici cette Naka solo, manquer d'énergie et de vie. Solo'yonet, fonction de proiphète. Solo's mbegèl, objet de [prophétie, la volonté. ^OLOM <fenâ, s., tuyau. g., noirs, réf. aller soi-même V. t., mettre une autour se de verroterie reins. V. n., être jaunâtre. m., (L) pélican. b., arbre et fruit g., du pays. Syn. Hel. SONÀ. V. t., souffrir, endurer, patir, être infortuné. SON SON SONÀ, V. Solom u arbre à fruits arveloutés, remplis d'une pulpe acidulée. SOLU, V. p. être entré dedans. Vèn solu na ti samà nopa, un briser tis^onner, t. qui est à demi brûlé pour activer le feu. Sonal mata mi ce ti safara si, brise demi brûlées. SONA, V. t. coups les (L) bûches a donner des cjuelqu'un. à SOXAL, SONALÉ, v. t. faire tourmenter, persécuter- souffrir, tuyau d'une pipe. iSOLOM ronis, SOMU, ceinture hom- me nouvelle.^ espèce de o*rpe. V., SÔN, e>phce de flûte. >0LO V. dehors. des chanvre. SOLAY g. Y. Felerlay. SOLIMBAH, SILIMBAH, — — vSQMU, revêtir b., des Braknas. verrue. prise. pilier. b., b., le roi SOMPÀ, v. t. estimer peu. SOMPAL, V. t. donner une les oreilles, c'est-à-dire surexciter le SOL mon SOLUKAY b., entonnoir. iSOM, V. Gamba. 80MÀ g., filière de verroterie autour des reins. SOMÂ, V. t. frapper, donner la verge à un enfant, chasser. Somâ nâ ko, je l'ai frappé. Somà ko, pousse- le dehors. mbahané, kavas, dâru, mettre un bonnet, des bas, un anneau. Sol SON oreille. ? ilèr b., si 3o3 molester, affliger, peiner, vexer. se mortifier. Sonalé nga, tu es ennuyeux. Sonal yaram, — . qu'un. V. t. nal, c'est je souffrir Suma i pour quel- dôm lâ di sô- pour mes enfants que travaille. — SON SONALANDO, v. faire souf- t. même temps. SONALAMË, ^. t., en frir se faire niutuellement. souffrir SO^AI.KÂT bourreau. SONpÂiN, V. t. couHuencer à une cîiose neuve. Sofidân gâl, commencer tôl, im à consdéfricher un navire, champ. — b., en friche qu'on terre- commence SONÉ, défricher. à V. abandonner une t. entreprise. attaquer, assails'élancer sur, tomber sur V. t. quelqu'un. Gaèndé gà songà nâ reba ha, le lion sauta sur le chasseur. — assaut. 80!\GÂT, agresseur, as- b., V. t. attaquer à plu- sieurs reprises. attaque b., lépétée, fré- SGXGAY b., paquet de pade calebasses ou d'autres objets semblables placés les uns dans les autres. niers, SONGÔ, SONGANTÉ, v. t., s'at- taquer mutuellement. iVdr i herékàt yâ songô nâfiu, népà di Un sêtan, les deux lutteurs sautèrent l'un sur l'autre, et tous les regardèrent. b., attaque mutuelle. SOXGON (dë expression ) très forte pour désigner la — — mort personnifiée. 'SONGUF, SUNGUF Songuf-hir, SONKÀ II tireboi (L) b., SONU, s'uccoud^ réf. V. SOP g., Y. Sob g. SOP A, V. t. aimer, b,, affectior Sopa bûr âyul, vandé bù bii la sop'd ko gen, aimer roi n'est pas mauvais, mai être aimé du roi vaut encor mieux (Prov. Yol.) Sopà dm ner. 1 ga, être studieux. aimer jnbèh, Ku nu Sopâ aimé. les sopc banèh o plaisirs, êti SUPALI, SI sensuel. SOPALl, Pf, \. SOPI, clianger, t., retourner, \arier, Sopalil tourne tes ch.ange ta transfoi virei kavas, sa r€ bas. Sopalil sa çlikc conduiie. SOPALl AMÉ, V. réc, intei échanger. Nâ nu sopo Uauté sunibô'k dugup, échan geons (lu tabac contre du mi) vertir, quente. Ët SONKAY travestir. saillant. guinée. 1 mer, attaque, })., SONGAKÀT — S0^KAPÉRI s., poche sur devant des mbubà. Syn. Dibi cher, SONGÀ, lir, SOP étant couché. faire truire — chon. persrcutour, 1)., 3o/i jonc, s., w de tœnia. chalumeau. sonka, canne en jonc. SOPALIKU, ger, tir, SUPA SOPIKU, LIKU, SUPIKU, réf. V. se chan se transformer, se conver déguiser, -se muer, pâlir changeant sopaliku nâ i gu inconstant, être Pend'i sûf si nûj- ak i vèn, la poussière sh transforma en insectes et ei mouches. Dèfâ sopaliku nik kakalar, caméléon. tourne- toi il change SOPÀLÔ, V. SOPANDIKU, cer par trafiquer. ku, de le comme man fi \< Sopalikul vers moi. t., faire V. n., échange, aimer commer brocanter Ndobôt dèfâ sopandii chef de famille s'occupa Dâyntu Syn. commerce. . W — SOP — Duîiitu. ox^nimerce, b., 3o5 né- — SOS SORÉYÂLl^., loin. Sa SOPANDIKUKÀT mar- b., commerçant. di »nd, SOPANDO, .V. aimer en- t., .stMiible. SOPANTÉ, V. t., s'entr'aiyà ngën sopanté, aimez- mer, vous uns les SOPÈL amitié, af- SOPI, SOPIKU, Sopaliku. V. Sopali, SOPIS b., rétention d'urine, v. n., soufmal de gravelle. — de frir pierre. la SOPIÏÉ, SUPIÏÉ change- b., paraître, n/rèr du ko se ensevelir l'empêche pas de térê sôr, ne trnbre de et ('lever peu à montrer. Sûl s'élever n., V. jKui. - Tahah paraître. mi, her bu sèt là sôr, la bâtisse s'élève tous les jours. Van ga'ngê sôr bu gâv, la fourmi0 r e s é 1 è \e rapide me n t ' I i SOR SOR (F) V., bande d'étoffe fabri- pays. le SORÂS SORANS, sœur. religieuse, b., quée dans < b., (F) V., strophantus à longues et pendantes et beaucoup de fleurs blanches en cyme d'un bel effet. jusses SORÉY, SORÉ, éloigné, loin, d'un parlant réy, loin. loin. nâ toi. Fu la, de l'un — V. écarté, n., être long en Bu chemin. so- Bu soréy-à-soréy, très soréy, au loin. Soréy je me b., éloignement. iSORËYAL, éloigné suis V. Soréy alal vadan cette jument. t., vi, de éloigner. éloigne ak JSdar l'autre. Syn. Soréyô. l'autre. longueur du b., chemin, distance. V. éloU faire t., gner quelqu'un. Soréylô nga ko ? l 'as-tu fait s'éloigner ? iSORÉYÔ, V. réc, être dis^ tant l'un réyâté. — de l'autre. Soréy ut é b., Syn. Sodistance mutuelle. 1er de n., v. ava- travers. iSORSOR g., palme, branche de palmier nain. SOS, V. t., commencer, fon-t produire, introder, former, duire, créer, ner. Ku s os peupler, occasionsën gétà ? qui a commencé Sos yô?i religion troupeau votre kértèn, introduire des chrétiens. A y i ya ko sos, c'est ce malheur. — n'est pas, P la vi, qui a causé Dire ce qui toi inventer. tod 7iâinu Sin ce qui a inventé par Sine est détruit ? sos né range. SORAT _ tant Bër soréâté nànu. S. Louis et Gorée sont éloignés l'un de SOROH, SODOH, ment. SÔR, nà^ champ est un peu loin. SORÉYÂTÉ, V. réc. être dis-, SORËYLO, amour. lion, t ami, b., n., toi ton SORf:YÀ\ autres. les un être soréyâlé V. peu — — Kan ? a qui fi est- ici que v., inven- le calomnier. b., pure incalomnie. SOS, V, t., tremper, mettre dans un liquide. Syn. Hôp. rSOSAL, V. t., calomnier, inventer contre quelqu'un. Bu lën sosal sën morom, ne calomniez pas votre prochain. de calomnier, caaction b., lomnie. SOSUT.f], SÔSÂLli, dér. de Sa, Si, Su. ter, vention, — • — SOS SOSALKÂT b., calomniateur. SOSKÀT b., auteur, inventeur de faussetés. SOSÔ — mile p., être Gélvars «ont originaires du Gabu. b., formation, conception. Sosu'Dangu hà, l'origine de l'Eglise. Sosu'm Hêk bu sèlâ bâ sèt nà ti bakar bu mu men à don, la conception de la Sainte Vierge est pure do tout péché. les «ô, SÛT — saumon. V., SOT, prendre parti tx)ntre quelqu'un. Sot nà ma, il a pris parti contre moi. l'action de prendre parti 1., contre quelqu'un. SOTÀ, Loc. super. Rav nà sot, s'est évadé prestement. il V. t. — SOTÂ, polir, t., dérouil- nettoyer, rincer. fourbir un fusil. Sonêg, nettoyer une maison. b., nettoyage, polissage. Sotà 4ià ' v. fourbir, ler, — fétèt, SOTAL, de ti kô'm ? v. t., prendre le parquelqu'un. Sotal nga as-tu pris son parti ? SOTAL SOTALI, terminer, v. achever, t., finir, accomplir, Bè sotal, entièrement, complètement. Bindà nô bè •cesser. copie kait, SOTANDIKUKÀT SOTÊNGUL (soti, course commencé, formé, créé. Bâ adunà sosôngulé, avant l'origine du monde. Gèlvar yà, Gahu ta na soV. bènèn ti cet — dans un autre cahier. copie, action de copier. écrit militaire. SOSU, SOT b., exercice, b., 3o6 copiste. b., v angul), pas encore fini. Lef li sotêngul, on n'a pas encore dit n., dernier mot. le SOTÈT petite SOTÈNTA b., (L) Sotèt sauterelle. b., nak, i poireau, \errue. Sotèt u Kayor. Y. Kayor. SOTI, compli, SUTI, An fini. fini, ac- consommé, diner est le ou bien on prêt, Mesu-mâ de dîner. fini être q., bi sati nà, est il V. parfait, gis a lu sutê niki sa èt, je n'ai jamais rien vu d'aussi parfait que ta canne. Nit ku suti, homme Saysay parfait. bu vau- snti, achevé. rien SOTI, V. désem- dévider, t., entonner, vider. Sotil ndoh mi ti gutà bi, vergargouse cette eau dans la verser, plir, lette. SOTIKAY SOTIT b., dévidoir. rinçure, b., polissure, fourbissure. SOTITÉ, SUTITÉ, TË NTUTI- b., perfection. 1., SOTLÉ, V. t., avoir quel- qu'un qui prend votre parti. Sohlau-ma ku ma sotlé, je n'ai pas besoin qu'on prenne mon parti. SOTÔ, éduquer. Mâ ko sotal, c'est rnoi qui l'ai élevé. SOTAL, v. t., prendre un peenfant entre tit les Jambes réunir pluIcn ko sotô, mettons-nous contre hii. SOTO g., ficus dont les fruits viennent en grappes sur la pour tige. sotal, j'ai fini d'écrire. Ele- ver, qu'il fasse ses besoins na- turels. SOTANDIKU, ser, copie.''. v. t., transva- Sotandikul ni})indà sieurs V. n., contre se un. Nàn SOLOKU, V. Sotoloti. SOTOT, V. n., avoir mangeaisons dans les des dé- gencives. — SOI SOTOKU, SOTOTOÏI, \. 3o7 — SCF SUBA ii., matin. Suba tel, se répandre, couler de tous côtés. Ndoh mil baréy o/i nâ haréy bon matin. hè di \sototoii vèt gu nè/ca, l'eau très al)ondante et coulait éî.iit <N' lous côtés. }ÎUN, SUBONU s., abomination, désolation. Subohun ma la malédiction Subâna kâr Subohun hudosun Hélas abomination de la désolation, SUBI, V. t. déteindre. >L)TU, — dents. frotte V. on curer n., se du sôtu, Halèt so ! SUBIKU, le^ l'enfant SÛBIN SOYU SOV, V. SOBUKAY SUDÉ, charger une bo- t., grande bine. SOV ni., mu Sôv lait. vay, SÔV, V. du faire n., brail- SOVïAN, V. t., huer, faire charivari. Dé iïii ko sôvtân bè ma deka diiv de tels le village. bà, on lui charivaris qu'il -SOVU 1. ouest. SOVUKAY b., dévidoir. 80Y b., (F) soie. SU, adj. dul nônâ, tu fais ne doit pas être. — b., 80b, b., ture. (L) V. rel. ko Si, ham on, action comme t., de Sudi — de l'herbe, râteau. b., n., V. se prosterner se dit lézards qui baissent ; tête. la — , m, g., action de se pencher en avant, courber. se SÛF terre, sable, domais., ne le bas, le dessous, le fond. sourdeTa sûj, sous, dessous ment, en secret. Lilé sumâ sûf mu cela i ceci est lal colorer. tein- mon Tâ sûf Bûr bâ ko terrain. bâ, sous le lit. le roi l'a- tué en Dal u sûf, butte. Nèkâ ti sûf u nit, dépendre de quelqu'un. Su sûf sédé, quand la rèylu la sûf, secret. terre sera refroidie, c'est-à-dire, minuit. StlFÉ, teindre, râteler. râteler se des relèvent vers teindre, parer ; Sa, Nàkâ su attirer, SUPÔTU, aussi et pieu. t., t., ; gen di jarlô, nâ la gen di hamé, plus il s'applique, plus il s'instruit. Yangê dèf nàkâ su SU V. gatah, courber, la, ma su. l'avais je et déf. Su. SU, conj. Su b., v. SUPÔT, fait a quitté a en paré avec reélégance dans élégance. nâh, de Y. Sou, b., teinturerie. des pieds de mil. tapageur. lard, si — vSUDÏ, criard, b., tein^ habits. avec ter. SOVKÀT de être élégant, q. tenue, SUDÈL, bruit, tempê- huer, bavarder, détoin-. teinturier. b., V. cherche. le? caillé. crier, se manière b., fSCîBK.AT b., couchant. b., Harfu. S\n. réf. V. dre. dre. cure-dents. b., l' ! pas curer les dents. sOTUTvAY SOU, les dents. les se doit iK' fi'otter dont ce b., SOTU, <]<i;ts. se réf. V. SOBAHÂNA, SUBÂNA, SUBO. mé, la bât V. q., abaissé. case est bu sûfé, être bas, Nêg bi sûfé très basse. dépri- nâ loi, Vah tî parler à voix bas« — SÛF — se abaissement. b., SÛFÉAY NTÛFÉAY b., ubaissement, Syn. position i.. basse et humble. iSyn. Sûfé. SCFEL, v. t., baisser, abais- déprimer, lutnii- rabaisser, ser, nu b., Nân ravaler. lier, — SU m, V. t., plumer, déplumer, épiler. Syn, Vèf. ISUHIKU, Y. réf. et p. se déplumer, muer, être plumé. de tën sûfel su- rabaisser, à SÛFËLU, V. — s'abaisser. celui b., qui ai- humilier. s'humilier réf. L. ntuféla g., à humilité. faire SUH temps cavité dans un arconserve l'eau longaprès les pluies. Syn. Lem. SÛH, V. arroser Ver arroser, verser sur une chose. Sûh -î'eau un un jardin. cheval. — Sûh b., lo foL fas, SÛH g., chair sans os, gras de la nuis- cuisse. SÛH, V. t., sombrer, faire 'ennaufrage, couler h fond, foncer. Gâl âm sùJi lia, son teau sombré. T er va sûh fin, lune s'est couchée. la naufrage. SÛH AL, Y. t., submerger, faire sombrer. ST." H ALT, repêcher, reV. t., lire]- un navire qui a sornl^ré. S\n. SuJii. StlLlT, v. arroser t., de SUHÈT, SUHI, leau qui ^nhaii. V. V. a t. t., fait (L:^ iJéphvnter. retirer uxi ]>;i- naufrage. Sy?i. s'agenouiller, n., révé- la . s'ap- réf. Y. qu'un de la foule, le prendre à part. SUKÔTU, Y. n-, tnnrcher avec des béquilles, en bâton. s 'appuyant sur un SUKÔTU béquilles, b., bfdon de voyage. SUKU, V. t., pousser une embarcation avec une perche. perche pour pousser une b., — embarcation. SUKU' b., du leYier métier de tisserand. — nouveau. mens- flueurs, 8UKÀSL'T^Ë, V. n. bronclier. iSlIKAY b., génuflexion. SUKI, Y. t., retirer quel- is i arrosoir. b., SUKÀMMKU, I.i- arro.>e- liient. cle, V. SUKOT, t., coucher puyer des mains pour se lever. SIJKÀR s., b., (F) sucre. b., qui le génuflexion, la rence. rendre V. t., ,SÛFÊLULÔ, humble, donner de rhumilit'^ bre, s'accouder. YI, trues. SUKÀ, SûFÈLKÀT réf. lune. la SÛHUKAY SUK s., — <]t- Y. SUHTÉ VÊR pression. me SOL SUHÔNU, bumilions-nous. L, abaissement, hopa, niûjèl 3o8 SUKU re les daîa v., courroie bà, SUKUK, négligé, cartilage qui deux narines. v. q., des SUKURÂT, b., Y. Syn. Harharlé. souliers. être pouilleux, malpropre, 8UKUKAY sépa- Suku'b sale. prie-Dieu. n., — s., agoniser. agonie. SûL, Y. t., enterrer, inhumer, couvrir de terre, remplir de terre. Sûl pah, comliler un b., funétrou. Syn. Rob. sépulture, inhumation. railles, — — SlîL -àchelte -IL AB Fr;r\L, d'un iïisil. SCLI, a. t., déterrer, exhumer. Dugup dâ nu di H betek, su gudê, dinah y à flev, sûli ko, ièka, le mil que nous avons semé le jour, déterrent et le nuit, la exhumation, 1)., — réf. V. et déterrer de soi-même, découvert. Gèrté gi sûlàku se p. •être nâ yépâ, ndégé tav bi, les pistaches sont toutes découvertes à cause de la pluie. SCLIN V., manière d'enter- ignorant monde. morgue. — Ak StjLU, V. et p. couTà- se réf. être couvert de terre. vrir, bi di défa rot, sûlu, tombée, — sable. est le de se cou- action b., c!ei dans la perdue s'est mal mienne, la SUMBÀ, V. SUMBU b., t., SUNASUNAL SUNDUN, — animaux. iSUNÈL V. chausser, t., ôter réf. ses et ha- de 5 à 6 haut, à branches longues couvertes de certes épines vertes. Les fruits ressemblent un peu extérieure- ment à SÛNÀ SUM, ' de la s., datte. petit mil hatif. Y. Sonâ. SCNARI, lent, plein V. q., être ruche b., d'abeil- Syn. Sugâ. SUNGUF, V. Songuf. SUNGUF en farine, s., poudre, consistant farine ou de gris-gris de sachets poussière. SUNKÀ parfum. b., ISUNSUN s., espèce de pois- son. Sunu bos, notre. SUNU, p. SUPË b., sunu. chiffon. Syn Sa- SUPI, inso- de morgue, mal éle- SUPALI, Y. Sopi, So- paliku. SUPIKU, Y. Sopiku. SUPITÉ, Y,. Sopité. SÛR, V. n., être dé- 'se mètres de t., b., b., SUNGÂR décoiffer. découvrir. SUMiPÀ g., arbre les muselière. hérisson. Dér. V. gar. déshabiller, déshabiller, se bits, v., loc. morgue. museler les. le commencer. Mêh sum- v. (né) SU.NU, adj. pos. notre. notre maison. Sunu tabac. SUMIKU, SUMÀKU, in- S u n à. bu, chiquer du tabac. SUMI, homme b., tâh, mien. le insolem- élevé. avoir beaucoup de SUMÀ, adj. poss. mon, ma. Su ma ker, ma maison. Sumà gos, insolence, g., sunari, SUNARIKÂT solent, vrir de terre. (StjLUKAY b., cimetière. SUM b., homard. du usages des b., ment. poussière,' rer. p. SCR vé, déterrement. SCLÀKU, .StjLIKU, — rats les mangent. le 3o() rassasié, faim, avoir de l'embonpoint, gros gras. et rêr. D. Nègal R. Sûr nâ. D. Attends le souper. R. Je n'ai pas faim. Sûr kelà, être n'avoir très pas rassasié.' — Au fig. fier, hautain, avoir l'air de se suffire à soi-même. — b., rassa- siement, embonpoint. SÛR, V. t. odorer, parfumer, faire transpirer quelqu'un, donner un bain de vapeur. Dâ ma begà iùl sajara, sûr sumà — SCR nêg, je du feu et Na nga sûr métit bop'àm faire vais parfumer ma Dèrrïha ndah dèn, case. i transpirer fais Demba que sa fièvre disparaisse. SCRADI, V. n., n'être pas afin ne pouvoir pas rassasié, se ras- rassasier, en- sasier. SCRAL, V. t., graisser. SCUAY teur, embonpoint, hauSa sûray bi, bu !)., fierté. :uo — — peur. b., couscous cuit à 1» vapeur, encore chaud. SÛSAL, v. t., cuire ?i la vapeur en parlant de couscous. SUT, V. t dépasser, excéder, surpasser, être plus grand, plus haut, plus long que. Ku la sut nga né ko : ndôl miy c'est h celui qui est plus long , toi lépa, Syn. SURGAU, V. être sous n., la dépendance de quelqu'un, être en service. SURGAUÂN, V. n., servir par SCRU, réf., V. se faire trans- soi-même, un prendre de vapeur. SnUU g., arbre à bois dur, à tronc très droit ; on en mange les feuilles dans le couscous. vSURUH, s'échapper V. ou tomber n., travers des trous, des fentes. Otul â suruh pah tomber à mi, prends garde dans ]e trou. SURUHAL, ber, tromper, vais de Lu tout. n'être pas t., dépasser l'un Sa i dôm sutanté nàenfants n'ont pas la nivenu l'autre. nu^ tes même V. se taille. SUTÂTÉ, Nev géant. Géti. SUTANTÉ, de : l'en se mesurer. venez vous me- V. t., sutûlé, conseil, tomber dans SURUR SUS s., SÛS, V. g., de ti t., fnire tomdonner un mau- V. chercher mal. à faire bonheur, respect, égard, Naka^sutura gâ,, malhonnêteté, impertinence. iSUTURAL, v. t., faire vivre honnêtement. A mu -m a lu ma rité, V. suturalé sumà ndobot, je n'ai pas de quoi procurer à ma famille une existence convenable. SUTURLU, Mpennh. va- heu- Am quoi vivre sans travailler. SUY, v. t., disséminer, semer, asperger. SUYSUY, plui« fine v. n., par- se dit d'une tombe douce^ qui ment. V. t., saupou- nar répandre. Suysuyalal gagrains yi, répands des pour les drer, la être n., V. reux, fortuné, vivre à son aise. nâ lu ma suturlô, j'ai de SUYSUYAL, le cravan. êtr# cuit n., SUTI, SUTAL, V. Soti, SotaL SUTITÉ, V. Sotité. (SUTURA s., fortune, prospébienséance. éUïi. b?.:n tu dis au-dessus surer. sujets. pirer que que sut ma ko yobé, n'apporte pas ta avec dans les rapports fierté moi. vSURGÀ b., suj-et, celui qui est dans la dépendance, soumis une autorité, subordonné. à Baré siirgà, avoir beaucoup de SUT poules. f I? f T T. dix-neuvième lettre de l'alphabet Yolof, se prononce, cornm© la al. en français, soit avant soit après une vovelle : TAB L T, y. TÂ, final mu Ndoh pir, pour le Saloum. une eau ta, un Dé ma tâh furoncle. kà, un abcès au j'ai sta- abcès, ti pied. tan- — furoncle, dépôt, tumeur. Tâb gii nor, abcès mûr. Tâh l)u te à vér, abcès qui est g., abcès, lir en construire, bâ- t., maçonner, maçonnerie, Gévèl bi tabah nâ ndâ lu rafèt, le Griot a fait un beau vase. Mah ya'ngé tabahat li ngën dânal on, les fourmis reconstruisent ce que m., consvous avez détruit. faire de la poterie. — truction, métier de poterie, hah u mur, bâtisse, feuille kait, Tabah \mà ditu, TABAH AY le de fondement. de bâ- b., maçon, po- b., chantier de construction. TABAL g., TABAL, V. V. Dalkané. t., le descendre quel- nomme figu- la qu'avec des roi serpents. NTABANG arbre touffu, ses à larges ?i remplies g., feuillage très gous- feuilles, d'une pulpe su- crée. TABAS, ler. v. t., mê- brouiller, Syn. Dahas. TABASKÏ, d, un des mois de mahométane, fête de l'année v. n. célébrer cette ce mois. — qu'on tabaskê tier. TABAHUKAY On peine. veni- lézard v., qui s'accroche à re et qu'on n'arrache Tapapier. tir. TABAHKÂT TABANDOR fête action b., pourguère ou meux édifice, potier. fontaine. la g., pignon d'Inde. grand cercueil. tên ti dans sceau le tomber. Tababi, descends faire TABANG, lent à se guérir. TAB A b., TABAH, V. que chose, lal bâg bi TA^ANANI gnante, dormante. TÂB, V. n., avoir un crou- n. être stagnant, v. ? , nomme Où tabaski. Fô le ta- as-tu fait baski. TABI, v. n., tomber dans un une embûche, entrer, venir de soi-même. Ku la ébat nga tabi ti suma nêg ? qui t'a dit d'entrer chez moi ^ Lef tabi nâ ti suma nhèl, une chob. se m'est venue à l'esprit. action de tomber, chute, en- trou, — trée. Tabi'vâ dilé ti sunu di- . ganté 71 êhu me TAFÉ, V. t., réunir plusieurs ensemble pour les trans- nui, la venue de au milieu de nous cet individu objets déplaît. on, yobu, TÂ'P, (F) V. TAFÉ poser, placer, T afcr, — vière. V. , bière, litière, g., mettre t., qu'un sur une nouvelle TAFU, tenir coller TAG, contre, bouclier de petits trous, crocher appliquer, lambrisser, Taf tapisser. nêg bir ti nctnu bi f rîe. liane g., à fibres dont on entoure les être t., TÂFANTU, V. ? qui ;.o]e la V. porter prétexte, t., / âr, tafâr, à eï /;e Dieu loin de moi ! Y. D. Tag'i mbélâr, t., sa sapo mis t'a le ? — v. faire- cha- le ? Ku qui est-ce sur action de por- d., n., t., chapeau le b., v. l'oreille. chapeau sur — du té Qu'est-ce se perche pas ? b., action de se- nid. g., tagalal danse. l'oreille. espèce danser le de ta- galang. ASTAFARLAV, m'en — TAGALANG malheur. dangereux. Ak ta- d a n ge re use me n t interj. Ngélav. cette à nâv di porter l'oreille danger, ÏAFARLAV, accroché un nid. TAGAL, ter 1., ses percher, s'ac- se — qui fournir s'excuser. T\FÂR couvrir peau de côté sur ex- un autre bouchon. nid d'hirondelle. la TÂFANTULÔ, Baré H. t(uj percher. prétexte. cuse, un b., coller, :ie b., Lu D. gre- s'excuser, n., prétexter. — g., resté R. Le vent. décharge de. alléguer, lambris. collé, n., très à la linge pour counudités. TÂGA v. saluer pr., V. v. est li niers. ÏAFANTAL, à Tufli. — branche. — TAF salut aux branches. Buy bi ma dog tag nà ti banhas bâlé, le pain de singe que j'ai cueil- bépâ, on a tapissé tout l'intérieur de la chambre. Taf ti sa loho, mets ta main contre. action b., (]o î)oucher, de coller. kait nou- l'aperçoit. t., 1)., contre. nudités. vrir ses pa- resseux. t., V. êhe TAFU, V. aprèsla lu:ae. TAFTAF resse. homme à lune, vi, TAFLI. \. — TAF, ver ê, ïAFÈRU, quel- litière. b., salut toi. ci- rÂDUKAY b., socle, ce sur quoi un objet est posé. TAP.L, TAYÀL, V. q.. être paresseux, nonchalent. g., paTAËLKAT a les retord. interj. une longue absence, velle lune, quand on ('iablir. TADA et ici coton b., TÂFÈR, table. t., étaient transportés. I b., fi nék^ ramassé tous les a il qui livres héy ti bir tôl bilé, c'est toi qui as fait entrer une chè\ e dans ce champ. bilô TABIIL Tafé na tëré yi porter. TABILÔ, être cause qu'une cliose tombe ou entre. Yâ ta- préserve TAGALÉ, V. t., séparer une Kèn menu mâ taga- personne. ! I lé'k Yalla, personne ne peut. ' — sopaixM- iiK' Syn Dion. <1<^ 3i3 Tc- — union jonction. b., venir du hdlé. TAGALO, n. V. Tagalô désuni. c'ire nâ'k séparé, adunà, ]e me suis séparé du monde. TAGAR h., goberges, bâtons transversaux sur une attache ou — on lesquels de branches série de mil pour faire un tiges j'ai — T.^GAS, V. t., honorer, louer, chanter en l'honneur de quelflatter, raconter qu'un, les liauts ceux de louange, quelqu'un de faits ancêtres. ses — et g., flatterie. TAGASKÀT louangeur, b., ÏÂGAT ou pierre marabouts se craie b., dont les servent poiîr faire l'encre rouge. TAGAT, f(is, halèl ter un V. t. dompter. Tagat bu deher bopâ, domp- cheval, un enfant re- belle. TAGATKAT TAGATU, dompteur. b., V. t. chercher des TAGUAN, TAGATUKÀT ÏAGÉ, V. t. b., ses visi- un mariage, etc. TAGllKAY b., perchoir. Tagu- perchoir des pétali, i pi- geons. TAH gourde, petite cale- b., Tah ah rôtu, calebasse avec laquelle on puise de l'eau. Tah âb silmaha, gourde d'un aveugle. Syn. Gamba. basse. TAH TANGAL I escargot. b., TAH, V. être cause, causer. t. Mô ma iah a qui me rend meur. Lu tah nahari, c'est lui de mauvaise hu? pourquoi. Lolô pourquoi. tah, mô tah, Deka layi du tah nga c'est èy, der le premier ne te gagner. (Pr. Vol.) TÂH m., édifice en plai- pas fait pierre, TAH mort gitées, fleurs fruits comprimés comme la — — TAGI, V. t. dénicher. Syn. TAGLU le TAGÔ, défaire un nid, ôni. gourde pour rede palme. réc. prendre congé, b., vin v. séparé l'un de l'autre, adieux. b., séparation, congé mutuel. Sa tagô hâ'ka humbâ, que tes adieux ont été solennels. TÂGU, V. t. prendre congé, demander une permission, pré- vivre — faire t. dénicheur. annoncer de quelqu'un dans un endroit. b., celui qui va annoncer la mort de quelqu'un. g., annonce de la mort. faire v. pour annoncer un départ, tes ouvrage du potier. nids. cevoir lui. Syn. Hordong. flatteur. rouge nû ko, Tâgii b., action de demander congé, de prévenir du départ. kay lit. départ. congé de pris ses V., arbuste à feuilles dipetites, jaunâtres, une lentille. TAHA, et n. V. s'adonner t. être à, être collé, uni, — collec- tionner, être parent. Avoir des taches, être malpropre, sale. Sumà hârit tahâ nà ma loi, mon ami m'est très attaché. Taha na ti man, il m'est parent. Taha nâ dérèt, j'ai une tache de sang. Dérèt taha nà ma, le sang m'a fait une tache. Taha ti bin, être adonné au vin. TAHÀ b., TAHAL, collier, V. enduire, coller. t. parure. tacher, salir, — TAH TAHALÉ, TAIIÂLÉ, v. t. unir, joindre ensemble. val TAIIAMLIKU, de ÏAHAN, couper, de cher du bois à brûler. Mangâ tahani, je vais couper du bois taille, état, situation. à brûler. b., fagot de bois à brûler. TAHAN, TALAN, v. t., rouler du linge sans soin, trousser, il — carguer, plier — action b., de rouler, belle taille. — Inac- tahavay bi, occupe-toi, m. à m., laisse ton inaction. TAHA^ LÔ, v. t. faire se tedebout, faire arrêter. TAHAYU, V. réf. assister, sou- réc. v. plier l'un se tortiller, de rouleau, pelotte. ; TAHANANTÉ, TAHANI, V. n., l'au- fâ sur aller couper, TAHANU, se trousser. réf. v. Syn. En. TÉHARNI, TAHARNI, v. t., dérouler, détortiller, détrousser- TAHARNIKU, TÉHARNIKU, réf., se détortiller, se ronce. épine, V., TAHATAHA b., v. détrousser. tache. Syn. TAHAV, V. n. se tenir des'arrêter, être assister, bout, présent, persister. Tahav nâ ti vah dilé, je persiste dans ce sentiment. Ngélav li dânu nâ, gâl gi tahav, le vent est tombé Tahav et le bateau s'est arrêté. présent ti vah dê'm? au TAHAYAL, arrêter. prières dans tes auprès de Dieu. Ligèy bilé, ku ko tahavu? qui préside à ce travail. ^> — b., étais-tu TAHO, v. t. Nûn V. Sunu — ment. TAKÂ, un V. t. bander, cheval, jeter lier, attacher, enharnacher un sort, se marier. Takâ ti hérèni, attacher aux fétiches, jeter un sort. Taka ndigâlé, une alliance. Taka dabar, doter une femme. Taka séy, se marier. Taka say, fagoter. faire voléri, — nais fas, du dres- lumer, dal taha- rèt, être un pacte, action de harnacliement, lien, b., Tak'ii élever, di protection, réc, se toucher, i ker à tahô, nos maisons se touchent. b., confîn, jonction. TAK, loc. sup. Dêh tak ou bè né tak, être épuisé complète- TÂKÀ, palabre? assistance, présidence. enlacer, Gaka. nga i confiner. s'entortiller. Nâ présider. malâka tahavii ti sa ilân Yalla, que ton ange t'assiste la sa chercher du bois à brûler. TAHANKÀT b., bûcheron, celui qui cherche du bois. TAHANÔ, v. réc. s'emmêler, TAHAS affermir, tenir, s'en- tre. " station, Ti tahavay, Dèka nà tahavay, clî.-iinp. une flâneur. nir trousser ser, le a a tion. Bayil sa voiles, entor- les tiller. on sur il flâner. TAHAVÂLUKÀT b., TAHAVAY b., halte, cher- va, flâner. action b., un aussitôt cheval. le TAHAYÂLU, rien. n. V. Noé éleva Tahaval nà fas — la choses lotèl. arrêté mâcher sans rien avoir bouche, ou seulement n. dans des — autel. TAHAMÏIKU, V. 3i/, lier. har cheval. V. n. prendre feu, s'enflammer. Tak à s'al- tout en flamme. D. dé- Lu — AK I te du fèy? R. Vêr va. Qu'est-ce qui s'allume et ne s 'éteint pas? R. La Lune. tiikn di D. TAKANDÎiR ombre b., du humain. corps TAKATAL, v. — b., foyer, duit du foyer, V. i tâl, procendre. TÂL, V. t. appliquer, donner un coup. Tùl ko mpès, soh fétèl, et, TAL le TAKÂY, TAKÀ y., TAKÔ, TAKANTÉ, v. perfide, n. — perfidie, V. être atta- persévérer, fidèle, lacet, b., vouement, lien, TAL, pas pas toi. le le V. (né) temps qui dure jusqu'au soir, b., loc. v., TALANTU, la fête du t. sup. Vch tal, très ta si tu pour la toga, mère qui (Prov. te nourriture, a Ku fait c'est cuisine. la Vol.) TALÂTA d., TALÂTA, V. — difficile. bôbâ sa yâr montres diffi- nain, souffleter ru- et par surprise. soufflet b., TALI, mardi. t. V. n. violent. s'étendre, se re- dresser en long. Tali nada ou narèt, s'étendre fortement. Ak hol bu tali, de grand cœur, volontiers être étendu, droit, ; Bantà bu tali, bois droit. Yôn vu talê-taïi, chemin très uni. TAL, V. n. épais, dru, serré. Tav bi tal na tèy, la pluie tombe drue aujourd'hui. TÂL, V. t. allumer, attiser, éclairer. Tâl safara, allumer du feu. Tâl nég, éclairer ten- ne savoir pas t. ti le Dot. loc. V. di talantu dement avoir le temps, pré- Talal hala, montrer disparaî- blanc. bre. vil- étendre, t., choisir, se cile Talu-ma ko, je n'en ai loisir. Talu-ma la, je n'ai temps de m 'occuper de Syn. TAL, le un arc. TALAN, V. Tahan. corde. soudainement. loisir, deman- à dre a lien, b., suit le Tisbar et crépuscule. TAKUT dé- fidélité, V. tendre. senter, fi- persévérance. TAKUKAY TAKUSÂN tre le célébrer n. V. , TALAL, infidélité. et réf. p. dèle. — maramois de des fête b., ouvre qui lage. infi- Bekanëg bu iaku, serviteur ^ seul. Talabôn. dévoué, che, TALABÔN bouts ne se immensité, b., der l'aumône dans tout réc. dèle. p., éclater avec v., loc. Tamharèt, et consiste atours. s'attacher mutuellement, s'unir. TAKU, un coup de fusil, que de Dieu dit — — {né) TÂLA ratta- relier, t. renouer. b., rattachement, action de renouer. V. donne-lui un soufflet, bruit. cher, TAKODÏ, Dôm canne. conserver t. TAL un coup de l'alimenter. TAKÂTË, — i TAKA^TË b., Y. Takô. TÂKÀTÀKÀ b., flamme. feu, 3i 5 une cham- droit. TALÎ g. (m)., du ditah, dont vénéneux. à On variété les amère fruits l'appelle sont l'arbre poison. TALIBA, TALIBÉ, TALUBÉ — TAL b., élève, disciple, Syn. écolier. ydongo. ÏAUBANTË condisciple. 1)., TALITËGË, TALTOGÉ, croiser v. n. — — croisement b., , des pieds. TALTAL, faire des n., V. ri- ricochet. b., TALTALI, comme Tâkàtâkà bâ don pétiller flammes qui TALUKAY du faire n., V. le feu. taltali, pétillaient. instrument b., pour allumer, allumette.. TAM, V. t., attacher un ha- meçon à • ligne. la un action d'attacher d., ha- meçon. TAM, V. Dè nu ko garde on ta?n dejua, le V. cerise. Tamâ Lu tamâ rëv, TAMA tam cordes. v, TAMÂKA n., Lu on suit à battre le tam- espèce d., qui vây ce tamtam petit g., — de la- TAMADI, TAMARI, lent, avoir de coutumer. Dâ de la le j'ai v. t., peine à la ma être s'ac- tamadi dekâ peine m 'accli- à accoutumer, v. t., ha- familiari- élever. TAMARAH aimer n., \. à faire TAMBAOANG séché tier été — poisson ensans avoir b., soleil ;iu vidé. V. n., faire sécher du poisson au soleil sans le vider. TAMBAL b., ancre d'une pirogue. , TAMBALAY TAMBALAY me qui aime semer la varech. b., {nH à hom- b., i) du faire à tort, discorde. TAMBALI, A. t.. commencer débuter. travail, Syn. Son- — b., début d'un d'une entreprise. travail, TAMBÂLU, V. n., HAner. Syn. T ah a valu. TAMl^I g., raphia, petit arbuste couvert de feuilles et vedans les enn;»ni e.i touffes droits humides et sur le bord des fleuves. Y. Tara. TAMDARÉT b., million. TAMËL, TAMÀTAMÀ b., habitude, coutume, usage. nga tainèl bu bon, tu as une h., TAMÀTAMÀLU, soufre. v. mauvaise habitud,e. h:)]jitu(le sali, TAMIIARET Tamèl bu eaiacinée. d., un des mois de l'année niahométane. pays. TAMAL TAMALO, bituer, cerise. Am bac du pays. mater dans ta- comme une ' s'ac- s'accli- hèi\ arrive oïdinairement. tamâ, môm la dèîné, .son habitude. cordes petite d., nâ ni Rafèt dân. avoir coutume, t., coutumer. à tom.'tte un habitude, être familiarisé, mater. re- sorcier. arbre fétiche. b., TAMÀ, comme. regarder n., comme TAM A ser, tomate tort. éclater, bi, faire semblant de s'habituer. lUdn ngâ berê'k môm, na nga ko tnmatamâhi, avant de lutter avec lui, il faut l'essayer. TAMBÂ, bruit, les lAM niàté, eV.e est belle cocbets. — — TAMÂTÉ, TOMÂTË pieds. les 3iG t., essayer. TAMPUS, TAMSIR V. Mbèy. degré supérieur parmi les docteurs musuliurms. prendre le degré V. n., de tams.ir. — b., , ^ TAN luari^iot, 1)., ine-r la inoiule et plaine que abandonne tour à tour. — esclave, Syn. l)àm. — beau femme. — m., vautour. terme b., hono- rable. -frère, g., TANÀ, V. frère la — pistaches. b., choix, TANÀ, élection. hémor- ah tnnâ, bir roïdes. TAN b., femme guèlvare. TANABÈR, TANANTIKU, v. parmi choisir plusieurs ques-uns et laisser TANAHNIKU, Ips l)ras en les t. quel- n., celui qui choi- b., TANÂN, voyager au voyage au milieu du n., V. milieu du jour. — b., tandâlé d'é a J)ûr, personne n'aurait pu conjecturer la mort du roi. Syn. Tolalé. })., chance, conjecture, hasard. Ak tandàlé, par hasard, à rimproviste. Nev nâ'k tandàlé, — venu à l'improviste. TANDARMA g., d., dattier, datte. TANDU, v. q., être extrême, excessif. TANDUAY b., extrémité, der- degré extrême. TANÉ, Y. t., valoir mieux. Mo ko tané, il vaut mieux que nier point, lui. la Tengâ. Y. V. chaud, q., brû- impétueux, chaTangà dér ou dir^ leureux. très chaud. Bu tangâ, chaudement. Tangà hopà, avoir la tête chaude, être violent. Tanardent, lant, être Sûf peiné, effrayé. Tangà des plaies. sujet être dérèt, sa à tangà, pays tangà nà malsain. Nia- sûf, ning est insalubre. Sumà yaram tangà nà, je suis indisposé, j'ai la fièvre. Lohô'm tangà nà, sa main cause malheur. TANGAL, V. TANGADI, TANGARI, être Nit chauffer, t., ameuter. échauffer, TANANTIKU, V. Tanahèr. TANDÂLÉ, v. l., deviner, conjecturer. Kèn menul kon à est améliorer t., . jour. il TANGA, TANGÂ, Naning sit. V. santé. hol, autres. étendre s'éveillant. Syn. V. Fud'i. TANAKÀT en TANÉLÔ, élire, opter, trier. Tanal gèrté gi, trie les porter mieux, de la parlant santé. Sumâ yaram tané na tér^ me porte mieux aujourje d'hui. Syn. Gené. amélioration dans la b., n.,se \. santé. choisir, t., de TANÉ, s'améliorer v. q., nonchalant, mou tangari nà loi, cet tiède, kilé homme est TANGA Y très b., mou. ardeur, chaleur, Tangay chaleur du nâd échauffe ment. i méti nà, soleil est la vi brûlante. TANGOR V., éminence, mont, montagne, rocher escarpé. Syn. Tandà. TANHÂ, V. quide, dessus bord, boire. Tanhà un t., recevoir puiser d'un de servir, ma, l'eau offrir li- par à donne-moi coup à boire. Gâl gâ'ngê tanhà, le bateau reçoit de l'eau par dessus bord. — TAN — coup b., en par- boire, à lant de boisson. TANHAL, V. puiser à t., la ou pour un sumà bây mon ndohj puise de l'eau pour père. TANHAL, V. fatiguer t., importu- abassourdir, ner. — fatigue de b., pro- l'ouïe venant du bruit. TÂNHALË, importuner V. — aba- être p., v. faire n., la oreille. hamlu sourde de faire la Bayil sa tancesse de faire la l'action b., sourde oreille. giy oreille. TANHAS TANHË, membre. b., V. boire servir à t., dans une compagnie. Ku di tanhé ti sën mbotay, qui est-ce qui sert à boire dans votre so- TAx\HÉKAT b., celui d., V. tique. Syn. réf., verser pour le gigot, }ûste, trace, pas, sup- Dèlu ti sa i tankà, reve- nir sur ses pas. Borom^nanèt i tankâ, quadrupède. Defj'ii tanka, plaîiîe du pied. Bet àb tanka, cheville du pieJ. Giidà tan- voyager beaucoup. Baré kà, tankâ bérèb, aller souvent dans le TANKORLÉ même suivre endroit. la pistée. i tabac b., des TANLAY, TÈNLAY b., turban. TANLAYU, TÈNLAYU, v. n., Topa i Tank'i tankâ, nën, d'un turban. se coiffer tante, titre ie (F) b., que respect donne l'on femmes âgées. V. TANTÀ, aux détracter, t., maudire, décrier, injurier. TANT AL, V. t., reprocher à quelqu'un ses défauts. Tanial sa morom dikô'm du bon, reprocher à son prochain ses défauts. TANTANTÉ, mu- s'injurier tuellement. avec Mâ port. sortir — Vé- deka tanhu, je me suis premier. TANKA b., jambe, pied, pat- te, du d., pièce d© monnai© d© 5o centimes à S. Louis. TÂPÂ, un les versé tankâ, amul bopâ nâ am le dos. tèn. TANHU, pieds lal, peu. Ku tankâ, celui qui n'a pas de tôt© doit avoir de bonnes jambes (Prov. Vol.). Tank'u pégèt, tank'u mpétah, pourpier. Gatâ qui sert à boire. TANHEM Tank'i Tank'um mbâm, jambon TANU, ciété. soi. pieds nus. TANTA ennuyé. TANHAMLU, sourd© fatiguer, n., monde. TANHALU, sourdi, TAP maures. V. le — lit. place d'un autre autre. Tanhalal Touïe, 3 i8 V. n., s© coucher sur V. t., battre avant de pistaches ling© le battoir, châtrer, battre ré- les colter. TAPÀ, ble V. deux coudre ensem- t., pièces, TÂPAKÀT b., frapper sur. châtreur, bat- teur de linge. TAPÂLÉ b., espèce d© poisson plat, noirâtre d'un côté ©t blanchâtre de l'autre. TAPANDAR, bu v. q., être plat, camus. Bakân tapandnr, nez camus. Syn. aplati, carnard, Tafa. TAPANDAR maux, qui v., lézard s'attache veni- fortement — TA^ nu corps. On Tappelle aussi bûr u dân, roi des serpents. TAPANGÉ TAPANGA, b., bouc ou bélier châtré que porc, engraisse. l'on TÂPARKA ou plan- table b., che sur laquelle on bat le lin^e. Dôm u tâparka, battoir j)our battr«. le TAPAT APÀ TAPÂTÉ, Y. coudre t., morceaux sieurs suite couture. b., plu- d'étoffe à la uns des autres. les TAPIT, complètement adv., TAPU, à nà'm tapu cousu ne te héron. — — son tarahlay. pr., V. traper fi rahâ dans bi, ce TAPUKAY b., donner des se hanches. les TARAL, est-il collé b., épingle, TÂPUKAY, TAR, V. b., moulu, pilé paquet b., d'épines, homme qu'un charge peut porter. TARAL, TARLÔ, dre, TAR b., am a très de parler. Sa nà tar, m. à m., ta beaucoup de facilité, facilité agréable. beauté, Borom târ, Grâces, charappas, attraits. homme plein de charmes. TAR, NÉ TAR, TARA b., interj., vlan. grosse nervure des du tambi dont on se pour les canapés du pays. feuilles TÂRA b., femme TARAL, saisir, at- TARAL TARÂS v. mou- t., complètement. piler outil de tisserand. b., (né), loc. être her- v., Pah mu trou hermétiquement métiquement né taras, fermé. fermé. TARAT, comme le fermer Tarât, TARDÉS, précédent. herméti- esclave de n., V. glisser. gueule- tapée. b., Syn. Bar. TARÈT (né), Hotiku déchirer complètement. TARFATI, rer, TORFATI, cher. tarèt^ effleu- égratigner, frotter, alumèt Tarfatil Né verb. loc. se déchirer. tarèt, lamèn langue NÉ t., lestement. TARÈT complètement. TAR V. quement. battoir. être q., vêtir se p., empoigner, V., Fata aiguille. v. soi-même de son tarahlay. sac le fait b., pagne dont on se couvre depuis les reins jusqu'aux talons. manière de se vêtir b., a\ec un tarahlay. Sa tarahlay bi dèkul, tu ne portes pas convenablement ton tarahlay. v. vêtir quelqu'un de t., loc. ? pas tiens TAPU, sert I)., grand sac peau de bœuf. TARAH b., TARAHLAY part, Bul tapu ? coups sur mes, TARAFÂT avec une Sâku Dôm y lié tapu nànu ti scn bây, ce3 e.if.ints sont attachés à leur père. est son mari. Dôm i tara, enfant du maître et de son esclave. attaché; coin. — TAH quelque affectionné, bi être cou- p. et réf., V. tenir se su, — TARAHLAYU, coupé. être 3i9 tn, écorfrotte l'allumette. TARI, cœur. TARI b. TARILÔ, (m), V. vin t., par réciter n., V. de palme. appren- faire dre par cœur. TARIT Dama (né), tarit^ loc. être sup. et v. cassé entière- — TAR Mu ment. né ko tarit, 820 le il TARKA de qui de partie d., bri- la du est attachée à la tête cheval. \. anéanti, aboli, dissout. Bèv tas nâ, Gèv hi être n., est ruiné, ma nà, le Kanda détruit. sa ren- de réu- lieu b., rendez-vous. TASIT décombres, débris, b., ruine. TASKÀT l'assemblée est nn, jonction. rencontre, tasê'm, évite TASÉUKAY nion, gi détruite. est destructeur, b., dé- vastateur. V. t., détruire, anéantir, dissoudre, dévaster, mettre en désordre. b., ruine, dévastation, coton en fuseau. TAS, V. t., fermer le passage presser »jntre. à quelqu'un, Hêr vi tas na ma ti loho, la pierre m'a pressé la main (en TASO, , — tombant dessus). 'bi, ferme Tasa.1 TÂS, V. t., béy vi p-issage a la le chèvre qui est dans rendre b., contre. renversé, tas l'amitié tas détruit, dissoute. de — Moyai royaume tôl rencontrer, accoster. l'assemblée s'est ; bi tasé nâ, réunie. Tasé nâ f(Vk a y vu méti, j'y ai trouvé une guerre singe sapajou, b., moyen. TAS, sa réunir se terrible. TARLI ti TAT Gév cassa. — — le champ. participer, faire ma Tas participant. ti barké, rends-moi participant ta bénédiction. TASÂ, interj., jamais m'en préserve ! Dieu ! TASANTÉ, réc, se presser, se serrer les uns contre les auV. TASAR pouf, interj., ! pata- tras. T.ASAR (né), loc. Aerb., être disperse comT)]èteJi:eTit. TASARÀM'v paillasson <^-ei TASARË, pandre de - , n.i:ie rés — > où :]isj.erjer, ; é- V. p., êlre dispersé de toutes parts. V, n., vous ngën tasô'k êtes-vous sépa- désor- dre. TASTAS, TASTASI, V. Tes- te si. TASU, v. nâr tasu mon hêr, i être écrasé. Su- p., mà bârâm deux TÂSU, V. entre nâ ti digantè doigt est serré pierres. n., participer, avoir part. TÂiSULÔ, V. t., faire en sorte qu'on participe, qu'on ait part. TASUTASU b., plaie d'un membre écrasé. TÂT b., derrière, d'un contenant, du lit. fond d'un ar- fesses pied Lô ; ragal-ragal, sa tat fêté ta génav, tu as beau craindre, ton derrière se trouve (Prov. arrière. en toujours du men â var gélém, un seul derrière ne peut s'asseoir (à la fois) sur un baudet et sur un Bénà tât mbamsef ak chameau côtés. \r.iis s'éparpiller, Fu d'eux. éparpille ment, b., Vol). <jii mal;:(»^. V. TASÂRÔ, TASÉ, nom, bre, bas tres. réc, v. séparer. se — T., (Prov. Vol). rhizome de certaines plantes. se rencontrer, TAT (né), loc. v... donner un — TAT Ma <'oup sec. né sumà tnl donne un coup je TA\ la main. pnrl(M- TAT, TAI), TAT TATÀ res, — , placer, mire, h., être q., apla- plat, Syn. Tapandar. b., TATAL, V. hètèh bi, TÂTÂN, V. aplatis TÀTÀNUKAY aplatissement. y. p., être V. n., occuper aplati. le der- la nier rang. Ku di tâtu ti sèn tabul ? qui occupe le dernier rang à votre table ? Syn. Gênu. TATU, mains, V. t. et n., applaudir, g., applaudissements, cha- rivari. des mains pour l'applaudir. TAY, V. n., pleuvoir. Tav nâ ndoh mu baré, beaucoup d'eau — bu b., toi, pluie. il est tombé Tav bu sob, tav pluie torrentielle. Pentateu- (A) b., Loi, pluie. TAY, chari- TATUPI, V. t., aller au devant de quelqu'un en battant des mnins pour l'applaudir. TATUSI, V. t., venir au devant de quelqu'un en battant avoir son pre- V. t., tenir entre les mains. Tâvul sa mbahana, tiens ton bonnet dans tes mains. vari. — cri- TAYU, battre des faire me Ancien Testament. TAYTÉ, V. n., être mouillé par la pluie. Mangi tavté bè né hip, je suis tout mouillé par que. pluie. la je d'un mal, n., V. TAYRËT pour rigole tavat su- méti, jour des ténèbres (le i5^ jour). Tavlu'g lendem gâ, le premier jour de ténèbres. Tavlu at mi, le premier jour de l'an. plomb. un vase ou b., recevoir l'eau de TATU, TÂTU, le recueillir l'eau dans 1)., Tata- l'amollir. n., de la pluie baquet. TATAY à battre aplatir, t., ma plainte b., TÂYLU, rejette. un objet pour lal inutiles resjies qu'on tout bi mier enfant. Gôr la tavlu, j'ai eu un garçon pour mon premier enfant. Dâv dëg la tavlu, il y a deux ans qu'elle a eu son premier-né. Vêr vi tavlu nâ lendem, la lune a son premier Syn. Tus, Dara. TÀTÀ dena se plaindre de, Dà ma tique. TÀTA, adv. rien. Du ma la doh tàtà, je ne te donnerai rien. t., c()f)in\ parle. — V. V. plains pier- rempart, fort. V. t., environner de bar- TATA, premier-né. z., V r, de ma poitrine qui me fait mal. Fènkàt bà la nô lavât, c'est contre le menteur qu'on d'eau. filet barricade en d., mâ poser. ricades. ti. TAY TAV loho, avec sec — 331 r V. t., cacheter, coller, appliquer sur, faire le couscous. Tayal indé bi ti tin li, colle le indé sur la marmite. action de coller, ac1)., tion de cuire le couscous, couscous cuit. — TAY b., couscous cuit à la vapeur. à — V. la -vapeur. cuire n., TAYÂT, v. TAYI, q., accablé. jusqu'à V. t., couscous recoller. être fatigué, las, Vah bè n'en le tayi, pouvoir parler plus. — TAY TAYI, V. décoller, t., déca- cheter. gage, otage, action de mettre en gage. b., TAYILO, dre V. fatiguer, t., v. t. parier. (L) ÏAYTAYLÔKÀT TAYU, p. et V. cacheté, se b., parieur. réf., être col- coller. rebelle, rétif (( rétif. pour nome de famille, a Laisse — , là » yu te, enMbâmsef mu santâ, un âne Halèl indociles. Bayi « ». V. (Prov. t., Vol.) résister, arrêter, prends-le et jette-le dehors. TÉ, suff. qui, ajouté à un verbe indique ordinairement répétition de l'action avec la interruption. Lâd, demander, lâdté, interroger. Has, injurier, hasté, injurier fréquemment. Le même suffixe ajouté à un verbe V. qualificatif en fait un substantif abstrait. TEANTÉ, V. réc. bondir, sauter, n., — — b., saut. V. t., , couvrir la de bêtes. franchir, saillir, femelle en parlant TEBANTU, — b., V. cabrioler, n., gambader. cabriole, gambade. sautiller, g., TEBIN sautilîeur. b., bond, b., saut, nière de sauter. Kii teb ma- dal ta tebin^ désé nâ bènèn celui qui saute dans le feu, a un nouveau saut à faire. (Prov. Vol.). TEBKÀT résister mu- tuellement l'un là l'autre, ne pouvoir se renverser, en parlant de deux lutteurs. sauteur. b., TEBLÔ, Y. faire t., faire plaisir. Li blô, ce qu'il rendre impuissant contre, être impossible à. Lôlu te nâ ma, Halèl impossible. cela m'est bilé te nâ ma, je ne puis rien faire de cet enfant. Darà teul Yalta, rien n'est impossible à Dieu. TÉ, conj. et, entre deux verbes. Dapâ ko té sani ko ti biti, . résis- safara, TE, V. n., être indocile, inopiniâtre, mutin, domptable, te TEB, TEBANTUKAT pari. b., fants opiniâtreté, b., s'élancer. bondir, TAYTAYLÔ, lé, ren- las. — TEAY tance. TAYLÉ, V. t., nantir, mettre en gage, donner en otage. Taylé nâ sumâ dâm, j'ai mis mon esclave en gage. — TED 32 mu sauter, dégâ ko te- appris lui a fait a plaisir. TEBU, v. p. être en saillie parlant d'animaux. TED, fermer, nu ted, — b., t. fermer à clef, enmettre en prison. Ku prisonnier. Syn. Ub. action de fermer, in- V. carcération. TEDÀ, TER, V. n., être alité, coucher. Mungê tedâ, il se couche. Tedé vèt, se coucher sur le côté. Tedé ndën, se coucher sur le dos. TÈDÀ, V. q. être décent, honorable, saint, sacré, courtois, civil, honnête. Bu tèdâ, honnêtement. coucher, se , TÈDADI, TËDARI, v. q., être impoli, malséant, grossier, respectueux, déshonnête. Bu dadi, — ir- tè- malhonnêtement. impolitesse, indécence, profanation. g., TEDADI, TERADI, v. n., être — 323 — TEG si, TÈDADIL, V. t. profaner une chose sainte, manquer de respect. Bul tèdadil tur u YaUa, ne profane pas le nom de Dieu. tien. TEDAL, TERAL, v. faire lit. Syn. compagnon TÈDAY, amul téyé, Halèl bu sans sou- b., chevreau, cabri. TEiF (né), loc. verb. cracher. Né ko tef, crache-le. Syn. Tufli. TÉF (né), loc. verb. se dit un coup de bruit que fait sur rôti le TÉFÈS du fusil feu. le bord de g., mer, la rivage. TÉFÈSU, action de b., étai. un enfant TÉF côte, TEDAY, TERAY action de soutenir, sup- b., soutien, de Teralé. se coucher, — port, ou coucher un enfant. TEDANDO, re- tour. faire t., coucher, endormir. Teral guné, mon jusqu'à cela tiens remuant sur son lit, se retourner souvent, même en dormant. Teradi agul ndnnii\ être remuant sur son lit n'arrive pas dans l'autre monde. (Prov. Vol.) n. V. sur aller le rivage, côtoyer la mer. couche, lit. honnêteté, b., civi- TEFLI, V. Tufli. TÉG, V. t. placer, poser, dé- TÈDl, V. t., passer ià côté d'un lieu sans y entrer, ou s'y arrêter. Défâ fi rombâ tèdi, il poser sur, imposer, ajouter, charger, imputer. Gâl gilé, fan la tèg bop'am ? où se dirige ce bateau.^ Tèg nâ bop'âm ti su- lité. a passé ici Tégéyu TEDIN, Syn. sans s'arrêter. V. manière de n., se coucher. TEDU, mâ kav, Tèg ta, ti il s'est imposé à moi. de plus. Tèg al halèl bi sum>â loho, confie-moi cet en- être en- fant. Môin fermé, s'enfermer. Bul sa laho uhikii ndah nangu té tedu ndah c'est à V. et p. réf., mayé, que ta main ne soit pas otiverte pour recevoir et fermée pour donner. Syn. Uhu. — b., serrure. TEDUÂLÉ, TEDUKAY TÉÉ, à teduâlé, la V. t. la quelque j'y nuit. prison, b., TÉYÉ, passer n., V. nuit en pensant chose. Di nâ ko penserai pendant clef. contenir, ,nu la luiqu'on tèg ntatâ la, imputé le a vol. TÈG selle. b., TEGÂ, V. l'heure — — b., g., à sonné. TEGÀKÀT b., forge, ce qu'on TÊGAL, V. forgé. a (t. vulgaire). TÉGÂjLÉ, V. t., TEGALÔ, TEGALU, V. t. ajouter. pour soi, faire battre tam en son honneur. cet enfant a besoin d'être suivi de près, Téyèl ma bè ma délu- secte. suivre étayer, forgeron. circoncire, t., de près, souteempoigner, prendre par autorité. Téyé nânu tâh ma, on a étayé la maison. Halèl hi sohla nâ téyé bu hâh, retenir, nir, forger. battre, t., Tegâ dololi, ndèndâ, halam, sonner la cloche, jouer de la guitare. Vahtu va tegâ nâ, TEGELMÀ V. t. b., faire forger. forger faire le espèce tamd'in- . — TEG TEGERBEDÔ, v. TËII 3 TÉGUKAY, montant, soulever t., ensemble un fardeau. TEH, TËGÉYU, Y. n., passer dans endroit sans s'y arrêter, continuer sa route. Syn. Tèdi. lËGt, V. t., ôter, enlever, décharger. un TÈGIKU, V. et réf., s'ôter p. TEGIN V., manière de battre politesse, b., savoir- TÈGLANDÔ, V. p. et réf., être superposé. Nèt'i tâh yu tèglandô, trois étages superposés. Nâr i soh yôyu dâ nu tèglandô, ces deux coups de fusil se sont suivis l'un sur l'autre. TÈGLÉ, TÈGLANTÉ, ar- v. t., ranger, mettre en ordre, superposer, croiser les jambes, venir l'un après VdiUiTe.Tèglarvté mettre des livres les i tëré, uns sur les autres ou les uns après les autres. Nit nângé tègjanté di agsi, hommes Icki arrivent à — la à TËGO file. amas, b., marche la file, (banta), entassement, arrangement. v. t., tirer la courte paille. TEGU, n., montrer sa Joie, en battant le tamtam. Sa bây angâ tegu, ton père fait battre le tamtam en V. n., être circoncis TEH, — V. être sourd. q., homme b., TÈH, V. TEHA, sourd. semer après t., V. la en serrant saisir t. main. la TEHAL, TEHLÔ, TÈHALAKO, rer v. assour- t., V. p., se poser, être posé dessus, suivre, se charger au moral. Dîtiil, ma tègu ta, précède, je te suis. Tègô nâ ay vi vépâ,^je me charge de toute affaire. se sépa- réc. V. mutuellement. TÈHALI, TÈHAÏLÉ, détacher, coller, v. dé t. séparer, dis- joindre. ÏÈHALIKU, V. et p. TÉHALAKÔ, V. réc, de l'autre. parer l'un TÉHALI, TÉHALLÉ, détacher, coller, réf. se se sé- être séparé. séparer, v. dé- t., séparer, dis- joindre. TÉHALIKU, séparer, être et réf., pr. V. se séparé. TEHARNI, V. Taharni. TEHARNIKU, V. Taharniku, TËHAV TEHAY (L.) b., TÉIÏË, heureux, brasse, b., surdité. être fortuné, n. prospère. béatitude. b., V. TËHÉAY TËHÉM, V. q., insipide, être saveur. Nam vu non assaisonné. sans mets b., a u t re mets sans a s s a i s o n ne TËHÈT, vulg.) TÈGU, cette Dôm Dôm être adopté. père adoptif. teh, — de joie. TÊGU, (t. v. réjouir signe n., dir. vivre. se V. un enfant adopté. teh, fortement avec tamtam. TÉGIN Il pluie. de soi-même. le étagère, base. V. me n n., téhèm^ t être parlant d'enfants. Halèl hèt, — sans et sel gâté en bu té- enfant gâté. b., enfant gâté. TËHËTAL, V. rendre heureux, dulgent. Halèl t., être hilé favoriser, trop ndèy in- am TVM MU ma bc kô téhclal de c-et d.i nier© epa, «en fa ni* la gâte le trop. TËHÉTLO, TEHAL, TEIILO, Il rendre heu- t., faire prospérer. reux, - V. v. as- t., TÉIITÉIIAN, v. Syn. ^oromtân. chatouillement. chatouiller. —— b., , TEHTEHLU, smird. v. rÈK faire t., le Tanhamlu. Syn. verb., être lEKÂ, y. t., défier à lutte. Tekà nâ la beré bi, une (né), loc. iniiiiobile. de action défi, b., Ken oyuvul tekà sa ti je te TEKANTÉ, V. mutuellement. TÉKI, TIK, réc, defi^^r. bi, sonne n'a accepté ton pliquer, per- t., dé- délier, — signifier. ntéki b., b., action définition, TÉKTKU, TIKIKU, délier, Bat bile lu que ce mot .î^ tacher, de dé- ex jdic.'.tion. v. réf., se détacher, s'expliquer. V. t., enjoindre, imprescrire. Tèktal ndot, se TËKTAL, poser, rançonner. Tèktal bérèb u ndadé, indiquer un rendez-vous. TEKU, V. t., menacer. Sô dèmé fi alà bâ, gaèndé gâ di nà la teku, si tu vas dans la forêt, le lion te menacera. — b., menace. de grand matin, de bonne heure. Lô têl-têl à dog, yôn dîtu la, tu as beau te lever de grand matin, le cheTï^L, mil le tèy, têl au- nà mûri a TÈLÂ, n., être plat, V. aplati, mince. Syn. Tata, Tapandar. TEL b., tranche. TeVi dèn, tranche de poisson. TËLAL, V. t., aplatir, amin- TÉLAjNÉ tankà, adv., croiser les jambes. TELAT, V. t., dépecer, couper en tranche. Telàt nag, dépecerun bœuf. aplatissement, b., amincissement. (L), TESBATI, déraisonner, être v. n., par fou intervalle. TELË, V. plus, avoir n., V. venir dô. tôt. TELBATI, V. téki? qu'est-ce signifie précoce, jourd'hui. Bèn, dugiip di TÈLAY défier se tromper. — grand matin. cir. V. , bonne heure. Tel ngâ nev tu es venu de bonne heure défi. développer, déplier, exdéfinir. Tcki naJi, dé- tacher, mu — cir. combat. défie au — précède. (Prov. Vol.) J(i te leleg tel, de nôr, celte année rdir. IKHTEIIAN, t., min qui résiste pouvoir n'en t., en soi quelque chose, ou empêche. Ligéy nâ bè telé, j'ai travaillé jusqu'à n'en pouvoir plus. Dâ ima telé, mô téré ma neyusi la, j'ai été empêché, suis pas — b., c'est pourquoi je ne venu vous saluer. rhumatisme. TËLÉMTALU, v. (L), t. TËLËSU, TÉLISU, trier. n., v. re- bondir. TELET, TÉLÉTI longue et espèce b., calebasse, fluette. TELET, TELETU, v. n., batle tamtam sur le telet. TÉLI b., épervier. TELIT b., reste de ce que. tre l'on a TEM TEM, d'un dépecé. b., gland. V. arbre. t., couper la Tem nmu cime (jarap. — TÉM yMéy on coupé a cime de la cet arbre. TÉMA (né) demeurer loc. s'arrêter, v., fixe. TEMBÀ, action de flotter. b., qu'on lieu tèmbâ nâ kâlé Nit TEMBÀ Rambet V. g., TEMBÀL, V. faire t., un bateau à g. gu Kaifi es gâ? qu'on lancera ton est-ce bateau TEMBÂLU, merci des faire revenir t., voguer n., V. Au flots. fig. à flâner. Tahofvâtu. TÊMËR, nom. num., adj. num. cent. / tëmër, des cenat, un siècle. taines. Tëmër 7 tëmër at, des siècles. Tëmër yôn, cent fois. i i i TÊMËRÈL b., pr. num., cen- tième. — V. t., compléter le nom- bre cent. Yâ nu tëmërèl, c'est toi qui nous a mis au nombre de cent. TÉMIS b., coucher du soir, soleil. de luslus, colibri. Syn. b., es- Maram- Vèf. TÈMTÉMI, "sucré, exquis, lever n., tête la en haut. TËN coussinet, b., bourrelet. TËN, TUN, V. t., tordre, entortiller un pagne pour en faire un coussinet. TÊN b., titre du roi de l'ancien royaume du Baol. Dali, Tên, salut, roi (du Baol). pou. Sepa V., fasalé'k la bute ne poux. (P. TÊN, — V. tên, i do^lèil faire séparera te du la cul- pas des Y.) V. n., t., être pouilleux. épouiller, au fig. bien examiner, approfondir, discuter à fonds. TËN, TÊNARBI, V. t., examiner à fond une question. TÉNAKLU, TÊNDÂ, V. V. Sénaklu. t., porter le deuil de quelqu'un. Dèfa tèndâ dôm àm, elle porte le deuil de son fils. — b., deuil. Malan u téndâ, vêtement de deuil. TENDENDIR, TÈNDÈN, v. porter les marques de coups on de piqûres reçues. b., marques de coups re- b., q., être doux, bon, délicieux au V. douceur. TÈMTÉMILÔ, rendre doux. — çus. goût. — puits. V. /1., TÈMTÉMAN, TÉMTEM^ pèce du TÊN V. sur l'eau. Syn. au fond d'un puits. tên, source qui sort des TËN, neuf.^* TEMBALI, la Ben'u citerne. puits, b., ctb parois est flotter, mer. la la <nô tembali sa gâl quand ta homme kùv ,garap gà, cet retenu sur l'arbre. lancer Syn. Dogil. TÊN Bet retenu ne peut être n., V. un quitter. — tên, source TÉM'BÀ, dans TEN, Y. t., cou^)er la cime d'un arbre. Syn. Dog. b., morceau de bois cou- voguer, surnager. — — pé. n., flotter, V. 32G V. t., sucrer, TENDENDIRLÔ, v. t., faire porter à quelqu'un les marques des coups, le fouetter fort. TÉNDÈNG b., endroit uni, plat, terrasse. TÉNÈNDÈR b., banc de sable. . — coinnioiicer n., V. se r^'produire el de el à en fructifier à d'animaux parl.'int plan- et b., plante la où l'animal â^^e sont à se TE.NGTENCI, y. aptes iieproduire. TENGÉ, badaud. b., TENGTEiNC, t., tamiser. b., tamis. sasser, —— , TÈNHÉ, V. TER b., TER, V. couper tronquer, articulations, TENHO TÈNKA, V. t., nir, mettre aux kà, tenku-ma suis, te- ma nè- Fà où je occupé par darâ, là suis TÉNTÉLÉMAN, TËNTÉLU, TÉNU, V. coussinet, V. b., échouer, l'ancre, être échouement, carénage. TÊRAL, V. t., faire échouer, caréner un navire. TERAL, Y. TedaL TÉRAL, V. t., respecter, véné. rer, honorer, faire bon accueil. Nàkâ nga cabrer. du serAir un faire se réf., se — Lèiu. se n., V. coussi- tcraié sa gan? quel b., action de vénérer, bon accueil. TÉRALADÎ, Y. t., honorer peu, mal mépriser, accueillir. TERÂLÉ, net. TÉNU, TÈPÀ, V, bondant. fils. TÈPÀLÉ, regorger, y. surabonder, t., avoir Tèpalé trop. en en faire être fou- trop, nga, tu fais TÉPATIKU, gueux, b., V. ardent, n., TERÂLÉ dépasser les v. t. et bornes, exagé- Sa vah di téparal na, ton discours est trop long. b., exagération. — TÉiPI, TAPARNI, défaire. V. il s'est colère. b., nière compagnon de honneur, Y., ma- d'honorer. g., crasse qui se déla pipe. pose au fond de TÉRANGA TÉPÊRAL, TÉPARAL, terâlé, là la lit. TÉRAN impétueux. fougue, ardeur, impé- tuosité. ger. Mèr ûm couché avec TÉRALIN trop. — T. n., se coucher quelqu'un ou avec quelque chose. Terâlé nâ sumâ dôm^ je me suis couché avec mon avec s'épouiller. réf., Y. n., dépasser les bornes. Barê bè tèpa, être sura- dre, — au port, arriver n., Y. accueil as-tu fait à ton hôte.^ rien n., Lal. crasse. saleté, , caréné. empoigner, fers. tj n'y je — éla- membre. ture d'un Syn. lit. tuer, abattre, ren-. lutte. la miouiller articulation, join- b., (L) t., action b., aux guer. réf.. v. Syn. Dèla. de renverser. TER, TERÉ, V. q., être malpropre, sale, crasseux. Ter na hè né hargafiifa, c'est très sale, Syn. Tiliin. — TÊR, t., . se découdre. verser à tes. TENGAY ÉR TËPIKU, TAPARNIKU, TiîNÈV m., panthère. TEJNGÀ, l pect, d., honneur, vénération, resconsidération. Débal téranga, rendre hommage. Baré téranga, respectueux. Nakà téranga, manquer de res^ pect. t. décou- TÉRÉ, hiber, V. t., empêcher, défendre, pro-. opposer, in- — TËR Lu ^iCrdire. Téréiil, la, — à ! prohil)ition, défense, empêcliement. TÊRÉ épître écrit. Tëré u oondoléance. Të- grisgris lettre de çiâlé, yu ré li^re, cahier, lettre, b., ; sèlà y à, saints les livres. Tëré i saga, libelle. D. Lu di demantalé té du adu? R. Tëré. D. Qu'est-ce qui enseigne sans parler Un ? TÉRÈF, mince. Syn. être petit, Sèv. pour le halage d'un bateau. TERÊT (né) loc. dèf né terêt, en sursnut. TÈRI, V. TÊS, TÉSAH meurer en nà Syn. Syn. être renversé. pouvoir Teravul, il ne pas renversé. les Daydday. TERU, V. être TÊRU, V. mouillage, qu'un. p., se mouil- port, Tera V. satâ, TERU, \. t., guetter, guetter n., un épier. voleur. se dit des astres qui apparaissent après une cerabsence. Vèr vi tèru nâ, la nauvelle lune a paru. Dutaine achever, juger Até'g Yalla até yi yépâ, le ju- Téiali. au fi g. approuver. éter Tësa- une sen- n., v. approuver éternuement. TËSANTË, Y. réc, contre l'autre. plaider ' l'un — plaidoirie. b., TESBATl, Y. Telbati. TËSÔ, V. réc. disputer contre l'un digèn Fasalèl l'autre. nôiïulé di tësô, sépare ces fem-» mes qui se disputent. TESTÀN, TËSTÈN m., Musâ^ don nà Moïse brillait. — — , b. talon. TÀSTÀSI, n., v. Kanam scintiller. briller, TESU, lage. TERU, t., appel. TESTESI, rendre au au devant de quelréf. rivage, b., peut pé- de vah, li marcher en chance- comme de- TÊSALI, TISALI, tence. chanceler V., verb., comme' loc. Dieu jugera tous jugements en dernier appel. une ivrognes. — V. b., d'ivresse, lant (né), têsal gement question. TÈRTËRI fini, stupéfait et dernier nuer, cher. achevé, trifié. se TÉRIKAT b., commentateur. TERTÉ g., heure de se cou- être n., v. terminé. Syn. Suti. Ha- l'enf-'int résoudre t., lever se sursaut. bi leva séquences. les v., brusquement, en lèl • TËS, v. n., retomber sur quelqu'un, subir les conséquences d'une action faite ou d'une faute commise. Lu vây dèf, mu tes ti bop'am, ce que l'on fait, on en subit les con- di cordelle b., tèru nà bik, ime constellaa paru hier dans la nuit. TÊSAL, (L) q. ÏRT tion livre. V. TERÈT — liin ! malgré cela. Téréul ma malgré cela, je vous b., • pourquoi pas? Dieu ne plaise téré? Valla téré sopa aime. 328 testesi, la face u de scintillement. n., V. vomir. Syn. un objet, Vohi. TETÀ, broyée la V. t., battre terre avant la récolte des pistaches. d'amollir action b., objet, récolte des pistaches. — un — TÉT r/r.\LI, 1 V. 8yn. ner. termi- finir, t., TETAT, V. lutter contre n., obstacles. les TETU, V. broyé, être n., Lu sister. Sd présent, (Irc V. TÉYÉUKAY ment pour TÉYÈYU, têvlô i sé- raJx, j'ai assisté b., assistance, TÊY, clair. Y. q., Ndoh mu reposée vTêj Bu lèy, être têy, limpide, eau têy, claire, prudent, prudemment. avoir des hol, TÈY, 'i présence. circonspect, ; discret. I Têvé nâ daun malade. être — veiller témoin. sur, nausées. — hommes Tèy yogorlu, eleg nêh dérèt, tantôt triste tantôt gai. Li dalé Jê'k lèy ou génav tèy, désordorénavant. Bôha jusqu'à ce jour. bèn .niais, tèy, TÈY njonrient TÈY, (1., jour t., .soucier peu. fait exprès. bu ko ^aujourd'hui, actuel. V. tavat, Mà ko Ku tèy celui V. p., être soutenu, retenu. soutien. b., TÊYADI, — — étourderie. g., v. n., Ak têy- imprudent. étourdi, être imprudemment. TÊYLU, V. n., être exprès, tèy, sa'b qui se je l'ai dèla, tombe Bu prudent. discret, têylu, discrète- ment. — y. , tention observer, t., faire — TÉYTÈYLU, près du nu en tout fi le Tl pru- faire t., Mo ex- semblant tèytèylu dâ- âm, il est tombé lui, en faisant croi- contraire. (L) b., Tl, v. faisant contraire. kov exprès sur re at- à. circonspection, g., dence, modération. le dehors, exté- Syn. Biti. V. t., prendre à bras le corps. TIANTÉ, à bras le réc, V. so prendre corps. TIBÀ, V. t., prendre de-, tiprendre par poignées. Gâl ga'nga tibi sûf Ndakaru, le h.-iteau est allé prendre du sa- rer de, Dakar. poignée, action de dre une poignée. l)le faire instru- étai, b., soutenir. TÊYLÔDI, rieur. aujourd'hui. NU d'aujourd'hui. adv., se soutenii supporté, , assister, t., t., mutuellement. t., dé, je puis produire des témoins. Têval diné, évoquer un démon. TÊVÉ, pru- b., lôdi, renapparaître, mâ nâ lais- t., Syn. Têy. TÉYÉ Y. Téé. TÉYÉANTÉ, V. as- présent. v. faire M en v. NTÈYAY TÊYAY, dence. maintenant. TÊVAL, TÊVLÔ, évoquor. présent, te'mps têu, têv, si être n., Y. plains pas. le Vol.). TÊYAL, TÊYLO, brisé. TÉV, ne faute, sa ser reposer l'eau. V. t., apprendre à marcher aux petits enfants, les soutenir pendant leur marche. TÉTÉ b., plaie aux pieds ou aux jambes provenant de la piqûre de certaines épines. V. TTB par battre à coups t., écraser. TETELU, — (Prov. Tésal. redoublés, TPITÉ, 320 à b., TIBAL, V. qu'un une t., donner poignée, à prenquel- prendre — TIB pour quelqu'un. Tibal ma une poignée donne-moi 33o — tèrc, TIKl do tacher. couscous. main empreinte de b., sur ce qu'elle laissée a empoijL>née. TIBKN genre b., de chauve-souris frugivore de grande dimension. TIBÔ, V. t., se partager. roussette, TIBU, pris. B. (takâ), TIKIKU, TTBÀTTB îa TÎM V. pouvoir p., être D. Gérté giîé tibu nâ'ni ? Dël, tibuviil. D. Peut-on prendre de ces pistaches. R, Non, on ne peut pas en pren- TIL, v. se réfl., v. qu'il suff. délier, t., dé délier. ne faut pa; confondre avec ai il. Il est né gatif pour le futur, et affirmatif avec optation pour pass^ le ; ] ma ko malân yi muk, je ne lui donnerai jamais les pagnes. Dohtil ma ko von malân yi ! que ne lui aije donné les pagnes TIL b., brume. Asainan si til na, le ciel est assombri. et le présent. Dohiil ! Sy!i. tim. Tin, [ dre. TIDAKU (ted), v. être n., ouvert. V. — ouvrir, faire sor- t., quelqu'un de prison. Syn bois Ubi. V. s'ouvrir, n., être ald, Syn. Vbiku. TILIM, propre, — rhumatisant. TÏFANE tient de l'étrier TIFÂR, i V. la t., re- i Syn. de sottises, V. p., recevoir en t., — TfFLÉUKAY TIGÀ boucherie. pistache. Syn. b., g., Gèrté. bûcheron. b., malSyn. Ter. Syn. Tilimay. être sale, q., saleté. g., V. t., souil- salir, encrasser. b., malpropreté. Tilim. TIM, TIP, exercer le métier (le bouclier, charcuter. viande de boucherie. b.. TIFLÉKÀT b., boucher. V. lue, être V. n., ébloui avoir par la trop — g., TIM, V. t., être pla- au dessus, être en face, dominer, protéger. Tim dekà, arriver en face de la ville. Tim fiam être en train de man- ne le protège. Syn. Sepu. TiM, V. n., être obscur, gamin, polisson. du sacrum. ' cé TIKAR TIKAR os de berlue. TIMU, ger. g., ber- lumière. TIK V. b., être brun. TIKAL, TIKLO, v. t., brunir. g., i coupé, bûchette. abondance. TIFLÉ, Had forêt. la TILIMIT b., crasse, ordure. TILIT V., reiie de bois dé- de coups. TIFÂRU, Syn. de crasseux. TILIMAY dis- Tifâr V. TILIMAL, ler, envoyer, ncca))ler èt, qui selle. en abondance. tribuer sâga, crochet b., morceau chacal. b., chien de TILÀKÀT TipiÂLÉ, V. t., entr 'ouvrir. TTF b., rhumatisme. Borom tif, t., bûche, b., découpé. TILA TIDTKU. ouvert. couper du bois mettre en fagot, bû- v. cher. Tipi, tir TÏLA, pour le Kèn timuvu ko, personne lé- ; I — TiM sombre. nébreux, obscurité, g., — ténèbres. TIP V. nà asanian timal vi a obscurci le TIMAY b., Tîm. TIMBI, Hin obscurcir. t., l'orage si, Syn. obscurité. Y. reve- n., nir sur l'eau, surnager. TIMIS soir. Syn. Marah. TIN jointure du bras avec b., TIN, mettre en n., V. petit gracier, t., pardon- remettre une ner, dispenser, créance. Tin ma siunà bor, re- ma mets-moi TIN, V. parlant du TIN, n., V. couvert Syn. Til. en être au-dessus du être ciel. pouvoir de quelqu'un. Hâlèl nâ ma, cet enfant est au-dessus de mes forces (je n'en puis rien ifaire). Kii darà bilé tîn celui qui tifiul, peut tout. TIN, V. t., aider à accoucher. Syn. Bévli. TIN d., TINAL, ser, ditin, V. tracasser mil. petit éprouver, pres- t., ? lé quelqu'un pour TINU, de pardonner. b., V. t., accoucheuse. demander pardon. Tinu, nà mandé — b., prirdon. la, je de- p.irdon. action de approprié ce v. TIRING Ham tir, truc, savoir faire. g., tiring nïi u ii gâl âm, il connait le truc pour bien diriger son bateau. TÎS, V. n., se dit de l'eau qui se brise contre un obstacle et retombe en pluie fine. Gêt ga'ngê tis, la mer en se brisant retombe en pluie fine. TIS, la éclabousser. Tis nâ m'a éclaboussé boue. Binit tis nâ ma, V. t., binit, la boue il m'a fait urie écla- boussure. grâce, t'ai s'est ? moucheter. TIR g., palmier. Div huile de palme. avec TINKÀT qui tacheter, t., ma action décou- Tapa), TIPRIP m., caille. TIPTIPAL, TÉPATÉPAL, dulgence. b., petite la V. s'approprier TIPO, t., quelque chose. Kii tipô tôl bi- savoir quelque chose de lui. TINÉ g., grâce, pardon, in- — de (dér. champ dette. n., de tacheté vérole. TIPI V. Vol.) dre. petit tas. b., TIN, (Prov. TIPÂNTÉ, TIPANDIKU, TIPENDIKU, V. q., tacheté, tigré, moucheté, pommelé. Tipandiku tas. — être verb., TIPALI, JËPALI, v. n., s'oules \eu\ en écartant les paupières avec les doigts. Bàlâ ngâ tuf II tipalil, avant de te bassiner les les yeux écarte ndambal, main. la n. V. loc. coupé, se couper. paupières. crépuscule du d., (né), deman- Jaire t., vrir ciel. TUMBI, V. der pardon. TIP, V. Tim, Syn. Tinuiy. TIMAL, TIS TINULO, Len- Syn. dem. — X\i demander — b., éclaboussure. TIS (né), loc. verb. être coupé. Yen g a né nâ lis, le fil s'est coupé. TISALI. V. Tësali. . — lis TÏSAT, V. n., rejaillir, se répandre de côté et d'autre. ÏISBAR b., tenip^ de l'après diner, de 2 lieures jusqu'au takusun. — et Su soir. le Tit nu avare. fiàiis, dèni, heures. 2 gourmand. Syn. Fuk- être n., V. ti ntit g., n., V. dont on se sert pour s< mettre à l'abri des mousti air TODÀ du ki, L, gourmandise. troubler, se TU hè di Iph, trembler de peur. Tit bè dë, être consterné. Syn. Bet. g., b., alerte, peur, éton- — nement, consternation, effroi, frayeur; v. qui celui ef- fraie. TITIR, V. Pégét. TITU, V. réf., s'étonner. TOB, Y. n. produire du gui, des plantes parasites. Garap gilé tob <na, cet arbre a produit du gui. TOB. TOBI, y. trous dans la p 0 se r me n ce — 1 ou trous y., des faire pour y dé- dépose l'on semence. TOD, li, se a t., terre Y. être brisé, n., ravagé, Ndâ Bëv mu^ ruiné. un vase brisé. royaume ruiné. — V. vager, tod nà dans })èn(i ' le a tod, tod, un dévaster. dekâ détruit Cayor. ta Damèl Kayor, un le village du dit se t., leurs des engros be- V. briser, t., lier le todnl serin bâ, /la savant détruit les un char- mes du marabout. TODAT, V. casser t., morceaux, sieurs en plu- casser sousortes de choses. toutes TODAY b., action TODÉ V., espèce de briser. de poisson peau noire. TOpiT démolis- brisure, b., sure. TODKÀT qui celui b., brise dévaste. ruine, TODLÉ, t., avoir ses esaffaires évanouies, Todlé nu, je brisées, ruinées. n'ai plus d'espoir. Y. pérances TOPÔ, V. roc, se briser l'un contre l'autre. Lèkèt yâ yépa todô nànu, toutes les calebasses ont été brisées. TODTÉ b., pillage, dévasta- tion. TODTOP ture briser, démolir, ra- t., ruiner, Damèl démolu dé- je vais avoir font ham-ham homme ;i b., V. qui TODAL, certer. TITALKÀT êtr< né todâ pouvoir des magiciens. Borom- alarmer, décon- peur, effrayer, ma soins. faire t., avoii du repos, repos. vent TÏTLÔ, TITAL, verb., loc. avoir maintenant fants s'effrayer. la (ne), loisir, inoccupé. Lëgi être stupéfié, sur- s'alarmer, pris, briser. se élevé et en pleiï lit 1)., TODAL, gourmand. b., TIT, de action b., T(J]> hnlé. — — TOF — heures 2 tisharé nous partirons après ÏIT, — ques. être entre n. V. , 3;^ — ; TOPU, truit, marque de V. p., être démoli. TOF, doigt b., frac- malheur. bâràm u — cassé, , u dé- digâ^ annullaire. TOFAL, TOFALÉ, v. t., con- r — ÏOF coiiclni(\ tiniR^r, h., suiîe, , Tojlantc suc- série, TOG, n., V. du quille, s 'asseoir. Ligéy fôg, il n'y tous ont du aniul, pas a d'ouvra- loisir. OGÀ, V. t. porter, prendre Togh quelqu'un en croupe. ma, prends moi en croupe. 1 TOGA, cuire, V. cuire, t., bouillir faire faire des TOGÉ TÔGLÔ, V. t., rOHOR, par ^heau, chaise, V. réf., engourdi longue et d'une TOYORO, jouer de la flûte. b., nûte. — —, TOIIU b., être n., V. moine pose. TOIIORO, igen. usb) n,, v. pipe, ca- déloger, se g., lumet. Syn. Tiihii. TOHU, n., V. TOHULÔ, Pa- asseoir. bois TOH, V. faire banc, Y. TOKO b., esca- perles. Syn. aigre. cuisine. imir, t., souder du mortaiser du bois. b., union, soudage, mor- TOH (né), Syn. TOHA, 1. verb., dégout- Toha. dégoutter, tomber goutte à goutte. b., goutte d'eau ou d'autre liqueur. V. n., TOHÀ, V. q., y. Tehâ. TOHAL, V. t., transférer, placer, faire Tohal nêg, un changer jns, cheval. dé- de lieu. déplacer une porte circoncis, lo chargé bas offices. loc. su p. de collier g., F or oh très toi, TÔL b., champs, jardin, domaine, fonds de terre. Dig*ii tôl, bornes d'un champ. Tôl u nôr, jardin bel le -sœur, taise. nom que des plus délo- faire t., Tuha. TOKORO TOL, b., V. partir. TOKA, des léger. trône. TOGUKAY case, frot- Toha. suite dernier faire liège, i)., ter. se TOHÈL TOiîATOIlA, ger, placenta, 1)., TOGOR TÔGU b., — , de TOIiONîJ, gonlte. Syn. délépoli. fer, es- transporter ailleurs. TOGAKÂT 1)., cuisinier. TOGA g., iiieU prc'jiaré. TOGA^ 1)., ricin. Syn. ' n., V. yeux. les action b., TOHV^U, re- mèdes. y rOlION, yeux. ter les fig. tran- n'avoir pa-^ népiV reposer, se d'ouvrage. Au tenir se loisir, I p dégout- faire , s'essuyer, se frotter les yeux. t^voir : t frotter — — généa- gir, l V. TOilAfS, suyer, , logie. . TOllAh, succéder. se cession. les TOI. ter. v. uns après les défiler, — — ^ suite. la TOFTOFLË, TOFLANTÉ, réc, se suivre autres, à — une liror conséquoncc, meltre XV^ et mère de TOL. V. pair, d'hiver. belle- Génav m ère, la femme. n., être manquer seul, d'un tôl, sœur im- corres- pondant. ti suimâ Tôlu-ma ndèy, je ne suis pas le seul enfant de ma mère. Durom i haIci yâlé anda, kènà tôl nà tâ^ de ces cincj enfants, il y en a un d'impair (qui manque do correspondant). TOL g., landolphia owarien- — TQL sis, liane haut .(les montant jusqu'au ou formant arbres, un buisson très serré et donnant un caoutchouc très es- TOLÂTLÉ, TOLÂLÉ, mettre en vis-à-vis, môme v. ligne, direction, conjecturer, deviner. t., dans ajuster, Tolâlèl sa bena-benà bilé, mets ton (xjil devant ce trou. Tolâilêi li ma amé H sumâ loho, devine ce que j'ai dans ma main. bel iH — b., conjecture, devination. TÔLÂN, un TÔLÂNKÀT demander n., V. passage sur passager b., à griot TÔLÈNTI, V. t., renouveler, rendre pair, doubler, donner un correspondant. Tôlèntil os gi, double l'hameçon. TOLÔ, v. réc, être vis-à-vis, de même taille, à l 'opposite, poids, mesure, etc. Mâ'k yov a tolô, nous sommes de même Nâr i saku yilé tolô, ces deux sacs ont même poids. Bër ak Ndaharô tolô, Corée et Dakar sont vis-à-vis l'un de taille. l'autre. équilibre, b., état d'être mesure, quan- TOLOAY b., Syn. Tolu. TOLU, V. n., être de telle quantité, mesure, longueur, de tel nombre, poids. Fô tolu ti sa ligé)', à quelle quantité estu (où Bâ en es-tu) mu de ton ouvra- von nâ ti 5o i at âm, à sa mort, il avait 5o ans. Tolu nga ni man, tu es grand comm« moi. Toge. lô'k Ndakara, être à la hauteur de Dakar. b., mesure. Lu amnl tolu^ — immense. V. dëé, tolu tromper, faire se n., une bévue. — erreur, bévue, défaut. b., TOMARNI, V. TOMARNIKU, détromper, t., V. se réf., dé- tromper. TOMÂTÉ, TOMBA gousse, etc. tie Tâmâté. V. coque, b., TombH coquille, par- bérèf, charnue du melon. — point d'écriture. V. t., confondre,, prendre une chose pour une autre. Syn. Davâlé. TÔ'N, V. t., faire tort, préjudicier, causer du dommage, nuire, offenser. préjudice, domb., tort, mage, détriment, délit, offense. Tôî^îÂN, TÔNTÔNË, V. t., faire du tort à tout le monde. b., — TÔ.NÂNGÉ quentes. Syn. b., offenses fré- Tôfi. TÔ1>ÎÂNKÂT b., celui qui du tort à tout le monde. TÔNANTÉ, v. réc, se fait nuire mutuellement. TO!NARBI, V. se venger> t., user de représailles. Sô ma tôné, ma tônarbi la, si tu m'of- fenses, je vis-à-vis. tité. TON TOMÉ, navire. bord d'un navire. TÔLÉ b., bouffon ou de la dernière espèce. — — TOM, timé. la 33'i te le ferai payer du- rement. TONDUT g., Y. Dor mbot. TÔNÈL b., offense. Syn. Ton. TONÈT (né), loc. adv., répondre aussitôt. nèt, y il TONGA, lieu Mu né ta to- répondit aussitôt. V. n., être dans un élevé. TONGALOR b., TONGKOM b., TONGLAY, V. lieu élevé. vin de palme. être ©n« n., . r TO^ F du avoir fatigué, niiyr. ;çrin. : :^:> v. après, hal. professer, — — personne — V. sur les de porter une sur ses épaules. TONGU, V. t., être désuni antipathique, avec quelqu'un, supporter, rien ne pouvant garder rancune. TONGU quel lioyau 1., on cultive le a\ec riz. le- Syn. Kobi. TONI, sus d'un V. enlever t., des- le de) mu que tu fais, ' — n., Iramblements TONKÀ b., des avoir nerveux. tremblement ner TONO, V. t., gagner, avoir du bénéfice dans le commerce. gain, b., bénéfice. Syn. de pois- Vés. TOPARÉ, tre b., espèce son. alter^ action n., aller se metde quelque chose, pour mieux — tre voir. action b., d'aller se met- vis-à-vis. TOPATO, V. t., s^'occuper d'une personne, avoir soin, administrer, se mê- — affaire, s'enquérir. occupation, négociarecherche, soin, sollicitude. Naka'b topato gà, incurie. Dà ma baré topato téy, j'ai d'affaires aujourbeaucoup d'hui. TOPATOKÀT b., celui qui a b., Topatokat TOPÂTOPÀ, i V. ycré, n., linger. persévé- rer. TONTÀ, v. t., payer le pas sage. — alterner, une chose V. vis-à-vis soin. TONON réc, V. tion, veux. — ce alternation, b., ler de, paroles. Lô tout d'alterner. mesurer y. imiter. ko, native ment. d'une ses t., l'imite. il faire défiler, Toni div, liquide. écrémer. Toni mpurit, écumer. Toni vah, parler avec réserve, TOXKÀ, V. lopando TOPANTÉ, action b., personne toj)a, ta, TOPANDO, une porter épaules. t., ta colère. réciproque. TONGOP, Topa suit. antipa- rancuiio, b., , bu tcpà, ce qui suivre après. Topa yôn'Yalla, pratiquer la religion. Topa sa nièr, écouter sa antipathique l'un à l'autre, se garder rancune mutuelle ment. thie venir sur pratiquer, Bès servir. lendemain. Lu réc. v. marcher imiter, traces, les suivre, t., succéder, TO.NGL.WLO, V. t., oniuiyor, lonner du chagrin. Syn. I)à- être . réponse. b., TOPA, TONGO, TONGUANTË, I Ton — clia- Ddhlé. Syn. — TOPU, V. p., pouvoir être Y on vi topu nâ, on peut suivi. p., prix r TONTONÔ, TONTONTÉ du passage, V. Tônan. (tontu, anté), v. réc, se répondre l'un h l'autre. TONTU, v. t., répondre. Bàlà n'gâ tontu, dekal a dégâ, avant de répondre, entends d'abord. facilement suivre le chemin. TOR, V. n., verser par intervalle, par jets séparés action de verser par b., — jets distincts. TOR, V. TÔR b., Sor. pied du lit, gros M— TOR de bois morcoaii le qui adject, V. être honteux, déshonoré, pe- déshonorer, avilir, confondre, humilier, abaisser, honnir, outrager. TOROHLU, V. réf. s'humilier, se confondre, etc. TOROHTÉ b., honte, avilissement, confusion. TOROM b., siphon, tuyau à branches inégales. V. n., tirer de l'eau au moyen d'un siphon. TORTOR m., aigrette blanche. Syn. Varapnlo. V. t., , TÔRTÔR, b., V. fleurir. n., V. faire t. fleu- rir. TOS, TOTI, V. t. fumer, enun champ. graisser — — , TÔS b., (né), engrais. loc. verb. retour- précipitamment sur ses pas. Nèl tôs dèJu, retourne bien vite sur tes pas. TOSKAN, humilié, abaissé, b., misère, — TOSKANU, pauvre, être n., y. V. affligé, misérable. abaissement. rendre se réf. misérable. TOSKARË, V. n., être infor- degré de misère au moral comme au physique. tuné, — réduit b., au homme dernier misérable, ab- se ta N< donkari, s'est il ac croupi. TOTÀ b., fruit du baobal qui mûrit avant d'avoir attein grandeur naturelle. sa rOTI, Y. TÔY, V. jeune, Tas. q., tendre, mouillé nouveau, être vert, Sengd nui toy, vin dt palme nouveau. Lir bu tôy, nouveau-né. Hol bu tôy, cœui frais. tendre. ma I^<ih Tôy verte. herbe tôy, ou bip hep, très mouillé. — b., action d'être Y. Tuy. mouillé. TÔYAL, V. t., mouiller, tremper, imbiber, baigner. Tôyal ak dérèf, ensanglanter. TOYOM g., blanc-bec, qui n'a pas encore de barbe. TOYORO, Y. Tohoro. TOYÀNDI, V. n., être encore frais, humide, jeune, à son commencement. Bà voh dilé dî toyàndi, lorsque le discours était encore à son commencement. TÔYTOY, TÔYAY b., humi-; verdure. dité, Commence-* — Nâ nu ment, principe. te be- Us fa tôytôy bâ, résistons à la tentation dès le TREFTREFI, ler comme les principe. v. n., chance- ivrognes. Syn. Dnytidayti. ject. TOSKARÉLÔ, totà verb. s'accroupir. loc. blottir, TOY, fleur. ÏÔRTÔRLÔ, (né), se pir, nà TOROHAL, ner TOTÀ n., V. avili, couveuse b., poule 'qui couve. signer. t., naud. — couvée. g., TOSTANKÀÏ TORLU, ÏOROH, à — soiilioni lit. — ni V. t., réduire une extrême pauvreté, ren- dre misérable. 'TOSTAN, V. t., couver jusqu'à éclosion, faire éclore. qui ajouté à beauverbes neutres rend subjectif ou personnel le verb© qui dans le radical est objectif. Moy, dévier de, moytu. TU, coup suff. de — \Xh ô\ikr. vantn, prompt, gdAjouté à être (i(h\ s'empressor. certains substantifs fait e.n il tagatu, Taga, nid, nUer chercher des nids. convertir, V. n., se CB, un verbe. ! iinender, - tùh. — â amende- conversion, g., TCB'RABA h., qui laissant de côté le tamel le chant, ne s'occupe tisser. TUBÂB noir à manière des la Européens. Tiibâb de mulâtre, blanc, b., vivant i Ti F TUDA, blancs gêt, mer (blanc, pur sang). ÏUBÂBLU, TUBÂBTUBABLU, la n., imiter les blancs, vouloir passer pour blanc. Tubâbhi du tah à nékâ tubâb, imiter les blancs ne suffit pas pour l'être. \. v. nom dire le t., de. quelqu'un, nommer, désigner, invoquer. Tndal sa i sédé, nomme' tes iruioin^, Tudâ ndèy invoque sa mère. Kèn du lé néu-lô « tudà niv dèmYalla », personne ne nomme un défunt sans ajouter, « allô vers Dieu ». (Prov. Vol.). dà, i' — conver- griot t.iin (jii'à — pénitence. nuMit, ti, Ban corriger. se inipc'nitent. . s'appeler, n., V. , mu ndka tudâ, Lef comment II cela Nàkl nga tu? D. dâ ? B. Dèniba lâ tudà, santa Comment t'appellesDùj. D. s'appelle-t-il tu ? (nom de santa Diouf. Dèmba, m'appelk Je R. mon famille) est^ .TUDË, V. t., imposer un à quelqu'un ou à quelque, chose. Lef li nàkà la nu ko tudé? quel nom a-t-on imposé œ\'d? Di nga am dôm té tudé nom h. ché à un blanc. Yâ di sumà tubâb, VGV lâ di tiibâbu, tu es ko Sang, tu auras un fils et donneras le nom de. lui tu Jean. Tudé nà ma dôm àm, il a donné mon nom à son fils, mon blanc, c'est me suis attaché. caride. TUBÂBU, ^ TUBÎ^.y Y. être réf., à que toi pantalon, (]., atta- je culotte. tiibèy ii néka du dâru, qui porte une culotte de graisse ne se chauffe pas. (Prov. Kii sol celui Vol.). TUBÉYU, tubèyu TUBI, les vices •se et dâgu, fait b., Dèfô. porte il l'élégant. V. retomber dans t., qu'on avait quittés en convertissant, — mettre son revêtu. être di té pantalon réf., v. pantalon, en apostasier. apostasie. TUBTLÔ, V. t., aposta- faire sier. TÛBLÔ, vertir, vaise TCBAL,' v. t., faire quitter une habitude. cbxi- mau- TUDÉFUL, TUDÉFUR TUDU, 1., as. réf., se^ dit des sor^ sont forcés d'avouer tous leurs crimes. .4m na garap. gu, sô ko laké, demà yi di tudusi, il y a un arbre, si on le ciers V. qui brille, les sorciers viennent raconter leurs crimes. (Croyance^ popul.) TUF, V. t., gâtées avec TÛF, — yeux. — les V. un brûler les chairs fer rouge. bassiner t., les yeux. de bassiner b., action g., remède pour les. bassiner- yeux. TUF Tufli. (né), 1. v., cracher. Syn^ — TUF TUFÂN certains jours b., TOFAN —— , , TOK, TUiFLIT s'en aller, biti, va-t-en TCFU, V. autre. se bassiner p., se TÛKAL, crachoir. b., bassiner faire les par ngâ tûfu, ubil Biilâ battoir b., avant terre la le ! se retirer. dehors. pour amolde tirer les arachides. crachat. TUFLIUKAY fi TUKA, lir cracheur. b., b., yeux ou le TUKÀ, crachement. marque qui dégoût, interj*., Tukal H tuf. b., TUFLIKÀT un n., cracher. v. TUL mépris, déluge. 1., TUFLI, TEFLI, Syn. Né — de lune réputés mauvais. la 338 Y. chasser, t., ren- voyer honteusement. Tûkalal sa had, chasse ton chien. TUKI, v. n., voyager, être en voyage, s'absenter. Tuki rër, nir Tngal par Dekà bâlé, tuki pays est le tombeau de ceux qui y vont. Bè bà adunâ di tuki, jusqu'à ce que le monde parte en voyage (à la de fin sa avant qu'on bet, i yeux, les bassine te TUGAL, pays d'outre-nier, Europe, Portugal d'où semble vela le retranchement première syllabe. TU II, fumer du tabac m., fumée du tabac. TCH, V. n., être tout de suite d'appétit, manrassasié faute quer de goût pour la nourri- — ture, — la nourriture. tukhté v. q., duré longtemps. TUKIKÂT TÛXU, être dens'é, en parlant d'un mélange, d'ime bouillie; beau, agréable, harmonieux. Voy vu tuha, chant harmonieux, exé- primer, t., tracasser, op- Tuhal nit, persécuter. tracasser V. t., TUL harmonie. TUHKÀT b., fumeur. verb. Dom- TUK, b., interj. (né), et pà nâ tul, c'est tout plein. Né nâ fâ tul, il y en a là en gran- TUL, suff. des verbes négaSopâ nâ, il aime, sopâtul se supprime il n'aime plus. L' devant un pronom. Sopâtu ko, ne l'aime plus. {gen TULL tamtam faire ug) g., V. accompagner un un autre tamtam, t., avec l'accompagnement. di sabaru, tuli calumet. TUHUKAY sup. loc. de beauté, TUHU, TOHU à être abondant, être plein. il pipe, Dire fou. / cribler épaississement, b., moquer, mé- de vulnérable. trous. TUHAY traiter se tifs. monde. le TUHAT, voyageur. b., n., de abondance. avec entrain. V. V. quelqu'un tûk. TUL, V. q., être invulnérable. b., talisman qui rend in- épais, TUHAL, voyage. Sa ton voyage a b., yâgâ nâ, — mortier. petit b., TUHA, TOHA, cuté du monde). priser, manque de goût pour TUHA ce là, —, TUKITÉ n., V. sobre. b., aller se perdre. rër ouvre-les. pagnement et tu fais la partie Yâ di l'accomprinci- pale, c.-à.-d. tu affirmes et nies fumoir. dehors, va-t-en. en même — b., temps. (Prov. Vol.) accompagnement. — \VL ri'Ll nymphe 1).. TULIKAT TULUKUNA qui {tulu, g., liuile, TUM, servent le béquille. b., TUMBÀ clier môme nom. du •ivégétal dont bâton b., se aveugles pour cher- les tur, tur, flétrir TUMBIJI^ÂN V., espèce de raie, TUMURANKl^. vagabond, b., ambulant. TOT, \ TÛR moue. la TUNDÀ, éminence, colline, montagne. Tundâ vu Diganté u tundâ, dune, ndav, tertre. vallée. TUNDÉ, TUNDU, situé sur monta- être n., V. mu Bëv montagneux. gneux. tundé, où TÛR, vider, sans comme un V. verser, t., Tûr jeter. répandre., dugup^ sôv, répandre du lait, du mil. Tûr i fiân, répandre des prières. b., versement, effusion. — TURANDO — homonyme, b., pa- V. n., avoir le même nom, TURI b., case de Peulh. TURKI b., sorte d'habit, de flanc d'une colline. b., carquois. nain, b., , blouse. nabot, gourde b.. petite (ne) 1. TÛRLU, tomber savoir dans vide. verb. se heur- TUNUHTUNUHT, clier aretc., rend un culte aux anaux serpents. Tûr ma abruti, contre, monticule, oyuvul téy, le serpent n'a pas répondu aujourd'hui. pays courtaud. ter l'on pierre, fétiche, tron. ÏUNGUNf: TUNKÀ ÏUNUH m., cêtres, Syn. Mbartalu. TUN€ÂR renommée. Tur la serpent, bre, être escarpé, n., V. le rendre célèbre. Yakha vu nâv, mauvaise réputation, Naka tur, être inconnu. TÛR b., canon. Tûr u fètèl, canon de fusil. Tûr u kabus, canon de pistolet. Tën. V. TU5Î m., 1., lèvre. Tun i kov, lèvre supérieure. Tufi i sûf, lèvre inférieure. Luti tun, faire b., Boroni-tuT, être célè))re. Ut chercher de la renommée, tre. May poisson. percer un abcès. espèce de pois- t. TUR V., nom, prénom, renom, Tur u batâhèl, renommée. adresse d'une lettre. Tur n)u bâh, vu Tdjl't, bonne réputation. Tur vu doli, vu dèka, grande, renommée. .4 771 tur, être illus- de con- espèce b., fusil. son. combre ou de melon. Syn. Yomht:. "' V. t., bourrer un bourre de fusil. b., TUPÀ, V. TUPUiNDÀ tur, chemin. TUMBÀT l — nc- kuna, aiiK^re, en nianding.)» bre très touffu dont les graines donnent une liuile, ou beurre \tl\ TUPÀ, insec- <les celui l)., — M) sur, v. oii n., l'on l'obscurité, marva, dans état d'ivresse, aller à tâtons. TÛRU, V. sir comme un arbre, tûru, i car gâté, t., établir, fétiche, une se choi- pierre, Hêr vilé là nu ndégé filé là nu sûl sunu mâm, nous être n., V. s'abrutir. etc. c'est avons c'est ici de cette pierre que^ fait notre que nos fétiche, ancêtres. — Rendre un culte sont enterrés. riu\ leur porter de fétiches, nourriture, do iùriidi, gê la boiss-on. le letiche. — pandu, — lionneur rendu culte, 1)., au fétiche. Tl}RU, \. p. et être réf., ré- répandre. action de se répandre, se b., répandu. d'être TUS, adv.. rien. Syn. Darâ, néant, nullement, pas du tout. Tus nèku n'^ a rien. TUS b., feuille qui sort du cœur du ronier, du palmier. TUXSNGAL b., poudre noire que les jeunes filles se mettent autour des \ei:x. TUSNGALU, V. n., se mettre du tusngal autour des yeux. TUT — , brûlure V. q., Tût-à-tût, peu TUTÂ, tût, à très Bu un tût, TUT!, Y, t., laver le linge la première fois, dans la première eau. I., action de laver le linge — dans voler, TCT AL, TOTLO, v. |)remière eau. la TUTU (m.) b., bou- plant, ture. TUY (ne) loc. verb., se dit du bruit de la décharge d'une arme à ïvii. Soh hn né na tuv, a éclair. le coup Tt}\, TOY, Y. n., être badaud, benêt, —— , b., TU Y Ara niais. Syn. Noradi. badaud. d., récompense, mé- In'nédiction. Yalta jnay tuyâba, Ynl nà que Dieu la te récompense. peu. TU"^ à dérober. rapet., à peu. t., petitesse. b., adv., oiseau. petit Tût petit. at- peu, un peu. guère. Tûti galah, très peu. Tûti a téré, peu s'en faut. TÛTl'ALA m., (L) espèce de TÛTI, ou durillon. être petit. Ltr être V. un avoir n., \. TOTAY, rite, centime-. 4ût, une après amoindrir, diminuer, ténuer. excrois- plaie. TCT, 5 durillon, TUY tisser, il b., sance une fi, — ^un- vont honorer ils la 3/|o TUY 1)., sauter à la rin ri V, v. la corde. jeu qui consiste corde. n., jouer, sauter de l'alphabet volof, reprrsente l'articulation correspondant parfaitement à celle de la consonne d, dont elle diffère exactement comme le d du t. T: Aingtièiïie lettre forte TÂH T substitué T, certains de des subsbain, do initial, s fait Tangay, tantifs. sanqa, à -verbes b., baigner. Taytay polissonnerie se débauche, b., de saysây, être débauché. TA, TI, TU, prép. dans, envers, de, en. Ta hîr, dedans. Ti sûf, dessous. Ta hiti, dehors. Ta keVy chez. Ta ker âm, chez lui. Ta mpéhé, par. Ti kanam, lëdésormais, plus tard. « A gi » a gen « dâ am ti kanam » <( vaut maintenant » reçois mieux que « tu auras plus m tard . )) — — — , , Hama ma rien. le Ta mu bâ , ti fôfâ, dedans, en. n'en sais >adv., tus, je en ce lieu-là. Ta kô dogat, pendant qu'il découvrait. Ti hu gâv, à l'ins- tâai ta biti, vomir dehors. va TABA grappe de fruits, de grains, etc., pa- b., de fleurs, quet. TABAH, v. t., mettre dans, Lu 7ini gis tahah ta lohô'm, sur tout ce qu'il voit, il y met sur. la main. Se mêler d'une chose subitement et sans raison. TABI d., Dôm Syn. clef, i gâi. TAGA b., veuve, femme séparée de son mari par la mort ou autrement et qui mène une vie trop libre. TAGAU, v. veuve qui se n., dit mène une vie de la trop libre. TAGON, TANGOT b., espèce de crabe vivant dans l'eau salée. tant. Tilé, d'un coup. Dèmal talé, dans, en : tulé, adv. y, de- forme plus expres- que la précédente. TOTA, T»^TU, adv. y, dedans, en forme encore plus expressive que les précédentes. TÂA (né) V. n., vomir tout sive : TAH TAH, b., requin. TAHÈF b., le mil, l'herbe encore toute jeune. Syn. Sah. TÂH, V. énigme par t., proposer uno signes. Séïbé bâ dl tah nduli yâ, c'est le chef de^ . — propose à circoncis qui 3/|2 c^eux-ci — énigme proposée par h., Syn. signes. TÂH, ^TAll rets, filet, pe1., seine pour prendre les poissons. Syn. bal. M du cou. TAIIAN bagatelle, g., ])., ba- qui est de nulle im- ce biole, ornement collier, 1)., porl ince, Ngem drôlerie. Vah fâ- i tâhan, quo'\k fàhan, plais a me n t 1 Ije y ej 'i fàluin, objet de rieM. V. n., plaisanter, dire des riens, l'aire des drôleries. iian, {)réjugé. i 1 i m . — TÀllANÉ, Y. plaisanter sur t., ou quelque sur TÀllAXKAr à — V. , qui plaisant, b., marcher sur des n., V. , TAKAR b., d'une toit T\KARAKA turbot. b., TAKllA, Y. bu Bmihas q., être fourchu. takha, branche Syn. lioka. TAKRI ])., couscous trempé aYec du lait offert aux serpents fourchue. fétiches. TALAL chaîne du métier b., de tisserand. TALAL A chaîne. g., n., TAHAR a\oir des l)ul)ons. formée g., belle fleur non a i)àf î)Liki, tubercule est TAU AT mange les Syn. cous. vénéneux.. dans fleurs Mbûm TAHATAIIA le téré, b., jet, fourche,- d'un arbre cous- jnbûm à bourgeon les bran- l'endroit où séparent. se TARIN, TAlION TAHOV b., TALAYËR cloclietle. Syn. trombe, tour- b., geronnette. TALÉ, V. Ta, TALTALI, danser, tu. ti, sautiller, n., V. coups des lancer ber- de pied. TAM TAM, isun sa Y. exprimant inierj. ! t. part. TAMBAR, l'indignation. donner (L) à cha- Syn. Sèdâ. Y.' cribler t., aYec plante. g., petite b., branchies. graine du b., TAllTAH et V. b., poisson rôti, sé- t., faire V. des t., talifah. chatouiller. qui celui b., TAMBARUKAY crible, l'endroit b., instrument pour criJj'er. TAMÉN, îièu. désossé. TAIiTAllAN, TAMBARKAT crible. où l'on Syn. Sâl, kddà. — TALALA im panier, tamiser. Syn. Lay. déYeloi)pé, elles Daro d'imo chaîne. l'impatience, on dont liane g., luihojl, ii se fiel. elies anneau chaî.iun. talala, TALBÈT, NTALBÈT m., bubon. b., de beaucoup de fleurons rouges l'éiinis en glomérule. Syn. Tay[ay, case non couvert. billon. plaisanter. TAIlAR ché — Dololi. cho-^e. aijiie Syn. échasses. b., , quelqu'un, ].e TAKABA échasses. Pasiti. tite TAH A TAM Dulimâsa. énigmes par signes. (les — dans la TAMlN b., bouche d'une frère, scrur. TAMON b.. gauche. Suma loho'jamon, ma main gauche, m.-à-m. la maii de ma gauva à Déniai [i tamoriy clie. gauche. — TAM — V. , Dion /(/, être q. je suis TAMPOR 1., gaucher. Tagaucher. cire brute en rayon. m., TAR, comme certaines feuilles, comme celles et de certains ron, le pain le singe. TAMU, V. s'impatienter t., — em- être arrêté, n., V. pêché, retenu. Si^mâ hir iang nâ, ma ligne est retenue. Féka nâ gâl dèm, ma t.ctng fi, j'ai manqué retenu — bateau le et suis je ici. h., état d'être retenu, ar- TANGÀ TANGALI, V. offert TANGAY vêtement, pagne, de Sânga. d., asthme. pour efforts TA\TA 1., v. t., faire des empêcher, résister, honneur, Dér. célébrité. TAPA, V. par ruse, pointu. Tapa pak'ân-i, il son a respect, TASÉT rete- nâ yapà saisi — la V. p., TÂT espèce de pois- vê*k la faites avec la cha^r d'un memSyn. Motà. " cadet. ^Sjn. Ntàt. 1., avoir son n., V, tâtu, sumâ deker eu j'ai mon est mort. Kîlé est mon ter. — dë, cadet, lâ der- Dâ ma nier enfant, son cadet. dès que mon tâtô, mari celui-ci cadet. v. flageller, t., fouet- Syn. Ratah. 1., flagellation, châtiment, Limbes. TAVALÉ g., V. Teveli. TAVDI, TAVRI b., corde faide lanières de cuir tressées, servant à attacher des grisgris re- te être attrapé, re- ou action tenu. TAPUKAY re- passes b., TÂTU, viande d'attraper. TAPU, verb., bout, extrémité. Syn. 1., bre malade. do b., loc. mon tour. TASULÂN V., TAT un instrument couteau. TAPÀTAPA ment. {né), subitement ce qui a été pris. Dèfà né tas suniâ dèn, ma né ko tasèt, il a escamoté mon poisson, je l'ai escamoté prendre TAV, attacher, avec saisir prendre escamo- ter. de Santa. t., lait nerf. subitement, arrêîer. —, tendon, verb., Dér. TANGÉY tenir, b., loc. 1., TANGTANGLU, avec fétiches. main sur couverture. avoir la diarrhée évacuations sont {né), de Dér. Sanga. nir, n., les Ntat. etc. bain. b., V. aux TAS TÂS ôter ce qui t., retenait, TA.NGAY d'un mur. espèce de panier. son. intestins grêles. empêchait, b., comme de l'eau. TÂRKI b., couscous ou couvrant graisse b., étai TAR, quand à rêté. les b., TÂR contre quelqu'un, TANDÀ b., piquet de rônier. TANG, appuyer, étayer, t., Syn. Ses. appui, étai. Tar u ma- V. accoster. de filaments du palmier-nain fruits TAV radj TAMPOR de — sa des bourses. TAVGU b., instru- dait dais, b., voile qu'on étensur le roi, en forme d^ en temps de pluie. . _ TAV TAVKÀT b.,flage]]eur, _ 3Z,/, TËLÀ b., TËLÂRAL foii-et- teur. ÏAYUKAY Von est châtié. TAYTAY — où endroit b., Tahar Tôl riz.. TËBI venimeux. serpent Syn. TELKEM l'hivernage. Ntèbo. de Sébi. Dér. — soleil. du épi b., TÈNÂTU, gros vant, écorcer t., baobab le et certains autres arbres. TËHËF feuiliage. b., Tr^HTËHAX, inèmo Dér. de que =o is mauvaise mener n., V. vie, une en parlant d'une femme débauchée, Syn. Gtirbo. TËKËM d., espèce TËKTËK de — parlant Sèla. bi, le la 11.. Tcûèr^ Syn. ]:i>on. TËNG, TËNDENG, loc. verb. guéri. Né nà tçng, il est guéri. Vér tèng, complètement être TËPÀ poule I)., (né), loc. n., de chien- aux Syn. TÊPATÊPI, plu- V. V. être n., Tijjdudiku n., , ta- iipanté. tomber goutte à goutte. verb. Syn. Aé Mik. intorj. Tel V. espèce g., TËPANDIKU. pois- hérissées. TËL nég ii rayons dans ses da'am. cheté. TËL, tëné darde dent. son. TËL de lumière. rayonner. Dan- jet n., chamljie. câ- lin. leicr^. b., V. guéri, très sain, très sûr. ^ b., sa- " TËKAL, leinnie. le l'use. ba'ngi ta faire n., V. rusé, chercher à attra- TÈNDÈN soleil Trlii rhan mer le per par Spha., — soleil. TËNÉ, Y. chauffer se n., b., endroit oii l'on se chauffe au soleil. Randul H samà ténâklu, retire- toi de mon arbres. , V. ù e.xé- TËGÀ. !.. écorce intérieure du baobab et de certains autres — b., TÈMKLU, corde. V. tendre. (An) chaîne. très TËN au grappe. mil, oiseau noir plus corbeau. duvet, poil ou b., b., autre- culer toutes ses volontés, bonnes ou mauvaises, homme de (le plume Syn. TÉDO b., fétichiste; fois, homme du roi prêt TËGÀ, embran- le TËMBA première pluie qui b., commence sac et que petit Banda. TËBO ci- chement. TËBU, (]., long, gros, longue. b., second TÉLIT têb, i Syn Mâlo. rizière. tranquille. très trouille g. silence. b., TÉLÉ b., embranchement. TÉLINKÀ b., espèce de Ntaylay. Dér. de Saysay. V. silence. sup. Nèl tèlà IcJùral^ loc. , sois Syn. L, TAYTAY 'g.; TÊB b., (K) TÈP faire ! silence ! roules. Syn. TIPÊLU, descendre d'un lieu élevé en sautant ou en glissant le \on^ d'uiie corde. V. s'embrancher en de deux TÉPÊLU, TIPÂLU, si- n., TËPTËP, TOPTOPI, frétiller, sautiller. v. n., — TER — — . TER bre, lot, V. mem- portion, Syn. clïapitre. TÊR, TIP d., couscous. Tèré'toh, TIPTIPAL, TIRIP, TOB liaine, cou- loc. fi, détestation. yerb. des coups de fouet sur donner le der- (né), loc. verb. saisir à gorge. Tl\, NTIN marmite. 1., D. ndèy yii bokâ té lâléti-nii ? R. NèVi tank'u tin. D. Trois frères réunis qui ne ï^èt i dôrn î touchent jamais ? Les trois pieds de la marmite. (Enig. se Fûléu-ma tin lu bahul, de côté la marmite qui ne bout pas. (P. Y.). TIN 1., gencive. Dér. de Sin. TINGOLI g., arbuste dont Vol.). je Y. Sé- tonkom. g., disposition providence de Dieu. divi- Syn. TOP, V. prendre par t., petites becqueter, poignées. espèce de morue. V. réc, se becque- b., TOFANTÉ, mutuellement. TOFTOFÉ, V. n., prendre souvent par petites poignées. TOGÈL b., bête à vendre. qu'un, manteau. t., approuver quelranger à son opi- 1., TOGU, v. se nion. rière. TIH dattier-nain. g., TOGU (né), jeter dans l'eau. t., TOBARÉ ter Ta, Dér. de Sib. TIF V. sonsor, TOF, Syn. tu. b., lar- TÎRÎR m., ligne de cheveux laissée sur une tête rasée. TÔF TIBËL piquer, t., Lob. Lo" leur bleue. Syn. Mhêh. TI, prcp. eî adj. V. V. lèvres. ne, — pagne bleu, pincer TIPU, V. n., marquer son mécontentement en pinçant les nom de la résidence 1)., du. chefs des marabouts. g., adv. se loc. der. ba, la (né), pêlu. Seriiî. TÈVÉLl pous- des lèvres les couscous mélangé de son. Tèré ndandâ, couscous non fermenté. 7^arc néh, baré tèrê ko gen, Taut couscous beaucoup de mieux que beaucoup do bouilTèré sing, couslon. (P. Y.) cous ordinaire, par opposition li'rt' sinûra, couscous extra. à TÉRI?N \.. état de marabout, sacerdoce mahométan. Dér. de TËRXO b., cadi. TÉTÈM b., hiix: TEV b., brruf porteur. piailleries b., pour marquer le mécontentement. TIPÂLU, TIPÊLU, Y. Té- Syn. Hoti. TÈRË 7.011 sins. Vala. (L)l déchirer. t. — TIP frôfillenient. h., , b., 3/i5 laisse l'écorce sert 'à faire des cordes. b., ntogu l., action d'approuver quelqu'un. TOGUKÀT b., celui qui en approuve un autre. TOH g. Y. Bondé, grand strophantus. TOH son, b., résidu de la farine. TOHOLÂN bords de la b., mer. crabe des Au moral, grand voleur, type du voleur. TOHORO rement faite gros mil. b., flûte avec la ordinaitige du . — TOK TOKARFÈT tique, plante aquablanchâtres, g., feuilles à réunies en forme rosette. Syn. Tambalay. TOKÈR h., perdrix. de épaisses, am, detâ dà né for, son pus le on a perc*'' par sortit jets.^ b., couscous trempé peu d'eau. Syn. Kas. 1., un T () RO \ TOS d . p ri n tem ps , de courant (L) b., la mer. Sol. TOlA, vancer, TIOS V. Tiila. TOLÉT verb. loc. (riê), s'a- en forme s'élever de TÔLO feu, air chaleur venant du b., embrasé autour du feu. chaleur qui sort Tolo gémin, haleine. Tolo'safara, feu. TOMBÔ, interj., TON, n., y. stop. être arrêté dans jeu appelé kuri. TONGÉKÀT marche n., v. vin m., TOSTAN de TOTÀ, tourment. TOY, cou- réc, se donner des coups de coude l'un à V. — b., TOPOR rapiner, voler TCB NTCB TOPTOPI, V. Teptepi. fôR, NTÔR g., palme, bran- ti, b., 1., Dér. Sù'h. coups V. ma. TUIIAT, de donner t., quelqu'un. à V. t., des Du- Syn. percer, cribler trous. sous la pour l)arbe inférieure. V. sous le mouche, b., lèvre mettre t., l'œil à le quelqu'un provoquer. (né), b., genre d'oiseaux palmipède, plongeon. TUMBÀ b., TUMBUR, che de palmier-nain. sortir par jets. Ta, TULA, TOLÀ ricots. TOR, TUR V. couleur, de Sûb. Dér. de arrosage. b., teinture. teinte, doigt couscous aux ha- adv. et tu. TUHUN, rapine, petit vol. V., du froide. TUHUM l'autre. TOPATI, V. t., peu à la fois. treriiper n., — TUHÂ, mesurer par couSyn. Hasabu. t., TONTUANTÉ, (or, l'eau de. dées. dér. Honha su p. rouge. V. Ntoy. V. in. ti, adv. pal- TCH V. V.rr/, loc. très TOY, coude. b., vola- couscous avec de l'eau froide. couscous trempé à b., de Sona. coups de TÔNTU, TONTOM, de qui souffran- g., Dér. des donner , adv. 'TÔTU, TOTULÉ, de Ta, ti, tu. TU, prép. TÔNO, NTÔNO ergot b., tile'. mier-nain. , de Dér. fondation. TOYOM, celui b., à cloche-pied. TONGKOM — commencement, 1., origine, être TONGOLI, TONGÉ, marcher à cloclie-pied. — (F) pioche. h., T0>^^ Sos. tertre. ce, abcès, TOR TOL, TOLIN b., costume, made s'habiller. Dér. de le — avec nière du 34(; loc. verb., Dé nu benà tâb ânon. TÛ?Î 1., le cablière. TUMBURVÂNÉ plus beau b., collier ï j ^ I — TfN celui i'einme, il'iino auquel plus orné, qui e^t le tient le elle plus. TCNÉ, — TUNGÂ, indomp- être n., V. TrXGAKÀT qui b., est in- dont on domptable, force b., ne peut venir n., V. bout. porter le beau (né), Dérèt jaillir. sang en TURI TUS (né), loc. v. né nà fa fur, le b., arbre son et qu'on mêle au couscous ou qu'on mange rôti. fruit TURLÔ, TUSLÔ, V. t., faire jaillir. TURPI, pieds liés V. n., tom- (né), Y. Tur (né). TUSLÔ, V. Tnrlô. TUSTUSI, V. n., bruit la graisse que qui bout. TCT (né), loc. verb., piquer quelqu'un. Dék dèf ko né tîd, nia tel), une épine l'a piqué, sauta. TCT, v. piquer avec un t., — b., action âe piquer. croupion de TUTÀ b., la (L) de poule. poisson, nombril. Syn. Luta, Huta. jaillit. g., \erb., TOT b., poussin. TUTÀ b., gésier jeune requin. b., loc. instrument. à collier. TCR TUR (né), TUS' il TUNGÂY TCNU, ÏURUH fait table. TI;Y ber tout-«^-coup dans un trou. Dér. de Siihiih. l'ouvra- ?i Ignorant, noVice. b.. — novice, être n., V. manqiîer d'habileté ge ou au jeu. 8/,7 sauter avec ensemble. les TUTÀ, Syn. V. t., voler, dérober. Safa. TUTÀKÀT TU Y, ^. t., Toleur. frapper avec une corde. Syn. Rat ah. b., u u, vingt-et-unième û, comme en u est bref, lettre allemand ou en û suff. ajouté qui, à passive signification un UB, ; — comme fruits, etc., le finale de l'adjectif achèterons. U, ad}, conj. du, des. Hâlis u halèl yâ, l'argent des enfants. Sûf u bûr, terre du roi. Sumâ had u 'bây, le chien de UBIKÂT b., pr., b., porte, b., celui qui ouvre. être fermée. porte, couvercle, fermeture. UDÂ, UD même V., vwdé et même que v., vudà, de cheval. écurie que vudà b., Digèn du rival. V., ucVam de, dara sohalu ko une femme dont la rivale morte, Vol.). UDANTJÉ, V. CDÉ Vudanic. cordonnier, \. n., exercer le cordonnier. — de ta, est n'en a point de soucis (Prov. b., , UDÉ, V. n., même que métier vudé, rivaliser. — un la vent du V. UBUKAY entre le s'ou- orifice. b., UBU, devant un nom, surtout chez U fas, le cheval, les Lébous. cheval. U kasan, nord, à Dakar. pr., couvercle, fermeture. UBI, V. t., ouvrir. mon père. U, part, faisant fonction d'adjectif défini, et qui se place V. être ouvert. KUBËR UBËR, défiini que la position de l'objet est inconnue ou vaguement connue. Fâs vu nu di le cheval que nous dèndâ, s'épanouir, UBÀUKAY, le indiquant fermer, clore, bou- t., UBÀKU, UBIKU, vrir, u substantif en verbe. Yohos, huître, yohosu, chercher des huîtres. Sébét, petite moule de mer, séhétu, aller chercher des moules. U, voyel- V, cher, couvrir. ou Rahas, laver, rahasu, yahd, gâté, se laver Ajouté à yâhu, être gâté. certains objets qu'on va cherêtre lavé, change : CF réfléchie. cher, comme et » grand nombre de verbes actifs terminés par une consonne, ou par la voyelle à, leur donne une se prononce ou en français volof l'alpliab-et est long. U U, âe italien ÛiF, v., V. ses rivalité. t., embrasser, bras,' presser pK)itrine. — b., embrassement. porter contre — UF UF, int^rj. exprimant le déle mépris. CFÔ, V. réc, s'embrasser, se jeter entre les bras l'un de dain, 3 HO — i-pu tanner, ibu préparé. — courroie, peau tan née . b., ULIKÀT l'autre. CFU. corroyeur, le premier jour du teur. quelqu'un se bras de sa mè- cacher entre les re en parlant des enfants. UFU, V. t., mépriser quel- carême qu'un en lui disant Uf ! UG, adj. conj. de, du, s'emploie quelquefois par euphonie j)our II après les mots dont l'adj. défiini est g. Ngur ug Y alla, règne de Dieu. mier jour de réc. UM tre la poitrine de UKAY, suff. qui, ajouté à un verbe en fait un substantif désignant l'instrument avec lequel se fait l'action exprimée par 'le verbe, ou l'endroit où Faction se passe. Lèkà, manger, lèkukay, l'endroit oïl l'on mange. Ligèy, travailler, ligcyiikay, endroit où l'on travaille, instrument de travail. UL, VUL, suffixe négatif des verbes. Dèm dèmul, il nà, il est parti, Vul s'emploie avec les verbes déjà terminés par u. Yahu nà, il est gâté, n'est pas yahuviil, il parti. n'est pas l'un des plus beaux arbres du pays. Il forme un immense parasol d'où partent une foule de fleurs en boule g., de couleur pourpre. Aux fleurs succèdent des gousses longues remplies d'une pulpe jaune sucrée. Ul u néy, bel arbre de la €asamance ressemblant au flamboyant. ULERI, liance, ULI, mahométan, il s'em- ploie aussi verbalement. Tèy la um, aujourd'hui le premon carême. UM, V. t., enchanter, porter malheur à quelqu'un. Yâ ma um c'est tèy, tu es cause que j'ai chance aujourd'hui. charme, ensorcelleg., ment, enchantement. mauvaise — UM, dents, V. et t. agacer n., les avoir agacées. les UMKÀT V., enchanteur, celui qui porte malheur. UMPA, V. n., être caché pour, être un mystère pour, être ignoré, être un secret. LôZu, umpâ nà ma, cela m'est un secret. Yalla darà umpu ko, il n'y a rien de caché pour Dieu. UMPÂLÉ, V. Nhèl avoir n., pour âm um.palévuî kon darà fi adunà si, son esprit n'avait rien de caché dans mystère. l'univers. gâté. UL g., domp- b., se presser con- V. dompter (un nu uli, cuir corroyer, cheval). Dcr même que voleri, al- testament. Y. t., môme que vulï, UMPU, V. UMU, V. on n., être se p., mystérieux. dit de celui porté malheur. UPÀ, V. t., souffler en parlant de forgeron, faire aller à qui un a ou une soufflet . quelconque, éventer soufflerie avec un même que Epà. UPÀKÀT b., souffleur. éventail,* UPU, un V. t., éventail, — b., forgeron. se rafraîchir avec même éventail, que Epu. soufflet de — UPU UPUKAY b., soufflerie, que E pu ko y. URBIS h., crevasse aux produit pieds même qui se pendant l'hivernage. URI espèce de jeu composé de globules ou noyaux durs d'arbustes appelés kuri. V. n., jouer à ce jeu, ou à tout autre jeu. URI, V. n. Y. Vuri. URIKÂT b., qui joue à iiri, ou à tout autre jeu. — b., , 35o — UYU dommager. par mouton à UTALÉ, Y. rendre distinct. distinguer, UTANTÉ, UTÂTÉ, différent, différer — — , différence, 1)., , UTÉ, patate noire, originaire dan et tiès l)onne à UT, Y. t., chercher, perquisitions, pourvoir. UT AL, V. t., du Soumanger. faire des s'enquérir, se remplacer, dé- m rnqué — tion, dis- être an, dissemabsent, tu as dîner. le différence, dispropor- absence. aller chercher, distinction, V. t., al- quérir. UTKÂT chercheur. faire chercher. remplacer, teiiir t., place de, représenter. }fà ko c'est moi qui le remb., UTLO, V. UTU, V. la différent, disparate, Uté nga 1)., un, ler être n., V. manquer. petite être semblance, diversité. Mûr. (m.), n., v. en parlant de plusieurs. divers, g. fils. différencier, t., bîa!)le, USUMNFI^G utalé place de son la être espèce de poisson. URUP, V. t., tromj)er dans une convention, prendre pour soi la plus grande partie du gain ià l'insue des autres. URUMBAL b., remise couverte dans une maison. URUS, V. Vuras, or. US, V. t.. oublier un endroit auquel on était habitué, ou une injure reçue. autre, liar, dôm àm, Abraham immola un différer, V., bènèn, nà réy URSÂK, URSÈK V., même que vursèk, bénédiction. Syn. URSUX ti un Utal remplacer Ibrayiima p'.ico ici. LTUKAT \leu\ t., la remplaçant, qui b., |)]ace de. expression interj. ouf UY de douleur. Ly man ! uy samà nd'y ! expression d'horreur, de terreur, de souffrance. ! ! UU:, Y. Oyii. Y \îngl-deuxièm€ lettre de l'alphabet volof, consonne labiale, répond au vaû des hébreux et des arabes, c'est-à-dire qu'elle tient à la fois de la consonne et de la voyelle. lElle se prononce par va, av. Quand elle est prononcée par expiration, et aspiration aspiration, elle forme avec la voyelle qui précède une espèce de diphthongue, sans perdre toutefois ce qu'il y a de labial dans sa consonnance. Souvent, au commencement des mot 5 qui ont pour initiale 0 ou u, elle est simplement euphonique. : Y YA YÀ, Y] YU, adj. déf. le, la Fas vu, le cheval (la). Pas vi, ie cheval (ici). Fas vu, le cheval ou (ici quant à , adj. , . , , rel. un pron. , A que qui, sive ce que, celui-là, lequel, vos, celle- adj. cette, et quel, quelle ? et pron. lequel, su nu fit le tien ; comme pron. nom, Vu'Pêr, d., ising. ce- de gâ, gây, personne, sujet. ; je sa vos, habitant, L'appellation va di, ne peut s'adresser à un homme respectable. Suma va y, mon laquelle.^ mais YÂY individu, interr. YÈNA, adj. et pron. num. aucun, aucune avec un, une la voix nég. Gis nâ rab yii baré, vandé rèyii ma ta venu, vènâ rèkà la dam tûti, j'ai au beaucoup d'animaux, ; avec un lui de Pierre. YÂ, adj. mien poss. etc. ? le âm, le sien. YU, s'emploie dém. (forme plus expresencore que la précédente), YAN fi indéf., entière. vos laquelle. YÔYÀLÉ, YÔYULÉ, • pro. pron. entier, ; Dieu mérite que nous l'aimions de toute notre âme. YÀS, YOS, pron. poss. Su^mà ; celle-ci, qui, ; toute autre. et adj. légèrement. pron. indéf. et y alla doy nâ sopà YÀLÉ, YILÊ, YULÉ, adj. déf. dém. et rel. ce, cette et pron. là une un vêpà, laquelle. celui-ci, adj. autre, ÉPA, tout, lequel, rel. blessé YÈNÈN, indéterminé là, tué aucuji, j'en ai seu- ai lement distance). la — — — — — — n'en . ami, mon camarade. Vâ'Ndakâru, habitant de Dakar. Vd'dekà, citoyen. Sumà vâ deka la, c'est mon concitoyen, mon com^à- — VAB 352 nous sommes du même Vâ'ker, personne de la IV; maison. rrv ma, peuple, population d'un royaume. Vâ — Iriole, village. . addanâ,- habitant du VÂjFIN VÂFU, YÂG rine, iiemadi, cite Vâ fidèles. Vâ-séla, saint. îui séla fui, les saints. Vâ'ala- ku, réprouvé, maudit. Vâ'rër, VABANGÉ, tourner. V. V. tourner, re- t., Syn. VÂD, se — préparer, disposer, arranger. — vadté préparation, V. t., b., b., disposition, VADA, apprêt. V. rôtir, t., griller. Syn. Laka. — VADAH, grillade. rôti, pr., V. VÂDAL, en s'agiter, rôtisseur. b., apprêter, disposer pour. parer, V. VADALO, VApAN VADA Y t., Y. faire t., pré- rôtir. jument. cuisson, action de cavale, b., 1)., rôtir. VÂDIN poser, manière b.. de dis- apprôteur pré- d'arr.jnger. VâDKAT b., v. t., faire préparer, dispose]-. l'aire VÂF, éviter V. ïî., se un coup, courber pour se blottir, se cacher. — cadère. moyen V., action de se cacher. (An) VAH b., débar- b., Vâh i hêr, jetée, illi- ne pro- illicites pas. fite V. noncer, men Lô t., parler, dire, proliaranguer, énoncer. à vah, quoique tu Vah- nâ la ko, je Vahal ma ko ko, puisses diîe. te dit. l'ai ma de lui dis-le part. commencer vah, prendre li babiller, bavarder. Dôr à parler, à Vah^â-vah, parole. Vah yomhà vandé dèf yombul, il est de dire, mais il n'est pas de faire. (Prov. Vol.). mot, parole, terme, expression, prononciation, harangue, propos. Vah du vér, parole pure, vraie, exacte. Vah du sèt, vah du sangèn, parole nette. Vah i mag, axiome, senVali u fit, véhémence tence. de parole. Vah du amul bopa, radotage. Rav voix, inénarrable, ineffable. Vah u sago, pa- facile — çli, de conscience, de bon s-onnement. manquer de Am parole, quai. rai- i vah, de fran- iiàr Vah du baré du voné nhèl, beaucoup de paroles n'inVah diquent pas de l'esprit. chise. degâ, loc. adv., à vrai vraiment. b., VAF ma- pour obtenir quelque chose. Lu vagadâné mayé du and* ak ndérin, ce qu'on obtient role pa râleur. VÂpLO, algue' facile parlant du poisson qui n'a pas assez d'eau pour nager. VADAKÂT en en dessous. (L), (fi) iVAGADANÉ nâ, rôt, V., blotti, goëmon, V., VAH, s'apprêter, être n., varech. VAG.\ valbati. n., préparer, se disposer, être prêt, préparé, disposé. , V. par des moyens infidèle. se ca- embuscade. Và du bâh, brave homme. Vâ du bon, mauvais sujet. Vâ n(/em,fidèle,croyant.Fu i vala, riverain. manière de b., cher. Fd' ciel. VAÏl VÂH b., V. Vâf. VAH b., bam^bou. VAHÀ V., (L) fronde. dire, . — VAH — fronder, lancer une la fronde. parVAH AL, V. n., parler ler pour. Nit ki yombà nâ vahaî, il est facile de parler à V. t., pierre avec cet homme, homme cet 353 — YAK ensemble, parler verser, — V., conversation. causeur, causerie, VAHTÀNKÀT b., discoureur. YAHTU, est très V. ler seul et sans suite. qu'il nékù, VAHÂLÉ, que dire pendant parler n., V. l'on fait à, — pourparler, action de débattre le prix d'une chose. VAHAMBANÉ v., YÂHU, VAHM, YAHÂNVAHÂNI, v. n., marcher d'une manière brusque, pour marquer son éco n ten teme n t m VAHANDÉ coffre, b., malle, V. YAHÂY, redire. t., interj. bravo, cela, aller vite, mar- pas précipités, se hâter en mar«ve à b., marche YA;HULÔ, v. t., précipitée. faire marcher n., répéter revenir vite. YAHYAHÂT, sans cesse, V. rabâcher, sur ce qu'on a dit. YAK b., pieu d'entourage pour les YAKA, champs. V. comme F av. gnes Syn. parler t., à par si- un sourd-muet. c'est à la YAHÉ, V. violer t., bien, bonne v. t., fouiller, h., qui fouille, manière de par- V., ler. YAHKÀT V., parleur, reur, causeur, jaseur. VAHLÔ, la YAHTÂN, V. t., parole, V. YAKANPOGOP, n., discorde, la cer à faire discou- ses b., marcher V. médire. tort et attention YAKIRLU, KAT fosse). cureur. YAHIN YAKÂ^Î, V. n., jambes écartées. {Mpah m., pah curer, arracher, m.» trou, creux, YAHIKÀT gorge. une jeune personne. Yiol. Syn. Dèl ndav, expression moins triviale. YAHI YANHI, V. t., étrangler, étoufsaisir la suffoquer, à fer, heure. donner n., V. YAKÀ, YAHATI, creuse, sans — bahut. c'est instant, chant. adulte, jeutèl, Vahtu vu heure. V., chaque cher vite, dépêcher, b., Vahambâné ne homme. vieux célibataire. Il cesse. bœuf. — délire. YAHTU une débattre le prix autre chose, d'une chose. Nag lâ di vahâlé, je suis à débattre le prix d'un b., par- délirer, n., abordable. Bu ko sikâ, ndégé yov là vahal, ne te fâches pas contre lui, car c'est pour toi parle. s'en- tretenir. V. n., travers, à la n., semer Commer- à même que les san^ justice. YIKIRLUvaria et dérivés. YAKIRLU, v. n., se cramponner à, s'attacher, se tenir, se donner entièrement à. Vakirliil il Y.alla, attache-toi • à Dieu. faire parler, faire dire. causer, con- YAKIRLUKÀÏ celui qui b., donne, se dévoue entière' ment à quelqu'un. Vakirlukât se — VAK ngem ti confesseur de ga, * VAL VALANGAN, morceau de b., fer servant à percer Vilèr. VAL V., (L) V. vol. VAL de bal pl. y., VAL, ler, (F) bal- — Y. VÂL, VALANGÂNLO, VÀLANKÉ, VALAS V., ration, lot ; environ Doh vala, donne-moi ma Ta vaVu Duâla, aux environs de Joal. Ta imPu ngôn, Vâ-vala, soir. riverain. Gav n vala, proverbe. Gèn'u vaune part, moitié. Gcn*u vaVu gèn'u vala, moitié de la moitié, V. n., et t., — ladie contagieuse à quelqu'un. Otul mu vala la dèr âm, prends garde qu'il ne te communique sa maladie. b., contagion. b., VALBÀTIKU, vider l'eau d'un canot, d'une fontaine, etc., curer. t., VALAHNDAHAN b., petits in- forment dans l'eau trouve au fond des réservoirs. Syn. Vangalanga. VALAKÂNA, V. p., être pau- sectes qui se qu'on et vre, homme gueux, ment maigre excessive- quoiqu'il mange il (hir âh) (L) b., dy- senterie violente et continue. p. et réf., devenu est — YALÉ, fou. d'être tourné. état b., être contagieux n., V. en général. Dèr bôbu du valé^ cette maladie n'est pas contagieuse. VÀLË. adj. et pron. dém. de Va, Vi Vu. (lér. A ALÈT rel. espèce de haricot b., tout petit. VALI, sent à n., assister, être pré- V. un spectacle, <à une dan- Mpét'u savor, lô ta gavôntu kon à vali, nâ nga yobu gub, quelque pressé que tu se, etc. sois à d'assiste-r la danse des moineaux, m'oublie pas d'y porter des épis de millet. (Prov. Vol.) beaucoup. VALALAN v. tourner, se retourner dans un autre sens, être tourné, retourné. Bop'âm valbàtiku na, se — V. clo- retourner. se être con- communiquer une ma- VALAH, grelot, b., sens dessus-dessous. action de renverser, verser quart. VALA, fécale. retourner, V. t., dans un autre sens, ren- la, tagieux, matière VALBÀTI, virer, part. le v., faire t., mare ou espèce de poisson. VALAVALA ma sumâ sur v. d'une chette. l'emgagner, dépasser. part, partie, por- V., , écouler l'eau d'un étang. surpasser, t., sur, — cou- souffle le feu. si, V., VALA tion, fluide, souffle. A., porter le se gân \nà ti bir dèkà hi, la mer débordé dans la ville. m., écoulement, effusion, souffler. Ngélav vent souffle. Vâ- n., val, safara — être ruisseler. ruisseau, courant d'eau. g., VÀ, Wnxjê l'eau, inondation. n., V. fluer, répandre de tous côtés. Gêt gi valana de plomb. s'écouler, V. 'n., en parlant de VAKU lal — la foi. les 35/4 à VALipi, V. n., aller assister une danse ou à un tamtam. VALIKÀT b., spectateur. — VALIS, n., V. 355 — YANDAL, gazouil- siffler, g^azouille- cent n., venir assister. sort, b., spectateur, in- siffleiiK^nt, h., yANDALÉ, inenl. VALISI, V. VALISIKÀT à commen- qui YANDALU, au tirer n., V. courte la paille. V. se réf., faire tresser les cheveux. vité. VÂLISKÀT l3., siffleur. YALISUKAY b., sifflet. VALTU b., disciples de Mahomet cjui vivent dans les bois, ne travaillent pas et se nourrisracines et d'herbes sent de comme animaux. les VALMIVALMI, guer, VALU, v. t., intri- n., s 'entre- mettre, rendre obliger, VAMË, y. intrigant. être aider, service. inonder. V., inondation, affluence d'eau, raz de marée. VAN.^ adj. et pron. inter. dérde Va, Vi, Viu VAN g., (L) butte amoncelée par les fourmis. b-, action de conserver, resV. — t., — qu'on YANDÉ mais, néanconj., pourtant, cependant, toutefois. Vandé nak, mais néanmoins. Bet du énii, vandé lu moins, hopâ antan hain nâ ko, l'œil ne porte pas de fardeau, mais ce que la tête peut porter, il le V. hu mpéntâ dâ nga ko vanje ne sais pas, conduit quelqu'un au tribunal, c'est qu'il a ajouté mais. YANDÊLU, Y. vondêlu. être YANÉ pable, b., — laisser la b., homme — V. b., dér. V. YANGARNI, détourner, n., v. être licorne. v., V. t., retourner, YANGARNIKAT b., redresser, soutenir. celui qui p., être etc. YANGARNIKU, Vofiar v. redressé, détourné, soutenu. et ses dér. b., torpille, y., l'épi chiquenaudes données sur le nez, dai, chiquenaude. pl. YANHA genre de poissons de mer. YANDÀL une ophtal- YANÉRI, YANÉDI, redresse, ses ophtal- t., maladroit. médecin ma- rabout. VA^AR avoir n., YANGALANGA, part de quelqu'un. et habile, expert. amoindrissement, b., mie. réserver pour, t., VANANKAT VARAR les YANÈNT, YANÉT VANAK, V., temps, moment propice. Lu nèk am na vanak àm, il y a un moment propice pour tout. VA?lAL, V. ca- diminution. Vânok. V., être expert, maître dans q., mie. ébulition. VANAK V. habile, : arts. ébulition,. bouillonner. — rrwâ, dél, si cette parole YANÈL bouillir, n., (Prov. Yol.) sait. YANDÈL, V. t., dire ou ajouter mais. Hamu-ma, ku mu yo- réservés. a VANAH, en faire les tres- t., défaire. se à V. cheveux de ses — tes VAH de Man- commence YANHI, YANHU, . b., insecte qui ronge de mil au moment où à se former. V. Y. t., Y. Vahi. Vahu. il — VAN VANI, diminuer, amoin- V. t., drir, restreindre, retrancher, ro- rabattre du prix, rapedégrossir. Vani ko, dèfâ epà, diminue-le, il y en a de trop. Lôla du la vani darâ,ndah gner, tisser, ne la doli sah, cela di le dimi- 356 — ma, prèche-moi. Sa bât var nâ ma, ta parole m'a converti. VAR, V. t., monter n califourchon sur une chose. Var fas, monter à cheval. VARAH, Vani dohin, ralentir marche. Vani ntôno, soula- la diminuer ger, ni dôlé, — Va- la souffrance. affaiblir. Vaiïay, b., vanel h., b., diminution, action de diminuer, raccourcissement, rabais, atténuation. VANIKU y. être cliner, n., — s'affaiblir, se rétrécir, se rapetisser. mâ vafiiku, dolakUf diminue et qu'il faut que je il grandisse. VANOK, VANAK v., cour de derrière dans une maison, lieu d'aisance. Nêg u vanak, cabinet ou case retirée dans l'intérieur d'une maison, où les étrangers ne peuvent entrer à moins d'y êt^e appelés. VANTA VAR avoir pl. y., VAPÊRU, V. de Banta, n., être n., Lu var à am, ce qui doit arriver, chose future. Lôlu var nâ am, cela doit avoir nécessité à. Var nga Var nâ, il le faut. Bul vah lu varul, ne dis pas ce que l'on ne doit pas lieu, ko cela est juste. dèf, tu dois le faire. dire. Syn. Ètâ. VÂR, né t., sonne pour régime direct. Vàr V. Vorah. (né) v., loc. entrer côté et sor- -par ah, n'a fait que passer rapidement la case. V. Parah (né). dans VARAL, V. de, — impo- obliger, t., un devoir ser l'obligation, faire mériter pour quelqu'un. obligation, devoir, Y., mé- rite. VARALÉ mulet, b., bardot, animal provenant de deux espèces comme d'un chat sauvage et d'une chatte domestique, ou de deux espèces de serpent. VÂRAM g., pl. de Bâram, doigts. VARAN haricots DÉHÉ, I espèce de gros. très VARANDI, v. avaler t., pré- cipitamment. VARANGÉ, c. Syn. tourner. VARAPULO, che. tourner, re- t., Valbati. b., aigrette blan- Tortor m. Syn. VÂRÂTÉ, Y. t., sermonner, prêcher à tort et à travers. VARDI 1., massue. VÂRÉ, Y. t., prêcher, s'emploie sans Le nom de personne, pour régime direct. Là di deçà vâré, lâ di je prêche. VÂRÉ prêcher, convertir, s'emploie avec un nom de perV. t., de l'autre. Saitakât hâ déjà né var ah, le voleur tir inactif. devoir, incomber, l'obligation, être obligé, V. âne chargé, bête brusquement d'un Var nâ môm mu Y. VARAH diminuer, dé- affaibli, V., somme. de nuera en rien (ne te fora aucun mal) au contraire, cela te profitera. VAR g., discours, VARÉF — b., c'est la vérité que prédication, sermon, allocution. b., coutume, garantie, droit. caution. > VAX VAR ÀRÉKÀT b., prédicateur. VARÉUKAY b., chaire. tu du ne rase VARCT^n Vol.) ^ vargiçi b., b., es- Syn. cavalier. b., Gavar. VARLUKÀT,YAKIRLUKÀT b., garant, caution. VARLU, VAKIRLU, VARU, V. t., ga- être p., converti, s'amender, s'étonner. V., empeigne. louché, VARU ^ v. cautionner. rantir, ARUGAL, VARUGAR v., de- coutume, impôt. Tèg varugar, obliger, faire un devoir de. VARVARAN g., V. Vorvorân. VAS, VOS, pron. poss. dér. de Vi, Vu. 17;, VAS y., espèce de carpe. VAS, v. t., écailler, nettoyer obligation, voir, tribut, v. laisser t., couler, répandre, inoculer. Vasal adunâ, être double, trompeur, avoir deux paroles, nier par derrière ce que l'on dit par devant. Vasal fas, s'emparer des chevaux de l'armée lorsqu'on l'a vain- VASAR (né), répandre, t., Syn. Tûr. accoucher, en- v. verser par terre. VASIN, V. t., fanter. — dre. VATANDO, VASINTOR V., écaille de pois- VATANGAY VÂSÔ droit, VAT de clave VATANTOR Syn. son. b., coutume, usage, V., rame, aviron. Syn. Dov. VAT, V. t., traîner, tirer, ha1er un bateau. VAT, raser, faire la barbe. Sâ- de v., écaille esv griot de pois, Vâsintôr. VATÀR, v., VATARU, v. sangsue. n., s'appliquer des sangsues. VATAT, v. t., attacher, enve* lopper plusieurs choses ensem^ ble. — paquet b., choses de VATAT, Ku V. t., plusieurs, ensemble. attachées traîner, entraî- doy ku kô vatat, défa amul ku ko hôt, celui qui pleure pour se faire traîner, n'a personne pour le porter sur dos. — di (Prov. b., Vol.) action de traîner. V. t., descendre une- chose, débarquer. (né), -v. n., disparaître tout à coup. VATÎR, habitude. autrefois y., tisserand, VATÏH son. Syn. Vetantôr. descendre, n., V. ensemble. VATÉ, ment. affirmeis VATÀ, V. n., descendre, dé», barquer, quitter le travail, ceS' ser une occupation. VAT AL, assermenter. VATALO, v. t., faire descen- le accouchement, enfante- V., jurer, t., faire. ner. cue. V. bop'àm, un rasoirit soi-même. (Prov. par serment, prêter serment. VAT (ne), loc. adv., complètement. Dèfar bè mu né vat, mettre la dernière main, par- du poisson. VASAL, pus VAT, pèce d'antilope. VARKAT val V. attacher t., lier, p., être lié forte, fortement. VATIRU, V. ment. VATIT, VATATIT v., trace, de ce qui rampe 'ou, vestige — VAT d'une chose 358 Ku degà traînée. dan, défâ /â fékul bororriy quand on marche sur les traces d'un serpent, c'est que celui-ci "est déjà loin. (Prov. Vol.) VATKÀT b., traîneur, haleur. VATKÀT b., raseur. Vatkàt u sikim, barbier. Vx^TLÔ, V. t., faire prêter serVdtit faire jurer. v. réf., se ramper. VATU, se ra- Vatu hè né fon- rasé. dong, être bien rasé. VAV, Oui. Vav gôr ! Vav ndm, oui, cerVav kan, voilà qui est bien, adv. aff. VÉDA VÉDALU, — VÂY même VAY, tience, d., Oui-oui. que va da. aff.. négation, opposition, de contredire. VÊDANGÉ b., misère, honte, confusion, pauvreté extrême. VÉDI, V. t., nier, contredire, réfuter, démentir, contester, ré- Vah mag doyul â védi, ne faut pas contredire la pa- guler. n., se coa- se cailler, Vay bè dèf daloh, gru- mu Ndoh meler. vay kéng, glace. — i (Prov. lait g., VAY caillé. vayo g., canal aquatique, cours d'un torre'nt. (L), VAYAL, VAYLO cailler, g., v. t., VAYANÔ, VAYANGÂN, signol. faire faire coaguler. — VAYÉ, v., ros- Grelot. conj., même que van- VÉDIKÀT VAYÈN VAYUL, Bopâ ba VÉ, palme. v. V., même que vadan v. V. n., être écervelé. vayul, tête écerAelée. t., faire du vin d^ VÈ V., ongle, grilfe, sabot de cheval ou de tout autre animal. VÉ, V. t., remonter une chose 'démontée, emmancher. contradicteur. b., v. n., se rétracter, affirmer le contraire de ce qu'on avait avancé. VÉDU, V. réf., se reconnaître coupable, avouer sa confusièn. VÈF m., espèce de colibri. VÈF, V. t., arracher les cheveux, les plumes, etc., déplumer. Vat a g en vèf, raser les cheveux vaut mieux que les arracher. (P. V.) VÈ'FU, V. réf., se déplumer, s'arracher les cheveux. VÈG, ^dé. faut croire. il Vol.)" VÉDIKU, prie. V. incré- de nier, mais en voyant, terme d'impaallons donc, je vous en interj., VAY, me role des vieillards. (Prov. Vol.) Védi,bô gisé,gem, on peut nier, oui. adv. être n., v. je b., tracter. certes poisson. -nier. il bien, mulet, v., j'avoue ma honte, reconnais coupable. tes. VÂVAV, honteux, être n., pâ, bien, bravo. très être étourdi. q., V. VÉpAL, v. t., rendre honteux, confus. Mangé vêdal sumà bo- action pass. et réf., V. être V. avoir honte. dule, VATU, VATATU, traîner, VÉG VÉD, VÊD, i ment, ser, — dre, — V. t., respecter, crain- honorer (en Gambie). b., respect, VEGÀ, V. VÊGA (né), t., crainte. abreuver. regarder, V. t., fixer. VÉGÉD (ne), V. t., percer, pi quer, attraper. YÉGËL b., égards, déférence, distinction. AEG \Eli Ix', c'est V. être amer, q., VÈH, V. vêh fur, être très éclatant de blancheur. blanc, YEHÀ, V. — n. et V. de cri la VÊHAL, VÊIILO, dre VÊHAL, pnyer, — V. ren t., Y. récompenser, t., récompense. Syn. YoL b., Y. blan- être n., châtre. VÊHAY VÈHÂY blancheur. b., Y. impudi- être n., que, déAergondé. Y., impudicité. — VÉHÈN fère carnassier du mammimar- geni'e tre. VÈHLÔ, VÊHLO, Y. Y. VÈHTÂN dé ç^a, rendre âpre. rendre blanc. t., t., Y., fiel. Vèhtân V. n., VÊHVÊH 1., Y'ÉKÀ m., — Y. t., fleur Yoile de mettre de lis. les voiles, ap- un pa- VEKA, VELBIÏ (né), sus- appendre, pendre. V. n., échouer, ju- t., v., loc. n'être, de hè- vider entièrement. vèlès^ VELIS, VÀLIS, V. n., siffler. ngà tod gémèn u s «ma, n-u nga ham lu mu velis, avant de casser la gueule au berger, sache d'abord ce qu'il siffle, ne conProY. Vol., pour dire damne personne avant de l'avoir entendu. VELU V., veau. Y., sein, mamelle. D<5'm niu féka ti vên i ndèy âm, là iiampà, l'enfant ne tète, que ce qu'il trouve dans le sein de sa mère. Y., régime de fruit, de banane, de rondier, de dattier. lu môm — Y., Y. fil. t., faire roulant des cordes en la main sur avec genoux. Y'ÊN g., santal rouge d'Afri-. que c'est un bel arbre dont bois, d'un grain fin, dur, le rougeâtre, est facile à travailler. VÈ^ g., fer, barre de fer. Vèn gu g or, accrocher, Y. bateau est sous ; naYire. rasol. pendre, le les brochet. pareiller, déplier, ouvrir VÈKA, na, menacer d'aplomb, plus tondjer. VÉLÈS, adv. super. Yuli les — b., vékii YEN regimber, ren- dre une ruade. b., ruade. VF^H\ÊH p., être sous voile, parasol déployé. Gâi- V. — vu agonie. VÈHU, gà YEN zorille, Y., VÉKU, un : amertume. b., A prêté, Y'ÉHBET, se décrocher, p., Bulâ remercier. VÈHÂLÉ, Y. démonter. né blanchir. blanc, t., VÉKIKU, se ruer, don- t., ruade. b., Y. détacher. voile. ner des ruades. — VËKI, qui fait du, Syn. Tèytôk. décrocher, dépen- celui b., sous glousser. n., gloussement, poule qui couv-e. VÈH A, VÉKÀT dre, tal, écueil. vin de palme. être blanc, blan- q., Vêh acer- un tre Vch nà hat Apre au goût. très amer. chir. auge. articulation <hi pied. V., \lhAh abreuvoir, h., choquer con- s'engra\er, cher, VEGUKAY ram, acier. constitution, Vên u vacomplexion, de l'homme. — V., mouche. Ku han gâna^ — VÉN hayi kô'k vèn \am, celui qui 'n'aime pas Le manchot le laisse àvec ses mouches. (Prov. Vol.) VÊNA, adj. et pron. num. dér. do Va, Vi, Vu, un, une. VENAR Y., torpille, poisson. VENDAH, V. Syn. vorer. t., manger, dé- tourner en VereJi. VENDAL, V. t., mouvoir en rond. rond, VENDALU, V. pr., VENDALUKÂT b., voir en rond. sur qui se VENÔAL, sur cliné pencher, caréner t., -v. côté, le in- un V. s'incliner, réf., se pencher sur un côté. VÊNU, Y. num., prendre un h un. Vénul saku yi, prends les un VÉPÂ, sacs un. à Vi, indéf., n., V. V., tour, circuit, pourtour, circonfé- environ, en- ceinte. V. entourer, t., clôturer, ^environner. VËR, être très vah V. être sain, n., en bon état, guéri, ram, g., V., Ver chenille. lune, lunaison, mois. féha rîia, la lune est leVêr vi sûh nâ, la lune est couchée. Vêr vu ndav, lune croissante. Vêr vu mag, vêr vu mat, pleine lune. Ndëtél u uér, vi \ée. de la Dap'u lune. mur'u vêr, de lune. Vêr viX dë, mois ou lune passée. Vêr vu di dikâ, vu di fiev, vu fiô sënu, mois prochain, lune provêr, . éclipse chaine. VÊR, V. exposer, t., étendre Vêr dèn, sécher du poisson. Vêr malârif étendre un pagne pour le séfaire sécher. certain, vrai, pas — vèr, g., parle santé. b., VÉRAK personne dont clairement, V. ; t., la santé du corps. véra\ v.. bon état de santé. enceinte. avaler glou- (né) loc. verb., sortir g., V. Vérèk. raisonner, discuter, débattre, controverser. Lan ngën di véranté ? quel est le sujet de votre discussion P contestation, v., discussion, alterca- raisonnement, controverse. VÉRANTÉKÀT, Vèr g'um ya- l'esprit femme VERAL, V. t., faire entourer. VÉRAL, VÉRLO, v. t., guérir. VÉRANTÉ, v. t., contester, tion, du vrai, pas parfait. vèrul b., malade, con- certain, VÉRAH Vahal certain. santé, pas brusquement. — très de n'être ; malade, être tonnement sans mâcher. Vèr sain, n., faible n'est pas sain être clair, V. languissant, convalescent ou péng ou pénténg, parfait, sincèrement. — V., pur. sincère, \téng appuyer, adosser, t., VERAH, entourer, mar'cher k l'en tour, tourner, vagabonder. — VËR VÊR, valescent, pron. Vu. et adj. de Va, VER, — V. VÉRADI, VÉNGALU, rence, VËR, accoster. cher. navire. dér. VER pour côté. le — fin mou- se meut en rond. VÈNDÈL, même que Vandal. VENG, V. n., être penché, incliné 36o b., raison- neur, qui aime à discuter. VERAY entoure. V., à l'en tour, ce qui — VÉRAY \ bon V., V«EREH, V. 301 état de santé. Syn. dévorer. t., VËRKK, gommier g., produit arabique. -qui gomme véritable la VÉRÈKTÈK, V. blanc avoir une n., insomnie. VÉRÉYAN plante petite g., curieuse qui enfonce sa graine en terre, comme l'aratrès VÉRI, enlever, ramasqu'on a étendu pour sécher. Kèra bu Yalla vè- • V. t., rouler ce asaman si, adunâ mâh, que Dieu aura roulé la rê ::du monde le ciel, VERI, ' Veri adunâ, parcourir. tour tente sera détruit. aller n., V. lors- . - lé nâ tankâ, VÉRLU, rir j'ai V. nêh mon pied guéri. gué- se faire réf., VERNGÀL 'i VÊRU, s'appuyer con- réf., quelque chose, YÈSÈNGAL, cher — appui, parapet, b., VERUKÀY b., séchoir. VERVER V., le contour. prép. loc. l'entour, à tout autour. V. grain. n., être n'être plus temps. tàh vês nâ, après trop tard, Génav dë la mort, gà, il est trop tard de faire pénitence. YË.SALANTË, ser, tr-e. riz bien du YÊSU, sec. se faire V. dépasser, excé- n., v. bien riz t., V. réc, se croi- passer l'un à côté de l'au- sé- sec. Vêsu nous avons dépassé bord, penchant vèt, loc. prép. près, vers, à côté, autour, contie, aux environs de. Ti sa vèt, h ton côté, à côté de toi. Ta génèn vèt, d'un autre côté, d'au- d'une côté, g., Ta colline. parts. YËT écheveau. g., YËT, V. être q., écarté, isolé, dans rons-nous c'est YETÂ, V. YETÀ g., YETAL, YËTAL, quelqu'un, vëti, reti- Sèt nâ vèt, propre. n., balancer. très net, très soli- sans retraite. sup. adv. seul, retiré, solitude. la solitude, b., YÈT, Ti le laisser t., cuit. faire — dossier. YKS, b., V. riz compagnon. Nâ nu VÊRUKÂY g., le YÈSËNGALU, taire, VËS pour être bon, s'accoster, \ s'adosser. verver, cuit. riz .vèséng, tres dévidoir. V., v. en Malo bala être sec, n., "x. doit être. sec. YÈT soi-même. / tre Heyemu. YÉSËNG, parlant du ntinu Bër, Gorée. le les ; faire YËRLÉ, V. n., avoir une chose ou une personne de guérie. Vér; flamber t., der, surpasser, être passé. vagabond. b., V. autour, du monde. VERKÀT s'opposer. n., V. opposition. V., plumes d'une volaille, la passer rôtir. à la flamme YES'EMU, V. p., être flambé, rôti, consumé par le feu. Syn. riz chide. ! YÉSAM'l':, — YESEM, êndah. iser, — balancement. V. t., V. faire balancer. t., abandonner laisser seul, ren- dre un lieu solitaire en se reti- le rant. YËT ALI, V. t., tenir compagnie à quelqu'un qui est seul, égayer, désennuyer. — — amusement. compagnon. b., (.listraclion, VËTALIKÀÏ b., YÊTALIKU, Y. réf., se désennuyer, s'égayer dans sa solitude. — passe-temps. b., distraction, VÉTANTÉ, — YÈTU, est YËTAY solitude, isole- YËTË, mu- réc, échanger Y. tuellement. — échange mutuel. YÈTÈN, tique. avoir des tiques. — 1j.. Y., n., V. , vétèn, déjà bilé chien ce des tiqires. YÉTI, V. Syn. surpasser. t., YÈTI, ger, — V. troquer, t., échanpart de substituer de la qui donne l'échange. échaiige, v., troc, substi- échangeur, b., changeur, banquier. YÉTIKU, troquer, échanger du côté de celui qui demande l'échange se prostitrer. b., échange, substitution, change de la part de celui qui Y. t., ; — demande. demander v. réc, mutuellement les b., le b., b., ce YËÏÔ, adj. mu retirer à l'écart avec quelque chose. Y. hem, k'angi cet Va, Vî, Vu. tomber en n., Nit blesse. passant.' b., déf., Y. di vîh, fai- lëgt homme tombe en bientôt il va s'éva- nouir. adj. Dér. de rel. YlNÈT YINTÀ lever et pron. Va, V.. aire. b., (A) Vi, dém. et Vu. machine pour l'ancre. YIP, ^Ë VIP, V. t., battre, frapper, taper, tomber par grosses gouttes, en parlant de la Syn. Dôr. pluie. Purpour les voile de navire. grosse aiguille YIRÉ, V. t., (F) virer de bord, tourner d'un côté sur l'autre, YIRYIR, VIS, qu'on demande YËTUÂLÉ, t., (marine). échangeur en échange. ou YI, voiles. troc mutuel. YÉTIT disparition. V. omission. b., YËYKÀT sa'vîr, deux changeurs. YÉTIKUKÀT par — l'é- échange demandé par qu jours. se change. ce ajourner, omettre, passer outre, transporter à une autre époque. Beré véyalé nânu ko bè fuk'i fan, on a ajourné la lutte à dix YIR m., YÉTIKUANTÊ, passé, le passage, b., YILÉ, Y^.TIKAT — véy, faiblesse, tution. le — YIH, Géti. celui Lu passé. YÉYALÉ, ment. Had Y. n., passer, être pas se dissiper, disparaître, s'er aller. b., pr., se balancer. V. YÉY, Y. Vètvct. coté le côte. YÉTUKÀY b., balancx)ire. YÈTYÈT b., vanneau. Va^TAVÉTÀ, soi. prendre n., V. la YÉTU, sé, entre VIS suivre échanger chose quelque pr., Y. mutuellement a 362 Y. t., se quelqu'un V. n., n., tournailler. pleuvoir par pe- gouttes. tites — — V. asperger. t., pîuie fine, aspersion. YIS, Y. t., donner en sus du prix conclu. , V. b., — VIS — sus du prix. VISATÉ, V. sur l'arbre. t., cueillir arracher <les feuilles. mépriser. ITAH, V. secouer t., V. se réf., MTAHNDIKU, en nga v. am fiiielque chose, sueur et VITÈN les s'es- doigts. avant d'avoir il faut essuyer V. g., YOLË n., faire Vèn v'angê vîv ii sunopâ, une mouche bour- mà oreille. très YODÀ, terre. tomber, glisser n., YOLO V. V. réf., se relever musique. V. t., YOLODI, YOLOF, V. t., lâl, allumer le piler, broyer, pul- vériser, triturer. — iction a., se montrer. Y. Olodi. Y. Olof, signifle maxime^ paraénigme. Lakà nga ko voproverbe, aussi bole, tu lui parlé en énigme. na, le proverbe as Ndây né dit. et V., et ses jeune cheval. dérivés. Y. ôlu dérivés. ses laisse b., grisgris qu'on pendre au côté (m.-à-m. YOLUKAY YOLUKAY pile, où YON. Vol feu en soufflant. YOL, p., badamier du Sénéun arbre à larges aide du vieux). verroteries. YOL, V., vent de nord-est. YOL, V. n., souffler en parlant du vent et des instruments -^, union nou- YOLU'MÂG YOGASU, de es, ayant des fruits ailés. trouve sur les branches comme des fruits ronds, noirs, qui sont une vraie galle produite par un insecte. YOLTU, roteries. les du On YÔLU relever des ver- t., V. g., C'est gal. Syn. Bot. Dér. de Voy. AOÉ, YOGAS, Voleri petits. Volof V. alliance, (]., YONÉU, lof, VÔ, Y. 0. à les veau Testament. Voleri du dîtu, ancien Testament. YOLÈT b., espèce de hariopts du bruit dans l'oreille. donne dans mon ! s'échap- n., v. mil piqué par b., YOLERI pas. V. Eh bien interj. î feuilles, rejeter. la Vutèn. Vitèn u buki^ une malvasée. Vitèn u mbetâ, sorte de petit ricin dont la racine, très grosse, ne meurt ViV, ébourgeonnement. b., ^per et se laisser choir en bas. nga vitahn- darâ, nahœ, ébourgeon- n., \'OLBIT mé) les secouer -réf., secouant sa dikji ensem- insectes. doigts. suyer piler t., V. des nations. ITAHU, ^ — rejeter dé- jeter, t., YOLATË, YOLlY )i,i^ts. ,1 V. ner.' bruiner. Syn. Y. V. daigner, N , VÉTA, VITA, YOLAM)0, effeuiller, t., fruits YISYISAL,v. n Sursuyal. <îes fruits, VO^ ble. cueillir des VITÀ, — que Ton donne en ce b., 303 etc. soufflet dé forge. b., lieu où I'or l'on m.oud. Y. On. Y'ON, v. t., montrer, indiquer, désigner, étaler, manifester, enseigner, démontrer. YON, de piler, 1., V. t., pour d'égoutter. tordre le linge — YON VONÀ, YONÀ, brer, avaler, engloutir. V. t., Y. t., calculer, addi- cavalier. à vona, calcul. V. une corde, branche, YONARIJ, Y. réf., se tordre, des contorsions. torsion, contorsion. b., faire — YONÂSU, n., Y. avaler, faire semblant d'avaler. — mouvement du b., pour gosier avaler. YÔNDÉL, YôNDAL, y. t., tourner, faire tourner. Bul vônhi, ne fais pas tour- dal parcLSol ner le parasol. YÔNDÂLU, YÔNDÊLU, YUNDÂLU, Y. n., tourner, se mouvoir en rond, rouler de côté et d'autres, rôder. Yaguer, flâner. b., tour, détour, flâ- — — , YÔNDÊLUKÀT b., YOm, YONALI, V. détour- tion, seiller. YONIKU, YONÀKU, v. réf., re^ venir sur ses pas, se détourner, retourner, se corriger, se convertir. YONLO, y. t., faire montrer. YONTÀ, ONTÀ, Y. t., arracher arachides des racines sont attachées. YONU b., apparence, montre. Dâmukàt yu ôr varu nô am ntopèl u vonu, les vrais adorateurs ne doivent pas avoir une religion de parade. où les elles YO^YONË, V. même que t., Y. Or. v., chat. Syn. YOR (né), Y. Or. n., V. précipitamment, YONÉ, Y. t., s'emploie en quand on ne nomme néral personne — t., changer de direcreprendre, ramener, con- virer, YOR, YOR, Mus. gé- pas qui on montre. à désignation, indication, g., se sauver disparaître tout-à-coup. YORAH, YÀRAH, vorer, v. t., déprécipitamment,, avaler gober. YORANDI, YORAHKÀT, YO aveu. YONÉÂLÊ, Y. montrer une temps qu'une t., même chose en autre. YONÉU, montrer. YONÉU b., manifestation de soi-même, Epiphanie. Y. p., YONÉUKAY b., se recueil, table matières. YONÔ — ou vagabond, flâneur. YONDU, YUNDU des danse de fanfarode la circond'une entreprise de V., voué. nerie. rôdeur, le guerre. ner, etc. secoue le tomber faire l'occasion à cision tor- t., pour YONGA nade l'Ane qui (le supputer, VONAR, YANAR, la ou val derrière — une VOR nom- innombrable. V., nombre, dre — ooinpler, Lu kén'manul tionner. 36/j V. YÔNC, Y., t., Y, RAHÂN b., gourmand, mangeui insatiable. YORAT g., prunier d'Amérique ou prunier des Anses. C'est un arljuste bords de rameux très la des mer, YORÂTTU, V. n., cueillir des vorât. YOROM, taloche. donner des n., se dit YORYORÂN du YORYORI, che- de borom. pl. taloches. V., V. n., mille-pieds. ramper en. — 305 parlant d'insectes et de reptiles. VOS, pron. poss. Dér. de Va, vu. vi. VOS chenet ou V., res du foyer des ma lâh hé sumâ bopa n'aimerai janiiis je que bouillie la je pier- trois Begati noirs. dèf vos, tellement servir f tsse ma tête de chenet. (Prov. Vol.) VOSORÂN V., viande découpée en tranches minces et séchées au soleil. Syn. Sèl. VOSTU g., pirogue moyenne. Vôt, V. OL VOTÂ, V. t., abandonner, périr, l;iisser -a cesser quitter, l.iisser, ter, dé- d'exis- lancer, jeter, laiss-er, Vota yôn, quitter aller. b., abandon, délaissement. VOTÀLÔ, V. faire t., laisser, VOTANDO, V. abandonner t., ensemble. V. faire t., — V., ché, tari, sec. For Syn. il est être aride, vomir. faire t., q,, &ec, dessé- maio^re. Sumâ mon nà, pagne est ou kôndông, kông' dém. Dér. de Va, sec, et *adj vi, VOVAL, VOVLO, rendre V., de répondre au difficile VOY grumeau de mil mal V., qu'on ramasse en pilé rant de — le sépa- farine. la V. t., réunir par le tamisage et ramasser les grumeaux mal pilés en les séparant de la farine. VOYÂN, V. louer en chan- t., comme pour griots, les avoir quelque chose. — chant V., d'éloge des VOYAN GVOYANG g., grelot. VOYÂNKÀT b., chanteur VOYOF, VOYÈF, V. V. Ojè/, d., chantre, chan- chanteuse. VOYLÉ, V. convoquer, t., une vu. t., ramasser. dessécher, b., séchoir. d'être ., réunion, assemblée, conn., V. chanter ensem- en compagnie. VU, adj. déf. V. Và, ble, VUDÀ sec, rap- gilintâ, vocation. VUDÂ, état un con- accumuler, ; réuni. VOYO, faire revue Voylé procher les tisons pour qu'ils s'enflamment bien. VOYLÔ, V. n., être assemblé, — pr. tarir. VOVALUKAY VOVAY b., n., voé ventre qui chante. seil, V. VÔVÂ, VOVÀLÉ, aride. chanter, louer. chant, chanson, air. Voy'Yalla, cantique religieux. Voy u bir dajéfi nâ avu, V. V., assembler, réunir pour être tout à fait sec, aride. sécher, VOY, — teur, vomir. t., vomissement. malàn vov uy. VOYKÂT V. Otu. VOTULO, VOV, V. pr, Oyof. V. Oté. V. et adj. payé. VOTÂVOTÀLU, semblant d'abandonner. VÔTË, VOTU, VOTU, Ta a. VÔVU, VOVULÉ, dém. Dér. de Va, vi, vu. VOY, interj. aïe, même que griots. abandonner. faire VUD tant religion. — — V. vi, vu, V. V. Udâ. V., VUDÉ, UDANTÉ^ Uda VUDANTÉ, V. réc. avoir le UDÉ, même — mari. Du ma dôm, je comme seconde mari, une mon être se vadé ak ne femme qui fille <nil'ant dote^t^T. siunà reigarderai se ; pas t. du ko ru, la V. (R[, Vôndu. V. n. URSAK, la ÛRII, y., pl. de mhû or. Hôhvurus^ p.'iin. iHiriis, dorer. inélo'vnrus, s'éclaircir en parlant du temps. YURSKK, de fompà Yolof). YURUS, URU8, basal: MJM)U. u bonheur ou le (Prov. YCRU, donner Vursèk dindî, jalouser, .i VURf, mère. la bénédiction du front ne se détruit pas par le frottement. IL VIJLÏ ton II de. — de mon pourrait rivaliser. VUL, :m \IITÊ\, élre VIÏÊAJ b., Mél Jii jaune. V., coton général. bonheur, bénédiction, bienséance. Vursèk u ndèv, bénédiction de v., — ,.g., YUY, cotonier, xylon.. Y. Uy. interj. . lettre vingt-troisi^ikU' V, lingu;rp articulation proprement la voix^ ^u j des allemands et / analogie avec Vi, le 'V de ; YAB Y \A, Yl, YU, et déf. adj. rel. pron. rel. les, qui, que, lesquels, lesquelles. Dèmal sami yâ, va-t-en p.iître les bœufs. ma miens. Sën yos, les vôtres. YÂ, contr. pour yov a, c'est toi qui. Yâ ko dèf, c'est toi qui les fait. l'as lèn YÂ, moutons que tu vois là-bas sont à moi. Yâ nga ma von on démbâ, nêhu nu ma, ceux que tu m'as montrés hier vaste, être cieux. Béré Har yâ ngà môm, gis faté, les me ne plaisent pas. celles-ci, ceux-ci, YOYÀ, YÔYU, ces, adj. ces. YAN > ceux-là, ? et adj. quelles, quelles ? ' YÉNÀ, et adj. pron. inter. lesquels, les- t., élar- — élargissement, b., action rendre large. YÂAY b., largeur, ampleur, YÂB V., calebasse une corde pour attachée tirer l'e^^u à d'un puits. adj. et adj. et pron. indéf., tous, toutes, entiers, entières. YOS, pron. YAB, poss. Sumâ y os, V. t., manquer d'égards, dédaigner, braver, se moquer qu'un. d'autres. YÉPÂ, v. diamètre. celles-là. pron. num. quelques-uns, quelques-unes. YÈNÈN, adj. et pron. indéf., 3iutres, large. rendre large, -évaser, dilater. Miingi yakali boli, il se croit au comble de ses vœux (m.-à-m. il ouvre sa gueule au de celles-là. ceux-là, -quels, être ample, être spabi yâ nâ, le lieu YÂAL, YAKALI, pron. et YÔYÀLÉ, YÔYULÉ, vpron. large, être q., large) lesquelles. lesquels, dém., et adj. ceuxcelles-là, qui, que, ces, est v. gir, YALÉ, YILÉ, YULÉ, pron. dém., là, une. de diphtongue. -e^^pèce nag représente voiof, ralplial>et ou palatale, si l'on veut, mouillée; c'est rendue consonne et correspond exactement à cause de son au r consonne cle'S anglais fmal forme avec la voyelle cfui précède une est-ce mépriser, de quel- Dâ nga ma yab âm que comme rien mûs, mpah tu ? me ? considères Fu dinah yahé a fa dêgèn, où la — YAB 3G8 souris brave le chai, il y a un trou tout près. (Prov. Vol.)niodédain, mépris, g., YÂBA d., danse, espèce de chose s'est passée, il y < bien longtemps. Yâgà bè môs durer éternellement, être im mortel. Bu yâgà, loc. adv. an ciennement, il y a longtemps, Syn. Gâdo. réc, se mépri- affectée. YABANTÉ, V. mutuellement, ser se mu yâgà, pendant longtemps. Ta lu yâgà, depuis longtemps. Bè moquer l'un de l'autre. YABÈL — mépris. g., Y'ABI, V. quelque tirer t., de la bouche, cracher. Ku log sukar, dô ko yabi, celui qui met du sucre dans la bouche ne \e crache pas. (Prov. chose Vol.) être n., V. )nen s'infuser. b., souffre-douleur. se-le YABKÀT b., abondants dans très la harengs mer de Corée. b., fruit av-ec lequel on des calebasses et des gour- YAl) YADANÀ Adanâ, nom même que d'une plante amèfébrifuge. Syn. Mhanta- <?t m., mnré. YAF. n., v. être gras, potelé, YAFAL, V. YAFAY" b., t., YAGALÉ, V. YÂG, etc. V. pierres et passer le mil, le pour ôter les le sable qui y sont t., à l'eau mêlés. YÂGÂ, V. n., longtemps, lent, du- employer un être temps long. Bâ lef li amé hè yâgà nà loi, depuis que durer n., un ma dèmé Bâ Mbûr bè lë, yâgâlé nâ tûti, deque je suis allé à Mbour, y a un peu longtemps. puis il YAGAY b., de temps, b., (de longueur durée, retard. os, arête de poisson, Yah feuille). génav, dig'u pôn, i Yah u côte de feuille de tabac. Yaram- vertèbre. u yaih, yah i nën, carcasse. Y'ah u ndong, os occipital. Yah u él tibia. Gem nâ dë ndégé yah, je crois à la mort à cause des — ossements. (Prov. Vol.) maxime. Au cipe, rcy, origine fig. Prin- yah bu illustre. Y AH b., espèce de YAHÀ, YAKHÀ, v. poisson. détériorer, endommager, engraisser. embonpoint, gros- seur. lë, perpétuer. jours, détruire, gros, joufflu. rer V. t., faire traîner en longueur, prolonger, retarder Yâgal bè môs, faire durer tou- côte moqueur. Y.\;BOY' b., espèce de riz, ; YAH YABIT re longueur du temps. b., YÂGAL, peu longtemps. détrempé, être infusé, donner tout son suc. Hodal dahar ta ndoh, hayi ko hè mu yabi, mets tremper du tamarin dans de l'eau, lais- YABI, fait YAH cette — marche — altérer, t., gâter, déranger,, corrom- abuser d'une chose, dissiper, dépenser inutilement, dé- pre, parer, enlaidir. Nah mu bon yahà nâ sumâ tôl u sûnâ, la mauvaise herbe a gâté monchamp de millet. Yahà dèr u flétrir la* nit, yahâ tur u nit, réputation de quelqu'un, diff mer. Yahà yef u Yalla, proi: ner ime chose sacrée. ' | — YAH — action de gâter, de dé- h., Uxnre. YAHÀKAT V. économiser, t., ménager, Dugup mat nâ yahan baréul, gc le y en a Syn. Sakantal. YAHANKÀT ménager. YAHANTO, même que dahandorloter un enfant y. t. to, pour le faire taire ou dormir. Yahantol halèl bi ndah du doy, dorlote cet enfant afin qu'il ne pleure pas. n., V. trafiquer. Syn. Dulâtu. YAHAY tion débris rebut, V., d'une cho-e gâtée. YAHU, être té, et p. détruit, réf. être gâ- être débauché, corrompu, se se corromLu menai à yahu, chose gâter, pre. V. pourri, altéré, se détruire, Ku hegâ, dâr ta, sa ngor yahu, celui qui veut obtenir tout ce qu'il dé(P. V,( sire, perd l'honnêteté. b., détérioration, dommadétriment, dégât, ge, ruine, incorruptible. di, lô — perle. YAHUTÉ mœurs, dîner. YAKALU, demander réf. Y. repas. YAKAMTI, V. t. et n. soupi. attendre impatiem* être impatient, ment, être., pressé, être urgent, avoir hâte. rer après, Yakamti dèm Bër nâ loi, b., corruption des état de ce qui est gâté, corrompu. YÂK b., Aieux goéland, YAK A, YÉKA, v. n., servir le repas. Ku yaka te, da nga hi- je. suis dans l'impatience de m'en, Sumâ Corée. aller à mon ligéy dè/a- travail ur- est gent. dre, — V. t., espérer, avoir confiance. <]., fiance, Nakà manque YAK\RADI, b., yâkar, déses* d'espérance. v. n., désespérer, dt'sespoir. YAKHA. même que Y'AKU, con-^ Yâkar du epa, pré» poir. — atten^ espoir, espérance, but. somption. . YAHÎT Yâal. YÂKAR, destruction, détéaltéracorruption, flétrissure de la réputab., rioration, tion, à yakamtij Y'AHANTU, V. une part du économe, b., dî- YAKALIKU, V. réfl., s'élargir. YAKALO, V. t., faire servir- rèn, ndé- il le repas servi. YÂKALI. affaires. ménager faut il mil cette année, car peu. — YAK AL, V. t., donner queU qu'un une part du dîner. ajour- différer, de ses épar- qui refuse de servir celui dîner, n'a pas faim. b., action de servir ner, avoir soin ner, YAL ful, destructeur, b., YÀHAN, YAHANTI, YAHANgner, — le corrupteur. TAL, 369 V. p., YAKUKAY b., être Yahà. servi. grosse cuillère pour servir le repas. YAL, YALÀ, part. opt. Yal nà am ! que cela ait lieu Yal nga gudu fan ! que tu aies de ! longs jours ! Yal ônté ! plût à que cela ait eu lieu Yalâ hu mu tav tèy, fasse le ciel qu'il ne pleuve pas auDieu ! jourd'hui ! Y'AL b., lézard tacheté jeune et de rouge. YALAH laisser (né), échapper v. à t., de lâcher, l'improviste, — YALAH, V. baigner remuer t., 'cemment le YALANDI, 370 indé- V. — V. , aiguayer, t., en les l'eau jusqu'au passer le linge dans t., propre avant de indi- rem à am ge- Yallâ'k sa ndèy, sans Dieu mère on ne serait rien. YALLflF g., nature divine, et sa YALANDIKU, laver se réf. v. dans l'eau douce après un bain de mer. YÀLÉ, adj. dém. et pron. dém. Dér. de Yâ, yi, yu. YÂLÉ, V. t., aller divinité. YÂM, droit lure un à soit autre, soit en la voi- en bateau. Syn. Dâ- banté. — b., action de charroyer ou transporter d'un lieu dans autre. YÂLÉKAT charroyeur, b., batelier. YÂLÉUKAY transport, YALLA chariot de b., bateau de transport. Dieu, d.. la Provi- suprême, Yalla man ! mon Dieu Yalla hado ! unique, incomparable ï)ieu Yalla ngët, Dieu indépendant. Yalla rimhân, Dieu immense. Yalla tâlâ, Dieu incomparable. Yalla tèré ! à Dieu ne plaise. Ndahté Yalla, c'est entendu (expression d'acceptation). Sôb "dence, mettre des cor- t., pour puiser de venir, et V. des autour d'une calebasse, soit charroyer, transporter d'un en- un Lô men marabouts. tor- le dre. de une absurdité, Ba-Yalla b., affranchi. Ba-Yalla, v. t., affranchir. Yalla kubâr ! Dieu grand, puissant, sorte d'exclamation déprécatoire dans le salam des Ventre. l'eau une gnité. animaux promenant dans YAN c'est derrière. des — l'Etre pour l'eau, soît suspendre. — b., action de mettre des cordes autour d'une calebasse. YAMARKÎT b., os sacrum. YÀMBÀ, YEMB v., abeille Kan commune. yembà, 11 al- véole. YAMBAM leur, — , bouton de cha- b., bourbouille. V. avoir n. bour- des bouilîes. YAMBANG être yâ (né), verb., loc. spacieux. large, Adiina nà bè né yambang, si l'uni- ! vers est très vaste. ! ou ndèm Yalla sôb nia, ou ndèm sôb nâ Yalla, ou su Yalla ébô, s'il plaît à Dieu. Vah Yalla, deg'ii Yalla, parole de vérité de Dieu. Dèm'u Yalla, nature divine, divinité. Nân' Yalla gâ, prière à Dieu, malédiction. Nân Yalla, prier Dieu ; maudire. Fà Yalla, fa Yalla môs, par Dieu (serment). Yalla dèfii ko, YAMBÂR, YAMBÂRU, s'élever en n., v. l'air. YAMPÀ, t., stimuler n. V. Y ému. V. l'ap- pétit. YÀMU, YÂMU, V. terre noire V. n., avoir de la mêlée avec du beur- re sur les cheveux. Y AN, dér. de Yâ, yi, yu. YANDA, V. t., flamber fortement, être ardent. YANDAY^., feu bien nourri, flamme. YANGÔG, YANGÂ, YANGI, YANGILÉ, YANGÀLÉ, YANGOGÀLÉ, YANGOGU, YANGOGU- - VAN '^Ë. Dér. de yov ei de IV \oici. angôg, angi, an<ju, V. n., marcher de en parlant des cra- côiés YENGHA, \ANGIIA, demi, (Mro' ébranle, branler. (It'inanché, n., v. yarabi oui, bana. Ainsi ainsi oui, soit-il. Ne s'entend guère que dans la bouche des Mahométans. YARADAL, v. t., donner un sol^riquet. — moitié à tur b., II yaradal, sobri- quet que l'on donne à un en-, YANGÔGU Y ANGÔG, amin bi, soit-il, etc. ANGÂBÀ, Ijhs 37 (L), te quand fanl aînés ses sont morts. YARADAL, VAMiOS. V. Non. ^A^HAL, YANHALÔ, démettre, v. t., ébranler. YANKAN (né), YARAK YARAK YÂRAM monter n., V. couper les seulement sur. YANYAN liberté, r.ccès, b., YANYAN AL, AOR YAPÀ \. donner t., moëlle du chaume. b., viande. chair, V., Y dp' a rebti, venaison. Yap'u horom, viande salée, salaison. .Yap'i mhâni, lard. Yapà du dchal yapa, la criaii- in c : me clier à — V. , les du l'aire m'empêche le môme), avec chair n'épuise pas "r-i-'i-dire tu dévorer, t., clier- ça ne toujours tort, d'être pa.s beau as du mal de moi, ou (iii-G déchirer manger avidem- dents, YAR, V. éduquer, élever, t., l'éducation, i.jfaire privoiser, . — V, yar, u qu'on manquer golo, ap- la tête, collie-. élan. prince, (A), variété radoucir donne. no- les Am Yaram prendre corps, homme, être, incarné. — incarnation. g., YARÂN, YÂR, V. iVdr. YARABI, part, que l'on ajoute au mot amin pour lui don- tort et yara- V. p., s'incarner, devenir cepteur, 4mm Ku amuî incorporel, spirituel. u garap, tronc, corps YARAMU, Naka corps. de l'arbre. Terme décent pour désigner les parties sexuelles. d'éducation. Yar d'asperges sau- plus de force. v., malade. R. Vav, Oui. vages'. lier b., moitié de For yaram, yaram, avoirde l'embonpoint. Mândii yaram, être chaste. Yaram vu néhul, malade. Yaranj vu naha-. ri, m.''.uYaise santé. Yaram vu vér, bonne santé, rétablisse-. me:it de la santé. Yaram vu sôf, incommodité légère, indisposition. Scflô yaram, incommoder, rendre malade. Yaram vu di dov, frémissement de. peur ou d'étonnement. Sèd'u yaram, salut qu'on dit à un Aerge. la verge, férule, cravache, éducation , corriger, civiliser, mœurs, donner i YARAM yaram, ment. |- 1., s'engraisser. cours. libre accès, ^ la b., ble chez les Maures. |)ormissioîî. prise, v. t., manière de cheveux en rasant, V. n., faire donner des le pré- conseils h Bâlâ ngâ yarûn, dekal â yaru, avant de faire, le à travers. précepteur, élevé. il faut être bien, — YAR YARAN, *tni V. YARLÉ, YARLÔ, être soc. n., yarafi na, Malo V. t., V. t., licencieusement, YATI, aider à élever. donner faire YÉG — la ïant à quelqu'un pour l'éducation, se faire élever son enfant. spacieux, YARÔDI, p., mal être YARÔDIKU, n. V. élevé, être v. rustre, YARU, V. être élevé, être p., '^duqué, civilisé, avoir une bon^ ne éducation. h., éducation reçue. — YARULÉ, avoir des en- n., V. bien élevés. fants YARYARI, picoter, n., V. avoir des picotements. YASI b., raclure de Valun sur laquelle les marabouts ont écrit quelques mots et qu'ils vendent comme remède. YÂTA pour ^âta. (K), YATA, à sans rien nonchalant. YÂTAL, V. se n., v. (né), l'écart inactif, faire, être l'aise, la discipline. — YÂTALU, îa licence, -jouir de licence. p., se liberté. c'est YxlTAY Y. YAY toi. maman, d., mère, YAYÀ nourrice. d., YÊ. V."ê, YÊ éveiller. (né), V. Yêt (né). YEB, Y. Yoh. YÉBAL, YÉBLÉ, YÉBLÉKÀT, même que Êhal et ses dérivés. YEBERPÏÈT n., se (né), v. le- ver subitement. YÉDÂ, même que YÉpi, V. n., Êda. grimacer, faire grimaces. b., grimace. YÉDIKÀT b., grimacier. — Ye/ de Le/, plur. gudi, i spectre, choses. revenant, sorcelleries. YÉFÀR b., même que Êfâr, homme impie, sans re- YÉiG, savoir, V. liberté, sans n., hè indépen- vivre contrôle, v. n., connaître pressentir, dire. connaissan- Yég II hif, appétit. YÊYÊG, YÊGAL, YËGÉ, GLÔ, YÉKATI, même que Ëu et ses dérivés. prot., annoncer, déclarer, informer, V. mulguer, indéagir enseigner. vivre ce, manière absolue. YÂTAYUMBË, averti, sensation, b., YÊGAL, V. sentir, t., être ce. large. très b., YÂTAYU, pendant, Yov, grand 'mère. — xiance. 'd'une ôter juif. b., YÀV, entendre cataracte. b., YATARAL. V. Ycda. YATARBI, loc. sup. Yâtu na yatarbi, large, qui gêne. ce ligion. prendre de mettre à l'aise, V. la YATAR gêné. débarrasser pas payen, liberté, b., au large, être YÂTULÔ, V. t., un lieu, mettre au YEF, donner de t., p., n'être des tenir de la licence, mettre à relâcher le frein de la liberté, V. YAUR être sauvage. rougeole. d., YÂTU, confier t., vesser. n., V. un en- V. déver- vesse. v., YÂTO Verge à quelqu'un. YARLU, être gondé. riz est sec. 1-e — 372 — b., avis, promulgation, déclaration. annon- YÉGLÉ, Y. annoncer, t., donner clarer, informer, esca- échelle, Syn. Kèrkèran, Lampin. YÊH, V. Ih. YÈHÈN b., case couverte mais non entourée. lier. Y'ËK V., YEKAT b., n., V. Yaka. taureau. V. Y'EK.^ — ascension. b., YÉKÂ, Y. Ekatikii, s'é- (né), élever, v. soulager. V. t., exagérer. b., exagération. YÊL b. V. Êl, mollet, sou- — gras nom V., YENÀ, d'un poisson. Dér. de Ya, YÈNAKÈR, adv. yu. yi, quelquefois, parfois. YÉNÂT — b., panaris. un panaris. YÉNÂT, Y. Énât. YÉNDU, rnême que Endu. YËNÉ, \.*Ëné. YÉNÉN, Dér. de Y à, yi, yu, v. avoir n., d'autres. v. t., remuer, balloter, démouvoir, émouvoir, gourdir, mettre en mouvement. action de remuer, b., pas YÉLTKU, V. être n., n., b., sortir secrète- YEMRÀ, Y. Yâmhâ. YEMU, YÂMU, V. n., b., n. rugir. sourcil. vous. Ndah du yen a sata sumâ dâsi ? n'est-ce pas vous qui avez volé mon sabre ? Yen angi, vous voici. pers. v. p., s'agiter, YÈNTIRAH d., secousse, poisson. Syn. Dèm, dèm u dabar, à S. Louis. YÉNU, V. n., manger le couscous assaisonnement. sans ruche. Dér. de Yâ, b., YÉPÀ, rugissement. YËN, remué, mouvement, commotion. b., YÉP brise. YÉLYÂN, Y. Êlvan. YÈM, Y. È. YËM, Y. Ëm. YÈN — agitation, ment, se retirer furtivement d'une compagnie. YÉLKAT b., qui exagère. YËLMAN agitateur. coué, se secouer. lâche, serré. V. b., YENGHÂ, V. Yanghà. YENGU, YENGÀTU, se remuer, trémousser, être se- YÉLÂTÉ, V. Elâté. YELEB, V. t., jeter. YELEMi, d'agiter. être agité, être jambe. b., causette. YENÀ YENGÀTALKAT YÉL, — faire agiter, lever, n'être pail- pour — YÉKÉT la hangar, pour palabre, lote, la et ses dérivés. petit b., YENGAL, YENGATAL, lever. de YÈN autres, sanglot. sangloter. V. Ekati. YÉKATI, YÉKATIKU, YÈN, \. Èn dé- — b., - réveil. Yéglé fu nék, publier partout. annonce, publication, b., dénonciation, information, écriteau, annonciation. YÉGLÉKÀT b., crieur public. YËGUHAY 373 yi, yu. Ti yépà, en tout un. tout. Yépâ bèn, YÉR, V. n., être fatigué. YÉR b., fente par où guette. l'on — trou, c'est , V. regarder par une t., fente ou par YÉRAK, YÉRAL, V. V. un trou. sauter de joie. n., pleuvoir à. n., verse. i3 — YËRAL, V. confier t., une bête à garder. YÉRAS, V. t., ne pas oser, avoir honte, craindre, Sô digé'k /nom nga yéras kô iwr, si tu as fait un contrai avec lui, aie honte de le YERAYER YËRÉ b., b., u ligéyiikay, outil de YEREM, avoir — v. pitié, b., l'atelier. compatir, n., plaindre. compassion, .YEREMLÔ, V. YEREMTU, t., réf. V. la se lamen- gémir, pour exciter la piSô di ôr bul yeremtu, si tu jeûnes, ne cherche pas à exciter, — la* pitié. b., versé, se YËSAY loc. répandre, verb., verser, être ré- YÉRLÉ, V. avoir des bêt., qui sont confiées à la gar(•e de quelqu'un. YERMANDÉ b., miséricorde, pitié, compassion. Borom yermandé, très miséricordieux. Ak miséricordieuse- tes YËSYËSLU, même YËT semblant bnton, canne, verge, V., que Êt. gro« limaçx)n V., marin qui est renfermé dans une coquille et qui est bon à manger. Y'ÈT, un se coucher avec n., V. pour rendor- enfant petit YËT (né), NÉ YÉ, v. t., dé- placer doucement. YÈTA et dérivés ses même que Èta et ses dérivés. YËTAL, V. t., faire coucher un enfant en se couchant près de lui pour l'endormir. YËTAL, V. t., remettre doucement, rendre, restituer en secret. YÈTIT, V. YÈTLU, Etit. V. n., chanter bas, parler à voix basse. pitoyable. YËRU, YCIRLU, y. t., regar- der pnr un trou. Yéru hè ga, regarder la bouche ouverte. et ses dérivés même que ses dérivés. V. faire moins bon. ment. Naka yermandé, être im- YÉS, flueurs. b., YÊSLË, v. t., avoir des choses moins bonnes. YËSLU, V. réf., se rendre inférieur, moins bon. yermandé, Ês et désa- infériorité, b., vantage. poser, (né), pandre. YÊS de ren- action b., mir. lamentation, plainte, gémissement. YÉRÈT YÊSALAY moins,, dre inférieur. YÉT pitié. exciter tié. ter moindre, faire valoir rendre inférieur. d'être apitoyer. pitié, — YÉSIDAP trahir. merle. habillement, y., bagage, outil. Yëré vêtement, 37/, n., s'écrouler d'une, case. YËS, ÊS, V. en par- ].int être n., moin- YËTU, gros V. chercher n., YËV, V. Èv. YÉV m., boa. Syn. Miv. YÉVÉN, V. q., être Ubéral, charitable, généreux. — b., YÉY, générosité, YEY, V. dre, pire, valoir moins, être in- broyer avec férieur. grincer des dents. YÊSAL, YËSLÔ, y. t., rendre de limaçons. YÉY les NOPÀ, t., dents, libéralité. manger, mâcher, exciter des — YÊY débaucher émeutes, des 375 ou- vriers. ' YÉYAT, YÈYTU, remâcheur. mâcheur. n., faire semblant V. YÉYKÀT t., b., V. YOG ner, donner une commission, charger d'une commission. Yohanté nâ Vâli i sohla, j'ai chargé Vâli de mes commissions. de mâcher, sans rien avoir sous — les dents. YOBANTËKAT YÈYU, V. bien être p., mâ- broyé. ché, YI, V. déf. adj. yi, yu- n'être pas Yu, YIH, TËH, V. Ih. YÎHAMU, V. fait. b., miellée. YIMBU, V. les mouches. YINDÉ, L\DÉ V., jatte en terou en bois trouée pour re cuite faire le couscous à la vapeur. YITÀ canard b., sauvage sans crête, à longues jambes et avec des ergots aux ailes. YIV, YUV V., grâce, bienfaveur, complaisanveillance, bienfait, charmes, ce, don, iSaka beauté, douceur. riu, être disgracié. Yô V., YOB, YEB, YÔT, v. t., apporamener. Yoh ma suma të- ter, ré, apporte-moi YOBÀL ge, mon livre. provision de voyamunition pour un voyage. Sumâ b., yobâl dêh nà tak, mes provisions sont entièrement fi- YOBÀLU, V. n., faire ses s'approvisionner. Ganar là yobâlô, j*ai fait provision d'une poule. provisions, YOBANTÉ, V. t., commission- Yobu yuy ta na- on gâ, a dans le baobab. Yobu ko falé, emporte-le, griot le ou emmène- le — b., là-bas. chose emportée ou la emmenée. V. emmener t., avec soi, emporter avec soi, entraîner quelqu'un. Dô yobuâlé sa had ? tu n'emmèneras pas ton chien avec toi ? Séytâné dèf nu bega yobuâWk môm ta sale démon veut nous en- fara, traîner avec lui en enfer. YOBUKÀT qui em- celui b., emmène. porte, qui YOBULÔ, V. faire t., empor- ter. YOGÀ (né), YOGÔR, verb., Icc. abattu, être inactif. V. être n., triste, sombre, sans ardeur. b., paresseux, nonchalant. affligé, — YOGÔRAY b., tristesse, afflic- tion. YOGÔRLU, s'affliger, se V. réf. ge, qui triste, — b., la peine. qui s'affli- s'attriste. YOGÔRLULÔ, peine, s'attrister, faire de YOGÔRLUKÀT nies. em- emporter, t., hâ gévèl triste, moustique. emporter de t., YOBUÂLÉ, chasser n., V. b., transporter. emporté yi, yu. ou boisson brouet que l'on fait avec de la farine de mil délayée dans de l'eau mener, message. qui charge commission. quelqu'un de \OB(yri, A. nouveau. nii YILÉ, Dér. de Yâ, YIMBIL commission, ])., YOBU, n., pressé dans ce qu'on YÎKAT, V. Ikat. 1 — affliger, V. t., faire rendre de la désoler. g., tristesse, affliction. — YÔG YÔGULÉ YOGU, démancher, se branler. — démanché. d'être état b., YOIII, faire n., V. YOL YOHIKÂT V., YOHILÔ, V. poltron, — démettre. en huître g., géné- Y. chercher des n., y. n., quelque furtivement. YOHOSUKAY b., lieu abondant en huîtres* Fasna, yohosukay bu hâh là, la rivière de la Fasna est abondante en huî- fouine, genette. être inégal, q., avoir des inégalités en parlant d'une surface plane. Lal bi dé- YOHTAL, y. effaroucher, t., YÔLÉ, YOHYOHAT, est essayer t., manche pour Yohyohatal deher nà, es- solide. ndèm sa ilèr sêt ilèr, v. un branler ton branler le manche pour voir s'il de tient exagérer, allonger, étendre. Syn. Doka. YOKAKÀT b., qui exagère. YOKÂTÉ, v. t., attacher plusieurs Y. n., priver d'une chose on considération de. Yôlé nà dôm se âm diné dâ, au démon. a il son livré détendu, être n., V. fils V. n., être tran- yolojn corde est lâche. cette Y. réf. nir gras, se multiplier. croître, deve- bi YOLOMAL, YOLOMBAL, débander, y. t. détendre, desserrer, relâcher. YOLOMAY YOLOMBAY m., détendu, relâ-' d'être état chement. YOLU, sé, Y. y. n., rémunéré, cret, détirer. t., récompen- être dédommager. se YÔLU, YOLÔSU, troduire dans un V. en faire, YÔM n., lieu s'immiscer dans s'in- en se- une af- dessous. g., mercenaire. b., impuissance géni- tale. — pour V. la tir, impuissant être n., génération. (né) se Yomà, retirer Nèl yom, de froid, grelotter. YOKU, débandé, Bihn lâche. desserré, YOM ensemble. pièces YOKOKOKI, si abandon- livrer, t., YÔLUKÀT bien. Y^OKÂ, est inégal. lit Y. YOLOMBAL, épouvanter, faire peur. de Y. jà yôlé, ce b., tres. saie ca- Y., YÔLÉ, nà, part. s'il baleinière, YOLOM, YOLÀM, YOLAMBA, YOHôSU, NÉ YOHÔS, voir (An) b. YOLAN huîtres. de rémuné- dédommagement. not léger. ner, ral. entrer s'échapper n., récompense, b., YÔL lâche. décourager. avoir des cho- t., YOHLl^, Y. n., démanchées. Am nâ darom^ i paka, vândè yôhlé nâ ta nâr, j'ai cinq couteaux, mais j'en ai deux de démanchés. YOHLÔ, V. t., démancher, YOHOSU, Y. Vêhal. ration, ses YOHOS (né), d'un coup. ^ÔL, Y. t., récompenser, rémunérer, dédommager. Syn. pol- le manquer de courage. tron, YOM tout n., V. — pour (L), Yôyu, Yôyulé. YOII, 37•6 n. par- va-t-en. YOMÀLÔ, teusement. v. honteusement. Y. t., chasser hon- ^ YÔMAY OM impuissance jz., gé- nitale. TOMBA dont on légume, b., fruit des calebasses. fait YOMBÀ, être facile, ai- n., V. bon marclié, être afenclin à, prompt à. Du- être à sé, fable, gup yombul mil lëgi là Ber, le est cher à présent à Corée. Nit ku yomhà homme Mo yom- un c'est la, bien traitable. affable, hà mèr, il est prompt à se fâcher. Bât u degà yomhà nâ ham, la vérité est aisée à con- Yomhà naître. de facile Jiâ vahal, il est avec lui. adv. facile- loc. ment, aisément. YOMBADI, V. difficulté, g., être n., diiTi- malaisé. sévère, — YOMBAL, YOMBOS, YOMÔS n., V. rendre V. t., y. Domhos. Yomôsyomôsi, (né) sortir, YÔN faci- partir, s'échapper chemin, route, senpassage. Aval ti yôn vi, prends ce chemin. Mo y nà yôn va, il a dévié de la route. V., voie, Yôn u ndoh, canal, aqueduc. Yôn vu hat, chemin ou sentier étroit. Dèmal sa 'yôn, va-t-en ton chemin. Dèm nà yôn àm, il est allé son chemin. Dog nâ yôn va fàlé, il a coupé, il a route là-bas. Au yôn, il a fait le métier de voleur de grand chemin, de coupeur de bourse. Au moral conduite, manière d'agir, de se conduire. Yôn vu bâh, vu bon, conduite bonne, traversé fig. pag juste, até nà Yôn vu léguai. une voie par ko, ? est-ce regarde Ana que cela yôn nèku te tà, la Dog nà Yôn Ana légitime. c'est sumà yôn ? varul, illégitime. que yôn sa regarde me cela ? est-ce Sumu ? yôn nèku sa ta, ne me regarde pas, cela ne te regarde pas. Yôn àm angà tà nâm, cela le regarde assurément. cela — religion, V., loi de Dieu. On dit Yôfi'Yalla ou simplement yôn. Top à yôn, pratiquer la religion. Moy yôn, violer la : Yôn u religion chrétienne, doucement. tier, i religion, pêcher. sévérité. facilité. le, rëv jnômàlé aniu-iin yon^ gens de ce royaume n'ont point de loi. Yôn là, c'est jusLôlu du yôn, cela n'est tice. s'entendre Bu yomhà, cile, Va les kèrtèn, christianis- me. Ku topà yôn u Yalla, di nà dèm aldanà, celui qui pratique au ciel. Yalla vu di degà, vènâ religion la Yôn u ira rèkà là ti adunà si, il n'y a qu'une seule A^éritable religion sur la terre. Yôn u Musà, loi de Moïse. Yôn u voleri gu dekà g à, loi de l'ancien Testament. Yôn u voléri gu es gày loi du nouveau Testament. — V. b., fois, réitération, A^«- yôn ? combien de fois R. Nâr i yôn, deux fois. Ti hènà yôn, en une fois. Dèf ko hènà yôn, fais-le une bonne fois. ta 1 ci on tu dô ma rav, cette foisne m'échapperas pas. vilé YON senter, loc. verb., se préparaître subitement, ,ne), : justice, YONÀ loi, règlement. stupéfait. (né), demeurer mauvaise. v-, demeureur YÔNAL, verb., être, régler, faire loc. stupéfait. V. t., - YON une un règlement, loi, mer, 37S légiti- légaliser. YONALKÀT Musâ Moïse est Yaur 11 fia, législateur des Juifs. le YONAY YONÊ, législateur. b., yonalkàt di stupéfaction. b., envoyer, expépersonnes et des choses qui doivent demeudier, se rer là ma sa V. t., des dit où on dôm, envoie. Yonê yaral la ko, les ma envoie-moi' ton fils, je YONÉKÀT dans ligne ta la YÔR, V., cervelle. Su mbahana dôn nân yôr, kô gis mu hêru, si le bonnet buvait la certout homme V.) velle, serait nu- (P. tête. YOR poudre dont b., les né- gresses se frottetnt les cheveux. YÔRKÂT celui b., qui des- b., celui qui YOROH en-- YOROHLU, {né), v. passer outre, échapper. Mungà né y or oh, il s'est échappé. YOROHAL, V. t., laisser échap- n., YONÊSI, où le lieu ? qui V. t., envoyer dans l'on est. t'a Yonèt Ku envoyé la fi yoici message, envoi, déoutation, dépêche. YONÉT, YONÉNT, b., député, envoyé, messager. Yonènt u bûr, ambassadeur. Yonènt u Yalta, envoyé de Dieu, prophète. Y'ONGÀ V., espèce d'antilope. YONGAN, V. t., chercher, guetter ime chose pour s'en empa- • descends gêt, mer. cend une chose. voie. — YÔR, V. t., faire descendre quelque chose. Yôral sa hir ti te rélè- verai. nê si - b., per. YOROHLA^' b., g., négresses les faire se se tresser plante dont servent pour cheveux et les ressemblent beaucoup à celles de la digitale. YORU, V. n., avoir, dans la chevelure, de la terre noire mêlée avec du beurre. dont les fleurs YÔRU, descen- et p., réf. V. descendu. celui qui des- rer. dre soi-même, YONI, V. t., envoyer, députer, dépêcher, ne se dit que des personnes capables de faire une cend soi-même. YÔS V., espèce de sardine. commission. Malâkà Dîhril la yoni von fâ Mâriama, Yalla c'est l'Ange Gabriel que Dieu a envoyé à Marie. Y'ONISI, V. t., venir envoyer quelqu'un. Menu-nia la hidenté ndègé siimâ bây var nâ mâ yonisi Daalâ, je ne puis pas vous accompagner parce que mon père doit venir ici pour m'envoyer à Joal. tenir entre les Y'OR, V. mains. Lô yor ? que tiens-tu entre les mains? Yoru-ma tus, je n'ai rien. YÔRUKAT b., YOS, pron. Ya, Yi, être poss. pl. Dér. de Yii. YOSI, V. apporter. (L), t., Syn. Yob. YÔT, V, surveiller, t., épie-r, guetter. observer, Mûs ma'n- gê yôt dinah dâlé, le chat guette ce rat là bas. Séytâné dèf nô yôt, ndah tabal nu ta bakar, nous épie afin de le diable nous faire tomber dans le pé- ché. YOT, V. Yob. YÔTANTÉ, l'un l'autre. V. réc, se guetter — YÔTÉ espèce de jeu de d'échec propre au pays, ainsi appelé parce qu'on s'y guette l'un l'autre. dame — d., ou YOTU, V. n., faire des efforts mains pour atteindre Lu di yôtu Yal2a, ti leleg bè ta ngôn té du ko dot? à. Kûr. D. Qu'est-ce qui cherche là atteindre Dieu {le ciel), du matin au soir, sans y arriver.^ Le pilon. (Enig.V.) YOV, YÀV, n. pers., toi. Yov a, yov là, c'est toi. Yov sah, avec ou les attraper. D. toi-même. YOVÂL poisson plat. b., (L), v. n., exténué, chétif, dé- de Yâ, Yi, Yu, plur. V. n'être n., pas maigre. YÔYAY, YÔYLO, YU, b., V. t., maigreur. rendre maigre. déf. adj. et Y. Yâ, Yi, Yu. pron. poss. — , quand ble. il est suivi pron. pers. 3 d'un rel. rel. nom. — les meau. V. t., b., moelle. retirer la moelle des os. YUHAL, YUKHAL, YOKHAL, V. n., avoir le hoquet. Syn. Hè- dètan. YUHÔL, YUHAL Vol.) hoquet. lamenter en se n., v. — clameurs, cris, g., gémis- huée. V. réc, se huer t., faire crier et mutuellement. YÛHULO, pousser V. gémissements. des YCHYCHLU, n., faire V. sem- gémir. blant de YUKÀT, même que Ikat. YUKUKUKI, YUKYUK, YUKYUKU, Y. n., courir lourdfe-ment et péniblement. Y'UL espèce de taon. moucheron. b., YÛL YUL V., m., gras de jambe. la YULÉ, Dér. de YULÈT der. ,né), YULÏ, Yà, Yi, Yu. né yurèt, se vi- Yuliku. Syn. i., vider. Yuli bè né vider entièrement. V. YULIKU, v. se p., vider, se répandre. YULUL, — des V., V. n., baver en paranimaux. bave des animaux. YUMBUH, YUMPAPÏ femme du YUN être V. n., b., d., frère de tassé. belle-tante, la mère. (né), loc. verb., épier montrant b., tahtil criant. lant , (Prov. YCHU, (Prov. YUHÀ, YUKHÀ, Yuhôlu^mbâm ko day ni gélèm, l'âne qui s'é"* lève sur ses pieds n'atteint pas pour cela la hauteur du cha- vétés, — action de s'élever sur b., pieds. Yu'Pêr, ceux de Pierre. YCH, V. n., gémir, sangloter. Ku begà rénd'i bop'âm, su nu ko Ibegê réndi varul à yûh, celui qui veut se couper le cou, si on veut le lui couper, ne doit pas jeter les hauts cris. Vol.) n., v. s'élever sur les doigts des pieds. YÛHUANTÉ, être YÔYÂ, YÔYU, YÔYALÉ, YôYULÉ, adj. et pron. dém. Dér. YÔYADI, ^ I YCIIKAT b., qui gémit. YCHLO, V. t., faire gémir. YCHO, V. n., gémir ensem- sement, YÔY, YOYOR maigre, charné. > YUHÔLU, YUKHÔLU, jouer à ce jeu. n., V. , 3 verture. la tête en par une ou- — 38o — YUR YUR grêle. g., grêle, il ou il a YURBA g., YURUTUTU, Tav nâ yur, variété Yuliku. de cale- YUSAL, lant des YtjT, basse. YCRLU, V. Yéru. YURUTUTl, YUTUTUTI, n., se vider entièrement faire n., v. ve- nir l'eau à la bouche. grêlé. YURAKU, même que YUY — y. avec bruit. ••••••••• g., V. n., vesser en par- petits enfants. n., baver, bave, salive. V. YCTKÀÏ YUV V., b., V. baveur. Yiv. saliver. TABLE DES PRINCIPAUX NOMS PROPRE! EN USAGE CHEZ LES VOLOFS Noms propres d'hommes Abdulay. Mbâr. Mbay. (jumeau). Alasan [mar, Ali. Amadu, : Amadi, Bâbukar. Amdi, Ma. Amat, A- Medun. Musa. Ndéné. Biram, Birân. Ndiaga. Buyâ. Ndâk. Daur Daud Démbâ. (S). Ndanku. Ndapali. pété. Ndâsé. Dam. Nohor. Dâta. Pâté. Dégân. Samba, Dilên, Dën. Sara. Faha. Sëni (jumeau). Fari. Séydu. Giran. Singan. Gôgi. Sulé. Gumbân. Sûsâ. Gundèl. Untâ. Lâmin. Yâti. Latir, Layti, Lat. Mâlav. Tékuta. Téyasin. Mâlik. Yédim. Mamur, mamut. Yoro. Matar. Yusuf. Mbaiiik. Sa. — Noms 383 — propres de femmes : Adam, Aram (jumeau). Mariam, Maram. Aminata. Mbéri. Anta. Musu. Ava (jumeau). Naèt. Aysata, Ayta, Aysa. Ndëla. Bigé. Ndèv. Binta. Ndumbé Buguma. Ndafi. Dégèn. Ndëmé. Dahêr. Nduk. Danôr. Ngénar. X)âra. Ngèr. Darin. Ngisali. Dilado. Ngoné. Dodo. NiL^n. Dor. Pènda. Duâna. Salân. Sanu. Fâla. Fatumata, Fatma, Fatah. Sâsum. Sélbé. Semu. Hari. Haryalla, Fatim. Har. Sen. Huda. Sigâ. Hurêda. Sirâ. Kévé. Sohna. Kodu. Sôsé. Kumba. Siinâ. Kura. Toro. Loli. Yandé. Madigèn. Yâsin. (L). . — Noms Ba, — de famille (santa) Gulagul, (toucoiileur). : oiseau. Ndong, Bèy, chèvre. Badiân. Bâhum. Dâgo, 383 Ndôy Disis, petit oiseau rouge. Pahâm, Léman, poisson. (L). Ndûr, Golo, singe. Gaéndé, Nday, Dalo, (toucouleur) Ngom, fam. de Dâfi (maure) éléphant, perdrix. Nang. Dasé, famille Dâvo (peule). cordonnier. de Nas, fam. de forg., sanglier. Puy. Don. Sâr, Dûf, Dip, espèce de biche. Fay, Ténêv, tigre. Gisé, famille de mâbo. (toucouleur). Kasé, famille de Mbov, antilope. famille tourterelle. Ndav, lapin. — espèce de poisson. tourterelle. lapin. Silâ. Sise de cordonnier, (marab. du pakata), So (peule), feuille du baobab. Sov, mdbo. Ngelému, cheval rouge. Mbôd, Koba, Séka, Kobo, chameau. Séy (marabouts). bisèts. Gèy, Mbetâ, gueule tapée. Kitân, Sala, Sèn. sanglier. Gay, famille de Ka griots. Ning. Pèng, Bar, gueule tapée. Dôb, Damba, oiseau à aigrette. Fal, lion. Tôlé, lièvre. couleur noire dans Zej habits. Turé, (maure). Tal. Tâin, famille de forg., tourte. Tav, Kévèl, espèce de biche. NOTE. Les noms d'animaux placés après les noms de familles désignent l'ennemi (mbagne) de cette famille. Les noirs évitent, par superstition, de toucher l'ennemi de leur famille, ils craindraient de mourir ou de tomber malade. Imprimeurs-Éditeurs GENOUILIAT-LECONTE 43. Rue Chercheli. MARSEILLE 43 DATE DUE GAYLORD PRiNTED IN U.S. A. PL878^ .Z5K6 -^"^^^"^ ^^^i^^'ncai KohA.c. WILLIAMS COLLECTION Bapst Ainr.., ^ iflyo Lîbrary Boston Collège Chestnut Hill 67, Mass.